JOURNAL DE R. QUENEAU

Chers lecteurs,

Nous sommes heureux de vous présenter le nouveau journal du collège R. Queneau. Ce journal rédigé par tous les élèves volontaires (nous attendons vos propositions !) est le reflet de ce qui intéresse les collégiens, ce qui les motive, leur plaît et qu'ils ont envie de partager. Ainsi, vous retrouverez régulièrement dans nos pages, les rubriques Santé, Nature, Culture, Vie du collège, Actualités et encore bien d'autres thèmes à inventer !

Pour ce premier numéro, nous avons choisi de vous parler de Nelson Mandéla : en effet, son décès a eu un retentissement dans le monde entier. Il nous a semblé important de rappeler quel personnage il fut et ce qu'il a réalisé. Nous avons aussi consacré un article aux méfaits du tabac et, en ce qui concerne la Vie du collège, nous avons tenu à vous présenter deux nouvelles professeures. Enfin, pour vous permettre de vous évader (et tenir la promesse évoquée dans le titre de notre journal) nous vous faisons découvrir les îles Galapagos...

A tous, nous adressons nos vœux les plus sincères de bonheur et réussite pour 2014 et nous espérons vous retrouver plus nombreux à chaque nouvelle parution de l’Échappée belle !

Directrice de la publication : Mme S. Tomas, Principale de collège R. Queneau, comité de rédaction : Mme Car, CPE et les élèves : Shiraz Minassian, Charlotte Pitavy, Saffa Mérabet, Clara Petrescu,Binta Traoré, Clément James et Noé Maurin. Illustrations : Bafodé Dramé, 3C. Adresse de publication : collège R. Queneau, 66, boulevard Saint-Marcel, 75005 PARIS. Journal réalisé dans le cadre de l'Accompagnement éducatif.

N° 1(déc.13, jan.14)

Sommaire :

P. 1 : Actualités internationales :Nelson Madiba Mandéla, l'homme qui croyait en l'hommeP. 4 : Nature : Galapagos : une faune florissanteP. 5 : Santé : connaissez-vous vraiment la cigarette et les méfaits du tabac ?P. 7 : Vie du collège : des nouvelles profs au collège, le talents des 6AP. 11 : résultat du jeu-concours « le quoi ? Qu'est-ce ? »

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NELSON MADIBA MANDELA,

L’HOMME QUI CROYAIT EN L’HOMME Nelson Mandela est mort le 5 décembre 2013 à Johannesburg (Afrique du Sud) à l’âge de 95 ans. Son décès a bouleversé le

monde entier, mais son message reste intact dans nos esprits. Pourquoi sa disparition a-t-elle provoqué une telle émotion ? Pour y

répondre, revenons sur la vie et le parcours de cet activiste infatigable contre l’apartheid mais aussi sur le symbole de paix qu’incarne

une des personnalités politiques les plus importantes de notre temps.

olihlahla Mandela, appelé également Madiba, est né le 18 juillet 1918 dans le village de Mvezo dans une famille royale Thembu de l’ethnie Xhosa qui

règne sur une partie du Transkei. Il est le premier membre de sa famille à aller à l’école. C’est là que son institutrice lui donne le prénom anglais de Nelson, pratique courante à l’époque. Il poursuivra brillamment ses études en passant, entre autre par l’Université de Droit de Fort Hare en 1939, seule université acceptant les Noirs. Il y découvre le nationalisme afrikaner (partisans de la suprématie blanche) mais aussi la non-violence prônée par Gandhi.

Vie privée, 3 mariages, 5 enfants Nelson Mandela se mariera 3 fois. Il épouse d’abord, en 1944, Evelyn Mase dont il aura 3 enfants. Puis en 1958 il se marie à Winnie Madkizela avec qui il partagera également sa vie militante. Elle lui donnera 2 enfants. Enfin Graça Machel, veuve de l’ancien Président du Mozambique, deviendra sa dernière épouse en 1998. L’Afrique du Sud est un territoire caractérisé par la grande diversité ethnique et culturelle de sa population. Divers peuples africains (Bantous, Khoïkhoïs, Bochimans…) vivent en Afrique australe avant même l’arrivée des

Européens (les Néerlandais au XVIIème siècle appelés les Boers puis les Afrikaners ; les Anglais à la fin du XVIIIème siècle quand ils colonisent l’Afrique du Sud ; puis dans la seconde moitié du XIXème siècle, la découverte d’immenses mines d’or et de diamants augmentera l’immigration européenne et africaine mais favorisera aussi l’arrivée de

milliers d’ouvriers indiens et chinois qui s’y installeront définitivement). Les premières lois ségrégationnistes sont votées en Afrique du Sud en 1949, c’est le début de l’apartheid. L’apartheid est un système politique raciste basé sur la domination de la

minorité des blancs sur la majorité des noirs. Les Sud-Africains sont alors classés selon leur race, ils vivent séparément dans des quartiers différents, n’ont pas les mêmes droits selon qu’ils soient blancs, noirs, métis ou indiens, les mariages mixtes sont interdits, les transports, les commerces, … bref toute la vie sud-africaine est régie selon des lois racistes. L’African National Congress (ANC) fondé en 1912 pour défendre les intérêts de la majorité noire contre la minorité blanche en Afrique du Sud fut déclaré illégal pendant l’apartheid en 1960 par le pouvoir sud-africain. Mandela y adhère en1943. En 1944 il fonde la Ligue de la Jeunesse de l’ANC. En 1961, l’ANC abandonne la stratégie de non-violence qui se révèle inefficace et crée l’aile armée de l’ANC dont Mandela devient le Commandant en chef. Campagnes de grève générale, sabotages contre des cibles symboliques,

Mandela est né dans une

famille royale sud-africaine

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l’ANC appelle alors à la rébellion et entre dans la lutte armée.

Vie politique, de la prison à la Présidence Régulièrement arrêté entre 1956 et 1963, Nelson Mandela va être jugé plusieurs fois pour haute trahison. Ses procès vont se conclure par des verdicts plus ou moins sévères : un acquittement, 5 ans de prison puis la prison à vie. Lors de son dernier procès où il risque la peine de mort, il prononce son fameux discours sur le démocratie, « Un idéal pour lequel je suis prêt à mourir ». Le 12 juin 1964 il est condamné à la prison à vie et conduit au bagne sur l’Ile de Robben Island au large de Captown. Après 18 ans d’un régime très dur, il sera transféré à la prison de Pollsmoor, près de Captown en mars 1982. Il y restera jusqu’au 11 février 1990. Nelson Mandela aura passé 25 ans de sa vie dans les geôles afrikaners ! Mandela incarne pendant toute sa captivité le symbole de la lutte contre l’apartheid. De nombreuses émeutes ont lieu dans différentes villes sud-africaines. La répression et les massacres y répondent dans des bains de sang qui mobilisent l’opinion internationale. Les mondes politique, économique et artistique se mobilisent pour le boycott économique et culturel de l’Afrique du Sud, la fin de l’apartheid et la libération de Nelson Mandela. En février 1985, le Président sud-africain, Pieter Botha, sans doute conscient que la fin de l’apartheid approche, propose une libération conditionnelle de Mandela en échange d’un renoncement à la lutte armée. Mandela refuse et déclare dans un communiqué : « Quelle liberté m'est offerte alors que l'organisation du peuple demeure interdite ? Seuls les hommes libres peuvent négocier. Un prisonnier ne peut pas faire de contrat. » Un an plus tard, après des réformes, trop timides à ses yeux, lancées par De Klerk, le nouveau président sud africain, Mandela réclame la démocratie, « un homme, une voix ». A partir de novembre 1985, et pendant 4 ans, une série de rencontres va avoir lieu entre Mandela et le ministre de la justice Kobie Coetsee. Même si elles se révèlent peu efficaces, elles posent les bases des futures négociations. En juin 1988, un concert hommage pour les 70 ans de Mandela a lieu à Wembley en Angleterre. Il est regardé dans 67 pays par 600 millions de téléspectateurs. Cet événement médiatique sans précédent force, selon l’ANC, le régime sud-africain à libérer Mandela plus tôt que prévu. Le 7 décembre 1988, Mandela regagne son domicile où il est assigné à résidence. Alors que l’état d’urgence règne en Afrique du Sud depuis 4 ans, le 2 février 1990, De Klerk annonce la libération de Nelson Mandela et la levée de l’interdiction de l’ANC. Libéré le 11 février 1990, Mandela mène pour l’ANC les négociations sur l’élaboration d’une

nouvelle constitution sud-africaine (Accords de Groote Schuur – négociés de mars 1990 à mai 1994). Le 6 août 1990, l’ANC proclame la fin de la lutte armée. Finalement, l’apartheid est officiellement aboli le 30 juin 1991. En 1991, élu président de l’ANC, Mandela supervise et dirige les négociations de la transition. En 1993, il est nommé prix Nobel de la Paix avec Frederik De Klerk, président de l’Afrique du Sud. En 1994, ont lieu les premières élections libres, multiraciales d’Afrique du Sud. L’ANC en sort évidemment vainqueur. Le 10 mai 1994, Mandela devient Président de la République d’Afrique du Sud. Il appelle à la réconciliation nationale (quand, à la Coupe du Monde de Rugby qui a lieu en Afrique du Sud en 1995, Mandela porte le maillot du capitaine François

Pienaar, un afrikaner, le geste est vu comme une symbole extraordinaire de la réconciliation entre Noirs et Blancs – cf. film « Invictus »). Très critiqué, de part et d’autre, notamment à cause de la commission « Vérité et réconciliation », Mandela n’a jamais cédé car il savait qu’aucune politique n’était possible dans

l’après-apartheid sans une volonté de réconciliation nationale. Il est salué par la communauté internationale qui voit s’éloigner grâce à lui ainsi les risques de guerre civile. En 1999, Mandela se retire à la fin de son mandat. Thabo Mbeki devient président après la nouvelle victoire de l’ANC aux deuxièmes élections démocratiques sud-africaines. En 2004, Mandela se retire de la vie publique. En 2009, c’est Jacob Zuma (ANC) qui devient Président. C’est lui qui annoncera la disparition de Mandela.

Le symbole Mandela

Fortement influencé par Gandhi, Mandela incarne la force du dialogue et de la réconciliation. Eternel optimiste, Mandela croit en la capacité de l’homme à changer, à se transformer, à être meilleur, même s’il est du côté des oppresseurs. Lui même passé de la non-violence à la lutte armée, puis au dialogue et au pardon, en est l’incarnation parfaite. Il a fait sienne une théorie ubuntu définie par l’archevêque anglican Monseigneur Desmond Tutu : « mon humanité est inextricablement liée à ce qu'est la vôtre ». Mandela dira dans son livre « Un Long Chemin vers la Liberté » paru en 2003 : « Ma vérité, c’est que nous ne sommes pas encore libres ; nous avons seulement atteint la liberté d’être libres, le droit de ne pas être opprimés […]. Car être libres, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres ». Héritier de Gandhi avec qui il a de nombreux points communs (Gandhi a initié sa réflexion politique en Afrique du Sud où il exerçait le métier … d’avocat), on est en droit de se demander qui sera l’héritier de Mandela… SHIRAZ MINASSIAN

« La démocratie, un idéal pour lequel je suis

prêt à mourir »

Galapagos : une faune florissante

Les îles Galápagos sont situées au large de l'Equateur, dans l'océan Pacifique. C'est un endroit quasiment non-exploité par les humains, il possède donc une faune et une flore très variées. L'archipel comporte treize grandes îles, six îles plus modestes et de nombreux îlots. Il totalise 59 000 kilomètres carré. La plus grande île est Isabela, elle est une des seules îles à abriter des tortues géantes des Galápagos.

Les tortues des Galapagos sont de très loin l'animal le plus imposant de toute l'île. La tortue géante des Galápagos, autrement appelée tortue éléphantine est le plus gros Testunidae du monde. Le plus vieux specimen se nommait Georges et était un mâle qui résidait dans l’île Isabela.

Données complémentaires

Règne : AnimalClasse : ReptileOrdre :TortueFamille : TestunidaeGenre : GeocheloneNom latin : Geochelone nigraPoids : 225 kgTaille : 1,20 mMaturité sexuelle : 20-25 ansSaison de ponte : Juin à décembrePériode d’incubation : 90 à 240 j.Nombre d’œufs : 2 à 17 œufsRégime alimentaire : HerbivoreLongévité : 150 ans

Schéma de l’alimentation principale d’une tortue

LE REGIME DES TORTUESSi les tortues ont réussi à survivre jusqu’ici, c’est notamment grâce à une alimentation très ouverte, qui, selon le milieu, cible la quantité ou la diversité saisonnière.

Noé MAURIN et Clément JAMES

Une tortue se nourrit principalement de (dans l’ordre du schéma) : vers de terre ; poissons divers ; plantes des rivages ; figues de barbarie. Elles se nourrissent aussi de méduses, ce qui peut occasionner leur mort, lorsqu’ elles confondent leurs proies avec des sacs plastiques que nous jetons sur le rivage, et qui sont emportés au loin par les flots marins. Les tortues ont besoin de calcium pour agrandir leurs carapaces, d’où leur choix de manger des vers de terre et des poissons à arêtes. CARACTERISTIQUESLes tortues ne sont guère avantagées pour la chasse, à cause de leur lourde carapace et de leur démarche pesante. Mais, à l’inverse, leurs capacités défensives sont très développées, grâce, cette fois, à leur carapace. Malheureusement, si une tortue glisse et tombe sur le dos, elle est condamnée. Un autre problème, mais bien moins grave, est qu’elles ont du mal à mastiquer à cause de leur manque de dents. Elles pondent leurs œufs dans le sable, et les petits doivent se débrouiller pour retrouver la mer.Elles demeurent cependant les plus grandes du monde, elles vivent bien plus longtemps que les autres tortues, et c’est ce qui fait leur originalité.

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Connaissez-vous vraiment la cigarette et les méfaits du tabac ?

Les cigarettes : composantes

Par définition, la cigarette est un cylindre de papier contenant du tabac et dont la consommation consiste en inhaler la fumée par combustion. On entend souvent dire que la cigarette est dangereuse pour la santé, pouvant même entraîner la mort, mais pourquoi ? Il faut savoir que la cigarette est composée d'énormément de produits toxiques, environ une soixantaine reconnus comme cancérigènes, parmi ces produit nous trouvons :

• L' acétone (dissolvant) • le goudron• la nicotine• le méthanol (carburant fusée)• monoxyde de carbonne(gaz d'échappement)• l’arsenic (poison violent)• du polonium 210 • Chlorure de vinyle et bien d'autres encore…

Le tabac : composante principale de la cigarette

Historiquement, le tabac est un une plante qui se trouvait à l'état sauvage dans les régions tropicales du continent Américain et en Australie. Cette plante a été connue du monde occidental lorsque Christophe Colomb, en découvrant l'Amérique en 1492, a constaté que les Indiens utilisaient le tabac pour ses propriétés dites "magiques" et médicamenteuses. Nous devons l'importation du tabac sur le continent européen au médecin du roi Philippe II d'Espagne, qui rapporte le tabac, en Europe au XVIème siècle. Quant à l'introduction du tabac en France, elle est le fait de Jean Nicot, Ambassadeur de France au Portugal, qui introduisit le tabac à la Cour de la Régente Catherine de Médicis. Celle-ci s'en servait pour soulager ses migraines.

D'ailleurs, on peut noter que le composant le plus connu du tabac, à savoir la nicotine, doit son nom à Jean Nicot(ine). A cette époque, le tabac est rare, il est essentiellement prisé, c'est à dire inspiré par le nez, ou bu en tisane. C'est en 1762 que la nouvelle façon de consommer le tabac voit le jour : fumer des cigarettes, méthode qui se répand au cours des siècles suivants et est adoptée par les personnages les plus célèbres : Musset, Chopin, Delacroix. En France, dès 1791, l'Assemblée Nationale déclare le droit de cultiver et de fabriquer du tabac. Cuba est le producteur de cigares les plus savoureux du monde. Ce pays produit environ la moitié des cigares faits main importés par les Etats-Unis, le Connecticut produit des feuilles de capes parmi les plus belle du monde qui sont employées pour envelopper les meilleurs cigares dominicains.

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Les méfaits du tabac

Lorsque l'on fume une cigarette pour la première fois, on peut avoir une sensation de dégoût : notre corps n'étant pas habitué à cette substance, on se met généralement à tousser et on peut se demander "comment des personnes peuvent fumer? C'est absolument ignoble !". Malheureusement, les fois suivantes, le corps "reconnait le goût" en raison de la nicotine présente qui nous rend dépendant*. Il est certes difficile de s'arrêter mais ce n'est pas impossible à faire. En effet, il existe aujourd'hui de nombreux moyens et aides apportés pour y parvenir : médicaments, patches, méthodes "naturelles" (aromathérapie), on peut même se renseigner sur le net  : sostabac.com, tabac-info-service.fr, etc. Néanmoins, le fait d'arrêter ne veut pas dire qu'il n'y a plus aucun risque de développer des maladies telles que le cancer des poumons, car toutes ses années à fumer ne vont pas s'effacer en un claquement de doigts : plus tôt on arrête de fumer, plus tôt les risques seront limités. Il y a beaucoup de risques de cancer surtout le cancer des poumons, évoqué précédemment, qui peut se soigner par des chimiothérapies et de la radiothérapie : ce sont des traitements extrêmement lourds pour tout individu. On compte aussi parmi les cancers, celui de la langue où parfois on doit couper la langue et la remplacer par un muscle artificiel, il y a aussi le cancer de la gorge où on ne peut plus respirer ni par la bouche ni par le nez et ou l'on doit faire un trou dans la gorge pour pouvoir respirer. Il y a également d'autres cancers : le cancer du larynx, le cancer du rein, le cancer de la prostate, le cancer de la vessie, l'infarctus et les maladies cardiovasculaires...

Par conséquent, la cigarette est mauvaise ! Car non seulement elle nuit à notre santé, mais également à celle des autres. Fumer provoque la mort à petite dose. Il y a beaucoup de personnes qui ont passé leurs dernières années à se soigner et à regretter d'avoir autant fumé, certains s'en sont sortis et ont réussi à guérir, beaucoup d'autres n'ont pas eu cette chance. Par ailleurs, d'autres raisons devraient vous convaincre de ne pas commencer ou bien d'arrêter la cigarette :- C'est très cher- On devient rapidement accro- ça sent mauvais et ça donne mauvaise haleine- C'est désagréable pour ceux qui ne fument pas- ça fait tousser- ça n'apporte rienNous sommes libres de fumer, mais si nous fumons nous devenons dépendants et donc nous ne sommes plus libres !. Avant de commencer, songez à tout ce que fumer engendre pour vous et votre entourage.

*La dépendance à une substance psychoactive, quelle qu'elle soit, constitue un trouble chronique qui se caractérise par une envie compulsive d'usage de cette substance et une relative incapacité à s'en passer.

source: fr.wikipedia.org

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Saffa MERABET et Charlotte PITAVY 6

Mme Bost

1. Pourquoi avez-vous choisi la physique-chimie ? Parce que ça me plaît, j’aime bien le coté expérimental, pouvoir faire des expériences pour comprendre le monde qui est autour de moi.

2. Combien d’années avez-vous travaillé en tant que professeur ?

C’est ma 4e rentrée, car avant j’avais un autre métier.

3. Avez-vous préparé une activité extra-scolaire (sortie ou autre pour cette année) ?

Pas encore, j’attends de voir avec les autres profs les possibilités, comment on va s’organiser avec les autres professeurs...

4. Qu’aimez-vous faire en dehors de votre métier (comme loisirs) ?

J’aime beaucoup lire, et je fais de l’équitation, donc dès que je peux je vais sur mon cheval, mais comme je n’ai pas assez de temps c’est assez difficile de faire mes loisirs, je m’occupe aussi de mes enfants c’est un loisir à plein temps.

5. Aimez-vous enseigner à R. Queneau ? Pourquoi ?

J’aime beaucoup enseigner ici, car il y a une bonne ambiance entre les professeurs, les élèves sont sympathiques, globalement ils travaillent et en plus, on a la chance d’avoir des salles très bien équipées qui nous permettent de travailler dans de bonnes conditions.

6. Êtes-vous ici pour un poste fixe ou non ?

Non, car je risque de partir à la fin de cette année : on verra.

7. Quels sont vos ambitions professionnelles pour le futur ?

Continuer à enseigner dans ce collège, car j’ai fait pas mal de collèges, j’aimerais bien finir en classe préparatoire après avoir travaillé dans un lycée.

8. Décrivez-nous quels sont vos défauts, vos qualités ?

Mes qualités : je pense être quelqu’un d’organisé, de très rigoureux, c’est bien pour une scientifique, je pense que je suis quelqu’un de serviable, j’aime bien rendre des services, me mettre à la disposition des autres.

Mes défauts : je peux me mettre en colère facilement, je suis parfois impatiente.

9. Que diriez-vous aux élèves qui voudraient êtres profs comme vous ?

C’est un beau métier si ça leur plaît. Il faut se lancer, c’est vraiment quelque chose d’exceptionnel, on ne fait jamais la même chose, on a des élèves différents chaque année, il y en a qui ont plus de difficultés que d’autres, donc à la fin on fait jamais la même chose, du coup c’est passionnant car c’est génial de partager une chose qu’on aime avec d’autres personnes.

10. Quel est le secret pour s’améliorer dans votre matière ?

Il faut apprendre ses leçons, écouter en classe, poser des questions si on n’a pas compris parce que l’on est là pour ça, il n’y a pas de honte à ne pas avoir compris, on ne comprend pas tout du premier coup, il faut bien prendre les corrections et refaire les exercices si l’on n’a pas compris.

Parce qu'au collège, nous passons la plus grande partie du temps dans les salles de classe avec nos professeurs qui nous dispensent leur enseignement, aujourd'hui nous allons vous révéler la personnalité de deux de nos nouvelles profs : Madame Bost et Mme Miori.

Des nouvelles profs au collège : Madame Bost et Madame Miori

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Mme Miori

1) Avant d'enseigner dans ce collège, où avez-vous enseigné?Avant d'être nommée en poste fixe dans ce collège, j'ai été une professeure remplaçante dans plusieurs collèges et notamment ces trois dernières

années, j'étais au collège Courteline dans le 12e arrondissement. 2) Comment trouvez-vous notre collège par rapport à l'autre ? Comment sont les élèves ? Les élèves sont à peu près similaires dans l'ensemble, ce sont de bons élèves de manière générale. Ils sont issus de familles plutôt favorisées. Mais il y a quand même des élèves qui ont de grosses difficultés . On a donc une hétérogénéité dans la classe qui rend les choses plus vivantes ! C'est plutôt agréable.3) Quel a été votre parcours avant d'enseigner, les écoles ou les universités fréquentées ?C'était un peu complique. J'ai fait des classes préparatoires au Grandes Écoles qui s'appellent BCPST scientifiques. Ensuite j'ai intégré une école de physique-chimie mais la biologie me manquait trop, alors j’ai poursuivi mes études à la faculté de Nice où j'ai passé mon diplôme pour devenir Professeur.4) Qu'est-ce qui vous passionne dans votre métier ? Quels sont les points positifs ou négatifs ?J'ai toujours aimé la biologie depuis que je suis jeune. J'aime le côté concret, comme on travaille sur le vivant, c'est toujours quelque chose qui parle aux élèves et donc c'est facile et plaisant d'essayer de convoquer un certain intérêt. Et, ce que je trouve le plus intéressant dans la matière, c'est de réussir à motiver tout les élèves pour travailler quel que soit leur niveau.5) Comment préparez-vous vos cours, vos questions ? Quelle est votre technique secrète ?Je n'ai pas de technique secrète. Mais j'ai récemment changé mon système d'évaluation car je

trouve que les élèves ont trop tendance à courir après la note, j'essaie de faire des choses qui intéressent car on est au collège pour travailler, apprendre des choses . Je me suis aussi dit que j'allais faire un site internet, comme ça les meilleurs élèves pourront avoir tout le cours même si on prend du retard en classe, alors que les élèves plus en difficultés pourront avoir ce support pour les aider s'ils n'ont pas eu le temps de tout bien prendre en classe.6) A l'exception de la science, avez-vous une autre passion ?J'ai d'autres passions, je fais de la danse, ça me plaît beaucoup car ça me permet de me défouler, de m'exprimer et de rencontrer d'autres personnes donc c'est très agréable. Je pratique une danse de couple qu'on appelle le West Coast swing et je fais aussi du bebop, une danse des années 50.7) Qu'aimez-vous faire quand vous avez du temps libre ?J'aime aller danser, jouer au jeux vidéos, voir des amies et m'occuper de mes 2 chats.8) Et sinon, comment vous décririez-vous ?Je suis quelqu'un d'à la fois dynamique, qui aime découvrir les choses avec curiosité, je n'aime pas m'ennuyer ni que mes élèves s'ennuient, mais ce n'est pas pour autant que je ne suis pas quelqu'un de sérieux et de précis qui aime que les choses soient faites vraiment de façon correcte. Je cherche toujours à faire en sorte qu'ils prennent du plaisir à réaliser un travail bien fait. Et je pense aussi que je suis encore plutôt jeune, ce qui influe beaucoup sur ma personnalité et que je suis très impliquée dans mon travail.9) Les élèves ont remarqué votre belle couleur de cheveux. Ils voudraient en savoir plus...(Rire...) Je n'ai pas les cheveux qui me poussent rouge comme ça. Je vais chez le coiffeur et j'aime les couleurs vives, j'avais envie d'avoir le cheveux de cette couleur. Cela fait très longtemps que j'ai les cheveux comme ça et ça ne va pas changer. Il faudra vous y habituer...10) Et enfin, qu'est-ce que vous conseilleriez aux élèves qui voudraient devenir professeur comme vous ?Il faut toujours rester curieux et ne pas être paresseux., ni avoir peur de ce que l'on sait faire ou ce qu'on ne sait pas faire : si vous avez le courage de vous confronter à ce que vous ne savez pas faire, vous arriverez à tout surmonter dans la vie. Ensuite, il faut aimer le contact, aimer transmettre des choses aux personnes et les leur expliquer. Et c'est vrai que c'est très satisfaisant. Si on ressent ce goût de la transmission, tôt ou tard, on arrivera à devenir un bon professeur !Merci d'avoir répondu à nos questions , Mme Miori. C'était très intéressant !

Clara Petrescu, Binta Traoré

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Le talent des 6AClément et Noé vous livrent l'interview d’Etienne

Champey, élève de 6eA, qui a réalisé un remarquable court-métrage dans le cadre d’un exposé en Histoire

avec l'inoubliable Mme Blier. Quel était le sujet de votre exposé ?E.C : Le sujet portait sur Thésée et le Minotaure.Pourquoi as-tu choisi de faire ce genre d’exposé ?E.C : J’ai décidé de faire ce genre d’exposé car je pensais que ceci allait intéresser plus grandement les élèves de ma classe et plus les captiver sur le sujet que je leurs présentait.

Cliquez ici* pour visionner le court-métrage d’Étienne (*version en ligne)

Pourquoi cette envie de faire un film ?E.C : J’ai eu envie de faire un film car j’avais beaucoup d’idée sur la réalisation ainsi que le montage et la mise en scène de mon court-métrage.Avec qui as-tu fait ce film ?E.C : Avec Jan Pisarik et Samir Nadif.As-tu aimé réaliser et monter ton film ?E.C : Cela m’a pris beaucoup de temps, mais j’ai adoré.

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Le Salon du Livre1) Quel impression avez-vous eu quand vous avez su que vous iriez au salon du livre ?Charlotte : J'étais contente car c'était une expérience à découvrir, je n'y étais jamais allée.Ryame : J'étais vraiment contente car j'aime beaucoup lire et ça faisait longtemps que je voulais y aller.

2) Comment s'est passé votre trajet ?Charlotte : C'était assez rapide et bien, ça n'a pas duré longtemps.Ryame : C'était bien mais je n'aime pas le métro.

3)A première vue, comment avez-vous trouvé le salon ?Charlotte : Il était grand, il y avait beaucoup de monde de tous les âges et aussi beaucoup de livres (un peu en bazar).Ryame : Je l'ai trouvé grand.

4)Dans quel stand êtes-vous allée en premier ? Pourquoi ? Charlotte : Je suis allée en premier au stand de l'édition Delcourt car il y avait des bandes dessinées que j'aime bien.

Ryame : Je suis allée à Gallimard Jeunesse car il y a mes livres préférés.

5) Est-ce que les personnes qui s'occupaient des stands étaient gentilles ?Charlotte : Oui, et quand on avait besoin d'un renseignement elles nous aidaient, elles étaient agréables.Ryame : Oui, plus ou moins.

6)Est-ce que vous vous êtes perdues ?Charlotte : Oui, quelquefois, mais comme on avait un plan je me suis vite repérée.Ryame : Oui mais je me suis vite retrouvée.

7)Comment avez-vous trouvé le salon du livre ?Charlotte : Il était très bien mais ce qui était dommage c'est que les auteurs venaient plus nombreux dans l'après-midi.Ryame : Je l'ai vraiment adoré !!!

L'auto-interview de Charlotte SARKIS, et Ryame AJAKA, 6A

Le vendredi 29 novembre, les élèves de la classe de 6A se sont rendus au salon du livre jeunesse de Montreuil avec Mr Hausman et Mme Quinson. Ils nous ont donné un questionnaire à remplir pendant la matinée et nous ont dit de nous retrouver, en fin de matinée, devant la croix rouge. Le salon du livre était très grand, il y avait deux étages et aussi une cafétéria. Nous nous sommes tous séparés par groupes. Nous avons vu plusieurs stands là où il y avait beaucoup de livres.Description d'un stand :Les exposants nous posaient des questions sur des BD qu'on connaissait et si on répondait juste, ils nous offraient un cadeau.Exemples de cadeau :Chapeau en carton à l'effigie de Spirou, autocollants, etc...

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BD dessinée par Rhizlaine El Housny, Avec la participation de Natacha Regeljac-Rossetto

Voici le résultat du jeu concours  : le « Quoi ? Qu'est-ce ?»

Pour ceux qui n'ont pas suivi, il fallait trouver le nom de cet objet... Des indices avaient été donnés chaquejour pendant le mois de décembre. Par exemple :- C'est imputrescible, - Cela ne se mange pas, - Cela se trouve en bord de mer,- Cela ne vient pas d'un végétal...

Finalement, 3 élèves de 6ème ont trouvé quasiment en même temps ! Il s'agit Finalement, 3 élèves de 6ème ont trouvé quasiment en même temps ! Il s'agit de Mai-Linh, Samir et Etienne. Voici leur interview réalisée par Binta, Clara et de Mai-Linh, Samir et Etienne. Voici leur interview réalisée par Binta, Clara et Saffa.Saffa.

Aimez-vous les SVT ?

M. : Oui, j'aime bien, c'est intéressant.S. : Moi aussi je trouve ça sympa.E. : J'aime les SVT, j'ai toujours aimé cette matière.

Comment avez vous trouvé le nom de l'objet et étiez vous sûrs de votre réponse ?

M. : On a discuté avec des amis et nos réponses se sont enrichies. Finalement, j'ai deviné au hasard !

S. : Je le savais, je l'avais appris dans des livres, des documentaires sur Arte. Et aussi, on m'en a montré à Toronto. J'en ai même touché un !E. : J'avais vu des petits requins grandir dedans à l'aquarium du Trocadéro. Un monsieur me l'a expliqué, donc j'étais sûr de ma réponse.

Que pensez-vous recevoir comme récompense ?

M. : Aucune idée ! Un DVD, par exemple sur les animaux marins ?E. : Un livre sur la nature.S. : Mme Miori a un élevage de phasmes dans la classe... je me suis dit que cela serait sympa si je pouvais en avoir un !

En récompense, ils ont tous les trois reçu un petit livre sur les SVT :- Petit atlas des climats.- Petits atlas des risques écologiques.-Toutes les idées géniales qu'on a piquées à la nature.

Bravo à eux et merci à tous d'avoir participé !Comment ça, j’oublie quelque chose... Ah oui.. il s'agissait d'un œuf de requin !

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