La lettre des de Fraaee. Une PriiDê...

4
"S&v; •? ! -?nî i-.Jir ::Æa _.. ; ;n*:- - r-K-ri' - t s > 'H 7 ‘ ''iîfl /i t.i:- , ; ■ i ^'•J .K , 1 .^; .5 4Ï!o ; y :, < ; -jii-yîl ;'ôvliii'y ^'»ii ,.i.. .difr. ;«fr. ..... r,4fr. «>. ?àaè û*-^':^'-.n•^^''^ ’-î ' .J*i-'.î‘44îi*jW4%'itli-ii. h. I ^ RfC 7 Î 'Jh f '-’' -îiii ê:*iU ‘>-/v--;,- 'fî’ô "ÿ- PiüHf Xi- >- '- ■ T— -r- iiCSZirT»— ‘— ^ . n . l'HM». >1i Ti~-T~ -*~ •'— ’ -* ■ ’*“* '■ '”* 1 m b«rM®B^Mè.---^lA*<>5Éèbeot è8t'i» 74 ’«iç» 9 l0f^e^«m m de fkm àniijwupCè^ z^|tioa. 4'a^;e(»tfw«u ' u-.pmgtêttt m_ ^ d0 cbaqa» «Al». ; ,.. •.- •<. — . t-.-.n^-<i-' •-. - t BÜBiAÜX. BÊDACyN_£^A^ià^laE^ION ià^iS » Piife& Je HBMdNfcwTOle»-«1 - S£ T y ittJHBi.a«.r- '*.. -.' Les mamiscriU, insérés ou n o A ^jt^fo^rm ^. <je<i f f t î o u v ■ir m X-#%i ,--Jur • x/i|M J.t5 '3JI'fci ; , <*>. 0^^;**# #él*w?ï»iî^T. «rto-c J ü ■/ tw am éyi^ tfeUiB^,'eje?, jw ^ ^ w a ^ «oiXrtçb*. Jroteme* SenUt, U 22 S^terrJrte iSOS. j^ttiv ouverte à M. Clémenceau. On dit qne vons, êtes un n ^ s tre tiens. Ôn vous reconnaît, même pe^ dant les vacances, une activité infati gable, enfin onvons représente comme un homme décidé à livrer anx abus une -gaérré incessante et impitoyable. Les reporters nous ont appiis gaè . vpus 633gfez deaemplôÿês dUminiiStère, UM présence eflSective dabs les, bureaux, œfa dans le but dé s iç p ^ e r Ta, ^ - :ga^e habiti^ .<r«ïd» e^^derneiiwallljl JWigf u y jflWh'BOUR qn^it. Toifê gtu est bifeB ■fiHra en rtdsoâ défi éconbisB eim % ^ \ •posent; il eut peut-être été pn^riuae 5 de supprimer les emplois intifues,fœ i .siflécures ^ssem êntpayéès fiudéfai- = iaient du contribuable ; enfin p a ^ ^ s . Vous avez a u ^ ,p a r une çircmaire récente prescrit aux Préfets de vous teinr constamment au courant des ; -événements journaliers se produisant. •dans leurs départements respectifs et pouvant "VOUS intéresser ; c’est encore ; très bien, car il est tout naturel que le . ministre de l’intériem* soit rapidement ■ înfoimé des faits graves de nature a appeler'non seuîemént son attention mais son intervention. A la suite de oette circulaire qui| réédite, dans une •large mesure,celles que vos prédéces seurs avaient adressées à leurs subor donnés, le courrier qui arrive chaque jour à laplacp Beauvau doit être, j ima^ gine, volumineux et donner, — ce qui n’est pas un mal—^ Un peu de besogne kdes employés qm, pour .la plupart; se morfondaient dans une oisiveté préju- ^ciable à leur santé. « 9* Vous aver dû. Monsieur le mmistre, être bien attristé h la vue des émeutes qui ont ensanglanté la cité de Greno ble et qui ne sont que la réédition des émeutes du Nord, de l’Est, de Brést, de Toulon, de Marseille et de Limoges. Les rapports de l’Isère ont, ces jours derniers, soulevé, je n’en doute pas, en votre for intérieur, la plus vive indignation. .......... Un commissariat de police pris d as saut et incendié, deux usines envahies et pillées, deux commissaires mis hors de combat, un commandant d’artille rie, deux-capitaines, trois^ heutenants blessés, un soldat uioufant, et un nombre inconnu mais évidemment importapt de.solda.ts st_jde gendarmes et d’agents, mis en p it^ ; éUiî ; tel est le bilan de cette journ^; : ,, Le désordre, k Grenoble comme a Armentières, est afié-chaOTe jour en s’à^avant, parce que-^émeirtè n a- vait pas été, dès le 'début, réprimée avec la sévérité que les circonst^ces commandaient. On sait que dans des cas moins .^aves, le gouvernement n a jamais manqué d’affirmer qu’a ne per mettrait k personne de yioler fffl Lot. Il ne se produit pas d’interpellation k la ÉJtadnbre Sans qu’un.njîni^re vienne déclarer, dû haut de la tribniie»qu ü est Ik-pour faire exécutm-la Loi, et que toutes les mieswes sont prises pour qu’elle soit respectée. Vous n’en doutez pas, ces éme-jtes qui se miivent de près; en ïTance sont un qr^lôm e grave, inquiétant pour l’arênir. ■Ne pensez-vous pas Monsie’ur le Ministre, que vous fferiez bien de lais ser au chef de votre personnel lé seau de'pointer les heures de présence des employés de vofre ministère, pour dé ployer votre, activité, votre: éneigie,. a faire respecter la propriété, le droit au travail, k assurer la sécurité des; citoyens sur la voie publique, en, un mot k ne pas tolérer que les syndicats - sous la coupe des socialistes révolu-- tionnaires s insuigmit contre la Loi dtmt vous devez êtrefie gardien v ^ -; ,lant.. i - L oup BERTROZ. ;sé passéfr.âFLi-j iuxjpms,po«rlaj , ,,Baeç«cièna;qiBi . mégMmoBS premêt de. 'rentrée &s &ambres. IKiis une réunion, où assistaient cinq députés socialistes-^ilM.- Betoulle, de Li moges ;,Garlier,.de,Marsmlle ; Ghesquière, deLille ;Afdÿ, de’Narbônne, et Willm, dè SâîBt-Dénis, M. Clémenceau a été traité do'4 fteriiste »; aux applaudissèments des assistants. j ii’ordre du jour adopté proteste : t« Contre l’altitude lâche des miiiislres et des membres tïc la majorité qui, oubliant qu ils se rccommandarent autiiefois du Bloc de la Révo lution frânçSise, comme a dit M. Clémenceau, ont refusé d’envoyer un témoignage de sympa thie et d’admiration à la révolution nisse et leurs sentiments de reconnaissance aux hé roïques victimes de la lutte qui se poursuit ac tuellement dans l’empirè slave ; 2” contre les poursuites dontquelques républicains sont l’ob- jêt de là part du gouvemenient d’Alphonse XIII; - 3 *contre la politique radicale du gouvernement .actuel. I Une PriiDê Wfldisciptoe. Non seulement le ministre de la guerre a congédié les réservistes par anticipation par crainte de nouveaux actes de rébellion, mais tous ont été ^ THiérêé 'm ihémé temps, nïêmé ééax'^ qui .étaient pums, et, sans attendre l’expiration de leur peine. C’est là une véritable prime à l’indiscipline ! ; H est vrai que Za Dépêche de Tou louse a trouvé un bon remède à cefte indiscipline qui finit par l alarmer eUe-même, nialgrè son optimisme of ficiel : ce serait d’avoir un « grand ministre de la guerre » — lequel ? M. André 1 qui ferait le service de six mois. Parfaitement ; et il n’y au rait plus, en e;ffetfd’indiscipline parce qu’il r fy aurait plus d’arrnée du tout... titre, de l’indulgeuce,.excessive dont les ^v istes, syndicaîistes et agita teurs, ont bénéficfép^ant;un^moi^ torités, ont marché eprangS; serrés k l’assaut des usines, dés propriétés et des commissariats dé police, enga geant un combat en réglé,avec la ca valerie, la gendarmerie, les agents et les reprfis®fttants tie la-Loi. 0n eait le reste; te smig a coidé, mais les ^ e u - tiers aoirt -ind6nm®®T ont été (qiérées, la pfapart^H’oHt pas été mainfenfies, et qhântaùx.meneurs; aux (fiiefs de file de f armée ■ dej la^ré- volte si.,bien q ^ a i^ é e , il? s’en tire- rofitavec tptel^és jours de prison, et toutseRiidiL La conclusion de ce qui précède,’ Mnniiipnr.4e 'Mmistre. c est qué ntms S0 HIID6 S rtoBi' CH vers la révolution, vers i’aiarc^te, >et que si eda cmitimie 'nous n aamms ph»rten& e « ^ k ^ pauvre R a s ^ HHSè k fesc^êt ^ s a ^ p a r tteS; .ét IÇbrs ; Qhfi^noHS^ si^ §0 ffliUBfc-dBSèârtatW »!bves géU&Tft^ et n é à t è n J ne dam: eodMt dauS'te rJe,. le BUDGET DE 1907 : La commission du budget a voté, hier,’ les :,Cl;a|)ttces réservé» do budget des tra-, vaux poUics ço.acernaut les travaux à exé-,' cuter snr.Iè réseatt.de l'Etat. Un échange; âe^'Aes a'en liéB ensiiileau sujet des con- difidhxd’éxplbttatioh de ,cé réseau. J I P t^-là commission a commencé I^Bxa■ jUeirïdn bodgèt des postés. y e a te a te co rd iale Lit visite d® terd-mmro i Paris Paris. — M. BéHan, syndic du Conseil miaîdDal.qui^'est rendO'k Iqntlres jwur tfivtaiMe Irtünaire’à venir; visitwPaTO, a dçrt W«r à iI-Qâiitard, m*>deutdu Con- seB munkipàl, pour l’informer que cette invitatioti «ait acceptée. . t . K; Bc^ureaireia à fans samedi matin, a s’occupera, asssitpt de régler, avec iM membrés fin btutean,,les,détails de la ré-, ie^Ôn qui, vraisemblablement, aura heu t'&flnaamoisd’octobre; ., JVàtre part, on tétêgraplne de Lpndres que la (kirporation de la Cité, réunie hier m^cipàiife de Pans pour le mois dictobre . .... . t La délégation se composera du lord-mai- r ^ des aWermeu; des shérifs et deein-. quante conseillers* J ^A^Ministère des Fin^ 'È.é' , _ -- , r Paris — M. Poincaré, ministre des fimmi ces.a repris vendredi après uqe absence de iQdrs, la ifirécfipU des s e { v ^ , de son TO[tetement. I* ; - •«4feâ' ,rc3 avoir dans sa séance dc^ uw uiuu*»<*àu renowreDémént partiel dm mtol de l’ordre,le couvent maconmquse. adeiiésKk^MsMnfifllifiWésentéè pdrtecon- seil de l’twdre. Cette KteMueôn expose Tes dHK'deCtâBsqui.selon.te convent,se par- tMéM tJ^partie do âôBde.oà laotnimice cShwqne romaine ^ |a ndigion de lama- iterk é . » ■ : la. doctriné ÆEglise et la doo- M w 'dËtat. yoiciTanaïÿse de ce doeu nüllt.: -ïfilfeiacÀiDn de la résolution exposmit M JiM ,d’iqMè8 Léon Xliret les théoiegieis «atholiques, le iMt gnes s’asngne l’Eglise d'exercer leqttois.tiaiivoin : ponvoir istif, judiciaire .et.coacfif, ................... Ces toto 'pouvoirs, L’Eglise e n ^ d - les exercer non seulement sur les adeles,mals sur Iw .aats cath(jfiqnM.,Ot, d’a ç ’ès es .QiéolotnéhS. quels sont çoïEtats?trcst 1u- nivetsinfier, ainsi qpje l’a .[qoclatné satnt ïM®aduléaiyfflt.au:pâ EugèneTU : ^1t sOTW'dtf intinae pour trouver miëoif pisâmiÉis à votre sot à je ÿ . Mathien libeçt- iï a ^ XBLqr' " VCK . , qui reprend la doctrine pure de l’Eglise, le royaume do’ nSglisé «est, de droit, composé de tontes les nations, en quelque eoiitrée'qu’clles se- trouvent... L’Eglise est en droit de reGuwt-j; lir dans son sein et de s’adjoindre toks les peuples, tontes les nations, tous, les hom-‘ mes quelque part qu’ils habitent. Aucun MJÜvoir, si élevé qu B soit, ne peut en rien sonveraineté et de toute domination ». Et Mirés avoir montré que l’Eglise entend. contraindre à la foi, même par les suppli ces,-la 'résolution du convènt explhjue quq si elle est impuissante actuellement à met-; tre.ses théories eqpraÜquc,iC’est que « eelte' forcè’lui'fut arrachée par . la doctrine de l’Etat modmme contenue en germe dans la Déclaration des droits de l’homme ». i Cette Déclaration desdroits qui proclame j tion « a n’émane expressément de yeaîéee#*aiiiai5(>î9K gS ?S . « Telle» sont Ibsidoctrine» q u à ^ e n r e i *' ; fos- pères de 1789, leurs enfants et netits-enfiiuts es cqpqiirénP. Et puis, vers Tes teniéis du s e ^ i emjpiré, lé souvenir s’én esaça. Si Men qn'alijourd’lniî, des hommes'ds très bonne foi, îles partisans de l’Etat moderne,. ■ prêtent inconsciemment leur appui à l’E glise'dans ses revendications dont ils igno rent la portée. 1 ' » Pour-nous, fidèles aux traditions de nos glorieux prédécesseurs, fiers de leur œuvre, gardiens de leur pensée, nous ne' pouvons nous soustraire sans forfaiture au combat qu’ils ont commencé et dont ils nous ont laissé l’achèvement. Nous lutte rons donc de tontes nos forces pour le triomphe des idées émises dans la déclara-' tion des droits, Rest^tiieiix de tontes les croyances comme de voûtes les incrédulités, chercheurs de vérité nous éclairant des seules Ihmiëres de la raison, et laissant aux antres le droit à la foi, nous nous op- Wserons de toutes nos forces à ce qne la iberté de la pensée humaine puisse rece-j voir une atteinte. I Méprisant les calomnies que répandent sur nous les moineset leurs alliliés, piu’ce' qu’ils trouvent dans notre philosophie le lins solide obstacle à lonrs ambitions,nOus eur répondrons ; « Ciierchez lè trône on la croix, libre à vous, l’onr nous, réunion de penseurs qui ne prétendons à aucune part de domination ni de dii’eetion gouverne mentale, nous ne nous lasserons point de crier aux nations : « Voyez où Rome vous mène. Voyez cë qn'etTe veut taire de vous.» '^çtHsionsur ta ligne du Nord^ Beauvais.— Un accidentassez grave,maia qui aurait pu avoir des conséquences au trement déplorables, s’est produit mercre-, di sur la-ligne du Nord. . | ! Par suite d’une faute datguiilage com-, mise par un employé de la voie,deux trains de voyageurs se sont tamponnés, vers dix heures, en gare de Saint-Paul. . j ! L’un de ces trains venait de Beauvai»,' l’antre de Gournay. ^ . t i Malgré cela, la collision se prodnisit,maisj elle fut fort atténuée. | Treize voyageurs ont été blessés,mais peu grièvement, et toûs, après avoir reçn les soins nécessaires, ont pu continuer leur route. Par contre cet accidenta cause des degats matériels assez importants, et l’on a en pour de longes heures de travail avant de réassir à déblayer la voie. Les Grèves A Qreaoble Grenoble. — Une sensible détente s’c^t manifestée mercredi. Dès le matin, on a constaté une reprise du travail dans plu sieurs usines. , ..... , Sur l’ordre du ministre de 1mténeur, les troupes ont reçu le inatin avis d’avoir à rester dans lea casernements de la garni son. Tontes, lés .places ét lieux publics ont été atissitôt^mayéS.' .... - Une réunion' des grévistes a eu lieu a dix heures, dans un local particulier. U sortie s’est effectuée dans le plus grand Icalme, et la foule s’est écoulée sans maiii- *ffest6r« 1 Dn a encore acclamé la grève générale, rmais tontes les corporations ne sont pas disposées à suivre le inouvement. Il n’y avait pas un seul soldat à la sortie. I taiez-.les.lmtonniers, le >toÿail a repris partiéflémébt. - v: ' - i Le matin, l’état du soldat Mollier est de venu subitement inquiétant; : gn redoute line issue fatale. - I Les tramways fonctionnent comme d or dinaire. Le chômage èst presque nul chez les coiffeurs, les boulangers et les camion neurs. 11 est assez forfchèzles mégissiers, et nul chez les Entiers. , . , Aucun incident ne s est produit dans la ionrnée. Des.patronilles de cavalerie défi lent sans interruptiôh. i Les typographes 1ont décide quaucun journal ne paraîtrait tlemiiin matin. ; i LeS vendeurs de journaux, de leur coté, Oqt décidé de ne mettre en vente aucun jomrnatde Lyon on de Paris. 1 La Croix de l'Isère, journal composé par des femmes, a paru seul'. _ ' ! Les numéros destinés au dehors ontetë portés à là gare à dix heures, sous i’escorte d’a ^ t é de police. . ' lu soirée s’est passée sans le moindre 'incident. f t dienean Tsnt tes FiÉes. Par une. circulaire aux tmmmissaires spéciaux, M. Ctémehceau prescrij la «aj-; fection de « fiches » — c’est' lui mêmd qiii; ^ p l o i e cemcet^—^ sur « les individus de! pus ÿenre.s.et.de-toutes nationalités dan-- ■'gereuxpourla sécurité pubUqtté. ». La formule est vaOTe, élastiqBe- Et il faut s’attendre à voir les spéciaux se oôn-- former aux ordres, et aux intentons dél M. Giémenceau; en établissant, sous pré- - texte qu’ils soifi; « dtu^reux pour la sécn-f rité publique »- des fiches coidre tons ceux qui soiit suspects de tiédeurvà l’égard du Moc ou qni auront été dénoncés par les. « délégués». ; ' ’ - Uh autre passage, (te la eircnlmrg est à rp t^ r.. C’est celiu .où M. tUémenceau d é-, clare que les fiches « doiïent être réservées' exelusis^enti mx aplori1él:jp4^KçVes| ou admini^J^wes a ; . ..iSMcù8;‘réis| eZZre ne wfene* rCunipqimltlM* devântla justice; les juges auront connais sance de iadite-fiche et l'intéressé l ’igno- : rera. i M. Clémenceau ordonne donc qu’on; juge — et condamne — sur des « dossiers secrets ». La lettre des de Fraaee. TR^O-ESPftaMOL ^ Saint-Sébastien..— Les délégués français, poiir la commission du traite dé commer ce, ont refusé de discuter séparéinonl la proposition de leurs collègues espagnols concernant le tarif des vins, wmsulcrant S ue la question doit être joiiitoiiTensemblo n projet..- . . , La date de la prochaine réunion n’est pas fixée, ' — . M JBLTiL^'E. , Les promotions Parig. _ Nous crovons savoir que tel grandes promotiims et les mutation» nuh- teires paraitrent, selon tonte probabdrte* au io u m d Officiel le Ï8 courant.......... On sait que les cardinaux, archevê ques et évêques de France, réunis en assemblée plénière pour examiner les mesurés qu’il convenait de prendre k la suite dé. la Lettre Encyclique de Pie X, avaient décidé avant de se sé parer, d’adresser au clergé et aux fldëlès de leurs diocèses une lettre col lective. Cette lettre, dont le texte a 'recueilli l’approbation unanimefies.prélats pré sents, a été transmise k Rome pour y être soumise k l’agrément du Saint- Père. Elle en est reyenue et sera lue en chaire, demain dimanche, dans toutes lès ég-lisés de France. En.yoicî les principaux passages : ' Notre Très Saint-Père Pie.X, en nous adres sant sa Lettre Encyclique, a rempli la mission qu’il a reçue de Dieu, dé conserver intact le dépôt de la'vérité et la constitution de la sainte Eglise catholique. iZette constitution a pour base essentielle rautorité de la hiérarchie, divinement instituée par Jésns-Christ. L’Eglise est une société gou vernée par des pasteurs dont le Pape est le chef, et à qui- seuls appartient le droit de ré gler tout ce qui toudhe a l’exercice de la reli gion. Or, la loi de séparation prétend imposer à l’Eglise, dans notre pays, par la l seule auto- ’rité du pouvoir civil, une org^nisation.nouvelle. Elle déclare ne plus connaître, pour l’exercice du c-ilte divin, ^ e des associations de citoyens se formant et se gouvernant à leur gré, selon des statuts de leur choix, que leur volonté res terait toujours légalement maîtresse de modi fier. Si dans l’un des articles de celte loi, le principe nécessaire de la hiérarchie catholique semble implicUement contenu, il n’est indiqué qu’en termes v t^ e s et obscurs, tandis qu’il est trop clairement méconnu dans un autre article, qui attribue, en cas de conflit, la décision sou veraine au Conseil d’Etat, c’est-à-diré à la puissance civile. Ce serait donc comme une constitution laïque donnée à l’église, fie X l’a condamnée et devait nécessairement la con damner : « 11 a décrété que les A^eiations, ctiltuelleS, telles que là loi les imposé, ne peu vent absolument pas'être formées sans violer les droits sacrés qui tiennent à la vie même de 1Eglise. » La lettre continue l’étude des,asso ciations cultuelles : Ce serait donc étrangement se tromper, de croire et de dire qu’en rejetant lesdites Asso ciations, iePàpe « n’a pas eu uniquement ’ên vue le salut de l’Eglise de France; qu’H a eu un autre dessein, étranger à la Religion, que la forme de République en France lui est odieuse ». Pie X dénonce « avec indignation comme des faussetés..., ces récriminations et autres semblables, gui seront rép'àn'dues dans le publie pour im’ter les esprits ». Et là lettre ajoute que, conformé ment k l’avis du P ape, L’application de la loi èst iïnptMàMe. * Nous voulons espérer encore que la guerre religieuse sera épargnée à notre pays. Les ca tholiques français demandent qu’au nom d’une loi qui prétend assurer la liberté de « cons cience et garantir le libre exercice dès cultes », on ne leür impose pas, pour la pratique de leur religion, une constitution que jeur cous- cience leur défend d'àccépter ; que l’on se souvienne qu’en aucun cas et dans aucun pays, l’organisation d é ^ e du culte catholique ne saurait être régl& que d'accord avec le Chef suprême de. l’Ejdise ; que si l’on veut à tout prix séparer l’Eglise de l’Etat, on nous laisse du moins jouir des biens qui nous appartien nent et des libertés de droit commun, comme en d’autrès pàys vraiment libres,. Nous ne pou vons croire que .de telles rédamatkma rie soient pas entendues. Si l’on tentait d’établir, contrairement à la volonlé du Chef de l’Eglise, des associations qui ne pourraient avoir de eathohque que le nom, nul’tfe vous, sous quelque prétexte que ce fût, né consentirait à s y enrôler. Vos pasteurs sont résolus à subir les spolia tions et la pauvreté plutôt que de trahir leur devoir : vous comprendrez que tons les fidèles ont l’obligation de conscience de leur venir en aide et de contribuer,, chacun selon ses res sources, à l’entretien du culte divin et de ses ministres. - Nous supplierons le Coeur de Jésus. « qui aime les Francs », |)ar l’mercession dé la Très Sainte-Vierge Marie qui a prodigué à notre ' patrie les marques dë prédilection, afin d’obtenir que cette patrie, qui nous est si chère, reste fidèle à sa vocation chrétienne et poursuive, sous l’égide son de antique religion, le cours de ses glorieuses destinées. Notre présente lettre sera lue en chaire, dans toutes lés’ églises de France, le dimanche 23 septembre pnséB»i«. Donné à Paris-, .en. assemblée plénière, le 7 septembre 1906. Sliivent leS signatures déé évêques. lA-lettire des Evé^nrés. - ' j Lè'G«î<Zois.^ ’ . , î La lettre que les cardinaux,: archevêques, et) évêques dé .France adressent, an'cle^é et. aux fidèles de leurs diocèses dissipe les dernières illasions de nos gouvernants. : t Jusqu’à la dernière heure, Hs éspéraientî qu’uns scission se produirait et què la résis- taoce, de certains peélats aux décision» diij Saint-Pèpe pourrait être- le point-de départ- d’uhc or^msation nouvelle de l’Eglise, qu’ils! se proposaient d’encourager. , . Us sont aujourd’hui désabusés. Lès calholi- ; ques qu’ils avaient trompés en leur promettant’ itnëappBdàtion très libérale; de .là 'w Btland!, ont reconnu né' piégé 'qne Ictir tëpdaientr.lés ! francs-iâaçons ; à; la vwx «hrpe^j,ife'sé‘sOnt : c^aisisipiiàKint eempiis (fnwfâiHdêiù'fÉiÉse i .rptUe;>e| dAsqrmnis ton» le», fidèle^ sans màe i petrtâ^wi^iil(^ SM^uétré.i^ifitiiLâliiîiWtNRj :.H >2(. , Dnanq. .gofft^,)atgà.pgBoncep,| démmïrentm^^Fj^^'^A^^iiK FftiâgSus sfen féjoeirsnt, èar, si Pie ' X,' qUi .àtoM :nlfire pays et défend son îiïflueocc réligieusè dans Je monde contre dès ambiîiods .lti^cs, sé détour-i naît dé la France, iiousàpiircndriohs hiéntôt 'à f nos dépens qn’enorient, ht protM.ion dil Saint- Si^e est pour notre pays'unc forréddnt mous ne pourrions impunément nous passer. La. République Prar^ise ; . . Là lelire n’est qu’une adhésion complète et sans, réserves à.l’Encycfique dtï 10 août. Cette adhésion était naturelle, on peut dire néces saire, de la part des évêques. Mais il y îtvait plusieurs manières de l’exprimer. Les évêques ont choisi la plus stricte, et la plus littérale. Us suivent pas â pas l’Encyclique,;et-pour être plus sûrs de rie pas s'aventurer hors au chepiin qu'elle trace, ils se contentent le plus souvent de la citer. Leur préoccupation évidente est d’affirmer l'union étroite de l'épiscopat et- du Saint-.Siège, et de l’affirmer d’antant'plfts éner giquement qu'après des di,scussioiis et des-pu- mications récentes, l’unité de vues entre ces deux pouvoirs constitutifs de l’Eglise de France n’avait pas paru, au oioins.pour le passé, aussi nette qu’on aurait pu le désirer. - ■j.jjL ÇifltwaiitM>«iii»id*giiiCTc.''>'f l-aon, le svndicatàgHdmetdèT’# Ideâéh aiééBS^anâ&nâaaai:: Le syndicat. , ^ Con^dérant'qne le régime fiscal aitqpeUa sucrerie'estsbnmise'tenâ.à restreittdre l’oie- portation dit sucre, sans permettre esDore suf fisamment, le développement que tloit mtoindi» la consommatiori intérietire de cet alieieur vi- ylfianl et ulilo par excelleace. Emet le vœu : ' « Qne les pouv8»%. publics allègent le plps possible les charges qai pèsent sur l’industge sucri.ère ; . Et qu’ils provoquent par des recherches, par tous procédés de vulgarisation et par dès mesures administratives opportunes, l’augmeif- dation de la consommation du sucre, humaine, animale et industrielle. » A.U conTênt maçonDflc|ae. Le Figaro .• On avait pu êroire — ou feindre,, de croire, par courtoisie — què l’entreprise "dë la délation était exclusivement l’œuvre de. quelques gros personnages de la rue Cadet, et que la masse des francs-maçons n’avaii piiat de- responsa bilité dans ces répugnantes pratiques. On s’était trompé. Bien rares sont ceux qui.ont protesté, et on n’a fait aucun cas de leurs protestations. La majorité a tenu à se solidariser avec les mou chards. Le convènt a élu membres de son bu reau précisément les maçons les plus compro mis dans cette affaire, des rédacteurs defitdies et'des apolo^stes de leur, triste besogoe. C’est l’apothéose de Vadécard et do ses complices.. Le Siècle : ■ Les évêques se plaignent surtout de deux articles de la loi : l’article IV et l’article VIH... Les-évêques ont raison. La loi aurait dû laisser les Français dans l’exercice de leur re ligion soumis à leurs juges ordinaires ; et per sonne n’aurait rien perdu, si les tribunaux avaient le dernier niot en matière de réligièn, comme ils l'ont en matière de morale et de propriété. 11 suit de là que l’effort des gens qui veulent changer, quelques chose à la loi va se porter dès la rentrée sur les deux articles contestés : l’article IV et l’article Vlll. Arrête : Article 1“ Est îfrterdite .ToccuFatj» des classes de l’école de garçons ;dê Sanil- FlOffir-'Ville; parM. Ondbul on soncomité. Art. 2. — Notification sera faité du jmê- seirt àiTèfê anx^arties intéressé è?. . , S'afnt-î'iour,'le 10 septeiBiire 190S. ï*e M mi'8, Chevalier de la Légion d'honneur. Signé A Bert. - ■L* Préfet du Bantal n’a pas encore coia- ris la leçon. Il faudra lui en''donner l'autres pour lui aj^Téîidre'Te" droit ad- usniâretif etlèiioiLfoni - ' •'•'ï • Qileslîon dè Chasse. Le tir à l’abri d’un véhicule. Voici, dit la Défense de Clauny, que se trouve posé incidemment un petit problème juridique dont la sagacité du tribunal de Laôn aura à indiquer la solution. Le public sait (ou ne sait pas) qu’il est inter dit de « chasser a l’aide d’une voiture », c’esl- à-tlire d’approcher le gibier en se disimulaiff derrière un véhicule quelconque, ou c’est le cas de quelques cultivateurs qui. accrpcj^nt leur ftisil au collier d’un' des chevaux, tirant leur, charrue - derrière un attelage. Or, samedi, (b is la matinée, un chasseur, da canjon de Cîmuny, était aperça par deux gen- chirmès de cette ville marchant derrière la voi ture d’un cultivateur ; il avait son fïisil chaigé sur le bras et suivait l’équipage- H fil ainsi ime soixantaine de pas sur le chemin et... pan ! pan !... fit feu, à deux reprises, sur une com pagnie de perdreaux, dont l'un fut blessé. Les gendarmes, qui s’étaient dissimulés, se mon trèrent alors et déclarèrent procès-vorlial; en vertu de l’arrêté préfectoral réglementaat l’exercice du droit de chasse. M. X..., à qui n’appartient ni le cheval, ni la voiture, qui a profité de la circonstance, du ha sard, d’une rencontre, a-t-il commis une infrac tion ? C’eSt nous le répétons, ce que le tribunal correctionnel de Laon (carilyva de la correc tionnelle en toule matière de chasse) aura à déterminer. Quoi qu’il doive advenh- et pour éviter de pareils ennuis, les chasseurs feront bien de s’abstenir de se servir des voitures comme d’un abri pour surprendre le gibier. C’est pour abdutir à ce conseil que nous avons cru devoir leur signaler le fait de la contravention relevée à la charge d’un de leurs confrères. M. Geiinet, préfet du Cantal, vient de recevoir une leçon. Il en avait Besoin, car il était dëpouiwu de retenuê''dans son ignorance administrative. Un président de comité eombiste, M. Ondoul, voulait offrir un banquet au dé puté de Saint-Flour, le célèbre M. Hugon, Avec peine, il avait trouvé un resiatira- teur et quelques douzaines de convives, mais il lui manquait une salle pour man ger et boire à la santé du législateur du cru. Que fit-il? Il s’adressa au Préfet, qui I le tira d'embarras, en mettant les écoles primaires de Saint-Flour à sa disposition. M, le Préfet-a'avaitp.uWié ^map.ehose : de consulter lè maire' 3e''Sainf-Flônr, l’honorable M. Bert, qui est un adminis trateur distingné et un des plus vieux 'et des plus fidèiês républicains du Cantal. M; Bert le fit respectueusement observer, à M. le Préfet, tout en ajoutant que « le gouvernement républicain' ordonne "de respecter la neutralité de l'école et que ce serait porter atteinte à son caractère me d’en user pour les manifestations d-pn parti politique ».-M. lé Préfet ne r^ n flit pas. Une nouvelle lettre de M. Bert -iUfiiit pas le. don d’interrompre le silence préfec- , - -J*. Devant ce mutisme de mauvais goût, M. Sert prit l’arrêté suivant : Arrêté. Lè mmre de la ville de Saint-Flour, ■Vu l'article 90 de la loi du 3 avril 1884, "Vil la décision du Conseil d’Etat en date du 3i mars 1904, Considérant que l’administration et la conservation des propriétés communales appartiennent au maire : que le maire seul .doit prendre des arrêtés pour. en sauvegarder le bon entretién et, mainte nir j’anectation qui est donnée ; Considérant qu’il y a lieu d’ordonner les mesures nécessaires à ]a''èpa^rvaüon. des locaux scolaires en in lê ^ f e ^ les réunions.qui seraient denatuÉelîjfesdégra- dèf si êllês y étaient tenues^; .. Considérant que le Comité radical, présidé par M. Oi^oaujffojelte d'organiser un banquet daiiS'îedélass^ de l’école de Saint-Flour; q|i'oirne$ffn^t détourner ces locaux .de, lêfir à^eet^ion spécialè pour les ujettre ; à .'la d i^ d ^ ten d un paru pofitique ; qu'il ï,|i firé Wf®, d’interdire que cette manifeslàUon an néu i. dans les locaux scolaires dontil assure la I neutralité ; . ' Questions HiHteIr». Les hommes du service auxiliaire. Au nombre de onze mille environ, les bom- mes du service auxiliaire, incorporés imur la première fois cette année, seront appel s du 6 au 8 octobre prochain. Ils recevront une ins truction rudimentaire, sans armes, et occupe ront des emplois d’ordonnances des officie.rs non combattants, d’ouv-riers, de plantons, etc., de manière que lonslès'soldats valides, actnet- lement occupés à des fonctions sédeiitairés; soient rendus à.rinstniclion. Néanmoins, ils n’en sont pas moins, iniji- i taires..-.et comme tels seront astreints à tontes les règles de la diseipline ainsi qu’à toutes les obligations imposées par la loi et par les régi®", ments militaires autres que ceux qui- visent la^ préparation à la giicire. fis devront donc rèce- voir la même éducation morale que les ànlres i soldats et acquéririfans les mêmes conditfotis i que ces dérmera dès notions suffisantes snr la s hiérarchie militaire, la discipline, les dej’oirs ' des hommes dans leurs foyers, le code de jus tice militaire, le seivice intérieur et ]e service dè'S’placès.' * ' Les régiments d'infanterie dos troupes mé tropolitaines et coloniales et les régiment^ d’artillerie coloniale, ne recevront .pas iTh^-^ mes du service auxiliaire. Ces affeetatioiîè'ISë' feront d'après l’ordre d’inscription sur les lis^ - de recrutement. ' ‘i u ; » La danse 1905. Le ministre de la guerre ayant constate que, dans ces dernières années, un très grand nombre de jeunes soldats étaient- réformés pendant les premières semaines qui suivent leur arrivée au corps, pense qu’on ne saurait trop attirer l’aUention des jeunes gens de la classe 1905 et de leui-s familles sur les dis position nouvelles de la loi du 21 mars 1905 et de l’inslmction du 21 juillet 1906, qui sont, rappelons-le, ainsi conçues : « Les jeunes gens qui se croient suscep tibles d’êlre réformés doivent en faire la dé claration dès la réceplion de leur ordre cj ap- g el sous les drapeaux, au commandant de la ligade de gendarmerie de leur résidence.— « Celui-ci transmet sans retard les dennan-' des au, commandant du bureau de recruten»!*. dont dépend le siège de sa brigade en ,Ies: apmiyant d'un bulletin d’appréciàlion, él,, sF possible, d’un certificat délivré parfe'niêdferin. « Le commandant de recriitementj- com qgre devant la commission spéciale lesleim és^BS qai lui pàiaissent suscqjtibles d’être réfMOiés. « L’ordre de cbteoeMion indiqae que-lé- titulaire a droit au voyage à pris réduit eit chemin de fer ». Conseils.-i»nx, soldatp. '_j,'* Nous croyons utile de rappeler apx - jeunes soklats-possesseurs'de diplômes de prixileJir petrvent leur ^ rc gf^de _ •veulent suûTe les pelotons d’inslruction. - • ' Les conducteurs de voilures aulomoliilfl.'< •n*’ aussiiflt^à nréseBhîr, à lew lu l'égiméntneîïif^certificat d’aptilade à la’ duite des automobiles.

Transcript of La lettre des de Fraaee. Une PriiDê...

"S&v;

•? !

-?nî i-.Jir

::Æ a _..; ;n*:- - r-K -ri' -

t s >'H7‘ ''iîfl / i t.i:- , ; ■ i

^ '•J .K ,

1. ^ ; .5 4Ï!o ; y

:, < ; - jii-yîl ;'ôvliii'y '»ii

, . i . . .d ifr. ■ ;« f r .. . . . . r ,4 fr . « > .

?àaè

û*-^':^'-.n•^^''^ ’-î '. J*i-'.î‘44îi*jW4%'itli-ii. h. I

^ RfC7 Î 'Jh f '-’'-îiii ê:*iU ‘>-/v--;,- •

'fî’ô

"ÿ-

P i ü H f X i- >- '- ■

T — - r - —

i i C S Z i r T » — ‘— ^. n . l'HM». >1i Ti~-T~ -*~ •'— ’ -* ■’*“* '■'”* 1m b«rM®B^Mè.---^lA*<>5Éèbeot è8t 'i » 7^ « 4 ’«iç»9l0f ^ e ^ « m m d e fk m àniijwupCè z ^ |t io a . 4 'a^;e(» tfw «u '

u-.pmgtêttt m_ ^ d0 cbaqa» «Al».

; ,.. •.- • •<. — . t-.-.n^-<i-' •-. - t

B Ü B i A Ü X . B Ê D A C y N _ £ ^ A ^ i à ^ l a E ^ I O N

i à ^ i S » P iife& J e H B M dNfcwT O le» -« 1 - S £ T y ittJHBi.a«.r- '*.. -.'

Les mamiscriU , insérés ou n o A ^ j t ^ f o ^ r m ^ .

<je<i f f t î o u v

■ir m X-#%i ,--Jur • x/i|M J.t5 '3JI'fci ;

, < * > .0^ ^ ; * * # # é l*w ?ï» iî^T . « r to -c J ü ■/tw améyi^ tfeUiB^,'eje?, jw ^ ^ w a ^ «oiX rtçb*. Jroteme*

SenU t, U 2 2 S ^ te r r J r te iSO S .

j ^ t t i v o u v e r t e à M. C lé m e n c e a u .

On dit qne vons, êtes un n ^ s t r e

tiens. Ôn vous reconnaît, même p e ^ dan t les vacances, une activité infati­gable, enfin onvons représente commeun homme décidé à livrer anx abus une

-gaérré incessante et impitoyable. Les reporters nous ont appiis gaè . vpus 633gfez deaem plôÿês dUminiiStère, UMprésence eflSective dabs les, bureaux, œ fa dans le but dé s i ç p ^ e r Ta , ^ -

: g a ^ e h a b i t i ^.<r«ïd» e^^derneiiwa ll l j l JWigf u yjflWh'BOURq n ^ it. T o ifê gtu e s t bifeB ■fiHra en rtdsoâ défi é c o n b is B e im % ^ \ •posent; i l eut peut-être é té p n ^ r iu a e 5 de supprim er les emplois in tifu es ,fœ i .siflécures ^ s s e m ê n tp a y é è s fiudéfai- = iaient du contribuable ; enfin p a ^ ^ s .

V ous avez a u ^ , p a r une çircm aire récente p rescrit aux Préfets de vous te in r constam m ent au courant des ; -événements journaliers se p ro d u isan t. •dans leurs départem ents respectifs et pouvant "VOUS in téresser ; c ’est encore ; trè s b ien, ca r il est tout naturel que le . m inistre de l’intériem* soit rapidem ent ■ înfoim é des fa its graves d e nature a appele r'non seuîem ént son attention mais son intervention. A la suite de oe tte circulaire qui| réédite, dans une •large m esure,celles que vos prédéces­seu rs avaient adressées à leurs subor­donnés, le courrier qui arrive chaque jo u r à laplacp Beauvau doit être, j ima^ g ine , volumineux et donner, — ce qui n ’est pas un m a l— Un p eu de besogne k d es employés qm, pour .la plupart; se m orfondaient dans une oisiveté préju- ^ c ia b le à leur santé.

«9*V o u s a v e r dû. Monsieur le m m istre,

ê tre bien attristé h la vue des ém eutes qui ont ensanglanté la cité de Greno­ble e t qui ne sont que la réédition des ém eutes du Nord, de l’E st, de Brést, de Toulon, de Marseille e t de Limoges. Les rapports de l’Isère ont, ces jou rs derniers, soulevé, je n ’en doute pas, en votre fo r intérieur, la plus vive indignation. ..........

Un com m issariat de police p ris d as­sau t e t incendié, deux usines envahies et pillées, deux com m issaires mis hors de com bat, un com m andant d’artille­rie, deux-capitaines, trois^ heutenants blessés, un soldat uioufant, et un nom bre inconnu mais évidemment im portapt de.solda.ts st_jde gendarm eset d’agents, m is en p i t ^ ; éUiî ; tel est le bilan d e cette jo u r n ^ ; : ,,

Le désordre, k Grenoble comme a Arm entières, e s t afié-chaOTe jo u r en s ’à ^ a v a n t , parce que-^ém eirtè n a- vait pas été, dès le 'début, réprimée avec la sévérité que les c ir c o n s t^ c e s commandaient. On sa it que dans des cas moins .^ a v e s , le gouvernem ent n a jam ais m anqué d’affirm er q u ’a ne per­m ettrait k personne de yioler fffl Lot. Il ne se produit pas d’interpellation k la ÉJtadnbre Sans qu’u n .n jîn i^ re vienne déclarer, dû h au t de la tribniie»qu ü est Ik-pour faire exécutm -la Loi, et que toutes les m iesw es son t prises pourqu’elle soit respectée.

V ous n ’en doutez pas, ces éme-jtes qui se miivent de près; en ïT ance sont un q r ^ l ô m e grave, inquiétant pour l’arênir.■ Ne pensez-vous pas Monsie’ur le

Ministre, que vous fferiez bien de lais­ser au chef de votre personnel lé seau de'pointer les heures de présence des employés de vofre m inistère, pour dé­ployer votre, activité, votre: éneigie,. a faire respecter la propriété, le droit a u travail, k assu rer la sécurité des; citoyens su r la voie publique, en, un m ot k ne p a s tolérer que le s syndicats

- so u s la coupe des socialistes révolu-- tionnaires s insuigm it contre la Loi dtmt vous devez êtrefie gard ien v ^ - ;

,lan t.. i- Lo u p BERTROZ. ■

;sé passéfr.âFLi-j iuxjpms,po«rlaj

, ,,Baeç«cièna;qiBi . mégMmoBS premêt de.

'rentrée & s &ambres.IKiis une réunion, où assistaient cinq

députés socialistes-^ilM.- Betoulle, de Li­moges ;,Garlier,.de,Marsmlle ; Ghesquière, deLille ;Afdÿ, de’Narbônne, et Willm, dè SâîBt-Dénis, M. Clémenceau a été traité do'4 fteriiste »; aux applaudissèments des assistants. j

ii’ordre du jour adopté proteste : •t« Contre l’altitude lâche des miiiislres et des

membres tïc la majorité qui, oubliant qu ils se rccommandarent autiiefois du Bloc de la Révo­lution frânçSise, comme a dit M. Clémenceau, ont refusé d’envoyer un témoignage de sympa­thie et d’admiration à la révolution nisse et leurs sentiments de reconnaissance aux hé­roïques victimes de la lutte qui se poursuit ac­tuellement dans l’empirè slave ; 2” contre les poursuites dontquelques républicains sont l’ob- jêt de là part du gouvemenient d’Alphonse XIII; -3 *contre la politique radicale du gouvernement .actuel. ■ I

Une PriiDê Wfldisciptoe.N on seulem ent le m in is tre de la

g u erre a congédié les réservistes p a r anticipation p a r cra in te de nouveaux actes de rébellion, m ais tous ont é té THiérêé 'm ihémé tem ps, nïêm é ééax'^ qui .étaient pum s, et, sans a ttendre l’e x p ira tio n de leu r peine. C’est là une véritable p r im e à l’indiscipline ! ;

H est v ra i que Za Dépêche de Tou­louse a trouvé u n bon rem ède à cefte indiscipline q u i fin it p a r l a larm er eUe-même, nialgrè son optim ism e of­ficiel : ce sera it d ’avo ir u n « gra n d m in istre de la g u erre » — lequel ? M . A n d ré 1 — qui fe ra it le service de six mois. P a rfa item en t ; e t il n ’y au­ra it plus, en e;ffetf d ’indiscipline parce qu’i l r f y aura it p lu s d ’arrnée du to u t...

titre, de l’indulgeuce,.excessive dont les ^ v i s t e s , syndicaîistes e t agita­teurs, on t b é n é f ic fé p ^ a n t ;u n ^ m o i^

torités, on t m arché eprangS; serrés k l’assau t des usines, dés propriétés et des com m issariats dé police, enga­geant un com bat en réglé,avec la c a ­valerie, l a gendarm erie, les agen ts e t les reprfis®fttants tie la-Loi. 0 n e a it le reste; te sm ig a coidé, m ais le s ^ e u - tiers aoirt - ind6nm®®T ont été (qiérées, la pfapart^H’oHt pas été mainfenfies, e t qhântaùx.m eneurs; aux (fiiefs de file de f arm ée ■ dej la^ré- volte si.,b ien q ^ a i ^ é e , il? s’e n tire- rofitavec tp te l^ é s jo u rs de prison, e t toutseR iidiL „

L a conclusion de ce qui précède,’ Mnniiipnr.4e 'M m istre. c e s t qué ntm s S0HIID6S rtoBi' CHvers la révolution, vers i ’a ia rc ^ te , >et que s i e d a cmitimie 'nous n aam m s p h » rten & e « ^ k ^ pauvre R a s ^ HHSè k fesc^êt ^ s a ^ p a r tteS;

.ét IÇbrs ;Q hfi^noH S^ s i ^ §0ffliU B fc-dB SèârtatW » ! b v e s g é U & T f t^ et n é à t è n J ne dam :

eodM t dauS 'te rJe,.

l e BUDGET DE 1907 :La commission du budget a voté, hier,’

les :,Cl;a|)ttces réservé» do budget des tra-, vaux poUics ço.acernaut les travaux à exé-,' cuter snr.Iè réseatt.de l'Etat. Un échange; âe^'Aes a'en liéB ensiiileau sujet des con- difidhxd’éxplbttatioh de ,cé réseau. JI P t^ - là commission a commencé I Bxa■

jUeirïdn bodgèt des postés.

y e a t e a t e c o r d i a l e

Lit visite d® terd-mmro i ParisParis. — M. BéHan, syndic du Conseil

m iaîdDal.qui^'est rendO'k Iqntlres jw ur tfivtaiMe Ir tü n a ire ’à venir; visitwPaTO, a d ç r t W«r à iI-Q âiitard, m*>deutdu Con- seB munkipàl, pour l’informer que cette invitatioti «ait acceptée. . t. K; B c^ureaireia à f a n s samedi matin, a s’occupera, asssitpt de régler, avec iM membrés fin btutean,,les,détails de la ré-,ie^Ôn qui, vraisemblablement, aura heu t'& flnaam oisd’octobre; ., ■■ JVàtre part, on tétêgraplne de Lpndres

que la (kirporation de la Cité, réunie hier

m ^cipàiife de Pans pour le moisdictobre. . . . . . t• La délégation se composera du lord-mai- r ^ des aWermeu; des shérifs et deein-. quante conseillers* J

^ A ^ M i n i s t è r e d e s F in ^'È .é ' , _ -- ,r Paris — M. Poincaré, ministre des fimmi ces.a repris vendredi après uqe absence de iQdrs, la ifirécfipU des se { v ^ ,de son TO[tetement.I* ; -

• « 4 f e â '

,rc3 avoir dans sa séance dc uw uiuu*»<*àu renowreDémént partiel dm m tol de l’ordre,le couvent maconmquse.

adeiiésKk^MsMnfifllifiWésentéè pdrtecon- seil de l’twdre. Cette KteMueôn expose Tes dHK'deCtâBsqui.selon.te convent,se par-tMéM tJ^partie do âôBde.oà laotnimicecShwqne romaine ^ | a ndigion de lama- iterké . » ■ : la. doctriné ÆEglise et la doo- M w 'dËtat. yoiciTanaïÿse de ce doeu nüllt.:-ïfilfeiacÀiDn de la résolution exposmit M JiM ,d’iqMè8 Léon X liret les théoiegieis «atholiques, le iMt gnes s’asngne l’Eglise d'exercer leqttois.tiaiivoin : ponvoiristif, judiciaire .et.coacfif,...................

Ces to to 'pouvoirs, L’Eglise e n ^ d - les exercer non seulement sur les adeles,mals sur Iw .aa ts cath(jfiqnM.,Ot, d’a ç ’ès es

.QiéolotnéhS. quels sont çoïEtats?trcst 1 u- nivetsinfier, ainsi qpje l ’a .[qoclatné satnt

ïM ® a d u lé a iy ff lt .a u :p â EugèneTU : ^1t sOTW'dtf intinae pour trouver

m ië o if p isâm iÉis à votre sotà je ÿ . Mathien libeçt- i ï a ^ X B L q r ' "

VCK .

, qui reprend

la doctrine pure de l’Eglise, le royaume do’ nSglisé «est, de droit, composé de tontes les nations, en quelque eoiitrée'qu’clles se- trouvent... L’Eglise est en droit de reGuwt-j; lir dans son sein et de s’adjoindre toks les peuples, tontes les nations, tous, les hom-‘ mes quelque part qu’ils habitent. Aucun MJÜvoir, si élevé qu B soit, ne peut en rien

sonveraineté et de toute domination ».Et Mirés avoir montré que l’Eglise entend.

contraindre à la foi, même par les suppli­ces,-la 'résolution du convènt explhjue quq si elle est impuissante actuellement à met-; tre.ses théories eqpraÜquc,iC’est que « eelte' forcè’lui'fut arrachée par . la doctrine de l’Etat modmme contenue en germe dans la Déclaration des droits de l’homme ». i

Cette Déclaration desdroits qui proclame j

tion « an’émane expressément de

y ea îéee # * a iiia i5 (> î9 K gS ?S .« Telle» sont Ibsidoctrine» q u à ^ e n r e i* ' ;

fos-pères de 1789, leurs enfants et netits-enfiiuts es cqpqiirénP. Et puis, vers Tes teniéis du

s e ^ i emjpiré, lé souvenir s’én esaça. Si Men qn'alijourd’lniî, des hommes'ds très bonne foi, îles partisans de l’Etat moderne,. ■ prêtent inconsciemment leur appui à l ’E­glise'dans ses revendications dont ils igno­rent la portée. 1' » Pour-nous, fidèles aux traditions de nos glorieux prédécesseurs, fiers de leur œuvre, gardiens de leur pensée, nous ne' pouvons nous soustraire sans forfaiture au combat qu’ils ont commencé et dont ils nous ont laissé l’achèvement. Nous lutte­rons donc de tontes nos forces pour le triomphe des idées émises dans la déclara-' tion des droits, Rest^tiieiix de tontes les croyances comme de voûtes les incrédulités, chercheurs de vérité nous éclairant des seules Ihmiëres de la raison, et laissant aux antres le droit à la foi, nous nous op- Wserons de toutes nos forces à ce qne la iberté de la pensée humaine puisse rece-j

voir une atteinte. IMéprisant les calomnies que répandent

sur nous les moineset leurs alliliés, piu’ce' qu’ils trouvent dans notre philosophie le lins solide obstacle à lonrs ambitions,nOus eur répondrons ; « Ciierchez lè trône on la

croix, libre à vous, l’onr nous, réunion de penseurs qui ne prétendons à aucune part de domination ni de dii’eetion gouverne­mentale, nous ne nous lasserons point de crier aux nations : « Voyez où Rome vous mène. Voyez cë qn'etTe veut taire de vous.»

'^ ç tH s io n s u r ta l i g n e d u N o r d ^

Beauvais.— Un accidentassez grave,maia qui aurait pu avoir des conséquences au­trement déplorables, s’est produit mercre-, di sur la-ligne du Nord. . |! Par suite d’une faute datguiilage com-, mise par un employé de la voie,deux trains de voyageurs se sont tamponnés, vers dix heures, en gare de Saint-Paul. . j! L’un de ces trains venait de Beauvai»,' l’antre de Gournay. . ti Malgré cela, la collision se prodnisit,maisj elle fut fort atténuée. |

Treize voyageurs ont été blessés,mais peu grièvement, et toûs, après avoir reçn les soins nécessaires, ont pu continuer leur route.■ Par contre cet accidenta cause des degats matériels assez importants, et l’on a en pour de longes heures de travail avant de réassir à déblayer la voie.

Les GrèvesA Qreaoble

Grenoble. — Une sensible détente s’c^t manifestée mercredi. Dès le matin, on a constaté une reprise du travail dans plu­sieurs usines. , . . . . . ,

Sur l’ordre du ministre de 1 mténeur, les troupes ont reçu le inatin avis d’avoir à rester dans lea casernements de la garni­son. Tontes, lés .places ét lieux publics ont été atissitôt^mayéS.' . . . .- Une réunion' des grévistes a eu lieu a dix heures, dans un local particulier. U sortie s’est effectuée dans le plus grand Icalme, et la foule s’est écoulée sans maiii- *ffest6r«1 Dn a encore acclamé la grève générale, rmais tontes les corporations ne sont pas disposées à suivre le inouvement. Il n’y avait pas un seul soldat à la sortie.I taiez-.les.lmtonniers, le >toÿail a repris partiéflémébt. - v: ' -i Le matin, l’état du soldat Mollier est de­venu subitement inquiétant; : gn redoute line issue fatale. -I Les tramways fonctionnent comme d or­dinaire. Le chômage èst presque nul chez les coiffeurs, les boulangers et les camion­neurs. 11 est assez forfchèzles mégissiers, et nul chez les Entiers. , . ,‘ Aucun incident ne s est produit dans la ionrnée. Des.patronilles de cavalerie défi­lent sans interruptiôh. i

Les typographes 1 ont décide quaucun journal ne paraîtrait tlemiiin matin. ; i

LeS vendeurs de journaux, de leur coté, Oqt décidé de ne mettre en vente aucun jomrnatde Lyon on de Paris. 1■ La Croix de l'Isère, journal composé par des femmes, a paru seul'. _ '! Les numéros destinés au dehors ontetë portés à là gare à dix heures, sous i’escorte d’a ^ t é de police. . '

lu soirée s’est passée sans le moindre 'incident.

f t dienean Tsnt tes FiÉes.Par une. circulaire aux tmmmissaires

spéciaux, M. Ctémehceau prescrij la «aj-; fection de « fiches » — c’est' lui mêmd qiii; ^ p lo ie cemcet^—^ sur « les individus de! p u s ÿenre.s.et.de-toutes nationalités dan-- ■'gereuxpourla sécurité pubUqtté. ».

La formule est vaOTe, élastiqBe- Et il faut s’attendre à voir le s spéciaux se oôn-- former aux ordres, et aux intentons dél M. Giémenceau; en établissant, sous pré- - texte qu’ils soifi; « d tu ^ reu x pour la sécn-f rité publique »- des fiches coidre tons ceux qui soiit suspects de tiédeurvà l’égard du Moc ou qni auront été dénoncés par les. « délégués». ; ' ’ - ‘

Uh autre passage, (te la eircnlmrg est à rp t^ r .. C’est celiu .où M. tUémenceau d é - , clare que les fiches « doiïent être réservées' e x e lu s is^ e n ti m x aplori1él:jp4^KçVes| ou admini^J^wes a ; . ..iSMcù8;‘réis| eZZre ne

wfene* rCunipqimltlM* devântla justice; les juges auront connais­sance de iadite-fiche et l'intéressé l ’igno- :re ra . i

M. Clémenceau ordonne donc qu’on; juge — et condamne — sur des « dossiers secrets ».

La lettre desde Fraaee.

T R ^ O - E S P f t a M O L

Saint-Sébastien..— Les délégués français, poiir la commission du traite dé commer­ce, ont refusé de discuter séparéinonl la proposition de leurs collègues espagnols concernant le tarif des vins, wmsulcrantSue la question doit être joiiitoiiTensemblo

n projet..- . . ,La date de la prochaine réunion n’est pas

fixée,

' — . M J B L T i L ^ ' E . ,

Les promotionsParig. _ Nous crovons savoir que tel

grandes promotiims e t les mutation» nuh- teires paraitrent, selon tonte probabdrte* au ioum d Officiel le Ï8 courant..........

On sait que les cardinaux, archevê­ques et évêques de France, réunis en assemblée plénière pour exam iner les m esurés qu’il convenait de prendre k la suite dé. la Lettre Encyclique de Pie X, avaient décidé avant de se sé­parer, d’adresser au clergé et aux fldëlès de leurs diocèses une lettre col­lective.

Cette lettre, dont le texte a 'recueilli l’approbation unanim efies.prélats pré­sents, a été transm ise k Rome pour y être soumise k l ’agrém ent du Saint- Père. Elle en est reyenue et sera lue en chaire, demain dimanche, dans toutes lès ég-lisés de France.

En.yoicî les principaux passages :' Notre Très Saint-Père Pie.X, en nous adres­

sant sa Lettre Encyclique, a rempli la mission qu’il a reçue de Dieu, dé conserver intact le dépôt de la'vérité et la constitution de la sainte Eglise catholique.

iZette constitution a pour base essentielle rautorité de la hiérarchie, divinement instituée par Jésns-Christ. L’Eglise est une société gou­vernée par des pasteurs dont le Pape est le chef, et à qui- seuls appartient le droit de ré­gler tout ce qui toudhe a l’exercice de la reli­gion. Or, la loi de séparation prétend imposer à l’Eglise, dans notre pays, par la l seule auto- ’rité du pouvoir civil, une org^nisation.nouvelle. Elle déclare ne plus connaître, pour l’exercice du c-ilte divin, ^ e des associations de citoyens se formant et se gouvernant à leur gré, selon des statuts de leur choix, que leur volonté res­terait toujours légalement maîtresse de modi­fier. Si dans l’un des articles de celte loi, le principe nécessaire de la hiérarchie catholique semble implicUement contenu, il n’est indiqué qu’en termes v t ^ e s et obscurs, tandis qu’il est trop clairement méconnu dans un autre article, qui attribue, en cas de conflit, la décision sou­veraine au Conseil d’Etat, c’est-à-diré à la puissance civile. Ce serait donc comme une constitution laïque donnée à l’église, f i e X l’a condamnée et devait nécessairement la con­damner : « 11 a décrété que les A ^eiations, ctiltuelleS, telles que là loi les imposé, ne peu­vent absolument pas'être formées sans violer les droits sacrés qui tiennent à la vie même de 1 Eglise. »

La lettre continue l’étude des,asso­ciations cultuelles :

Ce serait donc étrangement se tromper, de croire et de dire qu’en rejetant lesdites Asso­ciations, ie P à p e « n’a pas eu uniquement ’ên vue le salut de l’Eglise de France; qu’H a eu un autre dessein, étranger à la Religion, que la forme de République en France lui est odieuse ». Pie X dénonce « avec indignation

comme des faussetés..., ces récriminations et autres semblables, gui seront rép'àn'dues dans le publie pour im’ter les esprits ».Et là lettre ajoute que, conformé­

ment k l ’avis du P ape, L’application de la loi èst iïnptMàMe.

* Nous voulons espérer encore que la guerre religieuse sera épargnée à notre pays. Les ca­tholiques français demandent qu’au nom d’une loi qui prétend assurer la liberté de « cons­cience et garantir le libre exercice dès cultes », on ne leür impose pas, pour la pratique de leur religion, une constitution que jeur cous- cience leur défend d'àccépter ; que l’on se souvienne qu’en aucun cas et dans aucun pays, l’organisation d é ^ e du culte catholique ne saurait être rég l& que d'accord avec le Chef suprême de. l’Ejdise ; que si l’on veut à tout prix séparer l’Eglise de l’Etat, on nous laisse du moins jouir des biens qui nous appartien­nent et des libertés de droit commun, comme en d’autrès pàys vraiment libres,. Nous ne pou­vons croire que .de telles rédamatkma rie soient pas entendues.

Si l’on tentait d’établir, contrairement à la volonlé du Chef de l’Eglise, des associations qui ne pourraient avoir de eathohque que le nom, nul’tfe vous, sous quelque prétexte que ce fût, né consentirait à s y enrôler.

Vos pasteurs sont résolus à subir les spolia­tions et la pauvreté plutôt que de trahir leur devoir : vous comprendrez que tons les fidèles ont l’obligation de conscience de leur venir en aide et de contribuer,, chacun selon ses res­sources, à l’entretien du culte divin et de ses ministres. -

Nous supplierons le Coeur de Jésus. « qui aime les Francs », |)ar l’mercession dé la Très Sainte-Vierge Marie qui a prodigué à notre ' patrie les marques dë prédilection, afin d’obtenir que cette patrie, qui nous est si chère, reste fidèle à sa vocation chrétienne et poursuive, sous l’égide son de antique religion, le cours de ses glorieuses destinées.

Notre présente lettre sera lue en chaire, dans toutes lés’ églises de France, le dimanche 23 septembre pnséB»i«.

Donné à Paris-, .en. assemblée plénière, le 7 septembre 1906.

Sliivent leS signatures déé évêques.

lA -le ttire d es Evé^nrés. - ' jLè'G«î<Zois. ’ . , îLa lettre que les cardinaux,: archevêques, et)

évêques dé .France adressent, a n 'c le ^é et. aux fidèles de leurs diocèses dissipe les dernières illasions de nos gouvernants. : ‘ t

Jusqu’à la dernière heure, Hs éspéraientî qu’uns scission se produirait et què la résis- taoce, de certains peélats aux décision» diij Saint-Pèpe pourrait être- le point-de départ- d’uhc or^m sation nouvelle de l’Eglise, qu’ils! se proposaient d’encourager. , . ’

Us sont aujourd’hui désabusés. Lès calholi- ; ques qu’ils avaient trompés en leur promettant’ itnëappBdàtion très libérale; de .là 'w Btland!, ont reconnu né' piégé 'qne Ictir tëpdaientr.lés ! francs-iâaçons ; à; la vwx «hrpe^j,ife'sé‘sOnt : c^aisisipiiàKint eempiis (fnwfâiHdêiù'fÉiÉse i .rptUe;>e| dAsqrmnis ton» le», fidèle^ sans màe i petrtâ^w i^ iil(^ SM^uétré.i^ifitiiLâliiîiWtNRj

:.H >2(., Dnanq. .gofft^,)atgà.pgBoncep,|

dém m ïren tm ^^F j^^ '^A ^^iiK FftiâgSus sfen féjoeirsnt, èar, si Pie ' X,' qUi .àtoM : nlfire pays et défend son îiïflueocc réligieusè dans Je monde contre dès ambiîiods .lti^cs, sé détour-i naît dé la France, iiousàpiircndriohs hiéntôt 'à f nos dépens qn’enorient, ht protM.ion dil Saint- S i^ e est pour notre pays'unc forréddnt mous ne pourrions impunément nous passer.

La. République P ra r^ ise ; . .Là lelire n’est qu’une adhésion complète et

sans, réserves à.l’Encycfique dtï 10 août. Cette adhésion était naturelle, on peut dire néces­saire, de la part des évêques. Mais il y îtvait plusieurs manières de l’exprimer. Les évêques ont choisi la plus stricte, et la plus littérale. Us suivent pas â pas l’Encyclique,;et-pour être plus sûrs de rie pas s'aventurer hors au chepiin qu'elle trace, ils se contentent le plus souvent de la citer. Leur préoccupation évidente est d’affirmer l'union étroite de l'épiscopat et- du Saint-.Siège, et de l’affirmer d’antant'plfts éner­giquement qu'après des di,scussioiis et des-pu- mications récentes, l’unité de vues entre ces deux pouvoirs constitutifs de l’Eglise de France n’avait pas paru, au oioins.pour le passé, aussi nette qu’on aurait pu le désirer.

- ■j.jjL ÇifltwaiitM>«iii»id*giiiCTc.''>'f

l-aon, le svndicatàgHdmetdèT’#I d e â é h aiééBS^anâ& nâaaai::

Le syndicat. , Con^dérant'qne le régime fiscal aitqpeUa

sucrerie 'estsbnm ise 'tenâ.à restreittdre l’oie- portation dit sucre, sans permettre esDore suf­fisamment, le développement que tloit mtoindi» la consommatiori intérietire de cet alieieur vi- ylfianl et ulilo par excelleace.

Emet le vœu : '« Qne les pouv8»%. publics allègent le plps

possible les charges qai pèsent sur l’industge sucri.ère ; .

Et qu’ils provoquent par des recherches, par tous procédés de vulgarisation et par dès mesures administratives opportunes, l’augmeif-

dation de la consommation du sucre, humaine, animale et industrielle. »

A.U conT ênt maçonDflc|ae.Le Figaro .•On avait pu êroire — ou feindre,, de croire,

par courtoisie — què l’entreprise "dë la délation était exclusivement l’œuvre d e . quelques gros personnages de la rue Cadet, et que la masse des francs-maçons n’avaii p iia t de- responsa­bilité dans ces répugnantes pratiques. On s’était trompé.

Bien rares sont ceux qui.ont protesté, et on n’a fait aucun cas de leurs protestations. La majorité a tenu à se solidariser avec les mou­chards. Le convènt a élu membres de son bu­reau précisément les maçons les plus compro­mis dans cette affaire, des rédacteurs defitdies et'des apolo^stes de leur, triste besogoe. C’est l’apothéose de Vadécard et do ses complices..

Le Siècle : ■Les évêques se plaignent surtout de deux

articles de la loi : l’article IV et l’article VIH...Les-évêques ont raison. La loi aurait dû

laisser les Français dans l’exercice de leur re­ligion soumis à leurs juges ordinaires ; et per­sonne n’aurait rien perdu, si les tribunaux avaient le dernier niot en matière de réligièn, comme ils l'ont en matière de morale et de propriété.

11 suit de là que l’effort des gens qui veulent changer, quelques chose à la loi va se porter dès la rentrée sur les deux articles contestés : l’article IV et l’article Vlll.

Arrête :Article 1“ Est îfrterdite .ToccuFatj»

des classes de l ’école de garçons ;dê Sanil- FlOffir-'Ville; parM. Ondbul on soncomité.

Art. 2. — Notification sera faité du jmê- seirt àiTèfê anx^arties intéressé è?. . ,

S'afnt-î'iour,'le 10 septeiBiire 190S. ï*e Mmi'8,

Chevalier de la Légion d'honneur. Signé A Bert. -

■L* Préfet du Bantal n’a pas encore coia- ris la leçon. Il faudra lui en''donner l'autres pour lui aj^Téîidre'Te" droit ad-

usniâretif etlèiioiLfoni - ' •'•'ï •♦

Q ile s lîo n d è C h a s se .Le tir à l’abri d’un véhicule.

Voici, dit la Défense de Clauny, que se trouve posé incidemment un petit problème juridique dont la sagacité du tribunal de Laôn aura à indiquer la solution.

Le public sait (ou ne sait pas) qu’il est inter­dit de « chasser a l’aide d’une voiture », c’esl- à-tlire d’approcher le gibier en se disimulaiff derrière un véhicule quelconque, ou c’est le cas de quelques cultivateurs qui. accrpcj^nt leur ftisil au collier d’un' des chevaux, tirant leur, charrue - derrière un attelage.

Or, samedi, ( b is la matinée, un chasseur, da canjon de Cîmuny, était aperça par deux gen- chirmès de cette ville marchant derrière la voi­ture d’un cultivateur ; il avait son fïisil chaigé sur le bras et suivait l’équipage- H fil ainsi ime soixantaine de pas sur le chemin et... pan ! pan !... fit feu, à deux reprises, sur une com­pagnie de perdreaux, dont l'un fut blessé. Les gendarmes, qui s’étaient dissimulés, se mon­trèrent alors et déclarèrent procès-vorlial; en vertu de l’arrêté préfectoral réglementaat l’exercice du droit de chasse.

M. X..., à qui n’appartient ni le cheval, ni la voiture, qui a profité de la circonstance, du ha­sard, d’une rencontre, a-t-il commis une infrac­tion ? C’eSt nous le répétons, ce que le tribunal correctionnel de Laon (carilyva de la correc­tionnelle en toule matière de chasse) aura à déterminer.

Quoi qu’il doive advenh- et pour éviter de pareils ennuis, les chasseurs feront bien de s’abstenir de se servir des voitures comme d’un abri pour surprendre le gibier. C’est pour abdutir à ce conseil que nous avons cru devoir leur signaler le fait de la contravention relevée à la charge d’un de leurs confrères.

M. Geiinet, préfet du Cantal, vient de recevoir une leçon. Il en avait Besoin, car il était dëpouiwu de retenuê''dans son ignorance administrative.

Un président de comité eombiste, M. Ondoul, voulait offrir un banquet au dé­puté de Saint-Flour, le célèbre M. Hugon, Avec peine, il avait trouvé un resiatira- teur et quelques douzaines de convives, mais il lui manquait une salle pour man­ger et boire à la santé du législateur du cru. Que fit-il? Il s’adressa au Préfet, qui I le tira d'embarras, en mettant les écoles primaires de Saint-Flour à sa disposition.

M, le Préfet-a'avaitp.uWié map.ehose : de consulter lè maire' 3e''Sainf-Flônr, l’honorable M. Bert, qui est un adminis­trateur distingné et un des plus vieux 'et des plus fidèiês républicains du Cantal. M; Bert le fit respectueusement observer, à M. le Préfet, tout en ajoutant que « le gouvernement républicain' ordonne "de respecter la neutralité de l'école et que ce serait porter atteinte à son caractère m e d’en user pour les manifestations d-pn parti politique ».-M. lé Préfet ne r ^ n f l i t pas. Une nouvelle lettre de M. Bert - iUfiiit pas le. don d’interrompre le silence préfec-

, - -J*.Devant ce mutisme de mauvais goût, M. Sert prit l’arrêté suivant :

Arrêté.Lè mmre de la ville de Saint-Flour,■Vu l'article 90 de la loi du 3 avril 1884, "Vil la décision du Conseil d’Etat en

date du 3i mars 1904,Considérant que l’administration et la

conservation des propriétés communales appartiennent au maire : que le maire seul .doit prendre des arrêtés po u r. en sauvegarder le bon entretién et, mainte­nir j ’anectation qui est donnée ;

Considérant qu’il y a lieu d’ordonner les mesures nécessaires à ]a''èpa^rvaüon. des locaux scolaires en i n l ê ^ f e ^ les réunions.qui seraient denatuÉelîjfesdégra- dèf si êllês y étaient tenues^; ‘ ..

Considérant que le Comité radical, présidé par M. O i^oaujffojelte d'organiser un banquet daiiS 'îedélass^ de l’école de Saint-Flour; q|i'oirne$ffn^t détourner ces locaux .de, lêfir à^eet^ion spécialè pour les ujettre ; à .'la d i^ d ^ te n d un paru pofitique ; qu'il ï, |i firé Wf®, d’interdire que cette manifeslàUon an néu

i . dans les locaux scolaires dontil assure la I neutralité ; . '

Questions HiHteIr».Les hommes du service auxiliair e.

Au nombre de onze mille environ, les bom- mes du service auxiliaire, incorporés imur la première fois cette année, seront appel s du 6 au 8 octobre prochain. Ils recevront une ins­truction rudimentaire, sans armes, et occupe­ront des emplois d’ordonnances des officie.rs non combattants, d’ouv-riers, de plantons, etc., de manière que lonslès'soldats valides, actnet- lement occupés à des fonctions sédeiitairés; soient rendus à.rinstniclion.

Néanmoins, ils n’en sont pas moins, iniji- i taires..-.et comme tels seront astreints à tontes

les règles de la diseipline ainsi qu’à toutes les obligations imposées par la loi et par les régi®", ments militaires autres que ceux qui- visent la préparation à la giicire. fis devront donc rèce- voir la même éducation morale que les ànlres

i soldats et acquéririfans les mêmes conditfotis i que ces dérmera dès notions suffisantes sn r la s hiérarchie militaire, la discipline, les dej’oirs ' des hommes dans leurs foyers, le code de jus­tice militaire, le seivice intérieur et ]e service dè'S’placès.' * ' ■

Les régiments d'infanterie dos troupes mé­tropolitaines et coloniales et les régiment^ d’artillerie coloniale, ne recevront .pas iTh^-^ mes du service auxiliaire. Ces affeetatioiîè'ISë' feront d'après l’ordre d’inscription sur les l i s ^ - de recrutement. ' ‘iu ;»

L a d a n se 1905.Le ministre de la guerre ayant constate que,

dans ces dernières années, un très grand nombre de jeunes soldats étaient- réformés pendant les premières semaines qui suivent leur arrivée au corps, pense qu’on ne saurait trop attirer l’aUention des jeunes gens de la classe 1905 et de leui-s familles sur les dis­position nouvelles de la loi du 21 mars 1905 et de l’inslmction du 21 juillet 1906, qui sont, rappelons-le, ainsi conçues :

« Les jeunes gens qui se croient suscep­tibles d’êlre réformés doivent en faire la dé­claration dès la réceplion de leur ordre cj ap-gel sous les drapeaux, au commandant de la

ligade de gendarmerie de leur résidence.—« Celui-ci transmet sans retard les dennan-'

des au, commandant du bureau de recruten»!*. dont dépend le siège de sa brigade en ,Ies: apmiyant d'un bulletin d’appréciàlion, él,, sF possible, d’un certificat délivré parfe'niêdferin.

« Le commandant de recriitementj- com qgre devant la commission spéciale les le im és^B S qai lui pàiaissent suscqjtibles d’être réfMOiés.

« L’ordre de cbteoeMion indiqae que-lé- titulaire a droit au voyage à pris réduit e it

■ chemin de fer ».

Conseils.-i»nx, so ldatp . '_ j , '*Nous croyons utile de rappeler apx - jeunes

soklats-possesseurs'de diplômes de p rix ileJ ir

petrvent leur ^ r c g f^ d e _•veulent suûTe les pelotons d’inslruction. - • '

Les conducteurs de voilures aulomoliilfl.'< •n*’ a u s s i i f l t ^ à nréseBhîr, à lew l ul'égiméntneîïif^certificat d’aptilade à la’ duite des automobiles.

• .^r:"

décéd qui s, el

irovUÛUX\

1 , , pftnltf-Kemwe'fêmpiro'ÏÏ’nn simple cercueil en Sois

n ^ enfermer le corps), l’exhumatiM a ^ t ““ SSai déterminé, le transport est effectué par l e s s o i n s de., t’adnûnmtrn^n militaire ««.eik avance ^'d&^fcKiaPWï d’en référer au mimstre.

' f f l ï

^ „„8emaDdi foccasion- de ^veur deff .d ans d ^ e iid fecti^B a fréms dHi±

Tout cette daî® seron

L e s a c c i d e n t s d u t r a t i a f l . ,

nant les c id e n ts du travail d’api-ès les ordonnances et les jusements rèndus en ■yertti, de Varticle 18 tfe la loi du 9 avrif itSfi, du 1" avril au 30 juin 1906.

Nous en extrayons les renseignements OTivants pour rô tse : , ' t ,

i*Iomb)re des persopines tuees ou bles­sées : bommes de moins dè 1 6 ans, 2 ; de plus de 16 ansi 1 3 ; femmes de moins de 16ans, 0; de plus de 16 ans, 0 ; total, 4/ ; easde mort, 4 ; cas d’incapacité perma-. nente totale, 0 ; partielle, 43 ; nombre pour le cas de mort des conjoints, 4 ; des en- fènis, 3 : des ascendants, 0.

S e r v i c e d e l a M on te e n lO O T.La Commission êhargée de constater

l ’état sanitake des é ta lenapré^ tfe-ponrB islrn cèd é Ta;m8Bfe;ott i9Ôïî dans le a l^ te m é n t de" l’Oise; se réunira auxlieux, jours et heuiîK: désignés piraprès :

Beauyais : mardi 20 novembre 1906, à di^i'hûures, devant la-gare. - , q„» a

Clermont :;«iapdi 20 novembre 1906, â. une heure, devant la gare.

Senlis : mercredi 21 novembre 1906, a dix. heures et demie, devant la gare- '

Lompiègne : jeudi 22 novembre 1906, a deux heures, au dépôt d’étalons.

T’ont propriétaire ayant l’intention de (consacrer un étalon à la monte de juments appartenant à li’autres qu’à lui-mème est îenu d’en faire sa déclaration à la préfec­tu re de son arrondissement.

Pour ta monte de 1907, les déclaratifs seront reçues jusqu’au 15 novembre 1906, dâie extrême. , , ,

Les formules spéciales seront-tenues à la disposition des propriétaires qui en feront la demande. Le modèle de ces déclarations se trouve en outre, inséré au Kecueil des Actes adm inistrât}/s.

11 est rappelé aux éleveurs qu ils sont tenus de taire visiter chaque année les étalons qu’ils consacrent à la miinte tior- malité absolument obligatoire), et que tout animal qui n’aurait pas fait 1 objet d’une déclaration ne pourrait être examiné par la Commission.

-------^ s s l o u d ’A s s Is e s s u p p i lm é e . Les deux inculpés pour attentat à la

pudeur, Louis Lécuyer et Alfred Gourbier, nui devaient passer devant les assises de POise lundi et mardi prochains, s étant pourvus . contre l’arrêt les renvoy f t devant le jury de l’Oise, et aucune autre affaire n’étant inscrite au rôle, la session des assises ne se tiendra pas lundi prochain.

MM. les jurés désignés pour siéger au cours de cette session sont donc dispensés de venir lundi à Beauvais.

promotion du 14 juillet 1907.

.. iltevaves.La température, (iette semaine, a été

basse et sèche pendant la première partie, puis pluvieuse et très fraîche.. L^s^pluigs, jm t éii* mvnralteffiëgnigeûéîHies par- î«

qaj se plaignait de ne pouvoir tra- ’vaflîe'r seC têrres.durpies à l’cseès par la s é c h e r ^ ^ et c o n s t a t avec regret le r ^ lentissemént des progrès de la récolte (te befteraves,. entravée dàns .^ n . développe­ment par le manque d’hiiinidité.

Grâce aux réceM eyd»§^ l^ c i i i t r s te lm c t î f ê lw ’ sans dffiouîff et la végétation de la betterave va _se rani- n ier-r 'î&p5»faOtëd®cbafêiïr:e|i3é ^ e i l ,; , rajDra-oissânent dë là-racine tersahrafit en tout cas être importàtif, et, quoi quil arrive, ilfautd^SjnnaîSrenbneerà reSgêir d’uh rendemenfcultm-al égal à çelm de l’an dernier. . . . „

Q u a n t à la teneur en sacchanne, SI elle s’est améliorée d’nné façon incontestable sous l’effet de là période, chaude et enso­leillée qui vient de prendre fin, elle n’est- encore nullement assurée. ^

Dans -les autres pays, le temps s est également mis à la pluie et par suite, il y a des probabilités d’amélioration dans le rendement cultural de la récolte euro­péenne. . j.

L’administration des contributions indi­rectes vient de publier le tableau des ré­sultats définitifs de la campagne indigène 19(®-49d6 arrêtés au -31 août 4906. La pro­duction en sucre, valeur rafBné, a été de 98*i674,833 fcilog: COnfc<e 4Ç2,7^^217 to-: logrammes en 4904-4905, soit une diffé­rence e% plus; pour là! eamp.i^né actuelle, de 4^,933.6fi8 telbgramûies'.

La production unale de la campagne 4903-4906, qui vient de se terminer, est d’après ce qui précède, de 984,674,833 kilogrammes, valeur en sucre raffiné, y compris le sucre fictif des mélasses, contre 362,736,247 kilogrammes en 4904-4903.

(Journal des fabricants de sucre):

L E S C O N F É R E N C E SA . g r i o p l © s .

JHTd e s P i

médaillé d'- inle-Barb«

ipiers qui _evront p â ix ^ le 33 s e p l t ^ e , ^ ! 0

g . parv iend r§ jj- '^ examinées en vue

n i u D i c

Les conférences agricoles vont com­mencer. , . ,

A ujourd’hui samedi 33, réunion des adhérents du canton d« Crépy.

Demain dirhanchc 33 , réunion desadhérents du canton da Betz.

Mardi 35, réunion des adhérents du canton da Senlis.

Ces réunions doivent servir à nommer les présidents et secrétaires de canton et à désigner les délégués communaux. Elles comporteront une conférence faite par

^^™prie instamment les adhérents de vouloir bien assister à ces réunions. G est dans ces réunions que s’organise la vie active d’une société, qu’on se rend compte dea besoins de canton. Tous les cultiva­teurs sont invités. 11 y a là une excellente

; occasion de faire de bonne besogne basée sur l’union de. tous. Plus ils seront nom­breux, plus ils aboutiront vite. Le moment est venu d’agir ; les cultivateurs compren­dront leur devoir.

coiMil municipal de à huit neui'i

s ^ ^ ^ ^ B - d e - v i l l e , sou— r - - - . de M. Andred-2 .Waru, maire, pour d ^ bàmx w r 1(9 f p a i a ? ^ « e s

Lecture ttii proces-verbaLde la_séance dni7-aoûteshfeW eft-«ol«i::^aé^^ obsemiron." ” ---r-^ .- :'-

Le' repoîT bébdûms^M é.44,.le Sfetee fait chnnaîtte'fan’cônseft

qu’en vertu de l’article 2 detla toi du 43yiîilftt *' —".-.'•■•n A4-r*/ï rlrxTvnfS ïlTV îillJï'ôjour q

et qu'il sera stvdûè sur ces demandes par le Pçèfet après., avis .du co,pseil munci-

^ ’est ainsi que les commerçants sui­vants ont adressé des demandes dé déro-

•^^toLjuslesbouchersdeSe’nlis, demandentle repos de leur personnel, confcmmémeat au paragraphe 3 de l'article 8 de ladite lOi, le dimanche après-midi et le mércreih

^2° 6 boulangers sur 7 demandent pour leur personnel du dimanche à midi au Inndi à midi, l’un d’eux demande en outre de maintenir la journée du dimanche pour: leporteur et de lui accorder repos lajour^ néédnluniii. .

Le septième boulanger a fait parvenir depuis une demande semblable à ses col--, lègues à la Préfecture, mais le Conseil n’avait pas à statuer sur icellé, n’étant pas saisi régulièrement. . . ' . , ,

3» M. Cliampion, épibier, demande le repos pour son personnel par roulement,à partir du dim ànchéi midi. ■

4? M. Carré, épicier 'èt débitant de demande pour son personnel 12’jo u ^ e .

^**5^M. 'iiouge, limonadier, deffiamie lemercredi. , , , , ,-

6° M. Gonin, coiffeur, demande le lundi. 7° M. Albouy, coiffeur, demande par

roulement le lundi et le vendredi.8“ M. Bemard-Détiys, marchand.de nom

veautés, demande par roulement le lundi et mercredi. , . .

9 ' Mme Brault, marchande de nou­veautés, demande le repos 'pour son per­sonnel par roulement, du samedi à midi au dimanche à midi-et du dimanche à midi au lundi à midi. ,

fO” M. Jobert, pâtissier, demande lemorcrodi» —

M. de W aru soumet au Conseil un projet d’avis, tendant, puisque les intérêts de tous seront sauvegardés, d’accueillir favo­rablement les demandes de dérogations présentées par les commerçants ci-dessus nommés

.A l’unanimité le Conseil donne un avis favorable.

Donation TMriOn.Le Conseil, à l’unanimité, adopte le

texte de l’immatriculation présenté par M. le Maire, à faire figurer sur les (leux titres de rente destinés à délivrer deux prix aux Ecoles de fllles chaque annee, ainsi que le Courrier de l’Oise 1 a deja mentionné.

Société d’horticulture.

oteàux à la sortie dés-f'ùes sur Vi£&trÜBsls H)

l’mliS

instfatibnde M. Cultru, il verra avey a moyen

indicateursis péleâtSicavoiruetles-.eojj.ditiaiffi

EÉSséancè èsTlévéë à 9. h. 4/4.

î'tïâ ^o^àa In te Jorrel Id e b l

e t , _ tio o 9 H n r ( ] n i lesT..

environ une heure plus tard,.O ril( ■ ' .A.AA

directs n.,,déè vbiiüî'es d e , L . ^ . ------conçoit pas que les voyageurs du tram i 4 h. 40 n’aient pas, comme ceux ^ »>• très trains, la permission de aOMieT, *

inè, (iBial j ; e l l * 4 n i^ .o n i a I

i r e s t ;

est â rejmarqqsé^dé M î-fes liW s de CteànlillS,à Pmris. JMrfenMul

par M.| t e a élevé à ièr du Roi

autréfeil dû

ffiniîd, et un m( sortissent les ap

le l ros­ies deux le. Pdn-

. : ©oUrtàtPOn pourra s’en convaincre par ' ljSgrOfiîaipne.(iua. nous publions ci-Jes-. ' soUSi.no.dS aurons, demain ffiman^e,.ay§c.

ations, dans

e à è fê d ’dfiîpmliculièra

de la capitainerie rojMe. . . . - ■ mm m I ifcr* -

sera pas ses faveurs, espérons-le, une excellgnte réunion sportive.

Nous ne saurions trop engager nbs oon-, l- citoyens à se rendre au Vélodrome, où ils I applaudiront le grand match sensationnel de boxe anglaise (une nouveauté pour Senlis), courses d’obstacles, eourse , de I vitesse, cours* de motocyclettes, handicap àîû3.tcilï5»

NoiiS lie pouvons que féliciter le Vélo- Sport Senlisien d’avoir pris J’iniliatiVe -de donner au public une deuxième réunion sportive, dont le succès, nous en sommes certains, ne le cédera pas aux précé­dentes. ______

AU VÉLODROM E D E ÇEATJSDemain Dimanche 33 Septembre 1906,i

à une heure et demie,A l ’occAétoN D t T irage de la T ombola,

RÉUNION SPORTIVE

Nous avons eu rocCàsloB , ( ^ derniers de nous élever c o n t r r r ® w . sance du perSôKfleftlé'notre f m m 'ï t e

^ ^ N ^ s sommés BéüFèiixltë constatér que le Gonsèli muniQipal,danssq.$.édntaâA^er,^ â émis' fe. vœù que TAdiUînisti^É^n des; postés veuille bien'noüs accorder un em-, ployé sappteméntâîré en ’vue'dqiSrŸtce qui vient de plus en plus charg ’ ' ' ' *

mr le prince de Condé ; à iiuui 11 ajouter son antique chà-tea»;- sa^aréBièiftsd*i^^ sa grande rotfâVers Coftpiègne et' ftnt*®Au sffltÿus là letti% §é M

Nous espérons. que neffre cUif^éîff dé­partemental fera droit, à cette îé-

. quête.

Mort Me M. Deloiont.Nous apprenons avec peine la mort dé

M. Frédéric Delmont, csqiitâine de fffeàté en retraite, qui a. succombé 'aux d’une longue maladie-.

Ite défunt très oôhûu à Senlis, étêût chevalier de la Légion d’honneur, lieute­nant-colonel du 43' territorial à Compiè- me, titulaire des médailles de Grimée, du tembodge, du Mexique.

Le défunt qui était âgé de 79 ans,'ëtàit trésorier de la Société de secours inàtiiélS

\Â Avenir,

Ét de M otocyi^ttei

O Ô U Ï ^ S E I S A . 3 P I E D

l'Daine dè Sëniis.NoUs adressons aux familles Detaent

et Dubuffet en cette pénible eivqohstance, l’expression de nos viV ès &&ndoléances.

Un

Les Fruits à cidre.- Il s’est peu traité d’affaires ces jours-ci sur les marchéude l’Eure. ,' La récolte sera meilleure qu on ne le croyait d’abord. Dans la Seine-înférieure, il y a beaucoup de pommes dans les arron­dissements d’Yvètot et du Havre. Il en est dè même dans la Sarthe, en Bretagne et dans la Manche. La vallée, d Auge four­nira aussi un assez bon rendement.

O p .a coté, dans l’Eure, 40 francs, livraison fin septeinbre, et 45 francs dans la vallée dr Auge. „ ;

Pour octobre, on paie 33 francs environ. Les poires se vendent 45, francs livraison octw re également.

Les Mécoltes (dans l’Oise.Le Journal Officiel publie le tableau

suivant de l’état approximatif de la fé c ^ e du froment, du méteil et du^seigle en 4906, d a n s le département de l’Oise, d après Is T C le v é transmis par le professeur d i n ­culture aussitôt après les premiers bat-

^^SsE (3” région). — Froment, surfaces" ensemencées, lœi.fOO hectares; produite dès grains, 2,964.748hectplitres, 2.3o4.o6o fluintaux; méteil, 830 hectares : produitsan grains, 21.904 hectolitres, 16.647 quin- ta iu : seigle, 9.000 heotwes : nroduite en grains, 2 2 1 . 4 0 0 hectolitres, 163.836 quin­taux.

Voici les ordres du jour :Samedff 22,

RéiHiiBi Giîonale à « l u p j , mmu ,Salle de la Justice de Paix,

à 4 h. H 3.ORDRE LU JOUR 1

4“ Conférence d’Agricola. — Les grou- ! pemente agricoles et leurs bienfaits.

2» Nomination du président et des se­crétaires de canton.

3“ Questions diverses.

Diinanclie 23,

Réiiflii c ito iïÉ à Retz,à 3 h. ij3 .

ORDRE DU JOUR 1,l?.J>oférence d’Agricola. — La Mu

: tualité en agriculture. ,* 2* Noîfiihàtipn du président et des vice

seiciétaires.3 ' Questions diverses.

Mardi 25, ____ 1 à SeiiRs,"Salié de l’Hôtel-de-Ville,

à 3 heures,ORDRE DU JOUR :

' 4» Conférence d’Agricola, — L’agriçul ture moderne, ses besoins, S()n organisa-

2“ Nomination du président et des vioe- saorétairef,

3» Questions diverses

SENSATIOA’NEL

D E B O X E A N G L A I S Eentre ADOLPHE FUs et MOREAU,

Champions de France de Boxe anglaise (Poids légers).

PRIX D’ENTRÉE Conditions exceptionnelles

Premières et Tribunes, 1 franc / Secondes, O fr . 7 5 -

.A c h a q u e E n t r é e , i l s e r a o f f e r t

Gratfliîeieit i Riüet le la ToÉolaI dont le Tirage

aura lieu à l’issue des Courses.

_ j\r. B. — Le même Jour, dans la ma- - tinée, passage des Concurrents de la Course Ae P'aris-Tourcoing, arrivant de la direction de Chantilly. Contrôle a la Porte Compiègne (Café du Chalet).

Incendie de méiiles.Ces jours-ci, des meules d’avoine appar­

tenant à M. Henneguy, de Chamant, r t à M. Leduc de Saint-Nicolas, ontèté làproie

I des flammes. Le feu a, parait-il, été çom- ' muniqùé par un jeune gamin qui a Vérita­

blement iàgi sans discernement.Arrêté par un des charretiers de

I M. Henneguy, auquel s’étalent jointe quelques voisins, le gamin a réconna les faits dont il était inculpé.

de M. le icôntroÜeur'général gui en estr m m . b «ciW'qiie toutes diofences sefftmt laites pour obtenir IÇ^'IiteBletos p m e i^ j^ iœ j nous assurwM^ b i 1^ yt sagè et fiiii teàpéuè quci procure# Un "wk ..lu,.,. «Uint

mes. » . . . .Toutefois,, il a été remontré à Mi

tendant, ‘ ............ ..que lè'étant’IkmC wv w..—. -_ ^i^ayàm encore quélipies mois à acomnpur il vaudrait peut être mieux attendre, ptor faire des élections nouvelles, que-les man­date soient expirés, , '

4768, Déèès de Monseigneur te D ^ - phin. Lecture est domièe, le 46 les tertres du comte ^int-Fterm itin et m (Jiio dè Ûreïmes,, notifiant celles du Roi, dont la France entière partage la ilouleur ; Loùis, Dauphin de France est né én 47M ; il a été marié en secontfes.noces à josephe tte Ssxé, qm l à a deuaé miïqffK, éést UMaîMauite M marquée w présent eâffrtu^è ; il estdécédé te 20 septeràiw dernier, âgé de 37 ans ; depuis tequql jour. Monseigneur Louis, duc de Berri, a pris 1e titre de .Dauplùn. ,

Le 22janvter, servieê.en là Cathédrale. « Le corps de ville aq complet, précédé des casaques et tambours portans lé crêpé de deuil se rend à Notre-Dame où il assiste aux vigiles que préside M; de Senlis.. Avê- jourd’hui-, te même oUftégè se rend à ladite é^iéè ôù ie service est célébré par Mom seigneur. Dans 1e sanctuaire sont rangés 1e Présidial, à droite, et 1e .Gqrpa inunmi- „.i 4 n.a,.„i,o PAînt rtc tV.éîiirps à l’ésUse,

-Avis.I A partir du 4"-octobre, les Bureaux de I la Société Agricole de Senlis et des Com­

pagnies d’assurances YAbeille .Serimt transférés du n” 28 de la rue d'ii Châiel au

I n ' 23 de la même rue.

Pharmacie ouverte demain dimanche, M. Bardou, rue de l’Apport-au-Pain.

Le Conseil ratifie par un vote la décision irise par M. te Maire, concernant 1 atln-

uution d’un prix de 400 francs au nom de la Ville de Senlis à la Société d’horticul­ture, à l’occasion de son concours de 4906.

Demande de Gratîflcatioh.M te Maire donne lecture au Conseil

d’une lettre de M. Hucher, instituteur à Chamant, père de M“' Hucher, adjointe à l’école de la rue de Beauvais, faisant con­naître que M"' Robert, dii-eetricc, ay.ant été malade pendant trois mois, sa lille. dut la suppléer ; à cette occasion, il demande au Conseil de vouloir bien lui accorder une gratification. , . . . .

M. de 'W’aru déclare avoir procédé à une enquête, de laquelle il résulte qü et- fec-tivement M“® Robert a obtenu un congé dé deux mois et a dù rester un mois dans un hôpital de Paris, ce qui a occasionne pendant quelque temps un supplément d’ouvrage à lÉ*® Hucher; dans ces comli- tions, M. 1e Maire propose au Conseil de lui allouer une gratification de 50 francs.

■ Adopté à l’unanimité.Postes et Télégraphes.

Par un vote unanime, le Conseil exprime te vœu qu’il soit porté remède à l’état de choses actuel du bureau de poste et qu au lieu qU’un seul guichet soit ouvert toute la journée, un second soit ouvert égale­ment pour ne pas faire stationner te public un temps indéfini. . . . -,

Ce vœu sera transmis à qui de droit.Les Automohites.

M. Cultru souhaite que l'arrêté de M. le Maire ait un heureux résultat, mais il tient-à signaler au Conseil que dernière-

C a rn c t m o n d a im .On nous écrit :Nous apprenons 1e prochain mariage de

Mlle Marguerite Hucher 1-aimable institë- i trice de î’Ecole maternelle de la rue de Beauvais, avec M. Henri Desachy, boucher à Maignelay, le 24 septembre prochain. ,

Bien que ce mariage va nous priver de » cette excellente institutrice, nous ne you- - Ions pas la laisser partir sans lui exprimer nos sentiments de profonde gratitude et de pieuse reconnaissance pour tes soins empressés et affectueux qu’elle a proih- n-iiés pendant trois années à nos.qeunes bambins. — Mères de famille,_ riches ou pauvres, nous avons pu apprécier la bien- vaillance, la bonté et 1e dévouement de cette maîtresse distinguée qui aimait nos bébés comme une vraie mère de famille. Son air toujours jovial. Son humeur égale, ses paroles toujours empreintes d’une aménité"parfaite nous plaisaient et toutes, nous pouvons dire, que nos enfants ai­maient et vénéraiént cette bonne maîtresse.

Puisse-t-elle dans la nouvelle carrière où elle va s’engager jouir de la même estime qu’à Senlis.

Nous lui souhaitons ainsi qu à son époux tout 1e bonheur possible et toutes tes satis­factions désirables.

Un groupe de mères de fam ille de Senlis.

Objets trouvés.Une fourche à quatre (tents, la réclamer

au Bureau d’octroi, Porte de Greil,

Une requête à la Compagnie du Nord.

De nombreux lecteurs de l’arrondisse­ment, nous prient de signaler à l’attentmn de la Compagnie du chemin de fer du Noirt, une lacune, dans te service des trains de Senlis à Paris.

On croit généralement que tous tes trains partant (ie Senlis dans la direction

N O T E Spour serv ir â l’Histoire de Senlis

Anecdotes historiques sur la pille de Senlis.

(Suite.)Du 48 janvier 4763 au 4 octobre 4765.

Edit du mois d’aoùt précédant instituant une nouvelle forme d’administration municipale. Nombreuses délibérations sur cet intéressant sujet ; correspondance active avec les autorités supérieures ; pre­mières élections faites d’après 1e nouveau système. Le texte de l’édit n’est pas trans­crit au cartulaire ; mais, il est ainsi appré­cié et analysé au folio 246 y® : « Le souVé- « rain se plaît si bien à remettre en hon- « neur la municipalité par des loix bien- « faisantes, qu’il appelle à ce nouveau « gouvernement toutes tes classes des ha- « Bilans, tes ecclésiastiques, les -gentils, « hommes, et autres qui en étoient ex- « dues.... ; ils formeront désormais,, par « l’élection, 1e corps des notables éteans .« le conseil des échevins ; il leur donne <i pour chef un maire qu’il choisit lui-même « et auquel il donne sa mission par un « brévet honorable... .11 est vrai que la « nouvelle administration est réservée aiti villes de plus de.4.300 habitans.et. munies de lettres patentes spéciales : mais- Senlis a renferme autref ois beaucoup plus que ce nombre d’habitans ; elle peut tes avom encore, si elle ne tes a pas présentement, et l’on v e r r a par le dénombrement qui est commencé et non achevé qu'il ne s'en fau­dra prs beaucoup ; en outre, e estuheviUe

mais LaXAV t . - ’ 'sur deux gradins, audessus de. laquelle un dais avec 4 rideaux attachés aux pilliers de l’église, et entourrée de 40 cierges, sans armoiries. Les corps militaires n ont pas été invités faute de place, Pendant la ma­ladie du regretté Dauphin, il y a eu deS prières de 40 heures dans toutes .les égh- ses successivement, suivant mandement du 46 novembre dernier. Le corps de ville n’avant ipas été prévenu pOlir celtes de. la cathédrale, s’est rendu à celtes de Samt-Rieul. » . , . . .

Le 43 février, 1e corps muncipal fait cé­lébrer à Saint-Agnan, sa paroisse, un ser­vice « sans dépenses superflues que Im m- terdisent la médiocrUé de ses ressources, mais suffisant pour témoigner ses regrets pour la perte iaexprimabie que la i r ^ c e vient de faire d’un prince pui étoil destine à perpétuer son bonheur. Tout le clergé, les corps judiciaires, administratifsmt mi­litaires sont néanmoins invités et présens. Le corps de ville, suivant sa coùtume, fait les honneurs des premières places â ses invités. La dépense, soldée de suite, monte à 84 liv. 43 s. ,

Lé même jour; un séc'Snd service est commandé, en la chapelle du château, par MM. du Présidial, qui ont invité la muni­cipalité ; elle y reçoit tes mêmes honneurs au’elle a rendus elle-mème ; elle a en face delle, à gauche, MM. de la maréchaussée, et de reiection ; MM. tes gens du Roi (le présidial) se tiennent en am ère. _.a sortie ducortègealieudanslemême ordre.

{à, suivre).— :— —4---------—“Etat civil de Senlis

du 44"au 21 septembre.Naissances.

li . Fauchart (Marcel-Oelave), V uedeJa Mon- tagne-Saint-Aignan. •

Décès.14. Morier (Suzanne-Lucie), 3 mois, rue du Che­

min Latéral, 9, , , ,15. Coquelle (Hûbert-.Guislain}, 36 ans, .soldat

riserviste, faubourg-saifll-sâftirt, f,Publications de Mariage..

16 Entre M. Lequeux (Elie-.4Iexandre), peintre en bâtiments, et (femoiséllë Charpen­tier'(Louise-'Virtsiâne), blanchisseuse, tous deux demeurant à Senlis.

16. Entre M. Lhotellier (Pieire-Benoist-Vin-cent), terrassier, demeurant à Merli- mont (Pas-de-Calais), et demoiselle Paysan (Hétene-.àlphonsine-Célestine),

. domestique, demeurant à Senlis.Mariages,

(Néant).

UBBâXsmmCOÜBRItRDS L’OISE (7 2 )

PETITE PIPITAM

H e n ip l D B H B S S A

a N Q ü IÈ M E 'P A R T IE -

Vl’en tbeïue

(ta it* )M. Miirris se rapprocha (J’elle.— Mon e n i a B t , . 6 i t - U . n me pM

T u n a n ta u No*ine est là ! Sijiï fils, Oh- ’i t t t , est avec .notis^ E t , aussi, » J

^ se dégagea, lëatemcDt des b ras & Morioe : mais, sanq Sâ^Mier totrt A ^ ; M is , à le r ^ a r d a te ff ii» tête était, alors, vtvetnentéttairw® ar u n n ^ o n

L a page ? dit-eBe.

L Ü o S c teS rt^ b u râ iW e a a p p o rtâ t O u iî... Ouï r . . . - „ T

rÆ M e n d e z ,. . J e me rappelte... La p a g e _

la SojÇijUâ

— E teb ien î— Deux mille francs. Oui, Cadet de-I lelljA lUitlC AKaxav»"" ~ ,

m qndait deux mille francs. C était pour M erqée^ I & dot 1

— E t puis? E t puis?— H disait l Y ous fuirez. J e ne inqa-

trerai la page que q tn n d vous serez lojn. P u is , a est p arti. ,

Je suis entrée dans te cabinet de m on... V . .

— A p y ^? Après?— J ’ai vu la page. Je 1 ai prise.- t T u Tas cachée?— Oui ! E t lui... il est venu ! Il m a

vue !... H m’a demandé la page ! - Non ! V ous ne f’aurez pas 1 — Je 17 N on 1 T ous me faites m al ! — H mè t i » .

N on! N on ! V ous ne l’aurez pas !— ^Màis la page, reprit le d a te u r ha^

fêtant, qu’en asrtu fait ! D is? Q u eû as- tiï f à t Sôtftriètls tu ?

— .1 ^ ^ jè'-finè souviens ! A ttend^ !-ili-Sûuviens-toi ! Sou viens-toi, m on

AIlfâDfc.!'-.i’ÊÆ ! elle est bien cachée ! I l ne la

t r ù « i g | i ^ s r ^

S ^ ^ ^ f f i ' / j e ^ i s . . . Je Tài... cachée,..;

^ ■ ' ^ a l a , ijfêoné et trem blant, ^ lèyjjJ^i^mifadTessànt au substitut, u

v^ té ,m cm éteu r, j ’ai le devoir (ie ’ ë i l e r confi'e. ée qui passe ! C e f W e i^ tW f o l te , et vous la to rtu r e i l t é i , ^ S ^ a des u it* , c*rtes, et je l& r % i ^ ï ; H»àis ti me iends e quetrout lés dimîiyjdsséz !

Fifi, derechef effrayée, se blottit dans tes bràs du docteur Morris qui inur- m ura :

— Misérable !M. Tanala, alors, s’adressant a l i

belle Hermaric-?:— Madame,' dit-il, audacieusemenÇ

je ne veux pas être, plus longtemps, té­moin de cette scène odieuse. T ai fait mon devoir en protestant contre de pareils actes approuvés par te représentantde la juisticë f Puisque vous n’inter ve­nez ipâs; pUîs;4ue vous ne mè dounez pas raison en votre qualité de mère, je n ’ai plus qu’à m e retirer !

E t il m archa vers la porte.Il se sentait perdu.Il avait imaginé ce moyen, tan t pour

empéèher Fifi de parler trop vite, que pour pouvoir ménager e ^ ^ '^ e 'sà.sort'®’ se disant du il p o u r r i t fuir, peut-être*

Mais le substitut du procureur de la République lui m it la main sûr l’épauleet dit : ,

— Vous ne sortirez pas ! Au nom de la loi je vous arrête !

— Sous quelle inculpation ?Sous inculpation de m eurtre sur la

persoimè deiM. Bourelly !Madame Tanala je ta un cri rauq ue et

demeura immobile, sans voix, détail lante. '

M. Tanala répondit :— Je ne vous connais pas. V ous vous

êtes présenté, ici, comme médecin. Pour moi, vous êtes donc médecin. On n ar­rête pas les gens sans mandat.

E t, rapidement, il poursuivit sa m ar­che vers là porte.

Mais, lai se tepait Olivier,

V o u s ne sortirez pas ! fit-il, terriWe.— (JUi m’empêchera de sortir de chez

inoi, puisque cela me plaît ? Moi ! répliqua Olivier.M. Tanala rcan a . .— Allons, s’écria-t-il dédaigneux, tai-

tés-moi place ! j . • ,- — ’Vôus ne sortirez pas, vous dis-je I répéta O liv ier.. u

Et, tiran t un revolver de sa poche, U le braqua sur M. Tanala qui recula

Il réfléchit. Que devait-iT faire ? Plein d’énergie encore, il espérait toujours que Fifi ne pourrait pas retrouver la pageaccu sa tr ic e .

— G’est un gaet apens, s ecna-t-if en riant. E n vérité, to u t ceci est machiné comme une scène de mélodrame. Allons c’est dit, jè cèle à là force, en attendant

Il s’assit près de la belle Hermance, qui hébétée, ne faisait plus ùn mouve­ment, et, hagarde, regardait fixementdans le vide, sans voir ! _

Norine s’éta it rapprochée du docteur Morris qui tenait toujour.î Fifi étroite­ment serrée sur sa poitrine.

L’abbé Crozet m archa vers sœ ur F é­licite, -obéissant aux suggestions de l’aumônier, prit, au-dessus d u p n e Dieu la statuette de la Vierge, la relique, la Madone protectrice des Bourelly.

L a supérieure, dôht le visige, illumi­né par la foi, avait une. expression su­perbe, s’approcha de Fifi ,

L’abbé Crozet dégagea Tenfant ^ bras du docteur ; il la tourna du c « e dè la Mère, qui lui m onïra la statuette, et s’écria, d’une voix sonore : ■

— P arte ! P a r ie ! petitd Fifi ! Ton

papa te l’ordonne ! Dieu 1e veut ! Rien n’arrive^ dans ce moncle, sans son or­dre et sans sa permission !

Alors, Miette jeta un cri strident.E lle prit la statuette. , .Eperdue, elle la baisa, dévotement.— Je mesouvié'nsl fît-elle. L apage!,..

La page !‘ Elle m tïoduisit sa petite înain -rtans 14ntériéur de la statuette, creuse.

Elle en tira la ^ g è , qu'ePe' rem it à sœ nr Félicité, él,rtransflgurée, ePe d it:

p ieu le yeut 1 Rien n’a rr iv ed a i» Çemonde sans son ordre oii ^ jg^- mTssiont ' . . ..^ x

L a Mère rem it.la . page au substi.Dit du prôcareur de la'Rëpubliquè.' Celui c] l ’examina. .' Puis, tiran t un papier de sa poche, il

te m ontra à M Tanala. '; V ous avez dit qu’on n ’a r z « w p as

les gens sans mandat, fit-il. Celui tnteSt en règle. Suivez moi. _

M. Tanala, alors, se je ‘a sur Olivier.I I lui arracha son ré vol ver. . ,

, E t, si vite que personne ne pût Tenn- pêcher, il dirigea, sur son front, te ca­non (te l’a rm e .. et fit feu.

n s’abattit su r le plancher.

V IUNE LETÎRE DE SCEUR FÉLICITÉ

- Sœur Félicité à M. l’abbé Croj^^^ ; aumônier à la prison d e y d 'K jtrte ,

' * V p te ie iF * ^« Monsieur l’aJibé^ncifre.petiteffi^A

q]âî v o u stoteux-fôiriteaœ;‘'efT|BF'«y

dii-sép t ans révolus, me prie de vous écrire pour vous demander de lui accor­der une chose à laquelle eHe tient beau­coup, mais beaucoup.

« voici ce dont il s’agit : V ous savez que, après te drame terrible auimel nous avons assisté, il y a deux ans, la veuve de M. Bourelly tomba malade et s’alita; vous savez qu eHe ff(üfit m ourir ^ t quenotre excellent ami, te docteur Moms, guiTa soigrtée.h'a p u répondre de sa vie que trois iriôis après.

« C’est vers cetié époque, monsieurl’âbbé, que, à notre grand regret, vous, nous avez quitté, pqur aller tP a n s , ou vous étiez appelé àrem plir tes fonctions si difficiles que vous exercez, depuis, avec tan t de charité !

> An cours de chacune de mes I r t^ S préréitentes, je vous ai parié et de Fin et de sa mère.

> Vous savez donc que madame veuve Bourelly, — c’est te nom qu’on lui don­ne toujours — après son rétablissement s’est installée, avec sa fine, d ^ s - une jolie vilte, tou t éntoureè_ ffarbres et située chemin de la ' Corniche, à quel­que distance de Rouiias-BImc.

» Ainsi que je vous Tai dit, si vous revoyez te pauvre femme, -éoUs ne re­connaîtriez pas là bette Hermance de Neùviile, n i an physique n i au morai.

A présent, avec ses cheveux tiiut blani», car, après l’affaire, sa magnih- que chevelure a Maachi en ( jn e ^ e s se-

V tsile ne so r t .p ^ s ’ûue iponr agister> aux offices, tih yteuf’ ’ffii^ ^e bonnes

samedi en iP i^ ise Sain t-D ^s, an miüéuDE BBACOSKA^^—Sânrafi derawt, à layo in te4p ,if8«* ,-*^ i

tiD» a ^U«gW:mt-«igBiî «tmj -éiè -^ rpris paar-les1 !3?^W»

^ a m .« y C «

oî"

* vmpfir^iôâdw totie *» je u »(teao.ws, ^ sübi^went

«orSar ’ Cç b r a te l 'u ’f r^ ?

■ " quï- '-'iSiî son_i^iee;m i!daire!l¥ « é t î« et :

ee J uÜBb , âgé. dç -18 a i* ÿ - ^ e r

iiimpaiiv]!, Bobeft.Buifc: âgé ^ â4 i n b Ï T O n t i .b S u ia , d'8 9 ans et

- « t e ^ o W Roffin f c » a ^ _ ,M );- i w t i e d ^ i é r , cJâjume aîné, de s e p t ,^ a n tS i

jT a it éife bxem btè ^ à r tâ lu*, e t voici de son frere

Jb œ an d , !e sep tennat infantiJo n ex istan t I

rtos, il se troiiTe rappelé sous les drapeaux.• C’est peu t-ê tre ,1a leii m ais «nfint d ,npn*

sem ble due 1 «n M sbutienS de la lam ilie ttep a ia issan t, il êerait logique de lui la isser eelui qui a ^ f t .été to u t d abord

oa»î4gét>;

m

étér, faire son;àf-

déw?né l'éuir r e i n ^ efe fd®;1 » CÔBseil m unicipal d’A u n M t iratt-ii,’ de cet avis, car,- nous SUrait p ris Une dêlibératio rnaintien dans êeSTo^efê BpDrJSidftn-.À u ze r-S a in it-V iiifeên ii

a été e-t-on,

dant alnë;

— feiËSSÉ^AR uw cHEVAi.. — Lecbarrelier Forestier, qui dégarnissait un cheval, a reçu un coup

pied au bras. Le D' C aille^, de dui a examiné le bleS-Sé, a ire^nnd J h b côntuMbii siüipté et iireScnt suc joubsde fepOs.

B é tb a p iB o n ir t; .— f osBoLtuI là -_So- çtÉ. DE skcoOKS MutSEt-®- — Voici la ;lè

S2077

lOi145tes184204205 225 28t 304 366 425 447 184 i56489490 SBé

■ 540 579 606 611 642 656 674 683 698

DE SM O’j KS;6S num éros gagnants :

1903 2427 1911 2451 192! 547

ï*r ^ ,_ 4ÏS ont été -tous deux

y aHite &iÎL~,p^ppés-verbal et se sont -viis y e f tw é ç M te a tç ^ i i « a i ^ i leur h tor.

' “ et; é te« M îiib e a Lüsiné S u p , aWiS3?ê i lù 'f lw ll’ éeà: uèfnlei’es nuits, comfflftiiseB*itT»oéipagné desafeaime, d’étein*e le ,b « t® l tournée, ( |M :r iS ï4 i «b ébmhagflo» ^ n frèïe et de quatre autres i n d i ^ s , jite tàgeu je iiien t cttonu^:

tiré êatteindre, blu-j cbupl Be rekdher.

posté en tirant en l’air.Il avait, quelques jours auparavant

prévenu que L. devait lui “i mre sb . faire », c'est fwtoqudi f a fentee a+ait ksulu ràçcbiapa^iiMbtté,nHit*l3-, ...ij

L., qçu travaillait ir ils in e à brai, ^ a i tété récem m ent fém ërèié î il aVailaccusej 3 fo rt S e if ib le f tu Ù ia n ^ q t d’é tre pour quel­que cuose danS cê renvoi. . .

Le malheùreuxj:on|remaitre, qui Mrmt été ménaeéii.rnpig^ü^ a quitté Lreii, ébânilbBnânt Son émpsL ■, ÎS

Ëtànt dbnné.le ntênbre d habitants ^ notre Villé,.. et,, Surto# la composition bshainS éléihea^, i t est maümureux de penser que les Érces de la police muni­cipale sont insuffisantes pour permettre d’établir une sü fŸ éîtl» i^«S S ^“®v.,,;V-

Il f aurait BieH^n autréjhpîeni màiâ.., ^ îVftEsSE; — Conffavention a été dres­

sée contre les nomums Rouget *de Nm'geni-Ies-Viërgés, Leuillier Alfred)28 aüs. ët Vilfâia Àlesàndrei â l dnSi ren­contrés mereredfctsoir, vers 10 heures,

-places Carnot et de là Gare.

ireas»8B8i8t»e».:ie l

Dans c«ne pém nie cireoiistance, nous , p rions J iP t i e t ; t f . ’'P o te m è i t - « î v o i ^ aecep te r leè 5éüM éht5_tle,SUicères condo- d te n e e sd u y ^ o w m e r rfê T O isè .

■ s a î i r ^ W S c i * ^.de, S e n & M m e Roffy,. fe n m e de n o tr esvnipathiQue concitoyen a ôirtèQu une mé'-

exposition de

l ^ e t i é é i m ^ - ; _ _ i J l a» sa rem m e parat-riiguB ■, iîé te itn é à ,p é tîu S y ^ |iW -a îa r ti iI .-

fraleTÜellUei é w f e ÿ d f Æ ^ --------rb r tu b l îe k situaiW n ÿ k SÇhciété au Sé ju in (lernieF^ iÆiié ,SsWafit^ accuse un capital de 3 5 m iliidii? de i r ^ c s ,Uonf a i lUiliions pour l’avoir des sqeietm-dont 21 miilioins p o u r --------• • ,res actifs e t 11 m illions pour celu i des seciétairëS retraitéS i'la . différence S appft- tiuant aux éxcédêjits difponib'les, fô ® ^ d e _ ^ c o u rs , réserve ê£ c& lp te s spéciaux

® ^ s e fc » ta ir e s fep îfrgW i Checivaux, recéVeurs m 3 ym ièa t de :f « - - lers-Cotterits, don t Grépy r e s s o r t vieii- riént de recevoir des récom penses h ra o ri- M uëë kd u r àvbif recueilli ddnS te z * 5 e : m estre de 1905^ Brés, dc.cent ai

o ir ts a K » ®

omiaelMplusieurs

campagnei

P Kdoc- LÀ®?? lê IÉ',L l^ s . ion ne K

^ Ütes-™. -------- ^ , ..iiimr;ç iii sbû’vioisip. CanSiêtt H qui élmtmèndu à up,jpoW»£ ^ lin . M"” Ôôssin prévint M. « M n i

.oo“‘lécès. à m i iÿ e n 'tm ^h tem i-ionvait subvenir .â^kèsibesoms et

Sa1mîad‘fldt'alltegi;d teé^ d« 71 '^aiht-J

T 0 1 8 Ï , p re a n e p i w u jou rs. .>

ecoôFt u’un eoDCOursdece genre aura lieu

nouvel!^

du M ouve^nT à

lies lUendlreS, dë i’Âs’ ciatiqn apprte-dront avec plaisir que Jd^i. WCBeUe; cK,e£;

H iilële; inspecteur ‘divisicnnmre ef Rbnaâélj àdiiiiniâtràieur de la Gè'mpâOTiei viennent dè donner une marque de leur haute sympathie pour r.Àssociation en se faisant inscrire comme membres honcv-, rmreâi ■ ' '

ÀCCIDÈNTS DE T R A - y a l L - L e 1 4 SéP" témbre à.l’usine Glmr, l’ouvrier Henriét a

704746Të§

759785794797813879889933937942978990

1014102210461»?'61095117211891191120512261306134713551376

138513891333140514071408140914511452 1482 148615111512 1539 1620 1621 1649 1714 1720 17?9 1744 1758 1798 1816 1830 1839 1854 1883 1891 1900

2915 3544

3302 3864

3395 3894

27102720274627492750 2768 2811 2814 2830 2832 2842 2845 2864 2901 2912

Réclamer les lots g ^n és chez M- trésorier de \ Union FrateTnellé-, à uiiio- court, par Orrouy (Oise).

B é th i s v - S a l n t - M a r t l n , — Coxtr.i -■ VE.VTI0X. Mardi, Delahaye (Fulgence),• charretier à la ferme de Donneval, dépen­

dance de Béthisy-Saint-Mai-tin, qui avmtV abandonné son attelage sur la voie publi- ,1 que, a été l'objet d'une contravention.^ B é tW S J-S a ln t-M a rÜ n . — L a t o h -

' ^ôI a. liC tirage de la tombola de la tan-7 fare est remis au 23 décembre prochain

C b a m b ly . — S uicide . — Un ouvrier iardinier, Pierre Caxruel, 69 ans, demeu-

i rant à Andev'ille. était venu passer anel- . oues iours, comme il en av.ut 1 habitude," chez son iils, Armand Garruel, mânouvrier• à Chambly. v „“ Dés son arrivée, li était sombre et pa-V rmssait constamment préoccupé, quand,'. le iScourant, prolitant d'une courte absence ? 'de son ffls et de sa bele-fille, il se rendit > dans leur jardin et se tira à bout portant

un coup de fusil dans la tète.La mort a été instantanée.

, Le docteur de Lapommarède a délivré lepermis d'inhumer. . .

' On ignoré éxacteinent les motifs de <ette dSêrmination.

f t i n n t t l l y . — M u siq ue m unicipaue . — •Voici le progamme qu'exécntéra, demain dimanche, Je q u ^ e à Fanfare munieipafe, sou? l ) ^ i l a ,& ec-

- tien de .Mânbèrù son-^sympi^que, ( ^ , , ® t t l ’allê6.clesRéærvoiiS:u

1 Marche d e i ^ ^ i e i e n i .......... A llk r' 2. Ytâfe det Officiers................. de BEAproH

3 . - £ a V iv a n d iè r e , fan ta is ie .. . . B . Godard• i . M a r e lte s b ù fln e t le ............... .. W eset

L a Z tn g a r a i r a a ia tk i .............. Gaxise— Les Drags. — Mardi 23 septembre,

’ Ldeux heures et demie, rendez-vous et fin

' '*”^ t i q n : C'ires4es-Mello, 3 kilométrés.— Mercredi dernier, Wolstenholme,

. sujet anglais, qui avait escaladé le mm dqla elhture pour aller se couchei à. 1 Inshtut analais où on hé voulait plusle recevoir, a Tait robjet d'un procès^erbal pour viola­tion de domteile. En. o i^ e . com™ cet dividu n’avait pas satîsfeit à la loi sur les étrangers, il s'est vu pour ce fait dresser un second procès-verbal.

et de chiffons en gros du faubourg de Pa ris, qu i’révénSêht d’une noce ayant eu lieu à Paris, ont constaté en rentrant à leur domimie, qu’ils avaient quitte le mmdi fflatin, due des individus avaient pénétréchê2 eux,.&ù toiijètaa bbuleteis^éi

Les malfaiteurs.avaient escaladé un mur en bordure de la rue* puis avaient appli­qué une échelle le fông de la maison dans îaquefle ils avaient pénétré en brisant les carreaux d'une fenêtiïi. 'Tout avait été re­tourné, mais les voleurs n'ont dérobe que soixante CentlihéS, cm M. RouchéS a 1 ha­bitude d'emporter ses valeurs et son ar- arent quand il s’ e n t e .

On a retrouvé un peu partout des cen­dres de papier, ce qui prouverait que les voleurs ont allumé du paplut’ ® tclai* rer ; il est heureux' qu'il n'y ait pas eud'incendie. . . . , , ,

Un des cambrioleurs s est probablement coupé en brisant le carreau ou en ouvrant la fenêtre, car il y a.vait du sang sur tous les meubles. u ,

— B icyclettes. — Procès-verbal a ete relevé contre M. Vernet François, 30 ans, voyageur de commerce à Paris, pour dé­faut de plaque de contrôle, et contre M. Dupré ’VmtOr, 31 ans, garçon boulanger à Montataire, pour la circulation sur la place Carnot.

— M. 'Vill, sera poursuivi pour avoir déversé sur la voie publique, vendredi vers 3 h. 1/2 du matin, le contenu de ce que les uns appellent... Jules et les au­tres.... Thomas.

— Epaves. — Il a été perdu, dünanchi montre en argent. La rapporter au

du docteur Portemer, IS ionrs derepoS. A la même usine le 17 le ne Vaspart

L e s b b s è q ù è s 't f éM s r .D » ^ « » e e

: Les te ^évêque

d â ifm èéféiâbme e t î ^ â f t . ^ M f r , Iv ê ^ ë de Beatfvais a prononcé 1 '

v ï^ ''chm -3b^u tes ,onL ^è dêP™ BN. ëSy de Héims, ddë Vefddd jSf ' 1 loGaHibrài. _ . ,1 Les cordons du poele étaient te fe g é l^ k 'b s y e i^ l ,

pfTlFd

m i• ï k f teiina»», eïi M ^ ^ t............................... ........... Dtoo*’pwNHçéi

laîi q u ik -««a-

« ÿ sI ÿbbti

r qffm f’ktiir

oiiais

■f f e c f r i i te p i te 5 pj^ ; tures, l’échange

ia r l ie r a r c : .l’Argus de Boissons- ■ ,

Le Sous-Préfet n avait pas été « I fOHiiSWOmentA asâster a u |

s é n a - . al ci-

direc- o ine

lui de.

^ ^ e ppiirles ë i l ^s '^apï«non s r f ^ b j ^ ^ lejî n â n i ^ i

trâfio Tiis Sü SioîBé'f 'esjnainé

itôrméfuné-

unemissariat de ponce. .

.. a été perdu, lemois dernier, rue du Pré-Saint-Médard, une montre à remon­toir en nickel. La réclamer au Commissa­riat.Etat civil de Creil du 14 au 21 septembre.Naissances. — 15: Landrin Hugiiette-Ger-

MP u b l i c a t i o n s de m a n a g e r - — . E n t r e Pillet Gaston-Pierre-Augustin, o u v iT er _d usine, et Mme Tellier Marthe-Charlottc, meuagere, tous deux domiciliés à .Creil. - -

M. Courlal Pierre-Leopold, eomiUable, do­micilié à Creil; et avant à Foarchambaidl tîsie- ï ie ) , et demoisetle Vial Léome, sans profes sfon, domiciliée à Creil. .

M P ^ o ie r Akn^le-Eraile, sans profusion domicilié à Vernenil (Oise), et demoisefie Gre aiet-ïélwoBifr-MMÇ^nbrielle, sans profession docûilffiiéé' à ^ é î t . ,dltari^es. — 15 ; M. Devonçoux l.ouis--Àn- guste, pontonnier, ;'él Voinet Louise-Jeaniie, oôutuïiérei tous d e is .à Creil.

15'- Dùconseil Àÿguste-Alphonse, manou- ■. wier, élBènpit PauDae, domeshque, tous deuxb

.17' : Dubois Geojges-Alfred, marbrier, et lourüton Jeanne-Lonise, couturière, tous deux

^ ScéV . — 16 : BaHbis Sophie, femme Mons, 65 ans, -sans profesSbn. — 20 : Dnval Lomse- Uranie, féBUue Lecânte, 40 ans, mcnagerc.

‘ ' — A LA j e u n e s s e

^ h . - .ayant glisaê est tombé së idulantlepoi- güét et se fracturant I extréniité inférieure du radius. Soin» du docteur Portemer^ 20 jours de repos. . . ,

— P rix d u p a Is .. — U* qualité 0,32, .2” qualité 0jÎ8:

Pharmacie oUvérlé aujourd'hui di­manche. Bourgougnou rue .^iâtionalé.

S to n tâ ta l r e i — Ivr e sse . — Procès- verbal a été relevé contre les nommés Beclercd (Edmond), 30 ans, et Sadin (Léon), 47 ans, de fhiVêrny, oüVncrS d'usine. Ce dernier, mécontent d avoir été conduit au violon, aoutragé les gendarmes; autre contravention.Etat civil de Montataire d«t13 aù%V septembre,

Naissances. - 16.: Van Mcenên Mal'gUé rite-Marielte. — 17 : Coëne Roger-Florimond i 9 ; Maniquet Emile-Paul-Louis.

Décès, — 14 : Bensse Maurioe-Joseph, trois semaines. — 15 : DeaucoUrt RobeH^Maxime, douze jours. — 19 ': Antoine Jules, sept mois

M o p ieav a l. — Iv r e sse . — Le nommé Noé a trop fêté la dive bouteille, aussi s'est-il vu dresser procès-verbal par le garde-champêtre de Morienval.

A'épy- — A ccident. — Le 7 septembre un terrassier en chargeant de la terre dans un tombereau a été blessé d'un coup de pelle au médius et index droits. Le doc teur Delouard de Béthisy-Saint-Pierre a prescrit 12 jours de repos.

O rm o y -V iH e i^ — A ccident. — Chez M Ganneval, maréchal ferrant à Ormoy, l'ouvrier Yarain s’est enfoncé un éclat de bois dans l’index gauche. .Soins du docteur Portemer, 8 jours de ffipgs.,.,

O r ro u y . ^ A bandon de vorfüHE. — Pour avoir abandonné sa voiture, mardi dernier, Gabriel Lefèvre, âgé de- 27 ans, charretier à Orrouy, s'est vu drésser proees- verbal.

R a r a y . — T élépuo ne . — Nous appre­nons qu'une cabine téléphonique vient d’éGe installée à Raray.

Elle sera ouverte au public le 1" octobre prochain.

S a l n t - L e u - d ’E s s e r e n t . — Cur ieux CAS d'am nésie . — UnindiGdu correctement vêtu, disant s'appeler René Dupuis, âgé ÿ 72 ans et demeurant 117, boulevard de Montmorency, à Deuil, traversant le pas­sage à niveau de Laprée, s’est couche de tout son long en travers des rails au milieu des'deùx voies, alors qu'un Gain arrivait à toute .vitesse sur lui. . . . . .

Le malhehreux n'eut que trois doigts coupés à-la main droite.

Pansé aussitôt.le pauvre homme fut in­terrogé parles autorités sur cette tentative de smcide. Le rescapé n’a pu dire pourquoi et ne sait pas comment il est arrivé à se précipiter sur la voie.

L'on croit qu’il a du avoir une absence momentanée de la mémoire, occasionnée

p é i id a n t la s itiso n bMkàédxre d è L'Auà datés ludiqaéK cifaprèsjla CcliÉ riiàtoQ d6,îà'p.^6.'de»b3gâ^re tfu '

i'baîgMufSi'dànB tes loériitéS 'te , .

ré, BercfePlage, Paris-Plage, B ® ejne (y éoffiptw W ’Penëbj 'Winiereiix et !^o-les-

^L^enlëVement h donticiicbst piWis^ement

autre gare ttoNord), i l e s t d iSem lsie t et aura lieu, savoir :

-A Themr-t bt

nt avec qui,.p« P

___ itre

rte les^ tàgâm at

i lh ë sé l'e ^ ie timbî#: d i

pour te destwar. '•îuStelMTii«ieu

iu te j. nous, i fadm im S-

Ig rd b iit

Lés 2é. 2 l, 28. 2», 30 septembre. PoM àes 27., 28,'29, 39 sëp tsiÿre et _l*_oetobre;,

âépartPoür dépârt d is . 2 et. .3Les 1" et 2 octobre,

octobre. ■A BaacK-PtAGK, Pams-Plaok, B.ocLi>aKB_

BT WlAnOtECX. -Lés 2â, 29 et 3Ô sépteisâirs. Poar dépàrl des 29,

^^LesV *^^ octobre. Pour départ des 2 et § op-

Les Voyageurs qui désirent bén é^ ie r du transport gratuit ne leup , ccdis en fe leur demeure et la gare, en prêy'eiinent C^hef de ffare, soit veM em ent, soit par le lt^ j carie nostalei télégramme ou téléphone, 'deux jour» «H Tvinirva avant P,flhli fixé PUr €UX DOtff 1 Onlç-'

Pfë-

pas ÿ te r lës illùstraùe t e é ^ a a n t «giivæèht r r e ^ ^ S w » ^ pon,à desenjolivefflents:^ tts r^ ir J d e s eartes-ffinffiSqned^eg

Al Placer 18 timbre w kSm im ute la pai-üe réser-

’ !, É la suppression Iqpfiuur

ù-des ra iso n s aam im Stfatiijes q a e n o g s i g n ^ r o n s ,- a u m oins q u i l f rtntq u e ' l'on > puisse, co n ^ re n d re ce qm e»‘ écrit, 6ü savoir qui énvdie la c ^ e .

tl reste b ien souvent en h au t du-W fso (tes cartès un éspaeé liore où ee pourra it êGe posé. Un rapide coup £ « 1 .p our trouver fa bo.hne pjace n e d e m ^ d e -

enttecQpipô, JJ (fde » IP. CSartier, île Gaston t vèBG~S8 reppae» ;

d^cieOfp.jeuui côté, ùe voit pa éaidtien naïve, so g Sspee' ’ suivant te î.hiébaaftet,' pas c e te amoi

lereite des.cl

cet ^tombe Ou -“ çc r: ifant de la nsâaïc ffipmatt-■•=-*>.VBr5 -

Fencnnë ' ' '

■ ....................................

coûte 1®.!

bbidine doit ten’aimé pas çt f révé. Us se jetl^ , , , ravissaste-iéjdlevjet.*?gage avecGastfagl|f“ safent etïtnie Eétessie’est tout, le reiterienI - - ... ._,ji,,ikœ eî

Sur cette donnée cTüne yénté Oanielle d’Arthpz a campé-vigoup^^ai^^™

du président mèrdu i et magistrale pan=ft autour, des c(jmparses -

-iKns leurs gestes ilrmturenx, svéc . —.— —- ....

" I, du pléiniair, duéoléig dela^n té .olvi-r ‘.l M-.yAUHOT.

* J * I

■ Pour recevoir La Fin du Réve, frânte ^ ia n é te r i l 's u f f td ’éiiVoÿerb francs e u m a i^ - c » poster I f e a t GAU-

.ugüstips, àposte 0 0 en WbresTisH, éditedt'i Sfijtem-tes G ^ .

toîe'blèue;' avec tearbrées, ce voluiné ^ kit partie de -la » - bliatliègue de rita Fille. , w caré'

Get-onviage Çeasiuve aussi d a n s j e è ® et chez les pnÇiaj'»'" nbra.res. notammeq

' a Sentis, chéz 'libraires,leteaa»- -d

M

L’fostittatioa Cpftderc (^^ aacesseur) se recoBunande à la confiant^ des faffiilles; par te Sérieux de gnemënt, par le soin tes jeunes filles, et par les c o n ^ ^

aiéae (grand .emplacement, vastes. Ds), dans lesquelles vivent lesjari

fait pas bèâücoup de teteps aux employés, et leur vaudrait la rémimaissance des amateurs de cartes postales,

Nous ne doutons pas que 1 administatiofi des postes, toujours si soucieuse de plaire au public, ne fasse droit à notre ré c to a -

’ tien dans la mesure du possible. —.N. L.

P o u r s’orieiri®8«as arrivé â ujl e s'égarer à la

vement des colis (voir ei-après miteèle de, demande) ; ils sont avisés pm tes soins ^ a gare de l’heure à laquelle tes agente de la Compagnie se présenteront pour prendre .les colis, remettre le bulletin de bagages et, ®il y a lieu, vendre les billets nécessaires ay voj'age de retour. , aModèle de dem ande éCenltvemtnt ^ hagages à

dom icile dans tes sta tions baméavres.M. le Chef de gare à

M boulevard (1) ^

demeiipant | rue (i) ^

e " ,» ‘îSl% Æ ï.ï£S.ç"4 i pi,i:S4ir « * 'ï.r i. r itn iïP ------- - p « a a t , approxinrttewmei^ a i f f u i l l e soît dans la dir^tion du s d w l .^

Combien de fois n’est-il p disciple de Saint-Hubert dt rhasse ?

La recette suivante que nous offrons gra­tis remédie à cet accident. ^

-Sart-on, à ce propos, qu une bonne montre peut parfaitement tenir heu de

* °Il*sufflt! en effet, de placer la montre ho-

r i c q l e s s

C ib a ltS if

OEMTffWÇf.. r a u n i

S e d l M

R I C ( | l £ S : ! £

coli8-bag;*pes ~r»------ j 'hilos dü’ü désire f a ^ eDlever en w telité la

veill* de isoa départ, fixé au a t(heure du train). , , ’

Il est posspssear des îïillets de retour.Ou il aurait b soia pour ce départ « s buiets

D esto üû k classe, latiiie, (place a il , 1/2 f t o n 1/4).—; j Sign*ture lisible.

Date. , . . .Nota important. — Dans .leur propre inté­rêt MM. lés voyageurs sont instamment priés,. au départ de Paris comme au départ des sta­tions liâlnéaires, de munir chacun de leurs colis d'une étiquette mentiimnant, axec leur adresse, le nom de la gare de deslmmion ; ds sont également invités à faire dfepàrilGe tes anciennes étiquettes.

; aiguille soit dans la direchon du splei!; milieu entre cette aiguille et le chiffre

du cadran indiquera invariablement le sud. 1 Tournez, par exemple,--Adix-heures, la netite aiguille vers le soleil : le sud ^ r a dans la direction dû cbâfre XI, et ainsi de suite. Ce nrocédé est d’une rare simplicité

d e ' g r ^ / - La jetmesse.de CréH donnera âutemîj’hui dimaimlie en mitiuée une re- p ^ h ïa t io n j Aa program m e : Le J u if%Jonaîs (d’Erekmann-Ghatriand) et La Médecine aux QMmps.

—- Nécrolouh! . ^ Nous apprenons la mort, â l’âge de 4 mois, de M“= M ^ h a Portemer, mte de notre concitoyen M. le docteur Portemer, survenue le £0 sep­tembre. Ses obsèques ont eu lieu hier

par des chagiins intirùes. La garde-barnère voulut empêcher le malheureux dans sa tentative ; mais, trop faible, elle dut y re­noncer.

V il le n e u v e - s u r - V e r b e r le . — No-misation. — Nous apprenons que M. Léon \lfred Leroy est nommé cantonnier sur ia route Nationale n» 32 daSenlis à Corn

i f résidera à Villeneuve .

V A R IE T E S •Uaisons daiasereuses !

Trouvé dans la boîte du journa l Cètté petite fantaisie : ,« Au premier exercice de tir des vingt-huit jours, les fusils sont à la hausse de 600 mètres.

Le caporale commande :— Desossez-vous et portez vos os a

ZOO mètres :Personne ne bouge.

- — Eh bien .' espèces d’abrutis, vous ne comprenez donc pas ? I l fa.ut tl abord abaisser les haiifses de vps fusus, p u ^

L e s L i v r e s n o u v e a U a c

LA FilV D lJ R Ê V EP ar D a m e ll e d’A r ib e z

Ifn volume in-i2. Prix : 3 francs.DanieUe d’Arthez, qui s’ést fait une physio­

nomie si piquante par lâ nouv^ute den ses thèses, nous donne, aveé La ^ 1'*, une étude remarquable, npurrie d obsenabos} et habillée d’une idtrigue captivante dont la trame enveloppe irrésistiblement.

Le président Thiébaull, ancien magistrat déçu dans ses ambitions, pigiu.■faire un placement de père de fanÿje M mariant sa « le à un artiste, ^ n d *pr« « Rome et plein d’avenir. Mais, ‘®“dis que i e vieux juge ne voit la vie que par son côté mer­cantile, Albert LeVasseur, 1e front dans les étoiles, poursuit son idé^ sans abaisser ses regards sur te monde vil qui rampe à ses pieds. F?rm é à tout esprit d'uitrigue, il Se rend hostile à sa propre fémmé, avide de re c l^ e , et son beau-père insatiable d argent et du r-

nBOEIPTËE• . l îÜ f f ç t ï i t r é f é r é â e$ ê n ra n

l i q u e u rF A S R i Q L - E é •

Par lld

PERES CHARTREUK

uuuisü^i • .. • ; j . r ei sonles remettre à nouveau a la ponee ae . . j k 'n jxo2 0 0 m è t r e s ; c'est pourtant bien simple. i ® un fils leur est né, qm a fait des bnllantes

— Attention ! Déshaussez- vous et j é t u d e s m ô d i c a t e s , Gaston, nature d éhfe| tnmsportez vos hausses à ZOO métrés. 1 ktoxTqué par des

Le Gérant : S a v r e u x -B l a n c h a m . ^ _

Imprimerie Administrative et.Commercmle 9,PL place de 1 Hôtel-de-Yi.lle, Senlis.

GHÈVAL JBAI1 an » ,

s'ittèle très Ucn, sage, peur d« rien.

S 'a d re s se r à Nog«nt-les-'TUrE«»i rtt« d» BoavUler-.

IG,SU

œ uvres, auxqttelte.s eVe consMce, »n: ; nue leme.ut, une très forte partie de son■iros revenu. . ,

Le reste de son tem ps, depuis d îux aSS. elle Ta cojiMçré, .uniquemeat^ à saSB r qtîL p a r *ai tdôâre « f e ^ o n ,_ ^ a * ë ^ ^ s i r e OMbSiêr lu» pasisé œoubliabte et si do jiilo& r#tI

i^’S ^ & a é è L iù u tle nionae,

le.ÿxpie «es^sKfes, ^ e m e n t , nobl»..

» _cocniB® toqs

après la mortj-dçèè D Mais ce q »

c’est que M° F e ^ ~

p o a r l’a id e r .d q B & « ^ ^ t jo n »W M . OUvléf îSfeuraiiîs. cm, quitté de sa tâche avec acüvité, une

: £„,iiitiiÉiBânces

re 'ly , pour la première fois, depuis le drame du cours Pierre Pliget

» M ie t te m ’a v a i t p r ié e i n s ta m m e n t d e l a p a r t d e s a . # è r e , d e v e n i r d în e r à la

avait une grave communication

* »”j 'a ^ m u v é . chez Madame Bourelly,i le docteur Morris, qui savait

• ’ ’î bientôt apprendrememe :.ia gyaude nouvelle, au su-

l a q u e û te j é ’fo B S 'd e r isD . a s s is ta ie n t,

* 'Btrarell-v, sa fille,

u n fiévouement

. t i e û à s u n a n . avec m digne Mère et

sa r& a l^ ta t te u , hélas ta H é è M o ii t te d o n d w » .^ m ^ oÀ ton te lafiûM ae vMi,daBs J aime e trniiwr» ' ■ ■ -

a M. CMivi»- Jlouraill» est, mainte- nati4 im beau jeune iwmme, aux ma-

har Mil maintieu ttttt rabord, en sa faveur.» JeTai revu, htor, chez madame Bou-

^faud, ________avait été congédiée, il y a deux aüs,pec. màdhmé%dfirelly ; mais qui est rentrée

après, t a fonctions, et qui reste près de la jeune fiU ^ en q»»'!*? dame de compagnie — M a d am e B o u relly m’emmena dansleqanm etneeuw .

» — M a Mère, il faut que je vous fasse-part d u n e unpôrtante ..décision que • lo t is ’avàSs p r ^ fettt récemment:

a lo i^ tesra iso n sd a la jo ie trè s vivena it te v ^ e dé 9 pGe chère

» 'Vous là verrez bientôt, monsieur r abbé : S i vous s a ^ e z cmnnie elle est jolie, à plu» Jfn f*nelw üvez te supposer! m ia adorable e r ^ ^ , E lle est grande, svelte, graètensc. sa boucheMüBriahte, sa démarche ! 'Fous .^«jrez; M. l’abbé ; vous serez qbarm e, c est moi qui v o q t le ffis,

» Madame Bourelly reprit : ,» — Oui, dans tro is mois, je. 1 «pere .

Miette sera la femme de M. OlivierM o u ra i l le . ,

> Je savais tou t ce que ce jeune h o n ^me avait fait pour 1* veuve et po u r te ieune fille ; je le savais digne, à tous égards, d’être le m ari de F ih — et pute., enfin, ce mariage ne doit il P“ tuer une xéj^-ation suprêine : la reha_ bilitation Æ ^ n n o cen tf ... quelajüàttce Gpp lente, toujours, en pw eil cas... ne lui a pas encore apportée !

» Ce choix m’enchanta. ,> — Oui, ajouta madame BciureUy,

Miette aime M. Olivier Mourailtei e t ^ i ^ p a » hésité â donner mon coMente-

cem ariage, ^« -1 ' m a fille sera heureuse ; elle s«ra iaf®‘U- m e d ’u n honnête homme ! Il n a pas de fo rtune; mais Miette est assez pour deux ! .. .

> Madame Bourelly me ^ encore :

riche

» A près te mariage, M. MouraïUe « tr a à la té te de te m aison (ie com

S ^ S ^ Î a V M . Bourelte .Le jeu­ne ménage s'installera ic i . Meloi, je imeretirerai dans une petite propriété que je possède, à Antibes, où je y.vrai drns•I * . -_2A— «BAzesvAvilÀnYAnT -a retraite e t te rpcueillèment.

> — Lès tém oins de Miette seront : M

> — V oici,m a M ère; n ja filte dérire nue la messe de son mariage soit dite

a rM . l’abbe Crdzet, O r, il est lom d'ici, à P aris , et très occupe. EUe n a donc pas osé lui écrire pour lu t deman­der de se déplacer. Mais elle a pepre que vous voudriez h ie n j i e ^ ^ e t t e d i-m a r c h e e f i n s i s t é r ,a u p rè s de M . I a b tienour cju’il se rendè au vœ u d e M ie tte .

» Bien entendu, j’ui copsenti, à vous écrire à cesiqet; e t je dois Wje me suis portée garante que vous vous déplaceriez, avec plaisir,- êtreagréable à notre chère petite Fffi.

» Le m ’iiage au ra lieu dans trois mois, c'est-à-dire au commencement

et très simplement. ,» Veuilléz me faire connaître, le pl

tô t possible, votre réponse, qui, je 1 père ," j ’en suis sûre, seira favOTable, et agréez, monsieur l’abbé, a vec les remer- ctemehfè dé Miette et les miens, 1 a ^ T rance de mes sentim ents les plus affec­tueux.

1 » ScEOfi F É U C IT â .

l I A l u l u E S C B I « T R A I i E S

J*ariî, 19 septembre. B e u r r e s e i i M iettes.

Fermiers . i '. • • • 3 30 à 5 60__ de Gournay.

laitiers de NoianeBdie 3 30

riüs èe 1.Ccours par côBs Se 1.000 ceufe,

liases-

i: , — Les tém oins ue OTICLVC =Ud’O rm esson,procùre«,d® .l^q u e , e t M. te docteur Morris. Ceux deM M ouraille: M .D rouet,com m issairede pelice, e t maître Feyrottes. O r, m a Mère, -au-Bom-de-Miette, j-ai-ime-priere à vous adresser. , . . , .

» Dites, madame, il n y a rien que j® ne sois prête A f» '™ "'"’'' être aereable

1 àM i^ tç .V o u »àr-fâire pour ê tre agreeu f savez comme je l aiaime.

, p . s — V ous a i je hppris que la fleuriste-Mte-cédés, lafiancee Cadet Mouraille, qui, d e p n s l a f t i r e , avait porté son deuil, est trois mois, après avoir langui yiifitt d. uttvSû-î Ojx.

la cause de la m ort de son f i ^ c c . »'* ''-Esbî

Champagne » • » • • • • • •Normandie extra

ordinaires.;. • .p icarde extra. » • • • • •

— ordinaires • • • > • EtrangersŒufs de conierve". . . • • •

T ente i la ïû&r* : ■Canards de R onen. • • : • • Ponlets de Hcudan. a • • • Pinta^ea. . . * • • • • • •D in d e s . .* • •Pigep.as bisets p'e «fdrp'

aO 110 .lîD 14890

120 .H

3 . . à 4 ..1 75

100i52100

90

5 . .72 V.

4 6 0 1____ , - ,tilb . 20 vache, herbaaère.» • - .72 veaox g r a s de 1 CD à 1 90 le kUo: 26 1 ie 25 à 50 fr. Vna 353 porcs gras d« 1 ^ kUo. 763 coprears de 26 à 6 2 1r. l’on. 1625 de lade 18 i 30 fr. Vun.

T o la iltis . i’a p iù re t. - D i n d o n s de I I . .9 . . à 1 ' . . . Canards 6 . . à b S B .ro siB »

) . . à 7 50. Pigeons 175 à 2 25. Lapins de 2 . . 5 . . pièce.

S n m !-J o a l-e u -C h » n » -é e , 18 septembre.F r o m e n t nonvean, les IQQ kilogr. 1" qt6 21 . . ,

*- qJèM' 75 , S- 20 50. Seigle 14 50. Orge 16 . . .Avoine 1^ qté 18 50, 2« 17 50 ; b lM c h e .........

Pain le kilo G qté 34 , 2' qte 29 c.Benrre le kilo l-.q té 3 60, 2- qte 3 40,Œa£s le cent 11 fr. 20 à . . • •

50 : 80

qoïkrteron,

MâR&HÊS iRîânSHT6 48,1.^819

15 . . i 15 SO.Drge l ï . . i 16. Avoine . gt< 19 . . , 18 . . . a m 100 kilo*. „ „Pain le kilo J L ' ' , ,Benrre le ktlo 3 .-. k 3 20. (Enfi le

2 2 0À 3 . . .F araaen ie , 19 septembre.’ B(è p 'q U 20 51 ,2 ; 19 75, 8- te Seiale 1 3 ^ Orge * 0 ® ^ Avoane 1 qt* *2

I® tout aux 100 küoi. , . .On w te l*fâctoKt» : BW de 14 . . . à 1.®

S ^ « .e^OrgeU-...A.TOine . ? - ^ n .-o ÿ ’s ' M ^ î c i . . . .T is a x lle - .. . . . Pomme de

^^^^^le'W lo li -q té 33 c 1 /2 , 2’ 27 c l / 2 .^ r J : “ kilo 1^ q ti 3 30, 2- 2 » . CÉnfl le cent

1 1 . . à 13 . . .

B c à i a u x . - ' ' vaches ' / ’> i0 f r . l ’une. 7 vaches g rasses M 1 » i L 1 — . i îrt 20 vache® herbaffère-q - « . 80 à 1 iO leJcijioy.

Oies C

à

Marchés des Départemeits lim itropies. -

G U o rs (Eure), 17 sep'embre. ,Blé,lhec-o!itre G qté . . . . , 2 ’ q‘e ' L

. . . S e ig le O rge -^ 7 “ ^ 1* - — s' Q t é Pommes de terre, 6 fr. W.On cote anx 100 küos '.cours moyen) : Blé . . . . .

® P ^ l i k iio?P»'’'qii 34 0.^2) t a ^ 0^B eS re , le kilo 3 . . . fEnfs, le cent llfir.

G im ra a y (S.-I.), 18 septembre.On cote à IhectoRtre Blé 17 • • •

^ ig le 12 . . . Orge 13 50. Avoine 11 » .

'’® & S?e le 'kilo 1~ q.é 3 . . à 3 20 ; 2- 2 809 3 Œufs le cent, 1160 à 12 . . - ~ c :

Volailles j - . paire). — Dindons de 12 . .Oies 9 . . b 10 . . . Canards 5 50 à 650 . P o ^ » '

6 . . à 8 . . . Pigeons 2 . . à 2 50., Lapins S a .3 . . k 4 50 te pièce.

Bestiaux. 91 vaches grasra d e l 40 kUcgr. 118 vacbM h * T b » g ères^ . S O L L -I - 45 vaches amouUlantes do 400 à -450 &. la 110 porc» gra» de 1 . . k 1 » le k lé j 8 2 5 ^ on eonrenrs do 40 k 80 la ^ è c e ; J*.*k 39 fr. la wéce. 5> ehevani do a » k I

1 p éce . 15 poidiin de 300 k 450 la pièce.

:‘S i

I &.1*

jiotâ&ee t def e S sim iaîÉtjT^' c r t ^ t S e a l i s , .

e f # , ^ ‘ î » a L i i n » A T , ^i. 3 ; n o ta ir e à S e h B s .

^jJIBAsCfB ZJ^AtlON'a n 'W ie M r e a puU hiuM ,

£ DTJNK

M A I S O N8i^ â MOi GRÉSliV,

ooBunund d*Orrj*la*Vill iD’UNj r i ^ i = i r > i N

sis même lieu ET D'UNE

m B E T l l-trarofr dudit Orry^la-Ville.

En trois lotscrée faeuUi de réunion pour

le* et 2' lots.

l/à ie£ea1ion aura lieu l é B lw M e k e 9 1 «e ieh re tO O O j

à tr^i* heure* de reîevéej em l'une des salles de la Vairie

d'Orry-U-Vüle, par le ministère de M* DELA.UNAY,

notaire à Senlis.

t reqaête, ponrsuito et diE-

. f r

O w É n e f c W ï f - ï M s t - I è s I e k

PAR A D ÏO W C A H Ô N lW à k lftt*

tëHtÈSÎHt

M A I'ÂTI^J V k l? I T . « f 1 1? l î Ê

.p 'a ^ n s . IBM «Iwftrei!^ 4 V c t ü 1 M u -l ü I v Oa'An&iche èt WKS?a>. ormef» oii«oL«,l . - ' -::■hébek.inerîsiêrs,1)ôtt*c«nx é t | • ' isRserUs en ft ô iM se s , -

sise à PLAILLY,-ru» a 3 n -H « t .'

L’adjadicatioB'«in»fieo 1 .Dim anche i i Oetobte 1906,

à une h tu re de relevée,

en l ’n n s d i s n l lM d e la Mairie d e P la illy ,

par le miaistère de M* DELAÜKAY, notaire à Senli*. _

En eidcntion d’nn jugement rende Pmr défant contre la dem ou-lle Bel- lame, ci-après nommée, par le .T ^ o n ^ deU de Senlis, le y ia tre > i» e t mfl oeuf cent ■sii, enregistré et signine ;

Il sera, anx reqnét^ pontsoitca et diligences de :

!• Madame Clarisse-Alexandrine B«l- lame, rtonse de Monstenr Jotepb-An- gnste Koasseaa, roaroneTOT^xw » -

Sisœ i KÔÏE (Soaime),, rnè Basse-^yiUe, miinéro 3.

'. {.’a^nclicatien aura lien te^ .neieH iim it O c to b re tM O S,ifeitirLAeuréa pr&ise» de relevée,

i ÉRYlSaae ej le minislère., d _ '■‘ ^ileronTToÿ, ntHaire à Rpye (SdSteej, «iniinis a cet effelc

S ’adresser pour les renseigner rhents : .

A Ht* l o u i s EW ^AV Yj:j avoaé à Sealis, ponrsofvaiit la vente ;

A M* SAINTÈ-BÈUVÈ, avoné, pré- I sent à la vente ;

•A- LOMBOIS, notaire à Préisy- I snr-Otse ;

E t i »■ BERtiOVROY, notair» à iRoye dtipositaire to cshier de: charges.

a aafficûe ei wicça». orn»B;«» uii««A.',b . : -jSn * és, héttes, œerîsierà,1)ôtt*ctnx é t | • ' çfj^MirUs sn 8 « in ssss ,

avec \ ü : M im n e k e SO S ep te m b re 1906,c d i j r a » k e t i l f f l i i s - I .à e n e h f u r e iû r e ù v é e ,

^ 1 ^ |da.'rio de cette Commnne. .. . . . . _ . : t e i i a v r e t[pisi® ministère-do M* îtBLLO iTÉï^i|#^ _ DÉTTRÏîB.I noiwrcàMeîld.;^;^,; . 1 si*

le Û im aru:he 4 i . Q ctolirè 4 9 0 6 , n im e heures

.e n la MatHe da Mello. - p

t-yses-aia à -fyrm er peu odM Û M tsoth -----Itère de }£• B9|avs»^^

rnne des « Uss de T0ô{ntal g è n ^ ^_ C..2A.'e *KIei JaS«». 'fn ^«wtl Q 4tobre

________« nas «e ifjopn»*Pxnbonrg S^dat^SEsi^ le Msrdi 9 Oa-j

■« I 9w , à «ne-fcnre de i»lerôa.

MÊ TUDB ^A loçar à l!»mi«ble V afaaa s s e èj

Sni^Sy m é dà FaBlX)itie-Sadnt-Mutiii,ia-SI. 1

: s > dresser t Mèllo, per’Gr's-’er îte llo [ (Oise) :

A M LAFONTAINE, re^Useur du Domaine ;

ift t'M* idÉLLÔTTÊE, notai-c.

sur pied.PAIEMENT COMPTANT

S ’»tdres<er à ÎH. t t r a u y e , 3?, I d’O l'^aos, PaARIS.

qnai

HÊIÉE &TÜDB

Adjudieutifuts ^ ScnliSt en l’Etude et par lé ministère- de-M* -leMardi S Septéabre : 1906,' h 3 Ji-lrper, Tore îî»|aO n sise S

/^nlis, rue de la R'^publiqne, atjc'ea- nement faubourg Saiut-Martin, n*

Mise à Prix: 5 0 OOO francs, '

Études de M® SAlilïfrBEtTVBs gos» Konssena, “j'ïT v;’ -j I avôtiè à SenHs,

e t d e M' n o ta ir e y ni«. >u«e Msiiier 1 à N ê u illy -e n -T n e ile .personnel à besoin qna âssisler |

V. ...._!__ y_et autoriser la dame son 2' Mademe Vîctoriiié- Aimée . W -

am y, époustr d* J to n n ^ .Maîlly, mantouTTter, w c l ^ d elle demeure à Vêmars etdudit Mobâeur Lcm^ üv, agissant !

nb» pa r

*at es u n i a S ’adres.*ar à - ^ J ^ ^ Y c i r c o n s i a i i c e s e t D épèndàncesh^ftoH e, on à m. d a u s s in , S Sic

4 è c ^ « , .àPl»iUy, en l’tme cléssalle*! f

Bn exécntion d’nn jngement rendu sur requête par le tribunal a n l de SenlisT ie quatre juillet m il neuf cent

génce d e :1« Mademoiselle Célestine lUganlt,

ss^enre s-ms prof'ssion, demeurant à Ifontg^ s'n ;

2» M on sim > Louis-Yictor Lame, manou9 H ^^dlsaB t*t*nt e s son nom a e n o n W W piçan.'àatiaier •traa^4^ser là dune MsiimiHennç-.Léa-l5nAri6 Bè- t s v n é , l A «S»dsé, et ladüe d ^ e , de- BMorant ensemble à Orry- a-YilIo ;

3* Maderooiselle Henÿlette>èL^erite- PauÜné^Cécile Bétourné, majeure, sans

/- ^pfesriob, dcmcni*aût à Montgre>in 4» MbtSsiriir Paul-Manrîoe B ^ u rn é ,

soldat sex l t 6* règûneot d infanterii, en garûi8ont.à Tool, domicilié de droit à

5* Monsieur Léou-Louis-Alfred Ri ff%ult, marchand de "vins, demeurant à MootÆÜ^sin « pris en qualité de tuteur daîif du. mineur Marcel-Alfred-Henn Bétourné » ;

6* Madame Au^usünc Argeaiiae-Bsr- nard, sans profession, demeurant à Montgrésin, Yeure de Monsiear Alexan- dre-Eugène Rigault « priée eu sa» qna- Kté' de tutrice naturelle et légale de ^ gène^ Paul R ’sraultson fils mineur.

Ayant M* Sainle-Beuve pour avoué constitué*.

En pi^wnce on eux dûme at appelés de : -■• •

1* M. ■Riÿnlt E-lmondiLouis-Henr!,manouTcisr, demaurant à Pontarmé « pris en 8a qualité _/J© subrcgé tnteur du mlnepr Eogène-Paal Rig^ult ».

2* Moibuêur LéVasSenr Louis, mar- brier-marc^qd.. dç vins* demeurant an Poteau, fa^ ou rg de Senlis, « pris en sa quaiy^^ç.subrogé-tateur du mineur Bétour^'knâ-nozmné.

P r o o iS 4 D im anche v in g t-ttr jm vctobre i ^ n e u f eent s ix , à t r ü , ftrô- rt* de relevée, en l’une des snlîes de la mairie d’fitey-la-Viilerparie ministèra dé M* Delaftttày, notaire à S«nlis, A lavent© sar licltatioâüitx éttcbères publiquesdes ia u n ea l^ ^ ^ a p r ès dérignés en 3 lots avec f a ^ 6 kidATé.imwn pour les l ” et 2 lôt« «t sar les mises è prix fixées par le Jugement sus-énoncé.

..d ésig n a tio n ' ’e t .

« K E S À P R I X

. ’ P r e m i e r Lot.I I M -tettOktfn ms« à ' Montgrérin.

com m âi» d'Orry-la-Ville, à gauche -^aaa w*b cour commune qui prend son vBtré* sur la place ; ladite maison édi­fiée parüe sur cave et partie sur terre plein , est composée d’un rez-de-chàus-

. c»»,. ^ fgQ éclairées sur la. 1 use d ’elles do«ceate de cave coiïdBisant à l’étage ; d’un

àBnt également deux piè- destQs. LVscalwr qui con èèu-ii^as«éé & l’étsge est

fenêtre su rU cour i^BirfiiTTil ; céfcta-mrison tient. ‘^ds>çoQr com m tm e.uufoodet

J |0tt«ear Bernard, d'autrelo t te Î9ein7.,

6 p dn endastre. commune n t t e fond de

c^Cte cooc, petit bâtiment composé de deux toits à porcs, tenant de trois côtés à ladite cour, et au fond au jardin ci- après.’;,

DrôW% la TOûr commune.

M i s e à p r i x ; 5 0 0 f r .

Deuxième Lot.l i a AsrdliB sis an même lien, auqnel

on Ascède par 1» cotfrcomœunp, tenant d’un côté Madame Rugri-Derondel,

-d’autre cOté Mensieor Retter-Fieory, par au mur neuf déppenda'nt de 1 im- mauble à TéOdr«,-d’un bout Monsieur Delaunav par un mur en ruines, d’autre ■liont parôevant à la cour commun», et -jlcmsienr Rcttér-Fîe'ary. par un mur neuf dépead»nt de l’immeublo àvendr.-.

Section n» 3 p, du «adastro- pour deux ares soixante-Urois centiares.

1 0 0 f r .

Troisième Lot.'U ï^'-rin^-six centiares d’après

• .é t i t e ^ 'd e u fa r o s quatre-yngt-dix-huit ' 'd’après cada*»tr© de t t r é au ' tiSife!»'^rarty-fe-Ville, lieudit le iond

ou la remise â Deuil, te- JÎœ int' d'un oÔtéDésiré Mailly, d’autre

Léon Delaunay, des deux bouts le Bênm.

3iHiiinTf.î|i*'i7? du cadastre.5 0 f r .

Êüt en son nom p^moimel â W ij I qn. potâ assister et autoriser 1» dame son épouse y ' • .

Ayant M« Samte-Beuve pour avoué constitué;

En présence ou ^ dûment appelée de •Mademoiselle A rm aatîtf^A l^diÿtc Bellamj. majeure, sani proféssxon, de­meurant à PUilly ; . . - j i

N’ayant pas d’aToud;conatituê ;prih^Mé. ^^pitnanoke et un .

àetôbre inn neuf cenA ai», à um I -Qf.

V i N t EAUX KNCHÊKBS PUBUCÎÜES

de saisisuit* dé conversion immobilière^

D’UNE

I s a r e n v i r o n 800 l i c c la r c sfaisant partie du Domaine de Mello,

1 /3 en bois, 2 /3 en p 'oine,

■ak. iÉ& .«c».-içr.^3»pxn ADJCniCATION'

\le Dimanche SO Janvier 1907, A iMw heure,

A tesll» , en ! • ÎMII* t e ’l* Malrl*.

I T a i n ' s t r p m r tous renseignements : I A M. LAFONTAINE, règi«eur dn I Ojniaine d . MeTo ;1 Et à.M" MELLOTTEB, notaire - I ileHo. 806

BON FONDS

[ ^ £ a s : : a £ 3 : > c s f c î : s :à l’am ée

F U M I E R. S'adresser [d ChantiUÿ.

d è O c h e v a u x ,

M. LELO& EAIS,781

lot^îcMte légèreWerner, 1 c h e v a l 3 / 4 ,

9 & 0 iin n ie ..S ’adr.sw r i M. YALENTIN, archr-

ttefctc à Senlis. 181

pour 3, 6-ou 9 années.

s i s e ï - l i l W - S ' i - G i e o i P s e s ,

co| aHaFT p e u x i S a i R i t e é t i m J a r d in

avec

rs^rénrei4e tt le Cbareuter ie ileiséB eeBlertaèle I Ak i . - —

ensemble ou séparénusnt.r u e d a CfaAtel, 9«è«

S ’j^rcsser à M. BONAMY.

F: . 5 * i .

rdoot le n u r l poottait â i ^ . ^

■ t i M iT D D B

.8? «np»®!1 d m i «mpBÿie anx

.S i a f e Aa’ ‘ ‘

I 'Ja«m e.lM iafaa, injant aecmn-j[pK iba. s * ^ e e militaire, bonnA instru^e-1 [de'à. «xêri^entes réféirnce*, désire] j-empini dans le-corom'ree, (emploi aux léeritures ou cMnp ahiiifé).' S ’àdr, au Büreéù .du Journal. . ^

'10 Jf ■■! -li auM 'de 19 Uia»yisachNitentr^enir Miomobile, demandej

[pl 'Ce.de cpch«-Talet d« chambre. ' S^idr. aù Bureau du Journal.

On demande vin jsA-1 BERTf 12, rue de

^ram x a m ^ s s «RjlB nte

ao, oi^v- i*i

M i s ï l in M U M tB le n e , appartenant à l‘Hôpi»al jgéné-

ral dé Sènlis, à affermer M r adjudica- ^ ^ mtion, par le ministère de M* Delaunay,! U ss te r , chez ? î. J.OBc.n aotsir*. en l'une rfes s'*Ues de 1 Hôpi<alli’Af^rt^;=-P»în,*Sé&Ks.«Yénéral, sis FaubonrgrSàint-Marti'», l e lifard t 9 ôcfoSre 1906, à une heure de relevée.

K f t i u â r u D X

A vendre à l ’amiable, llfa te e a , rise k Néry, dan» le Villagr'. — S’adresser 4 M* DELAUNAY, notaire.

^ «rd fa iler sans, enr fants, et spt à'ious iraviûrÉ, dérire plaee; stable. — Ecrire C. L. n* 80, poste' restantr, âOzouer-le-Voulgit (S.-et-M .).,

759

l On demande a o e J e v a e 811elH é lo a n s .envmon, pour êtrè bonne à] [tout féiip. ■■ -I

S’adr. au Boretn du Joumiü. 7 ^ 1

I 8 1 0 ^ Un o u vrir zingueur plombier, [k l’année, e s t ,d e ia * B d e de soite^Dés I ouvri'èfs coûvréurs 'sëat deusaitriés/.I Chez M. CoTTvÉ aîné, rue Bellon, à ISenlis. ’f n

d e R ap p ort, a n d o r a iu et a n r ■ On demande un bon p r e a i t c r lP lô e e A o T e r r e , situés k N antenil-le-|4li«ÉV etfer, 100 francs par mois. Haudouin. — S ’adresser k M* ,F «té . I ^ d r . au Bureau du Journal. 7';notaire k Senlis. | demande n e M n n e U r r i

sd r tea x , muni de bonnes références. I S'adresser' à M. LELOQEAlS.i k l

i Chantilly. 7fô |

KM. A. nn£, a imB Ô?b*U.

A vendre k l'amiable, ois® Btoto®® d e R ap p ort, a n d o r d lu et

AT AID^

tttmà «Jiiitefifiartiw)pM l« ânntHU. u n

U fO Ü PÉEj o u r n al b e s p e i i t k s

IttMtrédelOO

178 SU, lue Sainit-Georg^

ifontar^ ^ _ jxxujr, rr-î-i -de là M a ir i., P»r le nM irtS» d* Delaunay, notaire k. Sim lii, ,k

l.taire.ET DB

SEIZE PIÈCES V E r V O R ETRÈS JOLIE

énoncé :

DESIGNATION■ ' ET ' ' ,

M I S E A P R I XC n e M .4 1 S O » , s>*3 à Plàilly, m e

d’Eo-Haiit, c-mposde'de quitre c j im - bres au i,z-de-chaùssée, quatre cnain- bres à.couchcr au premier étage, gre- □ier au-dessus, care sous la maison ; cour devant ladite mrison, jMdin der­rière-contenant environ deiK ares soixante - quinze centiârea , d o s sor la rnd le de Montmèlian par nn mur en dépendant; toit à porcs dans la cour, cabanes a lapins dans le ja-din_ I^too* tenant par devant à la rue d En-Haut, d’autre bont à la m ello de Montmélun, d'un côté 4 Madame Lejecne, et d autr- côté à la ruelle de Montmèlian ; le mur dn côté do Madame Lejeone apparuent à criie-ci.

1.000 fr.Mise à prix :

feutrée en Jouissance 1906.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigné.

Senlis, le vingt-deux septembre milneuf cent six. __

Signé : A. SAINTB-BKOVB.

S’adresser p our les reneèigHémmU : !• A * • SA IN TE-BK fJV B» avoné à

Senlis, poursuivant la vente ;2" Et à M" DELAUNAY, notsiro è

Senlis, dépositaire dn caWer des charges.Pour iiisertioii : ___

786 S igné: A. SAINTE-BEUVE.

M i s e ' 4 p r i x

' t ïTÂJota l dea mises

pris.

; 1" décem bre

s i s e s t e r r o i r

d’Elly-Saiirt-Georges,E N D i X - S E P T L O T S

L’sdjudieatior» aura li*m leDimanche 14 Octohre 1906,

à tro is heures de relevée,en la Hairi« de la Commone dlTUy

Saiat-Georgéf,par le ministère de "M* BOCQUET,

notaire à Neuilly-en-ThelIe, commis k cet effet.

S'adresser p o u r Us renseignements : 1" A M' SAINTE-BEUVE, avoué à

Senlis, poursu'vant la,vente ;2* A M* SAVARY, avoué à Senlis,

présent à la vente ;3* A M* DELAHOUSSE, huissier è

Neuilly-en-Thelle ;4- Et à M* BOCQUET, notaire- à

Neuilly-en-ThèUe, dépositaire du cahier des charges

Ibools S .V 'fo

E T U N E G R A N D E

IS a l le à m a n g e rS ’a d r . a u B u r e a u d u J o u r n a l . 77^ l avec

« I iso' S T m r T e o t en. a. ■ A I fie Ve.rh .rif..

aKX nst r»A rgq yta

[PRljlTEHIE-PRIMEügS■ bien situé en ville.

I S-’adresser k M. Ociavb CAGNARD, I k Morienval (Oise). — Téléphone 9. 810

, m . 7 K - i « » - « j r a B 3 a B R .1*

Maison BourgeoiseJardin et Dépendances,i GLAI GN ES (Oise);

MÊME ÉTUDE

A louer i l’amiable, pour lo i - j u in 1906, g r a n d e M ninon, avec cour ei jardin, située à SenBs, rue du Puits- TSphsdne, n’ 3, avec porte cochère sur la m e de» VéUrans. — S’adresser » [ M' Ferté, notmro 4 Senlis.

P a r is .. .S ô n o .; .

A S E N L I S

place Henri IV , n“ 13.S’adresser chez M. FOUQllÊ-MOL-

i RET, rue de l'Apport-auG'ain.

de ferberie , sise 4 SAINÏINES.

p - B o n b e r g e r , solne et sérieux,pour fort trotipeau d’élevage, est deman­dé' pour lé ' ls pèlob^' ‘ ètlo g é . — S'adress 4”Morienval (Oise).

Dfeaôrtsmeots____œÛMi postale....

7 fr .

I t .a * .

780

L a P m i e U odèU , dirigée «vee la ■ moralité dont le /ow nw d d « 'j [■stOss 4 ce'nslammMit doiiBé la

eat éntréè dons sa q u n stièm e .

BfftXS t ’SVOM

A vendre p»r adiudficRtion volontaire, pour cause de liquidation d© la Société G. Lalloueite et C'% le Dimanche U Octobre 1906, à deux heurts, à Barbery, en la Maison d’Ecole, par le, mini«tère de Ferté, notaire. T r e iz e P a r c e l l e s d e T e r r e , lonreant la voie de r^c'-ordrmcnt de !a Sucrerie de Barbecy avec la voie fcrrce de Senlis Çrépy-en-^aloi’f.

Étude de R" 3BÎÉZîÈRRj notaire à Betz.

, 'Ex-soas*of9eIer,retraitéd'im eI Adminietrâtion," 50 anz, prendrait .•^rauee 'de Propriété*, ou gkrçnn de ■ bureau,, surveillant, gardwa. de Villai* 1 « --------------- Ja^compl

, L’éducatwn de la petite fllle nar la laité d une mile est la pensée de cette p n -■p r e n d r a i t . r i v e m e n t ---------------------- '

I miBes : pour un prix^prddée dos fO- ; . £ t ^ s n ^ q n a .. JILrVA *éAA y eni.» ie*

'.'v~ ' lia mère y trouve m»hit8T«Meigaeteeotion rropneieB, nonustiL ja-comptabilite, y^ fu n t destectaree «th^O O te.la régie d’nn Domainé, etc. ; marié, *aus| - — —.î- --

Propriété*, conna’ la régie d’nn Domaine, evc;. nuirie, »»ua enfftut*. sa femme conaais«ant ,la eou- rture. — S'adrésser k M. POUX, régis­seur du Domaine d’Ermenonville (Oise).

788

38-31 ans, ayant■ p r-, M c n n g e ,

655S’adr. à Mme

I par Orrouy (Oise).N icolle, à Glaîgnes,

7C6

AmT. 3.CESSIOM DE FOMDS

Suivant conventions sots sipiaturesprivées, Monsiernr u ^ icédé 4 Monsieur BELLEFILLB le fonds do commerce- de' inouaene quil exploite i VeAcrie, hçu dit le M vultn Btsson, aiari qtt« au bail, p ^entrer en jô i^ a n c e le premier octowre mil neuf cent o ix .

Domicite'îffii k Verberie, chez Mon- sTeur SOtÇE^IS, eKOq«P!ta»ri où les Oppositions sfflront reçue* même S n p le lettipe. ^

É t u d e d e S E L o u i s G U É T E S i

g r a d u é e n d r o i t ,

h u i s s i e r à C h a n t i l l y ,

successeur de M- JOLY.

P o u r , cau se d e d é p a r t .

Vente aux enchères publiquesPB

M E U B L E SA n e t e B s & M é t l e r n e s

Piano Pleyel e t âquapellesA c h a n i t i l l y

47, rue du Connétable, .audomicUe de M --veuve P areiithoo,

Le Dimanche 30 Septem bre 19 0 6 , .

' à deux heures de relevée. 803

c o m m e r c e :PB

îBoBBfterie et Mercerie]A €?(Mc*r Suite

dans forie commune du canton de Compiègne.

B a il à volonté ; loyer : 420 fr .

A - V E N D I R Een fûts de * S & litres,

, I» EXCELLENT POIRÉI ayant l’apparence, le goût et les qualités ■ d’un bon vin blanc.

CIORE ET POIRÉbon ordinaire.

S’adresser à P laillj, 4 M. Oliyieb.------ ' - i paorcsNcr a *.— . a IBENOIST, et en cas d’absence, k M

, S ’adresser pour tous renseignements, t *___ BENOIST,I k R» P E & B Y , notrire aBéthisy-Samt;!^*'®’^ ^ * ^ ® ’tP ter e . 5761

Ab.t. 4.

g r e f f eDU TRIBUNAL DE. COMMERCE

SENLIS (Ctt»).

S s r R ^ c a t e

Les créanciers de la faillite des sMur*, F ak jât et C om p ati* , eotrepraseurs de menuiserie, demeurant k S«nlif> déclâréren état;de faillite par jngemeui du qu^torie septembre mil neuf cett six sont inritésk se trouver le V en dredt v in g t- h u it S e tÀ em b r* m i l n ^ U f c»^ni s i x ,à d ix heures et dem ie d u m a ttn . au Greffe du Tribunal de Commerre de «enli' nia-e S-vint-PîiT^.^pour la no­mination du syndic définitif.

Polir î'nifôrtion : jL« Greffier du T r ib u n a l

; MlGNOt.

J k g c n c ^ f i t f V c r f o i #

l O e t a v e C A G 7 V A R DMemtoe du Syndicat .

des Hommes d’Affaires de Fronce, HOBiEIVVAE. (OIsa).

TÉLÉPEOim 9.

d U R I I D C H O I X\ ■ ' 'VÉI P on^ (fe. Comîn'rce, Indvtttrus

àGnistériels.

Oimasii ExceptioielleDépart forcé. Vins-Liqueurs s»ns oui sine, en faca Marché et Square. Achat 15 pièces de via et 300 francs d’alcoolsÊ* ar mois jusüfiés. Loyer mille francs.

;ail 9 ans. Bénéfices nets quatre mule I francs. Prix 2 500 francs. Grande faci- I lilé de pmement. Rien des agence*.

S ’adresser ou écrira k M. LOUIS, 58, rue T*rre-Neuve (2û« arron^sse-

Iment', Paris. 39181

Miii)gfliin|urB çuT V iîs i w i o m i a s

- s r ç

é 50 î r .Faculté de réunien pour les les P ' et

f lot*. (Maisoh'ct'jainüp)., .

E a ê r é e « n .J o a is s a a c c :!•» et 2* lots : Premier Décembre mil

neuf cent six ;8* lot : A partir de l’adjudicatioa.

F i it «t #éîB^!par Tavonê péurstixTa:^

Biivii* l e . ringt>dtex septembre nril ' cent'six. -..

-Sgo»^ : A . SAINTR-BBÜVE.

gjg^ mm j r n r ' ^ ra u ^ g n e m m t,avoué k

-pELÀüNÀY. notaire, k ftdu cahieedAs c h a r ^ .

'V Fonr-’irsYrlioa : ■'S Ï g i é : a : S A IK T E -È E Ü T B . .

Études de M" lA onis E S C A in r , avoué à SenHs,

7. rue dé-:‘Vi leverf, et de M* B 0 C T F O I - , . notaire k '

Argenteuil (SeiaorO^Uis®)

VENTE SUR IIOTATIONentre majeurs et mineur

de UNE

la lsiiB o ileM sf, ' CHrôpttRances et dépendaqoes

sistss 'â H ô u îH ^ s» (Seine-et-O ise),rué de ^ r i s . ■

L ’adjudication aura lifu ’le____-m m a B e h e ^ S * F te» a b re

à tro is heures précise* de relevée, en l’étude et parole immistère

de M* BOUTFOL, notaire k A bgentbuil . (Seine-^tr-Oise).

com A is k c6t efioL

^adresser 'pêur U s i^Msi C0 um enu 1* A « • I -a o ta « R C A V T , avpné

k SenHs p o u rsu iv it l a .»2* A M* MORAND, avoué préseuV k

Uvento^;3 * ArM» ROLAND* hujsriar à Çreil. 4* A M* BOUTFOL, no*»re A Afr

gcnteuil (Seiue-et-Oise), dépositaire du cg h te dés charges;

£• A M* DÉSABIE, ncftaire k Creil ; 6* A Madame BOUCHER^ boulaa

gère;A Hbui’le*, 7, rue de Paris ;7- E l' k ‘Monsieur. DABY, agent de

location* £HduiUes,.placa d e là gare.

É t u d e d e M ® J O U R D A I N , n o t ÿ r e

à C o m p i è g n e .

Adjudication VolontaireA COMPIÈGNK

en l’Étude de M- JOURDAIN, notaire, à de%MS heures,

le Lundi 1 " Octobre 1 9 0 6 , D ’U N E

M A I S O Nà

r u e B o t t i e r , n " 1 1 e t 1 3 ,

org a n isée en g a rn is .

*Hse à jH-îx ; 15.000 fr.l

O bligation de repcm dre en susle m obilier des chambres meublees.

L, S ’adi«.cer. à M” J-FEAMANT: e t ‘JO 0R D SB l, cotair^ a | Compiègaf. "

Contentieux e t ReconrrOinonts G tssion d s Fonds d e Commerce.

C i B I M T D ’ A m i I E S ]

de n. L0B6E0IS,A CRÉPT - EN - VALOIS

(Oise).

nxaai M. NOËL (Joseph). 4 Montleville, QftiJ commune de Vemeuil i, Oise), prévientsa

I nombreuse clientèle qit il fait toujours I la riU Ü H atlon k domicile, des eaux-

V E N T E Se LO CA TIO N | de-vie, c id f., poiré, praoes, atc <6o

FIN BEAUJOLAIS r Q iles 215 lit. F r-votre Î W

^ ^ P ^ gare. Echantillon gratis FROMONT, prop., Villefranche (Rhône) S ^ é s a i t a n t s sérieux sont dem anifs^

I

Pp( ^ * , e to .|y iN

P.GOOflRD

jH ob ilicr , k vendre aux enchères, après décès, le dimanche 23 septembre 1906, k une heure précise, à Boursonnc au domicile de Al. Chevallirr. par M* Mézièrr. Literi'i complète, meubles divers, cuisinière, deux pendules, g'aces, baUerie de cuisine, vaisselle, bois <3e chauffage, outils, fruits k récolter et autres bons obiets. —• Crédit aux per­sonnes solvables.

Etude de M* THIROUIN, notaire k Acy-en-Multien (Oise).

A vendre par adjudication, à Rosoy- en-Multien, cn laea lie de la Mairie, le \ dimanche 30 septembre 1906. h deux! heur s. par le ministère deM 'Thirouin,! dUTerentft Im iM cables, nature d e l terre labourable et bois, situés au ter-j roir de Rosoy-en-Multien.

Etude de M* MAUGIN, notaire k Verberie (Oise),

T r o t» U a ts o n s , sUes k Verberie e t i Saiut-Vaast-dc-Longmont, appartenant I aux consorts Thuilïier, a vendre pari aôju'iibation, en l ’Eîtude et par le m i-f nistcre de M’Maugio, notaire àVerbene, L le dimanche 30 septembre 1906; à deux I heures de l ’après-midi. ■

Étude de M* FÉRRY, notair* k Bêtbi«7-Srint'Pierre.

4 vendre k Fomiable, s a « WLrJnav | à usage de boucherie, et wa iarrifa* | ii*' k Morienval, le tout loué jnsqn en | 1918, moyennant 550 francs par an. — S ’adresser k M* Feriy, notaire. '

Étude de M* M a r d e le t , notairek Nanteuil-le-Haudouin (Oise).

V e n te d e C on p e d e B o ls en 1 0 0 6 . — A Vendre par adjudication *u rabais, en l'étude et par leminiS’ère de M* Marde'et, notaire * Nanteuil-le- Haudouin, le Vendredi 12 Octobre 1906.

B u r e a u à ‘V i n e n U (Ois»’)P rès la Gàre,.

après décès, UI^

de

A nd* d* « • P N I II . ■ o W » 4 8 »H f.

A SHMir* i l ’hintebl».- . . . .Fatlt.

I Botoirt k SaïUs»

Epicerie, buvette, TÔuennerie, mer­cerie, rhadssure*, dans gros village; éxceriente* conditions.

(' Charcnterîê. dans ville iudustriell©.3 nor I* par sèmaine, le tout vendu k lahoutiqaè. - I D C T I T

Plurieur* boulangeries î i^ r ta n ta s , | r ’& I i i sous échange de blé.

2 maisons de plomberie liM u en e et chaudronnerie, k céder dans de* condi­tions évantageuièsà

Càfôs trSa'fiéqwntéa dans vüles de 6 k.8.0CO hiÜDitant*.

H b ^ e q i h ^ tsH ;fréqttcnté. Prix

!Çabac, buvette, très Men ritué dans Soùs-Préfeeturâ.

ISpé* importante Boucherie,-rilL* .importante de l’Oi*è> jdusieur* foriûnee successivés.

B oû pèût fond* d^imurier-mécantcien à céder k de*, cpmfition» e«ce*sî]^ ên t avantagées®*; d® m alad».

e r w t i— L _ ■» Om MA «ni||>

437

| 3 ue (; |

bien achaHndê,dâuas e ^ m m a o e tm p o r in a te .

I S'adresser au Bureau du JoumaL 4341

A'Oélira- de snlte,p o u r cause de santé,

B o r v F o i v r > sD5 I

,(mïCüîfflBmiTEBB:Loyer :• 360 fr. — Bail .à' volon’è.

S'àdr. au Bureau du Journal. 733

A v e n é > r e :

lEiceMeMû JU ffiEITS%ttcîle et se âonte,

excellente trotteuse, quatre ans, rèndt«c avec garan tie , 1 " 52.

I Étude de M* PETIT, notaire k Senil».

A vendre ou à Zouer meublée, H « l- ■OB 8 oar|;eofM ^. k Tmeuil, pré* Chantilly, avec vaste parc bien planté, en la rue des Sœur* ou de Saint-Leu.— S’adresser k M‘ Petit, notrire.

MÔKa ît7?îî&3S

A vendre ou à lo u er fc«uravec coTnmutis et Jar-lin, j

enHi , routi de. Crciî, n* 4. — S adrts Iser k M* PETIT, r;o'aire.

_ ____ EAgVj OO-OL «US, a tfUi.I enfant 10 ans. mar^urdimer, femme au courant mênag- «t’IHRse-cour. demande emploi. —• Référence» sérieuses.

I S’adresser k M. BOÜLAND, kTraev- [ le-Mont. ' 7o9

I — M“* veuve SÉBILLOT, carros­sier, place de l'Eglieo, k C ^ l , demande de suite a n b on charron* 800

_ 'On demande c c U b a la ir c , *jn moins 25 ans, sachant service de valft de chambre et soigner un cheval.

S’*\dr. au Bureau du Journal. 807

u m c s , e L t « l u o M * - . . - . . . MInitntedve*, des soBusement* itoujoars -nouveonz, des noHons de tous èai-pitite . trafoux que le* femmeu «doiveaÿ eon- uMtre* et auxquels, grâce k aosm odèb* et k nos iHitrons, les fiUette* oTaittat presque sons s’en o te r .

Chague livraison renferma en otrtrs :

GsrtottBtgM coloriés FigaâsM k décmqte — Décors do tltéltro «•

Patrons pour pecq^ Sorprisos do toute sorte KuUlio

E n voyer u#i mandsA de poste à f ordre du Durecteur,

nvo! gratu it d 'n n 7?niaé;a spéolM O ,

C O M P A G M E

d ’A s s u r a n c d s G é n é ra le sS U R U A . V I E

Brureprise privée assujettie au contrôle de fS ta t .PARIS. — 87 , rae d e R icheliea , 87. — PARIS

FoHDis *n 1319 ,| ,g J. I . . inoleiixie de* C®®P*8 *U** giinCelre* d» CoBtlnent EornpÉ*!.

Fonds db cabantib : 8 1 5 MIl.MOXS •n t itm n e n t rôellsô e t d ip a S su it d* p lu s d» » » «

celu i de tou t* eutre C om pegni» frsü>«*ls«.

A SSUBASG ESSUBUV IB’Yis entUre. — M izM .

A terme fixe. — D etslei. Ceptiaux diEérôs. etc.

CapitauM assurée d^tuis to rig in e de la Com pagnie:

Fr. 2 m U a rd * 6 6 0 X O lieos.

B i m S Y I & 6 P I 8

Rentes payée* annuellement ^ là iJonp** d ’Assurastoes Géssésnlts -r

sur la V ie :Pr A2 muions de R entes, plus dn double de a p p o r te quelle oetio Compagnie françai*».

P our to u s rensaignem ente, s’adresser 4-■ •* A* m ___ J - r>m.

■ t e t e B m '

Etude do M* QUENTIER, notaire àChambly (Oise).

A vendre ou à louer une propr»é«é *ppelée le M oulin tievf. située k Cham- blv (Oise), sur la route nationale de Paris k dalï»is. — S’adresser à M’Quvn- j tier, notmre. . I

Etude de M* DESABIE, notaire & Crril.}A vendre k l’amiable, d e u x 1

t o n 9« situées k Creil, l’une m e du- Faubourg ôe Paris, n® 40, et 1 autre i rue du Temple, n* 13. S ’adresser k j '■ Desahie. notaire i Creü. i

Étude do M* BEAUCHAMFS, notrire k Pont-Sainte-Maxence.

A Zoo*** k ramiobïr, * 0 M é co q dm T'-f-r®. Pu é V* «ise* «•* »t^nntpftîct, Mom-Ponîpcin* et... JVadr-'C*er k M* Bes-ucbosr;à Pont-Salntft-Maxenc

iv a mAvra-Tons DES G ^ Y SO Z O t iB t AYEZ-TODS DES P E L U G D U S t ■TDS CHËYEUZ SOBT-OS FAIBLES, ^

TO U BEnT-nSIa r »UM,

Sm uloree le ROTAZ. WSIDSOR. tpd.-ttRA ff’w-»- Cheveux gris la eonleur e t lu toatriê

VKîZW n tureli*» de tu jeunesse. I l arrOto'l» <6 * ^ <!*■ 2SK v5x'éti6dt disparaître les Pellicnlee. n est le SEUI* RègènèrOtsar Sm Chevaux Résultats inespérés. Vente toujours en p isssa ta ^Exiger sur les flacons 1«* mets à*j«l Wisiitr. Se trouve chez les CMffeurs-Porfti- menrs en flacons et demi-fiaeon*.

ENTR^OT : » S , i ^ e d 'E n g î i l e i i , r * A R l ^I E«vni franco surdemande du Préipectuf contffliaiit détailt ot aUMtetUBS

D 4 ô t c à e S E N U S J U , C . A L B O Ü Y ,

Succoaseur d e M . "YVOREL.

n è e t e dm

CoBstfnctioi de Yoitares et de Boires tontes ferrées. Cbarronnage en t«»us genres.

A v e n d r e ég » le itten t ,

B R E A Kquatre places,

[■pour âne, avec mccahiqüe : fr.

S'adresser à. M . DEÇA UVILZeE, L am orldye (Oise). 774

i M f t K K â T I T X ^ X

I A vendre par .idjutîicalion volontaire.I H ta ison a v e c g r a n d CIos> sise à Senlis. lieudit U S uté. U mardx 9 oc­tobre 1906, à deox heure?, k Senlis, en

[l’Etude de M* Petit, notaire.

Etudes de Mc’ P e t i t et JD elan n ay, notaires à Senlis.

I A Vendre par adjudication volontaire,t h e c ta r e s 3 6 a r e s 4 i c e n tia r e * d e b o ls , au terroir d Augcr-Saint-Vin- cent, le Dimanche 23 Septembre 190S, k

I deux heures précises, k Auger-Saint- I Vincent en la maison d’Ecole.

« R a i» P W WWntmilo teb r® d ’é ir t r é » : f o * # s 6 a "^3 ^ 6 * t e n r g e É ? e *

BON FONDSDS

O ï i A l t C U T É R - I E

A 1 I T B Ï 5 r i 3 ï = r KA MONTATÀÎRB

feisant 3 ports la sêmmnè, sàhs tournée, • Très P r e s s é :

^ S’a ^ . au Bureau du Jonmâh' 678

Etudes de M ” P e t i t et S e la n n a y ,notaires k SenUs.

A Vendre par adjudication volontaire, tr o is iia iso iM ,- sises à Senlis, rue de la Corne-de-Cerf, n*3, et rue dé* Côr- deliers, n* 5, le Mardi 2^ Septembre

: 1906, k deux heures,-k Senlis, en l’étude ' de.M* Petit, notaire. ' ^ -

Étude de M* Edmond RICHARD, notaire k Pont-Soiate-Maxencs.

H atsoB avec Jardin et » P lè e o s ] d e ’i'e r r e r t B o ls , sis commune et» terroir de Roberval, à vendre k 1’ roi?ble. — S’adresser k M* Richard, notaire. |

Étude de M* ROBERT, notîdre à Baron

A vendre k l’amiable, a M o I s o m , situées k Lévignen (Oise). 6 k. d ^ e t z , 29 k. de SenHs, 4 k. de la g ire de Crépy, 2 k. de la gare de Boissy-Lévignen. - - S’adresser k M* J. Robert, notaire k Baron.

XiMB ÈTUDRA vendre 4 l’«m»bl«, z z b * —

liM 4 B»ron, tS'pôm èur 4 K- EOBKRT. *o1»lr. * Bâyô».

"TF

BfÊMBS ÉTUDES

I A Vcndrjiparadiu'ü-’atiott-volontaire, M a iso n d e C o m m erce k Pla'illy. en la G ranV R oe, et 3 3 a r c s 6 4 ee n l ia r é s d e P r e , au t-rroir de Neuf-

[ moulitti commune . de P ailly, le Di- ’ manche 30 Septembre .1906, k deux heures, k PJailly, en la Maison d’Ecole.

m .5, rue de Parà^ à CREPV^-VALOIS.

Usine : Arenne dé p a r î f ïprès de la G ar^. _ .Téléphone : N ’ 4 3 ^

m ê m k é t u d e

.A eMxIre 4 l’znuabl., n » * de rapport, sitiiée 4 Plailly (Oiaé), près•la gare de Surrilliers. '

m ftilS ÉTQDB

A vendre 4 l’amiable, nziei — -- .. sise 4 Montlognon, et diverses Ptéees . de Terre, Pré et Bois, sises t ^ i n de Baron ot Montlognon. — Saare»«® 4 M- Robert, notaire 4 Baron.

on tronve totyonn des R o a e a lentes feiterantmesares l^plnstiamfflaj' ainsi qne des V o i lu r e » et T o m b e p e » n * d e F e n ^ a .

B p » » u e t t e « depuis 14 II. la p iè^ ^ C a r b o n y l é u a t poar'la coDseY’*3'’-oti <î« ^

1 . - • ■ mis à l’baiBidité. “U . ■; Toureage et remise i nanf dst vient ^ e n i

“/a HieiWear saaicîié qtte des nônts ; rotilsg» ITaraüdage et fourmiure de Chapeaux djEssieux.

f a W aj^ B se è h a 'g e d e traB S fon B ef e n g ra issa g e iasS aatahHr.,- .- . tpRtissién de voitnrfi, chariot, tomb«ea(tt, etc.

î- jjixi .C*3

_ -t. • '.i- ■ V*' r-b ..-r-rfl............................. •iireae4a vilte (Je Senlis, panf'lë^sation de la âgn?t“ f® ^ l.l’ajtqsle .•■tt ; - '' U - ^

SBre|i;tré i SenlisI taprim erie Adnniûstrati^ e L G o n ^ ^ a te de

‘A ■

Iè"-