Créative Suite 3…

QuickTime VR

T R I M E S T R I E L D ’ I N F O R M AT I O N S D E S F O R M AT I O N S P O U R L’ I N D U S T R I E G R A P H I Q U E

C E P E G R A

L I N F O’13

QuickTime VR

Créative Suite 3…

C E P E G R A

T R I M E S T R I E L D ’ I N F O R M AT I O N S D E S F O R M AT I O N S P O U R L’ I N D U S T R I E G R A P H I Q U E

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20 et 21>09

Forum TechnologiqueAgfa France

Agfa et ses partenaires, Adobe,Dynagram, Esko, Gamsys, Graphisoft,créent l’événement de la rentrée :Réunir dans un même lieu les acteursdu monde des Arts graphiques et dela Communication, et l’ensembledes professionnels du marché,pour offrir à chacun la possibilitéd’échanger dans une ambiancestudieuse et conviviale.

Un forum technologique pour :• Partager l’expérience de vosconfrères belges, français et suisses.• Découvrir les nouvelles orienta-tions et les principales tendancesavant la Drupa 2008.• Mettre en avant les intégrations etsynergies disponibles sur le marchépar Agfa et l’ensemble des parte-naires du forum.

Lieu: Espace Étoile Saint-Honoré21-25, rue de Balzac - 75008 Paris.

Pour de plus amples informations,surfez sur www.agfa.fr

03>07/10

Salon de la photo

Le Salon de la Photo 2007 se veutle lieu et le moment privilégiés oùtous ceux qui aiment l’image à leurmanière pourront échanger leursexpériences avec les marques pré-sentes sur les stands, avec lesartistes et les photographes pro-fessionnels ou lors des conférenceset animations.

Le salon se déroulera dans le hall 4du parc des expositions de la Portede Versailles à Paris Expo.

Pour toute information complé-mentaire surfez sur :www.lesalondelaphoto.com

11/10

Visites virtuellesIllusion ou opportunité?

Le jeudi 11 octobre 2007, MickaëlTherer fera le point sur la théorie,les technologies disponibles enmatière logicielle et de techniquesde prise de vues ainsi que lesapplications possibles lors d’uneconférence - atelier consacrée à laréalité virtuelle en photographie(lire article en page 4 de ce numéro).

Lieu : Cepegra - Avenue GeorgesLemaître, 22 - 6041 Gosselies.

Pour de plus amples informationsou si vous désirez vous inscrire,n’hésitez pas à contacter NadiaHabbi au 071250341 ou écrivez ànadia.habbi@cepegra.be

14>21/11

Mondial des Métiers

C’est reparti ! Pour la troisièmefois, le Cepegra enverra un candi-dat au Mondial des Métiers encatégorie « Technologie des Artsgraphiques ». C’est Émilie Pireauxqui reprendra le flambeau etreprésentera la Belgique au Japondès le 7 novembre. La tâche seraardue puisqu’il lui faudra essayerde faire aussi bien que ses prédé-cesseurs, Jordan Poulain, médailléd’or en Imprimerie et FlorenceLabar, revenue avec un diplômed’excellence en infographie.

Dans cette discipline, c’est en toutune vingtaine de candidats venusd’autant de pays qui s’affronte-ront pour ramener une médaille.

Pour en savoir davantage surfez surwww.worldskills.org et égalementsur www.formation-cepegra.be.

F O R U M S A L O N

À faxer ou renvoyer au centreFOREM Formation Cepegra - Avenue Georges Lemaître 22 - 6041 Gosselies - Fax : 071250399

Nom: Mme/M. : Prénom:

Fonction : Entreprise :

� Adresseprivée :

� Adresse professionnelle/Société :

Code postal : Localité :

Téléphone :

� J’ai changé d’adresse, voici ma nouvelle adresse :

� Je souhaite recevoir le catalogue des formations dispensées dans le centre de FOREM Formation Cepegra.

� Je souhaite m’abonner au trimestriel l’Info � Je souhaite me désabonner

C O N F E R E N C E C O N C O U R S

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33

sommaire

Trimestriel gratuit, imprimé à 8000 exemplaires - 3e trimestre 2007

Rédaction : CepegraAvenue Georges Lemaître, 226041 GosseliesTél. : 071/250321 - Fax : 071/250399

Conception : Murielle Chauvaux - Nathalie Gautier

PAO et impression : Cepegra

Ont collaboré à la rédaction Patrick Bamps - Murielle Chauvauxde ce numéro: Christophe Gossiaux - Thierry Herman

Laurent Mottet - Mickaël ThererMichèle Vos.

Éditeur responsable : Jean-Pierre MéanBoulevard Tirou, 1046000 Charleroi

Imprimé sur papier 100 % recyclé.

9

2

5

agenda

4 actualité

dossier

7 dossier

planning

dossier12

dossier14

dossier15

ÉditoÉditoChers lecteurs,

L’Info me permet aujourd’huide me présenter à vous tousen quelques mots.

C’est pour permettre à MonsieurThierry Herman de reprendre safonction de formateur à tempsplein que j’ai été engagée entant que Responsable de Centre.

Licenciée en gestion de l’entreprise, j’ai réalisé mes études en coursà horaire décalé aux FUCAM à Mons, ce qui me permet aujourd’huide bénéficier parallèlement d’une expérience de plus de dix ansdans le secteur graphique.

En effet, j’ai travaillé au sein d’une imprimerie familiale en occupantdifférents postes tels que la gestion du planning durant ces dernièresannées. Cette expérience fût très enrichissante.

De plus, mon attrait pour le monde de la formation ayant toujoursexisté, je suis ravie de faire partie à ce jour de l’équipe du Cepegra.

En bref, ma fonction sera principalement d’être responsable péda-gogique comme l’était Thierry, c’est-à-dire responsable de l’équipedes formateurs. Mon rôle sera de les accompagner au mieux pourqu’ils puissent continuer à fournir les meilleures formationscomme ils le font déjà.

Sincèrement vôtre,Sylviane Dubreucq.

Visitesvirtuelles

InDesign

Illustrator

Flash

Fireworks

Dreamweaver

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En 1997 Apple perfectionnait le système enrendant l’immersion totale avec l’apparitiondu format QTVR sphérique permettant unevisualisation à 360° x 180° soit une sphèrecomplète.

Si le format de visualisation était au point, laréalisation d’images et l’assemblage res-taient difficiles et réservés à des technicienschevronnés. Suite à de sérieux revers finan-ciers Apple n’allait plus poursuivre le déve-loppement du QTVR, mais le format était néet une poignée de passionnés, tant dévelop-peurs que créateurs, allaient prendre le relaiset continuer de tracer la route de la réalitévirtuelle en photographie pour lui donner seslettres de noblesse.

Dix ans plus tard, le format n’est plus tout àfait anecdotique. L’explosion de la photogra-phie numérique, de l’Internet et de la péné-tration de l’ADSL combiné à une offrelogicielle toujours plus large font que de plusen plus d’internautes sont plongés dans desimages immersives aux sujets toujours plusvariés. S’il manquait un grand public au VRce n’est plus aujourd’hui le cas. Fin 2006 onestimait à 5 millions par jour le nombred’utilisateurs de visites virtuelles panora-miques sur Internet.

Les applications sont toujours plus nom-breuses et si le gros du contenu reste les visitesimmobilières, de plus en plus d’organisationsse tournent vers le QTVR et ses dérivés pour semontrer ou développer des applications pré-cises. Ainsi l’Armée belge a récemment faitréaliser une visite virtuelle complète d’un deses démineurs à des fins pédagogiques pourson personnel navigant, un grand opérateurgazier en a fait de même pour ses installationsportuaires à des fins d’intervention d’urgence.L’administration du patrimoine en France

réalise en ce moment un relevé complet de seséglises et cathédrales remarquables à des finsd’archivage historique, et même MSF a choiside présenter à la presse ses opérations d’inter-ventions humanitaires sur le terrain au moyendu QTVR.

Ce qui était il y a 10 ans une aventure tech-nologique se transforme rapidement enmédia à part entière grâce à une offre enconstante évolution, et même si l’investisse-ment reste important dans un budget de réa-lisation, l’impact positif d’une visite virtuellesur l’internaute demeure constant et est ungage de différentiation souvent décisif.

Nous ferons le point sur la théorie, les tech-nologies disponibles en matière logicielle etde techniques de prise de vues ainsi que lesapplications possibles lors d’une conférence-atelier consacrée à la réalité virtuelle en pho-tographie le 11 octobre 2007 à l’attentiontant des prestataires que des prescripteurs.

Pour de plus amples informations ou si vousdésirez vous inscrire, n’hésitez pas à contac-ter Nadia Habbi au 071250341 ou écrivez ànadia.habbi@cepegra.be

Visites virtuelles,illusion ou réelle opportunité?

Il y a douze ans déjà qu’Apple inventait un nouveau format de fichierimage appelé QTVR (QuickTime Virtual Reality), celui-ci permettait de

rendre une scène photographiée à 360° sous forme d’un cylindrevirtuel au centre duquel était placé le spectateur : la visite virtuelleinteractive sur écran était née, de nombreux jeux utilisant cettetechnologie sur CD-Rom allaient voir le jour cette année-là.

Mickaël Therer photographe, pratique la

photographie virtuelle depuis 1997 et a

réalisé de nombreuses visites virtuelles

tant pour des clients industriels ou immo-

biliers qu’humanitaires et de presse (The

Guardian, Libération). Au nombre de ses

réalisations personnelles on compte

http://ww2panorama.org une archive des

sites de la seconde guerre mondiale, et les

carnets de voyage panoramiques pour MSF

http ://vaincrelamalaria.info

et http ://lespasdusida.info.

Il maintient un VR-log sur

http://www.360days.com.

Mickaël Therer

INFO31:INFO31 7/09/07 14:06 Page 4

5

nom: prénom:

n° registre national :

coordonnées personnellesrue : n° :code postal : localité :

Tél. : fax :

GSM:

e-mail :

fonction actuelle :

coordonnées professionnelles obligatoires (confidentiel)

nom de la société :

activité principale de la société :

commission paritaire : � 130 � 218 � autres, à spécifier ………

rue : n° :code postal : localité :

Tél. : fax :

Renvoyez-nousou faxez-nousau 071250399

planningformations

*Formations planifiées pour le Cefora,accessibles prioritairement aux travailleursde la commission paritaire 218en contactant le 02736 76 47.www.cefora.be/formationsemployes

� salarié� indépendant� enseignant

� formation à titre professionnelTarif : 100 euros/jourTarif : 120 euros/jour� avec chèque formation� sans chèque formation

� formation à titre personnel(uniquement le samedi ou en soirée)

Commission paritaire (voir fiche de paie) : � 130 (gratuit)� 218 (gratuit si vous vous inscrivez via

le Cefora et uniquement pour les coursmarqués d’un astérisque)

� autres, à spécifier ………

Une mise à jour du planning est accessible sur notre site : www.formation-cepegra.be

à partir de �

septembre2007de 8h00 à 16h30

� Création de logos* 24-25-26/09� Charte graphique - Création* 15-16-17/10� Mise en page magazine 10-11-12/10� Mise en page magazine 03-04-05/12� XPress - Niveau 1* 08-09-10-11-12/10� XPress - Niveau 1 21-22-23-26-27/11� InDesign* 17-18-19-24-25/09� InDesign 08-09-10-11-12/10� InDesign* 05-06-07-08-09/11� InDesign - Niveau 2 10-11-12-13-14/12� Mise à jour InDesign CS3 22/10� Mise à jour InDesign CS3 26/11� Mise à jour InDesign CS3 12/12� Illustrator* 10-11-12-18-19/10� Illustrator* 21-22-23-28-29/11� Illustrator - Niveau 1 28-29/11 - 03-04-05/12� Illustrator - Niveau 2 01-02-03-04-08/10� Mise à jour Illustrator CS3 17/10� Mise à jour Illustrator CS3 04/12� Mise à jour Illustrator CS3 14/12� Exercices intégrés 15-16-17-24-25/10� Adobe Photoshop Lightroom 14/11� Photoshop* 03-04-05-08-09/10� Photoshop* 05-06-07-10-11/12� Photoshop - Niveau 1 19-20-24-25-26/09� Photoshop - Niveau 1 15-16-17-22-23/10� Photoshop - Niveau 1 06-07-10-11-12/12� Perfectionnement au traitement d’images 17-18-19/09� Photoshop - Niveau 2 01-02-03-04-05/10� Photoshop - Niveau 2 24-25-29-30-31/10� Photoshop - Niveau 2 13-14-17-18-19/12� Mise à jour Photoshop CS3 18/10� Mise à jour Photoshop CS3 09/11� Mise à jour Photoshop CS3 04/12� Théorie des couleurs* 02 (toute la journée) - 04 (matin) /10

INFO31:INFO31 7/09/07 14:07 Page 5

6

Une mise à jour du planning est accessible sur notre site : www.formation-cepegra.be

� Photo numérique pour photographes 15-16-17/10� Photo numérique pour débutants 22-23-24/10� Color management pour photographes 03-04-05/12� HTML 10-11-12/10� HTML 27-28-29/11� Mise en page et ergonomie 21-22-23-26/11� Base de données 03-04-05/10� Dreamweaver 17-18-20-24-25/09� Dreamweaver* 15-16-18-22-23/10� Dreamweaver* 05-06-08-13-14/11� Dreamweaver 03-04-05-06-07/12� Dreamweaver atelier 02-03-04-05-08-09/10� Dreamweaver atelier 12-13-14-17-18-19/12� Dreamweaver PHP - Niveau 1* 08-09-10-11-12/10� Dreamweaver PHP - Niveau 2 29-30-31/10 - 07-09/11� Dreamweaver et CSS* 01-02/10� Réaliser une newsletter* 10-11-13/12� Flash 10-11-12-15-16/10� Flash* 21-22-23-26-27/11 � Flash atelier 30-31/10 - 05-06-07/11� Flash animation 22-23-24/10� ActionScript - Niveau 1 24-25-26-29/10� ActionScript - Niveau 2 08-09-12-13-14/11� ActionScript - Niveau 1* 10-11-12-13-14/12� Fireworks 26/09 - 01/10� Fireworks 10-11/12� Première 16-18-23-24-25/10� After Effects - Niveau 1 02-04-09-10-11/10� After Effects - Niveau 2 04-06-11-12-13/12� Maya - Initiation 29-30-31/10 - 05-06/11� Maya pour l’imprimé 05-07-10/12� PDF et PitStop 22-23-24/10� PDF et PitStop 05-06-07/11� PDF et PitStop* 03-04-05/12� Initiation Mac OSX 24-25/09� Processus de production graphique* 09-10/10� Imposition avec preps 24-25-26/09 - 01-02/10� Procédés d’impression* 19/09 (matin)� Le papier* 26/09� Les encres* 03/10� La finition* 24/10� Le contrôle de qualité* 07/11

� Économie 22/10 - 29/10 - 12/11� Marketing 18/10 - 19/10 - 26/11� Gestion de conflit 03/12 - 10/12 - 17/12� Communication 19/11 - 13/12 - 14/12 et 10/01/08

� Dreamweaver* 17-18-19-25-26/10� InDesign* 17-18-19-25-26/10� Flash* 22-23-24-29-30/10� Photoshop* 12-13-14-19-20/11

� Création de logo 17-24/11 - 01/12� InDesign - Niveau 1 15-22-29/09 - 06-13/10� InDesign - Niveau 2 17-24/11 - 01-08-15/12� Photoshop - Niveau 1 15-22-29/09 - 06-13/10� Illustrator - Niveau 1 17-24/11 - 01-08-15/12� Photoshop - Niveau 2 17-24/11 - 01-08-15/12� HTML 13-20-27/10� Dreamweaver 17-24/11 - 01-08/12� Dreamweaver - PHP 10-17/11 - 01-08/12� Dreamweaver et CSS 20-27/10 - 10/11� Flash 15-22-29/09 - 06/10� Flash animation 06-13-20/10� ActionScript 3 - mise à jour 29/09 - 06-13/10� ActionScript - Niveau 1 17-24/11 -01-08/12� Final Cut 22-29/09 - 06-13-20/10� PDF et PitStop 13-20-27/10

� Illustrator - Niveau 1 06-08-13-20-22-27-29/11 - 04-06-11/12� Photoshop - Niveau 2 06-08-13-20-22-27-29/11 - 04-06-11/12� Flash 02-04-09-11-16-18-23-25/10 - 06-08/11� Dreamweaver 13-20-22-27-29/11 - 04-06-11/12

� Introduction à la typographie 15/09 et 06/10 de 08h00 à 12h00 - 27/10 toute la journée� Typographie sur QuarkXpress 02/10 au 31/10 : 8 heures de formation réparties librement� Typographie sur InDesign 02/10 au 31/10 : 8 heures de formation réparties librement

le samedi �

en soirée �

de 9h00 à 17h00

Formation �à Liègede 9h00 à 17h00

gestion �Dans le cadre de notre formationen gestion de projet dans le secteurgraphique de 8h30 à 16h30

de 17h00 à 21h00

Formation �à distance

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Tout est installé sur mon Mac Pro refait pourl’occasion et boosté à cinq GB de mémoirepour prévoir la gourmandise somme toutelogique de cette nouvelle CS. Et je démarredonc InDesign.

Oh ! Stupeur : c’est quoi cette nouvelle inter-face? Elle ressemble étrangement à celle ren-contrée dans la version bêta de Photoshop !Mais bien sûr, il fallait s’y attendre. Adobe apris le parti d’uniformiser tous ces logiciels etun tour rapide en Illustrator et Photoshopconfirme cette impression. On généralise lesmenus sous forme de tiroirs créés dont jesuis un adepte depuis leur apparition dansInDesign, avec pas mal de modifications.

Tout est à la carte !

Les tiroirs ne sont plus placés sous formed’onglet mais sous forme d’icône suivie del’intitulé. Un clic ouvre le tiroir désiré mais lefait d’ouvrir un autre tiroir ferme le premier.Tiens ? Ne pourrais-je donc plus disposer demon nuancier en même temps que mescalques. Si, mais à condition de développercomplètement le panneau des palettescréant de la sorte une zone de réserve surlaquelle le document ne viendra pasempiéter. Ce panneau, placé à droite pardéfaut, peut se répéter à gauche et mêmeinclure la palette d’outils.

La barre de contrôle a aussi subi un sérieuxlifting. Adobe m’offre la possibilité de la con-struire moi-même via l’option de palette«personnaliser». Je vais donc pouvoir faireapparaître les actions que je jugerai les plusimportantes. J’irai rechercher les autres dansles menus. J’apprécie au passage la possibilitéde contrôler en même temps les attributs decaractère et paragraphe.

Une barre de commande fait son apparitiondans l’application (fenêtres > Objets et miseen page) : elle me permet d’accéder sans rac-courci clavier à des fonctions aussi diversesque l’incrémentation du texte, l’impression,l’appel de la palette d’habillage ou la vérifi-cation orthographique.

Enfin, différents espaces de travail sont pro-posés par défaut, dont un dédié à la finalisa-tion de mon document. Affichage des palettesad hoc, surlignement des éléments de menuconcernés… Que demande le peuple !!! Celam’excite beaucoup jusqu’à ce que je merende compte que certains espaces réduisentles menus. Pour en avoir la totalité, je doisdemander d’afficher tous les éléments dumenu. Et lorsque je m’y applique sur monportable G4 17 pouces, la carte graphiquem’envoie balader. Ouais, pas au point, on varevenir à un mode plus classique.

J’oublie vite ce point quand je découvre queles scripts sont enfin intégrés par défaut dansl’application. Fini donc pour moi de parler detrucs géniaux que mes stagiaires ne pou-vaient qu’admirer sur ma machine. Et peut-être le début d’une utilisation plus intensive…

Graphiste VS imprimeur

En faisant mes recherches pour écrire cetarticle, je découvre qu’Adobe annonce uneamélioration de la créativité. Waoooo,InDesign va faire de moi le créatif de la mortqui tue ! Non, il met simplement à ma dispo-sition de nouveaux outils qui me permettrontde focaliser mon travail sur InDesign audétriment de préparations effectuées enPhotoshop. Il est maintenant possible d’ap-

Tout nouveau produit est toujours attendu avec impatience. Mais la suite CS3 l’était encore pluspar les possesseurs de Mac équipés avec Intel et pour cause. On leur avait promis que celle-cise marierait à merveille avec le nouveau système et que la puissance donnée par le successeurd’IBM serait fabuleuse. Si la version bêta de Photoshop avait déjà pu donner un avant-goût,j’étais quand même très curieux de voir ce que donnerait mon logiciel fétiche.Mais la véritable surprise ne se trouvait pas là où je le pensais !

InDesign CS3 :entre harmonie et productivité

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pliquer un dégradé transparent à une imagedans le logiciel de mise en page sans utiliserd’artifice laborieux. Et quelques effetspropres à Photoshop ont élu domicile enInDesign : biseautage, lueur externe etautres effets de ce type enrichissent lapalette des transparences. De même, je peuxmaintenant appliquer plusieurs effets detransparence à un objet, la palette compor-tant un menu déroulant fixant la trans-parence donnée sur le fond, l’objet ou lecontour ! C’est à coup sûr un truc pour vrai-ment énerver certains imprimeurs quireprochent déjà depuis si longtemps àInDesign ce goût pour les choses technique-ment compliquées…

J’en profite pour faire un petit test et con-state que certains bugs liés aux ombresportées sont toujours présents. Un autre testportant sur la gestion des Pantones avec destransparences me force à constater que rienn’a changé à ce niveau-là non plus. La pru-dence sera donc toujours ma meilleure alliéequand j’utilise ces options tellement attrac-tives.

Enfin, Adobe a sérieusement amélioré lesoptions d’habillage d’objet, autorisant parexemple le texte à se placer à droite mais pasà gauche d’un objet. Il fallait y penser ! Enfin,la palette de glyphe se voit attribuer unespace réservé aux glyphes utilisés récem-ment. Cool !

À la recherche du temps perdu

Cette nouvelle mouture de l’application vame permettre de gagner un temps précieuxdans mon travail de tous les jours. Et celapour un petit document ou sur un cataloguede 254 pages. D’abord parce que je vais visu-aliser le contenu de mes pages dans mapalette page ; la vignette de page peut main-tenant se présenter comme une image ducontenu : génial ! Ensuite parce que je vaispouvoir importer directement d’autres docu-ments InDesign et non plus me rabattre surdes copier-coller. Je suis quand même surprisde voir que lors de ce type d’import, mapalette « Liens » affiche les liens du documentimporté. La modification du contenu de l’im-port se fera presque comme pour un fichierIllustrator ou Photoshop : en effet, je ne peuxutiliser que le raccourci clavier (double clicavec la touche ALT enfoncée). Par contre, uneoption me permet de copier les graphiquesliés dans un autre dossier.

Et puisque je vous parle d’import, ouvrezgrand vos oreilles : InDesign m’autorise àimporter mes images à la volée. Je sélec-tionne plusieurs images dans un dossier lorsde l’import et je les place une à une dans desblocs créés au fur et à mesure ou tracés aupréalable. Les flèches de mon clavier me per-mettent de choisir l’image que je vaisdéposer. Puisque, je ne vous l’avais pasencore dit, chaque import est prévisualisépar le curseur – que ce soit du texte ou del’image.

Pour que le bonheur soit complet, lesdéveloppeurs californiens ont ajouté uneoption d’ajustement personnalisé des imagesà un tableau déjà super complet.

Jusqu’ici nous avons fait la part belle àl’image. Occupons-nous un peu du texte. Avecd’abord une attention pour une de mes fonc-tions préférées : la recherche. Et là, je m’é-vanouis de bonheur…

Cette fonction – déjà si performante – a ététotalement repensée. Et je suis, tel un enfantdans un magasin de jouets, à ne plus savoiroù donner de la tête ! Est-ce que je vous parled’abord de la possibilité de pouvoir faire unerecherche sur un type d’objet (je cherche lesobjets avec un filet noir de trois points et lesremplace par un fond rouge sans contour…)ou de la recherche de glyphe intégrée? Je suistenté de mettre l’accent sur un point certesplus complexe mais combien intéressant : la

recherche suivant des expressions GREP (enfrançais : analyseur syntaxique général d’ex-pression régulière). Ce type de recherchepermet de travailler sur un ensemble plutôtque sur un caractère. Par exemple, je peuxdemander de rechercher – en une seule fois –les retours de paragraphes consécutifs et lesremplacer par un simple retour, ou d’uni-formiser la présentation de numéro de télé-phone dans un document. Les recherches queje fais sont appelées «Requêtes » et peuventêtre mémorisées et même partagées avecd’autres utilisateurs. Gageons qu’il sera trèsvite possible d’enrichir sa bibliothèque deGREP via des forums… Car il faut bien admet-tre que ce type de recherche ne se maîtriserapas en un coup de cuillère à pot.

J’expliquais un jour à quelqu’un qu’aupara-vant, on se faisait porter pâle quand il fallaitfaire un document avec beaucoup detableaux et que depuis l’arrivée d’InDesign,on immobilisait son voisin pour être sûr que cedernier n’ait pas l’occasion de faire ce job. Onrisque d’en arriver au meurtre maintenant quele logiciel intègre des feuilles de style pour letableau et les cellules. Avec bien entendu, uneinteraction avec les styles de paragraphe.

Il me reste encore à découvrir les améliora-tions apportées au flux XML mais je sais queje rentre ici dans un cercle un peu confiden-tiel et que le commun des utilisateurs seréjouira déjà bien de cette version 5 telle-ment en avance par rapport à son concurrent.

Patrick Bamps

Gains de productivité. Soyez plus efficace grâce à des outils de productivité inédits et optimisés : importationsimultanée de plusieurs fichiers, application rapide de styles, ajustement plus rapide des blocs et explorationaisée des pages avec le panneau Pages (voir démo sur www.adobe.com/fr/products/indesign/features/).

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La firme américaine nous y a habitués depuislongtemps: pas de nouvelle incarnation d'unde ses programmes phares sans modificationde l'interface. Malheureusement, ces change-ments successifs prennent des directionsparfois opposées. Un jour l'accent est mis surl'ergonomie interne d'une application (lespalettes à tiroir d'InDesign CS2, par exemple),le suivant, c'est l'uniformisation de l'ensem-ble de la gamme qui est mise en avant. Cettefois, c'est cette dernière option qui sembleavoir reçu la priorité.

Un air de famille

Dans l'ensemble de la tribu CS3 ou presque(le temps semble avoir manqué pour rhabillerDreamweaver), les palettes cèdent leur placeaux panneaux. Derrière ce changement d'ap-pellation, c'est toute la logique de l'occupa-tion de l'écran qui est remise au goût du jour.Un nouveau panneau de contrôle trône àprésent sous la barre des menus et regroupeune panoplie d'options qui s'adaptentautomatiquement à l'élément sélectionné.Lorsque la place manque, les outils nondisponibles sont remplacés par des liens versleurs panneaux respectifs. Avantage dusystème: un accès direct à de nombreuxparamètres (position, taille, opacité, maisaussi alignement, sélection d'objets simi-

laires, etc.) et un gain de temps, une fois lechangement d'habitude digéré. Cela évitesans doute d’encombrer l'écran avec unemultitude de panneaux nécessaires pour desmanipulations courantes.

Dans le même esprit, les panneaux classiquesse retrouvent groupés en une sorte de barred'outils d'où on peut aisément les appeler,soit individuellement, soit tous ensemble. Onretrouve donc un mode de fonctionnementsimilaire à celui d'InDesign ou de Photoshop.

Toujours au niveau de l'interface, la mise enévidence d'un groupe d'objets a été repensée.

Apparue dans la version CS2, elle fonctionneà présent comme dans Flash. Un double-clicsur un groupe (avec la flèche noire) isole cegroupe en atténuant le reste de l'illustration.Une barre grise apparaît alors en haut de lafenêtre du document et visualise le « chemind'accès » au groupe mis en évidence. Iciencore, on retrouve une logique proche decelle de Flash. Double-cliquer en dehors dugroupe nous ramène à l'affichage normal.

Adobe a également essayé de rendre lamanipulation des tracés moins fastidieuse.Sélectionner un point d'ancrage n'était eneffet pas toujours simple, surtout sur unécran de dimension modeste mais doté d'unerésolution importante (c'est le cas sur denombreux portables). Avec CS3, les points etles poignées de contrôle des courbes deBéziers sont plus faciles à «attraper » et iln'est plus nécessaire de désélectionner unobjet pour accéder à un point particulier avecla flèche blanche. De plus, ces nouvelles pos-sibilités se voient attribuer leur proprepanneau de réglages dans les préférences dulogiciel.

L'accès aux bibliothèques se trouve égale-ment simplifié. Chaque palette concernéedispose dorénavant d'un raccourci via sonmenu local. Ouvrir un nuancier Pantone seradonc encore plus rapide qu'avant.

Alors que ses collègues Photoshop et InDesign font la une dès que de nouvelles versions atteignentles rayons des revendeurs, les évolutions successives d’Illustrator n'éveillent en général qu'un intérêtpoli. Depuis l'apparition de la gestion des transparences, le logiciel d’Adobe n'a en effet guère étémis en vedette. Cette relative discrétion est-elle à mettre sur le compte d'une absence de nouveautésfracassantes ? Sans doute. Mais on peut aussi y voir la marque d'un produit qui répond déjà si bienaux attentes de ses utilisateurs que ceux-ci ne voient pas ce qui pourrait encore venir le rendreplus performant. La version CS3 leur donnera-t-elle tort ?

Illustrator CS3 :Flashyet haut en couleur

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Une autre amélioration bienvenue prendplace dans la palette d'alignement.Cette dernière permet enfin de travaillersur les points d'ancrages et non plusseulement sur les objets, le contenu dupanneau s'adaptant de lui-même enfonction de ce qui est sélectionné.

L'ouverture des documents a aussi étérepensée. Des profils de création sontdésormais disponibles et offrent lapossibilité de générer de nouveauxdocuments déjà préconfigurés pour leprint, le web, la vidéo, etc. Un détailpeut cependant surprendre. La zonede travail des documents apparaît àprésent délimitée par des sortes detraits de coupe. Bizarre dans le casd'un fichier destiné à la publicationsur internet…

Le coloriage pour les nuls

Les nouveautés de cette Creative Suite 3 nese limitent pas à ces aspects ergonomiquesou cosmétiques. Quelques fonctionnalitésviennent aussi compléter l'application. Leplus gros effort, tant sur le plan dudéveloppement que sur celui du marketing,semble avoir porté sur la couleur.

Le nuancier accepte à présent des groupes decouleurs, rendant l'organisation et la gestionde celles-ci plus facile. Un nouveau panneaubaptisé «Guide des couleurs » vient aussinous seconder dans le choix parfois difficile de

teintes complémentaires. À partir d'unenuance sélectionnée, il peut proposer une sériede gammes harmonieuses. De plus, il est pos-sible de lui demander de limiter ses proposi-tions à un ensemble de couleurs données(teintes Pantone, par exemple). Bien entendu,les gammes obtenues peuvent être ajoutées aunuancier d’Illustator sous forme de groupes.

À partir du «Guide des couleurs », nous avonsaccès à une autre nouveauté : la boîte dedialogue « Modifier ou appliquer lescouleurs » (Live color en anglais).Bizarrement, la même fonction est accessiblevia le panneau de contrôle mais sous le nomde «Redéfinir les couleurs de l'illustration » etune fois la boîte de dialogue affichée, ellearbore le titre de «Couleurs dynamiques ».Adobe n'a pas rendu les choses faciles pourses utilisateurs francophones…

Si cette fonction est d'une puissance impres-sionnante, elle est également confuse et dif-ficile d'emploi au premier abord. Composéede deux parties, elle impose de fréquentsallers-retours entre celles-ci, ce qui ne sim-plifie pas la tâche de l'utilisateur occasion-nel. Elle rendra par contre de fiers services àcertains qui risquent de ne plus pouvoir s'enpasser… une fois la prise en main réussie.

On peut ainsi en quelques instants trans-former complètement l'aspect d'un dessin ouconvertir une illustration quadri ou RVBcomplexe en une version ne contenant plusque quelques couleurs Pantone. Et cela

marche avec les dégradés classiques ou enfilet, les symboles, les motifs, les effets etmême avec les transparences ! Seules lesimages importées y restent insensibles. Dansles versions précédentes, de telles opérationsauraient demandé un travail conséquent.

À côté du guide des couleurs, un autrepanneau reçoit la mission de nous servir desource d'inspiration. Basé sur le service enligne Kuler (www.kuler.adobe.com), il permetde découvrir les palettes de couleurs crééespar d'autres illustrateurs à travers le monde.Malheureusement, cette fonction n'était pasprésente dans notre version française.Problème d'installation ou absencedélibérée ? Difficile à dire. Bien que ce ne soitpas la nouveauté la plus époustouflante, ilserait dommage de devoir s'en passer.

Main dans la main avec Flash

La compatibilité avec les autres logiciels de lagamme maison constitue le second axemajeur de cette mise à jour. Préparer des élé-ments pour Flash devient enfin un vrai plaisir.L'importation des fichiers natifs .ai est désor-mais possible et s'accompagne d'un ensemblede réglages qui simplifieront grandement letravail des web designers. Exporter en .swf nes'avère donc plus indispensable.

Dans Illustrator lui-même, on peut à présentcréer des symboles (movie-clips, etc.) quiseront reconnus par l'ancien poulain de

Illustrator pense pour vous et dévoile en un clickle secret des teintes complémentaires… …enfin presque.

Même une illustration relativement complexe peut être modifiée facilement grâce aux « couleurs dynamiques »qui proposent une sorte de cartographie chromatique des éléments sélectionnés.

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Macromedia. Ces symboles peuvent mêmerecevoir des noms d'instances ! Pour conver-tir un objet en symbole, rien de plus simple :il suffit de taper F8. On se croirait dans Flash.Des champs de texte dynamiques ou de saisiepeuvent également être créés et recevoirtous les réglages habituels. On accède à cesréglages via un nouveau panneau disponiblesous Fenêtre > Texte > Texte Flash.

Faciliter la collaboration avec Flash estégalement le rôle d’une autre nouveauté : ladécoupe en 9 zones. Le principe est simple : ilsuffit de définir un symbole, et dans la boîtede dialogue, de cocher l’option «Activer lesrepères pour la mise à l’échelle en 9tranches ». Ensuite, un double-clic sur lesymbole créé fait apparaître 4 guides. Il nereste plus qu’à déplacer ceux-ci (par défaut,les guides ne sont plus verrouillés) pourdéfinir précisément les zones qui serontmodifiées et celles qui resteront intactes lorsd’une mise à l’échelle. Pratique pour créerdes éléments d’interface avec coins arrondis,par exemple.

Adobe a largement communiqué sur cettefonction mais n’a peut-être pas beaucoupinsisté sur un point important : cela nemarche que lors d’un export vers Flash.Dommage, car on aurait aimé pouvoir créerdes éléments bénéficiant de ce comporte-mentet directement utilisables à l’intérieurde notre logiciel vectoriel favori.

Une gomme vectorielle en prime

Ergonomie, gestion des couleurs et compati-bilité sont les maîtres mots de ce nouvelavatar d’Illustrator. Mais qu'en est-il du dessinvectoriel proprement dit? Dans ce domaine,les innovations sont plus rares. On noteracependant une amélioration apportée aumode de vectorisation dynamique (on peut luidemander de conserver des zones transpar-entes via une option « Ignorer le blanc» dansles paramètres de vectorisation) ainsi qu'unnouvel outil de gommage vectoriel. Accessibledans la palette des outils aux côtés desciseaux et du cutter, il est sensible à la

pression pour peu qu'on dispose d'unetablette graphique et agit soit sur unélément sélectionné, soit sur tout ce qu'ilsurvole, quels que soient les calquesconcernés.

Pour recadrer une image importée, ilfallait jusqu'à présent utiliser unmasque d'écrêtage. On peut désormaisse contenter de cliquer sur le bouton« Masque » de la barre de contrôle(quand un import bitmap est sélec-tionné). Ensuite, il ne reste plus qu'àmodifier le cadrage comme on le faitdans InDesign, par exemple.

Dernier ajout important, les zones derecadrage (rien à voir avec ce quiprécède) permettent de définir deszones à l'intérieur du document. Celles-

ci pourront ensuite être utilisées lors d'ex-ports vers d'autres applications (une option«Écrêter selon la zone de recadrage » appa-raît dans les boîtes de dialogue d'exporta-tion). On peut en créer plusieurs (enmaintenant la touche option enfoncée) maisune seule peut être active à la fois.

Ces différents éléments contribuent à brosserun tableau plutôt attractif du nouveau bébéd'Adobe. Illustrator CS3 semble également trèsstable (plus que son prédécesseur) et plutôt àl'aise sur un Mac à puce Intel. Quelques bugsmineurs sont bien présents mais ils nedevraient pas gâcher le plaisir des graphistesqui auront choisi de casser leur tirelire.

Thierry Herman

De même, un nouveaupanneau permet

d’assaisonner les champstexte à la sauce Flash.

Créer des symboles destinés à Flash et les nommer devient facile avec Illustrator CS3.

La partie « attribuer » de la palette de Couleur dynamique permet de nombreuses opérationscomme la préservation de certaines teintes. Dommage que l’interface soit un peu confuse…

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Commençons par le commencement… etétudions le panneau d'accueil, celui qui s'af-fiche lorsque nous démarrons Flash.

Dès ce panneau, Flash nous propose quelquespetites nouveautés : la possibilité de créer unnouveau document soit en ActionScript 3.0(Fichier Flash AS3.0), soit en ActionScript 2.0(Fichier Flash AS2.0) ou encore un documentFlash Lite (Mobile).

Notons que si nous choisissons un documenten AS3.0, il sera impossible de l'ouvrir dansune version antérieure de Flash (logique) maissurtout, il sera impossible d'y inclure du codeAS2.0. Il est bon de savoir également que, lorsde modifications d'anciens fichiers Flash(version 8), Flash vous proposera à chaquesauvegarde d'enregistrer votre fichier auformat CS3 et vous obligera à passer par lacommande « Enregistrez sous… » pour legarder au format Flash 8. C’est un peu contrai-gnant lorsque vous travaillez pour des clientsne possédant pas Flash CS3, qui vous deman-dent de modifier d'anciens fichiers et de lesrenvoyer ensuite au format Flash 8.

Allons voir un peu plus loin

Choisissons Fichier Flash (AS 3.0). On remarqueau premier coup d'œil que l'interface a étémodifiée pour s'intégrer parfaitement à la phi-losophie de la CS3.

La barre d'outils a été réduite à une seulecolonne mais garde la possibilité d'être refor-

matée sur deux colonnes grâce à l'icône«double flèche » se trouvant au-dessus àgauche de la barre. Comme tous les autrespanneaux de Flash, vous pouvez la déplaceren faisant un « cliquer/glisser » dans la partiegrisée du dessus (au-dessus du logo FL). Lataille de l'interface s'adapte alors automati-quement et utilise la place rendue dispo-nible. Cette barre possède aussi, comme lesautres panneaux, mais de manière restreinte,la capacité d'être « attachée » à d'autresendroits de l'interface.

Vous avez maintenant la possibilité d'optimiservotre espace de travail en réduisant la largeurdes panneaux. En utilisant la «double flèche»,vous réduisez le panneau à la taille «d'icône ettexte» et en glissant l'icône représentant unetriple barre verticale (au-dessus à gauche)vous pouvez encore en réduire la largeur pourne plus afficher que l'icône du panneau.

Les nouveautés orientées «graphisme»

Abordons maintenant quelques nouveautésqui vont tout particulièrement intéresser lesdesigners.

Première bonne nouvelle, l'outil plume a étéamélioré. Toute personne qui a été un jour oul'autre tenue de dessiner avec cet outil dansFlash sera contente d'apprendre que la plumea été remplacée par celle d'Illustrator. Plus deproblème d'ajout/retrait de point ni de modi-fication de type de point.

Seconde bonne nouvelle, la possibilité d'im-porter des fichiers Photoshop et Illustrator.

Lors de l'import de fichiers Illustrator, unpanneau listant les éléments et les calquescontenus dans votre fichier .ai s'ouvre etpermet un choix d'options diverses sur chacundes objets. Vous pouvez spécifier dans la partiede droite sous quelle forme vous désirez lesimporter. Ils pourront être aplatis, importéspour être modifiables dans Flash ou être direc-tement intégrés sous forme de MovieClip. Lesfiltres peuvent également être importés etmodifiés dans Flash. Vraiment pratique.

Lors de l'import de fichiers Photoshop, lesoptions sont quelque peu différentes. Eneffet, certains filtres ne pourront pas êtreimportés sans être aplatis sous forme debitmap. Quoi qu'il en soit, l'import de cesformats permettra à pas mal de graphistesde gagner un temps considérable lors de lacréation d'interfaces graphiques.12

ça y est, il est là. Adobe nous a enfin fait découvrir la dernière mouture de Flash.Intégré à la suite CS3, il regorge de dizaines de petites nouveautés qui raviront tantôt les graphistes, tantôt les développeurs. Je vais essayer, de manière non-exhaustive, de vous les faire découvrir.

Flash CS3:quoi d’neuf docteur?

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Autres nouveautés pour ne pas leur déplaire,l'ajout des outils de dessin « PrimitiveRectangle » et « Primitive Ovale ».

Ces nouvelles formes sont modifiables à toutmoment dans le panneau « Propriétés ».L'outil « Primitive Rectangle » permet de des-siner des formes… rectangulaires avec descoins arrondis modifiables et paramétrables.L’outil « Primitive Ovale » permet de dessinerdes « anneaux » et d'utiliser certaines por-tions de l'ovale dessiné en fonction desvaleurs d'angles entrées dans le panneau«Propriétés ».

Ces nouvelles fonctions sont certainementmoins spectaculaires que d'autres maisseront néanmoins très précieuses à certains.

Une autre petite chose qui a été améliorée etva nous permettre de gagner du temps : lagestion des filtres. Nous avons désormais(enfin !) la possibilité d'en faire des« copier/coller ». Il suffit simplement de sélec-tionner un élément muni de filtre(s) sur votrescène, de cliquer sur l'icône «Copier lesfiltres » du panneau « Filtres », de faire votrechoix d'option (« Copier la sélection » ou«Copier tout »), de sélectionner un autreélément sur votre scène puis de cliquer surl'icône «Coller les filtres ».

Les nouveautés orientées«graphistes travaillantavec des développeurs »

Voici deux nouveautés qui vont intéresser lesanimateurs et les graphistes qui doivent pré-parer les fichiers pour les développeurs ; lesfonctions «Copie et collage d'une interpola-tion de mouvement » et «Copie de mouve-ment en tant qu'ActionScript 3.0 ».

La première fonctionnalité permet tout sim-plement de copier le mouvement d'un objetvers un autre. Pour ce faire, sélectionnez les

images de l'animation du premier élément(attention, toutes ces images doivent être surle même calque), faites un clic droit et choi-sissez «Copier le mouvement» ou passez par lemenu «Modifier > Scénario > Copier le mou-vement». Sélectionnez l'élément devant rece-voir l'interpolation et par le même chemin(clic droit ou menu Modifier), choisissez« Coller le mouvement ». C'est tellementsimple qu'on se demande pourquoi ça n'exis-tait pas précédemment?

Pour copier un mouvement en tantqu'ActionScript 3.0, comme pour la copie de

mouvement, toutes les images doivent setrouver sur le même calque. Au moment duclic droit, choisissez «Copier le mouvementau format ActionScript 3.0 ». Une boîte dedialogue vous demande alors le nom de l'oc-currence sur laquelle le mouvement devraêtre appliqué puis copie ensuite une série delignes de code dans le presse-papiers. Dansle panneau Actions, faites «Coller » pour affi-cher le code créé juste avant par Flash.

N'oubliez pas de nommer dans le panneau«Propriétés» l'occurrence de l'objet qui devrautiliser ce code. En l’analysant, vous verrezque Flash a créé un fichier XML contenant unedescription précise du mouvement de l'objet.

Les éléments d'une interpolation de mouve-ment pris en compte par cette fonction sont :Position, Échelle, Inclinaison, Rotation,Transformation, Point, Couleur, Mode defusion, Orientation vers la trajectoire, Miseen cache en tant que paramétrage debitmap, Étiquettes d'image, Guides de mou-vements, Accélération personnalisée, Filtres.

Les nouveautés orientées«développeurs »

La dernière grosse nouveauté que nous abor-derons est bien sûr le support de l'AS 3.0, etavec celui-ci, l'obligation de changer certaineshabitudes.

Par exemple, il n'est plus possible de coderun bouton avec le gestionnaire on(). Ilfaudra bel et bien passer par quelques lignesde codes légèrement plus compliquées, uti-liser une « vraie » gestion d'événement etl'associer à une fonction « callback » sansoublier d'importer les classes nécessaires.

Hum… ce que je viens de dire doit être limpidepour les développeurs mais doit ressembler àdu chinois pour les graphistes. Pour simplifier,voici un exemple de code permettant de faireinteragir un bouton lors d'un clic de souris :

//import des classes nécessairesimport flash.events.MouseEvent ;import flash.events.IEventDispatcher ;

//création de la gestion d'événementmonBouton_btn.addEventListener(MouseEvent.CLICK,onClickHandler) ;

//fonction appelée en écouteurfunction onClickHandler(evt:MouseEvent):void{

trace("Click sur :",evt.currentTarget.name);}

Heureusement, le nouvel assistant de scriptpermettra à chacun, avec un peu de patience,de maîtriser les quelques actions nécessaires aufonctionnement d'une animation Flash de base.

Voilà pour les principales nouveautés. J'auraisaussi pu vous parler de Version Cue, d’AdobeBridge, de Device Central ou des points derepères dans la vidéo… et de cent autres petiteschoses que je n'ai pas abordées ici. La place memanque malheureusement. Je laisserai donc àchacun le soin de découvrir lui-même le restedes trésors que contient Flash CS3. 13

Christophe Gossiaux

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Dès l'ouverture du logiciel, on devra chercherles différences entre la version précédente et laCS3. L'ergonomie des fenêtres, le système d'on-glets et la présentation des icônes n'ont pasévolué. Certains crieront à l'arnaque d'autrestrouveront cette transition parfaite.

Mais où sont passées les nouveautés !

Productivité avant tout

Les nouveautés sont, cette fois-ci, orientéessur la productivité. Adobe Fireworks devientmultipage. Fini de travailler avec des calqueset des sous-dossiers ou de multiplier lesfichiers source quand on a plusieurs projetspour un même client. Un seul fichier source(toujours au format PNG) mais plusieurspages/projets. Et comme les développeurs dechez Adobe n'ont pas fait les choses à moitié,il existe un système de page maîtresse quifonctionne comme pour le modèle deDreamweaver ou la maquette d’InDesign.L'utilisation des calques a aussi été revue. Lescalques peuvent s'appliquer à une seule pageou être partagés entre plusieurs. Ils s’affichentalors dans une autre couleur de manière à sedifférencier.

Les couleurs au service de la créativité

Une nouvelle fenêtre appelée « Palette decouleurs » reçoit le « Sélecteur » de couleur, le« Mélangeur » et la fenêtre « Fusion ». Le«Sélecteur » nous permettra de convertir lescouleurs CMYK en RGB mais aussi de conver-tir les HSV et les HLS. Le «Mélangeur »permet, à partir de 4 couleurs utilisées dansvotre projet, de choisir d'autres teintes viaune roue chromatique et de les appliquer

directement aux différentes formes, trameset textes. On retrouve aussi la possibilitéd'exporter/importer votre nouveau nuancierau format ACT. La fenêtre « Fusion » crée undégradé de couleurs dont les étapes intermé-diaires sont paramétrables. Très pratiquepour trouver un ensemble de couleurs HTML.

Fireworks se coupe en 9

Fireworks n'a rien à envier à son grand frèreIllustrator et se dote maintenant d'un outil demise à l'échelle à 9 découpes qui permetd'agrandir ou de réduire des symboles vecto-riels et bitmap sans déformer leur géométrie.Le symbole peut être mis à l'échelle dans 3 ou9 zones, selon sa forme. Vous n'aurez plus desrectangles aux bords arrondis qui se défor-ment lors de l'agrandissement de celui-ci.

Symbole graphique amélioré

L'amélioration du symbole graphique permetla création de propriétés de symboles per-

sonnalisables. On pourra les éditer directe-ment via la palette « Propriété du symbole ».Cette version du logiciel inclut à présent unebibliothèque de symboles graphiques prédé-finie. Créer des formulaires ou un ascenseuravec l'apparence de Windows XP est devenudès lors très facile. Tous les éléments debibliothèque sont également éditables via lapalette « Propriété du symbole ».

Compatibilité à tous les étages

Une des forces de Fireworks, c'est de tra-vailler avec le même programme aussi bienen vectoriel qu'en bitmap. Il ne peut évidem-ment pas concurrencer Photoshop etIllustrator. C'est pour cette raison que lesdéveloppeurs de chez Adobe ont naturelle-ment amélioré l'importation/exportation desfichiers entre les logiciels de la mêmefamille.

Photoshop intègre divers effets tels que lesombres, néons, biseaux, recouvrements ettraits qui permettent à l'utilisateur demodifier l'aspect du contenu d'un calque.Fireworks CS3 conserve ces effets et leurcaractère modifiables lors de l'importationou de l'ouverture d'un fichier .psd. Vouspouvez désormais également appliquer deseffets de calques Photoshop directement àun objet dans Fireworks en sélectionnant« Effets en direct Photoshop » dans l'outilFiltres en direct de l'Inspecteur des proprié-tés.

Fireworks CS3 inclut 7 modes de fonduPhotoshop couramment utilisés : dissoudre,brûlure linéaire, révélateur linéaire, lumièrevive, lumière linéaire, lumière de broche etmélange net.

Comme tous les logiciels de chez Adobe, Fireworks est passé à la version CS3.Que nous réserve cette nouvelle mouture ?

Fireworks CS3productivité et compatibilité

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Première version depuis le rachat deMacromedia, on pouvait se demander s’ilallait être assaisonné à la mode Adobe.Certains ont dû être rassurés, l’interface n’apas changé, on s’y retrouve tout de suite c’estbien notre bon vieux Dreamweaver, on peutse mettre à travailler comme si de rien n’était.

Sans être réellement révolutionnaires,quelques nouveautés viennent apporter dupiment à la production :

Cadre applicatif Spry pour Ajax

L’innovation, c’est l’introduction d’Ajax dansl’environnement Dreamweaver sous le nomde Spry. Adobe ne pouvait ignorer cette ten-dance de plus en plus répandue d’utiliser ce

cocktail vitaminé de Javascript, XML, HTMLet CSS qu’est Ajax (Asynchronous JavascriptAnd XML). Il en résulte une bibliothèque

Javascript permettant de sophistiquer lecontenu des sites web :

- Les données Spry permettent d’incorporerdans les pages des données à partir defichiers XML, d’un fil RSS, d’une base dedonnées, de façon assez simple et ne deman-dant pas de grandes connaissances enmatière de programmation ;- Les Widgets Spry représentent un ensembled’objets Ajax tout faits permettant d’ajouterdes éléments tels que : une validation plussubtile des formulaires, des menus dérou-lants, des panneaux à onglets… une petitesélection des objets Ajax les plus utilisés ;- Les comportements Javascript se sont enri-chis des effets Spry reprenant eux aussi unesérie d’effets Ajax classiques et paramétrables:agrandissements, fondus, disparitions…

Avec Dreamweaver CS3, nous voici à la neuvième version de ce logiciel qui s’est imposé comme« l’incontournable » dans le domaine de l’édition de sites internet.

Dreamweaver CS3:optimisation de la production

Fireworks CS3 prend désormais en chargeune structure hiérarchique de calques, cequi vous permet de conserver les informa-tions sur les calques et sous-calques lors del'importation de fichiers à partir dePhotoshop.

Vous pouvez également déplacer du contenudepuis Fireworks vers Flash CS3 rapidementen effectuant un copier-coller ou en impor-tant directement un fichier PNG Fireworks.La structure importante est conservée,notamment les pages multiples, les calquespartagés, les calques hiérarchiques, lesimages, les paramètres de mise à l'échelle à9 découpes et de nombreux effets. Créer des

prototypes dans Fireworks et développerdans Flash n'a jamais été aussi facile.

Dernière nouveauté, la création de diaporamade type Flash avec Fireworks. En sélectionnantsimplement un dossier contenant des imageset en paramétrant les nombreuses options dediaporama telles que les transitions desphotos, vous réaliserez un diaporama optimisépour le web en quelques clics. Notez que dansla version française de Fireworks cette com-mande s'appelle : «Create slideshow».

On l’a vu, le point fort de Fireworks est d'as-socier dans un même logiciel le vectoriel etle bitmap et d'avoir une des interfaces les

plus ergonomique de chez Macromedia.Adobe n'y a rien changé et s'est plutôt penchésur la compatibilité. Cette nouvelle versionn'apporte donc en définitive pas de change-ments extravagants mais soigne son intégrationdans sa nouvelle famille et signe, une bonne foispour toutes, la mort d'ImageReady.

Installation

Pour l'installation sur votre machine, ilfaudra vérifier que vous possédez bien auminimum Window XP ou Mac OS X 10.4.8.

Laurent Mottet

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Deux bémols cependant : comme toujours, ilrésulte des fonctions «clé sur porte » deDreamweaver une hémorragie de code éton-namment compliqué (surtout lorsqu’on lecompare à ce que l’on peut trouver chezscriptaculous) mais, surtout, en raison del’emploi d’attributs de balises non conformes,les documents contenant des données Spry etdes Widgets ne peuvent être approuvés parles validateurs du W3C. Espérons que celas’arrange assez rapidement.

Cascading Style Sheet

Le cadre de développement CSS s’est amélioréen proposant de nouvelles fonctionnalités :- Une classe peut être renommée et, toutesles instances liées à celle-ci (attributs etsélecteurs) peuvent être modifiées en mêmetemps. Mais, cette fonction intéressante nes’applique pas aux ID… personnellement,j’aurais trouvé cela plus judicieux !- Une règle CSS peut être déplacée d’in-terne à externe, dans une CSS existante ounouvelle, lorsqu’elle existe déjà dans la des-tination, les doublons sont indiqués ;- Et enfin, fonctionnalité qui manquaitcruellement, l’ordre d’écriture des sélec-teurs peut être modifié dans le panneauCSS par un simple glisser/déposer.

La mise en page CSS comporte pour certainsdes difficultés. Le panneau «nouveau docu-ment » offre maintenant une série demodèles présentant des mises en page CSSprédéfinies. Ces modèles sont accompagnésde commentaires (traduits en français) inté-

ressants pour la compréhension de mises enpages complexes. J’y ajouterais le bémolhabituel, du code inutilement chargé et l’uti-lisation de sélecteurs à rallonge.

Dreamweaver propose maintenant uneoption «Vérification de la compatibilité avecles navigateurs », qui recense et explique lesinterprétations problématiques des CSS parcertains navigateurs et ce sans qu’il soitnécessaire de les lancer.

Photoshop et Fireworks :processus intégré

Pour vous faciliter la tâche, il est directementpossible d’importer vos images en utilisantsimplement la fonction copier/coller dePhotoshop ou Fireworks vers Dreamweaver.Une fenêtre de dialogue s’ouvre au « coller »permettant de choisir le format, la taille etl’optimisation de l’image, de sauver l’imageà l’endroit voulu puis de lui appliquer unedescription.

Adobe Device Central

Un petit logiciel intégré à la suite CS3 permetde visualiser et tester les pages web destinéesà être lues sur un téléphone mobile. Lorsquel’on utilise l’onglet d’aperçu dans le naviga-teur, une nouvelle option permet d’ouvrirAdobe Device Central et propose une grandequantité d’appareils mobiles avec toutes leurscaractéristiques pour vous donner une bonneidée de ce à quoi ressemblera votre page Websur un GSM.

Pas de changements marquants donc pourcette première version chez Adobe mais desfonctionnalités intéressantes pour optimisersa production de manière professionnelle etaisée.

Michèle Vos

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