Jette ton pain sur l’eau, car avec le temps tu le retrouveras · 2018-11-21 · Sans oublier le...

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COORDONNÉES Jouy-en-Josas 5 rue du Temple Viroflay 33 rue Costes et Bellonte Vélizy 8 bis rue Clément Ader Eglise de Jouy-en-Josas, Viroflay, Vélizy, Chaville 145 novembre, décembre 2018 - janvier 2019 1 SOMMAIRE SOMMAIRE SOMMAIRE Edito 1 Mathilde Glavier-Porte 2, 3 Vie de la paroisse 4, 5 Le graphiste 6 Les soirées de l’Avent 7 Calendrier 8 P lutôt ironique comme verset, quand nous avons déjà fait l’expérience. Combien ont retrouvé leur morceau de pain au bord du rivage ? Soit le pain se désintègre pour se faire manger par un poisson, quand ce n’est pas un canard qui, affamé, se jette dessus. Pourtant en lisant cette phrase à la lueur du monde d’aujourd’hui, nous aurions presque envie de retenter l’expérience. Comme ça, juste pour voir ! Après tout, le seul risque est de perdre un morceau de pain. Quel effet cela aurait-il si nous jetions nos pains sur l’océan du monde ? Peut-être que les extrêmes s’adouciraient pour retrouver un peu d’humanité. ? Peut-être que ce pain nourrirait les enfants affamés du Yémen ou d’ailleurs ? Peut-être que cela montrerait une route plus sûre aux migrants ? Peut-être que cela diminuerait la violence ? Tant de peut-être qui nous poussent à un seul geste : jeter notre pain sur l’eau. Finalement, qu’avons-nous à perdre ? Absolument rien ! Nous avons tout à gagner. Un geste qui rappelle que nous ne donnons pas POUR mais PARCE QUE. Et cela donne sens à toute vie car il est porteur d’espérance. A travers ce geste de générosité et, donc, gratuit qui rappelle celui du semeur, chacun de nous est concerné, à chaque instant de sa vie. Car ce que dit, aussi, ce verset c’est que chaque étape de la vie doit être vécue. Il y a un temps pour jeter le pain sur l’eau et il y a un temps pour le retrouver. Nous ne savons ni quand, ni comment, ni à travers qui, et peu importe « car avec le temps tu le retrouveras ». Il ne suffit pas de dire, ni de dire qu’il faut faire, il faut faire pour le retrouver. Ne serait-ce qu’un geste, qu’un regard, qu’une parole et, avec le temps, aussi surprenant que cela paraisse, tu le retrouveras. Le Christianisme, tel que le pratiquent les protestants réformés, est d’ailleurs – dit-on - une religion de la parole. Une parole éphé- mère, qui ne se fixe pas, qui ne s’enferme pas dans un rite, une pratique, qui ne se stocke pas, ne s’accumule pas… Mais une parole qui nous appelle à toujours recommencer. Car la parole de Dieu, dite, entendue et mise en pratique est une parole qui transforme et qui met en mouvement. Elle est parole vivante ! E t du mouvement il y en a eu en ce début d’année. La rentrée est passée, que nous avons vécue pleinement. Les groupes se sont retrouvés pour partager une nouvelle année ensemble. De nouveaux visages sont apparus au sein de notre communauté, accueillis toujours avec bienveillance. De bonnes nouvelles ont marqué aussi ce début d’année, et certaines plus tristes. Ensemble nous avons partagé la Cène. Nous réfléchissons aux projets à venir en utilisant les dons que chacun a reçus. Le 23 septembre a eu lieu le culte de rentrée rassemblant les officiels et la communauté pour marquer le départ de cette année. Le nouveau groupe de prière a commencé à se retrouver régulièrement chaque mois. Une quinzaine de jeunes du post KT sont partis et revenus d’un voyage à Berlin. Un voyage de découverte, de moment spirituel, de rire, de rencontre… Un voyage qui crée du lien parmi les jeunes et qui les implique dans la communauté. Et puis plus proche de nous, il y a la journée de l’offrande dimanche 25 novembre. Une journée au goût original, animée par Sophie Schlumberger. Sans oublier le calendrier de l’Avent, qui ponc- tuera notre mois de décembre, d’un temple à l’autre, d’une soirée à l’autre. Alors, en cette période de l’Avent, de Noël, de changement d’année, gardons en tête ce verset et allons jeter du pain à la surface de l’eau. Peu importe le moment où nous le retrouve- rons. Le Seigneur est là. Il est auprès de chacun et chacune de nous. Il nous met en mouvement, alors allons-y ! Mathilde Glavier-Porte Jette ton pain sur l’eau, car avec le temps tu le retrouveras Ecc 11:1.

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C O O R D O N N É E S

Jouy-en-Josas5 rue du Temple

Viroflay33 rue Costes et Bellonte

Vélizy8 bis rue Clément Ader

Eglise de Jouy-en-Josas, Viroflay, Vélizy, Chaville N° 145 novembre, décembre 2018 - janvier 2019

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S O M M A I R E S O M M A I R E S O M M A I R E

Edito 1

Mathilde Glavier-Porte 2, 3

Vie de la paroisse 4, 5

Le graphiste 6

Les soirées de l’Avent 7

Calendrier 8

Plutôt ironique comme verset, quand nousavons déjà fait l’expérience. Combien ont

retrouvé leur morceau de pain au bord durivage ? Soit le pain se désintègre pour se fairemanger par un poisson, quand ce n’est pas uncanard qui, affamé, se jette dessus.

Pourtant en lisant cette phrase à la lueur dumonde d’aujourd’hui, nous aurions presqueenvie de retenter l’expérience. Comme ça,juste pour voir ! Après tout, le seul risque estde perdre un morceau de pain.

Quel effet cela aurait-il si nous jetions nospains sur l’océan du monde ?

Peut-être que les extrêmes s’adouciraient pourretrouver un peu d’humanité. ? Peut-être quece pain nourrirait les enfants affamés duYémen ou d’ailleurs ? Peut-être que celamontrerait une route plus sûre aux migrants ?Peut-être que cela diminuerait la violence ?

Tant de peut-être qui nous poussent à un seulgeste : jeter notre pain sur l’eau. Finalement,qu’avons-nous à perdre ? Absolument rien !Nous avons tout à gagner.

Un geste qui rappelle que nous ne donnonspas POUR mais PARCE QUE. Et cela donnesens à toute vie car il est porteur d’espérance.A travers ce geste de générosité et, donc, gratuitqui rappelle celui du semeur, chacun de nousest concerné, à chaque instant de sa vie.

Car ce que dit, aussi, ce verset c’est que chaqueétape de la vie doit être vécue. Il y a un tempspour jeter le pain sur l’eau et il y a un tempspour le retrouver. Nous ne savons ni quand,ni comment, ni à travers qui, et peu importe« car avec le temps tu le retrouveras ». Il nesuffit pas de dire, ni de dire qu’il faut faire, ilfaut faire pour le retrouver. Ne serait-ce qu’un geste, qu’un regard, qu’uneparole et, avec le temps, aussi surprenant quecela paraisse, tu le retrouveras. Le Christianisme, tel que le pratiquent lesprotestants réformés, est d’ailleurs – dit-on -une religion de la parole. Une parole éphé-mère, qui ne se fixe pas, qui ne s’enferme pasdans un rite, une pratique, qui ne se stockepas, ne s’accumule pas… Mais une parole quinous appelle à toujours recommencer. Car laparole de Dieu, dite, entendue et mise enpratique est une parole qui transforme et quimet en mouvement. Elle est parole vivante !

Et du mouvement il y en a eu en ce débutd’année. La rentrée est passée, que nous

avons vécue pleinement. Les groupes se sontretrouvés pour partager une nouvelle annéeensemble. De nouveaux visages sont apparusau sein de notre communauté, accueillistoujours avec bienveillance. De bonnesnouvelles ont marqué aussi ce début d’année,et certaines plus tristes. Ensemble nous avonspartagé la Cène. Nous réfléchissons aux projetsà venir en utilisant les dons que chacun a reçus.

Le 23 septembre a eu lieu le culte de rentréerassemblant les officiels et la communautépour marquer le départ de cette année.

Le nouveau groupe de prière a commencé àse retrouver régulièrement chaque mois.

Une quinzaine de jeunes du post KT sontpartis et revenus d’un voyage à Berlin. Unvoyage de découverte, de moment spirituel, derire, de rencontre… Un voyage qui crée dulien parmi les jeunes et qui les implique dansla communauté.

Et puis plus proche de nous, il y a la journéede l’offrande dimanche 25 novembre. Unejournée au goût original, animée par SophieSchlumberger.

Sans oublier le calendrier de l’Avent, qui ponc-tuera notre mois de décembre, d’un temple àl’autre, d’une soirée à l’autre.

Alors, en cette période de l’Avent, de Noël, dechangement d’année, gardons en tête ce versetet allons jeter du pain à la surface de l’eau.Peu importe le moment où nous le retrouve-rons. Le Seigneur est là. Il est auprès dechacun et chacune de nous. Il nous met enmouvement, alors allons-y !

Mathilde Glavier-Porte

Jette ton pain sur l’eau, car avec le temps tu le retrouverasEcc 11:1.

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Il y a quelques jours, nous avons, monmari et moi, retrouvé Mathilde à l’inau-guration d’une exposition où nousétions conviés. A l’heure des petitsfours, moment où les invités se rassem-blent par petits groupes dans unespace toujours trop exigu, j’ai inter-pellé l’élue du Conseil municipal quinous avait accueillis. «  Je vais vousprésenter le nouveau pasteur deJouy ! » Mme Kibbler s’est approchéede notre groupe en jouant des coudes,scrutant chacun et cherchant à devinerqui pouvait bien être le pasteur. Au

moment où Mathilde a tendu la main,toute souriante, j’ai lu un grand éton-nement dans les yeux de la conseillèremunicipale  : visiblement, c’était unesurprise de découvrir que le pasteurétait une si jeune femme !

Mathilde Glavier-Porte est donc notrenouvelle pasteure  ! Elle va effectuer

dans notre église locale les deuxpremières années de son ministèreque l’on appelle le proposanat. Durantcette période probatoire, deux évalua-tions menées par le Conseil régional etla Commission des ministères aurontlieu, en mars 2019 puis en février 2020,qui confirmeront, ou non, le souhait deMathilde de poursuivre dans le minis-tère pastoral et ce, dans notre égliselocale ou ailleurs. Si les avis du Conseilrégional, du Conseil presbytéral et deMathilde elle-même sont positifs, celle-ci pourra rester dans ce poste pendantencore au moins 4 ans. Elle sera alorsconfirmée au cours du culte de recon-naissance de son ministère.

Mais nous n’en sommes qu’à lapremière étape, vécue ensemble lorsdu culte d’installation du 23 septembredernier au temple de Viroflay.

Nous étions nombreux ce dimancheet heureux d’accueillir MM. JacquesBellier, maire de Jouy-en-Josas, PascalThévenot, maire de Vélizy et OlivierLebrun, maire de Viroflay. Bertrand deCazenove, le président du Conseilrégional, a réservé un moment aucours de la liturgie pour « installer »Mathilde dans son poste de pasteure ;il a déroulé le calendrier, insistant sur lerôle de chacun dans la réussite de cesdeux premières années. Mathilde aensuite prêché sur la 1ère lettre de Paulaux Corinthiens, chapitre 2, versets 4 à 11 :ce texte parle des dons reçus, tous diffé-rents mais tous venant de l’Esprit Saint.

Grâce à la météo estivale, nous avonspartagé un verre dans le jardin trèssoigné du temple de Viroflay où nousavait rejoints le Père Bruno Bettoli, curéde la paroisse voisine.

Ce culte était également le culte derentrée, point de départ desnombreuses activités de l’année.Bonne année à tous !

Catherine du Fou

Le PROPOSANAT de MATHILDE GLAVIER-PORTE

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Bertrand de Cazenove et Mathilde Porte

Oliver Lebrun, Pascal Thévenot et Jacques Bellier

Mathilde PortePierre-Louis et Jacqueline Duméril, Cristel Blancet Charlotte Binet

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Soleil, solennité…et continuitéCe dimanche 23 septembre, le soleilrégnait en maître dans le ciel de Viro-flay, et nous aurait donné envie d’unculte en plein air si la présence duprésident du conseil régional del’EPUdF, Bertrand de Cazenove, etdes maires de Viroflay, Vélizy et Jouy,n’avait conféré à ce culte d’installationun caractère très officiel, très solennelmême. Sur le papier, cette cérémoniemarquait un commencement - ledébut officiel du proposanat deMathilde - mais en réalité, pour laplupart d’entre nous, elle avait un airde continuité, dans le prolongementdu stage que Mathilde a effectuéauprès de Paul Doré en 2017-2018.Dans son allocution, Bertrand deCazenove s’est attaché à rappelernon seulement ce qu’est le propo-sanat, mais aussi ce que l’Egliseprotestante unie de France attend dela paroisse qui accueille un pasteurproposant.En premier lieu, il a souligné queMathilde n’est pas encore uneministre, mais une candidate au minis-tère. Cependant, elle est durant sonproposanat en situation de pleineresponsabilité sur son poste. Au coursde ces deux années qui ont valeur depériode probatoire, elle va découvrirla réalité du ministère et approfondirsa formation professionnelle etpersonnelle. En pratique, Mathildeparticipera à dix-huit journées de

formation réparties en quatre sessions.Ensuite, Bertrand a insisté sur le faitqu’il s’agit d’une période d’appren-tissage, d’observations, d’erreurstoujours possibles. On ne peut pasattendre du pasteur proposant qu’ilmaîtrise immédiatement toutes lescompétences attendues d’un ministreconfirmé, dans tous les domaines oùil les exerce – et ils sont nombreux,de la prédication à l’animation degroupes de jeunes en passant par laformation biblique des paroissiens,la catéchèse, la visite aux malades etisolés, les relations œcuméniques ouavec les autorités locales.Enfin, cette période permet à laCommission des Ministères del’EPUdF d’évaluer la capacité duproposant à exercer la charge deMinistre. Le Conseil presbytéral du18 septembre a reçu un représentantde cette commission, Bernard Dugas,qui a expliqué au Conseil le rôlequ’il avait à jouer dans la formationde Mathilde et son évaluation, etdemandé quels étaient pour elle lesaxes de travail prioritaires. A cetégard, le temps de réflexion sur lespriorités de la paroisse, lors de notredernière assemblée générale, s’estavéré précieux.Au-delà du Conseil presbytéral, noussommes tous appelés, responsablesde groupes, catéchètes, musiciens,jardiniers, ou en charge de touteautre mission au service de laparoisse, à apporter notre soutien àMathilde, à faire preuve de bien-veillance à son égard, à lui témoi-gner notre amitié fraternelle, pourcréer les conditions d’un proposanatréussi et lui donner toutes leschances d’accéder dans deux ans àla  fonction de Ministre de l’Egliseprotestante unie de France.

L’unitédans la diversitéAccueillie en tant que pasteureproposante dans une communautélocale, c’est sur le sens de cettecommunauté que Mathilde s’est inter-rogée dans sa prédication, à partir dela première épître aux Corinthiens,chapitre 12 à partir du verset 12. Eneffet comme le corps est un, tout enayant une multitude de parties, etcomme toutes les parties du corps, endépit de leur multitude, ne sont qu'unseul corps, ainsi en est-il du Christ.Si le mot communauté peut évoquerl’uniformité et l’effacement des diffé-rences, l’image proposée par l’apôtrePaul suggère au contraire l’interdépen-dance des membres, qui ne formentqu’un tout, et la particularité dechacun, qui a sa fonction propre : voir,écouter, sentir, toucher, prendre, réflé-chir, produire de l’énergie, recycler…Dépendre des autres suppose faireconfiance à un autre que soi-même,et ce peut être difficile. C’est enprenant conscience que, comme lecorps, la communauté n’est vivanteet agissante que parce qu’elle a tousses membres, reliés entre eux, soli-daires les uns des autres, que l’onpeut accepter cette interdépendance.Comme le corps, l’Eglise a besoin dechacun de ses membres, avec lesdons qui lui sont propres et qui fontde lui un être singulier, qui a uneplace particulière. Une place, maispas un rang : chez les protestants,aucune hiérarchie, « chacun est pape,Bible en main » selon la formule deBoileau. Et pour citer plutôtMathilde que Boileau : « L’Eglise estdonc le seul lieu au monde où on nedevrait pas avoir à marcher sur quique ce soit pour grandir. Un lieu ounul n’a le droit de nous mesurer, denous évaluer, de nous comparer auxautres. Un lieu hors de portée descritères du monde. Un lieu qui nousest offert pour nous et pour tous. » En conclusion de sa prédication,Mathilde invitait les participants àprendre le plaisir de s’unir pourpartager, le plaisir de former unecommunauté, pour vivre et faire vivrenotre Eglise. Il ne tient qu’à nous derépondre maintenant à son appel !

Jean Morel

Le CULTE d’INSTALLATIONde MATHILDE GLAVIER-PORTE

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Jean Morel

A la sortie du temple de Viroflay, le 23 septembre

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JARDINAGELe jardinage au temple de Viroflayest actuellement effectué par unepetite équipe composée de Rose-lyne Paugois, Isabelle Nguyen etJean-F Derbès. En raison desagendas de chacun il n’est pastoujours facile de réunir l’équipelorsque c’est nécessaire. C’estpourquoi il serait souhaitable decompléter l’équipe avec au moinsune 4ème personne.

Il faut compter 5 à 6 interventionspar an. Le travail consiste à planter,arroser, tondre, désherber, couperles fleurs fanées, tailler les buissonset ramasser les feuilles.

Toute personne intéressée peut semanifester auprès de Jean-FrançoisDerbès (06 82 58 29 38 [email protected]) ou d’unconseiller presbytéral.

Jean-François Derbès

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Roselyne Paugois

l’Entraide

••• VIE DE LA PAROISSE ••• VIE DE LA PAROISSE ••• VIE DE LA PAROISSE •••

Le goûter de septembre 2018 a ététrès apprécié des participantsréunis à Jouy autour d'une anima-tion biblique préparée parGertrude Harlé. Celui d'octobreavait réuni 30 personnes (dont 9venant du Châtelet de Meudon).Michel Rayroux et Odile Lanceauont présenté l'Association "Aviationsans Frontières" et ses activitésautour de la santé en Afrique.n Les 18 et 25 novembre  lors descultes, collecte de produits alimentairespour  l'Epicerie Solidaire de Sèvres:huile, sucre, café moulu, conserves depoissons (pas de viandes), produitsd'hygiène et pour bébés.n Le 2 décembre, collecte de jeuxneufs, non emballés et ne nécessi-tant pas de pile ; jeux destinés au CASPpour être distribués à des enfantsdont un parent est en détention.n Ce même jour, au cours du culte, lesactivités du CASP, Centre d'ActionSociale  Protestant, soutenu par leservice Entraide, seront présentées parPierre-Louis Duméril vice-président.Vous trouverez en pièce jointe ledernier journal de la Miss'Pop deTrappes qui fête ses quarante ans.Créée par Roseline Paugois, c'est unedes associations  soutenues réguliè-rement ...et financièrement par l'En-traide de notre paroisse JVVC, avecde multiples  activités utiles àconnaître. Jacqueline Duméril

D A N S N O S f A M I L L E S

Nous avons le bonheur d’annoncer la naissancele 1er novembre, de Léon, fils de Florence etMarc, premier petit-fils de Paul et Christine Doré. Nous entourons Monique Mothiron detoutes nos pensées fraternelles après ledécès de son époux, René, à ClaireDemeure, le 6 novembre dernier.

transhumanismeAujourd’hui, nous ne sommes plus autemps où le fait de découvrir que laterre est ronde est un des vertiges quinous chamboulent. Nous entrons dansl’ère du transhumanisme, dont le projetest de transformer l’homme en allon-geant sa durée de vie ou en augmentantses compétences. Nous cherchons enpermanence à améliorer notre bien êtrephysique.C’est le sujet sur lequel s’est penché legoûter-rencontre du mois de novembre.Un thème qui reste pour certainsencore quelque chose de vague, maisdont de plus en plus de livres, de filmset de séries en font le sujet principal.Si la première apparition du terme futen 1957 par J. Huxley, le sens qu’il prôneaujourd’hui a été élaboré en 1990 : unmouvement intellectuel et culturel cher-chant à augmenter la condition humaineavec l’utilisation des technologies pouréliminer l’âge et augmenter les capacitésintellectuelles, physiques et psycholo-giques de l’être humain.Ainsi, de la place des technologies dansnos vies à la pertinence d’avoir un corps.D’un parallèle entre Christianisme ettranshumanisme à la place de la naissanceet de la mort dans nos vies. De la ponc-tuation par des questions pertinentes ausujet de l’Homme à une probablenouvelle religion. En passant par le mythede Prométhée et le jardin d’Eden dans laGenèse, ce goûter-rencontre a soulevéplusieurs bribes de sujets à propos de cenouveau mouvement : transhumanisme.

Mathilde Glavier-Porte

1) H+ Tecnhoprog ! Association Française Transhumaniste.Synthèse , sur le site internet www.transhumanistes.com

J’ai un sentiment très vif de ce que signifie cecentenaire, qui suscite une émotion profondepour notre génération qui a connu les ancienscombattants de la Guerre de 14-18.Cette cérémonie œcuménique est aussi unrappel de la délivrance de l’horreur absoluepour les survivants. Elle nous autorise àévoquer la douleur infinie de ceux qui sontrestés marqués par la violence du conflit etcelle des parents, des femmes, des enfants quine pourront plus jamais témoigner leur affec-tion au fils, au frère, au mari, au père dont ledestin a été brisé par un éclat d’obus, uneballe ou la misère physique des combats.Aujourd’hui, cette délivrance a pris un sensnouveau. Nous sommes, nous les enfants etpetits-enfants de ceux qui se sont déchirés,délivrés de la haine et de la vengeance.

L’immensité des sacrifices exige de nous lepardon réciproque et la compassion. Elle nousa aussi ouvert un nouveau monde, où dans lapaix retrouvée s’est développée la conscienceque les destins des peuples qui se sontaffrontés ne se sépareront plus, qu’ils n’ontd’avenir librement consenti qu’ensemble, etque cette réconciliation est définitive. Aller del’avant pour développer et protéger la paix estle sens de nos vies et le chemin que nousdevons montrer à nos enfants. Que cette inten-tion soit celle qui nous habite pour toujours.Que notre reconnaissance s’exprimeaujourd’hui envers ceux qui se sont sacrifiés,pour que nous puissions montrer que le librearbitre des hommes de bonne volonté peutécrire une Histoire délivrée de toute fatalité.

Patrick MICHON

PRIÈRE POUR LA PAIX11 novembre 2018 - centenaire de l’armistice - Jouy en Josas

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ABONNEMENT 2019 Bulletin à compléter et retourner avant le 31/12/2018 à :J.F. Derbès — 17 avenue Robert Fleury 78220 Viroflay.

L’avion se pose à Berlin, nous sommes le22 octobre il est environ 16h30 et nousvenons d’atterrir pour une semaine dedécouverte, de réflexion, de partage,d’expérience. Nous ? C’est à dire le groupe de post KTqui nous retrouvons une fois par mois ledimanche soir au temple de Séquoia. Tout au long de cette semaine, notresensibilité a été mise à l’épreuve. Berlinest une ville marquée par l’histoire quine laisse pas indifférente. Nous avonslaissé vagabonder notre espr it en

marchant à travers les gros blocs du laby-rinthe du mémorial aux juifs assassinés,pour continuer sur le musée. Nous avonsparlé des résistants, et nous avons vu cecontre quoi ils résistaient. Nous avons

marché le long du mur de Berlin. Et l’ona observé du haut de la tour la repro-duction du no man’s land. Nous avonscouru après le bus. Nous avons participéà une soirée dans une église quiaccueillait des immigrés que nous avonsrencontrés. Nous avons trouvé lacachette où des juifs sont restés cachéspour être sauvés. Puis nous avons apprisqu’ils avaient été dénoncés. Noussommes allés à Alexanderplatz ! Nousavons pris une photo devant l’Eglisehuguenote Française. Nous avons eu desmatinées au temple où nous avonschacun dit un verset en chaire. Nousavons partagé nos pensées. Nous avonschanté des cantiques.Nous avons tout simplement passé unesemaine à rire, à ressentir, à revivre, àcomprendre.Une véritable semaine, où nous avonsfait Eglise à travers le partage, l’humanité,la joie et la foi de chacun et chacune.

VOyAGE DES POST-KTDU 22 AU 26 OCTOBRE

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Le graphiste et sa sourisPour marier mon attrait pour l'image etmon amour des mots, j'ai très tôt étéattiré par la publicité qui m'apparaissait alorscomme le métier idéal pour satisfaire cedouble intérêt. Après des études qui m'ontformé aux exigences des métiers de la pub,j'ai fait mes classes dans une agence améri-caine aux budgets internationaux. Et puis j'aifait l'expérience de passer de "l'autre côté" : chez l'annonceur (le client des agences).Après un retour en "grande agence", j'ai euenvie de voler de mes propres ailes et j'aicréé ma "boîte".Durant 25 années j'ai navigué ainsi en gérantles destinées de la communication de grandsannonceurs et aussi de plus modestes. Alorsque dans les structures importantes, j'avais pume frotter aux grands médias : affichage,presse, radio, magazines, télévision, j'apportaisà mes clients mon expérience en édition :catalogues, mailing, brochures, développantainsi mon goût pour la chose imprimée. Audébut, j'ai fait appel à des graphistes pourprendre le relais des idées et des préconisa-tions que j'avais vendues. Et puis, réalisant quec'était très souvent moi qui apportais lesidées, j'ai décidé de les mettre en musiquesans intermédiaire.

RÉVOLUTION(S)L'irruption de l'informatique dans lesmétiers de l'édition a été une vraie révolu-tion, chassant nombre de vieux métiers eten créant de nouveaux. Pour avoir vécu cetsunami, je peux témoigner de l'ampleurdes changements intervenus. Le premierface à face avec cette étrange lucarnequ'était mon premier Mac a été une réelleépreuve. Plus de contact avec le supportpapier si facile et instinctif. A la place, la frus-tration fréquente d'être prisonnier de l'in-termédiaire qu'est la machine. Cela futd'autant plus difficile que cette étape estintervenue alors que je prenais mon indé-pendance, donc seul et avec beaucoup decontraintes : assurer la prospection, la rela-tion client, la création, le suivi de fabrication,la gestion. ...Heureusement les progrès del'informatique ont été rapides et c'est grâceà ce nouvel outil que j'ai finalement puprendre en charge toutes ces tâches.Ce parcours m'a façonné et j'en mesurefréquemment les conséquences : ainsi j'ai unœil critique qui relève toujours ce quicloche dans une présentation, un texte pasclair ou, surtout, quand il n'a pas été conçupour le lecteur. C'est une vraie déformationprofessionnelle : je fais tout mon possiblepour être compris et faire passer l'ensemblede l'information. L'expérience montre quece n'est pas une qualité très répandue...

Une autre capacité acquise est la gestion ducompte à rebours nécessaire à livrer entemps voulu le travail.Je mentionne aussi la maîtrise de logicielsspécifiques à ce secteur d'activité : illustrationvectorielle, retouche photo, mise en pages.Pour en venir -enfin- au sujet pour lequelon m'a sollicité, à savoir PARLER DES "JOIES ET DES PEINES"DU GRAPHISTE DANS L'EXER-CICE DE RÉALISER LE 3T,il y a tout d'abord des contraintes : lorsqu'ilest destiné à être imprimé, il est nécessaire

de prendre en compte le nombre de pages-qui est toujours pair- puisqu'il y a un rectoet un verso.Les pages sont ensuite assemblées pourformer un cahier, soit 4 pages, qui sontregroupées. Plusieurs cahiers constituent lejournal (ou un livre !). Cette contrainte n'estplus vraie pour la version numérique qui selit page par page. Il y a donc deux versionspour le 3T.Si on se concentre maintenant sur unepage, elle est constituée de textes et devisuels, photos ou illustrations.Pour son organisation, il est fait appel à descolonnes et à des marges qui structurent lamise en page.Un élément primordial est le sommaire.C'est la liste des sujets qui seront traitésdans le numéro à fabriquer.Faire la liste est une chose. Rédiger l'articlecorrespondant en est une autre. Et puis ilfaut disposer de photos pour permettre dese projeter dans ce qui est écrit, donner dela crédibilité à son récit ou retracer ce quis'est passé ou donner envie de se joindreou de sensibiliser le lecteur...Ayant regroupé ces différents éléments, sujetpar sujet, c'est alors que le graphiste entre enjeu (drôle d'expression !) Et c'est sans visiond'ensemble qu'il faut se jeter à l'eau car l'en-semble des éléments n'est jamais, mais jamaiscomplet au démarrage. En effet, il manquetoujours un article ou une photo, ou le textetransmis n'est pas définitif... Pourtant la datede bouclage, elle, ne change pas ! Le stress fait partie du métier et tout jour-naliste -ou rédacteur- connaît ces instantsoù le temps va manquer où la relecture vaêtre problématique, où l'édition n'aura pasle temps d'être finie pour le jour J.Comme tout métier, il a ses contraintesmais aussi ses satisfactions ! Parvenir à faireentrer tous les textes et visuels dans leformat requis, de la façon la plus agréablepour le lecteur, en ayant tenté de valoriserle contenu, c'est gratifiant. Le faire dans lesdélais, c'est parfois beaucoup de tempspassé (pas loin d’une semaine au total pourchaque parution).Il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'une "chaîne" :il y a les rédacteurs -permanents ou inter-mittents-, les rabatteurs, qui fournissent lesarticles ou les photos, les relecteurs, l'impri-meur pour la version noir & blanc et lerouteur pour internet...Et même si l'on ne fait pas cela pour ça, iln'est pas désagréable d'entendre, de tempsà autre, quelqu'un vous glisser à l'oreille qu'ila apprécié votre travail.

Jean-Louis du Fou

QUELQUES CONSEILSPOUR PERMETTRELA TRANSMISSION

D'ÉLÉMENTS DE QUALITÉ(textes et photos)

n Les textes : à l'aide du logiciel Word(en position de monopole !), ils serontsaisis "au kilomètre", c'est-à-dire qu'il estinutile de passer du temps à enrichir letexte (il faut éviter de surcharger par des"gras", "italique", ou "souligné"), ce qui estle rôle du graphiste.sinon, il devra retirer les fantaisies appor-tées, voire ressaisir le texte. De même, lorsde la saisie, veillez à ne pas multiplier lespoints de suspension à la place des tabu-lations. Car la totalité des éléments confiésau graphiste vont passer par des logicielsspécifiques dont l’un, -qui n'est pas Word-! pour la mise en page. n Les photos : la plupart du temps, ils'agit de photos d'évènements, témoi-gnages de ce qui s'est passé pour partagerun vécu particulier. elles sont toutes numé-riques, ce qui facilite leur transfert. Maisveillez à les identifier car sous forme defichiers non renseignés, il est souvent diffi-cile de les affecter à tel ou tel sujet traité.pour permettre une reproduction dequalité, il est primordial qu'elles possèdentsuffisamment d'"informations" poursupporter l'étape de l'édition (versionpapier). pour cela, et pour faire simple, lesphotos qui "pèsent" moins de 1Mo nepourront pas répondre aux critères dequalité. sans même préjuger de la qualitéesthétique !et pour faciliter l'organisation du travail etéviter les erreurs, merci de prévoir undossier "texte(s)", un dossier "photos" et letout regroupé dans un dossier mention-nant le titre de l’article ou le thèmeconcerné.Merci !

. ..sur le divan

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Page 7: Jette ton pain sur l’eau, car avec le temps tu le retrouveras · 2018-11-21 · Sans oublier le calendrier de l’Avent, qui ponc - tuera notre mois de décembre, d’un temple

L’automne calendaire avance tranquillement et sûrement,glissant dans sa poche chaque jour une ou deux minutesde plus de si agréable lumière …mais son cousin météo-rologique ne nous prépare pas à la saison qui va suivre...ni même à la période de l’année qui approche ! Alors que les feuilles sont encore bien nombreuses dansnos arbres, nos midis encore bien tièdes et ensoleillés, …c’est dans deux grandes semaines le début du temps del’Avent. Préparons-nous, car nous risquerions d’être surpris !Alors que la société nous propose des ingrédients diaboli-quement choisis pour nous animer d’une frénétique activitéde courses et de préparatifs, l’Avent nous rappelle que c’estun temps d’attente qui se déroulera sous peu.Nous attendons tous. Nous espéronstous.Un plus grand… un meilleur…une rencontre, un retour,un échange, un pardon…

C’est ce temps-là qu’il nous est proposé de goûter, danslequel nous pourrons nous plonger en nous avançantdoucement vers Noël. Pour partager ces moments, rompre avec notre rythmeun peu fou, nous pourrons à nouveau cette année fairequelques pauses et nous retrouver, échanger, prier,chanter et encore partager.Comme l’an dernier, six rendez-vous seront préparés etse tiendront dans chacun de nos temples.

Samuel Mac Leod

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De nouvelles thématiques sont proposées pour vivre cessoirées que nous espérons aussi riches et chaleureusesque l’année dernière, grâce à la préparation que certainsd’entre nous auront gentiment concoctée, mais aussigrâce à nos présences et notre participation à venir.

Comme l’an dernier ces soirées se termineront par unmoment convivial où nous partagerons une collation,

constituée de la mise en commun des plats ou denréesamenées par chacun.

Les thématiques de ces soirées étant largement ouvertes,ce peut être l’occasion de venir accompagné d’un ami,d’un voisin, si le cœur vous en dit.

- Les SOIRÉES de l’AVENT -

mercredi 5 décembre

musiquetemple de Jouy

20h00Tenez,voici le

programme !

samedi 8 décembrecérémonie

œcuméniquetemple de Vélizy

17h00

mercredi 12 décembre

solidaritétemple de Viroflay

19h30

samedi 15 décembre

impros bibliquestemple de Viroflay

18h00

mardi 18 décembre

contetemple de Jouy

19h30

samedi 22 décembre

échange & partagetemple de Vélizy

18h00

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sam 1

dim 2mar 4ven 7dim 9

mar 11

dim 16

mar 18ven 21dim 23lun 24mar 25dim 30

- week-end - éclais - Vélizy- week-end - louveteaux - Viroflay- 10 h 30 - CULTE + CÈNE - temple de Vélizy

- 14 h 30 - CELLULA - temple de Vélizy- 18 h 45 - KT - temple de Viroflay- 10 h 30 - CULTE - temple de Viroflay- 12 h 15 - RÉUNION JEUNES ADULTES - Viroflay- 19 h 00 - post KT - temple de Sèvres-Sequoïa (11 rue Maurice Berteaux)

- 14 h 30 - CELLULA - temple de Vélizy- 19 h 30 - réunion conseil presbytéral - temple de Vélizy- 10 h 30 - CULTE + CÈNE - temple de Jouy-en-Josas culte adapté aux enfants du partage biblique- 14 h 30 - goûter-rencontre de Noël - Vélizy- 18 h 45 - KT avec film et repas festif (gratin de pâtes ?) - temple de Viroflay- 10 h 30 - CULTE - temple de Viroflay

- 19 h 30 - VEILLÉE DE NOËL - temple de Jouy-en-Josas- 10 h 30 - CULTE DE NOËL - temple de Viroflay- PAS DE CULTE - voir au temple de Versailles

- 10 h 30 - CULTE pasteure : Sophie Schlumberger - temple de Jouy-en-Josas journée d’offrande - fête de la paroisse avec repas - 12 h 15 - RÉUNION JEUNES ADULTES - Jouy-en-Josas présence souhaitée des enfants du KT

- 14 h 30 - CELLULA - temple de Vélizy- 20 h 30 - RÉUNION GROUPE DE PRIÈRE - temple de Viroflay

dim 25

mar 27jeu 29

dim 6 mar 8ven 10dim 13

mar 15

sam 19

dim 20

mar 22

ven 25dim 27mar 29

- 10 h 30 - CULTE + CÈNE - temple de Vélizy

- 14 h 30 - CELLULA - temple de Vélizy- 20 h 30 - RÉUNION GROUPE DE PRIÈRE - temple de Viroflay- 10 h 30 - CULTE - temple de Viroflay- 11 h 45 - KT - temple de Viroflay

- 14 h 30 - CELLULA - temple de Vélizy- 19 h 30 - réunion conseil presbytéral - temple de Vélizy- 16 h 00 - week-end - éclais - Vélizy- 17 h 30 - partage biblique - temple de Jouy-en-Josas- 10 h 30 - CULTE + CÈNE - temple de Jouy-en-Josas- sortie - louveteaux - Viroflay- 12 h 15 - RÉUNION JEUNES ADULTES - Jouy-en-Josas

- 14 h 30 - goûter-rencontre avec la pasteure Ne me-Perron - Meudon, Châtelet 3bis rue Bel Air présentation de son livre : Vivre jusqu’au bout - Traversée de la maladie de Charcot- 18 h 45 - KT - temple de Viroflay- 10 h 30 - CULTE CANTATE - temple de Viroflay

- 14 h 30 - CELLULA - temple de Vélizy

JANVIER

NOVEMBRE

DECEMBRE

— 2018 CALENDRIER 2019 —

n Cellula : Gertrude Harlé (01 39 46 17 53)n Partage biblique en famille - KT - post-KT: contacter la pasteuren EEUdf (louveteaux, éclaireurs, aînés) :C. Coussement (01 83 59 50 86)n Entraide - AEV - goûter rencontre :contacter la pasteuren Paroles Protestantes :contacter Jean-François Derbès(01 30 24 28 88)

n Site internet : http://epupjvvc.frn Pasteure : Mathilde Glavier-Porte (06 47 57 24 69)([email protected])n Président du C.P. : Jean Morel (09 50 79 60 97 - 06 67 85 27 07)n Secrétaire du C.P. :Catherine du Fou (06 98 77 75 00)n Trésorier : G. Hollier-Larousse (01 30 24 53 85)les chèques sont à libeller à l’ordre de :ACepUJVVC et à adresser au trésorier33, rue Costes & Bellonte 78220 Viroflay

C O N T A C T S & C O O R D O N N É E S

COMITé DE RéDACTION :Mathilde Glavier-Porte,Jean Morel,Pascale PerrierMarie-Françoise de Givry

MAQUETTISTE :Jean-Louis du Fou