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L’émission pour la TerreSoirée événement en directPrésentée par Anne-Elisabeth Lemoine et NaguiMardi 15 octobre à 21.05#LemissionPourLaTerre

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en partenariat avec

JE NE MANGE NI VIANDE NI POISSON AU MOINS UN JOUR PAR SEMAINE

J’ACHÈTE DES FRUITS ET LÉGUMES DE SAISON

JE METS MON CHAUFFAGE À 19° C MAXIMUM

JE PLANTE DES FLEURS POUR LES ABEILLES

JE DONNE DU TEMPS A UNE ASSOCIATION POUR LA NATURE

JE REMPLACE GOBELETS ET BOUTEILLES EN PLASTIQUE PAR UNE GOURDE

J’ACHÈTE MOINS DE VÊTEMENTS OU DE SECONDE MAIN

JE VOYAGE SANS PRENDRE L’AVION PENDANT UN AN

SI C’EST POSSIBLE, JE NE PRENDS PAS MA VOITUREPOUR DES TRAJETS DE MOINS 3 KILOMÈTRES

JE VIDE ET TRIE MA BOÎTE MAIL

Engageons-nouspour la planète

Et vous ?Lesquels de ces 10 gestes êtes-vous

prêts à adopter pour préserver la planète ?

Engagez-vous sur ces gestes concrets.Donnez votre avis.

Participez demain à la soirée évènement L’émission pour la Terre diffuséeà 21.05 sur France 2, sur france.tv, sur les pages Facebook de France 2, France TV Nature, Brut et sur les antennes de TV5 Monde :

- par SMS non surtaxé au 3 23 23

- sur les réseaux sociaux de France 2, France TV Nature ou Brut

- sur l’appli Brut dans l’extension développée pour France TV

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Médias« Un emballement collectif » sur Dupont de Ligonnès P.4

Lundi 14 octobre 2019 https://www.20minutes.fr N° 3469F.

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Fans de livres, rejoignez notre communauté de lecteurs Inscrivez-vous sur contributeur.20minutes.fr

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PÉDOPHILIE

La police face à l’insoutenable

« 20 Minutes » a rencontré des agents de la brigade de protection des mineurs confrontés, au quotidien, à des images et des vidéos

insupportables circulant sur Internet. P.6

A nos lecteurs. Chaque mardi, retrouvez « 20 Minutes » en version PDF sur le site et les applications mobiles. Et suivez toute l’actualité sur l’ensemble de nos supports numériques.A nos lecteurs Chaque mardi retrouve

A la brigade de protection des mineurs de la police judiciaire de Paris.

SériesL’info en Chine et aux Etats-Unis dans l’œil de « Chimerica » P.14

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Jeux vidéo« Borderlands 3 » tire dans tous les sens, et c’est tout un art P.12

FootballL’offensivecontre les Kurdes accentue la tension autour du match France-Turquie P.17

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LangouëtL’arrêt antipesticides du maire jugé sur le fond P.3

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GRAND RENNES

2Lundi 14 octobre 2019Grand rennes

RENNES JANVIER3 Avenue Jean Janvier

OUVERT DE 7H30 À 22H - LE DIMANCHE DE 9H À 13H

#MieuxProduirePourMieuxManger

62sites de

production

22bateauxde pêche

+ de 40 marques propres

Vitré

Quimper Vitré Charmes-sur-Rhône

St-Martin d’Abbat St-Père-en-Retz

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AK’THON EPNAK201924h pour faciliter l’emploi des personnes handicapées

Développer une solution numérique utile pour l’accompagnement des personneshandicapées vers l’emploi, c’est ce qu’a proposé l’EPNAK, établissement public médi-co-social pour enfants et adultes handicapés, pour son premier hackathon les 27et 28 septembre 2019 au Mabilay.Le challenge étudiant e-médicosocial a consisté à élaborer, en équipes d’étudiantsissus de grandes écoles rennaises, une application numérique innovante répondantà des problématiques auxquelles la personne en situation de handicap peut êtreconfrontée dans son quotidien et son insertion professionnelle. Les compétences desétudiants de l’INSA de Rennes, de l’ENSAI, de l’ESIR et de l’EPITECH étaient réuniespour l’occasion dans les locaux de la French Tech au Mabilay proche du Mail FrançoisMitterrand. C’est sans relâche et durant 24 heures que les équipes ont travaillé leurprojet en faisant appel à leurs mentors ainsi qu’à des experts du médico-social, des en-treprises et des personnes handicapées pour notamment répondre à leurs nombreusesquestions : comprendre le handicap, connaître les notions d’accompagnement et decompensation du handicap vers et dans l’emploi…Le samedi à 18h30, à l’issue du challenge chaque équipe a présenté son projet de-vant un jury composé d’entreprises partenaires, d’institutionnels, de professionnelsde l’EPNAK et d’usagers. « Flower » est la solution numérique qui a remporté le prixdu meilleur projet, une application numérique qui simplifie le suivi de la personne ensituation de handicap. L’EPNAK s’inspirera des projets des étudiants pour concréti-ser prochainement le développement d’une solution numérique, outil apportant uneplus-value pour son activité de réadaptation professionnelle.L’Epnak tient à remercier tout particulièrement les groupes Thales et Optima,partenaires et mécènes de l’Événement.

La ruée vers l’orge (breton)Bière La filière brassicole bio est en expansion en Bretagne

Les Bretons sont de grands amateurs de bière. Selon une étude de l’Ifop de 2017, la Bretagne se classe au troi-sième rang des régions qui consom-ment le plus de houblon, derrière la Normandie et le Grand Est. Et les Bretons en produisent aussi. Depuis quelques années, le nombre de bras-series a explosé dans la région, qui en compte désormais une centaine.

Un commerce localDans ce sillage, toute une filière brassicole biologique s’est dévelop-pée. Créée en 2006, l’association De la Terre à la bière, compte 18 brasseurs et 80 agriculteurs. En 2019, ces der-niers ont produit 2 000 t d’orge bras-sicole, ingrédient de base pour faire de la bière, contre une centaine de tonnes il y a dix ans. « Il y a une forte demande des consommateurs pour des bières bio et locales », explique Didier Le Hec, producteur de céréales et président de l’association. Eleveur

à La Chapelle-Bouëxic, au sud-ouest de Rennes, Jean-Paul Hignet s’est lancé dans la production d’orge il y a cinq ans. « C’est une culture de prin-temps, qui demande peu d’apport en azote, assure-t-il. C’est bon pour les sols d’un point de vue agronomique. Et cela permet aussi de s’inscrire dans un commerce local. »Transformée en malt, une partie de sa production d’orge alimente la Brasserie de l’Ombre à Plélan-le-Grand (Ille-et-Vilaine), qui produit

chaque année 350 hectolitres de breu-vage houblonné. Appréciant de pou-voir s’approvisionner à proximité, son gérant, Steven Guyader, peine en re-vanche à trouver du houblon breton, car « la production bio est très faible ».Mais les choses évoluent. « Quatre personnes se sont déjà lancées dans la production et cela va encore se dé-velopper », indique Didier Le Hec. D’ici quelques années, on pourra alors dé-guster une bière entièrement produite en Bretagne. Jérôme Gicquel

La Brasserie de l’Ombre produit 350 hectolitres de breuvage par an.

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Ousmane Dembélé fait un heureux. Non retenu par Didier Deschamps pour le match en Islande, Ousmane Dembélé a profité de la trêve internationale pour passer à Rennes, où vit sa famille. Il a même offert son maillot à un enfant croisé par hasard à la sortie de l’école. Bluffé, le père a partagé son histoire sur Twitter.

Un squelette dans un duvet. Les ossements d’un homme ont été découverts samedi matin dans un sac de couchage caché sous des broussailles à Saint-Martin-sur-Oust, près de Malestroit. Il pourrait s’agir du corps d’un baroudeur allemand. Une autopsie a été demandée, mais la piste criminelle n’est pas privilégiée.

Jugé pour plusieurs viols. Un homme de 35 ans est jugé depuis vendredi devant la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine pour viols et agressions sexuelles. Six femmes se sont portées partie civile. Les faits se sont déroulés entre juillet 2015 et janvier 2016 à Rennes. Le procès se tient jusqu’à vendredi.

3Lundi 14 octobre 2019Grand rennes

C’est une petite commune de 600 habi-tants dont personne ou presque n’avait entendu parler. Langouët, à quelques kilomètres au nord-ouest de Rennes, est devenue le symbole de la lutte contre les pesticides depuis que son maire a pris un arrêté interdisant l’épandage à moins de 150 m des zones d’habitation, en mai. Depuis, une centaine de maires ont pris la même décision.Suspendu par le tribunal administra-tif de Rennes, le texte est de retour ce lundi devant la même juridiction, qui examinera le dossier. Le désormais très médiatique maire Daniel Cueff espère que la justice lui donnera rai-son. « C’est l’audience la plus impor-tante, estime-t-il. C’est la première fois qu’un arrêté de création d’une distance d’éloignement des pesticides va être examiné sur le fond. Si le tribunal me donne raison, c’est la révolution. »

Engagé, l’ancien président de la com-mission agriculture du pays de Rennes souhaite « protéger sa population ». « C’était peut-être culotté, mais c’est très sérieux, très bordé juridiquement, explique l’élu. Il y a une carence avérée de l’Etat à agir, nous en ferons la dé-monstration. » Un maire est-il oui ou non habilité à prendre des mesures de protection de santé publique de sa po-pulation ? La question sera au cœur des débats ce lundi, et la décision du tribu-nal sera scrutée de près par toute la profession agricole et la FNSEA.

« J’ai lancé une alerte »Depuis la prise de l’arrêté, le syndicat majoritaire ne cesse de critiquer les initiatives des maires de France, celui de Langouët en tête. « Ce maire a fait du buzz, avait déclaré la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert. Ce

n’est pas de son ressort. » N’empêche, dans la commune où la cantine est 100 % bio depuis 2004, les médias du monde entier se bousculent pour rencontrer les irréductibles Gaulois. « L’important, ce n’est pas notre maire, c’est que le débat avance, témoignent deux jeunes mères sur le chemin du parc. On est tous concernés. » « J’ai lancé une alerte, embraye Daniel Cueff. Cette alerte a été reprise par tout un tas de gens qui disaient les choses de-puis longtemps. Mon boulot, j’espère qu’il sera repris. »A ceux qui l’accusent de vouloir se faire mousser, le maire répond par la contre-offensive. « On nous dit que

Paris va mourir de faim, que les rats vont revenir, que les sangliers vont at-taquer les populations. C’est la rhéto-rique de la FNSEA qui déraille. On nous demande du temps, mais c’est crimi-nel. On n’a pas le temps de respirer des pesticides de synthèse à gogo. » La petite commune rurale compte 14 agriculteurs qui travaillent sur ses terres, dont cinq ont leur exploitation à Langouët. Certains, engagés dans l’agriculture biologique, soutiennent leur maire, mais d’autres ont fait appel à leur syndicat pour faire retirer l’ar-rêté. Le deuxième round de ce com-bat juridique se joue ce lundi, devant le tribunal administratif. Camille Allain

« Il y a une carence avérée de l’Etat » Environnement Le tribunal administratif de Rennes doit examiner ce lundi l’arrêté antipesticides pris par le maire de Langouët

daniel Cueff est devenu une figure de la lutte contre les pesticides.

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Le pays est scindé en deux. Dans l’Ouest, les pluies sont de plus en plus soutenues et accompagnées d’orages. Tandis que, dans l’Est, le soleil et la chaleur dominent toujours. Le ressenti est parfois lourd, avec de l’humidité dans l’air.

AUJOURD’HUI

ET EN FRANCE

DEMAIN

matin après-midi matin après-midi

L’Est rayonne, l’Ouest ronchonne

13 °C 19 °C 9 °C 16 °C

La météo à Rennes

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avec vous

Un quart d’heure de lecture imposée dans toute l’académieEducation Les écoles, col-lèges et lycées de Bretagne seront plongés dans le silence vendredi 18 octobre de 13 h 51 à 14 h 06. La rai-son ? Un temps de lecture silencieuse d’un quart d’heure que l’académie de Rennes va imposer aux élèves, aux enseignants ainsi qu’au personnel. « C’est un temps durant lequel les participants cesseront toute activité pour se consacrer en silence à une lecture personnel », indique l’acadé-mie dans un communiqué. Plusieurs établissements ont déjà adopté ce quart d’heure obligatoire.Pour le recteur Emmanuel Ethis, cette opération, baptisée Ensemble chacun son livre, vise à « développer le plaisir

de lire » chez les élèves. A cette occa-sion, il se rendra au collège Germaine-Tillon de la Mézière, près de Rennes, pour lire lui aussi son livre dans une classe. Si l’opération fonctionne, elle pourrait être amenée à se généraliser dans l’ensemble des établissements de la région dans les prochains mois. J.G.

20 Minutes Rennes40, rue du Pré-Botté35000 RennesTél. : 02 99 29 69 64 ou 02 99 29 69 65Contacts commerciaux :Aurélien Jan : 06 35 45 07 98ajan@20minutes.frLaëtitia Briard : 06 83 65 68 27lbriard@20minutes.fr

4Lundi 14 octobre 2019ActuALité

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Médias La sémiologue Virginie Spies analyse l’emballement autour de ce que l’on a cru être l’arrestation de Dupont de Ligonnès

Bad buzz. Vendredi soir, Le Parisien a annoncé l’arrestation d’un homme, qui, selon la police écossaise, pouvait être Xavier Dupont de Ligonnès, recherché depuis 2011 pour le meurtre de sa fa-mille. Les médias, dont 20 Minutes, ont repris l’information, non sans l’avoir fait confirmer. Des tests ADN ont finalement démontré qu’il ne s’agissait pas du fugitif français. La sémiologue Virginie Spies, maîtresse de conférences à l’université d’Avignon et animatrice de la chaîne YouTube « Des médias presque parfaits », parle d’un « emballement collectif ».

Comment a-t-on pu arriver à un tel emballement médiatique ?Je n’accuserai pas un média en

particulier : il s’agit d’un emballement collectif, c’est la force de la foule. Au tout début, les médias ont pris soin de citer leurs sources. Mais, peu à peu, il y a eu un glissement. Certains ont oublié de citer leurs sources, sur les plateaux télé, les invités en ont fait des caisses, ils ne savaient rien, donc ils disaient tout ce qu’ils pouvaient. Cette histoire provoque

une fascination, même le public oublie de prendre du recul.Justement, le public dispose-t-il des outils nécessaires pour prendre de la distance ?Le public a une meilleure connaissance des médias, parce qu’il est plus éduqué et qu’il y a des médias qui font de la cri-tique des médias. Mais il a encore sou-vent tendance à prendre l’information telle qu’elle vient. On la croit et, quand il y a une erreur, la confiance est d’au-tant plus brisée.Les médias devraient-ils utiliser davantage le conditionnel ?Ils l’utilisent, mais rarement jusqu’au bout de la phrase sur l’événement en cours.L’information va-t-elle aujourd’hui trop vite pour qu’on puisse la traiter correctement ?Dans cette affaire, c’est la non-infor-mation qui va trop vite, pas l’informa-tion. Si personne n’avait donné le tuyau [au Parisien vendredi ], on aurait su [sa-medi] que la police avait cru avoir at-trapé Dupont de Ligonnès. Propos recueillis par Mathilde Loire

« C’est la non-information qui va trop vite »

une caméra devant l’ex-domicile de Dupont de Ligonnès, à Nantes.

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AFP

En Tunisie, le juriste donné gagnant sur l’homme d’affaires. Dimanche, selon la chaîne publique Wataniya, le constitutionnaliste Kais Saied avait remporté la présidentielle tunisienne face à l’homme d’affaires Nabil Karoui.

Les Républicains choisissent Christian Jacob comme président. Le chef de file des députés LR, Christian Jacob, a été élu dimanche avec 62,58 % des voix président d’un parti « à réconcilier et à rebâtir ».

Retrouvez « La Grande Matinale des territoires », présentée par cyril Viguier, en partenariat avec 20 Minutes, du lundi au vendredi de 7 h à 9 h, en sélectionnant les chaînes du réseau Vià sur le canal 30 des box ou sur le canal 34 de la tNt en ile-de-France.

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6Lundi 14 octobre 2019ActuALité

Enfants « 20 Minutes » a passé deux jours au sein de la brigade de protection des mineurs.* Un groupe y traque les délinquants sur Internet

« Vous ne vous rendez pas compte à quel point les images auxquelles est confronté le groupe Internet peuvent être sordides. » Vianney Dyevre, le chef de la brigade de protection des mineurs (BPM), avait raison : on avait beau s’être

préparé au pire, on ne pouvait pas ima-giner. Qu’un étudiant puisse se filmer en mode selfie, avachi sur son lit, en train de disserter sur la manière dont il préfère violer les enfants avant de pas-ser à l’acte avec un nourrisson. Qu’une mère étrangle son bébé jusqu’à ce que

ce dernier convulse pour extorquer de l’argent à sa belle-famille.Assise derrière son écran, Lydie, la res-ponsable du groupe Internet de la bri-gade, créé en 2004, scrute une carte de France sur laquelle s’affichent une centaine de balises : chacune corres-pond à l’adresse IP d’une personne en train d’échanger du contenu pédopor-nographique. Tous les fichiers connus possèdent en effet une signature numé-rique répertoriée dans une base de don-nées internationale qui permet de les

détecter au moindre téléchargement. « On ne peut pas enquêter sur tout le monde, on n’a pas les effectifs pour, pré-cise Gaël, son adjoint. On est obligés de cibler les plus gros consommateurs ou ceux qui téléchargent des fichiers par-ticulièrement violents. »Depuis 2015 et l’essor des réseaux so-ciaux, les sept fonctionnaires du groupe Internet doivent aussi faire face à un nouveau type de délinquants sexuels, qui utilisent les plateformes comme Facebook, Instagram ou Snapchat pour approcher leurs victimes. Certains s’en servent pour rencontrer les ados et les agresser, d’autres restent tapis derrière leurs écrans. « Mais les conséquences pour les victimes sont parfois similaires à celles d’un viol », insiste Lydie. Ce fut le cas pour les cibles de cet homme, in-terpellé il y a quelques mois au terme d’une enquête menée en coopération avec le Canada. Derrière un faux profil de mannequin de 14 ans, il poussait des jeunes filles à se dévêtir, puis les faisait chanter pour leur demander des clichés pornographiques, de plus en plus ex-trêmes, voire zoophiles.« Comment faites-vous pour supporter cela ? » C’est la question qui revient sys-tématiquement lorsque les policiers du groupe Internet évoquent leur métier.

Tous ont des enfants ou sont en passe d’en avoir. C’est même, selon la chef, un point essentiel dans le recrutement. « Ce qu’on recherche, ce sont des gens qui ont une vie sociale riche en dehors du boulot, il faut qu’ils puissent couper en rentrant chez eux le soir. » Pour en-trer dans le service, tous les postulants viennent passer quinze jours de test. Ils trient les photos, montent des dos-siers. Une manière notamment de voir s’ils supporteront les images auxquelles ils seront confrontés quotidiennement. Si le bureau de la psychologue du service fait face aux leurs, et sa porte grande ou-verte, aucun suivi spécifique n’est mis en place. Leur thérapie, ces policiers la font tous les matins, en buvant un café assis sur le canapé installé dans le service, ils parlent de tout et de rien, de leurs ga-mins, du suivi des affaires... « Parfois, on fait de l’humour noir, c’est une ma-nière de se protéger », sourit Franck.Même si le groupe Internet est l’un de ceux dans lequel le turnover est le plus

faible, tous le reconnaissent, la matière sur laquelle ils travaillent a fait naître chez eux une certaine méfiance. « On a une vision déformée de la réalité », concède Gaël. Difficile, par exemple, de faire confiance à un baby-sitter homme. Pour autant, aucun des membres du groupe Internet ne se voit changer de service. « C’est ici que je me sens le plus utile, car on sauve des gamins, on ar-rête des pédophiles », résume Lydie. Caroline Politi* Les autres reportages seront publiés cette semaine sur 20 Minutes.

Chaque jour, des images de violences

Les postulants passent quinze jours de test avant d’entrer dans le service.

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Les réseaux sociaux, un récent terrain de chasse pour les prédateurs sexuels.

Près de 800 djihadistes s’échappent d’un camp syrien. La France est « inquiète » après que près de 800 proches de djihadistes étrangers se sont enfuis d’un camp en Syrie. Paris appelle une nouvelle fois la Turquie à « terminer au plus vite son intervention » contre les Kurdes, a indiqué dimanche sur France 3 la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye.

Pas de danger pour le littoral corse après l’échouement d’un cargo. L’accident n’avait pas entraîné, dimanche soir, de pollution. Le Rhodanus, cargo transportant 2 600 t de bobines d’acier et battant pavillon d’Antigua-et-Barbuda (Antilles), s’est échoué dans la nuit de samedi à dimanche en plein cœur de la réserve naturelle des Bouches de Bonifacio, en Corse.

« C’est ici que je me sens le plus utile, car on sauve des gamins, on arrête des pédophiles. »

Lydie, chef du groupe

Suivez-noussur Snapchat !

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8Lundi 14 octobre 2019Dix News

2 Les poissons-serpents n’ont pas que des amis

« Quand je l’ai vu, il était en train de se cogner contre la souche d’un arbre. Je pouvais l’entendre inspirer une gor-gée d’air. » Le témoignage d’un pê-cheur de Géorgie, aux Etats-Unis, a de quoi donner des cauchemars. Poisson d’eau douce originaire d’Asie, la tête-de-serpent, ou du genre Channidae, a la capacité de respirer sur la terre, de ramper et de manger de petits ani-maux. Lorsque cette espèce invasive est apparue en Géorgie cette semaine, les autorités ont déclaré à la popula-tion qu’en cas de contact il fallait tuer immédiatement l’animal.

3 La bête noire de Blake et Mortimer s’évade

Le sinistre colonel Olrik, l’aventurier cruel et sans scrupule de « Blake et Mortimer », s’est échappé de la célèbre bande dessinée. En effet, il fait l’ob-jet d’une « biographie non autorisée » signée par l’ex-ministre français des Affaires étrangères Hubert Védrine et son fils Laurent. On y trouve notam-ment un dialogue entre Olrik et son créateur, Edgar P. Jacobs.

4 Douze verres de vin pour une coupe

Les yeux grands ouverts, les papilles aiguisées, le nez affûté, les Français sont devenus samedi, à Chambord (Loir-et-Cher), champions du monde de dégustation de vin à l’aveugle, de-vant une équipe chinoise et une de Taïwan. Vingt-sept équipes étaient ve-nues identifier 12 vins du monde en-tier. Cette compétition organisée par la Revue des vins de France s’est dé-roulée dans une salle du célèbre châ-teau de la Loire.

5 Après la coupe au bol, la coupe au sabre

Faire vibrer ses cheveux pour les rendre plus beaux et se sentir mieux, tout ça grâce à un petit sabre japonais, très tranchant. C’est ce que propose la coiffure énergétique, qui a été pré-sentée ce week-end aux 20 000 visi-teurs du salon Zen & Bio de Nantes. Cette technique vise à « libérer les cheveux des toxines et des retenues d’énergie ». Comptez 90 € pour une séance d’une heure et demie. De plus en plus de coiffeurs seraient adeptes de la méthode.

6 L’air cuisine ne restera pas sur l’estomac

Le premier championnat du monde d’air cuisine est annoncé le 10 no-vembre à Saint-Witz, dans le Val- d’Oise. Le principe : réaliser des plats virtuels, en mimant les gestes de la cuisine. Devant un « air public » ?

7 Le grain de sable était un lampadaire

Un parachutiste a percuté un lam-padaire, samedi, lors du défilé mi-litaire de la fête nationale à Madrid, alors qu’il devait normalement atter-rir devant le roi et apporter le drapeau espagnol. Le parachutiste est resté suspendu un moment au lampadaire, sous les yeux du roi Felipe VI, de son épouse, Letizia et de leurs filles, qui l’ont applaudi en signe de soutien. Le militaire n’a pas été blessé.

8 Session de rattrapage pour le ministre

Le ministre conservateur polonais de la Culture a félicité sa compatriote Olga Tokarczuk, qui vient de recevoir le prix Nobel de littérature. En parlant de ses livres, il avait pourtant déclaré : « J’ai tenté mais je n’ai jamais réussi à en terminer un. » Des propos qu’il a depuis semblé regretter, sur Twitter.

9 Nos internautes ont du talent

Son championnat, ce n’est pas du vent Samedi, le Palais des congrès de Liège, en Belgique, accueille le « pre-mier championnat mondial de caisse du siècle ». Sur la page Facebook de l’événement, des milliers de per-sonnes se sont inscrites. Fondateur de la « Fédération du pet », Marc, un infirmier de 46 ans, organise le cham-pionnat. « Avec des amis, on s’éton-nait que certaines manifestations lou-foques puissent rencontrer du succès, se rappelle-t-il. Il y avait eu ce festival de la doudoune à Liège en plein été,

par exemple. Bien sûr que c’était une grosse blague, au départ, le champion-nat de pet, et pourtant, ça a marché. »Au contraire de l’instigateur du festi-val de la doudoune, Marc ira jusqu’au bout : « Je m’attends à voir davantage de spectateurs curieux que de par-ticipants », concède-t-il. Prévoyant, Marc a noué un partenariat avec un supermarché local qui propose une réduction sur les boîtes de cas-soulet la veille de l’événement. Mikael Libert Les coussins péteurs seront-ils interdits à l’entrée ?

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Vos photos ne seront destinées qu’à cette rubrique. Pour en savoir plus sur la gestion de vos données : https://www.20minutes.fr/politique-protection-donnees-personnelles

Dans une rue de Toulouse.

« Trump a trahi et assassiné le peuple kurde. » La vidéo d’une banderole qui aurait été déployée sur la tour d’un hôtel Trump à Las Vegas a été vue plus de trois mil-lions de fois sur Twitter de-puis mercredi. Le logo de Greenpeace est visible au bas de la bannière. La branche américaine de l’ONG a démenti avoir posé une telle banderole. « Il s’agit d’une anima-tion générée par ordinateur et non pas créée par Greenpeace », a-t-elle indiqué sur Twitter. L’internaute qui a posté la vidéo a expliqué auprès de l’AFP avoir filmé la vidéo originale puis l’avoir modifiée pour y ajouter la ban-nière. La fausse banderole fait réfé-rence à l’offensive turque en Syrie, qui

a débuté mercredi, dans un territoire où se trouvent des Kurdes. Donald

Trump avait semblé laisser le champ libre aux Turcs en évacuant des soldats amé-ricains de la zone. Lundi, il

a fait marche arrière, menaçant la Turquie de représailles économiques si celle-ci entamait une offensive.Si des internautes ont pu être trompés par cette vidéo, c’est probablement en raison de son lien avec l’actualité et parce qu’elle s’inspire d’une méthode d’action déjà utilisée par Greenpeace. En 2017, des militants avaient déployé un drapeau géant devant une tour Trump à Chicago. Mathilde Cousin20 Minutes lutte contre les fake news. Un doute ? Ecrivez à fakeoff@20minutes.fr

Non, une banderole n’a pas été déployée sur une tour Trump10

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Le salaire c’est tousles mois, et sans faute

Tous les mois, c’est tous les mois. L’article L3242-1 du Code du travail est très clair : « La rémunération des sa-lariés est mensuelle et indépendante, pour un horaire de travail effectif dé-terminé, du nombre de jours travail-lés dans le mois. Le paiement men-suel neutralise les conséquences de la répartition inégale des jours entre les douze mois de l’année. » Marine Sonnerat, juriste aux éditions Tissot, l’explique : « En pratique, le salarié perçoit tous les mois la même rému-nération de base, qu’il s’agisse du mois de février qui ne comporte que 28 ou 29 jours, ou d’un mois en comportant 31. » Ici, pas de dérogation possible. « L’employeur ne peut pas faire va-rier cette date du versement d’un mois sur l’autre selon son bon vouloir. » Ce principe s’applique à tous les types de contrats (CDI, CDD, temps partiels), « sauf aux salariés quand ils sont à domicile, saisonniers, intermittents ou temporaires ».

Tu ne peux plus rouler ?L’atelier vient à toi

Ils n’étaient que 2 % à prendre le vélo pour aller travailler en 2017 d’après l’Insee. Mais à l’heure où la mobilité verte est un sujet prégnant, Johan Guillotin a lui fait le pari du deux-roues. L’entrepreneur s’est lancé en 2018 dans la réparation de vélos... à domicile. Pour cela, il a investi 12 000 € dans un bipor-teur électrique, équipé d’une caisse de 300 litres pour transporter son maté-riel de réparation. Grâce à son « Atelier qui roule », Johan a le loisir de s’ins-taller où il le souhaite et transforme le moindre coin de trottoir en atelier de réparation. Aujourd’hui, il est possible de le croiser dans l’Ouest parisien, il se déplace pour des réparations quatre ou cinq fois par jour, pour des particuliers et des entreprises. Johan n’est pas seul, Ridy ou Help my bike ont fait de même en région parisienne, et d’autres pro-jets fleurissent en France.

Quand la musique est bonne... pour le travail

Travailler en musique serait bénéfique pour la concentration. C’est la convic-tion de l’Organisation musique et en-treprise (OME), qui a lancé un proto-cole de recherche pour en apporter des preuves scientifiques concrètes. Pratiquer la musique en entreprise, comme la chorale ou le chant, permet-trait même d’affirmer l‘esprit créa-tif, le collectif et la cohésion d’équipe, d’après l’OME. Il ne reste plus qu’à s’entraîner sous la douche le matin pour montrer ses talents à ses col-lègues de travail l’après-midi...

Les bons comptes font les bons lundis7La probabilité de se faire reprocher ses horaires de travail par ses proches est 20 % plus élevée pour les femmes que pour les hommes, d’après la Dares.

LA SEMAINE en partenariat avec10

Lundi 14 octobre 2019

L’échec, première étape vers la réussite ?Cette semaine, pas de « fail ». Et si l’échec n’était qu’une étape que l’on devait réussir dans notre carrière ? C’est en tout cas une façon d’appré-hender les ratés assez répandue dans les pays anglo-saxons. Depuis quelques années, le sujet alimente des livres, pod-casts, discours ou Ted Talks. La « fai-lure story » connaît aussi le succès chez les scientifiques, comme le montre une étude publiée le 1er octobre par les

Instituts américains de la santé (NIH). Cette étude a duré entre 1990 et 2005 et montre qu’un échec précoce ne retarde pas forcément la réussite profession-nelle et augmente même dans certains cas les chances de réussite. Car, pour le NIH, l’échec apprend à être minutieux et plus attentif. Les travaux de scienti-fiques ayant subi un raté sont d’après eux plus sérieux que ceux de personnes ayant toujours connu le succès.

Dur-dur d’aider un proche et de travailler

Plus d’un Français sur dix soutient au quotidien un parent. 66 % des aidants considèrent que cela a un impact sur leur efficacité au travail, d’après une étude de la plateforme d’aide à domi-cile Yoopies. 35 % estiment que cela a eu une incidence négative sur leur évolution professionnelle.

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12Lundi 14 octobre 2019CuLture

Jeux vidéo « Borderlands 3 » propose un retour aux sources de la franchise de tir

Le moment de se lâcher est venu. Certains jeux vidéo procurent un effet défouloir, presque cathartique, comme frapper de toutes ses forces dans un sac de boxe ou crier un bon coup. Cela remonte à peu près à « Wolfenstein » et « Doom » dans les années 1990, et au plaisir de dézinguer du nazi ou du monstre. Les jeux de tir à la première

et à la troisième personne se sont de-puis multipliés, diversifiés, enrichis, mais des licences ont continué à éle-ver le fun et foutraque au rang d’art. C’est « Duke Nukem » à la « bonne

époque », et aujourd’hui « Saints Row », « Devil May Cry », « Rage », un « Far Cry » par-ci, un « Just Cause » par-là, et donc « Borderlands », dont le troisième volet est sorti en septembre sur PC, PS4 et Xbox One.Dix ans après le premier jeu, avec entre-temps une suite, un « Pre-Sequel », une aventure dévelop-pée par le studio américain Telltale

Games, des compils et du VR (réalité virtuelle), la franchise propose un re-tour aux sources et un joyeux bazar. Le joueur incarne toujours un Chasseur de l’Arche, une mystérieuse et puis-sante technologie extraterrestre, sur la planète Pandora.Voilà pour le pitch express, car il s’agit surtout de passer son temps à ramas-ser le plus d’armes possible et à tirer

sur tout ce qui bouge, avec en ligne de mire des jumeaux, influenceurs stars du Net et leaders d’une secte ultra-violente. Rien de plus normal dans « Borderlands », pays de fous furieux et fluo, sorte de « Mad Max » des bacs à sable de l’espace. Le jeu prend d’ail-leurs un malin plaisir à faire revenir tous les personnages des épisodes pré-cédents – et toujours le robot multi-fonction Claptrap, bien sûr. Plus on est de fous, plus on rit ?

Arsenal dantesquePlus on rit jaune, oui. « Borderlands 2 » constituait une amélioration par rap-port au premier niveau d’écriture, mais cette nouvelle itération enchaîne tant les mauvaises blagues sous la ceinture qu’elle finit par se prendre les pieds dedans. Heureusement, le jeu se rat-trape par un arsenal dantesque, avec un nombre et une variété d’armes im-pressionnantes. De quoi se jeter dans des combats jovialement bordéliques. Un bordel organisé, car « Borderlands » n’est pas un simple jeu de tir, il intègre des éléments de RPG, de hack’n’slash (« hacher et trancher ») et de coopé-ration, pour une expérience intense mais exigeante. Vincent Julé

Un joyeux foutoir en guise de défouloir

Dix ans après le premier volet, le joueur incarne encore un Chasseur de l’Arche.M

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Le jeu prend un malin plaisir à faire revenir les personnages des épisodes précédents.

L’acteur Robert Forster est mortCinéma Le comédien amé-ricain Robert Forster (photo) est dé-cédé vendredi, à l’âge de 78 ans, des

suites d’un cancer du cerveau. Depuis sa première appa-rition sur le grand écran en 1967 dans Reflets dans un œil d’or de John Huston, l’acteur a construit une filmographie

large et variée, tournant aussi bien pour Walter Hill (Supernova) et les frères Farrelly (Fous d’Irène) que sous

la direction de Gus Van Sant (Psycho) ou David Lynch (Mulholland Drive).L’une de ses prestations les plus mé-morables reste son incarnation de Max Cherry dans Jackie Brown de Quentin Tarantino, qui lui a valu d’être nommé à l’oscar du meilleur second rôle mascu-lin en 1998. Robert Forster était aussi fa-milier du public pour ses performances sur le petit écran. Il était notamment apparu dans un épisode de « Breaking Bad » en 2013 pour un rôle qu’il a repris dans El Camino, le film dérivé de la série et mis en ligne samedi sur Netflix, au lendemain de sa mort. F.R.

Rex rempile sur le petit écran. Le chien policier Rex va bientôt revenir en France dans une version produite au Canada, a annoncé dimanche l’un de ses producteurs avant l’ouverture du Mipcom, le marché international de la télé de Cannes. La 19e saison, « Hudson & Rex », dont les droits ont été achetés par France Télévisions, se déplace dans l’île canadienne de Terre-Neuve.

La série française « Philharmonia » vendue aux Etats-Unis. La saison 1 de la série made in France « Philharmonia » a été achetée par First Look Media’s Topic, qui la distribuera sur les plateformes de vidéos à la demande aux Etats-Unis, a révélé Variety dimanche. Par ailleurs, la société Walter Presents a acquis la série, diffusée sur France 2 en début d’année, pour l’exploiter au Royaume-Uni et en Australie.

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14Lundi 14 octobre 2019SérieS

VOTre SOirée TéLé

20 h 55 CIELSANS ÉTOILES Comédie dramatique. 1955. Allemagne.De Helmut Käutner. 22 h 40 SONNENALLEE Comédie. 1999. Allemagne.

COUP DE FOUDREEN ANDALOUSIEAvec Agustin Galiana, Maud Baecker.Deux épisodesA l’occasion du mariage de sa sœur, Claire débarque en Andalousie et rencontre Alvàro, son futur beau-frère. 23 h 15 NEW YORK, UNITÉ SPÉCIALEAvec Tamara Tunie.« Carte sur table ».

21 h 05 RAMBO III Action. 1988. Etats-Unis. De Peter MacDonald, avec Sylvester Stallone. 23 h 10 RAMBO II, LA MISSIONAction. 1985. Etats-Unis.

THE VICTIMAvec Kelly Macdonald.Deux épisodes.Craig se sent rejeté par sa femme qui se sépare de lui et part avec leur fille. Solomon demande à Anna d’affirmer qu’elle ne souhaitait pas la mort de Craig. 23 h 05 BASIQUELE CONCERTConcert.« Vanessa Paradis ».

21 h 05 LES REINES DU RINGComédie. 2012. France. Avec Nathalie Baye. 22 h 50 RELOOKING EXTRÊME, SPÉCIAL OBÉSITÉ

FAUT PAS RÊVEREN PROVENCE« Les amoureuxdu Ventoux ».Le mont Ventoux, du haut de ses 1 909 m, accueille Carolina de Salvo sur ses pentes abruptes et dans les villages environnants.23 h LA FRANCE EN VRAIÀ chaque région,ses documentaires.

CHIMERICAAvec Alessandro Nivola.« Kodak ergo sum ».En 1989, à Pékin, le photo-journaliste américain L. Bergerfait partie des reporters occidentaux. Il immortalisel’homme seul, dressé devantla colonne de chars.

21 h 15 KIDNAP Thriller. 2017. Etats-Unis. De Luis Prieto, avec Halle Berry.23 h BONE COLLECTOR Thriller. 1999. Etats-Unis. De Phillip Noyce.

23 h 05 BLADE RUNNER2049Science-fiction. 2017.Etats-Unis.

21 h 05 APPELSD’URGENCE« Pompiers des Yvelines :missions chocs et quartiers chics ».23 h 15 APPELSD’URGENCE

MAX ET LES FERRAILLEURSDrame. 1971. France. De Claude Sautet, avec François Périer. Max, officier de police, prend son métier très au sérieux et ne pense qu’à arrêter les malfaiteurs en flagrant délit. 22 h 40 C DANS L’AIR Magazine.Présenté par Caroline Roux.

21 h 05 CRIMES EN AUVERGNE -RHÔNES-ALPESTrois reportages.23 h CRIMES« Terreur en Franche-Comté ».

FRANCE-TURQUIEQualifications pourl’Euro 2020. Commentépar Jean-Marc Ferreri et Denis Balbir.Trois jours après son matchen Islande, l'équipe deFrance rencontre la Turquie,au Stade de France.23 h 25 RECHERCHE APPARTEMENTOU MAISONMagazine.

21 h 05 Téléfilm

COUP DE FOUDREEN ANDALOUSIEAvec Agustin Galiana, Maud Baecker.Deux épisodesA l’occasion du mariage de sa sœur, Claire débarque en Andalousie et rencontre Alvàro, son futur beau-frère.

21 h 05 Série

THE VICTIMAvec Kelly Macdonald.Deux épisodes.Craig se sent rejeté par sa femme qui se sépare de lui et part avec leur fille. Solomon demande à Anna d’affirmer qu’elle ne souhaitait pas la mort de Craig.

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FAUT PAS RÊVEREN PROVENCE« Les amoureuxdu Ventoux ».Le mont Ventoux, du haut de ses 1 909 m, accueille Carolina de Salvo sur ses pentes abruptes et dans les villages environnants.

CHIMERICAAvec Alessandro Nivola.« Kodak ergo sum ».En 1989, à Pékin, le photo-journaliste américain L. Bergerfait partie des reporters occidentaux. Il immortalisel’homme seul, dressé devantla colonne de chars.

21 h Série 20 h 50 Film

MAX ET LES FERRAILLEURSDrame. 1971. France. De Claude Sautet, avec François Périer. Max, officier de police, prend son métier très au sérieux et ne pense qu’à arrêter les malfaiteurs en flagrant délit.

20 h 35 Football

FRANCE-TURQUIEQualifications pourl’Euro 2020. Commentépar Jean-Marc Ferreri et Denis Balbir.Trois jours après son matchen Islande, l'équipe deFrance rencontre la Turquie,au Stade de France.

aime « Populaire » sur Chérie 25, une comédie au charme vintage sur un concours de dactylos

Une enquête journalistique captivante entre la Chine et l’Amérique. La mi-nisérie « Chimerica » (contraction de « China » et « America »), dont la dif-fusion commence ce lundi sur Canal+ à 21 h, met en perspective la fabrique et le contrôle de l’information, rouage essentiel de la démocratie. Un thril-ler géopolitique en quête de vérité à l’ère des fake news.« Cette histoire se fonde sur un contexte d’événements réels, mais il s’agit d’une histoire fictive », explique à 20 Minutes Lucy Kirkwood, créatrice et scéna-riste britannique de la minisérie. « Chimerica » commence le 5 juin 1989, lorsque le photojournaliste américain Lee Berger (Alessandro Nivola) immor-talise un homme se dressant seul face à une colonne de chars sur la place Tian’anmen, alors que des milliers de Chinois manifestent contre la corruption

du régime communiste. « J’ai été très inspirée par cette photo, souligne la scénariste. C’est le point de départ de l’histoire. Il y a un mystère au cœur de ce cliché, parce que cet homme nous tourne le dos. Cette image est l’une des plus célèbres du xxe siècle, pourtant per-sonne ne sait qui il est. »

« Un journaliste en détresse »Plus tard, en 2016, Lee Berger est un reporter de guerre confirmé, qui, mal-gré sa solide réputation, peine à pla-cer ses clichés du conflit syrien dans les colonnes des grands quotidiens américains, avides d’images specta-culaires. Il truque l’une de ses photos et se fait épingler par un site. « Le fait de modifier ce cliché est répréhen-sible du point de vue déontologique, mais j’espère que nous avons de l’em-pathie pour ce qu’il fait, analyse Lucy

Kirkwood. Parce qu’il le fait pour de bonnes raisons, parce qu’il a été dans une zone de guerre pas glamour et qu’il ne veut pas voir ces atrocités re-léguées en page 12. »« C’est juste un journaliste en détresse, qui n’a pas été digne de confiance, poursuit la scénariste. Les autres jour-nalistes condamnent ce qu’il a fait, parce qu’il a violé les codes de la pro-fession qu’ils s’efforcent de mainte-nir. Et c’est plus que jamais impor-tant de montrer qu’ils les maintiennent avec toute cette attention non désirée qu’ils reçoivent de Trump. » Alors que son intégrité journalistique est remise en question, il tente de retrouver sa

crédibilité en partant à la recherche du modèle de sa photo la plus ico-nique : l’homme de Tian’anmen. « Le “Tank Man” représente une façon de s’accrocher à quelque chose de son passé, à ce grand moment qu’il a capté à l’origine, mais aussi une sorte de quête de la vérité à laquelle il peut s’accrocher », commente le produc-teur Adrian Sturges.En plaçant la focale autant du côté chinois qu’américain, « Chimerica » montre l’état chaotique d’une profes-sion dénigrée à l’heure de la course au clic et rappelle l’importance de sa mis-sion dans un pays où la liberté de la presse est menacée. Anne Demoulin

Au-delà de la mise au point Géopolitique « Chimerica », diffusée ce lundi dès 21 h sur Canal+, évoque la fabrique de l’information en Chine et aux Etats-Unis

Alessandro Nivola interprète le photojournaliste américain Lee Berger.

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15Lundi 14 octobre 2019Pause

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SudokuEn partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière que chaque ligne, chaque colonne et chaque carré de 3 par 3 contienne une seule fois tous les chiffres de 1 à 9.

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solution du sudoku n°3994

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sOLuTION De La

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HoroscopeBélier du 21 mars au 20 avrilUne rencontre avec quelqu’un d’affectueux change votre vie. Rien ne peut vous empêcher d’avancer.

Taureau du 21 avril au 21 maiGare à ne pas manquer de tact avec vos proches en ce moment. Au travail, vous devez jouer des coudes.

Gémeaux du 22 mai au 21 juinUne journée calme s’annonce auprès de l’être aimé. Sur le plan financier, pensez à économiser.

Cancer du 22 juin au 22 juilletVotre conjoint est pris par son travail et vous délaisse. Courage, cette situation n’est que passagère.

Lion du 23 juillet au 23 aoûtLes relations amicales sont favorisées par les astres. Vous savez organiser votre travail d’une main de maître.

Vierge du 24 août au 23 septembreIl vous faut des trésors de diplomatie pour préserver votre intimité. Une rentrée d’argent pourrait survenir.

Balance du 24 sept. au 23 octobreLes malentendus vont disparaître. Gare à la confiance accordée trop vite, surtout dans le domaine financier.

Scorpion du 24 oct. au 22 nov.Mettez donc de l’ordre dans vos papiers. Il est encore temps de rattraper le retard accumulé.

Sagittaire du 23 nov. au 21 déc.Vous n’avez pas envie de voir de gens. Le milieu professionnel est à l’honneur et profite d’un bon climat.

Capricorne du 22 déc. au 20 janv.Votre conjoint tient une place de choix dans votre cœur. Pensez à le lui prouver de temps en temps.

Verseau du 21 janv. au 18 févrierAu travail, vous dressez un bilan en prenant du recul avec vos associés.

Poissons du 19 février au 20 marsIl faut vous concentrer et être patient si vous voulez être efficace. Attention à ne pas faire de mauvais choix.

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16Lundi 14 octobre 2019SportS

Rugby Critiquée par la presse, la France est revancharde avant les quarts de finale

Retour à la normale pour le XV de France, après un week-end perturbé par le typhon Hagibis, qui a provoqué l’annulation du match face à l’Angle-terre. Retour à la normale pour les journalistes, aussi. Terrain bâché, bâ-timent préfabriqué, wifi hasardeux… La presse a l’habitude d’être contrôlée, mais la vexation est proche. A croire que Jacques Brunel et ses hommes détestent réellement les médias. Le

sélectionneur a juré le contraire, en conférence de presse : « Il n’y a aucun blocage par rapport aux médias, aucun problème. Chacun fait son métier et on accepte la critique. »

Sauf que cela ne colle pas avec des mots que Brunel a eus un peu plus tôt quant à sa satisfaction de voir son équipe se qualifier pour les quarts (lire l’encadré) : « Ce n’est pas une revanche, c’est un constat. Si je vous ai bien lus, pas grand monde ne nous voyait battre l’Argen-tine et sortir de la poule. On est là. » La récurrence du discours est frap-pante. Absolument tous les membres des Bleus à qui on a parlé après le suc-cès contre les Tonga nous l’ont dit : « Personne ne nous voyait en quarts

et on y est. » Si ce n’est pas une re-vanche, c’est au moins une très belle imitation de la chose.Mais les mensonges, très peu pour Charles Ollivon : « Inconsciemment, pour être honnête, peut-être qu’il y a eu de ça [un sentiment de revanche]. Nous, dans notre travail, quand on nous tape dessus, c’est jouissif de pouvoir répondre pour montrer notre valeur. » De Camille Lopez, on apprend que le scepticisme initial autour des Bleus peut même s’étendre jusqu’au cercle

d’amis. « Quand la poule est tombée, j’ai des potes à moi qui, à ce moment, dou-taient et avaient la légitimité de douter de nous, explique l’ouvreur clermontois. En même temps, quand vous voyez le Tournoi des VI Nations qu’on avait fait, on n’allait pas dire qu’on était meilleurs que les Anglais et que les Argentins. »La revanche sobre, aussi, pour Charles Ollivon. Le troisième ligne toulonnais se garde de fanfaronner, car une sor-tie par la petite porte en quarts de fi-nale face aux Gallois, avec une valise comme cadeau de retour à la maison, pourrait tout foutre en l’air : « On ne peut pas s’envoyer des fleurs parce qu’on a gagné ces matchs-là [Argentine, Tonga et Etats-Unis]. Mais il faut aussi être conscient du positif. On a gagné, et c’est déjà bien. » De notre envoyé spécial au Japon, William Pereira

Les Bleus nous passent le bonjour

Serin (en haut) et Vakatawa radieux lors de la victoire face aux tonga.

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« C’est jouissif de pouvoir répondre pour montrer notre valeur. »

Charles Ollivon

Un bond historique pour le JaponEnfin ! Quatre ans après avoir man-qué le coche d’un rien, le Japon s’est qualifié pour la première fois de son histoire pour les quarts de finale de la Coupe du monde, qui plus est à domi-cile. Dimanche, au terme d’un match spectaculaire, les Brave Blossoms ont battu l’Ecosse (28-21) et se sont même assuré la première place de leur poule, devant l’Irlande. Au coup de sifflet final, les joueurs nip-pons ont explosé de joie, communiant avec la très grande majorité du stade de Yokohama, garni comme un œuf (72 000 places) aux couleurs rouge et

blanc, deux heures après avoir observé une émouvante minute de silence en hommage aux 26 personnes [bilan en-core provisoire] décédées après le pas-sage du typhon Hagibis. « C’est super pour le rugby japonais, le rugby asia-tique et le rugby du “Tier 2” [deuxième groupe mondial selon la classification de la Fédération internationale], s’est réjoui le capitaine japonais, Michael Leitch. Je ne sais pas si nous irons plus loin, mais nous n’affronterons pas l’Afrique du Sud [en quarts] pour faire un bon match et perdre, mais pour gagner. »

Neymar sort blessé avec le Brésil. Le meneur de jeu du PSG a dû laisser sa place au bout de dix minutes de jeu, lors du match amical entre le Brésil et le Nigeria, dimanche. Neymar est sorti en grimaçant à cause d’une douleur à la cuisse.

Daniil Medvedev impérial en Chine. Dimanche, à Shanghai, le Russe de 23 ans a remporté son deuxième

Masters 1000 d’affilée, après Cincinnati, en battant l’Allemand Alexander Zverev (6-4, 6-1).

Simone Biles seule au monde. Avec un 19e sacre et une 25e médaille mondiale, la gymnaste américaine s’est emparée seule du record jusqu’alors détenu par Vitaly Scherbo (23). Aux Mondiaux de Stuttgart, dimanche, Biles a survolé les finales de la poutre et du sol.

Au programme des quartsDeuxième de sa poule, la France affrontera les Gallois, dimanche (9 h 15). Il y aura deux chocs samedi : Nouvelle-Zélande-Irlande et Angleterre-Australie. Le dernier quart sera Japon-Afrique du Sud.

moijeune.comSource : étude #moijeuneVague 46, décembre 2017,811 répondants 18-30 ans

51% des jeunes 18-30 ansregardent des sériestous les jours ou presque

17Lundi 14 octobre 2019SportS

C’est un match pour entériner la qua-lification pour l’Euro 2020 et effacer, aussi, la performance désastreuse de l’aller (2-0), il y a quatre mois. Mais alors queles Français veulent montrer qu’on ne peut pas leur marcher dessus im-punément, il va falloir se montrer in-telligent dans la manière de le faire. Histoire de ne pas attiser plus qu’il ne faut les braises sur lesquelles repose ce France-Turquie, ce lundi, disputé dans un contexte géopolitique tendu.Le déclenchement par le président turc, Recep Tayyip Erdogan, d’une of-fensive contre les Kurdes de Syrie, fer-mement condamnée par de nombreux chefs d’Etat dont Emmanuel Macron, a alourdi le climat autour de cette ren-contre. D’autant qu’on annonce entre 30 000 et 40 000 supporters turcs, venus d’Allemagne et des autres pays limi-trophes, dans les tribunes du Stade

de France. Leur mécontentement en-vers la politique internationale fran-çaise pourrait s’entendre très fort au moment de La Marseillaise, déjà sifflée en juin à Konya.

Ce serait là un moindre mal. La menace de débordements autour de ce match, réelle, a incité la préfecture de police de Paris à le classer à haut risque. Quelque 600 policiers seront mobili-sés aux abords du stade, deux fois plus que d’habitude. Les effectifs des sta-diers seront également renforcés, et le

speaker du stade sera accompagné par un représentant de la délégation turque, au cas où. « On n’aborde pas ce match de la manière la plus sereine, reconnaît Fabien Bonnel, le capo du groupe de supporters des Irrésistibles Français. On craint un peu les débordements. J’ai hâte que ce match soit passé. »Interrogé sur ce contexte, dimanche, le sélectionneur français, Didier Deschamps, n’a pas souhaité s’étendre : «Je ne veux pas rentrer là-dedans. Ce qui m’intéresse, c’est uniquement le match et ce qui se passera sur le ter-rain. » Plus tard, son homologue turc, Senol Günes, ne s’est pas embarrassé du principe de non-ingérence. Comme

ses joueurs, qui ont marqué leur soutien aux soldats en effectuant un salut mili-taire lorsqu’ils ont marqué le but victo-rieux contre l’Albanie vendredi, Günes a défendu l’opération menée par son pays. Avant de préciser que tout ceci ne pouvait servir d’excuse à des dé-bordements :« Je veux m’adresser aux supporters turcs, et même aux autres : s’ils viennent voir ce match, c’est pour le plaisir de voir du foot (…), car le foot c’est la paix, la fraternité. Je veux que tout le monde se rappelle de ces prin-cipes. Quel que soit le résultat, j’es-père que les deux équipes se félicite-ront à la fin, sur le terrain et dans les tribunes. » Nicolas Camus

Un stade à ne pas franchirFootball Des menaces de débordements planent sur le match France-Turquie, ce lundi, dans un contexte géopolitique compliqué

Le salut militaire des joueurs turcs après leur victoire face à l’Albanie.

AP /

Sipa

« On n’aborde pas ce match de la manière la plus sereine. »

Fabien Bonnel, capo des Irrésistibles Français

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