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1 Arts et Métiers 22 Jeudi 1 er juin 2017 18h–22h Nocturne dans les galeries d’art du Marais Guide-programme

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1Arts et Métiers22

Jeudi 1er juin 201718h–22hNocturne dans les galeries d’art du Marais

Guide-programme

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Bienvenue dans les galeries d’art !

Vernissages, performances, rencontres avec des artistes ou encore visites guidées : les galeries du Marais vous ouvrent leurs portes et vous invitent à découvrir leurs artistes. Entrez, vous êtes les bienvenus.

Une question, besoin d’une explication ? Nos ambassadrices sont réparties dans une sélection de galeries et sont à votre disposition pour toute question. Vous souhaitez vous initier à l’art contemporain ? Suivez l’une de nos médiatrices pour une visite guidée en réservant dès maintenant votre parcours, ou le jour J, dès 18h au Carreau du Temple à notre point d’information. Une fois votre parcours dans les galeries achevé, rendez-vous pour notre « Arty Party », au Carreau du Temple, pour de nouvelles découvertes : installations immersives et performances audacieuses vous attendent pour une soirée sur le thème « Des bruits qui courent ». Que votre soirée soit faite de belles découvertes et de passionnants échanges.

Alice LebredonchelFondatrice des Jeudis Arty

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Galeries participantes par quartiers

TurenneGaleries à

1 Galerie Dix9 82 Galerie Filles du Calvaire 93 Galerie Felli 104 Galerie PIJAMA 115 Galerie Patrick Gutknecht 126 Galerie Houg 137 Galerie Escougnou Cetratro 148 galeriepcp 159 Galerie Thomas Bernard 16

Arts et Métiers Galeries à

10 School Gallery 1711 Galerie Claire Corcia 1812 Galerie Brugier Rigail 2013 Galerie Charron 2114 Galerie PACT 2215 Galerie Gilbert Dufois 2316 Galerie Tokonoma 2417 Lebenson Gallery 2518 Galerie Anne-Sarah Bénichou 2619 Galerie Catherine Putman 2720 Galerie Mi* 2821 Galerie Schwab Beaubourg 30

Enfants RougesGaleries à

22 Galerie Baudoin Lebon 3123 Galerie Collection 3224 Galerie JPHT 3325 Galerie Veronique Smagghe 3426 Galerie Lazarew 3527 Galerie Thierry Bigaignon 3628 Galerie RX 3729 Galerie Eva Meyer 3830 Galerie Marie-Robin 40

Lieux partenairesMSC Le MAIF SOCIAL CLUB 42BHV L’Observatoire du BHV MARAIS 43CT Le Carreau du Temple 44B Beaucoup 46G Gigi 46E Elmer 47

NM Nord Marais 47

Galeries + Ambassadeurs/drices

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Nos ambassadeurs/drices vous donneront les clefs de l’exposition présentée dans la galerie où vous les retrouverez pendant toute la soirée. Ils/elles répondront à toutes vos questions et pourront vous orienter dans le parcours de votre soirée.

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M Arts et Métiers

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Suivez le guide !Visitez les galeries en parcours libre et gratuit, ou profitez d’une de nos visites guidées proposées tout au long de la soirée.

Infos et réservations [email protected] lesjeudisarty.placeminute.comRéservation également possible le 1er juin à l’accueil du Carreau du Temple à partir de 17h, dans la limite des places disponibles.

© Gaelle Matata.

« Ceci n’est pas une chasse au trésor »8€/Départ à 19h et 19h30 au bar du Carreau du Temple, 2, rue Perrée, Paris 3e

À la croisée des chemins entre le jeu de piste et le parcours artistique, nous vous proposons de partir à la découverte de 4 galeries participantes à notre nocturne.

Une visite immersive et participative pour faire connaissance avec des artistes et se laisser séduire par des œuvres méconnues.

Que vous soyez passionnés d’art ou simplement curieux, vous recevrez un livret qui vous guidera tout au long du parcours. Aucune connaissance spécifique n’est nécessaire, seul votre appétit de l’art compte. Top départ !

Organisé en partenariat avec l’association Papotart.

« Rendez-vous dans un autre monde »15€/À 18h30 et 20h30Le lieu de la visite vous sera communiqué par mail ou par téléphone 24h avant

Vous avez rendez-vous avec un artiste dans sa galerie, mais cela restera un secret jusqu’au dernier moment. Faites-nous confiance, vous ne serez pas déçu… Ce que l’on peut déjà vous dire, c’est que le galeriste et l’artiste vous attendent, vous et quelques privilégiés, pour un tête-à-tête artistique exclusif, dans l’une des galeries participantes à notre nocturne.

L’artiste que vous allez rencontrer, vous emmènera dans son univers et partagera avec vous ses intentions créatives et de jolies anecdotes. Ses œuvres, sa démarche artistique, ses sources d’inspiration nous ont touchés et nous avons eu envie de vous les faire partager. Alors, prêts à nous suivre ?

« 120 minutes pour comprendre l’art contemporain »30€/Départ à 19h30 au bar du Carreau du Temple, 2, rue Perrée, Paris 3e

4 parcours thématiques

Un parcours de 2h dans trois galeries avec une médiatrice rien que pour vous ? Vous en rêviez, nous l’avons fait.

Les portes des galeries s’ouvriront à vous le temps d’une soirée et vous découvrirez en profondeur le travail de trois artistes, selon un thème transversal.Les courants artistiques, les questionnements des artistes et le vocabulaire spécifique n’auront plus de secret pour vous ! Au fil des exemples, nous verrons ensemble que l’artiste d’aujourd’hui fait très souvent écho à l’histoire de l’art mais qu’il n’est pourtant pas essentiel de maîtriser cette dernière pour s’ouvrir à l’art contemporain. Toutes les questions seront permises, toutes les clés de compréhension et d’analyse vous seront données et toutes les notions vous seront expliquées.

Qu’attendez-vous pour devenir un amateur éclairé en art contemporain ?

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GALERIE DIX9Alice Allenet, Nour Awada, Marion Bénard, Elvire Caillon, Ugo Cerina, Cécile Chaput, Guillaume Duffner, Angèle Guerre, Eudoxie Humblot, Paul Lahana, Pauline Lavogez, Vincent Lemaire, Enzo Mianes, Martin Monchicourt, André Perfetti, Caroline Reveillaud, Chloé Tournoux, Louise Siffert, Ernst Stark« Là-Bas »Curateur Theo-Mario Coppoladu 17 mai au 17 juin 201719, rue des Filles du Calvaire, Paris 3e

www.galeriedix9.com

« Là-Bas » se présente comme une fiction collective. Chaque artiste livre une vision personnelle du roman éponyme de l’écrivain Joris-Karl Huysmans. Il s’agit du roman qui précède le cycle de la révélation, avant la conversion

de l’auteur par l’abbé Mugnier (figure lettrée du Tout-Paris). Quel élément provoque le basculement vers une nouvelle réalité ? Comment la forme se renouvelle-t-elle à la suite d’un état de conscience ? En proposant des œuvres sur le thème de la révélation, « Là-Bas » s’intéresse aux mécanismes de la métamorphose artistique.

Autour d’un verre, les artistes et le curateur de l’exposition seront présents lors de la nocturne.

Vincent Lemaire, Distance, photogramme sur papier Ilford baryté brillant, 2017.

GALERIE FILLES DU CALVAIREDouble exposition du 17 mai au 17 juin 201717, rue des Filles du Calvaire, Paris 3e

www.fillesducalvaire.com

Paz Corona, Oro 2, huile sur toile, 2016© Matthieu Gauchet.

Paz Corona – Mas sol que SombraPour sa troisième exposition à la galerie Les filles du calvaire, l’artiste Franco-Chilienne Paz Corona propose une série inédite de toiles brossées, des portraits et des corps aussi vibrants que la touche est franche. Avec ce nouveau corpus, riche de toiles et de dessins, elle continue ses recherches formelles sur le thème du portrait et de l’identité, creusant avec sérieux les possibilités qu’il offre.

Erwan Morère – VertigeÀ rebours de la pratique enseignée aux jeunes photographes contemporains, Erwan Morère privilégie un rendu photographique noir et blanc très dense et favorise une opacité relative de la vision. Il présentera ces dernières séries.

Une rencontre avec l’artiste Paz Corona autour de son exposition est prévue à 20h.

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GALERIE PIJAMAWilfried Histi et Frédéric de Petiville« Association Libre »du 4 mai au 11 juin 201782, rue de Turenne, Paris 3e

Wilfried Histi, Sans titre, céramique émaillée, 2017 © WH & J.

Wilfried Histi et Frédéric de Petiville ouvrent la cure psychanalytique – nouvelle ligne éditoriale de la galerie – à travers des travaux mis en résonnance, illustrant l’absence et la présence humaine. Des corps tiraillés, amputés, semblant tout droit arrachés de ces peintures où les perspectives et lignes de fuite, délibérément altérées, créent un malaise qui captive. Isolées ou enchevêtrées les unes sur les autres, les sculptures figurent des émotions dont la verbalisation est difficile. L’expérience immersive est alors fortement recommandée pour permettre la prise en compte progressive des éléments contradictoires et conflictuels qui forment la totalité psychique du sujet.

Lors de cette nocturne, les artistes seront présents et partageront avec vous leur démarche dans une ambiance chaleureuse et conviviale.

GALERIE FELLIKatarina Axelsson du 1er au 29 juin 2017127, rue Vieille du Temple, Paris 3e

galeriefelli.com

Katarina Axelsson, La rivière à la fin, acrylique sur bois de peuplier, 2016© Laurent Critot/Katarina Axelsson.

Cette exposition est réalisée en collaboration avec le Musée de la Vallée de la Creuse où Katarina Axelsson a effectué une résidence d artiste entre septembre et décembre 2016.

Suite à une exposition personnelle en avril 2017 au Musée de la Vallée de la Creuse, la galerie présentera une trentaine d’œuvres autour des paysages de la vallée, foyer d’expérimentations artistiques depuis le 19e siècle.

Un catalogue est édité en collaboration avec le musée.

Vernissage le 1er juin.

Katarina Axelsson, Les 29 reines, acrylique sur bois de peuplier, 2016 © Laurent Critot.

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GALERIE HOUGNicolas H. Muller, Vincent Ganivet, Stéphanie Raimondi, Jennifer Caubet« Spectre »du 20 mai au 17 juin 201722, rue Saint-Claude, Paris 3e

galeriehoug.com/fr

La Galerie Houg invite les artistes Jennifer Caubet, Vincent Ganivet, Nicolas H. Muller et Stéphanie Raimondi sur une proposition curatoriale de Jérôme Allavena.

Les artistes de l’exposition seront présents lors de la nocturne.

La galerie Houg.

GALERIE PATRICK GUTKNECHTMarion Dubier-Clark « From Tokyo to Kyoto »du 1er juin au 26 août 201778, rue de Turenne, Paris 3e

www.gutknecht-gallery.com

Marion Dubier-Clark a découvert le Japon au printemps 2016. Entre Tokyo, Matsumoto, Takayama, Kanazawa, Osaka et Kyoto, pour les villes, Naoshima et Teshima pour les îles, le pays lui offrait un vaste espace d’inspirations sur les veines de l’abstraction, de la nature, de l’héritage et de l’humain. Aussi éloignée de la rigueur documentaire que de la ligne du road movie, contournant l’opposition tradition/modernité dont l’étonnement sature la perception occidentale, Marion Dubier-Clark protège la fraîcheur et la licence poétique de ses vues isolées, la portée évocatrice de ses pièces uniques pour livrer sa vision personnelle, élégante comme une calligraphie, sobre comme un jardin de pierre.

Vernissage de l’expostion en présence de l’artiste qui dédicacera pour l’occasion son dernier livre From Tokyo to Kyoto.

Marion Dubier-Clark, Trees in the floor, photographie numérique sur appareil Fuji XT-1, 2016 © Marion Dubier-Clark.

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GALERIE ESCOUGNOU -CETRATROAndrés Ramirez« 17 squares is a love song. Backwards »du 20 mai au 24 juin 20177, rue Saint-Claude, Paris 3e

escougnou-cetraro.fr

Andrés Ramirez, Growing into you, silver volatile gesture, techniques mixtes, 2017, courtesy de l’artiste et galerie Escougnou-Cetraro.

Fondé sur l’analyse, la réappropriation et le détournement de paradigmes de la production industrielle et de la communication visuelle, le travail d’installation d’Andrés Ramirez assume un arbitraire poétique, une forme de romantisme spectral, quasi psychotropique. Les installations, les sculptures ou les images qu’il organise ne répondent pas à des enjeux techniques, esthétiques ou conceptuels de manière directe, mais investissent les intervalles, parfois les tensions, qui les séparent. Les différents médias qu’il emploie sont mis en interaction constante et constituent des chaînes d’élaboration et de production complémentaires, visant à constituer ce que l’artiste envisage comme un « infra-media ».

Andrés Ramirez, D.R.Y., techniques mixtes, 2017, courtesy de l’artiste et galerie Escougnou-Cetraro.

GALERIEPCPBorden Capalino « Sour »du 11 mai au 17 juin 20178, rue Saint-Claude, Paris 3e

www.galeriepcp.com

Borden Capalino, Four Seasons Arcadia Firm (detail), UV Print, pigmented resin and mixed materials on polystyrene, 2017, courtesy of the artist and galeriepcp.

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GALERIE THOMAS BERNARDVincent GicquelExposition d’une série de dessins Exclusivement pour la nocturne13, rue des Arquebusiers, Paris 3e

www.galeriethomasbernard.com

Vincent Gicquel, Sans titre, aquarelle sur papier, 2017.

L’œuvre de Vincent Gicquel est l’œuvre d’un comique qui laisse apparaître ou deviner tout ce qu’il y a de ridicule et d’horriblement banal dans l’existence humaine. Dans ces tableaux, l’homme devient alors l’unique sujet, l’unique vestige campé au beau milieu d’un monde où tout semble avoir disparu. Dans cet univers privé d’illusion, l’homme œuvre à sa manière dans une solitude implacable, dans une indifférence générale où les regards ne se croisent jamais. L’humour devient alors indispensable, le rire : salvateur. L’une des clés qui permettrait d’aborder cette œuvre tient dans sa structure comico-tragique.

Le rire de Vincent Gicquel est une révolte de l’esprit contre l’absurde. Un rire résultant d’une prise de conscience de la condition humaine. Tout, n’est que divertissement, dérivatif à la mort. Chacune de ces toiles constitue le point d’incidence d’une réflexion ; le miroir fidèle de la réalité dans lequel l’homme vient se réfléchir.

SCHOOL GALLERYHelena Hauss, Konrad, Raphaël Tachdjian« No(s) Drawings »du 11 mai au 4 juin 2017322, rue Saint-Martin, Paris 3e

www.schoolgallery.fr

C’est dans un esprit à la fois radical, percutant, transculturel et bouillonnant que la School Gallery défend depuis plus de dix ans artistes confirmés et jeunes talents venus de tous horizons. Le parti-pris singulier d’Olivier Castaing propose une nouvelle approche des œuvres. Après une visite de la galerie, Olivier invite les collectionneurs et visiteurs à entrer dans son cabinet d’amateur situé en prolongement de la galerie dans un bâtiment du XVIIe siècle, ancien relais des calèches du courrier de Lyon… un cadre historique pour une immersion dans un stock vivant… une installation à part entière. Dans son « antre » comme il l’appelle souvent, on découvre la multiplicité de ce qu’il aime, son intérêt particulier pour la photographie, et les productions de ses artistes fétiches.

Les artistes seront présents lors de la nocturne.

Helena Hauss, Sleeping Beauty, dessin au stylo bille, 180x115 cm, 2017 © Helena Hauss courtesy School Gallery/Olivier Castaing.

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GALERIE CLAIRE CORCIAOdy Saban, Sabine Darrigan, Geneviève Seillé“OUTSIDER ART” 3 Women Outsider Artistsdu 1er juin au 12 juillet 2017322, rue Saint-Martin, Paris 3e

www.galeriecorcia.com

Geneviève Seillé, Mapa ed Veneiys, Technique mixte sur papier, 2012, crédits photos : courtesy galerie Claire Corcia, Paris.

Exposition des œuvres inédites de trois artistes art brut de renommée internationale : Ody Saban (peintures et dessins), Sabine Darrigan (sculptures) et Geneviève Seillé (dessins).

Vernissage jeudi 1er juin de 18h à 21h30 et rencontre avec les artistes qui présenteront leurs œuvres inédites.

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20 21Arts et Métiers13Arts et Métiers12

GALERIE BRUGIER RIGAIL Levalet, Miss Tic, L’Atlas, Tanc, Nick Walker, John Matos Crash, M.Chat, Monkeybird, MadC« Ma collection d’art urbain »du 18 mai au 6 juin 201740, rue Volta, Paris 3e

www.galerie-brugier-rigail.com

MadC, 1025-2016, acrylique, aquarelle et aérosol sur toile et tissu, 2016.

La galerie Brugier-Rigail organise l’exposition « ma collection d’art urbain », où seront présentés les artistes les plus emblématiques de la scène urbaine française et internationale. Au programme : Levalet, Miss Tic, M.Chat, L’Atlas, Tanc, Nick Walker, John Matos Crash, Monkeybird et MadC.

Ouvert à tous, cet événement est l’opportunité pour les jeunes amateurs d’art de débuter ou de perpétuer leur collection et d’acquérir ainsi des pièces de choix. Grâce à leur expérience et leur expertise dans le domaine, Laurent Rigail et Éric Brugier, collectionneur eux-mêmes, se feront un plaisir d’apporter les conseils et recommandations qui vous permettront de bâtir la collection qui vous ressemble.

GALERIE CHARRONRayk Goetze« Barbaric Splendour »du 1er juin au 7 juillet 201743, rue Volta, Paris 3e

www.galeriecharron.com

Rayk Goetze, Traumfrau (Femme de rêve), huile et acrylique sur toile, 2017.

La galerie Charron, fondée en 2007 située rue Volta au cœur du Marais, se singularise dans le paysage artistique parisien par un fervent engagement à la création d’un pont artistique entre la France et l’Allemagne. Du 1er juin au 7 juillet 2017 la galerie Charron invite Rayk Goetze, artiste allemand issu de la Nouvelle École de Leipzig au travers d’une exposition intitulée Barbaric Splendour. Les peintures de Rayk Goetze porte sur l’appropriation d’un nouveau langage visuel dans un cadre historique et questionne ainsi l’identité d’une peinture contemporaine tout en dévoilant ses inspirations aux grands maîtres de la Renaissance, du Maniérisme et du Baroque.

Le vernissage de l’exposition Barbaric Splendour aura lieu le 1er juin 2017 à partir de 18h.

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22 23Arts et Métiers15Arts et Métiers14

PACTLucy Kim« Stubborn Doubles », Pact avec Jennifer Nelson, poétesse du 27 avril au 16 juin 201770, rue des Gravilliers, Paris 3e

www.galeriepact.com

Lucy Kim, PPSM 2, peinture à l’huile, peinture acrylique, résine uréthane, époxy, fibre de verre, bois, 2016 © Tony Luong – courtesy PACT.

Dans « Stubborn Doubles », première exposition de Lucy Kim en Europe, chaque œuvre amène deux différents éléments à se rencontrer, et à n’exister qu’en un seul objet.Le double nous parle alors de la multiplicité présente dans une seule entité : extérieure, comme le double corporel, mais aussi intérieure comme dans les théories freudiennes.

Le mot « Stubborn » lui, nous parle d’obstination, dans la répétition acharnée d’une image comme dans l’insistance de l’autre dans tout. Il évoque aussi notre habitude persistante à penser de manière binaire, habitude obsolète face à ces œuvres hybrides et polysémiques.

L’exposition est présentée en collaboration avec Jennifer Nelson, historienne de l’art, critique et poétesse, nous livrant à l’occasion un essai à propos de l’œuvre de Lucy Kim.

Vernissage le 1er juin.

GALERIE GILBERT DUFOIS Pierre Voituriez« Trophées »du 1er juin au 15 juillet 20174, rue du Bourg l’Abbé, Paris 3e

www.galeriegilbertdufois.com

La galerie Gilbert Dufois est heureuse de présenter une exposition intitulée « Trophées » de Pierre Voituriez.

Pierre Voituriez dans son atelier en pleine réalisation des trophées, courtesy galerie Gilbert Dufois, Senlis – Paris.

« C’est parce que je connais bien l’Animal, que j’ai eu envie de vous parler de ses bestioles ! Il y a autant d’humanité dans chacune d’elles que dans les personnages de La Fontaine. On y retrouve les sentiments qui traversent nos vies : la bonhomie, la désinvolture, l’espièglerie, l’inquiétude, la tristesse…

Ses sujets débordent d’une vitalité que l’auteur a voulu partager avec nous, sans retenue et sans jamais brider son imagination. Celle d’un contemplatif actif selon son propre aveu : j’observe la nature, j’emmagasine sans compter mon temps… jusqu’à ressentir l’envie de donner vie à toutes ces choses enfouies dans mon esprit. Là, mon processus de création accepte volontiers les incidents de parcours au point de me laisser agréablement surprendre. Regardez la nature… et tournez-lui le dos a dit Raoul Dufy. »

Ivan Olivas.

Vernissage en présence de l’artiste le 1er juin.

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GALERIE TOKONOMABrann Renauddu 20 avril au 3 juin 2017 47, rue Chapon, Paris 3e

Brann Renaud, Sables, huile sur toile, 2017 © Brann Renaud.

Brann Renaud, Freud n’y est pour rien, c’est la peinture, huile sur toile, 2016 © Brann Renaud.

Jouant de menus détails ou en les juxtaposant ou les multipliant dans un même tableau, Brann Renaud ne vise pas à être réaliste. Il utilise le réalisme comme une technique non de reproduction mais d’interrogation du réel. Il peint la surface des choses en la rendant par sa précision la plus transparente possible, afin de donner à voir, à deviner, à pressentir ce qu’au-dedans elle renferme ou elle cache.

L’artiste sera présent lors de la nocturne.

LEBENSON GALLERYLee Sol« Venus Mansion »du 13 Mai au 30 juillet 201756, rue Chapon, Paris 3e

www.lebensongallery.com

Lee Sol, Venus Mansion, photographie, 2017© Lee Sol « Venus Mansion » / Lebenson Gallery.

Lee Sol, artiste coréen et révélation artistique, construit un décor quasi métaphysique qui rappele les paysages de Chirico. Une paix intérieure s’installe alors pour nous plonger en dehors du mortel ; nous baignons ainsi d’une une éternité douce et rose. Ce rose impossible qui revient dans l’œuvre va jusqu’à annuler le temps en créant un espace qui n’en a plus besoin.Les corps posent, les statues grecques et Vénus revisitées se parlent et s’émeuvent depuis une couleur pensée, depuis une pensée qui se passe de pesanteur. Les Vénus baignent dans des paysages poudrés, dans des couleurs néons faisant face à des objets modernes en suspens ; des casques de football américain deviennent antiquement nouveau et l’Antiquité s’extasie d’être à nouveau suscitée.

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26 27Arts et Métiers19Arts et Métiers18

GALERIE ANNE-SARAH BÉNICHOU« Le parti pris des nuages »Marion Baruchdu 21 mai au 13 juillet 201745, rue Chapon, Paris 3e

annesarahbenichou.com

Marion Baruch, Portrait 1, 2, 3, 4, 5, tissus, 2013 © Ilmari Kalkkinen – courtesy de l’artiste et galerie Anne-Sarah Bénichou.

Dans les années 1990, Marion Baruch expose avec le célèbre galeriste Milanais Inga-Pin. À cette époque, l’artiste signe ses œuvres sous le label « Name Diffusion », menant des actions artistiques sous la forme d’un collectif non incarné. Renouvelant sans cesse sa pratique, elle intervient désormais exclusivement sur des chutes de tissus dans lesquelles sont

découpés des éléments de vêtements. Rebuts de la société industrielle et urbaine, ces restes lui sont remis par sacs entiers venant des usines de textiles de haute-couture et prêt-à-porter de la ceinture Milanaise.

Pour sa première exposition personnelle à la galerie Anne-Sarah Bénichou, « Le parti pris des nuages » en hommage à Ponge, Marion Baruch renoue avec cette poésie du réel et du quotidien caractéristique de son œuvre.

« Qu’elles se nomment Peintures, Sculptures, ou Portraits, les œuvres de Marion Baruch sont toujours semblablement constituées de lambeaux de tissus épinglés au mur. […] Leur tombé, ce qui s’apparenterait parfois à un drapé, les formes qu’elles présentent, ne tiennent qu’à l’effet conjugué du hasard et de la pesanteur sur la souplesse du tissu : rien là de prévu, de préparé . […] Les œuvres offrent une structure dessinée qui affiche une géométrie molle à mi-chemin entre déconstruction du tableau, esquisse de bas-relief et sculpture processuelle. ».

Christian Bernard.

GALERIE CATHERINE PUTMANAlain Clément« Papiers »du 20 mai au 13 juillet 201740, rue Quincampoix, Paris 4e

www.catherineputman.com

Alain Clément, Sans titre, crayon et aquarelle sur papier, 2007, crédit photo : Albert Ricci.

L’exposition «Papiers» d’Alain Clément rassemble une trentaine d’œuvres, pièces uniques et estampes, florilège du travail sur papier de l’artiste au cours des quinze dernières années. Alain Clément, peintre, sculpteur et graveur a cette particularité propre aux artistes de la galerie d’avoir une appétence forte pour les œuvres sur papier.

Dans son processus créatif, il travaille simultanément grandes peintures, gouaches et sculptures de petits formats : « Cette simultanéité m’est nécessaire pour faire dialoguer les différents médiums et les fondre dans un projet commun. » Au côté des gouaches et d’une sélection de petits reliefs muraux, l’exposition fait aussi la part belle à ce qui fait la complicité et la singularité de la collaboration entre l’artiste nîmois et la galerie : l’estampe.

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GALERIE MI*Solimán López« Celeste »du 2 juin au 20 juin 201723, rue Chapon, Paris 3e

Solimán López étudie la relation entre numérique et analogique. Ce travail, basé sur l’idée de « l’art numérique en tant que fichier », nous aide à comprendre ce que signifie Celeste (bleu doux en espagnol mais également firmament).

Dès le début de notre humanité, beaucoup d’artistes ont essayé de trouver des réponses sur ce qui vit au-dessus de nos têtes en constatant que nous sommes un petit pixel dans le plus grand écran jamais imaginé.

L’exposition est basée sur la création d’un registre en temps réel du ciel grâce à un dôme en « sculpture » (Raspicam) qui est en permanence en direction du ciel. Cette balise envoie les images au serveur, qui traite les données et crée un paysage numérique autonome basé sur les couleurs RVB extraites de l’image originale du ciel. Ces valeurs créent un paysage

dégradé, avec une esthétique et une signification puissantes. À ce paysage dégradé s’ajoutent les informations suivantes : latitude et longitude, humidité, température, fuseau horaire et l’hashtag des sujet tendances Twitter.

Chaque visiteur peut donc s’approprier un moment unique dans le ciel, télécharger ce visuel et même l’imprimer et se le faire livrer à domicile.

Vernissage et performance de l’artiste le 1er juin.

Soliman Lopez, Celeste Beacon, 2017.

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GALERIE SCHWAB BEAUBOURGSafet Zec« De Sarajevo à Venise »du 31 mai au 22 juillet 201735, rue Quincampoix, Paris 4e

www.galerieschwabbeaubourg.com

Safet Zec, Luigi VI, huile sur toile, 2010, courtesy galerie Schwab Beaubourg.

Né en 1943 en Bosnie-Herzégovine et diplômé de l’École des Arts Appliqués de Sarajevo et de l’Académie des Beaux-Arts de Belgrade, Safet Zec est devenu dans son pays natal la figure centrale du « réalisme poétique ». En 1992, il quitte Sarajevo pour s’installer en Italie, où il installe son atelier à Venise en 1998.C’est à notre sens l’un des plus grands peintres européens vivants.

Fin 2014, le pape François a inauguré la déposition de croix qu’il a réalisée pour l’Église de Jésus à Rome. Son œuvre a été largement exposée ces dernières années en Europe, notamment dans divers musées : en 2016 au musée di San Salvatore in Lauro à Rome, et au musée de l’Hospice Comtesse à Lille, où beaucoup de français ont découvert cette peinture exceptionnelle ; mais aussi en Allemagne, en Croatie et à Prague.

GALERIE BAUDOIN LEBONJoel-Peter Witkin“The Soul Has No Gender” du 20 avril au 3 juin 20178, rue Charles-François Dupuis, Paris 3e

www.baudoin-lebon.com

© Joel-Peter Witkin, Imperfect Thirst, 2016, courtesy baudoin lebon.

Quarante ans d’un parcours artistique, à l’intemporalité indéniable, concentrés dans les œuvres inédites et produites récemment par Joel-Peter Witkin. Cette nouvelle exposition confère à l’iconographie usuelle dans laquelle s’interpénètrent le sacrée et le profane, l’histoire des consciences et celle des âmes. Elle livre également tout le savoir-faire technique iconoclaste et atypique de ce photographe hors normes.

Joel-Peter Witkin possède une culture artistique considérable perceptible dans ses thématiques, son langage plastique, mais aussi dans la précision de ses dispositifs de prise de vue. Ses carnets de croquis recèlent de multiples références aux œuvres picturales ou sculpturales de l’histoire de l’art et contiennent ses secrets de composition.

Projection de films  (interview de Peter-Joel Witkin et documentaires) et une vidéo exclusive pour les Jeudis Arty avec Joel-Peter Witkin.

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32 33Enfants Rouges24Enfants Rouges23

GALERIE COLLECTIONCéramistes contemporains japonais Osamu Kojia, Kenji Kojima, Satoshi Kino, Tomomi Tanaka, Midori Uchida, Kouzo Takeuchi, Harumi Nakashima, Takeshi Igawa, Fuku Fukumoto  du 13 mai au 10 juin 20174, rue de Thorigny, Paris 3e

www.galeriecollection.fr

La galerie Collection invite Sokyo Gallery dans le cadre de partenariats noués avec des galeries ou des institutions à l’étranger depuis plusieurs années.

Installée depuis 2013 dans le quartier de Gion à Kyoto, la galerie Sokyo s’est donnée pour objectif de lier l’art au quotidien dans une quête de la « beauté » au sens large, fut-elle le fruit d’une tradition ou de préoccupations plus contemporaines. C’est dans cet esprit que la galerie s’efforce de présenter sans parti pris ni préjugé les formes que la « beauté plastique » a su prendre depuis l’époque moderne et dont

témoigne la diversité des objets et des œuvres en céramique que la galerie présente.

La diversité des pièces exposées à la galerie Collection, allant d’une série de bols à thé s’inscrivant dans une tradition perpétuée depuis le Moyen-Âge à des objets abstraits et contemporains, permettra de mesurer dans un même espace comment se mêlent, à l’image du Japon contemporain, art et artisanat, tradition et avant-garde.

Harumi Nakashima , The Coexistence of Absurdity and Rationality in Form–1305, porcelaine © Courtesy Sokyo Gallery.

GALERIE JPHTJavier Navarro Avilés« Dalida, Rencontre avec une Étoile »du 28 avril au 15 juin 20174, rue de Saintonge, Paris 3e

www.galeriejpht.com

Le caractère singulier de cette exposition tient au fait qu’elle présentera au public des portraits traités en aquarelle de la chanteuse Dalida dont c’est le 30e anniversaire de la disparition cette année. L’artiste, Javier Navarro Avilés, âgé de 20 ans, a relevé le défi de se laisser inspirer par des textes poétiques à propos de la chanteuse Dalida. Ces aquarelles seront publiées en accompagnement de ces textes dans un livre d’art intitulé « Dalida, autobiographie d’une âme », à paraître le 29 avril 2017 aux Éditions « Entre Deux Mondes » pour le vernissage de l’exposition. Le style de l’artiste permet de découvrir la star de la chanson française de manière inattendue et totalement renouvelée.

Présence de l’artiste Javier Navarro Avilés et de l’éditeur du livre. Diffusion dans la galerie des succès de Dalida. Présentation de la genèse de l’exposition.

Javier Navarro Avilés, Dalida, autobiographie, aquarelle, 2017, droits réservés.

Javier Navarro Avilés, Dalida, pensive, aquarelle, 2017, droits réservés.

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34 35Enfants Rouges26Enfants Rouges25

GALERIE LAZAREWIsabel Espinoza « Vibrations Verticales » du 31 mai au 17 juin 201714, rue du Perche, Paris 3e

www.galerie-lazarew.fr

Troisième exposition de l’artiste équatorienne Isabel Espinoza à la galerie. Isabel est en lien intime et régulier avec la nature, à la fois à travers ses racines et son enfance passée dans une petite ville au milieu de la jungle équatorienne, où sont nées ses premiers questionnements, ses premières inquiétudes et où elle retourne fréquemment. En tant qu’artiste, elle se ressent comme un vide qui s’emplit des éléments naturels afin de les traduire dans son œuvre. Son travail se caractérise par une concentration poussée à extrême, une intégrité qui se retrouve dans le raffinement des techniques utilisées et une fraîcheur qui lui permet de traduire ses idéaux dans des pièces d’une beauté intemporelle.

L’artiste sera présente lors de la nocturne.

Isabel Espinoza, Vibrations Verticales, bois, acrylique, encre, 2017 © Isabel Espinoza – galerie Lazarew.

GALERIE VERONIQUE SMAGGHEExposition de groupe avec une sélection d’œuvres de Arthur Aeschbacher, Pierrette Bloch, Olivier Debré, François Dufrêne, Brion Gysin, Raymond Hains, Eric Michel, Véra Molnar, Noël Pasquier, Jacques Villéglé et Judith Wolfemai–juin 201710, rue de Saintonge, Paris 3e www.galerieveroniquesmagghe.com

Groupe show autour d’œuvres majeures d’un choix d’artistes présentées en permanence à la galerie depuis 1990.

Cocktail festif pour célébrer, presque l’été, pendant la nocturne.

Raymond Hains, Sans titre, affiches lacérées sur tôle, 1961 © Galerie Véronique Smagghe.

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GALERIE RXDenis Darzacq« Contreformes » du 6 mai au 17 juin 201716, rue des Quatre-Fils, Paris 3e

www.galerierx.com/fr

La série des Contreformes s’inscrit dans la lignée de la série Recomposition. En plaçant à nouveau l’abstraction au cœur de son travail, Denis Darzacq poursuit son questionnement sur les figures humaines. Les stigmatisations révélées dans ses précédents travaux sont transposées sur des objets secondaires, contenants futiles mais utiles, à la marge de leurs contenus.

Ce nouveau travail est composé de photographies d’objets manufacturés de la vie courante qui ont eu à une époque une fonction précise. Eléments de construction ou de protection de biens de consommation, ces objets n’ont pas de valeur propre, ils n’existent que comme contre-forme dont les fonctions sont contingentées par ce qu’ils protègent ou ce qu’ils construisent.

Ces photographies posent plus généralement la question de l’obsolescence, du neuf et du technologique mais également la question de la beauté dans nos sociétés contemporaines.

Denis Darzacq, Contreforme no05, Impression jet d’encre encadrée, 2017, crédits photos : ADAGP.

En écho à l’exposition personnelle de Philippe Pasqua au musée de l’Océanographie à Monaco, la galerie RX présentera l’exposition Recomposition du 6 mai au 17 juin. Un ensemble de collages monumentaux et une installation intitulée la Cène.

GALERIE THIERRY BIGAIGNONRenato D’Agostin7439 miles pour (re)découvrir l’Amérique !du 13 mai au 9 septembre 20179, rue Charlot, Paris 3e

www.thierrybigaignon.com

Traverser les États-Unis d’est en ouest est sans conteste le « road trip » par excellence dans l’inconscient collectif et pour les photographes un défi périlleux tant il a été le sujet de prédilection des plus grands artistes, de Robert Frank à Jack Kerouac. En 2015, le photographe italien Renato d’Agostin décide de relever ce défi, prend la route sur sa BMW de 1983 et parcourt les 7439 miles qui séparent New York de Los Angeles, développant ses pellicules au gré des étapes, transformant ses chambres d’hôtel en chambres noires. De ce voyage initiatique naît une série lumineuse et contrastée, époustouflante de grâce et de subtilité : « 7439 ».

Pour Thierry Bigaignon, « Renato D’Agostin est un explorateur-né. Il capture des éléments visuels que la plupart d’entre nous ne remarquent pas, et pose sur chacun de ses clichés une empreinte singulière. Fin technicien, Renato D’Agostin sait mieux qui quiconque adjoindre au classicisme de l’argentique noir et blanc une vision contemporaine du monde ». Et d’ajouter : « Ses photographies, chargées d’abstraction et de surréalisme, sont fortes et délicates à la fois ».

Visite privée et commentée.

Renato D’Agostin, Alabama, tirage argentique issue de la série 7439, 2015, courtesy galerie Thierry Bigaignon.

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GALERIE EVA MEYERKoka Ramishvili« Fragments from the Garden »du 4 mai au 17 juin 201710, rue Michel Le Comte, Paris 3e

www.galerieevameyer.com

Koka Ramishvili, Black is not yours ?, huile, ambre, toile, bois, 2017, courtesy de l’artiste et galerie Eva Meyer © Koka Ramishvili.

Fragments of the garden regroupe une série de tableaux et de photographies dans lesquels les préoccupations qui habitent les œuvres de l’artiste Koka Ramishvili sont réunies. Ses pièces interrogent l’histoire de l’art, la perception. Sa pratique est protéiforme, passant de la vidéo à la peinture mais garde des compositions semblables quel que soit le support. Les blocs de bois peints invitent aussi bien à la méditation qu’à une réflexion sur la place de la peinture dans les installations contemporaines.

Koka Ramishvili est né en 1958 à Tbilissi, en Géorgie. Il vit et travaille à Genève depuis quinze ans. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions dans des institutions culturelles comme la Tate Modern à Londres, le Mamco à Genève, le Goethe Institut à Berlin, ou encore, le Musée des Beaux-Arts de Nantes.

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GALERIE MARIE-ROBINLino de Giuli« Formes silencieuses »du 29 avril au 3 juin 201718, rue de Montmorency, Paris 3e

galerie.marie-robin.com

Lino de Giuli entre à l’école des Beaux-Arts en 1969 dans l’atelier de Marcel Gili. En 1978, brusquement il rompt avec le corps de l’image figurative et plonge dans une abstraction structurée aux dissonances chromatiques. Par bien des côtés la peinture actuelle de Lino de Giuli marque le contrepoint idéal sur son parcours personnel et artistique extrêmement riche, un parcours configuré dès le début comme un corps à corps avec la matrice ineffable du vrai que l’art masque par son langage.

Lino de Giuli ne craint pas de faire chanter le signe, la couleur, la surface ; il veut qu’ils puissent dire avec leurs qualités immanentes ce qu’ils ont à dire, mais– et c’est là sa force – il ne s’arrête pas à l’expérience de la couleur, de la physique, de la lumière, du rythme, des accords ; il passe

outre, il s’attache au sens , au discours. En ce sens, l’artiste montre une grande maturité dans sa capacité à vibrer à travers un art qui est pensée, concept, théorie.

Francesco Altea, philosophe.

Lecture et signature du livre « En regard sur Lino de Giuli » par Alain Marc à 19h45, en présence de l’artiste.

Lino de Giuli, Abstraction bleu, acrylique sur toile, 2016. © CatherineCarnot.

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Lieux partenairesBHVLieux partenairesMSC 4342

Le MAIF SOCIAL CLUBVisual System, Donald Abad, Édouard Sufrin, Gianluca Gimini, Pascal Bauer, Mamedy Doucara « Sportmania »du 21 avril au 13 juillet 201737, rue de Turenne, Paris 3e

lieu.maifsocialclub.fr/programmation

Crédit photo : Arnaud Assoumani – Chercheurs d’or © Mamedy Doucara, 2012.

Le MAIF SOCIAL CLUB propose « Sportmania – le sport tous azimuts », exposition et programme inédit d’expériences contemporaines participatives à la croisée des sports, des arts et la culture, de l’innovation, du bien-être.Comment les artistes s’emparent-ils de notions de performance sportive, de culture du corps et de soif de gagner ? Au sein d’une arène « Pop digitale » intéractive conçue pour l’occasion par Visual System, les œuvres qui reposent aussi bien sur un médium traditionnel (photographie) que les nouvelles technologies (réalité augmentée) interrogent les relations entre gestes artistique et sportif et apportent des réponses insolites.

Autour d’un cocktail dinatoire, le MAIF SOCIAL CLUB vous propose une immersion contemplative mais également participative à travers les différentes œuvres proposées.

L’Observatoire du BHV MARAIS« South Africa »Exposition d’artistes sud-africainsJuin–juillet 2017 (attention, fermeture à 20h)52, rue de Rivoli, Paris 4e

À l’occasion de l’opération South Africa, le BHV MARAIS met l’art sud-africain à l’honneur à l’Observatoire du BHV MARAIS, un lieu d’exposition emblématique au cœur du magasin.

Accès : l’Observatoire, 5e étage du BHV MARAIS (suivre le fléchage au sol).

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Lieux partenairesCTLieux partenairesCT 4544

De 21h à minuitArty Party au Carreau du Temple

« Des bruits qui courent »Une proposition Diamètrepour Les Jeudis Arty

1er – 6 juin 2017, Carreau du TempleVernissage le jeudi 1er juin 2017à partir de 21h

Le collectif Diamètre, plateforme de rencontre et d’échanges entre théoriciens et artistes émergents, a conçu, sur l’invitation des Jeudis Arty, l’exposition « Des bruits qui courent ».

Proposant une réflexion sur un espace atypique du Carreau du Temple, l’exposition réunit un plasticien – Mehdi Besnainou

– et deux scénographes-designers – Marion Flament et Jimme Cloo – dans une intention transdisciplinaire et collaborative chère à Diamètre, créant un moment fait de dialogues plastiques et visuels, qui habitent le lieu comme autant de conversations légères que l’on pourrait avoir avec son voisin de table ou l’ami qu’on vient de rejoindre à la terrasse d’un café.

Les Jeudis Arty, dans sa conception d’afterwork culturel ancré dans une contemporanéité de la rencontre et du moment à part, questionne la tension entre travail et loisir. La notion de perméabilité vient alors à l’esprit, le parcours proposé entre les différentes galeries se vivant comme un trek urbain, invitant sans cesse à passer de l’intérieur d’un espace d’exposition à l’extérieur des rues, et à appréhender ces espaces comme un terrain de jeu. L’exposition témoigne de ce rapport ludique et actif à la ville, au travers d’une intervention plastique et graphique qui est proposée sur les parois vitrées de l’espace. Le contre-pied de l’ambiance afterwork est finalement pris, afin de confronter les visiteurs à une mise en scène onirique et grinçante.

© Marion Flament et Jimme Cloo© Mehdi Besnainou © Diamètre.

Dans le paysage immersif d’une forêt artificielle, faite de néons et de bambous, Mehdi Besnainou réalisera une performance sonore et corporelle. L’exposition engendrera son propre terrain, et le collectif Diamètre manifestera son rôle et sa présence curatoriale sur les réseaux sociaux à l’aide d’une série de vidéos documentaires captées à partir d’un smartphone, compilant un certain nombre d’entretiens et d’enquêtes glanées dans le quartier et dans les galeries partenaires.

Centre synergique, cœur de la ville, l’exposition sera un point de ralliement, de prise d’informations, de réflexions et d’échanges, pour condenser toute l’énergie urbaine dont nous sommes capables.

© Marion Flament et Jimme Cloo© Mehdi Besnainou © Diamètre.

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Nos bonnes adresses pour se restaurer pendant la soirée

Beaucoup7, rue Froissart, Paris 3e

Ouvert jusqu’à 23h

Grand loft moderne et design industriel, Beaucoup est un lieu spectaculaire qui fait voyager ses invités entre New-york et Berlin, tout en conservant son charme parisien. Sur le bar en laiton massif qui court sur toute la longueur du restaurant, les cocktails et la mixologie sont en vedettes. Un lieu festif où tout est possible !

Sur présentation de ce guide-programme au moment de l’addition, le dessert vous sera offert.

GigiCrêpes de comptoir4, rue de la Corderie, Paris 3e

Ouvert jusqu’à 22h30

Petit restaurant cosy de la rue de la Corderie, en face du Carreau du Temple, Gigi propose des galettes revisitées sous forme de bouchées à partager pour l’apéro, à base de produits frais et de saison cuisinés maison par le chef qui détourne la crêpe traditionnelle selon ses humeurs. On y retrouve aussi les grands classiques tels que la galette complète élaborée avec une farine de sarrasin bio des Moulins Bourgeois et un beurre demi-sel de la Maison Bordier, une jolie carte de desserts et un large choix de vin et de cidre « nature ».

Sur présentation de ce guide-programme, un verre de cidre fermier vous sera offert au cours de votre repas.

Elmer30, rue Notre-Dame de Nazareth, Paris 3e

Ouvert jusqu’à 23h

Une atmosphère joyeuse et chaleureuse, avec une grande cuisine ouverte, où l’on se retrouve autour de tables d’hôtes en bois pour partager de belles pièces entières à la broche, ou cuite à la braise. Des produits artisanaux soigneusement sourcés nourrissent les assiettes précises et créatives du Chef, qu’accompagne une réjouissante carte des vins.

Sur présentation de ce guide-programme, un apéritif vous sera offert en début de repas le 1er juin.

Nord Marais39, rue Notre-Dame de Nazareth, Paris 3e

Ouvert jusqu’à 2h

Nord Marais est un de ces restos du quartier qui ne se la jouent pas. Le chef, Pierre Warin, compose chaque midi de jolis plats de bistrot tandis que le bar, en soirée, sert tapas et planches à partager, accompagnés d’un bon verre de vin. Le tout dans la bonne humeur !

Sur présentation de ce guide-programme, un verre de vin ou un demi, accompagné d’un mini burger pour 5€ le soir de la nocturne.

Lieux partenairesGB Lieux partenairesNME

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Notes

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Arts et Métiers22 Arts et Métiers22

Des visites privées toute l’annéeUne offre sur-mesure pour  les professionnels et les groupes à partir de 10 participants

Contact : [email protected]

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lesjeudisarty.net

Design graphique & illustration : Camille Esayan