L’expert Comptable · 2017-09-25 · Nous devons en relever les enjeux si nous voulons en saisir...

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CAP sur le

numérique !

L’expert Comptable digital

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Cap sur le numérique !

Parce que la révolution numérique est en marche, l’Ordre des Experts Comptables de la région d’Orléans a décidé d’organiser son Assemblée Générale des 20 et 21 septembre 2017 sur le sujet et plus précisément sur

la transition numérique des Cabinets d’Expertise Comptable.La digitalisation de l’économie impacte les entreprises. Elle nécessite de repenser l’organisation, d’ajuster les pro-cessus de production, d’enrichir les systèmes d’information, de réinventer le mode de management, d’adapter le marketing à l’attente du client...Parce que les Experts Comptables accompagnent leurs clients au quotidien et qu’ils ont toute leur confiance, ils sont les partenaires privilégiés pour piloter cette mutation stratégique.La digitalisation de l’économie et de la société bouleverse les usages, les comportements et les modèles des entreprises.Les organisations doivent s’adapter à un environnement en constante évolution, construit à la fois sur l’innovation et l’automatisation des taches à faible valeur ajoutée.Elles doivent donc réexaminer leurs processus de produc-tion, leur organisation, leur mode de management, leur mar-keting et surtout, leur stratégie. Les professions de service et les métiers du conseil n’y échappent naturellement pas et font partie des métiers les plus fortement impactés par les avancées technologiques.  Ils le sont au moins par les progrès de l’exploitation de la data, l’intelligence artifi-cielle, les objets connectés et la blockchain, qui remet en cause la notion même de tiers de confiance. Mais la technologie ne fait pas tout, ce serait trop simple ! Elle n’est qu’un outil au service de l’expertise et c’est bien là que se situe le cœur et la valeur de notre métier.L’expertise-comptable, comme l’ensemble des professions du conseil, est impactée par la digitalisation de l’économie. Nous devons en relever les enjeux si nous voulons en saisir toutes les opportunités. C’est la raison pour laquelle nous devons faire évoluer nos collaborateurs. Certains pourront aller vers les missions de conseils : RH, Conseil en gestion, co-pilote et coaching des chefs d’entreprises, études fiscales, gestion de patrimoine, juridique, recherche de financement, RSE, accompagnement à la transmission d’entreprises, etc. et d’autres vers de nouvelles prestations : externalisation admi-nistrative, préparation des règlements, suivi de trésorerie, etc.

Témoignage d’ExpertEric GERNEZ, vous êtes président de la commission numérique pour l’Ordre des Experts Comptables de la région d’Orléans et membre de la même commission au Conseil Supérieur : quelles sont les opportunités que vous identifiez pour les experts-comptables avec la digitalisation de la profession ?La transition numérique offre de formidables opportunités à notre profession. Notre principal défi est de réinventer notre modèle : attention il ne s’agit pas seulement d’une évolution technologique. Nous devons penser autrement les évolutions, nous familiariser avec une culture nouvelle, chercher à com-prendre de nouvelles attentes, de nouveaux comportements, ceux de nos clients avant tout mais aussi, ceux de nos futurs collaborateurs. Nous devons penser une nouvelle organisa-tion, réfléchir à un nouveau mode de management, repenser notre offre qui est désormais en adaptation permanente. C’est cette mutation majeure que le numérique introduit et que nos organisations doivent repenser complétement.

Vos missions évoluent et vont continuer à évoluer, quelles sont les attentes et les bénéfices de cette mutation pour vos clients ?Nous bénéficions d’un capital confiance que nous ac-cordent nos clients, les PME et TPE extrêmement important. Nous allons avoir la possibilité de concevoir des missions nou-velles, qu’une fois transformées, nous saurons leur proposer pour les accompagner dans leur propre transition numérique. Il s’agit en quelque sorte placer la valeur du seul business plan sur une approche plus globale, celle du business model.Profession connectée, l’expertise l’a toujours été. Le numé-rique est entré dans notre métier par la voie des applications pour accompagner les clients.Avec la dématérialisation des documents, la tenue des comptes est dorénavant partagée entre le cabinet et ses clients. Résultat: si techniquement le bilan comptable reste le cœur du métier, ce n’est plus là que réside aujourd’hui la valeur ajoutée de la profession : tout au plus, sans doute la colonne vertébrale mais seulement elle. Tableaux de bord, outils de pilotage, gestion de paie, GED partagée, ces opérations doivent désormais être faites en collaboration avec l’expert-comptable, voire, par le client lui-même. En réalité, si la demande du client a évolué, son besoin d’un partenaire de confiance n’a jamais été aussi fort. L’environnement économique est de plus en plus complexe ; les normes, malgré le discours de simplifica-tion, se multiplient dans tous les domaines… Déjà surbookés, les patrons des TPE-PME se sentent démunis en interne. Dans cet univers instable, ils ont besoin d’y voir clair et d’être aiguillés dans leurs prises de décision et ce plus sou-vent qu’avant. Face à ces nouvelles attentes du marché, l’expert-comptable tient un atout concurrentiel clé : la for-midable confiance que lui témoignent ses clients du fait de sa compétence technique et de sa disponibilité.

En conclusion, que diriez-vous de l’évolution de votre métier ?L’expert-comptable apparaît donc comme la personne la mieux placée pour répondre au besoin de conseil fiscal, social et financier des entreprises. Mais pour cela, il lui faut acquérir ou fédérer de nouvelles compétences de façon plus large : c’est la démarche que nous devons tous avoir. L’expert-comptable doit désormais être capable d’accom-pagner le chef d’entreprise dans toute la vie de sa société, de sa création à sa transmission, et de proposer une offre de services globale. Elaborer un prévisionnel, aider à la né-gociation d’un prêt, évaluer les actifs d’une entreprise, gérer un patrimoine… son périmètre d’action s’élargit considérable-ment et l’intérêt de notre métier s’en trouve considérablement augmenté : à nous désormais de le faire connaître encore plus, également à destination des plus jeunes générations.

Olivier Nioche, Président de l’Ordre des Experts Comptables de la région d’Orléans

> C’est l’enseignement majeur d’une étude Harris Interac-tive sur la transition numérique des entreprises présentée à l’occasion du 70ème congrès de la profession en 2015.Cette étude rappelle par ailleurs que la transition numé-rique de l’activité économique est perçue par les dirigeants de TPE/PME comme un enjeu important pour les entre-prises françaises en général (89%) et, dans une proportion majoritaire, pour leur entreprise en particulier (59%).Pas moins de 74% des dirigeants de TPE/PME estiment qu’au cours des dix prochaines années, leur entreprise va connaître une évolution numérique. Près d’un tiers la qua-lifie de majeure.Cette transition numérique est perçue par les dirigeants de TPE/PME comme un atout (71%). A preuve, 6 dirigeants interrogés sur 10 prévoient d’utiliser de plus en plus d’outils numériques dans les dix prochaines années.Forts de la confiance de leurs clients, les cabinets d’expertise comptable et les entreprises peuvent s’engager ensemble.

80%des dirigeants de TPE/PME font confiance en priorité à leurs experts-comptables pour accompagner la transition numérique de leur activité.

Accompagnement clients

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Les Experts-Comptables accompagnent les startups de la région Centre-Val de LoireCréation d’une startup : une formidable aventure mais une nécessité d’être accompagné à chaque étape !

En Région Centre-Val de Loire comme sur l’ensemble du territoire national français, les porteurs de projets de créations de startups sont de plus en plus nombreux et les initiatives à destination des start-ups se multi-

plient : création de centres d’incubateurs à Orléans, Bourges, Blois, Chartres…En Région Centre-Val de Loire, les actions à destination des startups sont surtout tournées vers les hautes techno-logies, l’innovation et sur le numérique au plan national et international.Le lancement de projets de startups connaît donc un fort développement également dans notre Région où les ex-perts-comptables sont également très présents et jouent un rôle essentiel, que ce soit dans la phase d’accompagnement ou dans le suivi de ces startups. En effet, les experts-comptables sont au coeur du dispositif dans toutes les phases du projet de lancement et d’accom-pagnement d’une startup, à chaque étape de la création que ce soit sur le volet stratégique (plan d’action), IT, RH, volet financier avec l’établissement du business plan, d’un plan de financement ou encore dans la recherche d’un financement adapté, la recherche d’un soutien financier mais également dans l’octroi d’une subvention …

Se lancer dans cette formidable aventure de création d’une startup est très enthousiasmant, mais peut également être vécu comme un parcours semé d’embûches lorsque l’on ne se fait pas accompagner dans le pilotage de son projet, dès les premières démarches. D’après une étude de la société d’assurance-crédit, la Coface, si la formation et la R&D sont les deux atouts majeurs de la France, pour le développement des startups, les lourdeurs administratives parfois ressenties mais également les dif-ficultés de financement pour l’amorçage peuvent freiner ce dynamisme, bien que les jeunes soient de plus en plus attirés par la création d’entreprise et de startup. Une des mesures d’accompagnement essentielle de l’expert-comptable va donc également consister à accompa-gner les porteurs de projets dans la recherche d’une ressource de financement adaptée.Mais à quelles contraintes peuvent s’attendre les créateurs en recherche de financement ?Tout dépend en premier lieu du contexte dans lequel se déroule la recherche de financement. Les démarches sont plus ou moins complexes en fonction de la maturité de l’en-treprise, du projet, des partenariats déjà en place et bien sûr du dirigeant par rapport aux financements existants.S’offrent aux créateurs de nombreux financements liés à l’innovation, et pour une entreprise qui n’est pas familière avec les différents dispositifs, il peut être très compliqué de s’y retrouver (subventions, crédits d’impôt, avances rem-boursables, prêts à taux zéro, business angels, crowfunding).Cette recherche de fonds dépend également du moment où intervient le besoin précis au cours de la vie de l’entreprise ou du projet innovant.

Certaines aides sont à destination des startups, d’autres pour les PME de plus de 3 ans, d’autres encore peuvent concerner les ETI, etc. Les projets encouragés peuvent correspondre à des activités de R&D, c’est-à-dire en amont de la phase de développement du projet, ou sont plus proches de la commercialisation.Or, pour se lancer dans une recherche de financement adap-tée à ses besoins, l’entreprise, qui veut financer son projet, peut être confrontée à plusieurs contraintes : le manque d’in-formation : où et à qui s’adresser ? Quelle est la démarche à poursuivre ?Guichets BPI – FUI (Fond unique interministériel) – Business Angels – Fonds d’investissements français ou étrangers ? Soutien de l’état aux activités de RetD ? – Subventions ? Crédits d’impôts ….Le manque de temps ; les lourdeurs administratives ressen-ties ; le manque de connaissance sur le sujet.L’expert-comptable, grâce à sa forte expertise sur ces sujets, est donc là pour accompagner les dirigeants et/ou futurs créateurs dans leurs projets.Par ailleurs, il convient de souligner que cette démarche de recherche de fonds ou de subventions, nécessite un réel investissement en temps qui vient se rajouter à toutes les autres démarches à accomplir liées au lancement du projet.Il faut donc avant tout bien savoir s’entourer de spécialistes pour aborder cette phase de création et plus particulièrement pour les startups qui par nature sont bien souvent des projets présentant un niveau de risque élevé.Car en effet, les chiffres montrent que le taux d’échec est très élevé dans la création d’une startup.

Nombre de startups en France : Si on considère que 20% des entreprises constituées en SAS sont des startups, alors on estime leur nombre à 10 000 ces 5 dernières années. Il est impossible de donner un nombre précis étant donné que le terme est galvaudé.Nombre de startups dites « licornes » : 153 licornes à l’échelle mondiale. Des startups ou entreprises valorisées à plus d’un milliard de dollars. À titre d’exemple, il y avait 39 licornes en 2013. Il y en a eu 25 nouvelles au cours du Q2 de 2015 et 26 au cours du Q3 de 2015. Taux d’échec des startups :Près de 90% de startups échouent.Le type de contrat dans les startups : 92% des nouveaux embauchés en startup sont en CDI.Le nombre de femmes dirigeantes de startups :9% des startups sont dirigés par des femmesLe nombre de business angels en France :En France, on compte entre 5 000 et 8 000 business angels (16K en moyenne) et 1 Français sur 4 prêt à investir financièrement dans une startup.Pourcentage des startups qui ont levé des fonds : 25% des startups ont à leur capital des fonds de capital-risquePourcentage des startups en perte :74% : c’est la part des startups affichent un excédent brut d’exploitation en perte.Pourcentage du chiffre d’affaires à l’étranger :Les futurs champions français de l’économie numérique réalisent déjà 43% de leur chiffre d’affaires à l’internationalNiveau d’étude des créateurs de startups :94% : c’est la proportion des dirigeants de start-up qui ont au moins un niveau d’études Bac+5. Le mythe de l’entrepreneur autodidacte n’a plus sa place dans la création d’entreprises dans le secteur du numérique. Âgés en moyenne de 40 ans, 51% des dirigeants se définissent comme des serial- entrepreneurs. Ils sont 92% à cumuler le statut de fondateur et de gérant de l’entreprise qu’ils dirigent actuellement.

Principaux chiffres clés sur les startups en France (Source INSEE)

Startup, l’entreprise en partageEn Région Centre, les incubateurs de startups font école. Après le Lab’O à Orléans et Mam à Tours, Blois, Châteauroux et d’autres villes emboîtent le pas. Créé en janvier 2016, le Lab’O compte à ce jour 35 entreprises qui emploient près de 160 personnes. Un succès prédit qui ne se dément pas, grâce à un système économique que les startupeurs affec-tionnent et cultivent savamment. Jérôme Richard, délégué au numérique pour la Métropole orléanaise, ancien startupeur lui-même, admet que « ces entreprises 4.0 font en deux ans ce que celles de l’ancienne génération réalisaient en dix ou quinze ans ». Les startups ont pour elles le Web et les réseaux qui vont avec. Elles se rendent visibles en quelques clics, et ap-puient leur développement et l’acquisition clients sur les SIO et le web marketing. « Les jeunes ont une véritable accultu-ration à la création d’entreprise, poursuit Jérôme Richard. Très tôt, ils touchent du doigt les modèles et les problématiques. Quand ces mômes arrivent en entreprise, ils sont prêts » !

Le temps, question crucialeAutre particularité de la génération Start’up, les notions de confiance et de partage. Julie Richard est la « chef de tribu » du Lab’O. Son entreprise, Nuoo, vend des boxes de produits cosmétiques bio. « Le principe de l’incubateur, dit-elle, est de par-tager nos idées, nos envies et nos inquiétudes entre dirigeants. Inutile de se cacher pour évoluer seul puisque la Toile est notre monde. On prend de l’avance grâce au sourcing, le cross-canal multiplie les effets, les flux bancaires sont ab-sorbés la nuit et alloués par des algorithmes » ! Les créateurs nouvelle génération ont tous les mêmes outils. Ils n’ont qu’une envie : être les meilleurs. Reste à leur faire gagner du temps  ; le digital est fait pour ça  ; et être en mesure de les accompagner sur les sujets sensibles que sont la stratégie, les investisse-ments et les ressources humaines.

L’Ordre des Experts Comptables, partenaire du LAB’O

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STATUT DU DIRIGEANT ET STRATÉGIES DE RÉMUNÉRATIONAG2R LA MONDIALE, en partenariat avec Les Echos publishing, lance des campagnes de communication qui compilent des informations techniques, du décryptage de l’actualité et des conseils associés.

LE STATUT DU DIRIGEANT

À la question «�Vaut-il mieux être dirigeant salarié ou non salarié ?�», il n’existe pas de solution qui serait manifestement plus favorable pour le chef d’entreprise et, à fortiori, aucun basculement d’un statut à un autre ne semble s’imposer comme un choix évident…

L’OPTIMISATION DE LA RÉMUNÉRATION DU DIRIGEANT

Qu’il soit dirigeant d’une SAS, d’une SA ou d’une SARL…, chaque dirigeant s’est déjà posé la question suivante : «�Comment optimiser ma rémunération et ma protection sociale tout en réduisant le coût global pour mon entreprise ?�»…

Contact : [email protected] LA MONDIALE GROUPE, membre d’AG2R LA MONDIALE – GIE – 32, avenue Émile Zola 59370 Mons-en- Baroeul – 445 331 192 RCS Lille 08

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Domaines d’intervention de l’Expert Comptable :Un conseil sur-mesure donné par un spécialiste

L’expert-comptable est le relais entre l’entreprise et ses différents interlocuteurs (organismes finan-ciers, fiscaux et sociaux, collectivités...). Il intervient dans tous les secteurs de la vie collective : commerce

et artisanat, services, industrie, agriculture, professions libérales, associations, secteurs public et parapublic.

L’expert-comptable réalise des missions relatives à la comp-tabilité : tenue de la comptabilité, supervision des comptes de l’entreprise ou encore établissement des états comptables - bilan et compte de résultat. Véritable conseil du chef d’en-treprise, il délivre, à ce titre, son expertise technique sur tous les sujets qui jalonnent la vie des entreprises.

Au-delà de ses missions traditionnelles, l’expert-comptable accompagne ses clients pour tous leurs besoins comme par exemple :

> Aide à l’investissement et au financement : accompagne-ment dans le choix d’investissements, préparation du dossier de financement, présentation du dossier aux organismes financiers ;

> Évaluation d’entreprises ;

> Mise en place d’outils de gestion : budgets, tableaux de bord, business plan, résultats prévisionnels, gestion de trésorerie ;

> Établissement des bulletins de paie ;

> Missions légales auprès des comités d’entreprise ;

> Conseil à l’export, accompagnement à l’international, des filières étrangères ;

> Établissement des déclarations fiscales et assistance en cas de contrôle fiscal ;

> Réorganisation administrative (informatique, gestion du personnel, recrutement) ;

> Cybercriminalité ;

> Gestion de patrimoine ;

> Mais également activités sectorielles  : secteur public, non marchand, développement durable, RSE…

L’ expert-comptable intervient ainsi en appui à chaque étape de la vie de votre entreprise et dans tous les secteurs de l’économie  : entreprises, associations, secteur public, secteur agricole, particuliers…La Profession s’est familiarisée avec les néologismes du nu-mérique : ubérisation, GAFA & NATU, cloud, crowdfunding… Elle a pris la mesure de la révolution numérique et de ses enjeux, de la nécessaire évolution des méthodes,

de la transformation de l’exercice et des cabinets qu’im-posent le développement éclair et la popularisation des outils digitaux et des services associés, dans un environnement qui s’automatise, se digitalise et se virtualise.A la révolution numérique s’ajoute la modernisation régle-mentaire et notamment l’extension du périmètre d’interven-tion de l’expert-comptable. Depuis l’adoption de la loi pour La croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques, l’expert-comptable peut réaliser des missions sans aucune mission comptable préalable.Ces deux efforts combinés constituent le point de départ d’un nouveau modèle professionnel : celui du conseil et du service pluridisciplinaire à forte valeur ajoutée.L’expert-comptable est ainsi et sera demain plus encore le partenaire privilégié au cœur de la vie des entreprises et l’accompagnateur de son dirigeant.l’Expert Comptable est également le partenaire privilégié des entreprises en prévention et restructuration.

Véritable coach, il vous conseille et vous assiste

dans vos choix stratégiques et dans leur mise en œuvre opérationnelle.

Les prochainesrencontres d’Experts > 16 novembre 2017 à Bourges : La cybercriminalité,en partenariat avec le Ministère de l’intérieur> 30 novembre 2017 à Orléans : Sécuriser votreAssociation, dans le cadre du Tour de France des Associations

Sécurisez votre entreprise !Exercice illégal de l’expertise comptable : un risque majeur pour les entreprisesChefs d’entreprises : vous viendrait-il à l’idée d’aller consulter un médecin non diplômé ou de monter dans une voiture dont le conducteur n’aurait pas son permis de conduire ? La réponse, évidemment négative, devrait aussi se poser lors du recours à un comptable. Depuis plusieurs années, l’Ordre des Experts-comptables constate une recrudescence du nombre de comptables exerçant à titre illégal. Les entreprises, en faisant appel à leurs services, prennent un risque important : celui de mettre en danger leur activité. En effet, non seulement les conséquences peuvent s’avérer dramatiques (comptes faux), mais elles s’exposent à de lourdes conséquences en cas de contrôle fiscal ou social. Premier réflexe : s’assurer que le professionnel est bien inscrit au tableau de l'Ordre des Experts-Comptables.Bien s’entourer, c’est aussi l’une des clés de la réussite entrepreneuriale !

Dans son projet de développement et de communication, l’Ordre des Experts comptables d’Orléans entend valoriser le rôle de l’expert-comptable dans sa vision globale de l’en-treprise, laquelle va au-delà de la mission d’établissement des comptes.Sa stratégie est de développer et de faire reconnaître un savoir-faire dans un périmètre très large de l’accompa-gnement de l’entreprise, et notamment en mettant en avant son rôle dans le domaine de la prévention et restructuration des entreprises en difficulté.De son côté le Tribunal de Commerce souhaite faire connaître

plus largement son rôle dans la prévention des difficultés des entreprises pour faire en sorte que les entreprises le sollicitent le plus en amont possible en cas de difficultés rencontrées.Il en ressort un intérêt partagé entre l’Ordre des Experts-Comptables et le Tribunal de Commerce pour mettre en oeuvre un partenariat en commun.Le but du partenariat proposé est d’associer l’Ordre des Experts Comptables et le Tribunal de Commerce d’Orléans sur des opérations de communication et de formation traitant du domaine des entreprises en difficultés.

Le Tribunal de Commerce et l’Ordre des Experts Comptables signent une convention de partenariat dans le cadre des missions Prévention-Restructuration

Votre association a rendez-vous avec les experts-comptables

Venez les rencontrer entre le 31 août et le 4 décembre 2017 !Partenaires de confiance, les experts-comptables vous accompagnent dans la gestion de votre association. Ils permettent de crédibiliser vos comptes auprès des financeurs. Ils fiabilisent vos prévisions et vos projets, en matière financière, comptable, juridique, sociale ou fiscale.

a rendez-vous avec les Votre association Votre association

Tour de France des Associations

De V

isu

Lille20 octobre

Arras19 octobre

Amiens23 novembre

Beauvais16 novembre

Calais17 octobre

Levallois Perret28 novembre

Paris - Porte Maillot18 octobre

Versailles21 novembre

Rouen9 novembre

Caen28 novembre

Orléans30 novembre

Le Mans16 novembre

Dijon27 novembre

Besançon4 décembre

Strasbourg21 novembre

Mulhouse9 novembre

Nancy15 novembre

Pessac23 novembre

Lyon8 novembre

Labège17 octobre Marseille

19 octobre

La Grande Motte30 novembre

Reimsnovembre

Saint-Denis31 août

La Réunion

Fort de France9 novembre

Martinique

#CSOECPour plus d’information, contacter les conseils régionaux : www.experts-comptables.fr

Patrice Labbé, Président du Tribunal de Commerce d’Orléans

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Afin de bien maîtriser ces nouvelles obligations, n’hésitez pas à contacter votre expert-comptable

pour un diagnostic personnalisé !

Paroles d’Experts

À compter du 1er janvier 2018, toute personne assujettie à la TVA qui enregistre les règlements de ses clients au moyen d’un logiciel de comptabilité ou de gestion ou d’un système de caisse, doit utiliser un logiciel ou un système satisfaisant à des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données en vue du contrôle de l’administration fiscale.

Qui est concerné par la mesure ?Quels logiciels et quelles données ? L’obligation vise tous les assujettis à la TVA qui enregistrent eux-mêmes les rè-glements de leurs clients dans un logiciel de comptabilité ou de gestion ou un système de caisse, y compris en cas d’enregistrement par eux-mêmes sur un logiciel ou système accessible en ligne. Sont également concernés, les logiciels de comptabilité ou de gestion dits « libres » ou développés en interne. Les données visées sont celles concourant directement ou indirectement à la réalisation d’une transaction (y com-pris pour les transactions de type « école » ou « test »), qui participent à la formation des résultats comptables et fiscaux ou qui sont liées à la réception (immédiate ou attendue) du paiement en contrepartie.

Quelles sont les conditions à respecter par les logiciels ?Les logiciels de comptabilité ou de gestion ou les systèmes de caisse doivent respecter les conditions de sécurisation suivantes :

> Inaltérabilité (rendre inaltérables les données d’origine relatives aux règlements) ;

> Sécurisation (sécuriser les données d’origine et de mo-dification et celles permettant la production des pièces justificatives émises) ;

> Conservation (conserver toutes les données enregistrées ligne par ligne, ainsi que pour les systèmes de caisse, les données cumulatives et récapitulatives calculées par le système) ;

> Archivage (archiver les données enregistrées selon une périodicité choisie).

Quelles sont les justifications à produire et les sanctions encourues ?Les contribuables doivent justifier des conditions ci-dessus :> Soit par un certificat délivré par un organisme accrédité ;> Soit par une attestation individuelle de l’éditeur du logiciel

ou du système de caisse concerné, selon un modèle fixé par l’administration.

Cette justification peut intervenir : > À l’occasion d’une vérification de comptabilité ;> Lors d’un contrôle inopiné, les agents de l’administration

fiscale pouvant intervenir dans les locaux professionnels des contribuables, selon une procédure et des horaires encadrés.

Les manquements donnent lieu à une amende de 7 500 € par logiciel ou système de caisse, éventuellement reconduite à défaut de régularisation dans le délai de 60 jours.

Obligation d’utiliser des logiciels de caisse sécurisés à partir de 2018

La fiscalité du e-commerce

Relativement peu appliquée en France, la dématérialisation du bulletin de paie a été facilitée pour les employeurs par la loi dite "Travail".

Une dématérialisation facilitéeJusqu'à présent, la délivrance d'un bulletin de paie dématérialisé, facultative pour l’employeur, était subordonnée à l’accord du salarié. Afin de favoriser la dématérialisation des bulletins de paie, la loi "Travail" du 8 août 2016 inverse la règle. Ainsi, à compter du 1er janvier 2017, l'employeur pourra procéder à la remise du bulletin de paie sous forme électronique, sauf si le salarié s’y oppose et en respectant certaines garanties.

La dématérialisation du bulletin de paie reste facultative pour l'employeur.

Des Formalités à respecterL'employeur décidant de dématérialiser les bulletins de paie doit informer le salarié et tout nouvel embauché de leur droit d'opposition dans un délai réglementaire. Le droit d'opposition peut être exercé à tout moment par le salarié.

Des garanties à assurerLa remise des bulletins de paie sous forme électronique doit s'effectuer dans des conditions de nature à garantir l'intégrité, la disponibilité, la confidentialité des données, ainsi que leur accessibilité dans le cadre du compte personnel d'activité (CPA). L'employeur doit souscrire à un service d'hébergement en ligne, via un opérateur spécialisé.

Les risques encourusLe non-respect de ces obligations est puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 450 € pour les personnes physiques et 2 250 € pour les personnes morales. Le salarié pourra éga-lement demander des dommages et intérêts s’il démontre un préjudice.

Toutes les mesures prises favorisent la dématérialisation des bulletins de paie. Néanmoins, certaines formalités préalables doivent être effectuées.

Les Experts-Comptables accompagnent les entreprises dans le e-commerceLe e-commerce constitue un canal de distribution en forte croissance pour les entreprises et ce, quel que soit leur taille ou leur secteur d’activité. A titre d’exemple, malgré un contexte économique de consommation, qui suivant les secteurs, connait une faible croissance voire une crois-sance stable ou ralentie, le chiffre d’affaires de la vente en ligne a connu une progression soutenue et même fortement accentuée sur ces deux dernières années.Il est important de souligner que les entreprises du e-commerce sont essentiellement composées de TPE de moins de 10 salariés. Ne connaissant potentiellement par les spécificités de ce canal, elles sont donc en besoin fort d’informations et de conseils de la part de leur expert-comp-table.

L’expert-comptable reste plus que jamais le bras droit de l’entrepreneur souhaitant se développer dans le canal e-commerce.Il en résulte donc une nécessité de se faire accompagner et pas uniquement lors du lancement du projet de déve-loppement d’un site internet mais également au quotidien sur les aspects comptables, juridiques, fiscaux, ou encore IT, qui conditionnement également la réussite du projet.Lors de la conception du site internet, l’expert-Comptable analyse les risques potentiels en matière comptable, fis-cale et juridique, afin de garantir la sécurité des flux liés à l’automatisation du système d’information. Il travaille ainsi en collaboration avec le concepteur du site internet, chargé de la partie technique du site internet actif. Ces risques concernent toutes les opérations visées par la TVA. Pour n’évoquer ici qu’à titre d’exemple que le sujet de la fiscalité, le professionnel e-commerce entre dans la fiscali-té du XXIe siècle. Il s’affranchit des frontières géographiques, propose ses produits et/ou ses services à des particuliers ou à des entreprises dans le monde entier ; les bons réflexes du chef d’entreprises et les fondamentaux qu’il maitrise doivent s’adapter et évoluer en conséquence et avec une très grande réactivité.

Impacts fiscaux à anticiper en matière de TVA lors de la création du siteLors d’une opération de vente sur internet, l’acheteur potentiel doit avoir, en temps réel, une visibilité sur le prix “toutes taxes comprises“ qu’il va potentiellement payer. Le prix de vente peut ainsi varier de manière significative du fait :• de l’application du taux de TVA du vendeur ou du preneur ;• de l’exonération potentielle de la TVA, dans le cadre d’une vente à l’export ou d’une livraison intracommunautaire.L’expert-comptable reste plus que jamais le bras droit de l’entrepreneur souhaitant se développer dans le canal e-com-merce. Le conseil en matière fiscale constitue une source stratégique d’information et permet de préserver la sécurité économique du client.Le professionnel a également un rôle important à jouer dans la sécurisation du système d’information de l’e-commerçant, notamment au niveau des flux comptables générés par l’activité de la boutique en ligne et des spécificités juridiques à appliquer sur internet.Le canal e-commerce nécessitant également des compétences techniques, marketing et informatiques poin-tues, l’expert-comptable pourra développer une offre full service et intervenir en mode projet, entouré de partenaires expérimentés dans ces domaines.

Nouvelles conditions de dématérialisation du bulletin de paie en 2017

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Pour en finir avec les clichés

Comment devient-on expert-comptable ?

Il faut être fort en mathsFAUX Bien que l’on qualifie la profession d’expert-comptable de « métier du chiffre », nul besoin d’avoir la bosse des maths et d’être un cador en calcul pour le devenir. D’ailleurs on croise parfois des experts-comptables passés par des études lit-téraires ! En revanche, c’est vrai, il est préférable de ne pas être totalement allergique aux chiffres. Mais ce qui compte avant tout, c’est d’apprécier le fait de les analyser pour en tirer des enseignements.

Expert-comptable est un métier routinierFAUX Certains l’imaginent enfermé dans son bureau, penché sur des liasses de documents et réalisant toute la journée des calculs. C’était peut-être vrai il y a 50 ans, mais cette image est passée de mode depuis longtemps !Aidé par la technologie pour les tâches les plus répétitives, l’expert-comptable passe de plus en plus de temps à ana-lyser les données comptables pour conseiller ses clients, qu’il rencontre régulièrement. Au cours d’une même journée, il doit souvent jongler avec des problématiques très diverses, dans le domaine comptable, mais aussi juridique, social ou fiscal. Dans ces conditions, difficile d’être gagné par la routine.

Il faut obligatoirement porter un costume cravate ou un tailleurPA S F O RC É M E N T Tout dépend du secteur dans lequel évoluent les clients que l’on est amené à rencontrer. Dans la banque, où un certain formalisme vestimentaire est de rigueur, mieux vaut arborer une tenue classique. En revanche, pour un rendez-vous avec le fondateur d’une startup, personne ne s’offusquera d’une tenue plus décontractée. Bref, comme dans n’importe quel autre métier, il suffit de s’inspirer des codes en vigueur.

L’expertise comptable est un métier d’hommePLUS SI VRAI Certes, il y a davantage d’hommes experts- comptables, mais les femmes sont loin d’être rares. Elles sont même de plus en plus nombreuses puisqu’en dix ans, entre 2000 et 2010, le taux de féminisation de la profession est passé de 14,6 % à 21,1 %. Aujourd’hui, sur les 20 000 experts-comptables inscrits à l’Ordre, elles sont un peu plus de 4 000. A noter : elles affichent un taux de réussite de 60 % à l’examen du diplôme d’expertise comptable, contre 55 % pour leurs homologues masculins.

Expert-comptable et comptable, c’est le même métierFAUX Leurs missions sont très différentes. Un comptable enregistre des opérations comptables et effectue des décla-rations fiscales, tandis qu’un expert-comptable accompagne les chefs d’entreprise dans de nombreux domaines, de la fisca-lité aux investissements en passant par le social et le juridique. Il est en fait un conseiller, assistant ses clients dans leurs choix stratégiques et leur mise en œuvre.

Un expert-comptable stagiaire gagne bien sa vieVRAI Avant même d’avoir obtenu son diplôme d’expert-comp-table, un stagiaire est rémunéré en moyenne entre 20 000 et 35 000 € annuels brut. Un salaire plutôt attractif lorsque l’on fait ses premiers pas dans la vie active.

ÉVOLUTION / Les idées reçues sur les experts-comptables ont la vie dure

CURSUS / Voici le parcours classique menant au métier ainsi qu’à de nombreuses fonctions dans les domaines de la comptabilité et de la gestion, mais aussi de la finance et de l’audit

DIPLÔME DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION

Il se prépare en trois ans après le bac, dans des lycées publics ou privés et des écoles spécialisées.Il peut aussi s’obtenir avec d’autres diplômes procurant la dispense totale ou partielle des épreuves de l'examen. C’est le cas du BTS comptabilité et gestion des organisations (CGO), du DUT gestion des entreprises et des administrations (GEA) et des écoles supérieures de commerce.

DIPLÔME SUPÉRIEUR DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION

Destiné à approfondir les fondamentaux acquis avec le DCG, le DSCG se prépare en deux ans dans les lycées publics ou privés, en alternance et dans les écoles privées spéciali-sées. Certains masters permettent également de bénéficier de dispenses d'épreuves, c’est le cas notamment du master « comptabilité, contrôle, audit » (CCA).

DIPLÔME D’EXPERTISE COMPTABLE

Pour s’inscrire aux épreuves du DEC, il faut avoir obtenu le DSCG et effectué un stage professionnel de trois ans, ou être titulaire du certificat d’aptitude aux fonctions de commissaire aux comptes. Le DEC se prépare durant le stage, lors de jour-nées de formation.

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Les Experts-Comptables recrutent des profils très divers

> Informaticiens, commerciaux, ingénieurs, spécialistes du Web ou du marketing…

> Les cabinets d’expertise comptable sont en quête de multiples compétences.

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365 experts-comptables et 349 sociétés d’Expertise-Comptable accompagnent 60 000 entreprises de la région qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 153 000 €.72 experts-comptables stagiaires préparent actuellement leur diplôme d’expertise comptable.L’Ordre des Experts-Comptables est composé de 18 élus dont 9 femmes.

La profession en quelques chiffres dans notre Région 66% 34%c’est le taux de féminisation

de la profession au niveau national.Au niveau régional : 34%21,1%

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L’Ordre propose ainsi aux différents établissements scolaires l’organisation de manifestations et d'évènements durant l’année afin de promouvoir les métiers de la gestion et de la finance auprès des lycéens et étudiants :

> Journées de révision, entièrement financés par le Conseil, pour les étu-diants préparant les UE1 et UE4 du DSCG. Cette initiative a remporté un franc succès auprès des étudiants, des Experts Comptables stagiaires et des collaborateurs des cabinets inscrits dans ce cursus. Nous sommes à ce jour à plus de 50 inscrits. 

> Fin novembre - début décembre 2017, organisation d'un speed dating,  pour mieux faire connaître notre profession auprès des jeunes avec une soirée Bowling, dans chacun des départements du ressort de notre conseil. Tous les étudiants des établissements scolaires seront invités à y participer et pourront ainsi rencontrer les nombreux Experts Comptables présents.

> Et de nombreux autres projets à venir...

Attirer les talents vers notre professionL’Ordre des Experts-Comptables

de la région d’Orléans développe et entretient des relations étroites avec

les enseignants de la filière de l’Expertise Comptable qui leur permettent d’échanger

sur les attentes des étudiants.

Faire son DCG et son DSCG au lycée Benjamin Franklin,c’est suivre une préparation de référence sur la voie de l’Expertise Comptable

Nos atouts au lycée Benjamin FranklinUne équipe pédagogique riche d’une expérience professionnelle diversifiée (Expert-Comptable, Comptable en entreprise, avocat, …)

Un cursus complet (DCG en formation initiale + DSCG en alternance)

Une scolarité gratuite, une association étudiante activeUn lycée au centre de la capitale régionaleDes locaux récents, spacieux, équipés, réservés aux étudiants

Après le DCGDes débouchés professionnels assurés vers des emplois qualifiésDe larges possibilités de poursuite d’études : DSCG, Masters, Écoles de commerce, préparation de Concours de la fonction publique (inspecteur des finances)

Des questions ? Contactez-nous par [email protected]

Et visitez notre site Internet : www.lycee-benjamin-franklin.fr… rubrique Classes préparatoires aux Grandes Écoles > DCG

Le CJEC CENTRE et l’ANECS : 2 clubs pour accompagner les jeunes et les futurs professionnels de l’expertise comptable

Le Club des Jeunes Experts-comptables et Commissaires aux comptes, qu’est-ce que c’est ?Association créée en 1983, destinée aux jeunes experts-comptables et commissaires aux comptes inscrits depuis moins de 5 ans, diplômés et mémorialistes, permet de :• Les Aider dans la création ou le développement de votre activité quelque soit la forme d’exercice retenue,• Les Informer sur des sujets d’actualités, fiscaux, sociaux, patrimoniaux… Réunions basées sur le cabinet de demain, en sensibilisant les adhérents sur la transition digitale qui est en marche.

Pour nous rejoindre : www.cjec.anecs-cjec.org

L’Association Nationale des Experts-Comptables et Commissaires aux comptes Stagiaires regroupe toutes les personnes qui souhaitent découvrir, représenter et prendre part à la vie de la profession. Ainsi l’Anecs permet tout aussi bien aux jeunes étudiants en gestion ou comptabilité de découvrir et approfondir leur futur que d’accompagner les jeunes professionnels jusqu’au diplôme final : le Diplôme d’Expertise Comptable et/ou le Certificat d’Aptitude aux Fonctions de commissaires aux comptes.L’ANECS permet à ses adhérents d’intégrer un véritable réseau aux multiples avantages, de rester informés sur l’environnement de la profession, mais elle leur permet également d’intégrer la profession et obtenir en finalité, le diplôme. Faire partie de l’ANECS renforce les chances d’obtenir des offres d’emploi, des échanges sur des missions de conseil ou des points spécifiques pas forcément abordés lors du cursus scolaire. Pour nous rejoindre : www.anecs.anecs-cjec.org

4 niveaux de diplôme• BAC professionnel Gestion Administration• BTS Comptabilité et Gestion• DCG diplôme de Comptabilité et Gestion (niveau Licence)• DSCG Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion

(Niveau Master)

Une équipe de formateur composée d’experts comptables, de for-mateurs issus du monde professionnel et de formateurs enseignantsDes nouveaux locaux à partir de janvier 2018une association ACGO « Alternants en Compta et Gestion d’Orléans »un réseau d’entreprises et de cabinets comptables

CFA SAINT-PAUL BOURDON BLANAntenne du CFSA de l’AFTEC02 38 78 13 26 – [email protected] 02 38 78 13 48- [email protected]

l’alternance en Comptabilité et Gestionun diplôme, un emploi, un salaire mais aussi la

personnalisation des parcours et l’accompagnement des apprentis et des entreprises qui se lancent dans l’aventure

Les diplômés d’Expertise Comptable en entreprise  se rapprochent de l’Ordre des Experts Comptables d’Orléans

L’Institut des diplômés d’Expertise Comptable en entreprise (ECE) et l’Ordre des Experts Comptables d’Orléans ont conclu un partenariat lors du 5ème Salon du conseil qui s’est tenu le 20 juin 2017.

Ce partenariat permet de contribuer : à mieux faire connaître le diplôme d’expertise comptable, les différents choix de carrières possibles, la diversité des missions des Experts Comptables ;à favoriser le rapprochement des diplômés d’expertise comptable en entreprise avec les Experts-Comptables inscrits au tableau de l’Ordre de la région Orléans ;à faire témoigner des diplômés d’expertise comptable en entreprise sur leurs missions / problématiques et mettre en avant la valeur que peuvent apporter les Experts Comptables sur ces nombreux sujets au-delà des missions récurrentes : international, stratégie, innovation, digitalisation, croissance externe… ;

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La Région Centre sur la bonne voieLe dernier baromètre « Image PME », élaboré par l’Ordre des Experts comptables, a mesuré l’activité économique des TPE-PME de la Région Centre-Val de Loire au cours du second trimestre 2017, qu’il compare à la même période de l’année 2016. Les données sont encourageantes, à commencer par le chiffre d’affaires global, en hausse de 3,1% pour la moyenne des 9145 entreprises régionales consultées. Cette progression du chiffre d’affaires est supérieure à la moyenne nationale (+2,5%), et place la Région Centre-Val de Loire, de ce point de vue, en 7è position du classement des régions.Ce sont les entreprises du secteur des transports et de l’en-treposage (+7,9%) et de la construction (+5,3%) qui ont été moteur de la croissance, comme depuis le début de l’année d’ailleurs. Celles de l’hébergement et de la restauration en-registrent également une belle performance (+3,7%) après un premier trimestre pourtant en baisse. Le secteur du com-merce enregistre pour sa part une croissance de 2,5% et celles de l’industrie manufacturière une légère baisse de -0,2%.La belle performance des TPE-PME de la région se retrouve sur l’ensemble des départements : l’Indre-et-Loire, l’Indre et le Loiret affichent même des croissances supérieures ou égales à 4%. Celles du Cher, Loir-et-Cher et Eure-et-Loir enregistrent quant à elles des croissances inférieures aux moyennes nationales et régionales, mais toujours positives, comprises entre 1,7% et 1,4%.Autre bonne nouvelle, les TPE-PME de la région ont poursuivi leur effort en matière d’investissement (+8,5% par rapport au 2è trimestre 2016), faisant suite à une hausse de 2,7% lors du 1er trimestre. La région se classe ainsi au 2è rang national.

A l’image de ce que l’on observe pour l’hexagone, la crois-sance de l’activité est principalement portée par les PME qui réalisent entre 500K€ et 50M€ de chiffre d’affaires annuel (+3,7%). Quant aux TPE qui réalisent moins de 500K€ et moins de 250K€ de chiffre d’affaires annuel, elles affichent malgré tout des hausses respectives de 2,6% et 1,1%.Toujours par tranches de chiffre d’affaires, en termes d’investissement, la situation est contrastée, avec des résultats très positifs pour les plus petites (moins de 250K€ annuel) et les plus grandes TPE-PME (+ de 500K€). Les TPE-PME inter-médiaires, quant à elles (entre 250 et 500K€), ont fortement ralenti leur effort (-15%).Olivier Nioche, président du Conseil régional des Experts-Comptables région Orléans, convient que ces données sont encourageantes, mais il reste prudent. « On sent un lé-ger mieux ces derniers mois, ce qui ne doit pas occulter des difficultés comme les obligations sociales qui restent lourdes et freinent encore l’engagement des entrepreneurs ». Et Olivier Nioche d’aborder le cas des auto et micro- entreprises qui montent en puissance elles aussi. « N’oublions pas que leur objectif est de franchir le cap pour devenir une PME, rappelle-t-il. Si peu d’entre elles y parviennent encore, elles pèsent malgré tout dans le bilan économique de la région et de belle percées sont observées. D’une façon générale, le secteur du conseil et des ressources humaines est particulièrement en pointe, avec les activités de conseil et d’accompagnement qui se développent, signe sans doute que les entreprises ont besoin d’être épaulées en période de croissance ».S’il est raisonnable de penser que les bilans d’activité des TPE-PME seront meilleurs en 2017 qu’ils ne le furent en 2016, les « ressources pour faire » demeurent la difficulté du moment, tous secteurs confondus. « Artisans boulanger ou maçon, les annonces de recrutement restent trop souvent sans réponse ». Paradoxe du chômage et des besoins de recru-tement qui demeurent, en raison de la formation, de la quali-fication et souvent de l’image de bon nombre de professions qui doit encore évoluer.

L’Expert-Comptable, premier conseil des entreprises et partenaire de la relance économiqueSi chaque bassin économique dispose de ses propres ressources et spécificités, « On constate, quelle que soit la région, un besoin d’accompagnement croissant de la part

des chefs d’entreprise, auquel l’expert-comptable est le mieux à même de répondre » indique Charles-René TANDE, Président de l’Ordre des Experts-Comptables.

En effet, l’Expert-Comptable joue un rôle clé dans l’accom-pagnement des dirigeants et intervient à chaque étape clé de son activité, que ce soit au moment de la création, pour la reprise, le suivi ou encore le développement de celle-ci. « Sa mission va bien au-delà de la simple tenue de la comp-tabilité, ajoute Olivier Nioche : recherche de financements, mise en place d’outils de gestion, définition du statut juridique, organisation administrative, obligations légales, comptes pré-visionnels, etc. »

L’expert-comptable se positionne donc au carrefour des pré-occupations des chefs d’entreprise, ce qui lui confère un statut d’interlocuteur privilégié ; d’autant que la profession a d’ores et déjà amorcé sa mutation vers le développement de mis-sions de conseil à forte valeur ajoutée.Véritable acteur de la vie entrepreneuriale, il participe ac-tivement à la relance économique : les conseils régionaux de l’Ordre œuvrent activement en région, en assurant la proxi-mité avec les entreprises, condition essentielle pour appré-hender au mieux la réalité économique de celles-ci, tandis que le Conseil supérieur se fait le porte-voix de la profession auprès des pouvoirs publics pour peser dans les prises de décisions et ainsi participer au développement du tissu en-trepreneurial français.Et Olivier Nioche de conclure : « Je retiens que la Région Centre-Val de Loire est championne de l’investissement, ce qui signifie que ces entreprises ont des perspectives de développement, avec des résultats futurs attendus ».

Merci à tous nos partenaires !

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