La communication au cœur des soins :
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La communication au cœur des soins :
Une approche intégrée
42 000 Montréalais
2,4 % des Montréalais
ou 8 % des allophones
± 60 langues 15 = + 1 000 locuteurs 2 = 32 % des 42 000
allophones
L’interprétation à Montréal
Douze ans d’interprétariat centralisé santé et services sociaux, accidentés, éducation… + de 100 interprètes en milieu social ~ 60 langues + de 250 établissements utilisateurs
En 2003-2004 + de 20 000 heures d’interprétation
42 % des services en 1re ligne 18 % en services sociaux liés à la protection de la jeunesse + de 620 000 $CAD d’honoraires versés
Une approche globale
Un article de loi 1986 : article 3 d.1 1991 : article 2.7 et autres
Un Bureau relevant du sous-ministre 1989 : des orientations : adaptation et adéquation des
services Un mandat clair
Implanter des services d’interprétation régionalisés
Une approche intégrée
Organisation et offre des services Formation
Interprètes Soignants : interculturelle et interprétation
Responsabilisation Établissements Protecteur des usagers Agrément
Recherche
Comparaison des 3 villes (RMR)
0
200 000
400 000
600 000
800 000
1 000 000
1 200 000
1 400 000
1 600 000
1 800 000
2 000 000
Montréal Toronto Vancouver
0 FR / 0 AN
Allophones
Concentration linguistique
RMR 0 FR / 0 AN 2 langues 3 langues
Montréal 49 975 32 % 41 %
Toronto 181 469 47 % 56 %
Vancouver 92 500 78 % 83 %
12 ans plus tard
± Occasion manquée : Évaluation auprès des médecins – Kosovo
± Transfert mitigé : Formation des interprètes à l’université
+ Impact sur l’adoption de politiques Formation d’employés appelés à interpréter
+ Intégration réussie Agrément et Protecteur des usagers
Les défis
La réorganisation des services La place des interprètes dans les GMF et CMA
Reconnaissance de l’impact de la diversité Allocation des enveloppes budgétaires
L’adaptation et l’adéquation des services Tout ne se résume pas à une question de langue
Déontologie vs décisions administratives Déficit 0 au détriment de la déontologie
Plus jamais, je ne veux pas avoir à choisir entre mon code de déontologie et les décisions administratives. Je sais maintenant que c’est le code de déontologie qui doit primer.
Dre Linda Cloutier devant le comité de discipline du Collège des médecins (26 avril 2005)
Coordonnées
Isabelle HemlinConseillèreBanque interrégionale d’interprètes etService aux communautés linguistiques et ethnoculturellesRelations avec la population Direction des ressources humaines, de l’information et de la planification
Agence de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux de Montréal
1 (514) 286-6500, poste 6514ATS 1 (514) 286-6535 1 (514) 286-5692 [email protected] www.santemontreal.qc.ca