SECTION de VENDÉE

✆ 3676Fax : 02 51 44 87 32www.mgen.fr

A partir du lundi 26 mairetrouvez-nous

au 152 boulevard Aristide Briand

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au 152 boulevard Aristide Briand

La MGEN déménage

PRINTEMPS 2014

Dossier :(pages 2 à 5)

“Les Solidarités”

A noter : Mercredi 21 mai

à 17h00 au lycée E. Branly

à la Roche sur Yon

17h00 :

ASSEMBLÉE DÉPARTEMENTALE

20h00 :

Conférence « Les solidarités entre

les générations » (Voir en page 5)

SommaireSommaire

ÉDITORIAL ...................................................... 1

Dossier :“Les Solidarités” ..................... 2 à 4

Rencontres mutuelles :un débat ouvert ..............................................................2

Solidarité : de quoi parle-t-on ? ....................2

La solidarité à la MGEN :des principes aux actes ........................................3

La solidarité entre les générations,entretien avec F. Galichet ......................................4

Club des retraités .................................. 4

Atelier :le retraité comme citoyen ..... 5

Assemblée départementale etconférence sur les solidaritésentre générations .................................. 5

Le nouvel espace mutuelde la MGEN en Vendée .............. 6

Profitez du nouvel espacemutuel pour faire le point survotre protection MGEN ........... 7

Pièce de théâtre :“Tu marches trop vitepour moi” ........................................................ 8

Assemblée généraleextraordinaire .............................................. 9

L’offre Rassur Cap ......................... 10

IMPRIMERIE BELZ - La Roche-sur-Yon - 02 51 37 08 10

HENRIET Christian Le nouveau présidentLe Bureau : GUILLOT-LEQUEUX Françoise (vice-présidente)

AVRIL Marie-Noëlle (vice-présidente)CHARRIER François (vice-président)BRINSTER Gilles (trésorier)MIGEON Fanny (trésorière adjointe)GARNIER-LE CORRE Catherine (secrétaire)VIOLLEAU Christine (secrétaire adjointe)BREANT Eric

Les membres : ALPHONSO Patrick (absent sur la photo)AVIDE SylvieBASSET François-Xavier BOINIER Robert BOISSON MarcCORNIERE-CARTERON ChantalDAMARY EvelyneFABLET Franck (absent sur la photo)FOUESNANT EricFRANCHETEAU Jean-Pierre GAUTRON Louis (absent sur la photo)HERBRETEAU GérardIDEE AnnickJEANNEAU Eric (absent sur la photo)METAY DenisROBIN Evelyne (absente sur la photo)TREMEGE Gilles (absent sur la photo)

Le nouveauLe nouveaucomité de sectioncomité de section

Un petit signe reconnaissant à nos amis membres du tiers sortant 2014.Un grand merci à Claudine Dampuré, Jacqueline Gaudel et Jean PierreCharpentreau qui ont, durant de nombreuses années au sein du comité desection et du bureau, donné de leur temps et de leur enthousiasme pournotre mutuelle.

A noter : Mercredi 21 maià 17h00 au lycée E. Branly

à la Roche sur Yon17h00 :

ASSEMBLÉE DÉPARTEMENTALE20h00 :

Conférence « Les solidarités entreles générations » (Voir en page 5)

( Le changement...dans lacontinuitéde nos valeurs !

Vous vous êtes exprimés ence début d'année et, grâce à vos votes, de nouveauxélus viennent de prendre leurs fonctions au sein duComité de Section. Ils ont pour mission de recueillirl'expression des adhérents, d’organiser les débatsmutualistes dans le département, de mettre en œuvreles décisions prises au niveau national et faire vivre lesvaleurs de démocratie et de solidarité chères au mondemutualiste.

Dès l'origine, en 1946, la MGEN s'est créée commeune société de personnes solidaires : solidarité des bien-portants envers les malades, solidarité financière etintergénérationnelle.

Depuis cette époque, le monde a changé, la société asubi de profondes mutations et il est nécessaire deprendre en compte les changements intervenus :✓ allongement de la durée de la vie,✓ précarité des situations professionnelles, surtout pour

les plus jeunes générations,✓ poids des dépenses contraintes, incompressibles des

ménages,✓ nouveaux besoins qui apparaissent liés à la

technicisation de la médecine,✓ la complémentaire santé représente un marché

concurrentiel, alors que le poids de la réglementationet des taxes est de plus en plus lourd.

Si elle veut rester pérenne, notre mutuelle doits'adapter, tout en restant fidèle aux valeurs de solidaritéqui ont présidé à sa construction.

« Chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon sesbesoins ». Cette devise de la MGEN a été au cœur desthèmes débattus à l'Assemblée générale extraordinaire

du 5 avril dernier. Les jeunes générations dont laprécarité des situations professionnelles augmente, ontété au centre des débats qui ont abouti au vote d'uneoffre jeune très abordable mais néanmoins globale etperformante :

Le monde change, notre mutuelle

s'adapte et les valeurs sont toujours les

mêmes. Les élus se succèdent, le désir de

servir notre mutuelle et ses adhérents

est toujours le même.

Tous pour notre MGEN

et bien sûr,

notre MGEN pour tous !

Claudine Dampuré

EditoEdito

MGENERATION INITIALE

1

Dossier : Dossier : Les SolidaritésLes Solidarités

( Rencontres Mutuelles 2014 :un débat ouvert

Le 19 mars dernier, le comité de section MGEN avaitinvité une dizaine de partenaires de l’Economie sociale etsolidaire pour un débat sur le thème des solidarités.Comment s’exprime la solidarité aujourd’hui ? Quels sontles besoins identifiés ? Les situations nouvelles à prendreen compte ? Que développer demain ? En quoi unemutuelle de santé peut-elle apporter de nouvellesréponses ?

Les différents intervenants ont présenté la manière donts’expriment les solidarités au sein de leur structure. Lasolidarité se manifeste plus fortement dans des situationstrès concrètes comme lors d’accueils de migrants, face àdes enfants en détresse ou l’aide alimentaire. Les actionssolidaires apportent un enrichissement personnel commeen témoignent notamment des jeunes investis dans unprojet avec le Burkina Faso. Aider les autres amène à sedépasser. Alain Fournier est cité : “La solidarité, c’estd’être égoïste ensemble”.

Toutefois, plusieurs organisations notent quel’investissement est désormais plus ponctuel, limité dansle temps. Pour les mutuelles qui inscrivent leurs actionsdans le temps long et qui restent le support de solidaritésessentielles mais moins concrètes, il est parfois difficile derenouveler les militants. Comme pour les associations, ilest nécessaire de réinterroger nos modes defonctionnement, d’apporter des solutions nouvelles. Lecode de la mutualité nous y invite : “[Les mutuelles]mènent, notamment au moyen des cotisations versées parleurs membres, et dans l'intérêt de ces derniers et de leursayants droit, une action de prévoyance, de solidarité etd'entraide, dans les conditions prévues par leurs statuts, afinde contribuer au développement culturel, moral, intellectuel etphysique de leurs membres et à l'amélioration de leursconditions de vie.”

Les partenaires présents esquissent des pistes quipourront être approfondies en commun : le

logement, l’utilisation réelle des droits (CMU, ACS), lalutte contre l’illettrisme, la prévention...La réflexion se poursuit localement et nationalement à laMGEN.

F. Charrier2

( Solidarité :de quoi parle-t-on ?

Le mot « solidarité » de « soliditas » (solidus, sol, sou,in solidum), mot du vocabulaire juridique du codejustinien (6e siècle), nous renvoie expressément àl’idée de « dette contractée ensemble ». L'idée de lasolidarité a taraudé le XIXème siècle : qu’est-ce qui peutrelier des individus désormais libres et égaux ?Comment penser le lien entre ces individus« abstraits » détachés de leurs appartenancestraditionnelles ? Apparaît alors une réponse au traversde la réalité de l’interdépendance entre tous lesmembres de la société. C’est P. Leroux, imprimeurprogressiste et futur député à l’Assembléeconstituante de 1848, qui donne le nom de solidaritéà cette loi d’interdépendance mutuelle (De l’humanité,1840). Cette doctrine politique permet de surmonterl’opposition entre l’individualisme libéral et lecollectivisme, en montrant comment la liberté peutgénérer des obligations positives qui préservent cetteliberté.La solidarité suppose une forme de réciprocité. Lanotion de solidarité est indissociable de la notion dedémocratie. Elle trouve ses conditions d’exercice dansle cadre d’une communauté politique reposant sur lavolonté de ses membres. Ce qui sous-entend une« conscience commune » comme l’appelle E.Durkheim et une entente sur les finalités visées : lasolidarité entre les générations, la solidaritéprofessionnelle, la santé, l’accès aux soins, l’aide à laparentalité...

Aujourd’hui les problématiques liées à la santé ont changé de visage, les modes de vie et de relationsont évolué, les représentations sociales sont plurielles et la banalisation des offres en santé s’accélère.Société de personnes fondée sur le principe de solidarité entre les adhérents, la MGEN a choisi cetteannée de réinterroger ses valeurs et son fonctionnement au travers d'un thème de réflexion annuelportant sur les solidarités. Cette réflexion porte tout d'abord sur nos offres.A l'occasion du lancementde l'offre MGENERATION INITIALE, première étape avant l'élaboration d'une gamme d'offre pluscomplète, il était indispensable de réfléchir à la façon de préserver notre modèle solidaire.Mais au delà,il est utile de s'interroger sur ce que notre mutuelle pourrait faire aujourd'hui, seule ou avec d'autres,pour développer la proximité, l'entraide réciproque, pour rendre les solidarités plus concrètes, plusvisibles et impliquer davantage les adhérents. Ce dossier vous invite à partager ces réflexions et à venirnous faire part de vos idées et de votre opinion, sur internet, ou mieux, lors de notre prochaineAssemblée départementale le 21 mai prochain.

Dossier : Dossier : Les Solidarités Les Solidarités (suite)(suite)

( La solidarité à la MGEN :des principes aux actes

Les mutuelles ont, dès le XIXe siècle,organisé des solidarités dans un cadreprofessionnel ou géographique enmettant en place des caisses desecours et de prévoyance. Après1945, elles développent un rôlecomplémentaire aux assurancesobligatoires, celles-ci ne couvrant pasl’intégralité des dépenses en santénotamment. Les mutuelles serevendiquent également porteuses del’intérêt général en défendantl’assurance maladie et le système desanté publique. Selon l’expressiond’Etienne Canniard, président de laMutualité française, les mutuelles sontdes « assureurs paradoxaux »puisqu’ils ne se réjouissent pas del’extension de leurs marchés due auxdésengagements de l’assurancemaladie.

Dans un cadre plus restreint que laSécurité sociale, les mutuelles assurenttout d'abord une solidarité essentielleentre les biens portants et lesmalades, c'est d'ailleurs pour cela qu'illeur est interdit de faire remplirdes questionnaires de santé auxpersonnes qui veulent adhérer.

Au delà et depuis sa constitution, laMGEN a tenu à maintenir desprincipes solidaires dans son systèmede cotisation et de prestation. Lescotisations sont exprimées enpourcentage du revenu alors quechaque adhérent peut bénéficier del'ensemble des prestations. Cesystème assure une solidarité entre lesrevenus mais aussi une solidaritéintergénérationnelle, les besoinsaugmentant en moyenne avec l'âge.

En 2012, 170 millions d’euroscorrespondent aux transferts de

solidarité entre les générations. Lesfamilles bénéficient également decette solidarité, la cotisation pour lesenfants étant restée volontairementlimitée.

La MGEN intervient également poursoutenir plus particulièrement lespersonnes qui se trouvent dans dessituations difficiles du fait d'un décès,d'un handicap, d'une situationéconomique ou sociale fragile.. 144000 mutualistes bénéficient de cesprestations de solidarité dans dessituations exceptionnelles (orphelinat,soins coûteux, perte d’autonomie,handicap, …).

Enfin, dans une société de personnes,c'est bien évidemment le lien humainentre les mutualistes qui est garant dela solidarité. L'attention aux difficultésexposées par les adhérents est unprincipe que les salariés et lesbénévoles font vivre au quotidien.

C'est une commission constituéed'adhérents élus au niveaudépartemental qui examine lesdossiers d'action sociale.

Ce sont ces mêmes militants qui sedéplacent parfois au domicile despersonnes pour les aider dans leursdémarches lorsqu'elles le souhaitent.

Enfin, ce sont également tous lescorrespondants dans lesétablissements scolaires qui gardentune oreille attentive aux besoins deleurs collègues et qui relaient leursdemandes.

E. Jeanneau

3

( L’action socialeen Vendée :

quelques chiffressignificatifs

✓ Handicap :120 bénéficiaires

47 862 euros

✓ Dépendance113 bénéficiaires

40 825 euros

✓ Orphelinat76 bénéficiaires53 075 euros

✓ Soins coûteux810 bénéficiaires

57 536 euros

✓ SAD Action sociale194 bénéficiaires

18 725 euros

✓ Prêts et avances26 bénéficiaires15 404 euros

✓ Aides exceptionnelles18 bénéficiaires11 673 euros

A la rentrée de septembre, le Club des retraitéschangera de local.A l'avenir, les activités du clubauront lieu, toujours le mardi après-midi, maisdans une salle du Centre Départemental deDocumentation Pédagogique, rue Ramon,85000 La Roche sur Yon.

A noter enfin : pour être tenu au courant desactivités du club, il suffit d'appeler le 02 5108 94 61.

TémoignageA la veille de quitter les locaux de la MGEN rue Ramon qui onttoujours accueilli le Club des retraités, je rends hommage à tousceux qui ont donné leur temps et leur cœur à notre Club. Que debelles amitiés, celles qui réconfortent les cœurs solitaires, que debelles aventures, aventures immobiles, aventures voyageusesvécues dans ces murs de la rue Ramon.Organisateurs de sorties, guides de voyages, auteurs deconférences, d'expositions et de projections, vous êtes tous là dansnos mémoires : Philbert Berthomé et sa caméra à viser dans lescoins, Roger Bonneau et ses fables, Robert Ragon et ses causeriesérudites, et toutes celles et ceux qui ont œuvré pour le Club.Soyez en remerciés.Maintenant, surfons sur le web avec les nouveaux conquérants !

Une fidèle du Club : Pierrette Lébely

Dossier : Dossier : Les Solidarités Les Solidarités (suite)(suite)

François Galichet, pourquoi parlerdes relations intergénérationnellesaujourd’hui ?

Parce qu’elles sont beaucoup plus incertainesqu’autrefois. Dans les sociétés traditionnelles, chaque âgeavait sa place assignée. Les vieux détenaient une autoritéqui n’était pas contestée ; ils avaient le patrimoine et lasagesse, mais les jeunes savaient qu’un jour ilsaccèderaient au même statut, qui compenserait lesincommodités de l’âge.

Aujourd’hui ce n’est plus le cas. D’abord la pyramide desâges s’est déséquilibrée : les « baby boomers » sontdevenus des « papy boomers » ; l’évolutiondémographique contribue au vieillissement général de lapopulation, d’où les problèmes de financement dessystèmes de retraite et de santé que tout le mondeconnaît. L’évolution des mœurs et des valeurs, uneconception de la vie plus individualiste font que lesseniors ne vivent plus avec les plus jeunes en famillecomme autrefois. Ils vivent à part, soit chez eux, soit dansdes établissements spécialisés.

Or dès qu’il y a séparation, se pose le problème desrelations entre ces groupes séparés. La solidarité autrefoisallait de soi ; elle était vécue comme une réciprociténaturelle, spontanée, évidente. Désormais, il faut toutmettre sur la table : les aspects financiers, l’apport dechacun, le rôle qu’il joue dans la collectivité nationale.C’est ce que j’essaierai de faire dans la conférence.

Certains, à propos des relations intergénérationnelles,parlent de « guerre des âges ». Faut-il aller jusque là ?Il est certain que la situation actuelle crée des tensions.

Les retraités d’aujourd’hui ont bénéficié de carrièresrelativement aisées, avec peu de chômage, des salairesrégulièrement revalorisés, et une retraite à 60 ans avec unbon taux de pension. Les jeunes actifs qui entrentmaintenant sur le marché du travail ont des conditionsbeaucoup moins favorables : insécurité de l’emploi,salaires faibles, stress, etc. Et en plus, ils ont la perspectivede retraites plus tardives et moins généreuses, alors queleurs cotisations, du fait du système par répartition, paientles pensions des retraités actuels ! On voit qu’il y a là unesituation tendue, qui peut alimenter l’idée que lesretraités seraient des « privilégiés », voire des« profiteurs ». C’est cette idée que j’examinerai dans monexposé.

Quand on parle de solidarité intergénérationnelle, onévoque souvent toujours les mêmes choses : aidesfinancières des plus âgés aux plus jeunes, servicesrendus des plus jeunes aux plus âgés. Voyez-vousd’autres formes de solidarité ?

Bien sûr. Beaucoup d’activités bénévoles ou associativesont un aspect intergénérationnel. Plus que dans le cadrefamilial, c’est dans ces activités que les diversesgénérations peuvent se rencontrer, échanger, collaborer.Solidarité n’est pas synonyme de charité ! Je donnerai denombreux exemples concrets d’activités permettant auxretraités de trouver leur place dans la société et d’y êtreutiles sans pour autant prendre la place des autresgénérations.

Propos recueillis par E. Jeanneau

4

( Entretien avec F. GalichetProfesseur émérite à l’Université de Strasbourg

« La solidarité entre les retraités et les autres générations »

ClubClubdes retraitésdes retraités

Atelier duAtelier dumardi 20 maimardi 20 mai

Le retraitéLe retraitécommecommecitoyencitoyen

Une date à retenir :le mardi 20 mai 2014

Ce jour-là, le Club des retraitésMGEN aura le plaisir d'accueillir M.François Galichet, professeur dephilosophie retraité, qui animeraun atelier sur le thème suivant « Leretraité comme citoyen », avant dedonner le lendemain uneconférence sur les solidaritésintergénérationnelles. Belleoccasion pour nous demander si,l'âge venant, nous ne sommes paspar trop enclins à nous replier surnous-mêmes, à nous désengager, àmettre à distance les problèmes dela cité.

Même s'ils ne participent pashabituellement aux activités duclub, les retraités adhérents MGENsont invités à apporter leurcontribution à ce moment deréflexion et de discussion dans lalimite des places disponibles(maximum 20 personnes).

Inscription : Contact85@mgen.fr

Rendez-vous donc au 68 rueRamon le mardi 20 mai à partir de14h30.

AssembléeAssembléedépartementaledépartementale

Mercredi 21 mai 2014

15h00 à 16h30Visite des locaux de votre nouvel"espace mutuel"154, bd Aristide Briand

17h00 à 18h30

- Assemblée départementale

Rapport annuel responsable 2013 et temps forts

Perspective et orientations : évolution de l’offreglobale (nouvelle offre d’entrée et gamme d’offres)

- Assemblées générales de section de vote :élections des représentants aux Assembléesgénérales.

En présence de F. Babault, administratrice nationale.

18h30 à 19h45Cocktail dinatoire

20h00 à 22h00

Conférence de F. Galichet« Les solidarités entre les générations »

Conférence ouverte à tous.

Lycée E. Branly - 5 boulevard E. Branly

Amphithéâtre.

5

6

Nouvel Espace MutuelNouvel Espace Mutuel

La MGEN déménage dans de nouveaux locaux, toujours à la Roche sur Yon.Au rez de chaussée, dans un espace neuf et adapté à l’accueil de tous nos mutualistes,la MGEN vous recevra au 152 et 154 Boulevard Briand à la Roche sur Yon.Bus : arrêt Vendée ou Gluard.

7

Sollicitée en septembre 2013 pour être partenaire d’unspectacle théâtral et chorégraphié sur le cancer, la MGEN85 a suivi la création dès ses premières ébauches enrésidence à la scène nationale du grand R et a souhaitéêtre partenaire afin que ce spectacle puisse être créé etdiffusé.Le spectacle « Tu marches trop vite pour moi », c’est ledéfi de 3 femmes artistes pour parler du cancerautrement, entre gravité et légèreté.« Tu marches trop vite pour moi » est un spectaclethéâtral et chorégraphié conçu à partir du texte inéditque Dominique MERIAU a écrit sur sa « cohabitation »avec un cancer du sein, texte organique et poétique,porteur d’une grande pulsion de vie « Faire la nique ausale crabe maléfique ».Parce que le corps et la nature sont au cœur du texte,notre recherche est basée sur un trio : une comédienne,une danseuse et un écran comme un hublot ouvert sur lemonde.L’image d’un homme marchant sur un fil y est projetéepar intermittence, elle nous dit notre recherched’équilibre dans la force et la fragilité de nos parcours devie.Ce spectacle veut être une passerelle entre le monde dela culture et celui de la santé, il veut contribuer à gagnerdu terrain sur les tabous qui accompagnent encore lecancer. Il évoque son parcours de combattante, sesquestionnements, son humour, ses désirs intacts, sasolitude, sa quête de vérité. Il nous livre toutes les étapestraversées : la sidération, le déni, la colère, l’angoisse,l’envie de vivre et celle d’aimer.Odile FREDEVAL et Muriel TURPIN ont joué la premièrede « Tu marches trop vite pour moi », le 17 janvier 2014

à Fontenay-le-Comte devant 400 personnes. Puis cesera une représentation le 7 février à St Hilaire de

Riez suivie de 2 représentations les 17 et 18 avril à LaRoche-sur-Yon.Ouest France a écrit sous la plume de Michel BESSON« …Un traitement juste de l’émotionPour exprimer « l’appétit de vivre décuplé » de l’auteur malgré« un corps empêché », elles ont choisi « l’allégorie de ladanseuse … ».Comme l’avait projeté la metteur en scène NicoleTURPIN cette pièce pourrait être un temps fort, uneinvitation à débattre dans la campagne nationale OctobreRose.C’est ce que la MGEN va imaginer pour octobre 2014avec son établissement la Chimotaie, ses professionnelsde santé et les professionnels de santé de la région desPays de la Loire.

J.P. Francheteau

8

Un partenariat MgenUn partenariat Mgen«T«Tu maru marches trop vite pour moi»ches trop vite pour moi»

Assemblée généraleAssemblée généraleextraordinaire du 5 avrilextraordinaire du 5 avril

9

L’assemblée générale de juillet 2013 a acté un calendrierd’évolution des offres MGEN. La première étape consistedans le lancement d’une offre d’entrée en septembre2014. C’est pour adopter cette nouvelle offre que lesdélégués à l’Assemblée générale étaient réunis à Paris le5 avril dernier.

Depuis quelques années, letaux d’adhésion à la MGENdes jeunes fonctionnairesavait entamé un reculsignificatif. Entrée plus tardivedans le métier, précarisationd’une partie des emplois,absence de revalorisation dessalaires, renchérissement du coût de la santé pèsent surleurs possibilités financières. Face à une concurrence deplus en plus agressive, ils ont souvent tendance à setourner vers des couvertures peu protectrices pourlimiter leur niveau de cotisation. Il était nécessaire pour laMGEN de leur offrir une solution plus adaptée à leursconditions et à leurs modes de vie, sans pour autantrenoncer à offrir une protection globale de qualité.

Grâce à la décision de l’Assemblée généraleextraordinaire, l’offre MGENERATION INITIALE pourraleur être proposée dès la prochaine rentrée scolaire. Elle

préserve la couverture des besoins essentiels en santécomme en prévoyance (compléments de revenu), tout enrépondant à l’attente d’une cotisation à moindre coût.

Dès à présent, la suite de la réflexion est lancée pourpoursuivre la rénovation de nos offres et proposer dèsseptembre 2015 une gamme complète de formules santé

et prévoyance pour tous lesadhérents MGEN. Il en seranotamment question à notreassemblée départementale(voir en page 5), n’hésitezpas à venir vous exprimersur vos attentes !

Samedi 5 avril en fin de matinée : les 446 déléguésprésents ont reçu la visite de Benoît Hamon, le nouveauministre de l'Education nationale, de l'Enseignementsupérieur et de la recherche.

Comme il l'a dit lui-même, venir à la rencontre de laMGEN était en quelque sorte une "passerelle" idéaleentre sa mission précédente (ministre délégué àl'économie sociale et solidaire) et ses nouvelles fonctions.

Il a notamment rappelé à cette occasion l’importance qu’ildonnait à l’accord cadre signé le 20 février dernier entrela MGEN, le ministère de l’Education nationale et le

ministère de l’enseignementsupérieur et de la recherche. Cepartenariat vise à promouvoir lasanté et le bien-être au travailainsi que l’accompagnementsocial des personnels de cesdeux ministères. Il porteégalement sur la santé et le bien-être des élèves du premier etsecond degrés. Promotion dequalité de vie au travail,formations, actions concertéesdans le domaine de la perted’autonomie, promotion de lasanté des élèves, études etrecherches… des domaines decoopération larges pour lesquelsla MGEN en tant que mutuelleprofessionnelle référencée peutœuvrer au bénéfice de tous.

E. Jeanneau

MGENERATION INITIALE