Jean Pierre Prudent - Sheet music · o L'orgue à tuyaux o un orgue de type Hammond B3 C3 ou un...

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Jean Pierre Prudent Compositeur, Interprete France, LEFOREST A propos de l'artiste Que dire de JPP : Il se définit avant tout comme un créateur. Faire de la musique c'est d'abord, pour lui, en inventer en travaillant autant sur partition qu'à partir de l'improvisation. Entre autres influences il cite Olivier Messian, Bach, Debussy, ou Franck Zappa, mais aussi le rock progressif, magma ou pink-floyd. Surtout, sa musique se veut multiforme et sans contrainte. On y trouve des accents de musique savante, de jazz moderne, de rock, ou d'atmosphères new-age aux connotations médiévales. L'orgue à tuyau y côtoie la guitare électrique, l'orchestre à corde le synthétiseur. Les morceaux baignent souvent dans une ambiance mystérieuse, résolument avant-gardiste, ou strictement classique, où l'oreille voyage sans cesse entre consonance et dissonance. Bref, l'invention a lieu hors de tout sens obligatoire pour produire une musique d'... (la suite en ligne) Sociétaire : SACEM - Code IPI artiste : 00491 21 69 51 Page artiste : http://www.free-scores.com/partitions_gratuites_jpp-osirys.htm A propos de la pièce Titre : La quête (suite pour orgues) Compositeur : Prudent, Jean Pierre Arrangeur : Prudent, Jean Pierre Droit d'auteur : Jean Pierre Prudent © All rights reserved Editeur : Prudent, Jean Pierre Instrumentation : Orgue seul Style : Contemporain Jean Pierre Prudent sur free-scores.com Cette partition ne fait pas partie du domaine public. Merci de contacter l'artiste pour toute utilisation hors du cadre privé. • écouter l'audio • partager votre interprétation • commenter la partition • contacter l'artiste Ajoutée le : 2014-09-07 Dernière mise à jour le : 2018-01-18 14:03:20

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  • Jean Pierre PrudentCompositeur, Interprete

    France, LEFOREST

    A propos de l'artiste

    Que dire de JPP : Il se définit avant tout comme un créateur. Faire de la musique c'est d'abord, pour lui, eninventer en travaillant autant sur partition qu'à partir de l'improvisation. Entre autres influences il cite OlivierMessian, Bach, Debussy, ou Franck Zappa, mais aussi le rock progressif, magma ou pink-floyd. Surtout, samusique se veut multiforme et sans contrainte. On y trouve des accents de musique savante, de jazzmoderne, de rock, ou d'atmosphères new-age aux connotations médiévales. L'orgue à tuyau y côtoie laguitare électrique, l'orchestre à corde le synthétiseur. Les morceaux baignent souvent dans une ambiancemystérieuse, résolument avant-gardiste, ou strictement classique, où l'oreille voyage sans cesse entreconsonance et dissonance. Bref, l'invention a lieu hors de tout sens obligatoire pour produire une musiqued'... (la suite en ligne)Sociétaire : SACEM - Code IPI artiste : 00491 21 69 51Page artiste : http://www.free-scores.com/partitions_gratuites_jpp-osirys.htm

    A propos de la pièce

    Titre : La quête (suite pour orgues)Compositeur : Prudent, Jean PierreArrangeur : Prudent, Jean PierreDroit d'auteur : Jean Pierre Prudent © All rights reservedEditeur : Prudent, Jean PierreInstrumentation : Orgue seulStyle : Contemporain

    Jean Pierre Prudent sur free-scores.com

    Cette partition ne fait pas partie du domainepublic. Merci de contacter l'artiste pour touteutilisation hors du cadre privé.

    • écouter l'audio• partager votre interprétation• commenter la partition• contacter l'artiste

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  • La Quête Jean Pierre Prudent 2006

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  • La Quête

    Démarche d'écriture :

    Toutes les pièces de "La Quête" sont à l'origine des improvisations enregistrées puis

    retravaillées à la table. Elles on été pensées dès le début pour l'instrumentarium choisi. La

    méthode (qui est celle que j'emploie presque toujours) consiste à définir une ambiance, des

    thèmes, des harmonies, des rythmes, une instrumentation ainsi que d'autres éléments brefs

    (non développés) et des plans conceptuels à partir desquels j'improvise. Cette improvisation

    est enregistrée (il y a parfois plusieurs prises, et la meilleure est conservée). La partition est

    notée d'abord de façon "brute" à partir de cet enregistrement. Elle est ensuite reprise à la table

    (souvent après un délai de "décantation") où elle est retravaillée de manière à y apporter

    d'avantage de structure, de mathématique. A ce stade il ne s'agit donc plus d'une simple

    transcription neutre, mais d'une pièce arrangée. L'interprétation finale ne se voudra pas figée

    par rapport à l'écrit. On peut à nouveau improviser, transformer, choisir. La boucle est alors

    bouclée.

    Improvisation à la source, structuration de la partition, interprétation "libre" permettant à

    nouveau l'improvisation.

    Instrumentation :

    o L'orgue à tuyaux

    o un orgue de type Hammond B3 – C3 ou un orgue/synthétiseur actuel reproduisant sa sonorité. Le B3/C3 peut être remplacé par un second orgue de chœur ou, pourquoi pas,

    un harmonium. Il est facultatif et peut être supprimé, mais les pièces n'ont pas été

    pensées dans ce sens. Pour jouer à l'orgue seul il faut donc user de quelques artifices :

    � Mélanger dans une pièce des éléments puisés dans la partie d'orgue et dans celle réservée au B3-C3. Exemple : sur la pièce n°1 (Dodo …) On peut jouer

    sur la première phrase la basse du B3 au pédalier, sur les parties non mesurées

    on peut jouer la partie B3 à la main gauche et au pédalier etc.

    � Construire un morceau à partir d'éléments provenant de différentes pièces � Jouer tel quel (c’est tout à fait possible, par exemple, sur les pièces 9 et 10)

    o Il faut donc faire preuve d'imagination: c'est l'improvisation structurée, l'interprétation libre.

    o Des bruitages électroniques facultatifs pouvant toujours être remplacés par des percussions. Des percussions facultatives pouvant elles-mêmes être remplacées par

    des bruitages …

    Je n'ai pas toujours indiqué la place d'éventuels bruitages sur la partition. On peut en

    ajouter

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  • Une remarque générale valable pour l'ensemble de mes créations

    Toutes les musiques que j'écris n'ont pas forcément à être jouées fidèlement à la partition. Je

    conçois la composition dans un esprit beaucoup plus proche du jazz ou du rock que d'une

    manière apparentée à une écriture "savante". A côté de Bach ou Messiaen, certains de mes

    maîtres à penser sont des musiciens qui n'ont jamais fréquenté les conservatoires ni posé la

    moindre note sur une feuille de papier. A coté des symphonies pour orchestre, des fugues pour

    orgue ou des études pour piano, des groupes dont la musique aux règles simples se transmet à

    l'oreille et se conçoit empiriquement par la pratique instrumentale sont aussi mes modèles.

    Cette façon de faire, où tout caractère savant est absent, a pourtant produit quelques chefs

    d'œuvres. Les démarches sont différentes et il n'est donc pas question de plus ou moins grande

    'valeur' dans une pratique ou dans l'autre. La musique n'est pas une compétition. Si je prends

    en exemple 'Smoke on the water' de Deep Purple, on y trouve dans le cadre d'une analyse que

    quelques accords simples, une mélodie élémentaire sur un rythme binaire et répétitif ; et

    pourtant ça le fait... Ce morceau dégage ,de mon point de vue, autant de génie et d'audace que

    toute autre musique qui serait dite "grande" parce qu'elle s'adresse à l'orchestre, que tout y est

    gravé sur le papier ou qu'il faut être virtuose pour la jouer. On a simplement dans un cas une

    pensée ouverte, réduite à l'essentiel et pouvant recevoir une infinité d'habillages par la suite,

    dans l'autre cas une œuvre non moins intéressante, mais en tout cas figée à jamais. Il n'y a

    aucun lien direct de cause à effet entre la complexité / simplicité d'une musique (qu'on parle

    de l'écriture ou du niveau de l'interprétation) et l'émotion qu'elle peut susciter. Le but n'est pas

    de faire des mathématiques sonores ou un numéro de cirque où l'on se montre le plus rapide à

    son instrument, mais bien de donner à ressentir, de recréer l'univers et la vie par le son. C'est

    pas parce que c'est compliqué que c'est forcément mieux !!

    Je pense donc qu'il faut avant tout rester simple, n'écrire que ce qui est indispensable à la

    solidité du discours d'une manière facilement lisible (il faut seulement noter la musique et pas

    de faire un joli dessin) et de laisser le reste aux interprètes. Il est, pour moi, inutile sur une

    partition de vouloir tout mathématiser : jusqu'à chaque souffle d'air, chaque clignement d'œil

    des musiciens et leur position dans l'espace en trois dimensions au micron près.

    A titre d 'exemple :

    Sur scène j'utilise depuis le matériau écrit les principes de la géométrie variable, de la

    structuration élémentaire et de l'improvisation structurée.

    1) Je puise dans une ou plusieurs partitions des fragments qui m'intéressent et

    je les ré-agence dans le cadre d'un nouveau plan ( juxtaposition et/ou

    superposition ) par structuration élémentaire. Au passage je repense souvent

    l'orchestration (la couleur) par géométrie variable.

    2) Le "liant" de l'ensemble est obtenu par improvisation qui est alors structurée

    car en relation avec le plan obtenu à l'étape 1).

    En tout état de cause, ma musique peut s'interpréter très librement. L'esprit de l'improvisation

    structurée doit être présent. Il ne faut pas hésiter à faire vivre les pièces autant que faire se

    peut sans en détruire le sens et l'équilibre. Le point sur lequel il est le plus facile de jouer est

    presque toujours l'orchestration. Même en restant fidèle à l'écrit, mes musiques peuvent être

    colorées à souhait sur le plan instrumental quitte à transposer parfois et à adapter certaines

    harmonies ou contrepoints.

  • Structuration élémentaire : Principe de la mosaïque, assemblage cohérent de miniatures,

    concision. La musique est comprise, selon des plans originaux, comme une suite de

    juxtapositions et superpositions d’éléments divers.

    Improvisation structurée : Une pièce peut comprendre une part variable d’improvisation

    guidée. Tous les éléments de rythme, de mélodie, de contrepoint et d’harmonie,

    d'orchestration jugés utiles à la solidité structurelle sont notés, le reste est librement

    improvisé.

    Géométrie variable : L’orchestration est indicative et peut varier de manière que la musique

    puisse être jouée par des formations instrumentales différentes sans perdre de son sens.

    Dans ce cadre j'utilise un orchestre divisé en 5 trames. La formation peut être acoustique,

    électrique ou mixte, et pour chaque instrument on peut employer indifféremment la variante

    souhaitée. Par exemple, des cordes peuvent être jouées par le quatuor (violon, alto,

    violoncelle, contrebasse) comportant de 1 à N représentant(s) de chaque ligne, ou par une

    nappe de synthétiseur ou un orgue. La basse électrique peut se substituer à la contrebasse

    et/ou au violoncelle etc. etc. . Toutes les parties sont écrites de façon à permettre au mieux

    ces substitutions.

    Les trames sont les suivantes :

    • Fonds / nappes : cordes, chœur, nappes de synthétiseur, orgue .. -> Dominante harmonique

    • Percussions / bruitages : percussions, bruits, électronique .. -> Dominante rythme • Basses : basses diverses -> Assise rythmique et harmonique, mélodie • Chant solo / mélodie : chant, tout instrument mélodique acoustique ou électronique -

    > Dominante mélodique

    • Claviers : piano, clavecin, orgue, piano électrique, vibraphone, harmonium etc.. -> Polyvalence

    • Texte ** 6ième groupe facultatif ** Parlé, psalmodié, chanté.

    Les nuances (ainsi que les indications éventuelles de phrasé) sont fournies à titre indicatif.

    Elles n'ont donc pas forcément à être exécutées à la lettre, mais peuvent varier en fonction des

    choix d'interprétation. Le texte (souvent présent) donne les indications de caractère.

    l’écriture est enharmonique, visant à simplifier la lecture. EX mi b ou Sib préférés à La# ou

    Ré#, Do# préféré à Ré b etc.. La note écrite est toujours la note à obtenir (pas d'instruments

    transpositeurs). Les altérations ne se répercutent PAS d'une octave à l'autre.

    Pour toutes les parties (suivant l'instrument choisi) on peut si nécessaire transposer à l'octave.

    Les harmonies proposées peuvent parfois être adaptées si nécessaire. (Doublures de notes,

    suppression d'autres, mais plutôt éviter les réécritures)

    • Opposition rythme – non rythme • Ajout de textes ( mise en scène ) • Musiques simples ( le rock, le moyen âge ….)

  • • Les choix harmoniques : � accord en quarte ( juste dim ou aug) EX do Fa# sib sur la base duquel il peut y avoir

    ajout : - d’un parfait maj , min ou 5te dim depuis la première ou seconde quarte EX

    sur la base do Fa# sib on a Fa# la do(#) ou Sib Re Fa (#) - ou d’un accord en quarte

    identique sur la 1ère ou seconde quarte EX sur la base précédente on ajoute mib ou

    mib et lab. - ou d’un accord en quintes sur la 1ère ou seconde quarte EX sur la base

    précédente : Fa# Do# Sol# ou Sib Fa Do.

    � Accords simples en quartes ou en quintes

    � Accords « traditionnels » ( majeurs , mineurs , 5tes altérées , 7èmes, 9èmes .... )

    � Accord de résonance avec usage préférentiel des degrés les plus proches. Ex sur une

    fondamentale de do on obtient : sol mi sib ré fa# sol# Si Ré# ( Mib) Fa Sol# ( Lab) La .

    Les degrés les plus proches sont la quinte et la tierce ainsi que la 7ème la 9ème et la

    quarte augmentée. Dans l’accord employé figure au moins l’un de ces degrés ( parmi

    les possibles ). Tout autre accord est superposable à cet accord de résonance.

    � Accords aléatoires de type cluster ou résultant d’un contrepoint libre.

    � Toutes les positions et renversements sont employés, et les formes alternent.

    Ajout de bruitages A chaque moment d’une pièce ( librement déterminé ), on peut ajouter des bruitages ou

    ambiances sonores ( à partir de sons naturels transformés ou non, et de synthétiseurs ). La

    seule contrainte est alors de ne pas ajouter de nouvelles mélodies, de contrepoints ou

    d’harmonies. Les éléments introduits doivent plutôt rester des plans sonores venant compléter

    par endroits la musique.

    (voir "Ecriture et musique électronique")

    Hormis les remarques techniques concernant spécifiquement la musique, l'esprit évoqué ici

    prévaut également lorsque j'écris des textes. Sur la forme par exemple, j'y emploie aussi

    l'assemblage d'éléments comme dans la mosaïque et il est toujours possible de ré-agencer ou

    d'improviser…

    Ecriture et musique électronique

    La partition répond à plusieurs usages. Le premier est l’archivage, la conservation, le rôle de

    mémoire. Le second est de devenir un vecteur entre le compositeur et l’interprète. Grâce à

    l’écrit, l’instrumentiste ou le chef d’orchestre donne vie à ce qui n’était jusque là qu’une

    pensée abstraite. Ils viennent prolonger le travail de l’auteur. Enfin, le fait même d’écrire, de

    noter, vient structurer la musique en autorisant une réflexion plus fine liée au temps, à la

    représentation graphique, aux règles. Un phénomène comparable existe dans le langage parlé

    où un discours improvisé est rarement équivalent (tout au moins sur le plan de la forme) à un

    texte préparé par écrit.

    La musique électronique induit en matière de composition une démarche qui va du concret

    vers l’abstrait. (et encore, les machines actuelles permettent d’obtenir un résultat tout à fait

    acceptable à partir d’une structuration quasi nulle. Le travail est alors exclusivement placé

    dans le domaine des manipulations concrètes. ) . Le compositeur devient l’utilisateur plus ou

  • moins heureux et doué de la technologie. Celle-ci reste indispensable pour exécuter une

    œuvre au même titre qu’un instrument conventionnel, mais surtout devient strictement

    nécessaire à l’acte créatif lui même. Sans ses appareils un auteur de musique électronique n’a

    plus rien à inventer, sa main lui est coupée, il ne peut plus "écrire". L’instrument, dans ce cas,

    n’est plus seulement l’outil final permettant le passage de l’abstrait de la partition vers le

    concret du monde sonore, mais devient le prolongement obligé du cerveau humain. C’est la

    machine qui contient la mathématique, le plus haut degré d’ordre, devant la musique qu’elle

    permet de produire.

    En vertu de cela il est, à mon sens, inutile d’écrire une musique électronique. Il n’y a pas

    d’interprète humain à qui la partition pourrait être destinée. Le stockage de l’information est

    réalisé sur les machines au format qui leur est propre (les ordinateurs savent parfaitement

    enregistrer le son et le conserver, les logiciels ou appareils possèdent tous une fonctionnalité

    assurant la sauvegarde de tous les paramètres nécessaires à la production / reproduction de la

    musique). Enfin, la méthode de travail consiste à manipuler directement le matériau sonore, à

    l’agencer, rendant tout système de notation plutôt descriptif (informatif) que concepteur.

    L’écrit, ne permettant en rien de " voir " le résultat, devient superflu pour structurer la pensée.

    (à qui le graphique d ‘un spectre sonore évoque t- il immédiatement un objet particulier à

    l’oreille ? )

    Ce qui peut rendre une musique libre du temps et de l’espace c’est, entre autres, la

    mathématique qu’elle contient en elle, indépendamment des instruments qui lui donneront vie.

    De ce point de vue une partition est comparable à une formule qui décrit de la façon la plus

    abstraite et universelle possible une pensée structurée, un raisonnement sonore. Cet écrit

    devant rester lisible, compréhensible, sans l’aide d’appareillages spécifiques. Les musique

    électroniques (électroacoustique, travail du son brut, sampling, boucles etc. ...) contiennent

    peu de mathématiques directement perceptibles à l’audition. Les structures, quand elles

    existent, sont souvent hypercomplexes ou au contraire ridiculement simplistes. Dans le

    premier cas les musiques, peu "naturelles", sont souvent en dehors des limites de ce que notre

    oreille peut comprendre sans analyse. La "logique" du son ne se perçoit pas (ou très peu) lors

    d’une écoute vierge de toutes explications. Ce n’est qu’après avoir lu un mode d’emploi

    disant : « ce que vous écoutez est construit de cette façon » que tout s ‘éclaire. Dans le second

    cas la forme se réduit bien souvent à une simple pulsation d'une monotone régularité dont le

    seul intérêt peut être d'entrer en transe en dansant.

    Le savoir, l’harmonie, l’intelligence, la beauté sont principalement dans les machines. Il faut,

    pour moi, se poser cette question : que reste-t-il quand on coupe l'électricité ? . Si il y a

    toujours de quoi s’émerveiller (une partition de Bach .... ?) c’est probablement bien. Mais

    loin des lignes à haute tension il ne subsiste parfois que le B A BA de la musique la plus

    primitive.

    Les instruments actuels sont merveilleux, et un compositeur digne de ce nom serait stupide de

    ne pas les employer. Il faut cependant rester lucide. La technique c'est comme une sirène, son

    chant est des plus mélodieux mais il peut vous entraîner hors de votre route. Vous n’êtes plus

    totalement maître de vos pensées, sauf à vouloir les écrire même si vous les destinez aux

    appareils les plus sophistiqués. C’est pourquoi je préfère à l’électronique pure une musique

    mixte où cohabitent instruments traditionnels et objets sonores informatisés. Ajouter l’humain

    ( l’interprète ) à la rigueur des ordinateurs. Une composante du travail est écrite à l’attention

    des musiciens, une autre est simplement décrite si nécessaire, stockée directement sur les

    machines ou totalement improvisée. L'improvisation (éventuellement structurée) s'accorde

    très bien, pour moi, avec les instruments électroniques dans la mesure où il est de toute façon

    très difficile à l'oreille de distinguer dans ce style une pièce rigoureusement préparée d'une

    pure production aléatoire …

  • Le livre de la quête.

    De l'ignorance, là où on ne sait pas, à l'illumination

  • 1) Invocation à la foi

    Petit a.

    Absolument tout des distances, infinies limites des temps après avant moi éternels. Masses

    énergétiques, quanta ondulatoire. Toutes les choses que je vois ou pas, que je sais ou pas, que

    je parle ou pas, intégralement tout l'univers. J'en connais la formule.

    De la racine aux hyperboliques sphères en puissance carrée, fonction affine des produits

    cartésiens, hypoténuse impaire de l'espace euclidien courbe multidimensionnel.

    Petit b

    Microbes, bactéries, algues, photosynthèse, pieds qui poussent, les yeux qui sortent, dents qui

    croquent, cellules amassées planifiées en hélices. Toutes les bêtes qui ne restent pas à la

    même place, trop petites et brèves infinitésimales. Pourquoi elles mangent et où elles vont et

    leur sang rouge qui coule parfois. J'en connais la formule.

    Des barycentres logarithmiques linéaires intégrales sur ensembles interpolés. Facteur

    numérique zéro de la série convergente réflexive.

    Petit c

    Tous les mots disposés réunis combinés dans pas n'importe quel ordre pour les entrer viraux

    dans un autre esprit. Pouvoir connaître chaque chose et la dire, mettre le monde dans ce qui se

    parle. Traduire, expulser, construire. Etre avec le flot des verbes qui me font, et pour tous

    ceux que je connais les dire à exister. J'en connais la formule.

    Rayon quadratique proportionnel de la permutation vectorielle. Nombre irrationnel au

    monomorphisme multiplicateur des anneaux commutatifs.

    Petit d

    Que je sais dire "je t'aime", et t'espérer, t'attendre, te rencontrer. Que je sais partager caresser

    réconforter. Que je sais dire "je t'aime" et encore te redécouvrir. Que je sais dire "je t'aime":

    j'en connais la formule.

    Abscisse algébrique aux angles aigus, bijection orthogonale du polynôme, coefficient

    probabiliste de la congruence modulo. Symétrie colinéaire sinusoïdale.

    Petit e

    Pourquoi des petits garçons ou filles restent enfermés où ils sont seuls quand ils sont morts.

    Parlent, on ne les entend pas, sont dans les choses qu'ils ne peuvent pas toucher. Ou alors

    l'objet ne bougera pas. Invisibles à crier parfois dans une éternité éternellement renouvelée

    d'infini cyclique. Tous les petits disparus de nous, ou plus tard, guerres, injustices, famines,

    indifférence naturelle. Les amas de cellules se dissolvent et les mots ont du mal à sortir. J'en

    connais la formule.

    Elément absorbant zéro, hors limite de la matrice minimale convexe.

    Petit f

    Tout le rien vide inutile à peine rempli par moi et les autres eux-mêmes avec moi. Géant

    néant, même pas là pour rire. Solitude des enfants abandonnés. Aucune loi sauf les quelques

    équations du lambda calcul. J'en connais la formule.

    Courbe asymptotique du lemme diviseur, diagonale transitive du quotient variable, puissance

    N des algorithmes cubiques fractionnaires. Constante universelle mathématique.

    Que j'aimerais prier de quelques certitudes significatives, amour tendre, parfois. CQFD.

  • 2) Big-Bang

    Je ne sais pas les ondes magiques, ni les forces futures

    En plus on m'a fait voir des agonies sanglantes en solitudes affamées.

    Je n'ai pas appris les causes obscures, ni les géométries extravagantes

    Quand même on m'a montré les armes pointues et les regards tueurs.

    Je n'ai pas imaginé les phares lointains, ni les forges aux étincelles hurlantes

    Surtout on m'a donné la peur des étranges à en vouloir la haine par longue agonie.

    Je ne sais pas où vont toutes les rivières, ni comment le temps s'étend,

    Mais je sais les nuits qui précèdent la lumière et les graines enfouies sous la glace.

    ET j'ai dit les mots de la naissance et ceux qui sont les choses,

    inventé les termes de la vie, du temps et ceux qui font le sens.

    J'ai compris les paroles des autres hommes à les exister.

    J'ai dessiné les formules de la matière qui ordonnent la pensée.

    J'ai écrit tous les mots qui font la réalité.

    J'ai répété les chants qui sont du bien et autant ceux qui font mal,

    Et j'ai dit le mot de ton nom

    Aussi énuméré les syllabes des noms de tous mes immortels.

    J'ai prononcé toutes les paroles qui libèrent et celles qui sont sans limite,

    Les phrases qui ignorent les secrets et révèlent les mystères

    Et encore celles d'où jaillit l'univers et qui ordonnent son cours.

    Et les mots qui rassurent des noms de la tendresse

    Et l'ensemble de tous les cris qui inondent le rien

    Et le verbe qui dit ce qui est.

    Je ne sais pas les chemins oubliés, ni les lignes directrices

    Forcément on m'a montré des tortures écartelées aux crispations de larmes.

    Je n'ai pas vu les forces implacables, ni les destins dessinés

    Pourtant on m'a dit la misère le froid et l'oubli.

    Je n'ai pas entendu les rayons concentriques, ni les ondes fabuleuses

    Pour peu on m'a vendu les pleurs des gamins délaissés aux atmosphères sordides.

    Je ne sais pas où volent les oiseaux, ni comment les secondes se succèdent,

    Mais je sais la pluie du désert et les enfants qui grandissent.

    Même si l'espace se tord et le temps s'étire aux démesures des confins

    Où ni glace ni lumière n'ont de nom.

    Survenus, mais à venir au néant des mots qui sont.

    Je sais te dire et les verbes de l'ailleurs.

    Je prononce ce qui maintenant sera toutes les images qui font l'univers.

  • 3) La quête

    Baigné dans toutes les couleurs du soir que je ne saurais pas bien dessiner

    Mélangées multiples et vives, dans le mouvement des vagues.

    Du bruit au souffle du vent, à la caresse chaude des dernières lumières.

    Et j'ai tenu ta main.

    Tous les mots inutiles, insuffisants à la pensée qui dépasse.

    Aucune formule, aucun signe ne peut dire cet instant de l'unique rencontre.

    Là où tout s'impose sans être réalisé du nom d'aucune chose …

    Au jour qui ne sera pas des temps absents, et sans personne à respirer,

    A la nuit qui n'anticipe jamais un futur, sans lune froide ni terre brune

    A aucun horizon qu'on ne voyait pas des boussoles affolées.

    A mon souffle qui se prépare anéanti des origines de l'esprit.

    Au chant des oiseaux, à l'eau du ruisseau les brouillards et tempêtes

    A toutes ces illuminations qui me disent un au-delà

    Tout suggère l'émerveillement qui brillera aux obscures clartés.

    Rien n'appelle l'absence, rien n'effraie en cauchemar, rien ne griffe, ne brûle ni ne suffoque.

    Rien ne parle les mots du désespoir ni ceux du néant.

    Je sais.

    Je sais mes armes qui n'effraient pas les anguleux rampants strictement dévoreurs,

    Je sais mes livres qui ne diront pas la cachette des lumières merveilleuses,

    Je sais mes larmes qui n'attendriront jamais les pendules austères ou les forces rigides,

    Je sais mon amour si fragile dans son absolu d'éternité, et toute sa folie en ridicule,

    Je sais que je ne suis pas seul, les miens éternels et l'inconnu de tendresse

    Je sais mon chemin difficile autant que magnifique,

    Je sais qu'il me mènera là où ma foi enfante le monde.

    Echo ….

    Je veux prendre le temps lentement de sentir le temps, me penser Je veux tranquillement imaginer mon chemin à vous découvrir Je veux doucement tout me réinventer souvent Je veux impérativement savoir ma planète où plus personne n'a faim ou froid Je veux tellement ne pas être raisonnable Je veux nonchalamment vivre improductif qui achète peu Je veux absolument ne pas regarder la télé, ni téléphoner portable Je veux victorieusement arriver dernier sans être éliminé Je veux nécessairement savoir pourquoi, et choisir.

  • Remarque concernant les textes :

    Ils peuvent, si on le souhaite, être dit sur la musique ou entre les morceaux …

    Si ils sont placés sur la musique je vois plutôt les choses ainsi :

    Invocation à la Foi � Morceau n° 2

    Big Bang � Morceau n° 3

    La Quête � Morceau n° 7

  • La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    Copyright © 2005 by JPP

    Registration

    Indicative :

    Ped Soubasse 16 et 32 + flute 8 et prestant 4

    GO Plein Jeu (fonds, principaux,mixtures, pas de hanches ni cornet )

    Pos Bourdon 8 Doublette 2 + Cymbale 3 rgs + prestant4

    "Hannmond"

    16 5-1/3 8 4 2-2/3 2 1-3/5 1-1/3 1

    8 3 7 7 4 7 2 2 6

    pas de vibrato

    Percussion légère, Click fort, Overdrive ON léger

    Rotor Trebble + Bass ON lent

    Ped = accélerer le rotor / ou + vibrato

    q = 80

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    Orgue

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 1/10

  • q = 120q = 80

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 2/10

  • q = 80

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 3/10

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 4/10

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 5/10

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 6/10

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 7/10

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    q = 120

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 8/10

  • q = 80

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 9/10

  • q = 80 Rit.

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    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...)

    La Quete 1 (sur Dodo l'enfant Do ...) 10/10

  • La Quête 2Copyright © 2005 by JPP

    Registration

    Indicative :

    Ped Soubasse 16 et 32 + flute 8

    GO Salicional 8 bourdon 8

    "Hannmond"

    16 5-1/3 8 4 2-2/3 2 1-3/5 1-1/3 1

    3 0 2 1 6 0 4 7 3

    pas de vibrato

    Percussion très légère Click moyen, Overdrive ON léger

    Rotor Trebble + Bass ON lent

    Ped = accélerer le rotor / ou + vibrato

    Le son doit être très diffus ... aérien ...

    (soft backing)

    q = 80&441 î . ä . ÏK w#I? 44 · Ï Ï#

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    Orgue

    La Quête 2 1/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 2/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 3/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 4/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 5/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 6/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 7/11

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    + Montre 8

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    La Quête 2

    La Quête 2 8/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 9/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 10/11

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    La Quête 2

    La Quête 2 11/11

  • La Quête 3

    Copyright © 2005 by JPP

    Go --> Montre 8 flute 4

    Ped soubasses 16 +32

    Pos prestant 4 puis ajouter nazard 2 2/3, tierce 1 3/5 et doublette 2

    au fur et à mesure du morceau

    Bruitages sut toute la durée : effet "doppler" bizzare électronique

    éventuellement rendu par des percussions

    (timbales , xylophone, grosse caisse, caisse claire cymbales,

    tout objet à son bizarre etc .... )

    en produisant des effets "doppler"

    (éloignement - rapprochement, sirène qui passe ...)

    Le tout lointain, à l'arrière plan et dans le registre grave. Bruit sourd

    au fond ...

    Hammond B3/C3 : Plein Jeu (toutes les tirettes max)

    Overdrive ON fort, click fort

    Percussions ON (moyennes) , Rotor Slow

    Pas de vibrato. Son "Rock" assez puissant.

    Ped à la fin = accélerer rotor ou vibrato.

    q = 120&441 · · · · î . Ï

    Musique non mesurée, la barre est juste un repère.

    Pos

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    Jouer les notes tenues pendant tout le morceau

    Ped

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    Orgue

    Ha

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    Pos

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    La Quête 3 1/6

  • &10 ä ÏbJ î ÏK Å ÏK Å ÏbJ ä . ÏbJ Å ÏJ Î . ÏbJ Î . . Ïj Å Ïj ä Ï# Ï# Å Ï îPos?? ww ww ww wwGO? w w w ww wPed&& ww# w w ww#? w? ww w wb www# www# www

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    La Quête 3

    La Quête 3 2/6

  • &27 ÏÏÏ## J ä ÏÏÏ î ÏbK Å ÏkÅÏJ ä ÏJ ä Ï# î . ÏÏÏbb J ä ÏÏÏbb ä Ïj ä

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    La Quête 3

    La Quête 3 3/6

  • &43 ÏÏÏÏbb J ä ÏÏÏÏ ä

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    La Quête 3

    La Quête 3 4/6

  • &57 ä ÏJ Î Ï# Ï ä Ï# Î ÏÏÏ#b J ä ÏÏÏ ä . Ï#K Å Ï Ï Å Ï Ï# Å ÏJ Å Ïj ÎPos? · Î ÏÏÏ#J ä ÏÏÏ Î ·GO? w ww w w? w ·Ped& w w ww wwww www wbww

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    La Quête 3

    La Quête 3 5/6

  • &69 ÅÏ .bJ î . Î ÏÏÏ## J ä ÏÏÏ Î î . .

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    La Quête 3

    La Quête 3 6/6

  • La Quête 4

    Copyright © 2005 by JPP

    Registration indicative

    Go --> Bourdon 16 salicional 8

    Ped soubasses 16 +32 + flute 8

    Pos Bourdon 8 sur les 3 prelières phrases

    puis bourdon8 + prestant 4

    finir les 2 dernière phrases sur bourdon 8 seul

    Percussions Xylophone, cymbales, clochettes :

    cette partie peut être jouée telle quelle ou on peut, sur la

    base de l'ecrit, faire intervenir

    des variations aléatoires (improvisation) ...

    Orgue Hammond

    Registration très claire, limpide. Percussions et click bine audibles

    en début de note, la tenu étant plus diffuse.

    + Réverbération.

    q = 80

    &441

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    &44 · ·Hammond B3/C3

    Xyl

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    Orgue

    La Quête 4 1/16

  • &3 · ·Bourdon 8Pos

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    La Quête 4

    La Quête 4 2/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 3/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 4/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 5/16

  • ??GO úúÏ . ú úú Ï Ï# j ÏÏ ..Ï . úúbb Ï# ä

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    + Prestant 4

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    La Quête 4

    La Quête 4 6/16

  • &32

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    La Quête 4

    La Quête 4 7/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 8/16

  • &40

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    La Quête 4

    La Quête 4 9/16

  • &45

    &45 ÏÏÏK Å ÏÏÏJ ÏÏÏ ä ÏÏÏ ÏÏÏ#b b Å ÏÏÏjÏÏÏKPos&Ï Ï# Ïb Ï Ï Å ÏK Å Ï Ï Ï Ï Ï Ï Ï

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    La Quête 4

    La Quête 4 10/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 11/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 12/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 13/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 14/16

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    - Prestant 4

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    La Quête 4

    La Quête 4 15/16

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    La Quête 4

    La Quête 4 16/16

  • La Quête 5

    Copyright © 2005 by JPP

    Registration

    indicative :

    Ped Soubasse 16 et 32 + bombarde 16 + trompette 8

    GO Bourdon 16 montre 8 trompette 8

    Pos Bourdon 8 prestant 4 Doublette 2 + Cymbale 3 rgs

    Jouer l'ensemble 2 fois

    .

    Pour l'élément final employer des registres en décrescendo

    ( enlever la cymbale et doublette)

    finir sur le bourdon seul

    Hammond : choisir une sonorité évoquant un petit orgue électronique

    de salon de années 70, ou orgue de cirque ...

    q = 120

    &341

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    Orgue

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    3

    La Quête 5 1/6

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    &11 úúú ä ÏÏÏJ úúú ä ÏÏÏJ úúú ä ÏÏÏJ ÏÏÏ#b# J ä ÏÏÏJ ä ÏÏÏJ ä úúú ä ÏÏÏJ

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    La Quête 5

    La Quête 5 2/6

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    Pos

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    La Quête 5

    La Quête 5 3/6

  • &26 úúú ä ÏÏÏJ ÏÏÏb#b J ä ÏÏÏJ ä ÏÏÏJ ä úúúb#b Î ÏÏÏK Å ÏÏÏJ ÏÏÏK Å ÏÏÏJ ÏÏÏK Å ÏÏÏJPos

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    La Quête 5

    La Quête 5 4/6

  • q = 120Rit. = 100q

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    ÏÏÏbb K Å ÏÏÏJ ÏÏÏ## K Å ÏÏÏJ ÏÏÏK Å ÏÏÏJ ÏÏÏK Å ÏÏÏJ ÏÏÏJ ä ÏÏÏJ ä úúú#b Î · ·Pos

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    q = 120

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    La Quête 5

    La Quête 5 5/6

  • &54 ÏÏÏÏJ ä ÏÏÏÏJ ä

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    La Quête 5

    La Quête 5 6/6

  • La Quête 6

    Copyright © 2005 by JPPRegistration indicative :

    Go --> Bourdon 16 salicional 8

    Ped Plein Jeu

    (très fort avec anches)

    Pos hautbois seul d'abord,

    puis + bourdon8 ,

    finir avec le haubois seul

    .

    Hammond B3/C3

    16 5-1/3 8 4 2-2/3 2 1-3/5 1-1/3 1

    0 6 0 0 4 0 0 6 1

    Beaucoup de percussion, click maxi

    beaucoup d'overdrive, rotor lent , pas de vibrato.

    Ped = accélerer le rotor ou + vibrato

    Percussions : les hauteur relatives des notes indiquent l'emploi

    d'un instrument à son plus ou moin grave.

    Par exemple les notes basses peuvent être une grosse caisse, timbale,

    toms graves ...

    notes aigues : courtes --> triangle , high-hat, clochettes

    longues --> cymbales ....

    q = 80

    p&44

    1 ú Ïj Ïb Ïn Ï Ïb Ï Ï Ï Ï# Ï Ï Ïn Ï Ï Ï Ï# Ï Ï . Ï . .Pos? 44 · · ·GO? 44 · · ·Ped&44 · · ·? 44 · · ·44Percussions · · ·· · ·

    Orgue

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    3

    La Quête 6 1/15

  • &4 Ïb Ï Ï Ï Ï# k Ï . .n Î Ï Ï# Ïb Ïn Ïb

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    La Quête 6

    La Quête 6 2/15

  • &13 Ï Ï Ïb Ïk Ï#K Ï Ï Ï Ï Ï Ï.n Ïb Ï# Ï Ï Ïk Ï . .#Pos? · ·GO? · ·Ped& Î. Ïb Ï Ï# k Å Ï# Ï . Ïk Å î Ï# Ï# Å Ï .b j ä? ÏÏb#K ÅÏÏJ Î Å

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    &15 Ï# Ïb Ï Ï Ïn Ï Ï Ï Ï Ïb Ï Ï# Ï Ï Ïn Ï# ú ÏjPos? · ·GO? · ·Ped& Î. Ïk Å Ïb Ï# Å ÏJ Å ÏK Å î Ïb Ïb Å Ï .# j Ïk Å? ÏÏb#K ÅÏÏJ î .

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    La Quête 6

    La Quête 6 3/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 4/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 5/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 6/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 7/15

  • &41k&41 Ïk Ï# Ïb Ï ÏK ún Ïk ÏbK Å Ïb Ï Å ú Ïj äPos?? wÏj ú# Ïn J Ï Ï .w Ï#J Ï Ï Ï Ï# ÏnGO? · ·Ped& î Ïb Ïn Ï# ä Ïb Ï# Ï# ¨ Î Å Ïb k Å Ï# kÅ Ï Ïb Ï .# ÏK Å? ÏÏÏÏb#K ÅÏÏÏÏJ ä

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    La Quête 6

    La Quête 6 8/15

  • &45 ú&45 ä . Ï#K Ï Ï Ï# Ïb Ï Ï Ïn Ï Ï Ï . .b Ïb ÏPos? Ïn kú . .k? Ï .# j Ï Ï Å ú Ï .Ï wJ Ï# ÏJ ÏbGO? · ·Ped& Î. ÏkÅ Ïb Ï# Ï# Ï Å Ï Ï Å î Ïb k Î . .? ÏÏÏÏb#K ÅÏÏÏÏJ î .

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    La Quête 6

    La Quête 6 9/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 10/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 11/15

  • p&63 ÏK ú# ÏK Å ÏK Ï Ï Ïb Ï Ï Ï# Ï Ï Ï# Ïk Ï . .Pos??GO? · ·Ped& î Ïk ä Ï# k Ïb k ä . î Ïb Ï Ï Ï# Å? ÏÏb#K ÅÏÏJ ä ÏK Î . ÏK ä

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    La Quête 6

    La Quête 6 12/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 13/15

  • &75 Ïk Ï . .b Ï# Ï Ï Ïn Î Ï Ï# Ï .b Ïb JPos??GO??Ped& Î. ÏbJ Å ÏK Å Ïk Ï# k Å Ïb Ï# ¨ î Ïb Ï Å

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    La Quête 6

    La Quête 6 14/15

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    La Quête 6

    La Quête 6 15/15

  • La Quete 6 (Complément)

    Sur la partie d'orgue Hammond on peut remplacer tout ou partie de lapartition écrite par une improvisation sur la base de la ligne ci dessous.Les accords graves varient, ainsi que les 3 notes mélodiques qui les suivent. On conserve le rythme avec un découpage du type : 2 accords et 3notes mélodiques. Le dessin global du contour des 3 notes est transposéet étiré de façon inégale. Swinger l'ensemble.

    q = 80

    &44 Î . ÏK Å Ïjä ä ÏK Å Î . ÏbK Å Ïjä ä ÏK Å Î . ÏK Å Ïjä äÏbK Å

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    etc ...

    Orgue B3

  • La Quête 7

    Copyright © 2005 by JPP

    Registration indicative :

    Go : Bourdon 16 + 8 salicional 8 flute 4

    Ped soubasses 16 +32 + flute 8 + prestant4

    Passage central ajouter le cornet

    Passage final -cornet + prestant 4

    "Hannmond"

    16 5-1/3 8 4 2-2/3 2 1-3/5 1-1/3 1

    8 8 0 0 8 0 8 8 0

    Avec vibrato, percussions et click moyens

    Léger Overdrive, Rotor lent

    Couplé sur le second clavier avec un son très aérien

    fait de registres aigus et vibrato, nappe diaphane ...

    Pédale = varier vitesse du leslie

    Percussions : les hauteur relatives des notes indiquent l'emploi

    d'un instrument à son plus ou moin grave.

    q = 60

    &441

    · úú ÏÏj ÏÏ## J ÏÏ ÏÏI? 44 · ÏÏ ÏÏ ÏÏ ÏÏ? 44 · ·Ped

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    ÏÏÏ#b b Ï Ï Ï ÏnÏÏÏ#J Å ÏkPercussions

    Orgue

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    La Quête 7 1/12

  • &3 ú ÏJú Ïj ÏÏ## J ÏÏ ÏÏ úú ÏÏj ÏÏb# J ÏÏ ÏÏI

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    La Quête 7

    La Quête 7 2/12

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    La Quête 7 3/12

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