LA VACCINATION Pr Th May –Nov 2011 Pasteur (1822-1895)

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LA VACCINATIONPr Th May –Nov 2011

Pasteur  (1822-1895)

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Les vaccins,

Comment ça fonctionne ? A quoi ça sert ?

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Un microbe est entré dans le corps. Le microbe porte à sa surface des

antigènes.

Antigène

Quand on tombe malade :

microbe

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Le système de défense de notre corps reconnaît l’antigène étranger.

Il fabrique alors des anticorps dirigés spécifiquement contre les antigènes.

Anticorps

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• Mais la production des anticorps prend du temps.

• Pendant ce temps, on est malade.

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En général, on finit par guérir.

Le microbe est éliminé et le système de défense de l’organisme garde la mémoire du microbe pour un temps variable.

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Quand on se fait vacciner :• On injecte dans le corps le microbe rendu

innofensif.• Donc le vaccin ne rend pas malade.

• Mais l’organisme reconnaît quand même les antigènes.

• Et il y a production d’anticorps.

Le microbe est gardé en mémoire.

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Quand on est vacciné :Si le vrai microbe (agressif) entre dans l’organisme :

il est tout de suite reconnu et éliminé,

avant même de tomber malade.

Le succès de la vaccination repose sur la mémoire immunitaire, qui est en général très bonne chez les sujets jeunes. Selon les vaccins, elle sera entretenue par des injections de rappel.

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Un vaccin, à quoi ça sert ?

Les vaccins renforcent donc nos défenses immunitaires, en aidant l’organisme à se préparer à l’avance pour pouvoir lutter contre certaines maldies.

Tant que le vaccin est actif (c’est-à-dire tant que le système immunitaire garde en mémoire l’antigène), on ne tombe pas malade.

Evidemment, les vaccins ne protègent que des maladies contre lesquelles nous avons été vaccinés.

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Un vaccin, à quoi ça sert ?

Mécanismes de la vaccination au niveau collectif

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un vaccin, à quoi ça sert ?

Se faire vacciner,

c’est participer à l’effort mondial de lutte contre les infections.

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Vaccination contre la tuberculose (BCG)

Tuberculose: maladie due à des bactéries appelées bacilles de Koch.

Il existe plusieurs formes de tuberculose.

Lorsqu’il existe des symptomes, ils ne sont pas spécifiques. Les + frqts: toux, fièvre, fatigue, amaigrissement, manque d’appétit, etc.

BCG: n’est plus obligatoire pour l’entrée en collectivité

Si BCGx1 = obligation vaccinale satisfaite

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Vaccination BCG -11/07/2007

• Fortement recommandée chez– Enfant né ou parent originaire zone forte endémie

(Afrique, Asie, Am. Centrale et Sud, Europe Centrale et de l’Est)

– Enfant devant se rendre (> 1 mois) dans zone forte endémie

– ATCD familiaux BK– Ile de France ou Guyane– Parents en situation de précarité (CMU, AME…) ou

contact avec migrants

• Si possible– À la sortie de la maternité ou avant J30– Sinon jusqu’à 15 ans (après contrôle IDR après 3 mois)

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Diphtérie, Tétanos, Polio.

• Diphtérie: prend la forme d’une angine grave, qui peut entraîner des complications cardiaques, rénales et neurologiques (paralysies), et provoquer la mort.

• Le meilleur moyen de protéger les enfants contre la diphtérie est de les vacciner.

• La vaccination est réalisée chez plus de 95% des nourrissons, mais la protection des adultes est insuffisante et mérite une attention particulière.

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Tétanos: causé par le bacille tétanique qui vit généralement dans la terre.

Il peut s’introduire dans le corps par n’importe quelle blessure ou plaie banale. Le vaccin est particulièrement important pour les gens qui jardinent.

Le tétanos attaque le système nerveux et provoque des contractures généralisées du corps, très douloureuses.

Mortel 1 fois sur 3, il peut laisser de graves sequelles en cas de guérison.

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•Poliomyélite: se transmet le + svt de façon inapparente par contact avec l’eau contaminée.

•Dans sa forme la + grave, la polio. provoque des paralysies au niveau des bras, des jambes ou des muscles respiratoires.

•L’éradication de cette maladie progresse mais il reste encore des foyers de maladies ds le monde. C’est pourquoi elle pourrait réapparaître ds des gpes non vaccinés ou n’ayant pas effectué de rappels.

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• Coqueluche: maladie respiratoire contagieuse.

• Chez les nourrissons, elle peut entraîner de graves complications (pneumonies, convulsions, encéphalites) et peut être mortelle.

• Elle atteint aussi les adultes sous une forme moins grave mais très contagieuse pr le bébés.

• La vaccination des adultes évite la contamination des bébés.

Coqueluche

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Coqueluche de l’adulte

Hewlett, N Engl J Med 2005

Incidence de la coqueluche entre 1922 et 2004 aux USA

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Coqueluche

Situation actuelle coqueluche de l'enfant

Origine contamination : souvent parentale Coqueluche

Adulte forme fruste

30% des toux chroniques ?

Nourrisson forme

grave

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Hib (haemophilus influenzae b)

• Le risque d’infection grave à Hib existe surtout chez le jeune enfant.

• Avant de disposer du vaccin, cette bactérie était en France la 1ère responsable des méningites graves du nourrisson.

• La maladie a presque disparu des pays développés depuis l’application généralisée de la vaccination.

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Calendrier vaccinal

• Pour se protéger contre ces maladies, il existe des vaccins associés.

• La vaccination DTPolio est obligatoire en France.

• Chez l’adulte, le vaccin trivalent DTP est utilisé avec un rappel tous les 10 ans.

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Rougeole, Oreillons, Rubéole

• Rougeole: une des maladies infectieuses les + contagieuses.

• Elle est transmise par l’intermédiaire de gouttelettes salivaires ou respiratoires, par contact direct ou par voie aérienne

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Rougeole – Oreillons - Rubéole

Situation actuelle (cas/an) Rougeole (DO) : >15 000 Oreillons : 25 000 Rubéole durant la grossesse : < 10, depuis 2006

  Des modifications : pourquoi ?

Objectif : couverture vaccinale 95 % Situation actuelle : 80 à 85 % Efficacité vaccinale : 95 % Risques : Rougeole chez nourrisson < 2 ans

Épidémie adolescent et adulte jeune Taux d’hospitalisation élevé et risques complications

MOBILISER MEDECINS ET PARENTS

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Epidémie de rougeole en France :

plus de 22.000 cas depuis 2008

600 1500 5000 14500

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Incidence de la rougeole selon l’âge en 2008-2011 

Depuis 2008

o Augmentation des cas chez l’enfant < 1 an ( x 3) , incidence : 50/100.000

o Et chez le jeune adulte ( x 5), incidence : 15/100.000

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• Oreillons: infection virale contagieuse qui donne une inflammation des glandes salivaires.

• Se transmet par postillons, salive. Des épidémies peuvent survenir ds les collectivités.

• Généralement bénigne, elle peut néanmoins entraîner des complications graves (surdités chez les enfants…)

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• Rubéole: infection virale qui se transmet par voie aérienne respiratoire.

• En général bénigne, elle passe svt inaperçue.

• Elle est cpdt dangereuse si elle survient chez la femme enceinte pdt les 1ers mois de la grossesse.

• Elle peut alors occasionner de graves malformations chez le futur bébé. C’est pourquoi il est essentiel que toutes les jeunes femmes soient vaccinnées.

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Rougeole - Rubéole – Oreillons (RRO)Calendrier vaccinal

Avant 2 ans 1ère dose à partir de 12 mois

crèche : 9 mois – 2ème dose entre 12 et 15 mois épidémie : dans les 3 j après contact

2ème dose à partir de 13 mois et avant l’âge de 24 mois

Nés après 1980 : 2 doses pour tous

Personnels de santé et de la petite enfance nés avant 1980: 1 dose en absence d’antécédent rougeole

PRIORIX®, M-M-RVAXPRO®

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Hépatite B

• Maladie du foie transmise entre autres par les relations sexuelles, le contact avec le sang, ou de la mère à l’enfant au moment de l’accouchement.

• Alors que 5 à 10% des adultes contaminés, avec ou sans symptômes, deviennent des porteurs chroniques suceptibles de transmettre le virus, 90% des nouveaux-nés contaminés deviennent porteurs chroniques.

• La vaccination contre l’hépatite B est fortement recommandée pour tous les nourrissons ainsi que pour les sujets exposés.

• 3 injections à M0, M1-2, M6-12

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Hépatite B

Vaccination recommandée pour tous les enfants avant l’âge de 16 ans

Privilégier la vaccination des nourrissons à partir de l’âge de 2 mois ainsi que celle des groupes à risque

Schéma unique en 3 injections de type 0-1-6 qui respecte un intervalle de 1 à 2

mois entre les 2 premières injections et de 5 à 12 mois entre les 2ème et 3ème injections

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Hépatite B : recommandations adolescents

Recommandations pour les adolescents âgés de 11 à 15 ans non antérieurement vaccinés Soit un schéma classique à 3 doses Soit un schéma à 2 doses avec un

intervalle de 6 mois entre les 2 doses (ENGERIX B ®, 20 µg ou GENEVAC B ® 20 µg)

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Vaccination Hépatite B : Recommandations particulières

Nés de mères porteuses d’Ag HB (3 inj + IgG anti HBs) Si prématurés = 4 injections

Enfants accueillis en institutions pour enfants handicapés Enfants et adultes accueillis en structures psychiatriques Enfants d’âge préscolaire accueillis en collectivité Toxicomanes Personnes ayant des partenaires multiples Voyageurs en pays de moyenne ou forte endémie Personnes amenées à résider en zone de moyenne ou forte endémie Professionnels « potentiellement » exposés Patients devant bénéficier de transfusions massives ou itératives Entourage d’un sujet infecté ou porteur d’Ag HBs Partenaires d’un sujet infecté ou porteur d’Ag HBs Personnes détenues cumulant des facteurs d’exposition au VHB

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Immunisation des professions de santé vis-à-vis de l’hépatite B

Si primovaccination > 25 Si primovaccination > 25 ans ans

ou 13-25 ans à haut risque ou 13-25 ans à haut risque (A)(A)dosage Ac < 10 mUI/mldosage Ac < 10 mUI/ml Recherche AgHBs Recherche AgHBs

Si négatif : rappel vaccinSi négatif : rappel vaccin

dosage à M+1 dosage à M+1

> 10 : OK> 10 : OK < 10 : rappel < 10 : rappel (( 6 6 inj.) inj.)

Dosage Ac Dosage Ac (même ancien) (même ancien) > 100 mUI/ml> 100 mUI/ml

<100 mais >10 <100 mais >10 et AgHBs-et AgHBs-

pas de rappelpas de rappel

> 10 : OK <10 : surveillanceannuelle Ag + Ac antiHBs

A : médecin, chirurgien dentiste, sage-femme, infirmier, biologiste, laborantin, préleveur, pharmacienB : aide-soignant, ambulancier, puer, manip radio, kiné, pédicure

Dosage après 6 inj

Arrêté du 6 mars 2007, JO du 1 mars 2007

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HPV (papillomavirus)• Les infections à HPV st très fqtes et se

transmettent lors des premiers contacts sexuels.

• Elles passent tjs inaperçues et disparaissent le + svt spontanément.

• Qd elles persistent, elles peuvent être responsables de lésions pré-cancéreuses du col de l’utérus en l’abs de dépistage régulier par frottis et de trt.

• La vaccination protège contre 70% des HPV responsables du cancer du col; c’est pourquoi il est nécessaire d’effectuer régulièrement des frottis de dépistage.

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HPV (papillomavirus)

• Deux spécialités : – GARDASIL® : HPV 6, 11, 16 et 18 ; prix 145 € ;

Remboursement 65 % Juillet 2007– CERVARIX® : HPV 16 et 18 ;

en attente de remboursement• 3 doses : M0, M1(C) ou M2(G) et M6• Jeunes filles de 14 ans

– rattrapage possible : 15-23 ans ; – dans les 12 mois suivant « 1er expo »

• Reco CTV : préférentiellement le vaccin quadrivalent

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Pneumocoque

Les infections à pneumocoques sont cosmopolites. Les méningites à méningocoques st particulièrement graves.

La vaccination ne concerne que les nourrissons et les sujets fragilisés.

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3

6A

19A

7F

1

5

44

14149V9V 18C18C

23F23F19F19F

6B6BPCV7

Pneumocoques

PCV13

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Vaccins conjugués Pneumocoques

Vaccin conjugué 13 valent 2 doses (2 à 4 mois) avec un rappel à l’âge de 12 mois

Vaccination par Pneumo 23 pour enfants > 5 ans et adultes infectés par le VIH

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MéningocoqueLa méningite à méningocoque est une maladie régulièrement d’actualité, qui survient sur un mode isolé ou épidémique.

Il existe un vaccin efficace contre la méningite à méningocoque C. Celui contre la méningite à méningocoque B est attendu.

Le vaccin n’est pas destiné à l’ensemble de la pop. Qd le seuil d’alerte est atteint, les autorités sanitaires peuvent le proposer à la pop. exposée.

Le vaccin est également proposé aux personnes en contact étroit et durable avec la bactérie.

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Taux d’incidence plus élevé chez le petit nourrisson et entre 10-24 ans

Taux d’incidence annuel moyen (2004-2008) des IIM de sérogroupes B et C

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Méningocoque C Vaccination systématique à 1 dose par le vaccin

Méningo conjugué des nourrissons âgés de 1 à 2 ans en rattrapage de tous les moins de 25 ans afin de créer

une immunité de groupe

24 € (Rbst : 65 %)

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Grippe• La grippe est une infection respiratoire aiguë

très contagieuse, provoquée par un virus.

• Elle se manifeste principalement par une fièvre élevée, des courbatures, une fatigue intense et des maux de tête.

• La grippe peut être particulièrement grave pour les personnes fragilisées et les personnes âgées. Pour ces personnes à risque, une vaccination doit être effectuée ts les ans.

• La vaccination reste à ce jour le moyen le + efficace de prévention ds le cadre des épidémies annuelles de grippe.

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Actualités Grippe 2011-2012

Composition du vaccin 2011-2012

A/H1N1 California/7/2009A/H3N2/Perth/16/2009B/Brisbane/60/2008

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Recommandations calendrier 2011-2012

• Elargissement et précision de la liste des personnes à vacciner (HCSP 13/07//2011) Personnes âgées de plus de 60 ans Personnes à risque de grippe grave

o Affections broncho-pulmonaires ALD ou non (dont asthme, BPCO)o Cardiopathieso Affections neurologiques ou musculaireso Néphropathies graveso Hémoglobinopathieso Diabète 1 et 2o Déficits immnunitaires dont VIH

Personnes séjournant dans un établissement de soins Entourage nourrissons < 6 mois Les femmes enceintes, du 2eme trimestre de grossesse Les personnes obèses (IMC > 30)

• Possibilité d’utiliser INTENZA° après 60 ans– vaccin intradermique, 15 mg– Immunogénicité similaire voir supérieure à celle des autres vaccins

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Depuis plus d’un siècle, les vaccins ont contribué à la réduction spectaculaire de nb de personnes malades et de décès provoqués par les maladies infectieuses. Il ont permis, ds de nbrx pays ou régions, l’élimination de maladies infectieuses t.q. la polio, la diphtérie, la rougeole…

C’est ainsi que le vaccin contre la variole a permis d’éradiquer au niveau planétaire cette maladie infectieuse tant redoutée.

CONCLUSION

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• C’est pourquoi certains vaccins restent indispensables, pour se protéger individuellement mais aussi collectivement.

• On l’oublie parfois, pour être efficaces, la plupart des vaccins nécessitent de faire des rappels réguliers, même à l’âge adulte.

• Si certaines maladies infectieuses sont devenues plus rares, les microbes qui en sont responsables circulent toujours, en France ou dans le monde.

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Infos pratiques

OU SE FAIRE VACCINER ?

•Au cabinet de votre médecin traitant

•Au service de médecine du travail

•Au service de Protection Maternelle et Infantile (PMI, pour les enfants de moins de 6ans)

•Au centre de vaccination du CHU Brabois Tour Drouet à Vandoeuvre