La rose des ventsLa rose des vents des ppjositions subjectives · 2015. 9. 23. · des ppjositions...

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La rose des vents La rose des vents La rose des vents des positions subjectives La rose des vents des positions subjectives N 1 NE 2 8 NO 3 E 7 O 3 E 7 O 4 SE 6 SO 5 S

Transcript of La rose des ventsLa rose des vents des ppjositions subjectives · 2015. 9. 23. · des ppjositions...

  • La rose des ventsLa rose des ventsLa rose des ventsdes positions subjectivesLa rose des ventsdes positions subjectivesp jp j

    N1

    NE2

    8NO

    3 E

    7O

    3 E

    7O

    4

    SE 6

    SO

    5S

  • La subjectivité à l ’épreuveLa subjectivité à l ’épreuve

    Exemple emprunté à Matthieu SinclairMagicien conférencier.

    Comptez le nombre de F dans le petit texte qui suit…

  • FINISHED FILES ARE THE RE-SULT OF YEARS OF SCIENTIF-

    IC STUDY COMBINED WITH THEIC STUDY COMBINED WITH THEEXPERIENCE OF YEARSEXPERIENCE OF YEARS.

  • GARDEZ BIEN LE CHIFFRE EN TÊTE.

    ATTENTIONDEUXIEME TEST

    A LIRE EN SILENCE ….A LIRE EN SILENCE ….

  • ATTENTION A LAATTENTION A LA

    LA PEINTURE

  • Non non promis !Non, non promis !Il n’y a pas marqué

    « Attention à la peinture »…

    Une dernière chance…

  • ATTENTION A LAATTENTION A LA

    LA PEINTURELA PEINTURE

  • Au faitAu fait,N t i t tNotre premier test…

    C bi d F ?Combien de F ?

  • Désolé il y en avait 6 !!!Désolé, il y en avait…6 !!!

    FINISHED FILES ARE THE RE-FINISHED FILES ARE THE RESULT OF YEARS OF SCIENTIF-

    IC STUDY COMBINED WITH THEEXPERIENCE OF YEARSEXPERIENCE OF YEARS.

  • Conséquences sur nos schémas de perception

    « Il s’agit de déposer des bornes mentales fi l t t t afin que les spectateurs pensent cerner

    l’ensemble d’une « réalité » alors qu’ils n’ont conscience que d’une partie de

    celle-ci » Matthieu Sinclair.

  • La nature du soinLa nature du soin

    Feu soinFeu soinFeu = soinFeu = soin

    Tribu 1 : réservé à une éliteTribu 2 : idolâtrie des instrumentsTribu 1 : réservé à une éliteTribu 2 : idolâtrie des instrumentsTribu 3 : idolâtrie de l’inventeurTribu 4 : légendeTribu 3 : idolâtrie de l’inventeurTribu 4 : légendeTribu 4 : légendeTribu 5 : les utilisateursTribu 4 : légendeTribu 5 : les utilisateurs

  • Le destin du soinLe destin du soin

    Dire la véritéDire la vérité

    Tribu 1 : meurtreTribu 1 : meurtreTribu 1 : meurtreTribu 2 : déniT ib 3 i

    Tribu 1 : meurtreTribu 2 : déniT ib 3 iTribu 3 : ignoranceTribu 4 : confusionTribu 3 : ignoranceTribu 4 : confusionTribu 5 : intégrationTribu 5 : intégration

  • HiérarchieHiérarchie

    Bac + 10Bac + 10Bac + 5/6Bac + 5/6

    Bac + 2Bac + 2

    BacBac

    Bac « moins »Bac « moins »Bac « moins »Bac « moins »

  • Organisation socialeOrganisation sociale

    1. Tous vs tous2 Clan vs clan1. Tous vs tous2 Clan vs clan2. Clan vs clan3. Royauté2. Clan vs clan3. Royauté4. Démocratie5. Mondialisation4. Démocratie5. Mondialisation6. ?6. ?

  • Organisation du discoursOrganisation du discours

    MythesMythesMythesMythes

    IdéologiesIdéologies

    ThéoriesThéories

    TechniquesTechniquesTechniquesTechniques

  • Structures psychiquesStructures psychiques

    1. Névroses1. Névroses

    2. Psychoses2. Psychoses

    3. Perversions3. Perversions

    (Etats limites) (Etats limites) (Etats limites) (Etats limites)

  • L'appareil PsychiqueL'appareil Psychique

    Topique : dérivé du grec topos : lieu Topique : dérivé du grec topos : lieu Topique : dérivé du grec topos : lieu. Théorie philosophique des lieux, des classes générales dans lesquelles

    Topique : dérivé du grec topos : lieu. Théorie philosophique des lieux, des classes générales dans lesquelles classes générales dans lesquelles

    peuvent être rangés tous les arguments dé l t

    classes générales dans lesquelles peuvent être rangés tous les arguments

    dé l tou développements.ou développements.

    Freud utilise ce concept pour définir l’appareil psychique.

    Freud utilise ce concept pour définir l’appareil psychique.l appareil psychique.l appareil psychique.

  • Première topique (1900-1920)Première topique (1900-1920)Inconscient : l’ensemble des processus mentaux qui

    ne sont pas consciemment pensés Système ou Inconscient : l’ensemble des processus mentaux qui

    ne sont pas consciemment pensés Système ou ne sont pas consciemment pensés. Système ou instance constitué de contenus refoulés qui

    échappent aux autres instances du préconscient et d i t

    ne sont pas consciemment pensés. Système ou instance constitué de contenus refoulés qui

    échappent aux autres instances du préconscient et d i tdu conscient.

    Le préconscient : qualifie les contenus de cette

    du conscient.

    Le préconscient : qualifie les contenus de cette Le préconscient : qualifie les contenus de cette instance qui, pour n’être pas présents dans la

    conscience, lui demeurent accessibles à la différence

    Le préconscient : qualifie les contenus de cette instance qui, pour n’être pas présents dans la

    conscience, lui demeurent accessibles à la différence des contenus du système inconscient.des contenus du système inconscient.

    le conscient : qualifie les contenus conscients ou qui viennent à la conscience.

    le conscient : qualifie les contenus conscients ou qui viennent à la conscience.

  • Deuxième Topique (1920 -1939)Deuxième Topique (1920 -1939)

    Le ça: Occupe la place de l’inconscient dans la première topique. Il est conçu comme un

    Le ça: Occupe la place de l’inconscient dans la première topique. Il est conçu comme un p p q ç

    ensemble de contenus de nature pulsionnelle et d’ordre inconscient. Il est considéré

    p p q çensemble de contenus de nature pulsionnelle

    et d’ordre inconscient. Il est considéré comme un réservoir pulsionnel inorganisé,

    assimilé à un véritable chaos, lieu des passions indomptées Il est le siège de la

    comme un réservoir pulsionnel inorganisé, assimilé à un véritable chaos, lieu des

    passions indomptées Il est le siège de la passions indomptées. Il est le siège de la pulsion de vie et de la pulsion de mort.

    passions indomptées. Il est le siège de la pulsion de vie et de la pulsion de mort.

  • Deuxième Topique (1920 -1939)Deuxième Topique (1920 -1939)

    Le moi : siège de la conscience, il englobe également le préconscient il est donc en Le moi : siège de la conscience, il englobe également le préconscient il est donc en également le préconscient, il est donc en partie inconscient. Le moi est avant tout un moi-corps : « il est comme une projection

    également le préconscient, il est donc en partie inconscient. Le moi est avant tout un moi-corps : « il est comme une projection moi corps : il est comme une projection mentale de la surface du corps et représente la surface de l’appareil psychique ».

    moi corps : il est comme une projection mentale de la surface du corps et représente la surface de l’appareil psychique ».pp p y qpp p y q

  • D iè T iD iè T iDeuxième Topique (1920 -1939)Deuxième Topique (1920 -1939)

    le surmoi : plonge ses racines dans le ça et exerce sur un mode impitoyable les fonctions le surmoi : plonge ses racines dans le ça et

    exerce sur un mode impitoyable les fonctions p yde juge et de censeur à l’égard du moi. Le moi est essentiellement représentant du

    p yde juge et de censeur à l’égard du moi. Le moi est essentiellement représentant du

    monde extérieur, de la réalité, le surmoi se pose en face de lui comme mandataire du

    d i té i d Il t l

    monde extérieur, de la réalité, le surmoi se pose en face de lui comme mandataire du

    d i té i d Il t l monde intérieur, du ça. « Il est le représentant des exigences éthiques de

    l’homme » C’est le siège de l’auto-

    monde intérieur, du ça. « Il est le représentant des exigences éthiques de

    l’homme » C’est le siège de l’auto-l homme ». C est le siège de l auto-observation, le dépositaire de la conscience morale, porteur de l’idéal du moi auquel le

    l homme ». C est le siège de l auto-observation, le dépositaire de la conscience morale, porteur de l’idéal du moi auquel le morale, porteur de l idéal du moi auquel le

    moi se mesure, à quoi il aspire. Il est l’héritier du complexe d’Œdipe.

    morale, porteur de l idéal du moi auquel le moi se mesure, à quoi il aspire. Il est l’héritier

    du complexe d’Œdipe.

  • Organisation StructuraleOrganisation Structurale

    Névrose : Il y a un conflit entre le moi et le ça et Névrose : Il y a un conflit entre le moi et le ça et Névrose : Il y a un conflit entre le moi et le ça et cohabitation entre une attitude qui contrarie

    l’exigence pulsionnelle et une autre qui tient compte d l é li é

    Névrose : Il y a un conflit entre le moi et le ça et cohabitation entre une attitude qui contrarie

    l’exigence pulsionnelle et une autre qui tient compte d l é li éde la réalité.

    Psychose Il existe un trouble entre le moi et le monde

    de la réalité.

    Psychose Il existe un trouble entre le moi et le monde Psychose : Il existe un trouble entre le moi et le monde extérieur qui se traduit par la production d’une réalité

    délirante et hallucinatoire (folie).

    Psychose : Il existe un trouble entre le moi et le monde extérieur qui se traduit par la production d’une réalité

    délirante et hallucinatoire (folie).( )

    Perversion : « négatif de la névrose », manifestation

    ( )

    Perversion : « négatif de la névrose », manifestation brute et non refoulée de la sexualité infantile. brute et non refoulée de la sexualité infantile.

  • Organisation StructuraleOrganisation Structurale

    Névrose : comme résultat d’un conflit avec refoulement.

    Névrose : comme résultat d’un conflit avec refoulement.

    Psychose : comme une reconstruction d’une réalité Psychose : comme une reconstruction d’une réalité hallucinatoire.

    P i dé i d l t ti fi ti

    hallucinatoire.

    P i dé i d l t ti fi ti Perversion : comme déni de la castration avec fixation à la sexualité infantile.

    Perversion : comme déni de la castration avec fixation à la sexualité infantile.

  • Névroses de défenseNévroses de défense

    « Une affection liée à un conflit psychique inconscient d’origine infantile psychique inconscient d origine infantile et ayant une cause sexuelle. Elle résulte

    d’un mécanisme de défense contre d’un mécanisme de défense contre l’angoisse et d’une formation de

    compromis entre cette défense et la possible réalisation d’un désir ».p

  • Névroses de défenseNévroses de défense

    • Hystérie : prototype même de la névrose. Maladie nerveuse dans laquelle intervient d’abord un trauma.

    Hystérie d’angoisse = phobie, désigne la terreur continue et immotivée face à un être vivant, un objet ou une situation ne , j

    présentant pas un réel danger.

    • Obsessions : des idées obsédantes avec des actions Obsessions : des idées obsédantes avec des actions compulsionnelles à fin vérificatrice ou expiatoire et la

    défense engagée contre elles.

    • Actuelles : la névrose d’angoisse et la neurasthénie où le conflit émane de l’actualité présente du sujet et non pas de

    hi t i i f til L tô if t d son histoire infantile. Le symptôme ne se manifeste pas de façon symbolisée.

  • PsychosesPsychoses

    Terme qui remplace aujourd’hui celui de folie. Il désigne les maladies mentales et plus ti liè t l t i f d d

    Terme qui remplace aujourd’hui celui de folie. Il désigne les maladies mentales et plus ti liè t l t i f d d particulièrement les trois formes modernes de

    la folie :particulièrement les trois formes modernes de

    la folie :

    Schizophrénie.Schizophrénie.Paranoïa.

    Maniaco-dépression.Paranoïa.

    Maniaco-dépression.

  • PsychosesPsychoses

    Repris par Freud dès 1894 le terme Repris par Freud dès 1894 le terme Repris par Freud dès 1894, le terme désigne la reconstruction inconsciente d’une réalité délirante ou hallucinatoire

    Repris par Freud dès 1894, le terme désigne la reconstruction inconsciente d’une réalité délirante ou hallucinatoire d’une réalité délirante ou hallucinatoire

    dans laquelle le sujet est tourné i t l i ê d

    d’une réalité délirante ou hallucinatoire dans laquelle le sujet est tourné i t l i ê d uniquement vers lui-même, dans une

    situation sexuelle auto-érotique où il d ti

    uniquement vers lui-même, dans une situation sexuelle auto-érotique où il

    d ti prend son propre corps ou une partie pour objet d’amour sans altérité

    ibl

    prend son propre corps ou une partie pour objet d’amour sans altérité

    iblpossible.possible.

  • La ParanoïaLa Paranoïa

    Elle se caractérise par le développement Elle se caractérise par le développement p ppinsidieux, sous la dépendance de causes

    internes et selon une évolution continue, d’un

    p ppinsidieux, sous la dépendance de causes

    internes et selon une évolution continue, d’un système délirant, durable et impossible à

    ébranler, qui s’instaure avec une conser ation complète de la clarté et de

    système délirant, durable et impossible à ébranler, qui s’instaure avec une

    conser ation complète de la clarté et de conservation complète de la clarté et de l’ordre de la pensée, du vouloir et de l’action. Le paranoïaque est un malade chronique qui

    conservation complète de la clarté et de l’ordre de la pensée, du vouloir et de l’action. Le paranoïaque est un malade chronique qui Le paranoïaque est un malade chronique qui se prend pour pour un prophète, un empereur,

    un grand homme, un inventeur, un

    Le paranoïaque est un malade chronique qui se prend pour pour un prophète, un empereur,

    un grand homme, un inventeur, un un grand homme, un inventeur, un réformateur.

    un grand homme, un inventeur, un réformateur.

  • La ParanoïaLa ParanoïaLa paranoïa est un mode de défense contre

    l’homosexualité, l’hystérie, la névrose obsessionnelle La paranoïa est un mode de défense contre

    l’homosexualité, l’hystérie, la névrose obsessionnelle yet les états de confusions hallucinatoires.

    éf

    yet les états de confusions hallucinatoires.

    éfLe paranoïaque projette : il se défend d’une représentation inconciliable avec le moi en projetant

    son contenu dans le monde extérieur. Le

    Le paranoïaque projette : il se défend d’une représentation inconciliable avec le moi en projetant

    son contenu dans le monde extérieur. Le son contenu dans le monde extérieur. Le paranoïaque aime son délire comme lui-même.

    On y range :

    son contenu dans le monde extérieur. Le paranoïaque aime son délire comme lui-même.

    On y range :Le délire de persécution.

    L’érotomanie.Le délire de persécution.

    L’érotomanie.Le délire des grandeurs.

    Le délire de jalousie.Le délire des grandeurs.

    Le délire de jalousie.

  • La SchizophrénieLa Schizophrénie

    Du grec Schizos : fendre, cliver et phrenos: la pensée.

    Du grec Schizos : fendre, cliver et phrenos: la pensée.

    Forme de folie appelée « démence Forme de folie appelée « démence Forme de folie appelée « démence précoce » ayant pour symptômes

    l’incohérence de la pensée de

    Forme de folie appelée « démence précoce » ayant pour symptômes

    l’incohérence de la pensée de l incohérence de la pensée, de l’affectivité et de l’action, un repli sur soi

    et une activité délirante

    l incohérence de la pensée, de l’affectivité et de l’action, un repli sur soi

    et une activité déliranteet une activité délirante.et une activité délirante.

  • La Psychose ManiacoLa Psychose ManiacoLa Psychose Maniaco-Dépressive

    La Psychose Maniaco-Dépressivepp

    Elle se caractérise par des dérèglements de l’humeur qui prennent

    Elle se caractérise par des dérèglements de l’humeur qui prennent dérèglements de l humeur qui prennent

    la forme d’une alternance entre des états d’agitation maniaque (exaltation)

    dérèglements de l humeur qui prennent la forme d’une alternance entre des

    états d’agitation maniaque (exaltation) états d’agitation maniaque (exaltation) et des états mélancoliques (tristesse, états d’agitation maniaque (exaltation) et des états mélancoliques (tristesse,

    dépression).dépression).

  • La PerversionLa Perversion

    D’une manière générale, on parle de perversion ou de perversité pour

    D’une manière générale, on parle de perversion ou de perversité pour p p p

    qualifier le caractère et la manière d’agir d’êtres faisant preuve de

    p p pqualifier le caractère et la manière

    d’agir d’êtres faisant preuve de d agir d êtres faisant preuve de malignité et/ou de cruauté. L’histoire

    du concept montre un champ très

    d agir d êtres faisant preuve de malignité et/ou de cruauté. L’histoire

    du concept montre un champ très du concept montre un champ très vaste.

    du concept montre un champ très vaste.

  • La PerversionLa Perversion

    L thé i f di tiè d L thé i f di tiè d La théorie freudienne en matière de perversion s’appuie tout d’abord sur l’idée psychiatrique et sexologique de pratiques

    La théorie freudienne en matière de perversion s’appuie tout d’abord sur l’idée psychiatrique et sexologique de pratiques psychiatrique et sexologique de pratiques sexuelles dites perverses. Sigmund Freud

    s’éloigne dans un second temps de la

    psychiatrique et sexologique de pratiques sexuelles dites perverses. Sigmund Freud

    s’éloigne dans un second temps de la s éloigne dans un second temps de la méthode classificatrice teintée de jugement

    moral au profit d’une interprétation plus

    s éloigne dans un second temps de la méthode classificatrice teintée de jugement

    moral au profit d’une interprétation plus p p pstructurale de la notion, sans pour autant

    renoncer à l’idée d’une norme et d’une dé i i

    p p pstructurale de la notion, sans pour autant

    renoncer à l’idée d’une norme et d’une dé i idéviation.déviation.

  • La PerversionLa Perversion

    Dans Trois essais sur la théorie de la Dans Trois essais sur la théorie de la Dans Trois essais sur la théorie de la sexualité (1905), il fait de la névrose « le

    négatif de la perversion ».« Il souligne ainsi

    Dans Trois essais sur la théorie de la sexualité (1905), il fait de la névrose « le

    négatif de la perversion ».« Il souligne ainsi g p gle caractère sauvage, barbare, polymorphe et pulsionnel de la sexualité perverse : une

    g p gle caractère sauvage, barbare, polymorphe et pulsionnel de la sexualité perverse : une

    sexualité infantile à l’état brut, dont la libido se limite à la pulsion partielle. A

    l’opposé de la sexualité des névrosés cette

    sexualité infantile à l’état brut, dont la libido se limite à la pulsion partielle. A

    l’opposé de la sexualité des névrosés cette l’opposé de la sexualité des névrosés, cette sexualité ne connaît ni l’interdit de l’inceste,

    ni le refoulement ni la sublimation »

    l’opposé de la sexualité des névrosés, cette sexualité ne connaît ni l’interdit de l’inceste,

    ni le refoulement ni la sublimation »ni le refoulement, ni la sublimation ».ni le refoulement, ni la sublimation ».

  • La PerversionLa Perversion

    Si la sexualité se construit et se développe selon quatre termes : une

    Si la sexualité se construit et se développe selon quatre termes : une développe selon quatre termes : une pulsion, une source, un objet et un but la sexualité perverse s’organise

    développe selon quatre termes : une pulsion, une source, un objet et un but la sexualité perverse s’organise but, la sexualité perverse s’organise comme une déviation sans limites de but, la sexualité perverse s’organise comme une déviation sans limites de

    ces quatre termes. ces quatre termes.

  • La PerversionLa Perversion

    Sigmund Freud distingue deux types de perversions, les perversions d’objet et celles de b t Sigmund Freud distingue deux types de perversions, les perversions d’objet et celles de b t perversions d’objet et celles de but.

    Dans les premières, la libido se fixe exclusivement sur un

    perversions d’objet et celles de but.

    Dans les premières, la libido se fixe exclusivement sur un Dans les premières, la libido se fixe exclusivement sur un seul objet : humain dans les cas d’inceste, de pédophilie par exemple ; non humain dans le fétichisme et la zoophilie

    Dans les premières, la libido se fixe exclusivement sur un seul objet : humain dans les cas d’inceste, de pédophilie par exemple ; non humain dans le fétichisme et la zoophiliezoophilie.

    Dans les secondes, il distingue trois types de pratiques :

    zoophilie.

    Dans les secondes, il distingue trois types de pratiques : , g yp p qle plaisir lié au surinvestissement exclusif d’une zone érogène ou d’un stade de développement libidinal, le plaisir lié à la souffrance dans le sadisme et le

    , g yp p qle plaisir lié au surinvestissement exclusif d’une zone érogène ou d’un stade de développement libidinal, le plaisir lié à la souffrance dans le sadisme et le plaisir lié à la souffrance dans le sadisme et le masochisme, le plaisir visuel dans l’exhibitionnisme et le voyeurisme.

    plaisir lié à la souffrance dans le sadisme et le masochisme, le plaisir visuel dans l’exhibitionnisme et le voyeurisme.

  • La PerversionLa Perversion

    D 1905 à 1927 Si d F d d l D 1905 à 1927 Si d F d d l De 1905 à 1927, Sigmund Freud passe de la description à la théorisation et inscrit la

    perversion dans une structure tripartite : à

    De 1905 à 1927, Sigmund Freud passe de la description à la théorisation et inscrit la

    perversion dans une structure tripartite : àperversion dans une structure tripartite : àcôté de la névrose, résultat d’un conflit

    interne suivi d’un refoulement, de la

    perversion dans une structure tripartite : àcôté de la névrose, résultat d’un conflit

    interne suivi d’un refoulement, de la interne suivi d un refoulement, de la psychose comprise comme reconstruction d’une réalité hallucinatoire, la perversion

    interne suivi d un refoulement, de la psychose comprise comme reconstruction d’une réalité hallucinatoire, la perversion , p

    émerge comme un déni ou un désaveu de la castration avec fixation à la sexualité

    i f il

    , pémerge comme un déni ou un désaveu de la

    castration avec fixation à la sexualitéi f ilinfantile.infantile.

  • La PerversionLa Perversion

    Dans la théorie kleinienne, la perversion est un trouble de l’identité

    Dans la théorie kleinienne, la perversion est un trouble de l’identitéperversion est un trouble de l identité

    lié à une farouche pulsion de d i d i ê d l’ bj

    perversion est un trouble de l identitélié à une farouche pulsion de

    d i d i ê d l’ bj destruction de soi-même et de l’objet, elle est une manifestation à l’état brut destruction de soi-même et de l’objet, elle est une manifestation à l’état brut

    de la pulsion de mort. de la pulsion de mort.

  • La PerversionLa Perversion

    A partir de la notion de désir et de A partir de la notion de désir et de A partir de la notion de désir et de jouissance, la théorie lacanienne fait de la

    perversion une composante majeure du

    A partir de la notion de désir et de jouissance, la théorie lacanienne fait de la

    perversion une composante majeure du perversion une composante majeure du fonctionnement psychique. Dans une

    provocation et un défi permanents par

    perversion une composante majeure du fonctionnement psychique. Dans une

    provocation et un défi permanents par provocation et un défi permanents par rapport à la loi, le sujet se transforme en objet de jouissance son désir inconscient

    provocation et un défi permanents par rapport à la loi, le sujet se transforme en objet de jouissance son désir inconscient objet de jouissance, son désir inconscient est de s’annuler dans le mal absolu et dans

    l’anéantissement de soi

    objet de jouissance, son désir inconscient est de s’annuler dans le mal absolu et dans

    l’anéantissement de soi l anéantissement de soi. l anéantissement de soi.

  • Les Etats-LimitesLes Etats-LimitesLe terme borderline : frontière, désigne des troubles

    de la personnalité et de l’identité qui sont à la Le terme borderline : frontière, désigne des troubles

    de la personnalité et de l’identité qui sont à la de la personnalité et de l identité qui sont à la frontière de la névrose et de la psychose. On parle

    aussi de cas-limites, de personnalités-limites ou d th l i li it

    de la personnalité et de l identité qui sont à la frontière de la névrose et de la psychose. On parle

    aussi de cas-limites, de personnalités-limites ou d th l i li itencore de pathologies-limites.

    Ce sont des personnalités névrotiques qui sans

    encore de pathologies-limites.

    Ce sont des personnalités névrotiques qui sans Ce sont des personnalités névrotiques qui, sans développer une psychose complète, possèdent des

    dispositions psychotiques ou encore manifestent des

    Ce sont des personnalités névrotiques qui, sans développer une psychose complète, possèdent des

    dispositions psychotiques ou encore manifestent des aptitudes à faire usage de mécanismes schizophréniques en cas de frustration.aptitudes à faire usage de mécanismes schizophréniques en cas de frustration.

  • Rapport à la LoiRapport à la Loi

    1. « Nul n’est sensé ignorer la Loi ».1. « Nul n’est sensé ignorer la Loi ».

    2. « La Loi, c’est moi ».2. « La Loi, c’est moi ».

    3 « La Loi c’est mon désir »3 « La Loi c’est mon désir »3. « La Loi, c est mon désir ».3. « La Loi, c est mon désir ».

  • Rapport à l’autreRapport à l’autre

    1 « Pourquoi c’est toujours ou jamais moi » ? (Sujet)1 « Pourquoi c’est toujours ou jamais moi » ? (Sujet)1. « Pourquoi c est toujours ou jamais moi » ? (Sujet)1. « Pourquoi c est toujours ou jamais moi » ? (Sujet)

    2. « C’est de la faute des autres » (Objet)2. « C’est de la faute des autres » (Objet)

    3. « Je sais bien mais quand même » 3. « Je sais bien mais quand même »

    3. (bis) « Je sais que tu sais, et je sais que tu ne diras rien (Objet)

    3. (bis) « Je sais que tu sais, et je sais que tu ne diras rien (Objet)rien » (Objet)rien » (Objet)

  • Mécanismes psychiquesMécanismes psychiques

    Identification : désigne le processus central par lequel le sujet se constitue et se

    Identification : désigne le processus central par lequel le sujet se constitue et se par lequel le sujet se constitue et se

    transforme en assimilant ou en s’appropriant en des moments clés de son

    par lequel le sujet se constitue et se transforme en assimilant ou en

    s’appropriant en des moments clés de son s’appropriant, en des moments clés de son évolution, des aspects, attributs ou traits

    s’appropriant, en des moments clés de son évolution, des aspects, attributs ou traits

    des êtres humains qui l’entourent.des êtres humains qui l’entourent.

  • Mécanismes psychiquesMécanismes psychiques

    Projection : désigne un mode de défense primaire commun à la névrose à la

    Projection : désigne un mode de défense primaire commun à la névrose à la primaire, commun à la névrose, à la

    psychose et à la perversion, par lequel le sujet projette sur un autre sujet ou sur un

    primaire, commun à la névrose, à la psychose et à la perversion, par lequel le sujet projette sur un autre sujet ou sur un j p j j

    objet des désirs qui viennent de lui mais dont il méconnaît l’origine en les attribuant à une

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  • Mécanismes psychiquesMécanismes psychiques

    L’identification projective : concept L’identification projective : concept kleinien qui désigne un mode spécifique

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    d’identification et de projection p jconsistant à introduire sa propre

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    personne dans l’objet pour lui nuire personne dans l objet pour lui nuire. personne dans l objet pour lui nuire.

  • Mécanismes psychiquesMécanismes psychiques

    Déni : mécanisme de défense par lequel le sujet refuse de reconnaître la réalité d’une Déni : mécanisme de défense par lequel le sujet refuse de reconnaître la réalité d’une sujet refuse de reconnaître la réalité d une

    perception négative. Le déni est apparenté à la psychose par opposition au refoulement

    sujet refuse de reconnaître la réalité d une perception négative. Le déni est apparenté à la psychose par opposition au refoulement la psychose par opposition au refoulement caractéristique de la névrose. Si le névrosé refoule les exigences du ça, le psychotique

    la psychose par opposition au refoulement caractéristique de la névrose. Si le névrosé refoule les exigences du ça, le psychotique g ç , p y qnie la réalité extérieure pour construire une réalité hallucinatoire. C’est également un

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    é fmécanisme pervers par lequel le sujet fait coexister deux réalités contradictoires, ce qui

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    provoque refus et reconnaissance dans le provoque refus et reconnaissance dans le même mouvement.

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  • Mécanismes psychiquesMécanismes psychiques

    Dénégation : mécanisme de défense par lequel le sujet exprime de façon négative un Dénégation : mécanisme de défense par lequel le sujet exprime de façon négative un lequel le sujet exprime de façon négative un désir ou une pensée dont il refoule la présence ou l’existence

    lequel le sujet exprime de façon négative un désir ou une pensée dont il refoule la présence ou l’existence présence ou l existence.

    Clivage : phénomène propre au fétichisme à

    présence ou l existence.

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    Clivage : phénomène propre au fétichisme, à la psychose puis à la perversion en général, qui se traduit par la coexistence au sein du qui se traduit par la coexistence au sein du moi de deux attitudes contradictoires, l’une consistant à dénier la réalité, l’autre à

    qui se traduit par la coexistence au sein du moi de deux attitudes contradictoires, l’une consistant à dénier la réalité, l’autre à ,l’accepter.

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  • Postures socialesPostures sociales

    1. Victime1. Victime2. Bourreau3. Sauveur2. Bourreau3. Sauveur4. Aucun des 34. Aucun des 3

    Tutoiement/vouvoiementTutoiement/vouvoiementTutoiement/vouvoiement

    L dèl f ili l i i t

    Tutoiement/vouvoiement

    L dèl f ili l i i tLe modèle familial inconscientLe modèle familial inconscient

  • BibliographieBibliographieBAUDRILLARD J. (1990), La transparence du mal.Essai sur les phénomènes extrêmes, Paris, Galilée.BAUDRILLARD J. (1990), La transparence du mal.Essai sur les phénomènes extrêmes, Paris, Galilée.

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