J'ai Niqué la Femme de Mon Ami Bachir

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1 J'AI NIQUÉ LA FEMME DE MON AMI BACHIR Bachir était enseignant en techniques de communication dans l’institution de formation dans laquelle je travaillais moi-même en qualité de responsable du département formation en management d’entreprises. Nous nous connaissions depuis quelques années déjà et étions devenus, au détour de quelques beuveries mémorables, de bons amis. Au moment où nous nous étions connus, Bachir était encore célibataire, tout comme moi d’ailleurs. Un célibataire endurci, disait-il, avant de rencontrer Kamila et d’en devenir fou amoureux. Il fit la connaissance de celle qui allait devenir sa femme quand elle entra à l’Institut pour une post- graduation en Marketing. J’avais chargé Bachir d’enseigner les techniques de communication à la promotion qu’avait intégrée Kamila. Et ce fut là qu’ils se connurent, s’aimèrent et devinrent inséparables. Ils se marièrent dix-huit mois plus tard, juste après qu’elle eût soutenu son mémoire de fin de formation. Nos beuveries hebdomadaires s’espacèrent de plus en plus, pour enfin s’arrêter. Sans pour autant briser notre amitié. Bachir et moi nous ne nous voyions plus qu’au bureau. Tout le reste de son temps était accaparé par sa femme, dont il n’arrêtait pas de louer la beauté et les « compétences » d’épouse. Je me gardais bien de lui faire détailler le contenu de ces « compétences d’épouse ». En fait je n’avais pas besoin de le faire, tant ses allusions menaient directement vers le lit conjugal. Bien entendu je connaissais Kamila. Je la connaissais, comme je connaissais tous les stagiaires (masculins et féminins) dont je pilotais la formation. C’est-à-dire, superficiellement. Elle était sans conteste très belle : très jeune (vingt-cinq ans à peine, quand elle soutint avec brio son mémoire de fin d’études), brune, grande et toute en rondeurs. Tout le monde à l’Institut parlait de la beauté de Kamila et de la sensualité torride qui se dégageait d’elle. Elle était vraiment bandante et tous les garçons de l’Institut – personnel pédagogique compris – fantasmaient sur elle. Elle devait mesurer un mètre soixante-quinze et avec des formes et une démarche de sportive : des épaules larges et rondes ; un long cou gracieux, ferme et lisse; une poitrine volumineuse, provocante avec de gros seins qui pointaient sous ses chemisiers, tels des obus de canon ; ils paraissaient très doux et donnaient une irrépressible envie de les palper pour en tester la fermeté; son ventre était plat et sa taille fine ; il n’y avait chez elle aucun bourrelet disgracieux. Elle avait aussi des hanches larges, rondes et fermes et un fessier proéminent, haut perché, tellement serré dans un pantalon jean, que tous les hommes attendaient le moment fatidique où les coutures allaient lâcher. Le jean mettait aussi en valeur ses longues jambes superbement galbées et des cuisses pleines et fermes qui constituaient un vrai piège à fantasmes pour les hommes. Quand elle se maria avec Bachir, bien des garçons en avaient été jaloux. Au moins tous ceux qui avaient essayé de tenter leur chance – sans succès – avec elle ; et ils étaient nombreux. Déjà à l’époque, Bachir prenait avec bonhomie, les tentatives des garçons de séduire la belle plante. Il en plaisantait même et se vantait devant moi, d’être aimé par la « plus belle femme d’Algérie ». Je me disais que c’était normal qu’il se conduise comme un mec civilisé, qui avait confiance en sa femme et en lui, et non pas comme le commun des mâles prétentieux et complexés qui ne supportent pas les regards concupiscents des autres hommes sur leurs femmes ; leurs propriétés. Je découvrirai, quelques années plus tard, que les motivations de Bachir étaient toutes autres; beaucoup moins nobles, bien que beaucoup plus intéressantes d’un point de vue érotique. Et comme il fallait bien que la vie continue, tout le monde à l’Institut avait fini par oublier la magnifique Kamila. Elle disparut de nos vies définitivement, sauf bien entendu pour Bachir qui se vantait quotidiennement devant moi d’en être devenu le seigneur et maître, et bien entendu pour moi, qui ne la revit pas une seule fois pendant ces années, mais qui devait subir chaque jour les appréciations de mon ami à propos de son épouse. Il ne se passait pas une seule journée sans qu’il ne me parle de Kamila – la prunelle de ses yeux – de sa beauté et de ses capacités à le rendre

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Bachir offre sa femme à son ami qui en profite bien.

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J'AI NIQUÉ LA FEMME DE MON AMI BACHIR

Bachir était enseignant en techniques de communication dans l’institution de formation dans laquelle je travaillais moi-même en qualité de responsable du département formation en management d’entreprises. Nous nous connaissions depuis quelques années déjà et étions devenus, au détour de quelques beuveries mémorables, de bons amis. Au moment où nous nous étions connus, Bachir était encore célibataire, tout comme moi d’ailleurs. Un célibataire endurci, disait-il, avant de rencontrer Kamila et d’en devenir fou amoureux.

Il fit la connaissance de celle qui allait devenir sa femme quand elle entra à l’Institut pour une post-graduation en Marketing. J’avais chargé Bachir d’enseigner les techniques de communication à la promotion qu’avait intégrée Kamila. Et ce fut là qu’ils se connurent, s’aimèrent et devinrent inséparables. Ils se marièrent dix-huit mois plus tard, juste après qu’elle eût soutenu son mémoire de fin de formation. Nos beuveries hebdomadaires s’espacèrent de plus en plus, pour enfin s’arrêter. Sans pour autant briser notre amitié. Bachir et moi nous ne nous voyions plus qu’au bureau. Tout le reste de son temps était accaparé par sa femme, dont il n’arrêtait pas de louer la beauté et les « compétences » d’épouse. Je me gardais bien de lui faire détailler le contenu de ces « compétences d’épouse ». En fait je n’avais pas besoin de le faire, tant ses allusions menaient directement vers le lit conjugal.

Bien entendu je connaissais Kamila. Je la connaissais, comme je connaissais tous les stagiaires (masculins et féminins) dont je pilotais la formation. C’est-à-dire, superficiellement. Elle était sans conteste très belle : très jeune (vingt-cinq ans à peine, quand elle soutint avec brio son mémoire de fin d’études), brune, grande et toute en rondeurs. Tout le monde à l’Institut parlait de la beauté de Kamila et de la sensualité torride qui se dégageait d’elle. Elle était vraiment bandante et tous les garçons de l’Institut – personnel pédagogique compris – fantasmaient sur elle.

Elle devait mesurer un mètre soixante-quinze et avec des formes et une démarche de sportive : des épaules larges et rondes ; un long cou gracieux, ferme et lisse; une poitrine volumineuse, provocante avec de gros seins qui pointaient sous ses chemisiers, tels des obus de canon ; ils paraissaient très doux et donnaient une irrépressible envie de les palper pour en tester la fermeté; son ventre était plat et sa taille fine ; il n’y avait chez elle aucun bourrelet disgracieux. Elle avait aussi des hanches larges, rondes et fermes et un fessier proéminent, haut perché, tellement serré dans un pantalon jean, que tous les hommes attendaient le moment fatidique où les coutures allaient lâcher. Le jean mettait aussi en valeur ses longues jambes superbement galbées et des cuisses pleines et fermes qui constituaient un vrai piège à fantasmes pour les hommes.

Quand elle se maria avec Bachir, bien des garçons en avaient été jaloux. Au moins tous ceux qui avaient essayé de tenter leur chance – sans succès – avec elle ; et ils étaient nombreux. Déjà à l’époque, Bachir prenait avec bonhomie, les tentatives des garçons de séduire la belle plante. Il en plaisantait même et se vantait devant moi, d’être aimé par la « plus belle femme d’Algérie ». Je me disais que c’était normal qu’il se conduise comme un mec civilisé, qui avait confiance en sa femme et en lui, et non pas comme le commun des mâles prétentieux et complexés qui ne supportent pas les regards concupiscents des autres hommes sur leurs femmes ; leurs propriétés.

Je découvrirai, quelques années plus tard, que les motivations de Bachir étaient toutes autres; beaucoup moins nobles, bien que beaucoup plus intéressantes d’un point de vue érotique.

Et comme il fallait bien que la vie continue, tout le monde à l’Institut avait fini par oublier la magnifique Kamila. Elle disparut de nos vies définitivement, sauf bien entendu pour Bachir qui se vantait quotidiennement devant moi d’en être devenu le seigneur et maître, et bien entendu pour moi, qui ne la revit pas une seule fois pendant ces années, mais qui devait subir chaque jour les appréciations de mon ami à propos de son épouse. Il ne se passait pas une seule journée sans qu’il ne me parle de Kamila – la prunelle de ses yeux – de sa beauté et de ses capacités à le rendre

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heureux. Il n’allait pas jusqu’à détailler tout ce qu’ils faisaient ensemble – il ne s’exprimait que par des allusions – mais il ne m’était pas difficile de comprendre que Kamila était un super coup au lit.

J’avais même fini par être singulièrement agacé par ses fanfaronnades. Ce ne fut que par amitié que je m’empêchais de lui montrer mon agacement. Et puis arriva ce jour fatidique où tout bascula, y compris le monde bien ordonné et tranquille dans lequel je baignais. Ce fut le jour où Bachir m’invita à dîner chez lui ; une invitation que je n’acceptais qu’à contre cœur parce qu’elle dérangeait un important programme que je m’étais tracé (J’étais en train de tenter de séduire une jolie voisine, une femme mariée, et ce soir-là, je m’apprêtais à conclure). J’avais bien essayé de me défiler, mais mon ami insista tellement que je ne pus échapper à la corvée d’un repas avec le couple. Je fis donc contre mauvaise fortune, bon cœur et remis à plus tard le moment où je devais conclure avec ma belle voisine.

Muni d’un énorme bouquet de fleurs destiné à Kamila, je sonnais à la porte de l’appartement du couple. Ce fut Bachir qui m’ouvrit et qui me débarrassa du bouquet de fleurs, en me disant à l’oreille que Kamila allait apprécier parce qu’elle adorait les fleurs, surtout les roses rouges, dont le bouquet était en majorité composé. Il m’emmena directement dans le grand salon et me demanda de m’assoir dans l’immense fauteuil qui trônait au fond de la pièce. « Kamila ne va pas tarder à arriver, » me dit-il avec sur les lèvres un sourire de contentement. C’était comme si ma présence dans sa maison lui était particulièrement agréable. Nous discutâmes de tout et de rien, pendant une dizaine de minutes, avant que n’apparut subitement dans la lumière de la porte du salon, la maîtresse de maison.

Ce fut pour moi un véritable choc ! Bien entendu je me rappelais de la grande beauté de Kamila ! Je me souvenais même avoir honteusement bandé pour elle – et même, pour être vraiment honnête, avoir fait quelques rêves érotiques qui la concernaient – mais la femme qui était là devant moi, entourée d’un halo de lumière crue, qui dessinait ses formes exceptionnelles, ne pouvait pas être réelle. Je n’avais encore jamais vue Kamila vêtue comme cela. La stagiaire qui suivait une formation en marketing était toujours vêtue d’un pantalon jean et d’un chemisier (et quand il faisait froid, elle y ajoutait un gros pull et parfois un manteau). La Kamila qui se dressait là devant moi était vêtue de manière à faire perdre la tête à tout gus qui avait le malheur de la regarder.

Nous avions, nous les hommes, l’habitude d’utiliser le terme « bombe » pour désigner une belle femme aux formes plantureuses et aguichantes. Et là c’était bien une bombe qui pénétrait dans le salon, prête à exploser et à faire exploser ma libido. Elle était vêtue d’une petite robe blanche très courte et très collante (au moins deux tailles en dessous la normale !) mettant en valeur tout ce qu’elle voulait montrer : une poitrine volumineuse dont les seins pointaient vers l’avant, tels des obus de très gros calibre. Faisant contrepoids à la poitrine, un fessier tout aussi volumineux, rond et bombé. Une taille de guêpe. Des hanches larges. Des jambes longues, fortes et faites au moule. Des genoux ronds qui exciteraient un aveugle. Et son visage qui rayonnait de sensualité : avec ses grands yeux noirs provocants, son immense bouche pulpeuse et son sourire aguicheur, elle était capable de détourner du droit chemin n’importe qui, y compris le meilleur ami de son mari ; c’est-à-dire moi ! Aucun homme normalement constitué, n’aurait pu regarder la belle plante sans éprouver immédiatement l’envie de la tirer.

J’étais autant subjugué par la beauté de la femme, que gêné de sentir frétiller mon sexe et de ne pas pouvoir arrêter la très forte érection qui se préparait. Je regardais du côté de Bachir pour voir ce que son visage indiquait comme sentiment ; je n’y vis que le sourire béat d’un homme heureux d’avoir une belle femme et de la voir s’exhiber ainsi devant son ami. Je commençais à me dire que tout ce que je vivais en ce moment était préparé avec minutie par Bachir. Qu’il savait pertinemment que sa femme allait s’habiller comme cela (si j’osais, j’aurais dit, comme une pute) et jouer à m’exciter. Il me connaissait bien, et savait que j’étais du genre à partir au quart de tour devant une femme qui m’attirait.

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Kamila, après s’être faite admirée quelques secondes à l’entrée du salon, pénétra à l’intérieur d’un pas exagérément chaloupé et s’avança vers moi, un sourire provocant sur les lèvres et le regard moqueur dans les yeux.

– Bienvenue Rafik t’as pas changé ! Toujours aussi en forme ! Toujours aussi croquant ! Merci pour les fleurs ; elles sont magnifiques !

Elle s’était adressée à moi en arabe avec une étrange voix rauque qui donnait des frissons, tellement elle était sensuelle. Je ne me rappelais pas qu’elle avait une voix comme cela : provenant du fond de sa gorge, avec des vibrations qui allaient chatouiller la moelle épinière de l’homme à qui elle s’adressait. Je m’aperçus rapidement qu’elle accentuait volontairement le ton de sa voix et qu’elle se forçait à jouer un rôle, dont l’objectif était de faire grimper mon désir et de m’amener au paroxysme de l’excitation.

– Bonsoir Kamila, répondis-je d’une voix que je voulais neutre, mais dont les trémolos trahissaient la grande gêne dans laquelle je me trouvais. Encore plus épanouie et plus belle ! Le mariage te réussit ! Bachir est vraiment un homme heureux !

Elle avait reçu mon compliment en accentuant son sourire provoquant et en venant s’assoir à l’autre bout du fauteuil, en croisant ses magnifiques jambes, de manière à présenter à mes yeux exorbités, outre ses genoux ronds et dénudés, le dessous de ses cuisses brillantes et un bout du string blanc qu’elle portait. Je commençais à gigoter tellement j’étais gêné ; gêné d’être aussi excité ; et gêné devant Bachir qui continuait à ne rien dire et à regarder la scène en souriant. Il voyait bien que sa femme était en train de me provoquer et, me connaissant, il savait certainement que j’étais dans un état d’excitation avancé. Mais il ne disait rien et se contentait de suivre la scène, un sourire béat sur les lèvres.

J’avais toujours été un homme d’action et j’avais horreur de subir les choses sans réagir et sans chercher à reprendre la main. Là, je me sentais piégé et il fallait absolument que je fasse quelque chose pour en sortir. Je me tournais vers Bachir et lui dis de manière presque méchante :

– Tu peux m’expliquer à quoi on est censé jouer tous les trois ?

– Comment tu la trouves ? N’est-ce pas qu’elle est encore plus magnifique et plus bandante qu’il y a quelques années ? Ne me dis pas qu’elle ne te plaît pas et que tu es insensible à ses charmes ! Je te connais trop bien !

– Bien entendu qu’elle me plaît ! Mais est-ce que tu peux m’expliquer à quoi tout cela rime. Tu ne m’as pas invité rien que pour jouer avec mes nerfs ! Tu ne veux pas non plus que je manque de respect à ta femme, en la matant comme un malade ! Que veux-tu ? Que voulez-vous ?

– T’offrir Kamila ! Elle a besoin d’un autre homme ! Elle a besoin de me faire porter des cornes ! Et je veux porter des cornes ! J’ai pensé à toi parce que tu es mon ami et que je sais combien tu aimes les belles femmes ! Et je sais aussi que tu es un superbe coup au lit ! Et, ce qui est tout aussi important, que tu es un homme discret, qui ne crie pas sur tous les toits les noms de tes conquêtes ! Tu es partant ?

– ….

Je restais sans voix, tant j’avais été surpris par la nature de la demande. Je regardais du côté de Kamila, qui n’avait pas changé de place; ni de posture. Elle était toujours assise à l’autre bout du fauteuil, les jambes croisées, le dessous des cuisses toujours offerts à ma vue et, tout au fond, un bout de son string qui apparaissait et qui mettaient le feu à mon sang. Elle me regardait effrontément, droit dans les yeux. Je sentais qu’elle voulait dire quelque chose, mais qu’elle attendait que je m’adresse à elle.

– C’est vrai ce que dit Bachir ? Que tu veux le tromper ? Avec moi ?

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– Tout est vrai, sauf que c’est lui qui en a eu l’idée. C’est lui qui veut être cocu et qui veut m’offrir à des hommes ! Au début je l’ai traité de fou et de malade, mais depuis quelque temps, j’ai moi aussi envie de prendre du plaisir avec d’autres hommes ! Je veux connaître d’autres plaisirs sexuels ! Bghit i nikouni bezeff errdjal ! (Je veux me faire tirer par beaucoup d’hommes !) Errdjal

kima enn-ta ! (Des hommes comme toi !) Li yârfou inikou ! (Qui savent baiser !) Bachir hkali bezzaf

h’wayedj aâlik ! (Bachir m’a raconté beaucoup de choses sur toi !) Gal-li belik et-nik bla ma taâya ! Aâchar marate ! (Il m’a affirmé que tu peux baiser sans fléchir ! Une dizaine de fois !)

Impossible de décrire les sentiments qui s’entrechoquaient en moi ! D’abord, j’avais du mal à croire ce que j’entendais ! Y compris cette manière directe et impudique qu’avait Kamila de dire les choses. D’autre part de me proposer sans aucune honte de devenir son amant, ce soir-là, devant son mari ! Cela me semblait irréel ! Il devait y avoir un lézard ! Nous vivions dans une société très puritaine qui ne permettait aucun dérapage des mœurs et tout le monde se pliait à ses règles ; du moins, le monde visible. L’underground existait bel et bien, mais il était invisible au commun des citoyens. Et là je venais de me rendre compte que le couple que formaient Kamila et Bachir n’était pas loin de cet underground. Un underground du libertinage. Et ils voulaient m’entrainer avec eux dans ce monde souterrain !

J’ai toujours été de nature assez aventureuse. J’ai l’habitude de ne pas trop réfléchir quand une occasion de vivre un bon moment se présente à moi. Mais là, c’était tellement incroyable que j’hésitais. Je regardais tour à tour Bachir puis Kamila, cherchant à entrevoir dans leur regard où se trouvait le lézard. Ils continuaient de me regarder – elle avec ses yeux qui brillaient de mille feux et toujours son sourire moqueur, lui avec les yeux suppliants de celui qui avait mis énormément d’espoir dans quelque chose et qui avait peur d’être déçu par un refus.

En y réfléchissant un peu plus tard, je réalisais que je n’avais pas hésité longtemps pour foncer tête baissée. Le temps m’avait semblé très long très long entre le début de la scène et le moment où j’avais cédé, mais en fait, je m’étais laissé convaincre assez facilement. Je crois que ce fut mon côté épicurien qui avait rapidement pris le dessus. Et je pense, aujourd’hui encore, que je m’en serais voulu toute ma vie d’être passé à côté d’une merveilleuse aventure érotique. Après avoir jeté un denier coups d’œil inquiet à Bachir pour m’assurer qu’il n’était pas en train de se moquer de moi, ni qu’il allait me sauter dessus dès que je ferai un pas vers sa femme, je me rapprochais de Kamila et me mis à genoux devant elle.

– Goulti bli ett’habi rdjal li yârfou inikou ! Dhork en-warilek radjel li yâref inik ! (Tu m’as dit que tu aimais les hommes qui savent bien tirer ! Je vais t’en montrer un tout de suite ! )

– Wari-li ! (Montre-moi !) Rani skhouna ! Rani en-sil ! (Je suis chaude ! Je coule !) Chouf kilo-tti ! Rahi gââ em-chemkha ! (Regarde ma culotte ! Elle est toute mouillée !)

Tout en parlant comme cela, avec ses mots impudiques et crus, elle desserra ses jambes et écarta ses cuisses de manière à mettre plus en évidence son entrecuisse et permettre à ma main d’aller y farfouiller. Je sentais mon cœur battre la chamade. J’étais excité comme un bouc devant le trésor qui s’offrait à ma vue, de façon si impudique. Je plongeais ma main pour atteindre le tout petit triangle d’étoffe qui cachait sa chatte. Mes doigts rencontrèrent le bout du string qui défendait l’entrée du jardin : il était effectivement mouillé. Je me posai subrepticement la question de savoir si j’allais simplement écarter le tissu pour avoir accès à la chatte bombée que je sentais palpiter sous mes doigts, ou si j’allais lui arracher le string pour libérer l’endroit.

Elle ne me laissa pas le loisir de choisir ; elle releva elle-même les pans de sa petite robe, glissa ses doigts sous l’élastique du string, releva ses hanches et les tortilla pour faire descendre le tissu jusqu’à ses chevilles et s’en débarrassa rapidement sur le carrelage du salon. Elle m’offrit un spectacle divin ! Sa chatte était proéminente et longue. Elle était entourée d’une touffe de poils noirs, savamment entretenue pour aiguiser le désir de celui ou ceux qui la regardaient.

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D’évidence, elle entretenait sa chatte avec un art consommé des pratiques érotiques. Je ne savais pas si elle s’était épilée de cette manière uniquement pour moi, sachant par Bachir que j’adorais les chattes qui gardaient juste assez de poils pour porter mon excitation au plus haut sommet. Il s’avéra par la suite que Kamila savait d’instinct qu’un homme même fatigué, reprend de l’énergie à la vue d’une belle chatte, poilue juste ce qu’il faut, laissant entrevoir de grandes lèvres charnues, ouvertes sur des petites lèvres roses et une entrée de vagin sombre et mystérieuse. C’était pour cela que depuis son mariage avec Bachir elle entretenait sa chatte pour être toujours à la hauteur des désirs de son mari.

J’avais envie de la prendre, là tout de suite, sans la déshabiller et sans me déshabiller. Elle comprit mes intentions et cela ne semblait pas lui déplaire. Elle s’enfonça plus profondément dans le divan, releva encore plus haut sa robe, remonta les genoux de manière à poser ses pieds à plat sur le rebord du fauteuil, me fit le sourire le plus aguicheur qui soit et, tendant les bras vers moi, dit de sa voix rauque.

– Arrouah ! Ezreb ! Warri-li zebek ! (Viens ! Vite ! Montre-moi ton zob !)

Sans plus attendre, et sans plus m’occuper de la présence de Bachir qui s’était enfoncé dans son fauteuil et avait écarquillé les yeux pour mieux voir la scène, je retirai le pantalon et le slip et restai en chemise (j’avais déjà ôté la veste en entrant). Mon sexe avait pris des proportions énormes et il frétillait d’impatience d’aller faire connaissance avec cette superbe chatte. Je vis au regard coquin qu’elle me lança en découvrant le monstre et au rictus d’envie qu’elle avait sur les lèvres, qu’elle aimait ce qu’elle voyait et qu’elle était impatiente de le voir à l’œuvre.

– Yemma ach’hal kbir ! Ki taâ l’hmar ! Hadha zeb ! Zeb li yawdjaâ ! (Maman qu’est-ce qu’il est grand ! Comme celui d’un âne ! Ça c’est un zob ! Un zob qui fait mal !) Arwah et-kessar-li

hatchouni ! (Viens me démolir la chatte !)

Je me plaçai bien vite entre ses genoux relevés, l’engin tendu comme un sabre pointé vers le ciel. Elle tendit la main pour le toucher, en hésitant un peu, comme si elle en avait peur. Puis elle se décida à le prendre franchement. Elle eut du mal à l’appréhender en entier, à l’entourer avec les doigts d’une seule main. Elle le palpa pendant quelques secondes, se mit à le caresser doucement en faisant aller ses doigts électrisés du gland jusqu’au couilles et retour. Je le sentais qui n’arrêtait pas de frémir dans sa main. Elle avait un sourire de louve sur le point d’attraper une belle proie; toutes canines dehors !

– Bghit naklouh ! Bghit en-boussouh ! Bghit en-lahssouh ! (J’ai envie de le bouffer ! J’ai envie de l’embrasser ! J’ai envie de le lécher !)

– Em-baâd ki en-nikek ! (Après t’avoir niquée !) Lazzem yedkhoul fi‘ha, meqbal koulchi ! (Avant toute chose, il faut qu’il la pénètre !)

Elle ne semblait pas contrariée par mon impatience de la posséder. Elle prit mon manche et le guida vers la fente de ses grandes lèvres entrouvertes. Le grand fauteuil était trop bas et mon engin trop haut. Il fallait que je me mette à son niveau. J’appuyai mes mains sur le fauteuil pour avoir une meilleure assise, allongeai mes jambes par terre pour mieux m’appuyer sur mes orteils et mis ainsi mon gourdin au niveau de sa chatte. Je n’étais pas très à l’aise dans cette position, mais j’étais à la bonne hauteur pour la pénétrer jusqu’au fond. Elle me regardait faire avec curiosité et avec mille étoiles dans les yeux. Elle attendait impatiemment la poussée de mon bassin qui allait ouvrir les réjouissances. Je ne me posais même pas la question des préliminaires. J’avais décidé qu’ils étaient superflus ! Elle avait la chatte qui coulait ; c’était pour moi suffisant pour y aller à la hussarde. Et de fait, elle avait la chatte parfaitement lubrifiée !

J’exerçai une forte poussée avec mon bassin ; le gland de mon engin entra entre ses grandes lèvres, les écarta totalement et s’ouvrit le passage vers le paradis. Il pénétra assez facilement dans son vagin – chaud, élastique et moulant – et prit possession des lieux. Même à l’intérieur du merveilleux tunnel, il continuait de frétiller, tel un poisson qu’on vient de sortir de l’eau. Il était impatient d’aller et venir

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et de frotter de plus en plus fort sur la paroi visqueuse du tunnel. Je me mis à la tirer comme un forcené, sans aucune précaution.

J’étais conscient que je lui faisais mal en y allant aussi brutalement – d’ailleurs elle poussait involontairement des petits cris de douleur – mais le plaisir que je ressentais de la posséder ainsi était si intense, qu’aucune force au monde n’aurait pu me pousser à m’y prendre autrement. Et Kamila aimait ! Elle adorait même ! Les petits cris de douleurs initiaux, se transformèrent très vite en cris – plus perçants – de satisfaction. Elle m’attrapa par les hanches et tira furieusement sur ses bras, pour m’obliger à aller plus profondément dans son tunnel. Et elle parlait doucement, tout doucement, comme si elle avait honte d’être entendue – par moi ou par Bachir. Elle disait – dans sa langue maternelle – tout le plaisir qu’elle prenait sous les coups de bélier de mon engin. Je devinais, plus que je n’entendais distinctement, qu’elle appréciait la force qui la possédait.

– En-hass lou ! En-hass lou yakhroudj men foumi ! En-hass lou yehrak ki elssefoud ! (Je le sens ! Je le sens qui va sortir par ma bouche ! Je le sens qui brule comme un tison !) Rani en-ahraq ! Berred-ni ! (Je brûle ! Refroidis-moi !)

Malgré les cinq années de mariage avec Bachir – dont je savais qu’il avait un sexe de bonne taille – le vagin de Kamila avait gardé l’élasticité de celui d’une jeune fille. Il moulait parfaitement mon manche qui – dans son va-et-vient frénétique – frottait toute la surface de la paroi, sans laisser libre un seul millimètre carré. Il serrait fortement mon membre, donnant une très agréable impression d’étroitesse. C’était divin ! Il était chaud, visqueux et d’une telle douceur ! Et je ahanais de plaisir à chacune de mes pénétrations ! J’en bavais même ! Et les mots, même indistincts, que j’entendais donnaient encore plus d’intensité au plaisir que je prenais. Et qu’elle prenait avec moi. Ses phrases devenaient de plus en plus incompréhensibles, même si maintenant elle les hurlait.

Elles avaient du mal à formuler clairement ses pensées ! Elle prononçait les mots et les phrases à moitié ; le reste n’arrivait pas à aller au-delà de ses lèvres. J’en devinais le sens, plus que je ne les entendais clairement.

– En-hab ! Mlih ! Zeb ! Khchine ! Iaâmar hatchouni ! Yewdjaâ ! Yemma ! Yemma ! En-faragh ! Ahhhhhhhhh ! (J’aime ! C’est bon ! Zob ! Brutal ! Il remplit ma chatte ! Il fait mal ! Maman ! Maman ! Je décharge ! Ahhhhh !)

Et avant même que je ne réalise, elle eut un énorme orgasme, qui lui fit pousser un râle de plaisir tellement sonore que tous les voisins avaient dû l’entendre. Elle avait tous les muscles de son corps tendus comme les cordes d’un violon. Elle du mal à respirer. Elle haletait tellement, que j’eus peur qu’elle ne manque d’air et qu’elle ne s’évanouisse. Je sentais mon manche inondé par tout le jus que l’orgasme et la jouissance lui avaient fait produire en quantité industrielle. En continuant à aller et venir en elle, j’entendais que mon manche produisait des clapotis indécents ; ce qu’il ne faisait pas antérieurement.

Moi je ne voulais pas encore jouir en elle. Je voulais continuer à la posséder comme cela ; à rester dans son nid. J’étais tellement bien ! Même si la position dans laquelle j’étais – ne tenant que par la pointe des pieds et par les bras tendus appuyés sur le fauteuil, de part et d’autre des hanches de ma maîtresse – était parfaitement inconfortable et que je sentais la fatigue arriver très vite. J’arrêtais le mouvement de va-et-vient sans sortir du tunnel. Je voulais que Kamila reprenne conscience et des forces, pour repartir à l’assaut de son vagin.

Elle mit quelques minutes à reprendre ses esprits et ouvrit les yeux pour me regarder. Elle avait un merveilleux sourire de satisfaction. Elle semblait tellement heureuse ! Elle releva la tête, prit la mienne entre ses mains et me donna un long baiser. Un baiser de remerciement ; ou même un baiser d’amoureuse. Je ressentis en effet une forte dose d’amour dans ce baiser plein de tendresse ! Et puis elle prit conscience que mon engin était encore en elle ; toujours plein de vigueur.

– Cheft Bachir, mazalou mwegaf ! Ma yaâyach ! (Tu vois Bachir, il est encore en train de bander ! Il est infatigable !)

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La phrase qu’elle venait de prononcer eut sur moi l’effet d’une gifle. J’avais oublié jusqu’à la présence du mari. Je me retournais pour le voir ; il était toujours assis dans son fauteuil et nous regardait avec son sourire béat. Mais maintenant, il avait sorti son sexe en érection et le caressait doucement. Il semblait heureux. Heureux de voir sa femme se faire tirer par son ami ! Cela dépassait ma capacité à comprendre.

– Tu n’as pas joui ! Tu ne vas pas me dire que tu n’as pris de plaisir avec Kamila ! Je suis sûr que tu as adoré ! D’ailleurs j’ai remarqué ton visage rayonnant quand tu la tirais !

– Non j’ai adoré et j’aurais aimé que cela ne s’arrête pas !

– Et bien continuez ! Je voudrais bien que tu l’encules ! Que tu lui élargisses l’anus ! La salope, elle adore qu’on lui défonce le cul ! Yak çah ! Et-hebbi zeb fi gaârek ! Gouli lou i-djebdek melour ! (N’est-ce pas que c’est vrai ! Que tu aimes le zob dans ton cul ! Dis-lui de te tirer par derrière !)

– En-mout aâlih ! Arouah et-nikni melour ! Kessar-li gaâri ! (J’adore ! Viens m’enculer ! Défonce-moi le cul !) Kifach bghit et-nikni ? Hakdha oula begari ? (Comment veux-tu me tirer ? Comme cela ou à quatre pattes ?)

– Begari ! Ou fi el qaâ ! (À quatre pattes ! Et par terre !)

Pour je ne sais quelle étrange raison – encore une de mes perversions érotiques– j’ai toujours adoré enculer mes femmes en les mettant à quatre pattes sur le carrelage (ou un tapis, ou encore une moquette). Cela ne sembla pas étonner outre mesure Kamila. Elle descendit du fauteuil, en profita pour se débarrasser de sa robe et de son soutien-gorge pour rester toute nue, et se mit à quatre pattes la tête posée sur le bord du fauteuil. Elle était superbe dans cette position tellement impudique.

Je tournais la tête pour voir ce que faisait Bachir. Il était toujours à la même place, avec le même sourire béat sur les lèvres et le même regard brillant de plaisir. Et il avait toujours son sexe en très forte érection qu’il caressait lentement avec sa main droite. Je me fis la remarque qu’il était placé de manière à avoir une vue latérale de la scène qui allait avoir lieu. Il pouvait ainsi mater mon engin entrain d’entrer et de sortir du cul de sa femme. Je me détournais très vite de l’homme et me remis tout de suite à m’occuper du cul de ma belle. Et quel cul ! Une vraie croupe de pouliche ; toute en rondeurs brillantes, lisses et fermes. Et entre les deux formidables fesses relevées pour être à la hauteur de mon gourdin, un anus sombre et palpitant.

Ma mie n’était certainement pas vierge du cul ; il paraissait ouvert – certainement par son mari – mais pas trop. Il avait visiblement gardé toute son élasticité. La vision de Kamila à quatre pattes, les hanches relevées et totalement offerte à ma concupiscence, a fait faire un bond de cabri à mon sexe. Je n’arrivais pas à retenir ses frétillements d’impatience. Il voulait prendre immédiatement possession de ce cul et d’en forcer l’entrée. Il voulait défoncer l’anneau palpitant ! Il voulait faire hurler de douleur la pouliche ! Il voulait être le seul maître des lieux ! Et de fait, je m’y pris avec elle comme une brute. La brute qui sommeillait en moi et qui ressortait invariablement dans ces moments de trop forte excitation. Je ne cherchais même pas à mouiller son anus.

Hypocritement, je me disais que mon sexe, qui venait de sortir de son vagin, était encore tout mouillé et bien lubrifié par toute la cyprine qu’il avait produite tantôt. Il n’y avait donc aucun besoin d’y ajouter de la salive ou une quelconque crème. Je me positionnais donc derrière elle, la pris par les hanches pour lui faire relever encore plus haut le bassin, afin de le mettre à la bonne hauteur et lui enfonçait la queue, d’une seule poussée, jusqu’au plus profond de son boyau.

Elle eut un énorme cri de douleur, au moment où le gland, trop large, avait fait éclater l’anneau qui n’avait encore jamais reçu un sexe d’un tel gabarit. J’arrêtais quelques secondes le mouvement pour lui permettre de s’habituer à la présence du monstre. Je lui fis faire le chemin inverse plus en douceur, et repartis rapidement et en force, au fond du boyau. Kamila remplaça rapidement les cris de douleur par des gémissements qui indiquaient qu’elle commençait à apprécier la présence de

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mon gourdin dans son cul et prenait du plaisir sous ses coups de boutoir. Elle se mit même à bouger ses hanches pour accompagner les allers-retours de mon manche et pour m’inciter à continuer à la tirer en force.

– Yema ! Ach’hal m’lih ‘hadh zeb ! Ach’hal yewdjaâ ! Ach’hal kbir ! Nikni bezzour ! Edjbed ! Zid

edjbed ! Ma tahbesch ! Bachir Goul lou ma yehbesch ! Goul lou i zid yedjbed bezzour ! Goul lou i

kesssar li gaâri ! (Maman ! Comme il est bon ce zob ! Il fait très mal ! Comme il est grand ! Baise-moi en force ! Tire ! Tire encore ! N’arrête pas ! Bachir dis-lui de ne pas arrêter ! Dis-lui de me tirer encore plus fort ! Dis-lui de me démolir le cul !)

Contrairement à moi, Kamila n’avait pas oublié la présence de son mari. Elle semblait même en tirer un surplus de plaisir. Elle semblait adorer se faire tirer ainsi devant lui. Elle donnait l’impression de prendre encore plus de plaisir du fait qu’il était là à nous regarder; à la regarder jouir ! De temps en temps, elle tournait la tête pour le regarder et voir ce qu’il faisait.

Ce n’était pas mon cas. Non pas que j’étais gêné plus que cela de baiser sa femme – c’était lui qui me l’avait demandé, et cela suffisait pour étouffer tous mes scrupules – mais le fait d’être observé par lui ne me titillait pas plus que ça. Je n’en étais pas encore à débander, mais je me serais bien passé de sa présence. Mais la belle était tellement bandante ! Elle prenait tellement de plaisir à ce que je la tire comme une bête, que très rapidement je ne me préoccupais plus de la présence de Bachir. Tout ce qui comptait, c’était tout ce plaisir que je prenais – que nous prenions – et qui était en train de nous emmener Kamila et moi bien au-delà du septième ciel.

– N’hass i nik-ni hmar melour ! N’hab ki et-tnik-ni melour ! N’hab zebek ! N’habouh fi gaâri ! Bghitouh i feragh fi gaâri ! N’hass rahi djaya ! (J’ai l’impression d’être enculée par un âne ! J’aime quand tu m’encules ! J’adore ton zob ! Je l’adore dans mon cul ! J’aimerai qu’il éjacule dans mon cul ! Je sens que je vais jouir !)

Moi-même j’étais incapable de me retenir. De retenir la jouissance qui arrivait en force. Je sentais que je n’allais pas tarder à éjaculer. J’accélérais le mouvement de va-et-vient de mon sexe dans son cul. Je pilonnais son anus comme une brute en ahanant comme un bûcheron. Maintenant je sortais totalement mon sexe de son cul et repartais immédiatement à l’intérieur d’une forte poussée de mes hanches. Je me mettais même à crier comme elle. Je criais qu’elle était bonne ! Qu’elle avait un cul d’enfer ! Que j’adorais enculer les femmes ! Qu’elle avait le plus beau cul de toutes celles que j’avais baisées !

– N’hab gaârek ! En-mout aâla gaârek ! N’hab h’louwtouh ! Zebi i mout aâlih ! Zebi çab darouh fi

gaârek ! (J’aime ton cul ! J’adore ton cul ! J’aime sa douceur ! Mon zob l’adore ! Il a trouvé sa maison dans ton cul !)

Kamila, sans s’arrêter de hurler ses phrases impudiques en même temps que moi, partit subitement dans un orgasme aussi énorme que celui qu’elle avait eu précédemment, quand je l’avais baisée par devant. Maintenant elle hurlait en regardant son mari et en bavant, que c’était merveilleux de jouir par le cul ! Que j’étais le plus merveilleux amant qu’elle n’ait jamais eu ! Que je baisais comme un Dieu !

– Ma etkhelihch i rrouh ! Lazzem i gou’aâd maâna ! I welli radjli ethani ! Ma yehbasch i-nik fiya ! (Ne le laisse pas partir ! Il faut qu’il reste avec nous ! Qu’il devienne mon deuxième époux ! Qu’il ne s’arrête pas de me baiser !)

J’eus moi aussi un énorme orgasme, qui me fit décharger une tonne de sperme dans le cul de ma belle. La plus grosse partie de mon foutre ressortit expulsé par les va-et-vient de mon sexe qui continuèrent très longtemps après que Kamila se soit affaissée par terre. J’étais aux anges. Kamila aussi. Nous restâmes plusieurs minutes ainsi : elle, allongée à même le sol sur le ventre et moi, sur son dos, le sexe encore vigoureux, enfoncé dans son cul. Je crois même que nous nous étions assoupis. Ce fut Bachir qui vint réveiller sa femme. Il était en train de se branler et voulait de toute évidence éjaculer sur le visage de Kamila. Je restais dans la position dans laquelle j’étais ; je ne

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voulais pas quitter le nid si douillet de son anus. Mais j’étais curieux de voir ce qui allait se passer. L’homme vint se mettre à genoux devant le visage de la femme et continua à se branler avec vigueur. Je voyais son visage qui se figeait dans l’effort et dans l’attente de la délivrance. Il avait les yeux globuleux et la bouche largement ouverte, comme pour mieux respirer.

Il bavait abondamment. Kamila, qui le regardait avec ses grands yeux brillants, avait elle aussi ouvert la bouche : pour y recevoir tout le sperme que son mari n’allait pas tarder à déverser sur elle. Elle l’encourageait par des petites phrases qu’elles prononçaient sans, cette fois-ci, élever la voix :

– Faragh fi foum qahb-tek ! Fi foum martek ! Aâtil‘ha techrab ! Rahi aâtchana ! Faragh ! Faragh ! (Éjacule dans la bouche de ta pute ! Dans la bouche de ta femme ! Donne-lui à boire ! Elle a soif ! Vide-toi ! Vide-toi !)

Et en poussant un énorme râle – plus énorme que celui que moi-même j’avais poussé en jouissant – il déversa dans la bouche et sur le visage tendu de Kamila plusieurs giclées d’un sperme blanc et visqueux. Elle avala avec gloutonnerie toute la quantité qui était directement arrivée dans sa bouche et utilisa sa main droite pour ramasser et lécher tout le reste. Elle continuait de le regarder avec ses grands yeux dans lesquels Bachir pouvait lire du bonheur. Le bonheur d’avoir pris un énorme plaisir grâce à lui et à l’homme qu’il lui avait ramené. Le bonheur d’avoir vécu des instants de plaisir sexuel intense. Le bonheur de savoir que ce n’était que le début d’une longue période où elle vivra d’autres moments d’érotisme torride avec son mari et son amant. Et peut-être – et pourquoi pas ? – avec d’autres amants.

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