La motivation, les grands courants pédagogiques, les psychologies, la gestion de classe (version...
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La motivation, les grands courants
pédagogiques, les psychologies, la gestion de classe(version courte)
Par Patrick JJ DaganaudTous droits réservés
les 8 «grandes écoles» de psychologieLA PSYCHANALYSE
ISSUE DES TRAVAUX DE FREUD : S ’INTÉRESSE AUX DIMENSIONS AFFECTIVES, ÉMOTIONNELLES ET SEXUELLES AINSI QU ’AUX CONFLITS INTRAPSYCHIQUES QU ’ELLES ENGENDRENT
• CARLJUNG : PASSAGE VERS L ’HUMANISME
LE BÉHAVIORISME OU
PSYCHOLOGIE DU COMPORTEMENT DÉCOULE DU MOUVEMENT EMPIRISTE NORD-AMÉRICAIN. SES PRINCIPAUX LEADERS SONT JOHN WATSON ET BURRHUS SKINNER.
LA GESTALT OU PSYCHOLOGIE DE
LA FORME S’INTÉRESSE AUX STRUCUTRES ET AUX FONCTIONS COGNITIVES INTERVENANT DANS LA PERCEPTION ET DANS LES AUTRES FONCTIONS COGNITIVES : KÖHLER, WERTHEIMER, KOFFKA
LA PSYCHOLOGIE
COGNITIVE INSPIRÉ DU CONSTRUCTIVISME GÉNÉTIQUE DE PIAGET OU PSYCHOLOGIE GÉNÉTIQUE : CELLE DES STADES DE DÉVELOPPEMENT...
«Apparente digression» : les 8 «grandes écoles» de psychologie
LE -PSYCHOCOGNITIVISME
OU PSYCHOLOGIE COGNITIVE, FONDÉ SUR LE TRAITEMENT DE L ’INFORMATION, QUI DÉVELOPPE UNE APPROCHE INNÉISTE ET COMPUTATIONNELLE DE L ’APPRENTISSAGE ET AUTRES PROCESSUS COGNITIFS
LA PSYCHOLOGIE
HUMANISTE ET PERSONNALISTE QUI PLAIDE EN FAVEUR DES IDÉES DE LIBERTÉ, DE RESPONSABILITÉ ET DIGNITÉ DE LA PERSONNE : CARL ROGERS
LA PSYCHOLOGIE
PHÉNOMÉNOLOGIQUE QUI S ’INTÉRESSE PLUS AU MONDE VÉCU QU ’AUX FAITS, À LA SUBJECTIVITÉ DE L ’EXPÉRIENCE HUMAINEQU ’À l ’OBJECTIVITÉ DE LA SCIENCE : EDMUND HUSSERL, MAURICE MERLEAU-PONTY
LA PSYCHOLOGIE
TRANSPERSONNELLE QUI TENTE D ’ INTÈGRER DES VALEURS SPIRITUELLES ET DES DIMENSIONS TRANSCENDANTALES À SA DISCIPLINE
LA MOTIVATION• Clé de contact de
tout mouvement vers la réalisation d ’une action (préférablement autodéterminée... )
• «Il y a autant de motivations que d'étoiles dans le ciel et de grains de sable sur la plage»...
Les motivationsMotiver, c'est stimuler à l'aide d'une
grande diversité de moyens, un quelconque des 4 éléments de
motivation :
• 1 ) Les principes de référence ou empreintes
• 2) Les orientations générales de l'être
• 3) Les comportements • 4) Les significations
Les motivations1) Les principes de référence ou empreintes• Principes biologiques contenus dans les instincts
• Principes biologiques contenus dans les mécanismes de défense
• Principes biologiques contenus dans les besoins primaires
• Principes latents des besoins secondaires
• Vérités et croyances conditionnées
• Normes implicites des rôles sociaux, des coutumes et des traditions
• Valeurs humaines générales
• Valeurs sociales ou personnelles constitutives des mentalités
• Certitudes existentielles organisant les complexes personnels et diverses attitudes fondamentales
Les motivations
Les orientations générales de l'être• État neurophysiologique de prédisposition à la mise en
oeuvre du comportement instinctif
• État de tension orientée du besoin
• Les deux grandes orientations affectives (exaltation-déception) de l'émotion
• État de prédisposition qu'est le complexe personnel
• Les attitudes comme orientations générales de la manière d'être face à certains éléments du monde
• Les orientations de valeur, constitutives des rôles sociaux idéaux et des mentalités globales
Les motivationsLes comportements• Comportements innés et programmés de l'instinct
• Comportements habituels liés à la satisfaction des besoins, des aspirations
• Formes concrètes des comportements défensifs (défense du moi et défense sociale)
• Scénarios et jeux défensifs des défenses transpersonnelles
• Habitudes, routines et rituels personnels
• Comportements complexuels stéréotypés
• Comportements traditionnels et les rituels sociaux
Les motivations
• Les significations• Stimuli -clés déclencheurs des comportements
instinctifs
• Objets et situations évocateurs des fantasmes et des archétypes
• Objets, signes ou symboles évocateurs (inconditionnels ou conditionnés) des mécanismes de défense
• Situations qui ont le sens de «satisfactrices» ou de frustrantes
• Images et représentations imaginaires
LES GRANDS COURANTS PÉDAGOGIQUES
D’APRÈS
GAUTHIER, C et
TARDIF, M. (1996)
LA PÉDAGOGIE,Théories et pratique de
l’Antiquité à nos jours
Boucherville :
Gaétan Morin Éditeur
XlX~XXe siècles Passage de la pédagogie traditionnelle... à la pédagogie nouvelle
• Pédagogie traditionnelle : pratique de savoir-faire
conservatrice, prescriptive et ritualisée, formule qui respecte
et perpétue la méthode d’enseignement du XVIIe siècle. Cette
tradition, basée sur l’ordre, se voit poussée à l’extrême au
XIXe siècle, dans la période dite “ d’enseignement mutuel ”
qui correspond à la révolution industrielle.
• Caractérisée par un souci d’efficacité emprunté au modèle
économique dominant, et par le développement de
l’éducation populaire, c’est-à-dire l’apparition d’énormes
groupes-classes exigeant une organisation globale
extrêmement détaillée.
XlX~XXe siècles Passage de la pédagogie traditionnelle... à la pédagogie nouvelle
• Néanmoins, au début du XXe siècle que la pédagogie
traditionnelle est contestée par l’École nouvelle. La science,
qui prend désormais une place prépondérante et le désir
d’être davantage à l’écoute des besoins de l'enfant afin de
créer un homme nouveau sont les facteurs de ce
changement. La pédagogie est abordée comme un domaine
de pratique devant relever de la science en général, et de la
psychologie de l’enfant en particulier. On fait appel à
l’observation et à l’expérimentation objectives afin de créer
une science de l’éducation. La pédagogie nouvelle se forme
dans une opposition étroite à la tradition.
XlX~XXE siècles Passage de la pédagogie traditionnelle... à la pédagogie nouvelle
Éléments de la pédagogie nouvelle :
• concentration de l’attention sur l’enfant, sur ses besoins et
ses intérêts; définition de l’enseignant comme guide.
• En somme, la pédagogie nouvelle place l’enfant au centre de
ses préoccupations et s’oppose à une pédagogie
traditionnellement centrée sur le maître et sur les contenus à
transmettre.
• Ce mouvement est le point de départ d’une multitude de
courants de pensée qui existent encore aujourd’hui et qui
influencent l’ensemble des pratiques pédagogiques actuelles.
Maria Montessori Italie-1870-1952(Hollande)
L’enfant est défini comme la source de sondéveloppement, comme la première personne engagéeactivement dans la construction de sa personnalité.
L’adulte et l’enseignant sont des aides à sa croissance. Partant des observations réalisées sur les enfants et de
la prise en compte des stades de leur développement,Maria Montessori a pensé l’organisation de la classe etl’acte éducatif :
La classe est aménagée à la mesure de l’enfant pour cequi est de son organisation physique et didactique.
L’acte éducatif répond à une finalité d’éducationintellectuelle, affective, sociale et universelle, intégrantdes activités individuelles et collectives.
L’acte éducatif de Maria Montessori intègre ainsil’accompagnement au développement de l’individualitéenfantine à une œuvre plus grande, soit celle de la vieet celle de la vie humaine dans I'univers.
Célestin FreinetFrance-1896-1966
L’école Freinet, créée en 1933 et caractérisée parl’engagement sociopolitique de son fondateur,s’inscrit dans le mouvement de la pédagogie nouvelle.Les principes qui orientent son action sont, pourpermettre à chaque enfant d'épanouir son proprepotentiel :
le respect de l’individualité de l’élève et le respect dela communauté, les deux formant un tout solidaire.
La pédagogie de la participation et de la coopération. L'harmonisation du programme d’enseignement et de
son contenu avec les activités de façon à favoriserl’expression sous ses diverses formes
La participation de l’enfant à l’organisation du plan detravail scolaire.
Le développement de la dimension communicative etsociale de l’enfant:
L’alternance de l’enseignement collectif et individuel
Alexander NeilI Angleterre-1883-1973
Laisser l’enfant épuiser son désir et ses intérêts: devise etfinalité de la pédagogie libertaire de Alexander S. Neill, quia fondé Summerhill, l’école de la liberté, en 1921.Sa méthode s’inscrit en opposition à la scientificité,moralisation et culture de l’esprit. L’éducation estl’exploration affective du soi : l’être humain estfondamentalement bon, l’enfant possède un sens inné dela justice la société le pervertit par son action moralisatriceet castratrice.La conduite des enfants ne fait l’objet d’aucunecondamnationLa présence des enfants aux cours n’est pas obligatoire,seuls les intérêts et la volonté des élèves font office dedirectives.Bref, ni censure ni punition, ni obligation ni moralisation.Environnement libre mais non anarchiquePermettre la liberté individuelle dans le respect de la libertédes autres.La vie collective de l’école est régie par des règlesélaborées par les enfants et par les enseignants; la voix dechacun a le même poids décisionnel..L'action éducative de Neill est davantage une professionde foi qu'une méthode «objective».
Rudolf Steiner-Autriche-Hongrie-I861-1925la pédagogie Waldorf (1919)
Éducation Waldorf : spiritualiste, partant dufondement steinérien selon lequel l’être humainnon réductible à sa dimension matériellepossède également une dimension spirituelle.Deux considérations majeures: la formation de l’enfant dans sa totalité met
en œuvre une éducation fondée sur ledéveloppement septennal et s’adressant auxtrois forces de l’âme, soit la volonté, lesentiment et la pensée; les principesintervenant dans la pratique éducative serontrespectivement le rythme pour la volonté,l’imagination et l’art pour le sentiment,l’exercice rationnel pour la pensée.
Rudolf Steiner-Autriche-Hongrie-I861-1925la pédagogie Waldorf (1919)
la prise en compte de son individualité en devenirimplique de développer chez l’élève les capacitésd’ouverture et de sensibilité à son environnementsocial et universel, de lui donner des outils qui luipermettront non seulement d’œuvrer dans le monde,mais de le comprendre.
L’école Waldorf se présente comme un organismevivant, à l’instar du monde, et non comme un lieuprogrammé : La classe, lieu d’apprentissage est aussi lieu de
rencontre interindividuelle, L’école naît de la volonté des parents et comporte
ainsi un esprit communautaire.Pour ce qui est de l’administration de l’éducation, la
philosophie steinérienne prône la liberté de pensée.
L’approche sociocognitiveAlbert Bandura-1925 Alberta-Canada
La notion de personnalité chez Bandura : les variables d’une situation et celles de la personne qui vit dans cette situation sont indissociables. Le «système-soi » (self system). : l’individu estime et interprète les stimuli qui tendent à renforcer ses conduites.
L’approche sociocognitiveAlbert Bandura-1925 Alberta-Canada
Contrairement à ce qu’avance Skinner, les attentes, les prédictions, et, en somme, les jugements de valeur d’une personne agissent comme renforçateurs de ses propres conduites, la personne répondant de façon gratifiante ou punitive à ses propres actions. La façon dont une personne perçoit et évalue
sa capacité à composer avec les exigences de son milieu agit donc en retour sur son comportement et sa performance.
C’est à partir de là qu’elle développe une perception de compétence ou d’efficacité personnelle, c’est-à-dire un ensemble de convictions et d’attentes qu’elle entretient.
La pédagogie ouverte Carl Rogers-1902-1986-USA
Le paradigme humaniste existentiel : Rogers considère que le «besoin de considération positive inconditionnelle» est central dans le développement de I’enfant. Il agit donc non seulement en fonction de son guide intérieur, c’est-à-dire de l’évaluation « organismique», mais aussi en fonction des attentes de I ‘entourage. Ces deux tendances (actualisation et auto-actualisation) travaillent à l’unisson tant et aussi longtemps que règne un état de congruence entre le soi et l'expérience « organismique ».
La pédagogie ouverte Carl Rogers-1902-1986-USA
Toutefois, l’enfant, pour s’assurer l’amour
et la sécurité, peut se couper de son expérience totale et isoler son concept de soi.
Il se crée donc un état d’incongruence
entre le concept de soi et l’évaluation « organismique et les deux tendances. ne travaillent plus de pair.
Intérieurement embrouillé, anxieux, il ne peut
dès lors que s’éloigner de son inclination développementale initiale.
La pédagogie ouverte Carl Rogers-1902-1986-USA
Souvent l’enfant abandonne ses vrais sentiments ou délaisse ce qu’il ressent intérieurement afin de correspondre aux attentes parentales et mériter ainsi l’amour dont il a besoin. L’enfant apprend ainsi à critiquer son expérience en se basant sur les notions de bien et de mal, et il éprouve des sentiments douloureux de honte, de culpabilité ou de dégoût. Incorporant au moi les standards parentaux, c’est bientôt son autoregard positif qu'il conditionne à la satisfaction des conditions de leur introjection
La pédagogie ouverte Carl Rogers-1902-1986-USA
Le concept de soi est entièrement conscient et se développe au fur et à mesure que l'organisme se différencie. Il se définit comme la capacité que chacun possède de se percevoir et de «se vivre» comme une identité particulière et séparée d’autrui. L’actualisation: un processus, une démarche de tous les instants ne sera jamais une destination. Ce processus se caractérise par trois conditions principales qui permettent d’en saisir tout le dynamisme : La première est celle de l’ouverture sur l’expérience. La deuxième condition est celle de la prise en charge de l’individu par lui-même. Enfin, la dernière condition, celle de l’action, signifie que la personne utilise ses compétences afin d’agir adéquatement et d’actualiser ses choix.
Le béhaviorisme• Est issu de 4 courants : le positivisme (scientifique),
la psychologie comparée (inter-espèces), le structuralisme et le fonctionnalisme.
• A pour origine le connexionisme de Thorndike
• Inclut le conditionnement classique de Pavlov (1849-1936) et Watson (1878-1958), également dit «répondant».
• Skinner (1904-1990) donne naissance au conditionnement «opérant», qui traite de l ’impact des conséquences d ’un comportement sur les modifications que l ’on peut ou veut lui apporter.
Le béhaviorismeCaractériser les comportements se fait
• selon leur forme : topographie du geste comportemental,
• selon leur intensité ou force : énergie physique transmise dans le comportement,
• selon leur fréquence : répétition comportementale dans un temps donné,
• selon leur durée : étalement du temps de réponse ,
• selon leur conformité : respect de la requête de réponse et de ses critères,
• selon le temps de latence ; intervalle entre le stimulus et la réponse.
Le constructivismeChange le paradigme de l’enseignement pour celui de
l’apprentissage
• Attribue à l’enseignant le rôle de médiateur
• Attribue à l’écolier le rôle-clé d’apprenant et…
• Le place au coeur du processus de l’enseignement-apprentissage.
• Vise la constructuion par l’élève de sa compréhension…
• En tenant compte de ses acquis et
• En lui proposant des activités propres à lui faire CONSTRUIRE les notions (au sens large) visées.
Le SOCIOconstructivismeAJOUTE au constructivisme individuel le
constructivisme collectif : ON CONSTRUIT À PLUSIEURS, COLLECTIVEMENT, DANS UN ENVIRONNEMENT LARGE.
• Attribue aussi à l’enseignant le rôle de médiateur et y additionne celui de coordonnateur
• Attribue à l’écolier le rôle-clé d’apprenant et de coopérant
• Le place au coeur du processus de l’enseignement-apprentissage en approche coopérative
• Vise la constructuion par LA COLLECTIVITÉ de leurS compréhensionS…
Le psychocognitivisme• Issues de la «philosophie de l ’esprit» et du règne de
la communication, les sciences cognitives actuelles ont environ 40 ans et sont nées en même temps que les recherches sur les ordinateurs, la cybernétique, l ’intelligence artificielle, la neurologie, la linguistique...
• Elles s ’intéressent toutes au traitement de l ’information et se fondent sur le postulat épistémologique de l ’unité de la science.
• En ce sens, le cognitivisme étudie les structures et les processus mentaux comme un système complexe dont l ’origine est l ’organisation multifactorielle du cerveau .
•
Le psychocognitivisme• Le psychocognitivisme est résolu à améliorer le
traitement de l ’information par lequel se construisent les compétences constitutives des intelligences humaines.
• Ce traitement inclut l ’usage des processus mentaux, sa métacognition et l ’accroissement de l ’accès au plein potentiel de développement.
• Son terrain n ’est donc pas celui des seuls comportements mais aussi celui des processus invisibles (postulat méthodologique) déjà inscrits dans la nature même du cerveau humain (postulat anthropologique innéiste)
Le psychocognitivismeLe traitement de l ’information implique :
• la manipulation, y compris les transformations structurales et changements contextuels;
• la sélection, y compris la sélection «déductive » et la sélection «inférante» ;
• le classement, y compris sa structure édifiante,
• la conservation, y compris ses codes de rappel
• la réutilisation de l ’information, y compris le renouvellement complet du processus.
Le psychocognitivismeLes connaissances (informations-formations à acquérir) sont dites :
•déclaratives (quoi ?), procédurales (comment ?), conditionnelles (quand, pourquoi ?)
Le processus de résolution de problèmes implique l ’attention-concentration, la motivation versus la tâche ou ses résultantes, la représentation mentale et sa gestion, la sélection et la rétention (dans la mémoire court terme) des éléments pertinents, la référence aux acquis antérieurs , le stockage des acquis dans la mémoire long terme, l ’élaboration de stratégies de solution, leur application, le choix d ’une stratégie satisfaisante, la construction d ’une ou de règles, la réutilisation de ces règles.
LA GESTION DE CLASSELA GESTION DE CLASSE• Les compétences universitaires de l'enseignant ne
sont pas suffisantes pour proposer à ses élèves un enseignement de qualité.
• De très nombreux autres paramètres entrent en jeu, que l'on peut regrouper sous la formule "d'environnement d'apprentissage".
• L’environnement d'apprentissage peut intervenir jusqu'à 50 % dans la réussite (ou l'échec) des élèves, selon qu'il est de bonne ou de mauvaise qualité.
• On peut regrouper les composantes de cet environnement selon quatre aspects :
• physique,physique, émotionnel,émotionnel,
social social mental.mental.
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 1 : environnement physique et 1 : environnement physique et apprentissageapprentissage
• la salle de cours
• connecteurs et déconnecteurs• attention de l'esprit, détente du corps• créer un bas niveau de stress• faciliter les changements d'état• utiliser l'espace en 3D comme lieu
d'apprentissage• utiliser des "périphériques"
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 2 : environnement émotionnel et 2 : environnement émotionnel et apprentissageapprentissage
• importance d'introduire émotions et sentiments dans un apprentissage
• la qualité de l'accueil
• les nombreux et délicats paramètres de la motivation
• les filtres, craintes et angoisses
• humour, fantaisie, et sérieux
• la qualité de la progression pédagogique
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 2 : environnement émotionnel et 2 : environnement émotionnel et apprentissageapprentissage
• " l'écoute " des élèves par le professeur
• les langages verbal et non-verbal
• utiliser des rites discrets
• permettre à la créativité de chacun de s'exprimer
• l'utilisation des arts dans l'apprentissage
• réfléchir sur l'apprentissage
• bien clôturer l'apprentissage
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 3 : environnement social et 3 : environnement social et apprentissageapprentissage
• bien vivre ensemble
• savoir résoudre les conflits
• savoir garder la bonne distance
• pouvoir exprimer ses valeurs, ses sentiments, ses souhaits
• coopération versus compétition
• favoriser le travail en groupes
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 4 : environnement mental et 4 : environnement mental et apprentissageapprentissage
• la qualité de l'introduction• fixer les paramètres de contrôle• présenter la vue globale,• aider à créer des points d'ancrage• créer ses propres structures mentales• mieux connaître le fonctionnement du cerveau
dans un apprentissage • mieux connaître les modalités personnelles
d'acquisition
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 4 : environnement mental et 4 : environnement mental et apprentissageapprentissage
• toucher les différents"modes préférentiels d'apprentissage"
• présentation en faisceau des nouvelles connaissances
• les intelligences multiples• l'activation des nouvelles connaissances• faciliter la mémorisation• vérifier la qualité des acquis
Transformer l'environnement d'apprentissage
• 4 : environnement mental et 4 : environnement mental et apprentissageapprentissage
• utiliser l'apprentissage inconscient• utiliser les erreurs comme aides à
l'apprentissage• proposer des jeux stimulants• introduire des exercices de"pensée
décalée"
Achevé ce 2009-11-19
Par Patrick JJ Daganaud
Tous droits réservés