LA MORT AUX TROUSSES - DE ALFRED HITCHCOCK

QUIPROQUOÉLÉMENT

PERTUBATEUR

Le quiproquo initial (définir l’élément perturbateur du récit)

LA MACHINATION

EST ENCLENCHÉE

Le héros ne peut prouver son identité auprès de ses ravisseursIl ne peut prouver son enlèvement et la tentative d’assassinat dont il a été

victimeIl passe pour un voleur (la voiture)

LA QUÊTE DE KAPLAN / FUITE

Découverte du véritable M. Townsend qui est assassiné pendant la conversation à l’ONUIl devient suspect n°1

Echapper aux ravisseursEchapper à la police (train

LA DOUBLE MANIPULATION

Thornhill devient l’incarnation de Kaplan. Il se retrouve manipulé par la CIA pour protéger un agent

Il est manipulé par Eve qui le séduit. Mais, elle travaille apparemment pour Vandamm.

C’est elle qui prend rendez-vous avec Kaplan pour Roger Thornhill qui se retrouve en mauvaise posture sur la Nationale 41

Thornhill découvre qu’Eve travaille pour la CIA : Il accepte de jouer le rôle de Kaplan pour saver Eve...

Vandamm est lui aussi manipulé : la méprise initiale se retourne contre lui. D’autre part, Eve cherche à regagner sa confiance.

Le marché : Eve contre la sécurité de Vandamm

La mise en scène : Eve tire sur Thornhill

THORNILL SE “DÉCHAÎNE”

Il réussit à s’échapper de la chambre d’hôpital et rejoint la villa de Vandamm et tente de sauver Eve

LUTTE FINALE La course poursuite (Mt Rushmore)

DÉNOUEMENT Happy end : le coupe est reformé

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FOCALISATION INTERNE

Caméra subjective

Caméra placée dans l’axe de vision du personnage. La lunette arrière délimite un cadre secondaire correspondant à son champ de vision.Ecran dans l’écran. Il y a une sorte de mise en abîme.

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SUSPENSE

Musique / silence

Identification avec le héros

Le spectateur n’en sait pas plus que le

héros

Angoisse & Plaisir de la peur

Le spectateur en sait parfois plus

que le héros

Manipulation du spectateur que

l’on lance sur une fausse piste

Coups de théâtre Faux happy-end

dans la forêtFaux crime passionnel

Le rythmeUtilisation de temps creux :

l’attente crée de manque, ce qui

accroît la tension

Le montage parallèle

Cadrage Inserts

Plongée/contre-plongée

Champ/contre-champ

Point de vue omniscient

Le passage d’un plan à l’autre permet au spectateur d’en savoir plus que le héros puisque nous découvrons ce que regarde le guichetier.

Disparu du champ de vision du guichetier le héros entre dans le champ de vision du spectateur.

Le héros n’est plus dans le champ de vision du guichetier mais au plan suivant le spectateur retrouve le héros

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FOCALISATION EXTERNE

TRAVELLING LATERAL + bande son : les voix sont inaudibles, couvertes par le bruit du hall de gare. Une autre scène reprend ce procédé ( discussion entre Thornhill et le professeur)

COMPOSITION DES PLANS

• LES LIGNES DE FUITE symbolisent la fuite en avant a laquelle est contraint le héros .

• L’USAGE DES PLONGEES concrétise le caractère IMPLACABLE du DESTIN.

• LES DIAGONALES soulignent par le déséquilibre qu’elles créent la précarité du héros Il se retrouve en dehors de la norme (vie sociale organisée)

Le motif récurrent du miroir qui apparaît dès le générique évoque le jeu des apparence qui est un moteur du film

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Le motif de la fenêtre ou le cadre dans le cadre Le rôle de l’insert

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Être ou ne pas être

Ce qu’il (ou elle) semble être pour...

THORNILL X

EVE X

VANDAMM X

LE SPECTATEUR

Ce qu’il (ou elle ) est réellement pour

THORNILL X

EVE X

VANDAMM X

LE SPECTATEUR

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PLAN D’HÉLICOPTÈRE - EXT ROUTE 41 - APRÈS MIDI

On COMMENCE EN PLAN SERRÉ sur un autocar Greyhound qui fonce vers l'est à 115 km/h, SUIVI par LA CAMÉRA AU- DESSUS de lui. Progressivement, LA CAMÉRA SE DÉTACHE de l'autocar en prenant de l'altitude, mais sans jamais le perdre de vue. Il s'éloigne de nous et finit par ressembler à un modèle réduit sur I interminable ruban de route déserte déroulé sur l'immense étendue de prairie. Puis l'autocar ralentit. Il s'approche d'une intersection avec une petite route qui vient de nulle part, qui traverse la route et qui continue vers nulle part. L'autocar s 'arrête. Un homme en descend. C'est Thornhill. Mais pour nous, c'est seulement une minuscule silhouette. L'autocar redémarre et disparaît du champ de vision. Thornhill se retrouve tout seul au bord de la route: une petite silhouette au milieu de nulle part. Au niveau du sol avec Thornhill - (Version pour tournage) Il regarde autour de lui, observe son environnement. Le terrain est plat, sans arbres, et le paysage est encore plus désolé vu d'ici qu'il ne le semblait vu des airs. Quelques parcelles de terres cultivées organisent un peu l'espace. Le soleil tape violemment. UN SILENCE ABSOLU pèse comme une chappe de plomb. Thornhill regarde sa montre. Il est 3h25. On ENTEND au loin UN FAIBLE RONRONNEMENT de VÉHICULE A MOTEUR. Thornhill regarde vers l'ouest. LE RONRONNEMENT S'AMPLIFIE au fur et à mesure que la voiture s 'approche. Thornhill fait un pas vers le bord de la route. Une berline noire surgit à grande vitesse. On se demande un instant si elle ne fonce pas droit sur Thornhill. Mais elle passe EN TROMBE devant lui, s 'éloigne à l'horizon, redevient UN FAIBLE RONRONNEMENT, une petite tache noire, et c 'est

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Thornill l’anti-héros ou le héros malgré lui

Il subit

Il est un “objet” entre les mains d’autrui

Thornill le héros

Evasion après “la mort de Kaplan”

Figure du chevalier qui vient au secours de la “Belle”

Le point de rupture

n41/ le vol de la camionnette

LE SILENCE à nouveau. Thornhil sort un mouchoir et le passe sur son visage. Il est en en sueur, à présent. Cela pourrait être dû à la nervosité comme à la chaleur. On ENTEND à nouveau UN FAIBLE RONRONNEMENT DE MOTEUR, qui vient de l'est cette fois, et qui S'AMPLIFIE tandis que Thornhill regarde au loin. Il voit une autre petite tache lointaine se transformer en voiture à grande vitesse. C'est une décapotable fermée. A nouveau, on lit l'expectative sur le visage de Thornhill. A nouveau, on ressent le vague malaise provoqué par l'arrivée à grande vitesse d'un danger indéfinissable. Et à nouveau, une voiture passe EN TROMBE, laisse un nuage de poussière, disparaît au loin, redevient UN FAIBLE RONRONNEMENT... puis c'est LE SILENCE. Thornhill serre les lèvres, jette encore un coup d'oeil à sa montre II va au milieu de la route, regarde dans une direction, puis dans l'autre. Rien en vue. Il desserre sa cravate, ouvre son col de chemise, lève les yeux vers le soleil. Derrière lui, au loin, on ENTEND un autre véhicule s 'approcher. Il se retourne et regarde vers l'ouest. Cette fois, c'est un énorme camion de déménagement transcontinental qui RUGIT en fonçant sur lui. L'appréhension pousse très vite Thornhill à quitter la route. Juste au moment où il rejoint le bas-côté poussiéreux, le camion passe avec un bruit de tonnerre et disparaît. Son RUGISSEMENT S'ELOIGNE et est remplacé par UN NOUVEAU BRUIT, LE HALÈTEMENT D'UN VIEUX TACOT. Thornhill regarde dans la direction d'où vient LE BRUIT et voit s'approcher un vieux tacot sur la petite route. Arrivé au croisement, le véhicule s'arrête. Une femme d'âge mûr est au volant. Son passager est un homme quelconque d'environ cinquante ans. Sans doute un fermier. Il descend de la voiture. Celle-ci fait demi-tour et repart dans la direction d'où elle était venue. Thornhill regarde l'homme prendre position de l'autre côté de la route. L'homme jette un coup d'oeil vers Thornhill sans avoir l'air de s 'intéresser à lui, puis regarde la route vers l'est comme s'il attendait quelque chose. Thornhill le regarde fixement, se demandant s 'il est George Kaplan. L'homme regarde nonchalamment Thornhill de l'autre côté de la route, le visage sans expression. Thornhill s'essuie le visage avec son mouchoir sans quitter des yeux l'homme en face de lui. LE FAIBLE BOURDONNEMENT D'UN AVION s est progressivement APPROCHÉ d'eux. LE BRUIT devenant PLUS FORT, Thornhill lève les yeux sur sa gauche. Il voit un biplan qui arrive du nord-ouest à basse altitude. Il l'observe avec un intérêt grandissant, car il vole droit sur l'intersection où lui et l'inconnu se font face de chaque côté de la route. Soudain, l'avion arrive sur eux, juste à une trentaine de mètres au-dessus du sol. Thornhill se tourne sur son passage et le voit passer au-dessus d'eux comme un oiseau géant, il suit l'avion du regard, tournant le dos à la route. Arrivé à quelques centaines de mètres de la route, l'avion perd de l'altitude, se stabilise à deux ou trois mètres au-dessus du sol, puis se met à faire des allers-retours en ligne droite parallèlement à la route, en laissant s'échapper une traînée de poudre sous son fuselage. N'importe que fermier saurait qu'il s'agit d'une simple opération d'épandage. Thornhill regarde de l'autre côté de la route et constate que l'inconnu suit l'avion des yeux sans y attacher grand intérêt. Les lèvres de Thornhill se serrent avec détermination. Il traverse la route et s’approche de l'homme. THORNHILL: Chaude journée. L'HOMME: On a vu pire. THORNHILL Est-ce que... euh…par hasard vous devez retrouver quelqu'un ici? L'HOMME (observant toujours l'avion) : J'attends l'autocar. Il devrait arriver. THORNHILL: Oh... L'HOMME: Ils peuvent devenir riches, les pilotes qui font de l'épandage, s'ils vivent assez longtemps... THORNHILL.: Alors, vous ne vous appelez pas... Kaplan. L'HOMME (il jette un regard vers lui) : Je peux pas dire que oui, parce que c'est pas le cas. (il regarde au loin sur la mute) Bon... Le voilà, pile à l'heure. Thornhill se tourne vers l'est et voit un autocar Greyhound s'approcher. L'homme regarde l'avion à nouveau. Il fronce les sourcils.

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L'HOMME: C'est bizarre. THORNHILL: Quoi? L'HOMME: Cet avion fait de l'épandage sur un champ qui n'est pas cultivé. Thornhill regarde avec une plus grande méfiance l'avion qui bourdonne tandis que l'inconnu s'avance sur la route et fait signe à l'autocar de s'arrêter. Thornhill se retourné comme pour lui dire quelque chose. Mais il est trop tard. L'homme est monté dans l'autocar, dont les portes se referment et qui redémarre. Thornhill est seul à nouveau. Presque immédiatement, il ENTEND LE MOTEUR DE L'AVION ENCLENCHER LA VITESSE SUPERIEURE. Il braque son regard vers le ciel, voit que l'avion dévie de sa trajectoire parallèle à la route et se dirige vers lui. Il reste là sans rien faire, les yeux écarquillés, cloué surplace. L'avion arrivé en rugissant, à deux ou trois mètres du sol. Dans chacun des deux cockpits se trouve un homme caché par des lunettes protectrices. Impossible de les reconnaître, mais ils ont l'air menaçants. Thornhill hurle vers eux. Sa voix est couverte par LE BRUIT DE L'AVION. D'ici un instant, l'engin sera sur lui et le décapitera. Dans un geste désespéré, il plonge par terre et s'aplatit sur le sol L'avion passé au-dessus de lui dans un bruit terrible et lui peigne quasiment les cheveux avec une roue. Thornhill se met à quatre pattes et se redresse, voit l'avion s'incliner sur une aile et tourner II regarde autour de lui avec un air effaré, aperçoit un poteau téléphonique et se précipite dans cette direction tandis que l'avion se dirige vers lui à nouveau. Il se colle derrière le poteau. L'avion fonce sur lui, vire à droite au dernier moment. ON ENTEND CLAQUER SECHEMENT deux COUPS DE FEU malgré le BRUIT DU MOTEUR Les deux balles atteignent le poteau, juste au-dessus de la tête de Thornhill. Thornhill réalise qu'un nouveau péril le menace et voit l'avion s’incliner sur une aile pour le reprendre en chasse. Sur la route, une voiture fonce vers l'est Thornhill se précipite et tente de l'arrêter avec de grands gestes, mais le chauffeur l'ignore et passe devant lui à toute allure, le laissant à découvert, très vulnérable face à l'avion qui fonce sur lui en rugissant. Il plonge dans un fossé et roule sur lui-même. On ENTEND une nouvelle SALVE DE COUPS DE FEU et les balles éclatent à l'endroit où il se trouvait un instant plus tôt. Il se redresse, regarde autour de lui, voit un champ de maïs à une cinquantaine de mètres de la route, jette un coup d'œil vers l'avion, qui fait déjà son demi-tour, et décide de foncer vers l'abri offert par les hautes tiges de maïs. EN PLONGÉE DEPUIS UN HÉLICOPTÈRE à une trentaine de mètres du sol, on VOIT Thornhill courir vers le champ de maïs et l'avion à sa poursuite. DE L'INTÉRIEUR DU CHAMP DE MAÏS, on VOIT Thornhill arriver en fracassant les tiges, détaler sur la droite et s'allonger à plat ventre. Il reste immobile. On ENTEND L'AVION PASSER AU-DESSUS DE LUI ET TIRER UNE NOUVELLE SALVE. Les balles déchirent les tiges de maïs, mais à bonne distance de Thornhill. Celui-ci redresse la tête prudemment, à bout de souffle. Il ENTEND L'AVION S'ÉLOIGNER et faire SON DEMI-TOUR. EN PLONGÉE DEPUIS L'HÉLICOPTÈRE, on VOIT l'avion voler en palier au-dessus du champ de maïs, où rien ne trahit la présence de Thornhill. L'avion vole au ras des tiges mais ne tire plus de coups de feu sur son passage. A la place, il lâche d'épais nuages de poudre toxique qui s 'étalent sur le maïs. DANS LE CHAMP DE MAÏS, Thornhill, toujours couché à plat ventre, est enveloppé par la poudre toxique. Il se met à haleter et à suffoquer. Des larmes coulent de ses yeux mais il n'ose pas bouger car il ENTEND L'AVION REVENIR AU-DESSUS DU CHAMP. Au moment où l'avion passe et où un autre nuage de poudre lui tombe dessus, il se redresse d'un bond et se rue hors du champ de maïs, à moitié aveuglé et asphyxié. Au loin sur la route, à sa droite, il voir s'approcher un énorme camion-citerne à moteur diesel. Il court vers la route pour l'intercepter. DEPUIS L'HÉLICOPTÈRE, on VOIT Thornhill foncer vers la mute, l'avion voler en palier pour le reprendre en chasse et le camion citerne arriver à toute allure. DEPUIS L'AUTRE CÔTÉ DE LA ROUTE, on VOIT Thornhill courir en trébuchant VERS LA CAMÉRA, l'avion s 'approcher derrière lui et le camion-citerne arriver du côté gauche. Thornhill se précipite au milieu de la route et fait de grands gestes désespérés. Le camion-citerne roule droit sur lui

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DANS UN BRUIT DE TONNERRE en faisant HURLER son KLAXON avec exaspération. L'avion, venant du champ qui longe la route, fonce implacablement vers Thornhill. Seul au milieu de la route, Thornhill agite les bras, désespéré. L'avion se rapproché. Le camion-citerne est presque sur lui. Il ne va pas s'arrêter. Thornhill ENTEND LE KLAXON qui HURLE pour lui faire dégager la route. Il ne peut rien faire. L'avion l'a rattrapé. Le camion-citerne né s'arrêtera pas. Il faut qu'il s'arrête. Thornhill se jette sur la route en plein dans sa trajectoire. On ENTEND UN HURLEMENT DE FREINS et UN CRISSEMENT DE PNEUS en même temps que LE RUGISSEMENT DE L'AVION. Le camion-citerne s'arrête de justesse à une vingtaine de centimètres du corps de Thornhill, Incapable de modifier sa trajectoire, surpris par l'arrêt brusque du camion, l'avion percute la citerne et on ENTEND une terrible EXPLOSION. L'avion et l'essence explosent, un mur de flammes s’élève. Pendant quelques instants, la confusion est totale. Thornhill, indemne, roule sur lui-même entre les roues du camion pour se dégager. Les deux chauffeurs sautent de leur siège et tombent sur la route. Des nuages de fumée noire s'élèvent au-dessus de l'avion, devenu un bûcher funéraire pour ses deux occupants. On reconnaît un des hommes qui brûlent dans l'avion. C'est Licht, un des ravisseurs de Thornhill. Une vieille camionnette à plate-forme avec un réfrigérateur d'occasion posé dessus, venue de l'est, s'arrête sur le bas-côté. Son conducteur, un fermier, saute sur la route et se précipite vers le lieu de la catastrophe. LE FERMIER : Qu'est-il arrivé? Qu'est-il arrivé?

Les chauffeurs du camion sont trop stupéfiés pour répondre. Les flammes et la fumée les font tous reculer. Thornhill, sans se faire remarquer, se dirige vers la camionnette inoccupée. Une autre voiture arrive de l'ouest et s'arrête. Son conducteur court vers les autres hommes. Pétrifiés, ils regardent fixement les flammes. Soudain, derrière eux, ils ENTENDENT LA CAMIONNETTE DÉMARRER. Le fermier se retourne et, stupéfait, voit sa camionnette partir aux mains d'un parfait inconnu.

LE FERMIER: Hé!

Il court après sa camionnette. Mais l'inconnu - c'est-à-dire Thornhill - appuie sur l'accélérateur et fonce dans la direction de Chicago. FONDU ENCHAINE

• Réalisation d'un story-board (en collaboration avec le professeur d'arts plastiques. Il convient dans un premier temps de sélectionner les moments forts de la séquence et d'envisager les plans utilisés et les angles de prises de vue.

• Récit d’invention : raconter la scène ci-dessus (en utilisant les discours narratif et descriptif)

• Imaginer un monologue intérieur en voix-off + Introduire une analyse des sentiments du héros.

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LIENS WEB

Analyse filmique http://www.objectif-cinema.com/analyses/059.php http://www.cineclubdecaen.com/realisat/hitchcock/mortauxtrousses.htm (+photogrammes) http://analysefilmique.free.fr/analyse/m/mort.php http://www.filmsite.org/nort.html (en anglais)

Photogrammes du tournage http://www.argyro.net/demo/cinema/mort.htm

Affiche des films http://www.cinemaffiche.com/recherche.php?langue=fr&jours=0&ligne1=1&ligne2=9&page=1&motif=ALFRED+HITCHCOCK

Pastiche & parodie http://www.simpsonspark.com/refs_film_mortauxtrousses.php

Bibliographie BIFI http://cinema.encyclopedie.personnalites.bifi.fr/index.php?pk=11177

Site en anglais consacré au réalisateur http://hitchcock.tv/ http://hitchcock.alienor.fr/

Le thème de l’espionnage http://www.cinetudes.com/index.php?action=article&numero=143

Le suspense http://www.abc-toulouse.net/dossiers/dossiers_detail.php?ID=7&IDet=91

Démarches pédagogiques http://www.crdp.ac-lyon.fr/c/c4/articles/fichemortauxtrousses.pdf http://www.cinemaparlant.com/fichespeda/fp_mortauxtrousses.pdf

La musique http://www.ac-limoges.fr/musique/Pedagogie/College/Auditions/Cours/3eme/LaMortAuxTrousses/LaMortAuxTrousses.htm

www.lesyeuxverts.com

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