LA RESIDENCE - Scènes Locales · 2019. 4. 10. · Sanseverino, copain depuis plus de 15 ans , l’...
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LA RESIDENCE Pendant près de 10 ans, Raymond Lapioche a silloné la France au sein de diverses formations, explorant tour à tour le ska, le reggae, l’électro dub, le hip hop ou encore la chanson française. En 2013, il s’éxile quelque temps sur les contreforts de l’Himalaya. Puis, après l’Inde c’est à Montréal qu’il se reconcilie avec la langue française. Il y apprend à se libèrer des complexes «franco-français» de la langue de Molière : «pour chanter, pas besoin de savoir bien parler». La frénésie culturelle Québecoise le conduira à pousser l’aventure plus à l’Ouest. Ainsi, c’est sur les terres indiennes du nord de la Colombie britanique qu’il redécouvre la simplicité d’une bonne ritournelle autour d’un verre , après une dure journée de travail dans les champs. Plus tard... De retour à Nantes, port d’attache de son âme de voyageur, il se décide à mettre en chanson les rencontres, les joies et les peines avec des mots simples qui parlent au coeur. Parlant de ses amis, de ses amours perdus ou du temps qui s’en fout, il mélange les mots pour qu’au final on n’en retienne qu’un air de légerté, un hymne à la vie ; la musique comme une petite mélodie au service des sentiments qui ne connaissent pas de frontières. Enfin, une rencontre allait bouleverser sa vision de la musique, le ukulélé, un instrument qui possède cette capacité rare à évoquer le soleil sous la pluie. « Le retour au pays d’une Canaille » supplément / AVRIL 2017 - Raymond Lapioche - R aymond Lapioche est une canaille de la chanson française qui puise à coup de pioche son inspiration dans les musiques du monde. Auteur Compositeur basé à Nantes, il nous invite au voyage quelque part entre Shakira et Compay Segundo, entre Tony Allen et Manu Chao. Sur scène, armé de son ukulélé face à des percussions furieuses ou encore une trompette déglinguée, Lapioche rend hommage aux musiques du monde. Faisant la part belle aux couleurs carribéennes et sud amércaines. L es musiciens ont ici toute liberté pour rivaliser d’improvisations et nous faire danser sur de la chanson à texte. L’écriture libre qui ne connait qu’une seule règle : il n y a pas de règle! Raymond revendique ses influences du coté de la poésie de Rimbaud, du réalisme des chansons de Brassens ou encore dans la sensibilié poétique de Souchon et de Césaria Evora. FOCUS SUR LAPIOCHE Qui est ce saltimbanque ? Les membres de Raymond Lapioche : Olivier Noury (ukulele / chant) : la rue des pavots / Mr bazick / taxi brousse / freechti... Jidé Jouannic (Basse / Contrebasse) : jim murrple mémorial / Anis / Sanséverino Franck Thomelet (batterie/percussion) : ONPL / A. Mandgerlsdorff / Brass band de G.Tamissier / Bo-weavil / Lavesquo... Amaury Brisou (trompette) : diplôme fin étude conservatoire improvisation jazz / Blankass... Stephane Agniel (guitares) : école de la rue / compagnie bonne pioche... Crédit photo : Lubos Bohacik Crédit photo : Lubos Bohacik P. ( 1 )
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LA RESIDENCE
Pendant près de 10 ans, Raymond Lapioche a silloné la France au sein de diverses formations, explorant tour à tour le ska, le reggae, l’électro dub, le hip hop ou encore la chanson française. En 2013, il s’éxile quelque temps sur les contreforts de l’Himalaya. Puis, après l’Inde c’est à Montréal qu’il se reconcilie avec la langue française. Il y apprend à se libèrer des complexes
«franco-français» de la langue de Molière : «pour chanter, pas besoin de savoir bien parler». La frénésie culturelle Québecoise le conduira à pousser l ’aventure plus à l’Ouest. Ainsi, c’est sur les terres indiennes du nord de la Colombie britanique qu’il redécouvre la simplicité d’une bonne ritournelle autour d’un verre , après une dure journée de travail dans les champs.
Plus tard... De retour à Nantes, port d’attache de son âme de voyageur, il se décide à mettre en chanson les rencontres, les joies et les peines avec des mots simples qui parlent au coeur. Parlant de ses amis, de ses amours perdus ou du temps qui s’en fout, il mélange les mots pour qu’au final on n’en retienne qu’un air de légerté, un hymne à la vie ; la musique comme une petite
mélodie au service des sentiments qui ne connaissent pas de frontières. Enfin, une rencontre allait bouleverser sa vision de la musique, le ukulélé, un instrument qui possède cette capacité rare à évoquer le soleil sous la pluie.
« Le retour au pays d’une Canaille »
supplément / AVRIL 2017 - Raymond Lapioche -
Raymond Lapioche est une canaille de
la chanson française qui puise à coup de pioche son inspiration dans les musiques du monde. Auteur Compositeur basé à Nantes, il nous invite au voyage quelque part entre Shakira et Compay Segundo, entre Tony Allen et Manu Chao. Sur scène, armé de son ukulélé face à des percussions furieuses ou encore une trompette déglinguée, Lapioche rend hommage aux musiques du monde. Faisant la part belle aux couleurs carribéennes et sud amércaines.
Les musiciens ont ici toute liberté pour
rivaliser d’improvisations et nous faire danser sur de la chanson à texte. L’écriture libre qui ne connait qu’une seule règle :
il n y a pas de règle! Raymond revendique ses influences du coté de la poésie de Rimbaud, du réalisme des chansons de Brassens ou encore dans la sensibilié poétique de Souchon et de Césaria Evora.
FOCUS SUR LAPIOCHEQui est ce saltimbanque ?
Les membres de Raymond Lapioche :Olivier Noury (ukulele / chant) : la rue des pavots / Mr bazick / taxi brousse / freechti...
Jidé Jouannic (Basse / Contrebasse) : jim murrple mémorial / Anis / Sanséverino Franck Thomelet (batterie/percussion) :
ONPL / A. Mandgerlsdorff / Brass band de G.Tamissier / Bo-weavil / Lavesquo... Amaury Brisou (trompette) : diplôme
fin étude conservatoire improvisation jazz / Blankass... Stephane Agniel (guitares) : école de la rue / compagnie bonne
pioche...
Crédit photo : Lubos Bohacik
Crédit photo : Lubos Bohacik
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LA RESIDENCE - supplément - / AVRIL 2017 - Raymond Lapioche
Très jeune il découvre la musique avec le piano famillial et tient la
batterie avec l’orchestre de son père Christian Thomelet. Il se forme ensuite à la batterie Jazz avec J.P Berthaud et Jean Chevalier puis étudiera les percussions au conservatoire de Nantes avec G. Hiéronimus. Des débuts percutant qui déboucheront sur un riche parcours professionnel, véritablement bien trop long à détailler ici...Chez lui, le voyage et la musique sont indissosciable. Son expérience internationale le conduira à développer un jeu riche aux multiples influences. Jouant tour à tour en Hollande de 1983 à 1990, au Kenya en 1992, en Allemagne en 1997 et aux USA. Puis de 2004 à 2009 il jouera dans différents clubs de Jazz de Madrid où Il découvrira le «cajon» Péruvien et flamenco. Il fera ensuite plusieurs tournées, Italie, USA, Angleterre, Pays bas et les Pays Scandinaves au sein de diverses formations.Passionné par les musiques populaires de plusieurs continents il est aujourd’hui devenu une référence dans le milieu. Il poursuit sa route également avec le Trio Lavesquo ou encore le Peanut Roots.
Issu de la banlieue parisienne, «Jidé» fait ses armes aux sein
de moult groupes punk, rock, ska, alternativo-java, fonde Raymorah et croise la scène des bars parisiens ! c’est les grandes années de la scène altenative Française!
Il se frotte alors au swing manouche roots dans les camps d’Argenteuil et
Eragny, rejoint Jim Murple Memorial et son rythm’n’blues jamaicain. Ensuite se sera avec Schultz ( Parabellum) et son rock’n’roll sauvage qu’ il sillonera les scènes de France et d’Europe. Plus tard, il rencontre Anis avec qui il fera un Album et 5 ans de tournée qui l’emmèneront de Montréal à Rio. Sanseverino, copain depuis plus de 15 ans , l’ invite à le rejoindre pour 5 ans de tournée et 2 albums !
Aujourd’hui il a posé ses valises à Nantes pour de nouvelles
aventures !
Amaury débute la pratique de l’instrument à l’âge de sept
ans, désirant d’abord jouer du saxophone, ce sera finalement la trompette. Il découvre très jeune le jazz et les musiques improvisées. Accrochant instantanément il passera la plus grande part de sa jeunesse au conservatoire de musique de Bourges. Plus tard, Blankass, groupe aussi originaire du centre le sollicite pour l’enregistrement d’une chanson sur leur album « L’homme fleur », lui offrant là, sa première expérience professionelle.Plus de dix années s’écoulent, pendant lesquelles il parcourt les jam’s de jazz ici et là , se consacrant à l’approfondissement de sa technique instrumentale. Après de longs voyages à l’étranger, il pose ses valises à Nantes et reprend la musique à plein régime. Il intègre la formation de Raymond Lapioche afin d’y incorporer un soufle de Jazz et d’improvisation.
AUTOUR DE RAYMOND LAPIOCHE //FRANCK THOMELET Batterie/PercussionsONPL/A .Mandgerlsdorff/Brass bandde G.Tamissier/Bo-weavil/Lavesquo...
Amaury BrisouTrompettediplôme de fin d’étude conservatoireimprovisation jazz/Blankass...
Jean Daniel Jouannic Basse/ Contrebassejim murrple mémorial/Anis/Sanséverino...
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supplément - / AVRIL 2017 - Raymond Lapioche - LA RESIDENCE
Gamin, il découvre la musique avec un mini synthétiseur bon
marché, avec lequel il rejoue tous les airs qu’il entend. Mais ce sera le punk et le métal qui le conduiront à la guitare. Plus tard il découvre les boîtes à rythmes, les séquenceurs et autres sampleurs, qui vont lui permettre de composer ses premiers morceaux dans différents registres : dub, hip hop, down beat, break beat, reggae, ska, techno...
Ensuite, Franck Bareau joueur de jazz manouche lui offria d’ affiner
son jeu de guitare en lui transmettant une véritable patte tzigane. Enfin, il intègre une formation jazz/swing : The Blue Nuts formation qui reprend les grands standart du jazz et son répertoire s’élargit encore. En parallèlle, il cherche à former un groupe local, quand Raymond Lapioche l’interpelle avec ses chansons....
Il fut apporté à Hawaii par des immigrants portugais de l’île de
Madère en 1879, débarqués là pour cueillir la canne à sucre. L’arrivée du ukulélé est très exactement datable : les sources indiquent précisément que c’est à bord du Ravenscraga que la braguinha (ou machete, variante madérane de l’instrument) fut importée à Hawaï ( à l’époque l’archipel était encore appelé îles Sandwich ). À bord du bateau se trouvaient les trois hommes que l’histoire a retenus comme responsables de l’introduction et de la transformation d’une certaine tradition de lutherie portugaise : il s’agissait de Manuel Nunes, José do Espírito Santo et Augusto Diasa, trois ébénistes de Madère qui avaient des connaissances en lutherie et qui transportaient apparemment leurs cavaquinhos.
Source : WIkipedia
Stephane AgnielGuitaresécole de la rue/compagnie bonne pioche...
Le ukuléléL’instrumentLe soleil sous la pluie...
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