jeanne Autran-Edorh architecture 2012

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portfolio JEANNE AUTRAN-EDORH - ARCHITECTURE - 2012

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Portfolio architecture Jeanne Autran-Edorh architecte Marseille 2012

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J E A N N E A U T R A N - E D O R H - A R C H I T E C T U R E - 2 0 1 2

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1. Plan de situation, l’équipement dans son contexte urbain.2. Plan de masse.3. Coupe contextuelle, Le bâtiment face à l’église des Réformés.4. Maquette de concept, pliage.5. Coupe transversal dans le conservatoire.6. Photomontage, façade principale sur la place.

t 1 conser vato i re de danse et de mus ique , 1 aud i tor iumCet équipement culturel vient s’inscrire dans un contexte très emblématique du centre ville marseillais. Un carrefour complexe en haut de l’axe majeure de la Canebiére et face à l’église des Réformé, un espace urbain très congestionné. Le partie-pris du projet est celui de redonner ici une véritable place publique. L’architecture vient alors se plier pour fabriquer un sol et une façade à cet espace public, le bâtiment n’occupe pas mais dessine un vide, qui devient une sorte de parvis pour l’église et un espace de représentation extérieur pour le conservatoire. L’espace majeur devient cet «entre-deux»: un intervalle d’expression public pour lequel l’architecture s’efface comme par modestie. D’un coté le bâtiment de l’école constitué d’épaisseurs d’usages successives vient terminer le coeur d’îlots, de l’autre un soulèvement du sol invite à se glisser dans le café-théâtre qui fait office d’entrée public pour l’auditorium. La salle de spectacle souterraine devient alors le lieu de rencontre entre les danseurs et musiciens qui accèdent sur scène par le conservatoire et le public descendant directement de la cafétéria.La scène est envisagée comme un espace modulable : elle s’ouvre sur le plus grand studio de danse, et peut ainsi investir ce volume, de cette façon l’espace scénique s’adapte aux besoins des différentes disciplines.

2009 - E N T R E - A C T E U R B A I NLicence S6 ENSA-M

Place Léon Blum - 13001 Marseille

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1. coupes transversales élévation du bâtiment exis-tants , photographie

2. vue sud-ouest sur le contexte urbain cnskw,llm ,

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7. Photo de maquette (1/500).8. Coupes transversales sur le conservatoire, circulation et puits de lumières.9. Façade principale, entrée du conservatoire.10. Façade sur la Canebière.11. Plan de RDC.12. Plan de sous-sol.

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13. Photomontage, vue entrée sur la place, haut de la Canebière.14. Photo de maquette structure (1/100).15. Dessin au fusain, coupe perspective.

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16. Détail (1/50), coupe sur façade principale.17. Coupe transversale sur l’ auditorium.18. Croquis crayon, espace scénique.19. Croquis crayon, grand studio de danse.20. Acrylique sur toile, escalier principal.

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1. Perspective sur la place, entrées dans le bâti-ment et escaliers d’accès sur la promenade pié-tonne.2. Axonométrie3. Extrait du master plan sur Arrentela.4. Perspective du coté du centre thermal.6. Plan RDC, commerces et entrées de la piscine.

t 1 p i sc ine , commerces , espace publ ic L’équipement s’inscrit sur le fil d’une promenade piétonne qui longe la rivière : commerces et café se glisse sous le soulèvement de cette passerelle piétonne et s’ouvrent sur une placette urbaine, tandis que coté fleuve est installé un équipement thermale dont les bassins flottent sur le rio.

2009-2010 - B A N O SMaster S7 UTL- arquitectura

Arrentela - Lisboa

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1. Photomontage, vue façade sur la rivière.2. Façade Sud 3. Façade Nord4. Coupe longitudinale5. Développé de façades, patron assemblé6. Photomontage, entrée café-théâtre7. Plan de RDC, niveau entrées.

2010 - C H A P I T ÔMaster S8 UTL- arquitectura

Arrentela - Lisboa

t 1 sa l le de spectac le , 1 éco le de c i rque , 1 caféSous un même volume tendu, presque textile, se trouve réunit une salle de spectacle de la forme d’un chapiteau, des salles d’entraînement pour des acrobates circassiens et un café théâtre... Ce volume de béton émerge de la roche et se découpe pour offrir des pièces extérieurs ouvertes sur le paysage, entre cour privée des élèves de l’école et parvis d’accueil du public.

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8. Photomontage, vue façade nord entreés.9. Photomontage, entrée école de cirque.10. Détail (1/20), coupe entrée école de cirque.11. Détail (1/50) , coupe sur la salle de spectacle «chapiteau».12. Coupe transversale, le bâtiment encastré dans la paroi rocheuse.

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1. Plan d’étage courant2. Façade sur rue commerçante.3. Imbrication des différentes typologies de loge-ment et répartition dans les immeubles.4. Axonométrie, implantation des bâtiments et du jardin dans l’îlot.5. Plan et coupe des logements autour des patios.

t 60 logements co l lect i f s , 1 ha l le de marché , 1 jard in Une parcelle très vaste implantée dans un tissu urbain mixte qui offre des ambiances urbaines et des points de vues hétérogènes. De forme triangulaire, elle projette trois «focales urbaines», trois perspectives sur la ville et différents rapports contextuels à combiner dans un même programme : 60 logements collectifs et une halle de marché couvert (rapport de densité, de fluidité, de dilatation et d’usages). La périphérie de l’îlot met en vis à vis des parallèles variés avec l’environnement bâti, des confrontations de masse, d’images et d’usages (le résidentiels dense, la monumentalité de l’immeuble du St Georges ).Ces « impressions in situ » m’ont amenées à chercher le prolongement de ces «types urbains» en travaillant sur des dualités en périphérie d’îlot et sur l’ouverture des angles comme espaces de fluidités et de contact. La halle se mêle au jardin et colonise la parcelle comme un rabattement (le reflet) de l’ombre et de l’image du St Georges tandis que deux barres de logements épaisses à patio viennent en périphérie recréer les rues résidentielles et commerciales.

2008-2009 - 6 0 L O G E M E N T S Licence S5 ENSA-M

Place du 4 septembre - 13007 Marseille

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1. Dessin crayon, plan de masse. 2. Photo de maquette.3. Croquis encre, vue dans la cour intérieur d’une habitation.4. Plan d’une cellule d’habitation.5. Photo de maquette.6. Dessin crayon, coupe transversale sur les deux corps de bâtiments.

t 5 habi tat ions pour voyageursUn premier bâtiment, sur la rue, referme l’espace du projet sur une vaste cour. A l’image du Caravansérail, les édifices sont repartis autour de la cour et les espaces d’activités collectives s’ ouvrent sur ce lieu central.Au fond, encastrées dans le relief, les habitations des voyageurs: le long d’une galerie couverte rythmée par les failles où se logent les escaliers, on accède aux cours particulières de chaque habitacle. Le projet se suspend sur le fil d’une pente qui glisse jusqu’à la mer.

2007 - C A R AVA N S E R A I LLicence S3 ENSA-M

Les Goudes - 13008 Marseille

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1. Dessin à la craie sèche, vue façade nord sur le port de pêche.2. Dessin au fusain, coupe schématique et système de lumière.3. Dessin au crayon, plan niveau de la rue d’accès4. Photo de maquette

t 1 maison ind iv idue l leSur la rue, un coin d’ombre et un banc, deriérre la chicane, un jardin d’hiver : une cour suspendue comme une avancée vers le large. l’espace à vivre et la bibliothéque profitent de la double hauteur du volume et de sa baie sur le petit port de pêche.Descente dans la “coque” : La chambre forme un habitacle au ras de l’eau ; sous la terasse, dans les profondeurs, la salle d’eau se creuse comme une grotte.

2007 - C O U R S U S P E N D U ELicence S3 ENSA-M

Les Goudes - 13008 Marseille

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1. Acrylique, le paysage des carrières de pierre dans les massifs marseillais.2. Collage, coupe perspective, le canal sur les hauteurs de la ville, limite entre urbanisation et territoire naturel.3. Photomontage, vue aérienne, le chemin de la pierre, relevé des murs de pierres.

t Un refuge, un ate l ie r de ta i l le de p ier reDe l’extraction du milieu naturel à la construction de la ville, la roche calcaire des carrières du massif de l’étoile devient béton et sillonne le territoire en marquant sa trace. Ce parcours se matérialise par des percés à travers un système de murs qui utilisent la pierre dans la fabrication de limites et de systèmes clos. Le matériau devient alors un flux qui crée des circuits, des activités, du lien sur son passage à travers le territoire entre l’amont et l’aval du canal. La transformation de la pierre naturelle à la pierre manufacturée illustre l’idée du passage de la ville au territoire naturel. Le lieu de transformation de la pierre deviendrait le lieu symbolique de transition entre nature et ville, révélant aussi le caractère limitrophe du canal dans ce site.A l’inverse, le cas du chemin vers la carrière désaffectée deviendrait une porte d’entrée vers les territoire naturels. Cette démarche reviendrait à envisager le massif de l’étoile comme un jardin naturel délimité pour la ville.

2010-2011 - CARRIERES DE PIERRESMaster S9 ENSA-M

Les Aygalades - Marseille Nord

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4. Plan masse général, deux interventions dans le paysage.5. Maquette du site, enduit plâtre ( 1/1000).6. Collage, l’agglomération marseillaise et son cirque de collines.7. Maquette argile, le chemin de la pierre à travers le massif, carrières et murs de pierres.8. Triptyque acrylique, positionnement du projet dans le paysage.

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9. Maquette coupe, argile et carton (1/200).10. Coupe longitudianle sur le bâtiment et son puit de lumiére.11. Coupe transversale sur le bâtiment encastré dans la falaise, le parking et le systéme d’entrée à travers la roche.12. Plans des trois niveaux, belvédère et «refuge».13. Plan du bâtiment inscrit dans la carrière désaffectée.

Un petit équipement aux limites de la ville, la porte d’entrée dans le parc naturel du massif de l’étoile: le visiteur laisse son véhicule dans un parking paysagé inscrit dans les lits d’extraction au sol de la carrière désaffectée, puis peut rejoindre un petit équipement «refuge» en haut de la falaise par un passage à travers la roche. Le bâtiment , volume de pierre «taillé» et percé par un puits de lumière, accueil un lieu de restauration, quelques dortoirs et salles de séminaires. Sa position de belvédère le place comme point de départ sur les sentiers de découvertes du massif de l’étoile.

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14. Façade principale, entrée vers la carrière.15. Coupe sur espace d’exposition et de vente et administration de l’atelier.16. Coupe sur l’entrée vers l’espace d’exposition et la cour de l’atelier.17. Maquette en argile, volumétrie des bâtiments.18. Maquettes en argile, recherche volumétrique.19. Plan de RDC.

La pierre extraite de la carrière de sainte Marthe est, pour la plus grande partie, transformée directement sur le site en béton de construction livré dans les environs. Il s’agirait de s’inscrire dans le processus de transformation de la pierre, de l’intercepter pour produire et proposer d’autres mises en formes du matériau. Introduire une diversité de matériaux de construction à partir de la pierre travaillée dans ce site. Divers mises en œuvres de la pierres de taille, gabion..Au lieu marqué par la rencontre entre le chemin de la pierre et celui de l’eau du canal, les conditions semblent réunit pour obtenir une matière première et développer un lieu de travail autour de la taille de pierre inscrit dans cette situation particulière.L’atelier de taille et l’espace d’administration et de vente sont séparés par la route d’accès à la carrière, les deux volumes se rejoignent sous la ligne d’une même pente de toit. Et soulignent encore une fois le passage de la vile à la nature en faisant socle pour la montagne.

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1. Photo, site arrière de la caserne du Muy.2. Plan masse.3. Photomontage, projeter derrière les murs existants, brèche d’entrée.4. Photomontage, béton derrière le mur de pierre.5. Perspective, entrée rue de la caserne, entrée principale de la salle des fêtes.

t Une sa l le des fêtes , une maison des assoc iat ions Le territoire de la Belle de mai se lit en regard des différentes logiques urbaines et des échelles décisionnelles fabriquant ce morceau de ville marseillaise. La constitution de ce territoire est tracée par les fonctions industrielles. L’installation des activités a entraîné la fabrication d’un faubourgs résidentiels, formant un tissu chaotique et raccroché tant bien que mal aux bâtiments industriels et institutionnel préexistants. La ville se construit dans cette confrontation de formes à différentes échelles, le territoire semble s’éprouver à deux vitesses, des systèmes anachroniques et discordants. L’institution de la gare et de la caserne militaire fabrique une frontière, de murs et d’édifices monumentaux enclavant le quartier de la Belle de mai. L’emprise militaire relève d’une gestion politique du territoire, d’une stratégie d’état aujourd’hui désuète ; elle constitue dès lors un territoire bordé, fortifié, hors de la ville , confisqué à celle-ci. Face à cette muraille la ville spontanée cherche sa place, s’agglomère et s’y heurte. Deux échelles se confrontent : du territorial au local. L’intervalle du projet s’accroche sur cette ligne de rupture, c’est un ancien site militaire à l’arrière de la caserne du Muy qui se déroule le long de cette limite.

2011 - I N T R A M U R O SDiplôme S10 ENSA-M

La belle de Mai - 13003 Marseille* «remarqué» prix des diplômes 2011 SA13

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6. Photomontage, la caserne enserrée dans ces muraille, le monumental face à la ville résidentielle.7. Coupe, sur le jardin et descente dans le passage sous la voie ferrée.8. Axonométrie éclatée du projet.

Rendre à la ville un territoire « confisqué », réhabiliter une pratique urbaine, projeter sur la trace des pierres existantes … entre les murs.

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9. Maquette en béton (1/100), la caserne monumentale dans son contexte, confrontation d’échelles.10. Maquette coupe en plâtre.11. Coupe- façade entrée de la maison des associations.12. Coupe sur la salle « forum » de la maison des associations.13. Coupe sur la salle des fêtes, creusée dans le socle de la caserne.

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14. Détail (1/20), coupe salle des fêtes et cour d’entrée. Double murs béton derrière le mur de pierre existant conservé.15. Elévation nord, salle des fêtes.16. Croquis encre, parvis couvert et patio, entrée vers l’administration de la maison des associations.

La problématique est alors celle de redonner du sens à cette limite, il s’agit de rendre à la ville ce territoire confisqué, de réhabiliter une pratique urbaine, un usage, de travailler sur l’épaisseur que peut prendre cette ligne de rupture. Le projet chercherait à rouvrir une brèche dans les franges de ce territoire « hors de la ville », à trouver une porosité à travers ces « fortifications », entre les murs. Le programme s’inscrit dans la perspective de l’ouverture de ce site à la ville en proposant un équipement de quartier et un espace public. Le site prend place dans le soutènement de la caserne, la morphologie de ce lieu est détermi-nante pour la mise en forme du projet. Il s’agit de travailler dans l’épaisseur du socle, à l’intérieur des murs de pierre et avec la consistance d’un remblai artificiel. Le projet se fabriquerait alors comme un contenu (une matière) dans le contenant que dessine l’enceinte des murs existants. Par le sol qui donne la continuité à l’espace public et les espaces qui cherchent leurs places dans l’épaisseur topographique, entre creusement et émergence.Le projet renforce l’enceinte murale brisée par la voie de chemin de fer en permettant le passage de part et d’autre de l’ancienne emprise militaire. Il s’instaure alors un rapport de vis à vis entre le socle de la caserne et l’esplanade crée, les accès préexistants sont conservés et intégrés dans les bâtiments qui deviennent poreux. L’architecture prend forme dans cette situation urbaine particulière façonnée par les infrastructures.

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17. Perspective intérieur, salle « Forum » de la maison des associations.18. Maquette de recherche en plâtre, creusement et émergences à l’intérieur des murs existants.19. Maquette en plâtre, les masses et les vides du projet.20. Perspective intérieur, salle des fêtes.

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/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / FORMATION - DIPLÔMES

2006 : Obtention du baccalauréat S avec mention « Très bien ».

2009-2010 : UTL / Erasmus au Portugal, Universitat tecnica Lisboa.

2011 : Bac+5 ENSAM / Obtention du diplôme d’état d’architecte à l ’ Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Marsei l le ( mention A « Excel lent » ). * « Remarqué » prix des diplômes 2011 SA13

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f Stage dans l ’agence d’architecture Alcaraz et Fishmeister architectes associés sarl , Riez, un mois, été 2007.

f Stage de chantier, en maçonnerie, chez Les Compagnons , Marsei l le, deux semaines, été 2008.

f Stage dans l ’agence HTA Hervé Tordjman architecture , Paris, un mois, été 2009.

f Workshop « les sentiers de l ’eau » avec l ’art iste Tadashi Kawamata , Projet Camargue, Les nouveaux terr i toires créati fs, novembre 2011.

v Emplois dans l ’agence Adrien Champsaur architecture , Marsei l le, quatre mois, octobre 2011- janvier 2012.

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Al lemand et Anglais : niveau du baccalauréat. Portugais et Espagnole : lu et compris.

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Logiciels prat iqués : Archicad 2D et 3D, Photoshop, In design, I l lustrator, Sketchup, Art lant is.

J e a n n e A U T R A N - E D O R Hj e a n n e . a u t r a n @ y a h o o . f r( + 0 0 3 3 ) 0 6 3 2 1 4 1 5 5 4N a t i o n a l i t é F r a n ç a i s eN é e l e : 2 9 . 1 0 . 1 9 8 8

C U R R I C U L U M V I T A E

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