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Pierre COUNILLON L'informatique en liberté

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Pierre COUNILLON

L'informatique

en liberté

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FONDAMENTAL   1   : THÉORIE ET MACHINE RÉELLE 7

FONDAMENTAL 2   : LES OUTILS EN OS 17

FONDAMENTAL   3   : INTERFACE 25

COURS   1   : INTERNET 33

VIRUS ET CIE 33NAVIGATEURS ET COURRIELS : 34CLOUD, WEB 2.0 ET RÉSEAUX SOCIAUX 35CRÉER SITE, BLOGS, WIKIS 36TRAVAUX PRATIQUES : 38

COURS   2   : NAVIGATEURS WEB   : FIREFOX 40

FIREFOX : PREFERENCES ET CONFIGURATION 43

COURS   3   : PUBLICATION NUMÉRIQUE 49

HISTORIQUE : 49QUELS LOGICIELS POUR LE TEXTE  50ÉDITER SON PREMIER LIVRE 53

COURS   4   : PROGRAMMER EN SCRATCH 56

PROGRAMMER C’EST QUOI  ? 56QUELQUES LANGAGES DE PROGRAMMATION  57SCRATCH, SES PRINCIPES, SES FENÊTRES  57

COURS   5   : EN AVANT LA MUSIQUE ! 62

AVANT MAO GRAND LIEDER  62LES OBJECTIFS DE MAO  65LOGICIELS: 66ZYNADDSUBFX, HYDROGEN, LMMS(1) 66

COURS   6   : LMMS DIGITAL AUDIO WORKSTATION 76

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COURS   7   : LA 3D EN RELIEF 86

PROLOGUE : 86LA BOULE À FACETTES AVEC SCULPTRIS 92LA 3D CARRÉE AVEC SKETCH 94REFAIRE LE MONDE AVEC TERRAGEN 09 98FAIRE DANS L’HUMAIN AVEC QUIDAM 102

COURS   8   : SIMULATEURS OU ÉMULATEURS ? 117

VIRTUAL BOX : DES LAPINS DANS UN CHAPEAU 122ANNEXE : TECHNIQUE ET DES ASTUCES SUR VB 126

COURS   9   : GNU, LINUX   : CHERCHER ENSEMBLE 131

A — HISTORIQUE 131B — DISTRIBUTIONS  132C - LINUX AUJOURD’HUI : 133D - ESSAYER LINUX C’EST L’ADOPTER  134E — INSTALLER LINUX  136F — UTILISER LINUX 138ANATOMIE DE LINUX 138

COURS   10   : PROCESSING : PROGRAMMATION (2) 141

LA PROGRAMMATION 141CHOISIR PROCESSING 143PROGRAMMER EN PROCESSING : 145

COURS   11   : RETROGAMING 150

EXERCICE PRATIQUE AVEC DOSBOX 152

ANNEXE   : INTERNET TECHNIQUE 156

ANNEXE   : MIDI 169

ANNEXE   : ZYNAADDSUBFX 183

1 LES BASES: 1832 LES COMPOSANTS DE ZYNADDSUBFX  184

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3 INTERFACE UTILISATEUR DE ZYNADDSUBFX  1844. (ABSENT)5. CONTROLEURS : 186MIDIPIPE : BOUTONS MIDI POUR ZYNADDSUBFX 189

ANNEXE   : MAKE HUMAN 193

MAKE HUMAN & BLENDER : 193ALTERNATIVE: MAKE HUMAN 0.9.1.RC1 194BLENDER 272 : 195II MANIPULATION DES OBJETS 3D : 198III MATERIAU : 199IV MISE EN SCÈNE : 203GUIDE PRATIQUE: PILOSITÉ 204

ANNEXE   : LES FORMATS VIDEO 207

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Fondamental 1 : Théorie et machine réelle

Attention : l’ordinateur, ça n’est pas Internet

1— La machine de Turing/von Neuman : Turing a fait construire et utiliser le premier ordinateur

électrique Colossus en Angleterre pour tenter de décrypter automatiquement les messages codés par la machine Enigma allemande. Il a démontré qu’une machine théorique minimum— disposant d’une suite infinie de cases mémoire pour lire ses données et poser ses résultats,— disposant uniquement d’une dizaine d’opérations simples (booléennes [*]) — et de quelques mémoires embarquées (pointeur d’instruction, pointeur de donnée d’entrée, pointeur de donnée de sortie, instruction, donnée en entrée, donnée en travail, donnée en sortie) était capable de résoudre autant de problèmes qu’une machine avec plus de mémoires et de circuits.L’intérêt est qu’une telle machine simplifiée — est universelle — est nettement plus facile à construire que des machines spécialisées. Turing a trouvé aussi le critère indiquant qu’on a créé une intelligence artificielle

[*] L’algèbre de Boole montre qu’on peut réduire mathématique et logique à des opérations sur des chiffres à deux valeurs seulement : 0/1 qui représentent aussi Vrai/fauxLes opérations sont + — OR XOR AND Note à propos de l’architecture de von Neuman :Une autre architecture est toujours en développement : la simulation de réseaux neuronaux (du perceptron des années 60 à l’apprentissage profond en 2016). Elle est déjà performante et

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utilisée en reconnaissance de formes, de caractères, d’images. Elle s’apparente aussi à la simulation d’« automates cellulaires », qui doit à Mikaël Conway (« Jeu de la vie ») et à Stephen Wolfram (auteur de Mathematica, de l’automate assistant Siri [Apple]. À voir aussi son étonnant générateur de musiques http://tones.wolfram.com/). Les premiers processeurs spécialisés en réseaux neuronaux sont déjà en fabrication.

2— Matérialisation dans les ordinateurs :Les 0/1 sont des transistors qui laissent ou pas passer le courantLe ruban infini devient la RAM, où chaque case a une adresse, la première est à l’adresse 0. La machine devient le Processeur (CPU) avec des registres et un jeu d’instructions étoffé. « Architecture de von Neuman ». Von Neuman (1903), mathématicien et physicien, a détaillé les éléments d’une machine de Turing et décrit les ordinateurs d’aujourd’hui.La ROM :Le début du ruban mémoire est rempli d’instructions et on ne peut pas écrire dessus : c’est de la ROMUn programme=logiciel=progiciel=application est une suite d’instructions élémentaires, comme une phrase est une succession de mots, ou une recette une succession d’opérations de base.Le programme de la ROM s’appelle le BIOS (ordi ancien) ou UEFI (ordi récent)La zone des I/O :Une partie des mémoires RAM sont des « fausses » mémoires où le courant qui passe va faire marcher des « vraies » machines : les périphériques, qui peuvent aussi allumer/éteindre des transistors dans une partie de la RAM. C’est la zone des entrées/sorties.Un périphérique est tout ce qui est branché sur l’ordi : écran, clavier, souris, disque dur, joystick, box…Un Driver (pilote) est un programme chargé de lire et écrire les entrées/sortie pour un périphérique précis (telle marque d’imprimante, de clavier, de souris…)

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Les ports I/O :Pour avoir encore plus de possibilités, on utilise des mémoires dont le contenu indique le numéro de périphérique, et d’autres les données à lire ou écrire dans ce périphérique. On utilise alors le nom de « port de données ». Par exemple pour Internet, on lit/écrit à travers des ports dont certains sont traditionnellement consacrés à Internet, d’autres au FTP, d’autres ouverts au piratage…

3— Le démarrage de l’ordinateur : le BootLe processeur se met sur la mémoire 0 (ROM) et commence à lire instructions de la ROM/BIOS/UEFI : — Il dresse la liste des périphériques branchés (disque dur, CD, clef USB, clavier, souris, écran, net)— Il vérifie si on n’a pas appuyé sur une touche précise (ALT, Esc, F1 F2 F12…)— Si c’est le cas, il affiche un menu pour demander sur quel périphérique il doit continuer— Sinon il démarre sur le périphérique par défaut (en général le disque dur)Il charge alors le programme de démarrage du disque dur dans la RAM (boot-secteur, grub…)S’il y en a un, on parle de disque bootable C’est un programme très court, en langage machine. Il l’exécute.(cf bootsrap de Münchhausen)Instructions du programme de boot :Ce programme de démarrage en charge un beaucoup plus gros (ensemble de programmes et données) du disque dur vers la RAM C’est l’OS=sysème d’exploitation Windos, Linux, Mac OS, Android…) Puis il les exécute. On a alors un bel écran et une souris et des icônes et des fenêtres partout : le GUI (Graphic User Interface)Avantage : un même ordinateur peut fonctionner sous Mac OS ou Windows ou Linux, et sous différentes versions de chaque système d’exploitation.

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Instruction de l’utilisateur :Derrière l’OS le pauvre processeur n’arrête pas de courir d’une mémoire à l’autre pour savoir si on a bougé, s’il faut afficher l’heure qui passe, si l’antivirus a quelque chose à dire, si on a lancé un programme…

4— Compter en Octets : La mémoire est représentable par une pile de boîtes numérotées contenant des bits 0/1. L’adresse (le numéro) de la boîte et son contenu (donnée) doivent être lus et traités pareil par le CPU : il doit pouvoir calculer des adresses à partir de données et d’autres adresses. Donc il est important de définir de la taille des boîtes=Nombre de bits par boîte :(Exemple : pas plus de 100 marathoniens 00 à 99 avec des dossards à deux cases) En binaire, 8 bits permettent de coder 256 choses différentes.— Avec 8 bits=1 byte=1 octet, on peut représenter les lettres majuscules, minuscules, les nombres et les signes typographiques. On peut commencer à écrire en humain. L’unité de mémoire a donc été l’octet. — Le CPU 8bits pourra avoir 256 instructions pour traiter 256 valeurs à lire/écrire dans 256 adresses différentes. On a vite amélioré en créant des registres doubles pour travailler sur des mémoires RAM dont l’adresse tient sur 16 bits = 65 535 octets =64 Ko. Les processeurs actuels travaillent sur 4 (32 bits) ou 8 (64 bits) octets à la fois, ce qui leur permet de travailler sur des mémoires RAM dont l’adresse tient sur 64 bits.— chaque octet est une configuration de 0/1 électrique.Un même octet pourra être utilisé pour représenter n’importe quelle donnée : une lettre, un nombre, une couleur, une instruction de programme, une note MIDI… C’est les instructions du programme (fait d’octets aussi) qui vont décider de son sort : envoyé comme lettre vers le périphérique-

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écran, comme son à la carte son, lu comme touche clavier…

5— Composants d’un humain : Est-il indispensable d'avoir machine qui emet en ultrasons et affiche des nuances et des détails invibles à l'œil nu ?OUÏE: le sujet jeune perçoit les fréquences de 20 Hz (grave) à 20000 Hz (aigûs). Avec l'âge ou la maladie la perception des aigûs (pas celle des graves) se limte à 8000Hz sans gène dans la vie courante. Le volume sonore urbain est de 20 db (conversation) à 40 db (metro), et devient douloureux et destructeur à partir de 100 db (marteau-piqueur, refectoire ou cour de récré à leur maximum)En théoris de l'information, il suffit d'échantilloner un signal à deux fois sa fréquenc maximum pour pouvoir le reconstituer. Il parait donc inutile d'échantilloner les MP3 à plus de 40000Hz, surout passé 30 ans.VUE: l'œil perçoit 200 nuances par couleur primaire (RGB), ce qui pourrait faire théoriquement 200 x 200 x 200 = 8 millions de couleurs perçues différentes. Mais les spécialistes des couleurs (chercheurs, professionnels du marketing couleurs) estiment trois cent mille maximum serait plus réaliste !En finesse, l'œil à 1m ne distingue pas les points d'une densité supérieure à 75ppi (en impression, comme il faut plusieurs poins d'encre pour faire une couleur, on doit atteindre 300 ppi.

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A 50 cm, il faut 152 dpi. A 25 cm, il faut 300 dpi. (les Retina d'Apple sont donc faits pour être regardés à moins de 25 cm ...)Enfin, un changement d'image est perçu comme mouvement à partir de 25 images/secondes. Un balayage de 30 à 60 images/seconde parait suffisant pour le confort. 6— Composants d’un ordinateur : LA MÉMOIRE est comme une pile de boîtes numérotées contenant des bits 0/1. 1 ko= 1000 ou 1024 (2 puissance 10) octets, selon qu’on est informaticien ou vendeur.Taille : ko, Mo, Go, To, PoVitesse : de quelque micro à quelques dixièmes de secondes. Dans l’ordre : registres, RAM, ROM, SSD, HD, Flash, CD/DVD, Ethernet, WiFi, bandes…La mémoire interne, celle qu’utilise directement le CPU pour travailler : La RAM est rapide, très chère et se vide quand on éteint. Les mémoires externes pour stocker les données sont :Le SSD est moins cher, moins rapide, garde son contenu mais s’use (mini 3 ans, environ 8 ans et maxi 33 ans)Le HD est beaucoup moins cher, un peu moins rapide (5400/7200)Les mémoires Flash (USB, SD Cards) hyperpratiques et légères, mais risque de panne brutale.Les CD/DVD non réinscriptibles : lents, mais ne peuvent plus recevoir de virus une fois gravés (Linux Live, gendarmerie du Net)

LE CPU = processeur. — Vitesse : cycle= nombre de lecture/écriture par seconde. Une opération peut prendre plusieurs cycles. Plus il va vite, plus il chauffe et plus il consomme (Pb des portables). « Loi » de Moore (terminée) : on est passé de 8khz (68000 Amiga) à 3 GHz (Pentium 4). Limite physique atteinte, maintenant on met plusieurs processeurs (2 à 6 en parallèle) mais il faut des programmes adéquats. Actuellement : minimum 1Ghz pour les téléphones portables pour l’autonomie— Taille des données lues et traitées à chaque cycle : 32 ou 64 bits

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— Marque et « architecture » : instructions utilisables pour programmer. RISC/CISC+microprogramme. ARM, Angleterre… Intel, AMD, Motorola

LES CONNECTEURS : connecteurs et boutons sont chers et font une différence tablette/ordiVidéo : VGA, HDMI (plusieurs tailles), mini DisplayInternet : RJ45=Ethernet (ne pas confondre avec un câble pour téléphone)Périphériques : USB (une taille sur l’ordi, plusieurs au bout du câble) USB 3 plus rapideAutres : Thunderbolt, FireWire, USB C, jack femelle 2,5 audio, ou audio+vidéo, fibre...Connexions immatérielles : WiFi (pour le net. On peut relier des ordinateurs proches par WiFi sans passer par Internet)Thunderbolt (pour les périphériques : souris, claviers, téléphones)Infrarouge pour les télécommandes multimédias, ou les vieux Palms

7— Choisir son ordinateur ou sa tablette : « solide, performant, pas cher » mais 2 au choix seulement… Les différents types d’ordinateurs:De bureau : forme tour, pizza, tout-en-un. Théoriquement modulable.Portables par ordre de prix : — chromebook : Fait pour Google, peu de mémoire, fonctionner avec Internet seulement ou presque— netbook (histoire:eeePC 701) petite taille, petit écran, peu performant, grande autonomie, silencieux— classique — ultrabook (reference:Macbook air) netbook version luxe (grand écran, légèreté)— machine de gamer : processeur rapide, carte graphique,

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autonomie ridicule — Hybrides: Tablettes+clavier : grande autonomie (à vérifier), peu de connecteurs, peu personnalisables.

Les Systèmes d’exploitation=OS : Windows : XP, 7,8, 10 Mac : 10.x Android : 2,3, 4 Chrome Linux : Ubuntu, Mint, Mandriva, Debian, Suse, Gentoo, Toutou... Avantage de Linux : utiliser des machines délaissées ou irrécupérables : rapide et sans virus

Le libre : (GNU is Not Unix...) esprit Universitaire, bibliothèque, savoir partagé, maintenance et création communautaire.Exemples : Firefox, Thunderbird, Libre Office, GIMP, LMMS, Ardour, Blender, Apache, Linux…

Les Critères : — Silence, poids (1 à 2 kg) autonomie (1 à 10 h) connecteurs (VGA/MiniDisplay/HDMI, USB 2/3, Ethernet) WiFi, Bluetooth Lecteur carte SD, Lecteur/Graveur DVD.— Taille de l’alimentation— Écran (taille 11 à 17 pouces en 4/3 ou 16/9 mat/brillant, luminosité et Nb de pixels 1366x768, 1440x900, 1920x1080, ppi=ppp=75 écran, 300=imprimantes— RAM [8 Go], SSD [>128 Go]+HD [>500 Go, 7200tr/mn]— Processeur [s] Intel i5/i7 NB cœurs, ou AMD, fréquence <-> autonomie— carte graphique [non Intel !] ou NVIDIA si on veut faire beaucoup de vidéo, 3D ou jeu— redevance antivirus [Windows]— fourni avec restauration système— solidité, esthétiqueExercices :

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Arrêter de force [10 secondes sur l’interrupteur]Accéder au Boot-Menu au démarrage [ALT sur Mac, Esc ou F1 ou F2 ou F12 sur PC]Choix du démarrage sur CD Live LinuxLire une publicité de revue informatique

Illustrations : Machine de Turing/Von Neuman Arborescence, le chemin de données (à droite) et ses notations

Page suivante : reconnaître les connecteurs

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Fondamental 2 : Les outils en OS ou comment contrôler ce qu'il fait

— On retrouve des outils de base sur tous les OS (éditeur de texte, de disque, terminal…) — On trouve aussi des fonctionnalités spécifiques très astucieuses (Time Machine, Synaptic…) — Et aussi d’autres franchement intrusives ou contraignantes (iTunes, iPhoto, Bing, Mises à jour…)

Voici quelques repères et points à explorer dans chaque OS

Fonctions avancées des navigateurs de fichier : (Mac, Linux, Windows) Trouver le chemin actuel

(affiché plus ou moins clairement selon l’OS) le type d’affichage : icône, liste, liste détaillée... Cliquer sur les titres des colonnes en mode liste

(nom, date, taille…) classe instantanément selon ce critère

Si on peut : débloquer les options « afficher les fichiers cachés » et « afficher les extensions de fichier »

La sélection multiple : — Tout le contenu du dossier (CTL ou Cmd A), — Une suite de fichiers (Shift) — Plusieurs fichiers séparés (Cmd)

Déplacement (ALT) ou Copie quand on drague une sélection d’un dossier à un autre

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Copie d’écran :Sur Mac : Shift+Cmd+3 (tout) et Shift+Cmd+4 (zone draguée) L’image est posée sur le bureauSur PC : Impr (écran) et ALT Impr (fenêtre active). L’image est dans le presse-papier (CTL+V pour la coller dans un logiciel)

Mac OS

Le bureau est le navigateur de fichier (Finder) Aller dans le menu Finder/Préférences, cocher Afficher les disques. Explorer les autres fonctions, dont AvancéesDossiers à connaître : Applications (les logiciels pour tous les

utilisateurs) Utilisateurs : un dossier par compte d’utilisateur,

chacun avec Downloads (Téléchargement), Documents, Bibliothèque, musique… Conseil : créer sur le bureau un alias de votre dossier Téléchargement (traduction d’alias : raccourci Windows, lien symbolique Linux). Il sera plus facile à gérer que par le dock ou la barre latérale

Autres dossiers : On utilise peu les autres dossiers Bibliothèque, Système, dossiers invisiblesBibliothèque contient des programmes appelés par vos programmes pour des tâches de base de tout programme : afficher du texte, jouer des sons, ranger par ordre alphabétique. Et aussi pour des matériels spécifiques (clavier musical, joystick, appareil photo, téléphone…). C’est pour ça qu’il y a un dossier Bibliothèque général, avec un dossier Bibliothèque complémentaire par dossier

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utilisateur. Logiciels à connaître :Dans Applications/Utilitaires : TextEdit : Traitement de texte simple, ouvre les

fichiers Word, HTML, reçoit des pages Web par copier-coller.Donc capable de conversion en plusieurs formats, dont PDF. Aussi capable de travailler en texte de base (.txt) (menu Format/Convertir au format texte)

Aperçu : affiche d’une manière ou d’une autre les fichiers qu’on lui donne. Il est plus que conseillé de passer par lui pour les impressions ou pour faire marcher les scanners.À des fonctions utiles et assez simples pour traiter les PDF et les images en particulier

Terminal : permet de donner des ordres en ligne de commande, ou d’exécuter des scripts (comme les fichiers. batch sur Windows). Exemple : taper « ls » et « cd/ »Donne le contrôle total de l’ordinateur, par exemple faire apparaitre les fichiers invisibles, effacer des virus…

Utilitaire disque : permet de vérifier et réparer les disques (opération conseillée plusieurs fois par an), ce qui suffit très souvent à régler les dysfonctionnements du Mac (ça règle les erreurs de lecture et d’écriture qui embrouillent le Mac et qui finissent toujours par se produire)Pemet aussi de créer des partitions, de graver des DVD, formater des disques externes, créer des images-disque…

Configuration Audio et MIDI : compliqué, mal fichu, des formats et des gestionnaires spéciaux

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Mac (AudiUnit…)Il faut prendre du temps pour essayer de s’y retrouver, si on a des problèmes de son ou de MIDI

Informations Système : si on cherche une référence technique, le nom de code de la carte graphique ou d’un périphérique USB….

Moniteur d’activité : liste tous les programmes, même invisibles, qui sont en train de tourner. Permet de repérer ceux qui prennent du temps, de la RAM, qui écrivent sur le disque ou le NET. Permet ainsi d’arrêter les programmes figés (ballon de plage) ou pirates.

X11 : On ne s’en sert pas directement, mais il permet de faire tourner des programmes Linux (en passant par MacPort, Fink, Porticus, Darling …)

Logiciels à tenir en laisse : Mac OS a vite fait d’imposer ses outils d’indexation, de rangement, de navigation, d’archivage, de mise à jour.Pour utiliser vos données comme Apple l’a prévu pour vous, sans devoir passer uniquement par les logiciels Apple, ni tenir Apple au courant de vos activités, il faut pouvoir utiliser d’autres logiciels. Pour cela, Apple vous impose de vous rendre dans les Préferences de chacun de ces logicielsSafari (pour Firefox) Mail (pour Thunderbird), Transfert d’images, IPhoto, iTunes, Mises à jour (menu Pomme)

Préferences Système: Spotlight : onglet Confidentialité : draguer dessus

les disques et clefs avant que Spotlight ne ponde un index volumineux dessus On peut aussi passer

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par la ligne de commande pour le désactiver temporairement, mais cela inactive aussi AppleStoreLe gratuit FindAnyFile rend les mêmes services sans occuper le disque et le processeur

Time Machine : sauvegarde intégrale de votre disque, automatique, avec historique, sur un disque externe.Défaut : la restauration ne se fera que vers un système Apple en état de marche.L’ex — gratuit CarboCopyCloner sauve aussi tout le disque, sans historique, mais avec la possibilité de démarrer sur la sauvegarde si le Mac ne démarre plus du tout, ou de reproduire votre Mac sur une partition d’un autre Mac

Langue et textes : Methode de saisie (cocher Barre de menu, afficheur clavier)

Clavier/Raccourcis, Accès universel ont des options inattendues qui peuvent faciliter la vie.

Réseau, Partage sont assez compliqués et peuvent interférer pour les accès téléphones et Internet

Comptes, Bluetooth, Moniteurs, Bureau, Économiseur d’énergie méritent des réglages.

Logiciels (non Apple) conseillés : CCC (Carbon Copy Cloner, cf ci-dessus) Onyx (gratuit) nettoie votre Mac des erreurs et des

fichiers temporaires accumulés (à faire plusieurs fois par an)

Little Snitch vous tient au courant des connexions Internet : on peut voir et bloquer les logiciels espions

Clean Up Non Mac Disks (ou autre gratuit) 21

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élimine les fichiers invisibles que Mac ajoute et que les PC voient.

Name Mangler (ou autre) renomme à volonté des paquets entiers de fichiers (les photos, les séries vidéo par exemple)

Desktop Utility (ou AvosMactoVisibility) affiche ou cache les fichiers invisibles

ClipMenu (ou d’autres identiques) présente la liste des fichiers ou textes copiés par Cmd-C

Raccourci ZOOM ECRAN sur Mac:Préparation du tour de magie: Aller dans le Préferences système/Clavier/onglet Raccourcis clavier

colonne de gauche, cliquer : Accès universel colonne de droite: Cocher Zoom, triangle

déroulant de Zoom. CocherActiver/Desactiver le zoom

Noter qu'à partir de maintenant: ALT+CMD+"8!"Active la possibilité de zoomer. ALT+CMD+ touche "+="  zoome avant ALT+CMD+ touche "-_"   zoome arrière

Exécution du tour de magie:Fermer tout, et taper ALT+CMD+ la touche "+=" Si rien ne se passe, ALT+CMD+"8 !" et recommencer

Linux :Linux est libre et conçu pour être facile d’accès et à personnaliser. Les utilisateurs de Mac ou Windows s’y retrouvent très vite. C’est seulement pour le modifier qu’on doit passer

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par le Terminal, ce qui protège des modifications intempestives.Linux utilise beaucoup le système des fichiers ou logiciels protégés par le mot de passe administrateur.

Quelques particularités pour démarrer : Les éditeurs de texte se nomment gedit, leafpad,

geany... le Gestionnaire de logiciels (Synaptic ou autre)

permet d’installer des logiciels (comme AppleStore ou GooglePlay)

Au Terminal, on tape « su » ou « sudo » pour que les commandes qui suivent soient en mode administrateur

GParted permet de gérer les partitions du disque dur

Des gestionnaires de son/MIDI les plus pratiques : Jack et QJackControl

Le logiciel Wine permet d’utiliser des logiciels Windows

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Windows

La barre de menuPeut se mettre en haut ou sur un côté (déverrouiller/bouger)Taper une ligne de commande (depuis le menu Windows) Pour avoir un Terminal complet : taper cmd Taper regedit donne accès a une liste de réglages

des logiciels et de l’OS, sous forme d’une arborescence de codes. Elle donne un contrôle qui permet d’inactiver des logiciels, des virus, mais aussi le fonctionnement de l’OS...

Tous les programmes/Accessoires : BlocNote (WordPad) est un traitement de texte Paint un programme de dessin Invite de commande ouvre le TerminalPanneau de configuration :(demander un affichage par petites icônes) Informations système : si on cherche une référence

technique, le nom de code de la carte graphique ou d’un périphérique USB….

Programmes par défaut : quand on double-clique un document, il s’ouvre dans un programme. On peut ici décider lequel : LibreOffice au lieu de Word, WordPaint au lieu de Photoshop, etc.

Programmes et fonctionnalités pour désinstaller correctement des programmes sans laisser de fichiers inutiles

Son : vérifier les réglages, décider les entrées et sorties, le MIDI (synthé incorporé à la carte son)

Vérifier les réglages de Windows update et de Execution automatique à vérifier (évite d’être

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dérangé à l’allumage ou à l’extinction du PC) Contre les virus : Centre de maintenance, Windows

defender, Pare-feu Windows Outils Système : Défragmenteur (réorganise les fragments de fichier

sur le disque pour les rendre accessibles sans bouger la tête de lecture)

Nettoyage, restauration, récupération, sauvegarde du système (conseillée, au moins une fois, et si possible juste après l’achat du PC)

Présentation : des outils pour se connecter à un projecteur

Options d’ergonomie offre des facilités de manipulations du PC qui peuvent être intéressante

Centre de mobilité : permet de sauver l’ensemble des réglages et d’en créer un autre

Logiciels (non inclus) conseillés : CClaener : élimine les fichiers inutiles. Redonne un

coup de jeune au PC Avast : antivirus gratuit MagicDisc : pour remplacer des CD par des fichiers.

iso (après copie. Évite de jouer au grille-pain) AutoHotKey : (équivalent de AppleScript) permet

de programmer son ordinateur pour qu’il fasse en une fois tout seul une série

d’actions qu’on fait à la main, toujours les mêmes. HxD : pour modifier n’importe quel fichier (en

sachant ce qu’on fait)

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Fondamental 3 : Interface

1 — Concepts de base   : fichier : un contenu qu’on enregistre en un bloc : un morceau de musique, un programme, un film, un texte, des données... dossier : un contenant, qui contient des fichiers ou des dossiers.application=programme=logiciel=progicielsignifiant et signifié en octets :Un même octet peut représenter une lettre, un nombre, une couleur, une coordonée, une note, une instruction de programme... C’est le programme qui utilise cet octet qui en fera un point, un son ou une lettre. Exemple : les programmes HxD(PC) ou HexFiend(Mac) affichent le contenu de n’importe quel fichier sous forme octet et lettre.Formatage :— Parabole : En tant que directeur de théâtre, vous devez attribuer les places (secteurs physiques) à différents groupes (fichiers) qui arrivent en bus (Belfort.jpg, Mehun.doc). Vous notez sur votre plan de salle (FAT) les places occupées. Puis des groupes se désistent et il en arrive d’autres, de taille différente... — Un disque (idem pour les SD cards, clefs USB, SSD...) est divisé en pistes et secteurs, un partie du disque est réservée (FAT dans notre exemple) pour noter quels secteurs sont occupés. On a ailleurs une liste avec le nom du fichier, le premier secteur qu’il occupe. La FAT indique pour chaque secteur le numero du secteur suivant pour ce fichier. — Il y a d’autres systèmes que FAT : FAT16, FAT32, NTFS(Win) HFS(Mac) EXT2 (Linux), journalisé… FAT est lu par tous les OS mais limité à 4 Go par fichier (problème des videos) (on n’avait pas prévu assez de cases pour écrire des grands numéros de secteur. FAT a quelque problèmes sous Mac) NTFS lu mais pas écrit par Mac. HFS(Mac) non lu par Win. Linux lit tout et a aussi ses propres formats. Les OS pourraient les lire tous mais préfèrent

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verrouiller leurs clients. Il y a des programmes qui permettent de lire/ecrire des formats.Partition : Il est facile de demander au programme qui gère le matériel, (dès le BIOS/UEFI), de traiter une partie du disque dur comme si c’était un autre disque, avec sa propre table de gestion de fichiers. C’est le premier secteur (root) du disque dur qui indique au Bios/UEFI à quel secteur physique commence chaque partition, et son format. Intérêt : — Plusieurs OS avec chacun leur système de fichier sur le même ordinateur. — Séparer le système (OS qui sera mis à jour, on pourra même en changer, le réinstaller...) des données personelles. — Garder un système « en reserve » sur une partition pour restaurer le système si on « plante » le système de la partition de travail (ca évite de fournir des DVD d’installation et des lecteurs de DVD...) — Défaut : ca ne protège que le logiciel. Si le disque physique est abimé, on perd tout.

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2 — L’Arborescence des dossiers et sa notation :Arborescence : disque (tronc), dossiers et sous-dossier (branches) et fichiers (feuilles). Notations du chemin d’un fichier : Un embranchement se note/ou\ou : selon le langage et le système (Windows, UNIX, AppleScript…)Noms de fichier :Nom.extension. L’extension a pour but de connaître le type de contenu du fichier sans l’ouvrir. Mac OS offre de ne pas l’afficher ! L’extension ne donne aucune garantie, elle est juste une convenance. Une autre manière plus fiable est de lire les premières lignes du fichier (en-tête ou header) qui contient un identifiant et des informations sur la structure du fichier (JFIF, vignette, dimensions...)On évite des ennuis en évitant espaces, caractères accentués et ponctuations dans les noms de fichier.Raccourcis (/alias/lien symbolique...) intérêt : évite d’avoir plusieurs copies différentes partout, tout en ayant un accès facile là où c’est pratique.Dossiers et fichiers invisibles :.xxxx chez Mac et Linux, dossier « hidden » chez LinuxDossiers à connaître : Bureau, C :, Téléchargement, Mes documents, UtilisateurLa structure de la racine du disque est reproduite dans le dossier UtilisateurHabitude pernicieuse : Normalement, on ouvre un programme et on charge les données depuis le programme. Les OS offrent de ciquer les données pour lancer un programme qui les ouvre. L’OS force ainsi à utiliser iTunes, iPhotos pour nous éviter de chercher le nom du programme qu’on veut utiliser.Habitudes à prendre : nommer avant de s’en servir, CTL+S, nommer en prévision d’un classement alphabetique (Ex : photos : 001_La_Croisette_005.jpg)

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Particularités du Mac : les suffixes cachés, les dossiers icône cachés (. nom.ext,. DS_Store,. Spotlight ..). Les applications Mac sont en réalité des dossiers (clic droit « Afficher le contenu du paquet »)Sur Windows, le navigateur de fichier a un menu Affichage qui permet aussi de cacher les extensions (!)

3— Périphériques   : Clavier :— Touche -> code -> caractère. Certains programmes lisent le codeau lieu du caractère (logiciels de jeu, émulateurs… et on se retrouve avec un clavier QWERTY)— Touches combinées : SHIFT, CAPS SHIFT, CTL, ALT, CMDTrès pratiques pour aller vite. Les raccourcis-clavier dépendent des programmes, mais certains sont standards. On peut les apprendre en reconnaisssant leur symbole dans les menus du programme.Autres touches combinées :: Fn, Ver Num, WindowsTouches programmables : F1 F2… (nombre variable)Touches à connaître par cœur : Esc permet souvent d'arrêter une action qui demarreCTL/Cmd + Z(Zut : annule) C (copie) V (insère)Autres : S (sauve) Q (quitte) A (tout) W (ferme fenêtre) Arrêter de force une application :

Mac : Cmd+ALT+Esc PC:CTL+ALT+Del Menu arrêterSpecial Mac : ALT+Clic sur l’icône du Dock et Forcer à Quitter

Souris : Elle permet de gérer les fichiers sans taper de commande : Sélectionner, Déplacer, Actionner. Les actions sont :simple clic (sélectionne), double clic (actionne), clic droit (actionscontextuelles), drague (déplace), clic long, molette, molette cliquée, molette cliquée roulée.Et avec touche combinée SHIFT, CTL, ALT, CMD

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Variantes et réglages : — Anciens : stick rouge au milieu du clavier, TrackBall— Souris 1 bouton, plus de 3 boutons, DPI, accélération, délai clic— Pad portable avec/sans boutons, zone de défilement, multi doigt,fonctions supplémentaires (zoom) — Ecran tactiles : limité à clic, clic long, draguer -> menu

contextuel,symbole menu, bords actifs (style Windows 8)Autres périphériques d’entrée : --> souvent drivertablette graphique, joystick, clavier MIDI, manette de jeu, volant,pédales, instrument MIDI (guitare, saxophone…)Webcam, Kinets, manette Wii, TrackBall

4— Graphique User Intreface (GUI):Menus :— En cascade Contextuel (local ou global) Surgissants (Dock, bords)— Differences Mac/Windows/Linux : menu d’écran, d’application, de fenêtreCommun Mac/Windows/Linux--> Disposition à peu près fixe d’une appli à l’autre (Fichier, Edition…)--> Indique souvent les raccourcis clavier (touche combinée+lettre)--> le menu grisé est inactif--> le triangle un menu en cascade--> Structuré comme un chemin : Menu/Fichier/Sauver sous

Fenêtres :(Simples : alerte, notification.) Visualise des contenus de dossier, ou un espace de travailbouger sur l’écran/ascenseur pour bouger derrière la fenêtre/boutons de fenêtre redimensioner, plein écran, replier

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Autres éléments graphiques :Triangle de choix à dérouler, + — en bas, roue dentéeIcônes, infos bulle (Ex:Blender)Fenêtre avec bouton de choix, cases à cochericônes-boutons (Android)Entrée texteCurseur, bouton à draguer (musique)Navigateur de fichier : La présentation verticale de l’arborescence (Win) et les +Présentation liste/Icône, clic sur nom ou sur icôneles « .. », le dossier racine (/ou C :), Le dossier Volumes (Mac) ou mnt (Android, Linux)

5 — Histoire de la ligne de commande au GUI   : a — Le langage machine : I/O nombres : interrupteurs, cartes perforées, sortie imprimante. Séquelles : ASCII art, code barre, QR-Code, menu en bas, Textes scroll bas->haut

b — Code Assembleur : Ecran texte uniquement, et clavier. Séquelle : Microcontroleur. Programmes temps réel (missiles...)

c - Langages CP/M, MS-DOS : « macro » pour désigner faire ces opérations en tapant un seul mot (« ls », « dir », « cd » etc.. )Sequelles : ligne de commande (cmd Windows, Terminal Mac) shells (bash), éditeurs (Emac, Vim, …)

d - Langages évolués : Kernigan et Richie, programmeurs, ne veulent plus réapprendre les commandes processeur à chaque génération. Sorte de « double articulation du langage »  — un corpus de mots de leur langage C à traduire en

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assembleur à chaque nouveau processeur — mais on écrit les programmes complexes une fois pour toute en langage C — Le compilateur écrit en C traduira les programme écrits en C vers l'assembleur. L’OS UNIX, écrit en C, est à l’époque — multitâche : plusieurs programmes tournent « en même temps ». (Le CPU saute d’une tâche à l’autre.)— multiutilisateur : chaque utilisateur a sa zone memoire réservée Sequelles : Login+Mot de passe, compte admin = superUser =root (arborescence pyramidale). Linux, Hurd.

e — GUI :Années 80 : l’ordinateur individuel, est monotâche, monoutilisateur : Apple1, 2, ZX81, puis PCEcran couleur avec pavés colorés, (et non plus par lignes défilantes. Entrée clavier (dont touches fléchées) et joystick (à boutons on/off) Programmation : BASIC, FORTH, COBOL, FORTRAN, LISP, FORTH…L’ordinateur n’exécute que des lignes de commandeAnnées 90 : Rank Xerox+Steve Job = Liza, Mac, Windows 3.1, Atari, Amiga : Souris+fenêtres+ icônesEn réalité, l’interface graphique (GUI) traduit les actions graphiques en lignes de commande

Exercice : On prévoit de rédiger un livre chapitre par chapitre. On préparera un dossier de fichiers vides mais nommés « 10_Chapitre-1 », « 20_Chapitre-2 » etc... Utiliser le copier — coller. Intérêt d’un numération de 10 en 10 ?

Illustration : — encadré : les raccourcis à connaître— un exemple d’interface graphique et ses éléments

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— une représentation shématique d’un disque dur materiel, occupé par plusieurs partitions pour plsieurs systèmes, certaines avec leur boot-secteur.

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Cours 1 : Internet

Virus et CieDéfinition   : Un programme capable d’auto-réplication et de diffusion.C’est un fichier qu’on charge sur Internet, ou une clef USB, ou un disque piraté.Il n’est dangereux que quand on le lance : — soit en croyant lancer autre chose (chargeur de programme, mise à jour, MacKeeper, dézippeur express, antivirus, programme craqué ….)— soit parce que le navigateur l’ouvre automatiquement pour vous faciliter la vie (affichage PDF, zip...)Les differents types de virus:1-but : démo, destruction, collecte de données perso ou bancaires, racket au cryptage, prise de contrôle pour robot DOS et chantage 2— moyen : boot, chevaux de Troie, malware… 3— historique : jeux de hackers, mafias, créateurs d’anti-virus à abonnement (technique des bibliothèque)Comment s’en protéger :1— Utiliser Linux.2— Abstinence : Pas d’internet, pas de clef USB ni de disque passés sur un autre ordinateur que le votre. Aucun jeune entre 8 et 25 ans ne se sert d’Internet ou n’insère une clef USB ou un disque sur votre ordi.3-sur Internet : N’aller que sur les sites officiels et surveillés.

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AppleStore, Googleplay, Wikipédia. Plutôt en https que en http. Ne jamais accepter l’installation d’extensions, plugin, logiciels censés faciliter le téléchargement. (les jeune cliquent OK avant de lire et se plaignent après). Par exemple, si on vous demande de mettre à jour votre plug-in Adobe Flash Player, ne pas cliquer sur le lien proposé mais allez sur le site de Adobe. Courrier : empêcher l’ouverture automatique des pièces jointes. Vérifier l’adresse des liens (laisser la souris dessus)

Les quasi-virusLe social engineering (politicien africain, ami en difficulté qui demande de l’argent…), le marketing viral, les chaînes de Ponzi... Les espions dans les logiciels achetés, Windows,

Android, Apple, les malware (pubs intempestives), Les ventes forcées (orange et tests de QI) Les marchés captif AppleStore, Google play,

UbuntuMises à jour, licences ou propriété, abonnement ou achat, difference entre copyright droit d’auteur

Navigateurs et courriels :Navigateurs   : FireFox, Opera, Safari. Eviter Internet Explorer, ChromeProxy. Cookies. Historique. Mots de passe. Navigation privée. Les protections :Pare-feu de la box (adresses MAC),Pare-feu de l’ordi, Avast, Norton & Cie, LittleSnitchAnti-pub : Adblock, uBlock, Ghostery

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Courrier   : Différence entre webmail (courriers lus chez le FAI) et client mail (courriers rapatriés)Webmails : Protocole http : par Navigateur, identifiant et mot de passe. Serveur imp, Oracle, gmail, hotmail Clients mail : Protocole POP3 (réception) et SMPT (envoi) Outlock, Mail, Thundirbird... consulter hors connexion, gestion du relévé, filtrage des pubs, pièces jointes Réduire le spam : — créer deux boites, une privée pour la famille et les amis, et une publique pour les inscriptions.— apprendre à se servir des FiltresExemple de renseignements à donner pour un client mailPOP3 (réception) :

nom du compte « Moncompte » adresse « [email protected] »nom du serveur : pop.free.fnom d’utilisateur : [email protected]

SMPT (envoi): nom du compte « Moncompte »Serveur smtp.orange.fr, identifiant et mot de passe sont nécessaires.

Cloud, Web 2.0 et réseaux sociauxCloud :Votre ordinateur devient un simple terminal de saisie, les données et les logiciels sont à l’autre bout de la ligne, chez un prestataire de service. (principe du chromebook, des GoogleApps, des services en ligne, webmails, map, traductions, picasa…)

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Vous ne pouvez y accéder qu’avec une connexion internet.— L’utilité pour le serveur est de disposer de vos données, de vos documents et de mieux vous cibler par des publicités.— Pour vous, l’intérêt est d’avoir moins de choses dans votre ordi, d’y avoir accès depuis n’importe quel ordi, et de les garder même si on vous casse ou sabote votre ordi, plus besoin de sauvegarde.— Vous dépendez du serveur, du logiciel, qui peuvent faire faillite, ou changer de gratuit à payant, ou passer dans un format propriétaire qui vous fidélise de force.

— Films, livres et musique : Youtube, Streaming passe encore, mais films, photos et travaux persos deviennent exploitables gratuitement par le prestataire de service.

Web 2.0En Web ordinaire, c’est un groupe qui est à l’origine, il s’organise pour présenter son site face aux autres.Apparence, contenu et gestion sont décidés par les créateurs.En « Web 2.0 », c’est le théme qui est à l’origine, n’importe qui participe quand il veut au contenu. L’apparence et la gestion sont automatisés par le logiciel même— Peer to peer— Linux et developpement partagé— Wikipédia, crowfunding, web collaboratif, BitcoinDérives : les réseaux sociaux : Twitter, Instagram— Facebook : la vie privée suspecte, le contrôle moral par les voisins, l’enquête d’empoyeurs...— Comunautarisme : Linkedin, les réseaux de riches

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payants, religieux, sexuels….— ubertaxi, Airbnb, ebay, télétravail… l’intermédiaire taxe les échanges, aucun droit du travail, retraite, impôt…

Créer Site, Blogs, Wikis1— Principe : On vous attribue un espace disque chez un FAI (spécialisé payant ou espace perso compris dans le forfait ordinaire)Vous y posez votre site (un dossier avec plein de fichiers, fait à la maison)Ensuite tout le monde peut aller le voir à l’adresse du FAILes sites payants offrent plus d’espace et plus de possibilités (php et SQL permettent des sites interactifs, Free est le seul qui en propose gratuit mais restreint)Inversement, un site en HTML simple peut se poser dans une simple DropBox !

2— Utilisation d’un Client FTP : C’est le logiciel pour déposer chez le FAI le site fait à la maison avec le protocole FTP (au lieu de HTML ou autre) FileZilla, CyberDuck, Fetch. Il faut donner nom de l’hôte : exemples

[email protected] login : en general adresse mail mot de passe : celui de la messagerie

3— Le site :HTML : simple. Fichier index.htmlAnimations javascript, java code. DreamWeaver,

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NVU. Publications photos (JAlbum, Galerie)php : Permet de créer des sites : interactifs Fichier index.php Ex : guppyphp+SQL : permet plus de fonctions, créer un Wiki, une gestion d’abonnés, des courriers.Worpress, joomla, dotclear, drupal

4— Materiaux (définitions):HTML, CSS, Flash, javascript, javacode, php, SQL, HTML5, sites prêts à utiliserMAMP : http://localhost:8888/wordpressfr/index.phpNet : http://counillon.pierre.free.fr/wordpress/

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Travaux pratiques :À connaître : Recherche avancée sur Google (« » OR — ) Wikipédia. HoaxBuster http://www.hoaxbuster.com/Youtube, Vuze, Grooveshark, hdmoviespointPanne Internet :— Vérifier les câbles, les voyants de la box— L’ordi se dit connecté mais pas d’internet : le net arrive-t-il à la box : le courrier ? le téléphone ?— Après seulement, vérifier la configuration du logiciel : proxys, effacement des mots de passe...Protection et Anonymat : Préférer le câble. Déconnecter d’internet dès que possible. Arrêter le WiFi, enlever le câble, Eteindre la Box (change votre adresse IP)Definitions de : modem, routeur, Box, ADSL, Pair-to-pair, CPL (cf illustration)Configurer le navigateur et la box FAI (proxy Free), LAN, WLAN, LiveBox : http://192.168.1.1/Belkin : http://192.168.2.1/Anonymat : visiter http://www.anonymat.org/vostraces/, http://wiki.korben.info/effacer_ses_tracesPrivoxy, TOR, Google AnalyticsSites à éviter : Softpedia dans le titre, MacKeeper, site en « z » : warez, hackerzEviter les sites qui imposent de charger un chargeur, ou qui créent une réponse avec votre recherche Utiliser Peer to Peer, Magnets et Torrents :Principe : Le « Magnet » ou « Torrent » est une sorte

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de bon de participation au téléchargement d’un fichierOn télécharge le Magnet, qu’on donne au logiciel Torrent qui gére le téléchargement Peer-to-Peer

Pratique : 1— Charger et installer d’abord le logiciel uTorent sur http://www.utorrent.com/intl/fr/2— Trouver des magnets à lui donnerAller sur : https://thepiratebay-proxylist.org/ ou https://proxybay.la/Cliquer sur le site proxy de son pays(Exemple : http://tpb.proxyduck.org/)Taper une nom de fichier recherché(Exemple : "Big Buck Bunny" et Pirate Search)Cliquer Droit sur un des aimants liens (copier le lien)(Refuser MacKeeper et fermer les fenêtres de pub)Lancer Micro-Torrent (uTorent chargé sur sur http://www.utorrent.com/intl/fr/)Cliquer Add URL et clic droit (coller le lien)

Bonus : Franciser micro-Torrent : Sur http://www.utorrent.com/intl/fr/, aller dans « Autre plates formes pour avoir plus de choixAller en bas charger le Pack de langue, le mettre (utmac.lng) dans (Clic droit/Afficher le contenu) /Applications/uTorrent.app/Contents/MacOS/ Lancer micro Torrent, aller dans Preferences/General/Download More puis dérouler sur French, puis redémarrer uTorrent

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Cours 2 : Navigateurs Web : FireFox

Remarque à propos du service Orange + :www.orange.fr, espace client, s’identifier (ad mail, mot de passe)

contrat internet, votre contrat en détail, internet+ et contact+ : voir le détail, et parametrer vos services pour les désactiver

Raccourcis, Historiques, Téléchargement Raccourcis : faciliter les accès rapides : Barre personnelle et

Marque-pages Historique : le navigateur retient pages et contenus pour naviguer

plus vite. Ca occupe beaucoup de mémoire et permet de vérifier les sites qu’on visités les autres.--> Effacer l’historique avant de quitter (ordi à dispoqition) --> Préférer la Navigation Privée (Menu Fichier/Nouvelle fenêtre de Navigation privée) Mais ça peut gêner la navigation sur les sites qui veulent vous marquer (Cookies)

Téléchargement : dossier à mettre sur son bureau ! Sinon on le remplit sans s’en rendre compte et on ne sait pas où est ce qu’on charge

Menus   : Préférences : (sauf Avancé, traité plus bas) Général : C’est là qu’on définit la page d’accueil pour ne pas

avoir à passer par Apple, Bing etc…Exemples : https://www.google.fr/, ou https://duckduckgo.com/Et aussi l’endroit où on veut le dossier de téléchargement

Recherche : garder duckduckgo (anonyme) Contenu : cocher « Bloquer les fenêtres Popup »

(la plupart sont des publicités) Applications : Comme pour « Ouvrir avec » pour Mac ou

Windows. On doit indiquer avec quel logiciel ouvrir quel type de

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document (une image JPG doit-elle s’ouvrir avec Gimp, Photoshop, un logiciel de gestion de photos ?)À savoir : un navigateur web est capable de naviguer dans les fichiers de l’ordinateur : Exemple : file:///Volumes/ au lieu de http://

Vie privée, Sécurité : au choix (cocher au moins les Sécurité/Général !) Sync : c’est le Cloud FireFox

Fichier : Menu Fichier/Ouvrir un fichier… Un navigateur est capable de remplacer une grande partie des logiciels classiques : On peut ouvrir presque tous les documents avec. Parfait pour consommer (chromebook) (mais pas pour créer)Exercice : Menu Fichier/Ouvrir un fichier…

et désigner des mp3, jpg, pdf, flv, mp4…Edition : Rechercher (taper en bas à gauche) est pratique pour trouver une réference dans une page affichéeExemple : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gnosticisme Rechercher : évangileAffichage :Pour certains sites (dont Wikipedia) Mode lecture Outils : Modules complémentaires, Applications, se connecter à Sync : spécifique de FireFox. Ajoutent des fonctions au navigateur, proposent un Cloud (Sync) Developpement Web/Code source de la page

Donne une idée du langage HTML : description de page hypertexte, et du travail d’affichage du navigateur

Developpement Web/Outils de Développement : affiche tous les outils d’analyse de la page en cours (On ne risque pas d’abimer quoi que ce soit) ou juste certains outils

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La barre d’adresse   : Navigation internet : historique de la complexité: À la base, comme sur un téléphone, on tape le protocole et le

numero du correspondant : https://195.83.72.52/ Ce « numero » est appellé adresse IP. On peut toujours l’utiliser

On tape une adresse en lettres, qui est envoyée par un protocole DHCP à un serveur DNS qui rend l’adresse IP.Exemple : http://www.clubmgenretraites.paris

Le navigateur se connecte d’office à l’adresse IP d’un site : On va sur un site pour y taper des mots-clef. Le site liste les sites qui peuvent correspondre.Exemple : https://www.google.fr/ ou https://duckduckgo.com/

Le navigateur s’ouvre sur le site du moteur qui supprime la séparation entre ligne de recherche et ligne d’adresse…Danger : on ne vérifie plus l’adresse du site où on est quand on clique un lien. Permet le phising (hameçonnage)

Exercice :Taper une adresse IP en nombre (IPv4 ou IPv6)

Adresse de sa box :http://192.168.1.1/ est l’adresse de la livebox, à laquelle mène aussi théoriquement http://livebox/, http://192.168.1.254 pour une Bbox à laquelle mène aussi théoriquement http://gestionbbox.lanhttp : //192.168.0.254 pour une Freeox à laquelle mène aussi théoriquementhttp://mafreebox.freebox.fr

Adresse IP d’un site :On la connait en passant par un site :http://www.mon-ip.com/adresse-ip-site-internet.phpDomaine du site internet : webmail.ac-paris.fr Adresse IP du domaine : 195.83.72.52Mais dans beaucoup d’autres cas on signale qu’il s’agit de

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l’adresse IP d’un serveur qui abrite plusieurs site.

On la connait directement avec l’instruction ping :Au terminal (Mac) ou Invite de commande (Win) cmd.exe en mode administrateurTaper :PING webmail.ac-paris.fr Reponse : (195.83.72.52) (faire CTL C pour arrêter)

Aller dans le navigateur et taper :https://195.83.72.52/(Autoriser à se connecter, exceptions de sécurité etc…)

FireFox : Preferences/Avancé

1— Proxy   : Préferences/Avancé/Réseau/Connexion/Paramètre

Proxy : ou « serveur mandataire », il sert de relais entre deux adresses (la nôtre et notre cible) Il a pour but de filtrer (les pubs, les pirates), sécuriser, accélérer (par mémoire cache), ou réserver l’accès à ceux qui connaissent le proxy Exemple : Free propose ses proxys à ses clients — Il y a aussi des proxy « web » qui sont des pages qui permettent de taper des adresses web. On contourne ainsi les proxy d’établissement qui veulent interdire l’accès à ces pages. Attention : un proxy est un intermédiaire, il peut stocker ce qu’on tapeLes sites https refusent en général les proxys web

Exercice 1 : Exemple de Web Proxy gratuit :Aller surhttp://www.ebooksgratuits.com/ebooks.php

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Choisir Auteur : Colette et RechercherConstater qu’on ne peut rien chargerAller maintenant sur http://www.my-proxy.com/Dérouler sur US Orangeet taper à nouveau l’adresse où on veut naviguer :http://www.ebooksgratuits.com/ebooks.phpChoisir Auteur : Colette et RechercherConstater qu’on peut maintenant chargerNoter au passage qu’on propose des proxy payants

Exercice 2 : Regarder une émission intéressante de télé Québécoise :On va surhttp://www.telequebec.tv/emissions/http://bazzotv.telequebec.tv/actu/http://bazzotv.telequebec.tv/actu/c-est-quoi-le-probleme/Mais là, on obtient :« Cette video n’est pas disponible à l’extérieur du Canada » Sans autre explication. La méthode précédente ralentit beaucoup et ne donne pas accès à la video (elle ne nous rend pas Canadien !)

Pour y accéder, nous allons donc faire passer notre IP pour pour une IP de canadien en passant par un « vrai » proxy : (cette methode marcherait aussi pour l’exercice 1)

1— Allez sur http://nntime.com/ et récupérez un proxy canadien : par exemple 198.169.246. 30:802— Dans FireFox/Préférences/Avancé/Configurer la façon... Paramètres— cochez « configuration manuelle du proxy » et collez les deux morceaux : Proxy HTTP:198.169.246.30   Port : 80— cochez Utiliser pour tous les protocoles

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Maintenant recliquez sur :http://bazzotv.telequebec.tv/actu/c-est-quoi-le-probleme/16-c-est-quoi-le-probleme-le-terrorisme-en-occidentpour voir le clip, et les autres tout aussi marrants et intéressants.(ou copiez-collez l’adresse dans la barre d’adresse de FireFox) 3— Après, il suffit de retourner dans FireFox/Préférences/Avancé/Configurer la façon... Paramètreset Cocher « Pas de proxy » pour tout remettre en ordre

Que s’est-il passé ?Nous avons configuré FireFox pour que notre FAI fasse passer notre flux par le proxy canadienLe proxy s’est connecté à la télé avec son IP canadienne

2— DNS   : Internet relie des adresses IP (série de 4 ou 6 nombres). Il y a donc un système qui doit transformer une adresse texte en adresse IP : — l’ordinateur regarde déjà dans son fichier « host » (Mac, Linux) s’il n’a pas déjà la correspondance— sinon, il utilise le protocole Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) contacter les serveurs de noms DNS, qui rend l’adresse IP du site et une adresse IP pour l’ordinateur. C’est par le port 53 que passe la communication DHCP/DNS— Ensuite, ce sera par le port 80 que passera la communication http entre les deux adresses IP— En résumé, la demande de trouver l’adresse IP du site dont on a l’adresse en texte est donc adressée à… un site, qui a une adresse IP : le serveur DNS. Soit l’ordinateur fournit l’adresse du serveur DNS qu’il veut utiliser, soit il laisse le FAI utiliser ses propres serveurs DNS.Depuis juillet 2015, le décret ARJEL pour la France, (SOPA aux États-Unis) restreint pour des raisons commerciales l’accès aux adresses (notamment Torrent411 ou t411) où s’échangent

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essentiellement des films. La méthode imposée par la loi aux FAI est celle du « DNS menteur » :

Quand on tape une adresse interdite, au lieu de donner son IP pour la connection, le FAI répond qu’il n’y a pas d’abonné à l’adresse indiquée.

On a cependant la possibilités de contacter un autre DNS que celui du FAI.

— Renseigner le fichier « host » pour les adresses IP connues (mais ça peut faire plusieurs centaines d’adresses)— Indiquer par l’ordinateur les serveurs DNS qu’on souhaite utiliser, plutôt que ceux du FAI. Par exemple les DNS de Google, OpenDNS, ou des DNS libres (qui n’espionnent pas les demandes) comme OpenNIC, FDN, LDN, ARN— Modifier dans la box les adresses des serveurs DNS qu’elle utilise par défaut. Mais pour la Orange fibre, certaines adresses ont l’air bloquées pour garder le téléphone Voip et la télé ?— configurer le programme DHCP de tenir compte des adresses DNS que lui renvoie le FAI — faire tourner un serveur DNS dans l’ordinateur comme Ubound DNS. L’ordinateur se connectera à son propre serveur DNS Ubound par l’adresse 127.0.0.1

Exercice : Indiquer au navigateur les serveurs DNS qu’on veut utiliser plutôt que ceux du FAI.On donne toujours une adresse DNS principale et une seconsaire si la première est occupéeExemple : donner les adresses des serveurs DNS de Google ou de OpenDNS (mais on est alors tracés par Google ou OpenDNS….)Quelques adresses DNS :8.8.8.8 (Google)

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8.8.4.4 (Google)208.67.220.220 (OpenDNS)208.67.222.222 (OpenDNS)80.67.169.12 (French data network)193.183.98.154 (OpenNIC)87.98.175.85 (OpenNIC)On préférera les adresses OpenNic obtenues sur https://www.opennicproject.org/nearest-servers/ (copiez deux des quatre adresses IP)

Sous Mac :Ouvrez le Menu Pomme/Préférences système/Réseau/Avancé/DNSet ajoutez (+ en bas à gauche) en tête de la liste vos nouveaux serveurs DNS (gardez les autres dessous au cas où…)

Sous Windows :— sous Windows 7, Menu Démarrer/panneau de configuration. Choisissez « Réseau et internet », puis « Centre Réseau et partage », puis « Modifier les paramètres de la carte ».— sous Windows 8, cliquez sur le Bureau. Cliquez avec le bouton droit de votre souris sur l’icône du réseau de la barre des tâches (en bas à droite), puis « Modifier les paramètres de la carte » une fois que le Centre réseau et partage s’est ouvert.

Vous devez avoir deux connexions (une filaire « Ethernet » ou « Lan », et une WiFi). Choisissez l’une des deux, cliquez dessus et sélectionnez « Propriétés » Dans le cadre central de la fenêtre, cliquez (simple clic) sur « Protocole internet version 4 (TCP/IPv4) », puis cliquez sur « Propriétés ».Dans la nouvelle fenêtre, onglet « Général », changez l’option « Obtenir les adresses des serveurs DNS automatiquement » pour sélectionner à la place « Utiliser l’adresse de serveur DNS

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suivante ».À l’emplacement « Serveur DNS préféré », saisissez :193.183.98.154À l’emplacement « Serveur DNS auxiliaire », saisissez :87.98.175.85Validez en cliquant sur « OK ».Faites exactement la même chose pour votre (vos) autre(s) connexion(s).

Pour les utiliser vraiment : Votre navigateur ayant en mémoire toutes les correspondances URL/adresse IP des sites que vous avez visités, et celles-ci ayant été établies par le DNS de votre FAI, il vous faut maintenant les effacer. Mac   : Ouvrez un terminal (dans applications/utilitaires)Si vous utilisez OS X Yosemite 10.10.4, tapez :sudo killall -HUP mDNSResponderSi vous utilisez OS X Yosemite 10.10 à 10.10.3, tapez :sudo discoveryutil mdnsflushcacheSi vous utilisez OS X Mavericks, Mountain Lion, ou Lion, tapez :sudo killall -HUP mDNSResponderSi vous utilisez Mac OS X 10.6, tapez :sudo dscacheutil -flushcachePensez aussi à redémarrer aussi votre client BitTorrentC’est tout, vous utilisez maintenant OpenNIC.

Windows   : Ouvrez une invite de commande (cmd.exe), et tapez :ipconfig/flushdns

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Cours 3 : Publication Numérique

Historique :L’informatique traite les nombres en mémoire comme des

cardinaux (comme les machines à calculer), mais surtout comme des ordinaux (de même nature que les numéros de téléphone). Un nombre peut être une valeur, mais aussi une instruction, l’adresse d’un autre nombre, ou l’adresse d’un dispositif mécanique. Dès qu’on a pu manipuler des octets, on a pu affecter un symbole à chacun des 256 octets différents, en entrée et en sortie : on a pu utiliser les lettres, les claviers des machines à écrire plutôt que les stylets perçant des trous sur des cartes perforées.

Des langages informatiques manipulaient des symboles (LISP) et plus seulement des valeurs. D’autant qu’il n’y avait pas encore assez de mémoire ni de vitesse pour manipuler de grosses quantités de données (musique, image, 3D, vidéo). On a décidé du code ASCII (quelle valeur représente quelle lettre). Il en reste l’art ASCII (dessins en lettres), l’écriture Geek (13A pour LEA etc.. ),

Les premiers éditeurs de texte (vi, emacs) servaient à la programmation. Ils ont induit la création d’un langage de programmation de l’impression de page (LaTeX) et des traitements de textes « wysiwyg » (on voit ce qu’on fait) modernes.

Le principe des langages de description de pages est toujours d’actualité (LaTeX, HTML, PDF...) mais on ne conçoit plus de traitements de texte sans prévisualisation en temps réel.

« Le Rédacteur » sur Atari ST a été le premier exemple de traitement de texte généralisé à toute une rédaction (Libération).

Le code ASCII a été enrichi (italiques, gras, caractères spéciaux, sauts de section...) de manière anarchique par chaque éditeur. Actuellement, Word a réussi à imposer son codage (documents en .doc) mais il reste encore suffisamment de variantes

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pour empoisonner la vie des utilisateurs, même avec les dernières normalisations : Code UTF8, XML, .rtf. odt ne sont pas encore complètement interchangeables (UTF8 BOM ou pas, UTF 16 des alphabets exotiques, fin de lignes LF, CR, CR+LF...). Le codage d’avant UTF8 : Windows-1252=WindowsLatin1 (ANSI) se rencontre souvent dans les sous-titres de film, Mac Roman sur les Macs..

Ça vaut des caractères exotiques à la place des lettres accentuées dans les échanges de mails entre Mac et PC.

Morale : Quand on sauve un document, vérifier le format sous lequel on sauve : préférer .doc (Wrd 97), ou. odt. Le .pdf ne sera pas éditable, les documents page (Mac) .rtf ou docx (Office) pas lisible par tous.

Quels logiciels pour le texte :

Éditeurs de texte : simples, rapides, légers, mais sans aucune décoration ni mise en page. Leur format typique est le .txt, ou les codes sources de langages de programmation. Un mot ne peut s’écrire que d’une façon, et peut donc correspondre à un code machine. C’est l’outil nécessaire et suffisant pour le programmeur. Il est souvent enrichi de fonctions spécifiques de mise en valeur de syntaxes.Exemple : WordPad (Win) TextEdit(Mode texte, Mac) Gedit, Leafpad(Linux), vi, emacs, microemacsOn peut s’en servir pour taper du texte au kilomètre sans les lourdeurs et l’encombrement de fenêtres des traitements de texte.Exemple adapté au littéraire : JDarkRoom

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Traitements de texte   : Ils sont faits pour les textes destinés à être publiés, romans, mémoires ou quotidiens. On peut y mettre le texte en forme, avec des styles, colonnes, notes en bas de page, des tables des matières. La fenêtre est encombrée d’outils de tous les côtés, il y a tellement de menus que Microsoft a inventé le « ruban » pour Word.Au départ on y traitait seulement du texte, mais progressivement ils sont venus le graphisme et à l’hypertexte : on insère maintenant des images, des tableaux, des fonctions hypertextes. On peut y créer des pages web en HTML. Ils aident à l’orthographe et à la grammaire. Il faut du temps et un bon apprentissage pour apprendre à s’en servir. Une partie des difficultés est liée au Wysiwig et ses caractères invisibles qui déterminent la mise en forme sans qu’on les voie. L’aide orthographique et grammaticale basée sur la forme laisse et même propose pas mal d’erreurs. Il reste des bugs, et la course aux formats propriétaires rend le changement de logiciel ou de machine hasardeux ; les choix à faire à l’importation ou la sauvegarde ajoutent à la difficulté. Le format .doc de Word (Microsoft) est un standard de fait, malgré des imperfections connues. Autres formats courants : odt, rtf, HTML, xml. Ainsi que le PDF, mais qui ne permet pas toujours l’édition ensuite.

Logiciels de traitement de texte : (ils permettent tous d’éditer les .doc) Word (payant, Microsoft), LibreOffice, OpenOffice (GNU, gratuit) sont très semblables. Pages (Mac) a une ergonomie différente de Word. En simple et léger, il y a Abiword (Libre), plus limité mais beaucoup plus rapide, Scribus (libre). TextEdit sur Mac est aussi très pratique pour rédiger des textes simples (chapitres isolés, cours d’informatique ..) LaTeX a une place à part : il n’est pas Wysiwig. Accessoire supplémentaire à envisager pour une publication sérieuse : un logiciel plug-in spécialisé pour la correction grammaticale, orthographique, typographique avec dictionnaires intégrés (synonymes, rimes, anagrammes...). Plutôt payants (car il en faut un par langue) Exemple : Antidote.

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Logiciels de PAO   : ils sont faits pour des présentations graphiques, des dépliants publicitaires, des magazines où le poids des images passe avant le texte. Le format typique est le PDF. Le texte sert à habiller des images, à garnir des mises en page. Ce sont des logiciels lourds, souvent chers et complexes, qui utilisent volontiers les graphismes vectoriels et les textes de remplissage (Lorem ipsum...) pour les essais. On n’y traite pas facilement le texte (corrections, changements de style, index...). Exemples : QuarkExpress, Adobe InDesign, Adobe Acrobat. En libre : InkScape, Scribus, Calamus.À savoir sur le PDF : (format très proche de Postscript) il y a deux sortes de documents PDF : ceux qui sont des photos de pixels, sans texte récupérable (exemple : format PDF de Aperçu Mac pour impression) et ceux où les caractères sont là, séparés et superposés sur la page.OCR : permet théoriquement de reconnaître des lettres dans des pixels sur une photo de page imprimée. En pratique, 99 % de réussite dans les bons cas (page claire, caractères bien séparés, apprentissage sur quelques pages) ça fait 20 fautes par pages (une page fait dans les 2000 caractères).

Logiciels spécifiques issus du Web   : souvent très simples, gratuits, limités mais très efficaces pour réaliser des ouvrages standards de bonne qualité : albums photo, calendrier, dépliants, menus, cartes postales.... Mais aussi de vrais livres, ou des e-livres Exemples : Blurg BookSmart, iBookAuthors(Mac), Calibre (Libre) pour passer du doc au e-pubs...

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Éditer son premier livre

Il est aussi facile de faire imprimer un livre qu’un album de photos.

Circuit classique : manuscrit, éditeur, imprimeur, distributeur : ça limite aux livres a public suffisant, avec rêve de gloire... et source d’exploitation par le système des éditions à compte d’auteur.

Le web propose aussi ce genre d’exploitation, avec des sites qui proposent la correction, la mise en forme, moyennant finance, et une publication... sur catalogue proposé au libraire, ou sur un site web. Mais jamais une distribution réelle en librairie.

Accès direct à l’imprimeur : grâce au numérique, les imprimeurs offrent l’impression d’un livre en un seul exemplaire pour le prix d’un paquet de cigarettes. L’accès à l’ouvrage vous sera strictement réservé, mais vous pourrez aussi le rendre accessible à tous sur le catalogue de l’imprimeur.

Le prix dépend du nombre de pages, de la taille, et surtout de la présence ou non d’illustrations en couleur.

Il peut être pratique de faire imprimer des documents .pdf genre mode d’emploi, ou recettes, ouvrages anciens.

Sinon c’est à l’auteur d’assurer les corrections, la typographie, la mise en page : l’ouvrage est imprimé tel quel. On trouve sur le site ce qu’il faut pour créer une couverture correcte. Le format standard demandé est le PDF, mais le site propose des conversions doc vers PDF, à vous de vérifier le résultat.

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Exemple pratique :

Règle absolue : vérifier par un premier exemplaire avant une impression en nombre. Quels que soient les soins apportés, il y a toujours des erreurs qui ne se voient que sur l’exemplaire papier.

On pourrait éditer un livre de recettes, un guide, un mémoire, ici on prendra comme exemple un roman. On pourrait choisir Pixum (qui fournit un logiciel de mise en page gratuit) ou un autre imprimeur, mais on choisira Lulu.com, un peu moins cher. Lulu laisse le contrôle total de l’ouvrage (« projet »), ou peut ensuite, quand on veut, le retirer, l’effacer, le remanier, restreindre ou étendre sa diffusion. On prend l’exemple livre papier plutôt qu’ebook.

Les étapes :

1— Sur le site :

S’inscrire (gratuit, très peu de pub, juste pour des rabais)

Choisir le format : taille, couleur, agrafe

Télécharger le fichier gabarit du format

2— Chez soi :

On rédige le livre, dans le gabarit si possible. (*) Sinon, il faut mettre en page le texte dans le gabarit, ce qui est fastidieux.

On prépare la couverture et les annexes : le titre, deux lignes de présentation et cinq de résumé pour le dos du livre, deux images (optionnel) carrées pour la couverture et le médaillon au dos. Lulu propose des couvertures sans image et aussi des images libres.

Une description du type d’ouvrage (policier, recettes, traité...) en trois lignes et des mots-clefs seront demandés aussi.

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3— Sur le site :

Prendre garde au type de diffusion (public/privé)

Téléverser le contenu (PDF ou doc) (penser à effacer le contenu précédent en cas de révision !)

Choisir et garnir une couverture avec leur logiciel maison

Télécharger les fichiers tels qu’ils seront imprimés.

Donner les descriptions, les mots-clefs, décider du prix

Noter l’adresse à donner aux copains pour qu’ils achètent le livre ou téléchargent le e-book

Commander (ou non) un premier exemplaire

4— Chez soi :

On attend une semaine à dix jours

On reçoit le livre...

Et on repart sur le site pour « créer une révision » :

On suit les mêmes étapes, mais le contenu précédent est déjà là, on ne change que ce qu’on veut corriger.

Pour la diffusion, c’est à vous de décider : passer par un envoi à un éditeur, passer par le web proposé par Lulu, considérer qu’il suffit que les gens que vous fréquentez vraiment le lisent... Avec le numérique, la diffusion en librairie n’est plus la seule voie, la gloire n’est plus nécessaire.

(*) Exercice : préparer à partir du gabarit téléchargé, un dossier « livre vide » avec des chapitres prêts à remplir.

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Cours 4 : Programmer en SCRATCH

(A PARTIR DE 8 ANS !)

Programmer c’est quoi :

Programmation et langages :Programmer c’est décrire à l’aide d’un vocabulaire limité ce qu’on veut que l’ordinateur fasse, ligne par ligne. Un programme ressemble donc beaucoup à une recette de cuisine. Selon le langage de programmation, on n’a pas les même mots, ni la même syntaxe, ni la même manière de décrire ce qu’on veut.Un langage de programmation est lui-même un programme qui traduit les textes en langage machine, finalement exécuté par l’ordinateur. Dans tous les langages de programmation, y compris le langage machine, on trouve :— la variable, un mot qui devra représenter une valeur. Par exemple si on écrit la ligne volume = 8 dans la suite du programme on pourra utiliser le mot volume à la place de 8— le test et l’instruction conditionnelle :

SI (volume < 7) ALORS (volume = 8)Ces deux éléments sont le minimum nécessaire pour programmer.

Certains langages informatiques ne sont PAS des langages de programmation : HTML, PDF sont des langages de description de page. Ca ne les empêche pas d’être compliqués et de faire de longs listings.

Scratch et Processing sont des langages de programmation.Ca ne les empêche pas d’être simples et de faire beaucoup en moins de vingt lignes

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Quelques langages de programmation :

Actuels : java, javascript, python, perl, C, C++, Ruby, ProcessingEtranges: Logo, Forth, Lisp, Prolog Anciens : Basic, Pascal, Ada, Cobol, Fortran Spécifiques : Applescript, Metal, Visual Basic Bidouillage : Shell (Ex : bash), assembleur, Arduino

Adresses :

Processing : https://processing.org/download/ (Cours en français : http://www.ecole-art-aix.fr/rubrique81.html)NetLogo : https://ccl.northwestern.edu/netlogo/Basic : Metal http://freymanart.com/metal/

Scratch été inventé pour pervertir les enfants à partir de 8 ans en leur donnant le goût de la programmation. Scratch est fait pour être le plus simple possible : On ne tape rien, on se contente de draguer des lignes toutes faites. Scratch 1.4 se trouve là :http://scratchfr.free.fr/http://info.scratch.mit.edu/fr/Scratch_1.4_Downloadhttp://wiki.scratch.mit.edu/wiki/Project_Downloading Pour passer en français : Dans la barre de titre, cliquer le globe

terrestre après le mot « SCRATCH » Charger les exemples dans Fichier/Ouvrir/Exemples

Scratch, ses principes, ses fenêtres :En Scratch Un programme est fait d’objets animés sur un écran. Ces objets interagissent entre eux et avec l’utilisateur. Chaque objet a son propre programme

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L’Ecran montre   : La Scène (l’écran blanc à droite) qui peut avoir son

programme. Les Objets qui vont interagir

(listés dans la fenêtre du bas à droite)Quand on clique un Objet (sur la liste sous la Scène, ou directement dans la scène) on affiche son programme dans

La colonne centrale : Le tableau de définition de l’Objet sélectionné est la colonne au centre En haut, on a la position (x, y, direction) de l’Objet, son

icône, et son nom qu’on peut changer En haut à gauche, on coche le type de rotations autorisé

pour l’Objet. Costume liste les formes que peut prendre l’objet pendant

son programmeCe sont de simples dessins. On peut en ajouter autant qu’on veut.Scratch propose des dossiers de dessins pour les donner à vos objetsUn programme de dessin est incorporé à Scratch pour en créer de nouveaux.

Son : liste les sons que peut émettre un objet pendant son programme. Comme pour les dessins, il y a une bibliothèque et on peut en créer.

Script : est son programme proprement dit. La colonne de gauche est le langage de programmation :

En haut on clique sur le genre d’instruction, comme sur un onglet. Pour faire joli et facile à repérer, chaque genre a sa couleur. Dessous, les lignes de programme possibles pour ce genre

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Programmer en ScratchEn Scratch, programmer un objet consiste à draguer une ligne de la colonne de gauche vers la colonne Scripts de l’Objet. C’est tout.On colle les lignes ensemble pour faire des blocs.On décolle une ligne par en bas. On la repose à gauche quand on n’en veut plus.On double-clique un bloc pour le faire exécuter et le tester.Une fois que chaque objet a reçu son programme, on clique le drapeau vert en haut à droite pour lancer tout à la fois.

Premier exemple : Draguer « Contrôle/répéter indéfiniment » dans la colonne

Script de l’Objet 1 Draguer « Mouvement/tourner de 15 degrés » au centre des

mâchoires de « répéter indéfiniment » Double-cliquer sur le bloc

NOTE : En haut à droite, on a différentes dispositions des fenêtres de Scratch. C’est pratique de changer quand veut présenter plein écran ou programmer des blocs.

Conseils pour se lancer dans la programmation : Un programme ne marche jamais du premier coup comme on

l’avait prévu. On doit toujours le corriger, le « debuguer ». La manière la plus efficace de programmer est donc de progresser bug par bug —

Partir d’un exemple de programme simple qui marche, qui ressemble à ce qu’on veut, et lui ajouter petit à petit objets et des instructions, qu’on debugue au fur et à mesure

L’erreur des débutants est de concevoir un grand programme d’abord et de se lancer dans l’écriture du tout après. On décrit les programmes comme ça, mais on ne les écrit pas comme ça.

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Comme en modelage, on peut mettre au point des morceaux de programme séparément et les assembler par copié-collé

Second exemple : Exercice pratique :On va complexifier un programme simple : PongFichier/Ouvrir/Exemples/Games/Pong OK

On examine ses 3 objets : Scène, ball, paddle— Scène a juste un son (jamais employé, d’ailleurs)— paddle n’a qu’un bloc d’instruction : dès que le dapeau vert est cliqué, sa position x sera celle, horizontale, de la sourisCliquer le drapeau vert et constater que c’est ce qu’il fait !— ball a un son et 3 blocs d’instructionLe premier dit où se mettre quand le jeu commence, et qu’on arrête tout si on touche la ligne rougeLe dernier dit que la balle avance et rebondit sur les bords de la ScèneLe central dit ce qu’elle fait TANT QUE elle touche paddle (ce qu’elle arrêtera de faire quand elle aura « rebondi »)

À vous de modifier tout ça. CONSEIL : SAUVEZ A CHAQUE MODIFICATION QUI

MARCHE,C’est plus facile de recharger que de défaire et refaire !

Suggestion 1 : changer le son que fait la balle, sa vitesse(Cliquer les nombre pour les changer)Suggestion 2 : créer des plots qui dévient la balle genre flipper

Editer le dessin de la scène, ajouter trois petits carrés verts Editer le Script de la balle :Séparer le bloc qui fait rebondir

sur le paddle « jouer le son… », le dupliquer (clic droit) et le remettre en place.

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Dans les instructions « Controle », draguer « répéter indéfiniment si » autour de notre copie

Dans les instructions « Capteurs » draguer « couleur touchée » et le poser après le « si » de « répéter indéfiniment si » Cliquer la couleur, la souris devient pipette, cliquer un plot vert

Dans les instructions « Controle », ajouter « Quand drapeau pressé » sur notre bloc

Suggestions diverses : Créer un paddle vertical Transformer le jeu en casse-brique Ajouter une variable qui compte le nombre de rebonds et

augmente la vitesse. etc...

Continuer à la maison :Pour commencer doucement, prenez des exemples simples :dans Fichier/Ouvrir/Exemples/

Animation : Aquarium Games: Pong, FishChomp, Marble Racer Interacive Art: Kaleidoscope, WHEE (variables) Music and Dance: Ocean Music Box Names : tamara Simulations : SoundGraph

NOTE: la section Sensors & Motors : ces programmes utilisent une carte externe (http://www.picocricket.com/picoboard.html)Télécharger d’autres exemples :http://scratch.mit.edu/ ou http://scratch.mit.edu/studios/211854/Choisir un projet, cliquer « Voir à l’interieur ». Dans la fenêtre de l’éditeur, menu Fichier/Télécharger dans votre ordinateur.On le convertit un fichier. sb2 pour Scratch2. en fichier. sb pour Scratch 1.4 en allant sur : http://kurt.herokuapp.com/20to14

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Cours 5 : En avant la musique !

Avant MAO grand lieder :

Physiologie et historique   : Physiologie : Le son est une onde de pression, définie par sa frequence (hauteur), son intensité (volume), et son timbre. L’oreille humaine entend les frequences de 20 Hz (grave) à 20 000 Hz (aigüs). Par comparaison, l’œil ne travaille qu’à 24 Hz (24 images/secondes). Le volume de la voix parlée est de 20db, très fort à 60 db (cour de récré, cantine scolaire), destructeur à partir de 100db (marteau piqueur). La perception des aigüs disparait en premier. La voix en français est autour de 2000 Hz. La musique joue essentiellement entre 50 Hz à 10 000 Hz. La perception est « logarithmique » : on ressent la même difference de hauteur entre 100 Hz et 200 Hz qu’entre 1000 Hz et 2000 Hz.Le timbre est le son de l’instrument. La musque classique et ses partitions décrivent rythme, mélodie et harmonie pour chaque instrument.Précurseurs : Le micro existait depuis longtemps ; la musique s’est electrifiée pour de bon dans les années 60 (guitare et orgue, Hendrix, les Doors, Dylan qui passe du folk au rock...). Des bricolages electroniques permettent déjà de modifier le timbre des instruments : les pédales d’effets (Reverb, Wah-Wah, Distorsion, Flanger, Chorus)L’enregistremnet sur bandes permet des manipulations inédites : playback, copie et montage pour des créations de toute pièce (Pierre Henry : messe pour le temps présent), Mélotron (clavier où chaque touche joue une courte bande magnétique en boucle. C’est l’ancêtre analogique du sampler), Laurie Anderson et son archet à bande magnétique sur violon à tête de lecture. Une nouvelle dimension musicale est ouverte : le timbre (qui jusque là dépendait de la forme materielle) On peut générer

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n’importe quel son avec des circuits electroniques analogiques : les synthétiseurs (Pink Floyd, Tangerine Dream, KraftWerk). On distingue la synthèse additive (on combine des ondes pures) et soustractive (on filtre les frequences d’un bruit jusqu’à ne laisser qu’un son musical — voir le film Phantom of the Paradise de Brian de Palma). Les premiers ordinateurs tournent à moins de 10 000 Hz, assez pour créer des images, mais pas assez pour créer le son en temps réel. Par contre, ils peuvent idéalement manier les contacts d’un synthétiseur, enregistrer les sequences et les reproduire. Le son est généré à chaque fois, là où une bande magnétique aurait perdu à chaque copie. On peut en plus éditer et réecrire les séquences dsans ciseaux : le concept de séquenceur est né. Paralèllement apparaissaient les premiers samplers : machines où les sons étaient enregistrés numériquement, plus immédiats à rejouer que sur des bandes magnétiques.

Il est MIDI docteur chouettes airs   : La situation est devenue intextricable : des claviers, des synthétiseurs, des sequenceurs, il fallait être electronicien ET musicien pour relier les uns aux autres. Constructeurs et musiciens se sont réunis pour inventer la norme MIDI.MIDI définit typiquement la liaison entre un clavier et un synthétiseur : — les prises (3 prises IN, OUT, TRHU au format DIN 5broches,)— un envoi des messages par bits en serie (et non par octets) — un fonctionnement en temps réél à une vitesse fixe— Structure logique en reseau (efficacité) dans une structure physique en chaîne (simplicité) par l’invention du Canal virtuel : un clavier peut envoyer un message à chacun des synthés d’une chaine de 16 (maximum). Les messages transitent le long de la chaîne par la prise THRU, chaque synthé récupère le message qui lui est destiné.— la definition et le codage des évennements MIDI : hauteur et force de la note (appellés tonalité et vélocité. Chaque note reçoit un

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numero, comme les lettres dans un traitement de texte), De même les instrument (piano, violon...), les effet (vibrato, tremolo...), le numero de canal MIDI.— Important : la norme MIDI reste ouverte : elle laisse de la place pour d’autres messages, « libres », « exclusifs » à la disposition des constructeurs pour des évolutions futures.

Sur les ordinateurs, après les générateurs de sons simples (genre bip des premiers jeux video) apparaissent des puces DSP pour manipuler le son en temps réel, et des « cartes son » contenant des banques d’échantillons de sons pour chaque instrument MIDI. (typiquement la SoundBlaster 16 sur PC)

De leur côté les hackers créent des TRAKER : sequenceurs d’échantillons qui tournent sur des machines sans extension en exploitant à fond le processeur et ses circuits annexes. Ils servaient à créer de la musique de jeux avec un minimum de place et un maximum d’effets.Puis les processeurs deviennet suffisament rapides pour générer du son en temps réel : des synthétiseurs entièrement logiciels font leur apparition. L’IRCAM (Pierre BOULEZ) promeut la recherche en musique et crée des logiciels libres. On mélange en temps réel des échantillons de sons de source differentes : Vocoder...

Alors que les musiciens professionels doivent dépenser des fortunes pour leurs samplers et leur séquenceur professionel (Cubase) pour alligner des evennement MIDI comme des notes sur une portée, les Trakkers ont donné naissance aux logiciels e-jay (PC) et Music 2000 (Playstation) Music Maker Jam (Android) qui présentet la création musicale comme un jeu de copier-coller de « boucles » toute faites (courte sequence) sur des pistes paralèlles.

Actuellement les prises sont USB, les sequenceurs sont devenus des DAW (Digital Audio Workstation) qui supportent les intruments MIDI, les boucles d’échantillons, les claviers MIDI.

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Mais aussi des synthétiseurs logiciels et des pédales d’effet logicielles sous forme de plug-in. Il y a malheureusement trois sortes de format pour les plug-in : VST (PC) AudioUnit(Mac) et LADSAP(Linux) avec des moyens pas toujours simples d’utiliser les trois.

Les objectifs de MAO :— Utiliser des instruments numériques en temps réel, pour profiter des possibilités de timbre, d’effets, de superpositions.— Composer des morceaux sur un séquenceur, avec la possibilité de les retravailler et de les peaufiner.— Improviser des sequences avec des musiques existantes, genre DJ— Raccorder autre chose que des claviers au MIDI : micros, saxophone, guitares. Un processeur analyse le son et le traduit en évennements MIDI (mais le MIDI a parfois du mal à suivre les nuances trop rapides). On peut souffler dans un violon ou chanter de l’orgue.— Générateurs de musique automatiques (genre ascenseur ou supermarché), correction de la tonalité pour chanter juste (Melodyne)

La MAO sans se ruiner   : Instrument MIDI : le clavier de l’ordinateur est bien pour éditer et écrire, mais un clavier MIDI qui prend en compte la force d’appuis (vélocité) permet de jouer directement. En 25 touches (suffisant pour un synthé) vaut entre 50 et 100 euros. Souvent livrés gratuitement avec un logiciel qui vaut le même prix ! Un micro externe est indispensable si on veut jouer de la voix. Les autres instruments MIDI sont chers. Sortie son : Les HP des portable sont insuffisants. Un casque même simple vaut mieux (et il évite le Larsen et les voisins). On peut aussi brancher la sortie de l’ordi sur l’entrée d’une chaine, ou même utiliser des enceintes de PC pas trop petites.

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Logiciels ne nécessitant aucune connaissance musicale :PC : e-jay Playstation : Music, Music2000 Android : Music Maker Jam (gratuit mais des incitations à acheter)Mac : Garage Band (à peine plus complexe départ)

Initiation au MIDI :MidiKey+MidiSynth (Mac) Pianos Midi (Mac et PC, fichiers midi demos incorporées)

Logiciels gratuits de qualité :LMMS (equivalent de Garage Band, Logic, Cubase, Ableton ...)Ardour (nécessite d’installer Jack sur Mac (*)LNX (Mac seulement)Hydrogen (sequenceur plutôt percussions)Synthétiseur seul : ZynadsubFx (nécessite d’installer Jack sur Mac)

Jack est un « routeur MIDI et son » du monde Linux. Il propose de tirer des cables virtuels entre differentes entrées et sorties de logiciels MIDI et son.Adresse de logiciels musicaux pour mac :http://www.macmusic.org/software/?lang=fr

LOGICIELS:ZynAddSubFx, Hydrogen, LMMS(1)

Quand MAO rit

Le synthétiseur ZynAddSubFxOn le trouve là : http://sourceforge.net/projects/zynaddsubfx/files/zynaddsubfx/

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Sur Linux, on doit passer par le routeur MIDI/Audio Jack (cf plus bas) pour avoir du son. (*)(Sur Mac, on devait aussi mais la dernière version de Zynaddsubfx pour OSX 10.11 marche maintenant sans besoin de Jack OSX)

Il est remarquable par la qualité des sons qu’il génère : comme pour les sons naturels, le spectre évolue au cours du son, et chaque son a une partie aléatoire.

Le principe : — ADSynth fait la somme d’oscillateurs avec chacun leur enveloppe (synthèse Additive)— SUBsynth part d’un bruit blanc et de filtres — Les deux sont mixés et donnent la note (« Part »)Les effets sont appliqués à la sortie.

Interface utilisateur :— Les cases bleues C et P un peu partout sont pour faire des Copy et Paste(insere)

Trois niveaux de paramètres :— Master settings : effets, instruments— Instruments : dans chaque instrument on règle ADnote et SUBnote— Scale : réglages des tonalités plus finement que par demi-ton

Enveloppe :Misc/Switch User Interface/ case Edit Instrument/ADSynth case Edit case Amplitude Par les boutons classique : Attack Decay Sustain Release

visu graphique : lettre E de CPECocher FreeMode pour éditer sur la vue graphique. Stretch allonge l’enveloppe pour les gravesEn FreeMode, on déplace, ajoute ou enlève des points.

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Sust règle le point de Susiain (0 : sans)L : lineaire, sinon on est en logarithmique (en décibels) frcR : force à sauter au point release dès que la touche est relachée,

au lieu de suivre la courbe.Filtre (formant) : pour faire des voyelles (trop long à détailler) Interface MIDI : 15 principaux CC sont reconnus, et il y a des CC spéciaux (NRPN) en plus

Le sequenceur HydrogèneHydrogen se trouve là : http://www.hydrogen-music.org/hcms/node/21 C’est une « Boite à rythme » avec tous les composants d’un DAW, en moins compliqué. Le principe date des Trakkers : — on compose des « Patterns » (« motif »), briques qui durent 8 temps— on compose des « Songs » en posant les « patterns » sur des pistes (comme sur les pistes d’un magnétophone)

Ouvrir Projet/Demo/GMkit_JazzESPACE lance/pause, les autres touches font des sons (clavier QWERTY...)En plus de la fenêtre principale, on a (accès par boutons en haut à droite, ou menus :)— Outil/Table de mixage : contrôle du volume de chaque piste (Joue/Mute/Solo) et 4 boutons, pour définir quelle quantité du son de l’instrument passe dans chaque effet (=plugin)avec en bout de table : les effets et leur dosage, et enfin le volume général (« humanize » apporte des irrégulatités !)— Outil/Instrument si on veut modifier le timbre d’un instrument

Fenêtre principale : Barre du haut :

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— Mode Pattern/Song selon ce qu’on veut créer.— Boutons « magnetoscope » pour retour/lire/enregistrer/pause-reprise/stop/avant/boucle (pour song ou pattern)— Indicateur de rythme, Capteur de rythme : barre BC et/ou touche « ?, » tapée 4 temps— CPU indique la charge pour le processeur (le son se détériore si on deborde)— MIDI clignote en cas de message MIDI. Mais il faut configurer MIDI : Outils/Preferences/Midi : Pilote MIDI : Core MIDI sur Mac, ALSA sur Linux, Jack (à installer) sur PC ou LinuxOn reconnait le clavier MIDI, et on configure les boutons pour ce qu’on veut.

Fenêtre des pistes : Song editeur (éditeur de morceaux) : nom des pistes de chaque pattern devant les pistesmenu : effacer, ajouter, monter/descendre dans la liste, copier, mode dessin, et motif qu’on entend quand on joue (Espace) (motif selectionné seul, ou motif actif sur la même ligne, graduée, clic molette permet d’ajouter des messages brefs (genre post-it) pour « deboguer » en mode Outil/ConducteurClic droit sur un nom permet de faire un « Virtual pattern » qui regroupe plusieurs pattern pour les copier/coller

Fenêtre des motifs : pattern editorComposition « Live » : bouton record (en pause)+bouton play et taper les touches Composition ecrite : Un instrument par ligne.

Carré vert:solo rouge : mute (= sauf cette ligne) Affichage : clic haut droite pour le mode Batterie/Piano— Batterie (boite à rythme classique :) un point par instrument, vélocité (force) en bas (point noir à gris)

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Mais ce peut être Pan (stéréo droite/gauche) ou « Trainée » (= décalage temporel= humanise…) ou Note (blanche/noires) comme pour le mode ci-dessous.— Piano : fenêtre entière pour l’instrument sélectionné, on choisit la hauteur du sonEcriture rapide : clic droit sur le nomL’ordre des pistes de haut en bas est celui des touches clavier :Blanches= WXCVBN ? (= Shift+", ») AZ, Noires=SDGHJ23Et l’ordre des touches d’un clavier MIDI, de gauche à droiteOn peut définir la durée d’un son (plutôt instrument que percu) : menu de fenêtre motif : « note length » en « tirant » le point, ou « note end » : en clic droit sur la fin

Le DAW LMMS (détaillé au cours suivant)LMMS se trouve là : https://lmms.io/Il ressemble beaucoup à Garage Band, ou à Fruity Loops. Il accepte les Plugins VST et LADSPA, le MIDI, les SamplesDans tous les DAW, la touche ESPACE arrête/relance la lecture.Conseil : brancher le materiel (clavier, hauts-parleurs…) AVANT de lancer les logicielsLe materiel sera reconnu par les logiciels au demarrage au lieu de chercher les préférences…Icones des marges:Demo : marge gauche, cliquer « l’écouteur » (Mes projets)En haut à gauche : les icônes pour sauver/charger les fichiersDessous : les icônes pour ouvrir les fenêtresmarge gauche : les bibliothèques de samples, instruments, morceaux...

Editeur de Morceau4 icônes de commandes de lecture, 3 icônes type de piste à ajouter, crayon, copie, modes de lecturel’icône >< permet de délimiter la zone à lire en boucle :

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curseurs verts (Clic droit pour draguer la fin, Shift+clic droit pour draguer le début)

Piste Instrument : marge de gauche, cliquer l’étoile/TripleOscillator/Xylophone.xpf et le draguer dans les pistes (Editeur de morceau) (pour une percu, on l’aurait draguée dans l’Editeur de rythme et de ligne de basse)

— écrire la piste Xylophone : Double-clic sur la première ces de la piste Xylo pour l’ouvrir comme piano-roll. clic gauche écrit, clic droit efface. Raccourcir la note (draguer le bout), ou la bouger, et écrire les autresLa durée des suivantes est celle de la dernière écrite, réglée dans le menu de la fenêtre, icône « note »La place est « quantifiée » pour tomber dans le bon tempo : un grand carreau=1 temps, un petit=1/16e (menu Q pour modifier la place où peut « tomber » la note)En bas, on règle le volume de chaque note par les tiges vertes (ou la postion stereo : Pano cliquer le mot Volume)

— Se relire : cliquer la barre des temps pour y imposer le curseur de lecture et ESPACE lit/pause— Répéter une sequence : copier-coller. Deux manières Cmd(CTL sur PC) + Shift sur les notes à sélectionner, CMD(CTL)+C, placer le curseur de lecture, CMD(CTL)+V fait une copie à la même hauteur. (CMD[CTL]+A copie tout, CMD[CTL]+X coupe tout, CMD[CTL]+Z annule)

Pomme (CTL sur PC) + draguer un cadre autour de la zone à copier, sfift+draguer une des notes prend le paquet, fait une copie à à l’endroit où on veut, même plus haut— Copier-coller au niveau Piste (difference Pattern/Song)Fermer le Piano-roll. Le motif apparait « condensé » en vert. Clic+CMD(CTL) pour le copier (même superposé)

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Ou clic droit dessus pour avoir toutes les possibilités

Piste Rythme : Editeur de morceau : ajouter une piste de rythme (icône tablette en haut de la fenêtre) marge de gauche, cliquer la note, ouvrir drums, cliquer pour entendre, Double-clic kick, hihat_closed, hihat_open et Snare pour les envoyer dans l’Editeur de rythme et de ligne de basseEcrire un rythme (ENTER lit/pause, cilc ajoute/efface)

Piste Automation : Principe : créer la piste et y draguer un bouton de l’interface, puis éditer la variation du botonExemple : créer une piste instrument prérégage/Triple Oscillateur/JupiterOuvrir la première case en piano-roll et tirer une note sur 4 temps et fermer le piano rollCliquer la première case automation pour créer une piste et l’étendre sur la même duréeCliquer « Jupiter » sur la piste Jupiter pour ouvrit la fenêtre de l’instrumentDraguer onglet ENV/LFO : RESO par Clic+CMD(CTL) vers la piste AutomationDouble cliquer la piste Automation, choisir le mode de dessin (courbe cubique…) et tracer la variation

--------------------------------------------------------------------------------- (*) ZynAddSubFx necessite Jack sur Mac:Jack se charge ici : http://jackaudio.org/downloads/

dans OSX Jack2 Binaries Mixed 64/32La première fois, vérifier si Jack contrôle aussi MIDI :Lancer Jack Pilot mais ne pas encore démarrer JackMenu Preferences, Cocher Activer Midi, SaveÀ chaque fois :Lancer Jack PilotCliquer Démarrer (Jack est lancé)Lancer ZynAddSubFx

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Cliquer Routage (la fenêtre des connexions s’ouvre). Dans cette fenêtre, pour relier deux éléments,1 clic sur l’émetteur dans la colonne de gauche et 2 clics sur le récepteur colonne de droite (il devient rouge quand c’est fait).

Exemple :On veut que le son de Zynadd sorte par la sortie son du Mac :

1 clic Zynaddsubfx à G, 2 clics System à DtOn veut que le MIDI du Mac aille dans Zynadd

1 clic system_midi à G, 2 clics Zynaddsubfx à Dt

La première fois, si dans ZynnAdd Menu Instruments/Show Instrument Bank les instruments n’apparaissent pas :Il faut indiquer à ZynAdd où les trouver: Dans Zynadd,Menu File/Settings/onglet Bank root dirs, Add root directorypuis naviguer (.. /pour remonter d’un niveau) jusqu’àZynAddSubFx.app/Contents/Resources/banks/ (ouvrir) et OKFermer la fenêtre ZynAddSubFx Settings.

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Cours 6 : LMMS Digital Audio Workstation

1— Introduction   : LMMS est un DAW (Digital Audio Workstation) du monde libre. Il se trouve là : https://lmms.io/Il ressemble beaucoup à Garage Band (Mac), ou à Fruity Loops (PC). Les DAW sont des logiciels de composition et d’écriture plutôt que d’improvisation. On y écrit sur des pistes qui figurent celles d’un magnétophone (un instrument par piste). On pose sur une piste soit des samples (« boucles »), soit des « partitions » MIDI. L’écriture se fait à la souris, ou à partir de pistes déjà enregistrées, ou en direct pendant que les autres pistes jouent.On peut bien sûr enregistrer en direct à partir d’instruments électroacoustiques (micro, guitare électrique), ou d’instruments MIDI (clavier en général, ou Imitone...) Les instruments dont on dispose pour les pistes MIDI sont soit des instruments MIDI standards, soit des synthétiseurs (virtuels) comme Zynaddsubfx.Le son produit par chaque piste peut être modifié à l’aide d’« effets » (echo, reverbération, distorsion, flnager ...). Plusieurs synthétiseurs et effets sont inclus dans LMMS, mais on peut encore en rajouter, trouvés sur le net (payants ou gratuits) sous forme de plug-ins. LMMS accepte les Plugins VST et LADSPA. Traditionnellement, — On compose pour chaque instrument de courtes séquences de 64 mesures, les « Patterns »— On dispose artistiquement ces patterns sur les pistes pour composer une œuvre complète, le « Song », certains patterne faisant refrain et d’autres couplet, par exemple.

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Demarrage :Dans tous les DAW, touche ESPACE arrête/relance la lecture. (F5 puis ESPACE est plus sûr ici)Conseil : brancher le matériel (clavier, haut-parleurs…) AVANT de lancer les logicielsLe matériel sera reconnu par les logiciels au démarrage au lieu de chercher les préférences…Démo : marge gauche, cliquer « l’écouteur » (Mes projets) et en double-cliquer un. Espace lit.Commencer par Projet/Enregister et donner un nom, même si le projet n’est pas encore écrit.Ça simplifie les choses pour la suite. Cela rée un dossier où LMMS mettra tout ce qu’on crée.

2— Anatomie   : En haut à gauche : les icônes pour sauver/charger les fichiersDessous : les icônes pour ouvrir les éditeurs (touches F5 F6 F7 F8 F9 F10)Marge gauche : les bibliothèques — de plugin d’instruments (à glisser pour/sur une piste d’instrument) — de projets (morceaux de musique complets) double-cliquer pour charger— d’échantillons samples, instruments, morceaux... à glisser sur une piste d’échantillon Laisser cliqué sur un échantillon pour l’entendre et choisir avant de le poser sur une piste.— de préréglages d’instruments à glisser sur une piste d’instruments Laisser cliqué sur un préréglage pour l’entendre et choisir avant de le poser sur une piste.— un navigateur de fichier— un navigateur de volumes (=disques, partitions)

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Piste : (les fonctions d’édition, copie sur piste etc... seront détaillées plus bas)Chaque piste est faite d’une zone de commande à gauche, et d’une succession infinie de cases à droite. Chaque case dure 16 notes minimales. Les cases sont légèrement grisées, par groupe de 4.On double-clique sur une case pour éditer les temps à partir de celui-là, pour l’instrument de la piste, dans le « piano virtuel » pour une piste d’instrument, ou dans l’« Éditeur de ligne de basse » pour un Pattern de taille fixe. Clic droit sur la case pour colorer, lui mettre un nom etc...La zone de commande de chaque piste comporte 2 « diodes » Mute et Solo, un bouton de volume de base pour cette piste, et parfois de position stéréo (pan). La roue dentée donne les fonctions copier coller supprimer pour la piste, ainsi que le choix de la relier au MIDI pour jouer en direct.La case centrale indique le nom de l’instrument. On peut y draguer un preset (marge gauche, étoile) pour changer d’instrument. (Double) clic dessus pour ouvrir son nom et ses réglagesTypes de piste : Pour LMMS, il y a trois types de pistes :— Piste d’échantillons (où on pose des échantillons pris dans la marge « note de musique »)— Piste d’instruments (créée en glissant un preset ou un plug-in dans l’Éditeur de morceau)— Piste de rythme ou ligne de basse : pour créer par Patterns de plusieurs instruments— Piste d’automation : elle fait bouger le bouton d’un instrument pendant qu’il joue.

3-a-Utilisation normale de la piste Echantillon   : — Créer une piste d’échantillon, simple cliquer la première case.— Ouvrir dans la marge (Note) Mes échantillons/latin et draguer latin_guitar02 sur la caseJouer des échantillons comme de notes :

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— Ouvrir la marge (Note) Mes échantillons/misc et draguer breath01 sur l’Éditeur de morceau— Double-cliquer une case pour avoir le piano-roll et cliquer les notes vouluesOn remarque que joué en aigu l’échantillon dure moins longtemps qu’en grave

3-b-Exemple d’utilisation de la piste de Rythme   : — Créer une piste de rythme, double-cliquer la première case l’ouvre dans l’Éditeur de rythme.— Ouvrir dans la marge (Note) Mes échantillons/drums/et double-cliquer successivement sur kick01, hihat_closed01, hihat_open et snare01 (utiliser la roue dentée en cas d’erreur)— Écrire un rythme (ENTER lit/pause, clic ajoute/efface)— On peut ême ajouter des pistes d’instruments dans l’Éditeur de rythme, et les éditer au piano-roll, où il faudra se limiter au premier grand carreau (la taille de la case dans l’Éditeur de rythme)

3-c-Exemple d’utilisation de la piste automation   : — Créer une piste instrument (ou y mettre) préréglage/Triple Oscillateur/Jupiter Double-cliquer la première case en piano-roll, tirer une note sur 4 temps et fermer le piano roll— Créer une piste automation Cliquer la première case dans l’éditeur de morceau et tirer une note de même durée (4 temps) — Cliquer « Jupiter » sur la piste Jupiter pour avoir l’instrument— Onglet ENV/LFO, faire CTL+Clic (Cmd+Clic sur Mac) sur le bouton « RESO » en bas Garder tout enfoncé pour le glisser sur la piste Automation— Refermer tout sauf l’éditeur de morceau, pour y voir clair. Double cliquer la piste Automation, choisir le mode de dessin (courbe cubique…) et tracer la variation en marche d’escalier.

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— Espace pour écouter.Note : le bouton mis en automation peut être celui d’un effet du Mélangeur d’effet (F9)

3-d-Automation par LFO du Rack d’effets   : (F10) Il s’agit (aussi) de faire tourner un bouton par un robot LFO. — Ajouter un LFO, ouvrir ses contrôles : forme d’onde, niveau de départ (BASE), fréquence, amplitude, phase, et cases pour multiples/diviser.— Dans l’Éditeur de Morceau cliquer le nom de l’instrument pour l’ouvrir. Clic droit sur un bouton (volume par exemple) et « Connecter le contrôleur » On peut aussi connecter le curseur vert au-dessus du piano (tonalité) Allumer la diode « Controleur utilisateur » et OK. On voit le bouton bouger quand on joue.Dans le Rack, jouer avec les contrôles du LFO : formes d’onde, boutons de fréquence, amplitude

3-e- Automation par Peak Controller et Rack d’effets   : (F10) Il s’agit de faire tourner un bouton par le volume d’un instrument (en général une percussion)— Dans l’Éditeur de Morceau ou de Rythme cliquer le nom d’une percussion qui commandera Onglet EFFETS, Ajouter Peak Controler (contrôleur de crêtes) Le contrôleur de crête apparait en même temps dans le Rack d’effets (F10)— Dans l’Éditeur de Morceau cliquer le nom de l’instrument pour l’ouvrir. Clic droit sur un bouton (volume par exemple) et « Connecter le contrôleur »

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Allumer la diode « Controleur utilisateur » et OK. On voit le bouton bouger quand on joue.Le bouton « Contrôles » du Contrôleur de crêtes dans le Rack est inactif. Pour régler l’influence du Peak Controler, il faut retrouver le nom de la Percussion et l’ouvrirOnglet effet, et cliquer le « Contrôles » de l’effet Peak Controler.

4— MIDI   : — Sur Mac, LMMS n’est utilisable avec un clavier MIDI que depuis OS X 10.8 et 10.11 (Versions betas de LMMS). Pour utiliser un clavier MIDI :Configuration :— Brancher et allumer le clavier avant de lancer LMMS, plutôt.— Menu LMMS/Préferences/(clavier) MIDI, et dérouler Interface MIDI sur AppleMIDI— Relancer LMMS pour que la configuration soit effectiveUtilisation du clavier :— Ouvrir l’éditeur de Rythme et de ligne de basse (icône tablette de chocolat, 2e ligne)— Draguer depuis la marge gauche (note) Mes échantillons/Instruments/piano01.oggSur l’éditeur de Rythme, ce qui y ouvre une piste piano01.ogg— Cliquer la roue dentée de la piste, MIDI/Entrée et choisir le clavierUtilisation des boutons :Clic droit sur un bouton, Connecter le contrôleur, bouger le vrai bouton, OK (Décocher auto detect et définir à la main canal et CC et draguant dans leur case) On peut donner le même bouton réel à plusieurs boutons graphiques.Trouver des echantillons : Sur Mac, on trouve les samples dans : LMMS.app/share/lmms/samplesEt des échantillons utilisés par GarageBand dans Bibliothèque/ApplicationSupport/GarageBand/Instrument Library/Sampler

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GarageBand utilise surtout des boucles (samples en plus évolués) au format. caf (dans Bibliothèque/Audio/Apple Loops/Apple/Apple Loops for GarageBand)

5— Édition dans l’Éditeur de Morceau— Ligne d’icônes : 4 de lecture, 3 de piste à ajouter, crayon et copie, 3 modes de lecture, zoom— Ligne du curseur de lecture et de la zone à boucle— Pistes luesDélimiter la zone à lire en boucle :— Ligne d’icônes : Mettre >< en vert pour délimiter la zone à lire en boucle : — Ligne du curseur : placer les curseurs verts (Clic droit : la fin, Shift+clic droit : le début) Modifier les boucles : sur les pistes on drague les boucles, clic droit pour les modifier

6— Édition par notes dans le Piano-Roll   : Exemple : — Créer une piste instrument (ou y mettre) préréglage/Triple Oscillateur/Xylophone.— Double-clic sur la première case de la piste Xylo pour l’ouvrir comme piano-roll.

Hauteur :Ecrire en direct : à défaut de clavier MIDI, on peut se servir du clavier de l’ordinateur pour jouer(rond rouge enregistre en solo, rond+triangle avec les autres pistes qui jouent. cf illustration)Sinon on écrit, en tout cas on corrige, à la souris.— Clic gauche écrit, droit efface. Draguer pour la bouger. Raccourcir la note : draguer le bout.— Sélection multiple : Shift+S pour marquer comme sélectionné, Shift+D pour revenir en crayon

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— (Cmd sur Mac) Ctl+draguer un cadre autour de la zone à copier Draguer une des notes déplace le paquet, Shift+draguer déplace une copie du paquet où on veut — Habituels : (Cmd sur Mac) Ctl+C X V pour les copier couper coller ce qui est sélectionné mais la copie se fait au début de la piste, ce qui a peu d’intérêt Ecrire un vibrato : on change la hauteur d’une seule note pendant qu’elle joue avec le pointeur « courbe » (Shift+T) qui fait apparaître un éditeur d’automation. On y dessine la courbe (sur autant de petits carreaux que dure la note, le reste sera ignoré). La ligne apparaîtra sur la note du piano.

Harmonie :— Guide d’écriture : dérouler l’icône « marches d’escalier » et choisir sa gamme. Clic droit sur le piano « Cocher la gamme courante » surligne les lignes de notes en harmonie— Accord : dérouler l’icône « briques vertes » et choisir son accord puis écrire la note basse

Durée et Tempo :— La durée des notes est par défaut celle de la dernière écrite, mais on peut la régler dans le menu de la fenêtre (icône « note ») sur croche, blanche...— Une case de l’éditeur de morceau est un grand carreau dans le piano-roll— Un grand carreau du piano-roll est divisé en 16 temps (de durée minimale)L’écriture est « quantifiée » pour tomber dans le bon tempo : la note écrite tombe sur un petit carreau:1/16. Mais on peut régler plus « large » avec le menu Q

Volume/Panoramique :— En bas, on règle le volume de chaque note par les tiges vertes

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- Ou la postion stereo : cliquer le mot Volume pour passer en contrôle de Panoramique

Note : LFO courbe AttackDecaySustainRelease Effet : Wet (sans) Dry (avec)Le nombre de case du pianoroll est déterminé par « SIGN RYTHM » en haut

7— Effets   : Le son de chaque instrument peut être modifié par des Effets (écho, distorsion, flanger etc...)— Double-cliquer le nom de l’instrument sur la piste pour ouvrir sa fenêtre, cliquer l’onglet EffetCet effet sera inclus dans l’instrument, et dans un « preset » si on le sauve

Les canaux d’effets : Mélangeur d’effets (F9) :Canal 0 : Toutes les pistes envoient leur son vers le canal 0 « Général » du Mélangeur.Sa colonne a un curseur de volume. Quand on sélectionne une colonne, les effets qui agissent sur le canal sont listés dans la fenêtre de droite. — Exemple : ajouter LADSPA Calf Limiter LADSPA* Plate2x2 et Spectrum AnalyserOuvrir leurs contrôles. Lancer la musique. Cliquer les diodes vertes pour allumer/éteindre les effetsConstater que les effets sont en chaîne : Spectrum ne montre pas la même chose s’il est après Limiter ou s’il est avant. (clic droit pour changer l’ordre)Autres Canaux : Une piste peut envoyer en plus le son vers un autre canal d’effet que le General— Ajouter une colonne d’effet dans le Mélangeur en cliquant la colonne +

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— Double-cliquer le nom de l’instrument sur la piste pour ouvrir sa fenêtre,

draguer le chiffre de EFFETS pour indiquer la bonne colonne du Mélangeur

— Selectionner la nouvelle colonne pour afficher ses effets, y ajouter LADSPA Echo Delay Line (Maximum Delay 0,1 s) Ainsi un même canal peut recevoir plusieurs instrumentsArpeggio et Accords: — Créer une piste instrument (ou y mettre) préréglage/ZynaddsubFx/Collection/0112Softpiano1— Sur le synthé, onglet FONCTIONS allumer Arpège+Accord Chromatique Plage:minimumDirection : descendantJouer doucement sur le bouton Temps

Clavier musical

Le clavier de l’ordinateur permet d’écrire pour trois octaves, deux en haut, une en bas avec noires et blanches aux mêmes places.

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Cours 7 : La 3D en relief

Prologue :« Faire » de la 3D cumule plusieurs difficultés :— Le nombre de points à gérer, à 3 coordonées (en dessin, [GIMP, Photoshop], c’est le carré de la dimension, en volume, c’est le cube)— L’affichage d’un objet 3D sur un écran nécessite une projection :

— ce qui est devant doit masquer ce qui est derrière— les règles de la perspective (inventées à la Renaissance) modifient forme et taille des objets

— Si on veut en plus une représentation en volume on a :— Anaglyphes : lunettes rouge/vert, polarisée, ou à cache actif — casque VR— imprimante 3D— D’autres techniques :

— lenticulaire (réseau vertical en général)— hologramme vrai calculé et imprimé(et non projection sur un semi-miroir ou un tulle)— autostéreogramme (on louche sur une image répétée) — mouvement (*) (http://www.lenticulations.com/)

— La saisie et la manipulation des objets représentés à la souris.— Si on veut du réalisme, il faut gérer la perspective, les ombres, la transparence, les réflections, la brume, la structure (fractals), la texture (fourrures...), et en mouvement les collisions, les foules...(*) Note : la plupart des techniques se focalisent sur l’asymetrie de vue Dt/G. Entre 5 % et 30 % ne le perçoivet pas ou mal ainsi (d’où les difficultés à « lancer » la 3D commerciale...) Mais la perception du relief a d’autres voies. La perspective, le brouillard de distance, l’atténuation des couleurs.

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Une brève histoire de la 3D informatique

Avant l’informatique :Les stereoscopie est née avec la photo (on trouve toujours des lunettes à paysages touristiques) L’impression 3D date de 1860 : la photosculpture inventée en 1860 par François Willème peintre photographe et sculpteur français.

La CAO industrielle : Elle sert à créer de prototypes virtuels. Au début la représentation « fil de fer » sans perpective suffit. Certains ordinateurs analogiques experimentaux y arrivaient aussi. Plus tard (« 80) il faut des « stations » dédiées (Silion Graphics) avec des processeurs spécialisés pour faire des représentations plus réalistes avec des surfaces texturées simples, des éclairages et une vue en perspective : en archéologie, architecture. Actuellement, les professionels ont toujours de l’avance pour les périphériques de saisie (balayage laser), de manipulation, d’impression 3D, et evidement en puissance et rapidité de calcul.

Au cinema : Un premier film à utiliser des images de synthèse 3D est TRON de Walt Disney. Le héros est un informaticien hacker et créatif. Les contraintes (pas de fond, d’ombres ni de texture) guident l’esthétique fluorescente des scènes réelles. Plus tard c’est « Qui veut la peau de Roger Rabbit » qui fait la preuve de la maîtrise des éclairages et de la perpective : il y a continuité totale entre le dessin animé et le monde réel :Pixar, avec Toy’s Story, contourne les limitations de l’époque (la gestion des fourrures) avec des héros en plastique.Jurassic Park utilise la 3D réaliste, la gestion des troupeaux, sans plus de limite. (L’informaticien y est un traitre obèse et cupide.) Le seigneur des anneaux utilise aussi ces techniques.

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Les héros 3D à fourrure apparaissent (l’âge de glace)Avatar marque une étape de plus avec des personnages de 3D synthèse dans un film en 3D.

Dans les jeux videos :C’est le graal dès le début et tout est bon pour y arrriver malgrè l’absence de moyens. Le noir de l’espace se peuple de lignes, puis il y a la 3D « isométrique » (sans perspective) puis des volumes en surfaces géométriques monochromes et c’est l’ère des simulateurs de vols. D’un autre côté, Dongeon Master, puis Doom (premier « shoot'em up » en vue première personne) inventent la « fausse 3D » avec des plans extrudés et des surfaces texturées beaucoup plus simples à gérer. Les premiers fractales génèrent des paysages, le ray-tracing met des heures pour dessiner des boules hyper-réalistes, on cherche des rendus moins vrais mais plus rapides (Phong) les tenants des volumes mathématiques (nurbs) le disputent à ceux des maillages, (un peu comme dessin vectoriel et bitmap), les démos-makers font virevolter des volumes de plus en plus complexes et nombreux. La demande est telle que les coprocesseurs videos (juste chargés d’afficher des points de couleur sur un « écran) vont évoluer en véritables cartes graphiques avec leur propre RAM, leur propre processeur et leur propre ventilateur. Et leur langage de commandes spécialisées : OpenGL, DirectX. Actuellement les cartes graphiques doublent le prix et la consommation d’une machine, pour créer à la volée des univers animés réalistes, avec des techniques qui contournent le rendu raytracing hyperréaliste toujours trop long pour les animations en temps réel.

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Faire de la 3D sur ordinateurs individuel :

Materiel : — Une souris 3 boutons+molette est indispensable.— La conception peut se faire sans accessoires, mais pour des rendus qualité photo ou des animations, il vaut mieux avoir un ordinateur avec une vraie carte graphique. Sinon on peut planifier de faire les rendus pendant la nuit.— Les imprimantes 3D libres sont à des prix accessibles, mais les pièces obtenues ne sont pas très fines ni très dures. Comme pour les livres et les photos, on peut s’adresser à des prestatires sur le net. Ce sont les mêmes qui fournissent les prototypes industriels et leur gamme de matériaux et de finesse est incomparable. La 3D reste chère, mais braucoup moins que les fonderies de bronze.— La saisie 3D d’un volume se cherche encore des solutions fiables pour les amateurs (plateau tournant...)

Logiciels :— Les simulateurs de vol donnet une idée de la difficulté d’interaction avec une souris sur une représentation 3D.— Il y a très peu de logiciels simple pour aborder la création en 3DLe jeu SPORE est une exception : la création de machines et d’animaux y est ludique, au prix d’une palette de formes limitée.

Les logiciels 3D fonctionnent pratiquement tous en deux phases :1 — Manipulations interactive de formes simplifiée avec un « moteur 3D » (programme spécialisé en manipulations et rendu 3D rapide)2 — Rendu en photographique avec un « moteur de rendu ray-tracing » qui peut prendre beaucoup de temps

En pratique on trouve deux types de logiciels :

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— Les logiciels pour professionels de la 3D, difficiles à aborder mais capables de tout (avec beaucoup de temps et de pratique)Ils sont utilisés par exemple pour le cinéma : Blender (libre), LightWave, 3 DS, Z-Brush (hors de prix).— Des logiciels limités à un sujet : architecture, intérieur, paysage, humains, fractales... où on trouve des logiciels grand public.

Les formats de fichier 3D : Il en a beaucoup trop. Ils sont propres à certains logiciels (Max, 3 ds, dxf, lwo, oth, mb, 3dmf, gms, c4d, dwg, prj, pz3, pp2). Le 3ds est assez répendu. Il y a des formats spécialisés pour l’impression 3D (. stl). Mais le plus simple et reconnu partout est le format. obj(. obz quansd il est comprimé en zip). C’est une liste de coordonées de points, en texte. On doit s’accomagner d’autres fichers (. mtl et autres) pour avoir la texture et la qualité de reflection de la lumière.Les modèles dits « low poly » ont un nombre volontairement réduit de points, ce qui permet des manipulations rapides (videos 3D temps réel) et souvent une impression 3D possible.« Mesh » désigne un volume en 3D

Les noms et les adresses:

Fichiers OBJ libres (plusieurs milliers) :http://tf3dm.com/https://www.cgtrader.com/free-3d-models

Logiciels :

Convertisseur et modificateur de fichiers 3D :Meshlab (http://www.meshlab.net/) Architecture : — Intérieure : Sweet Home 3D http://www.sweethome3d.com/fr/download.jsp — Exterieure: Sketchup : http://www.sketchup.com/fr/download

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Paysages : http://www.pixelcreation.fr/3d-video/animation-3d-vfx/logiciels-de-creation-de-paysages/ — Terragen : simple et gratuit. http://planetside.co.uk/products/download-terragen-3 — ArtMatic Voyager : même genre en plus complet et payant — Bryce 5.5 gratuit mais Bryce 7 payant — Vue d’Esprit (version demo pas trop limitée) Personnages : — Quidam de N-Sided : Le meilleur, hélas disparu — DAZ 3D https://www.daz3d.com/get_studio Gratuit mais suppléments payants (principe de la poupée Barbie)— Make Human+Blender http://www.makehuman.org/download.php — Poser : http://my.smithmicro.com/poser-10.html Pro, cher, plus rendu que modelleur Note : remboursé sans discussion dans les 30 jours sur simple promesse de l’effacerAutres : — Groboto géometrie et fractal http://www.groboto.com/v3/ (simplifier avec Meshlab est indispensable avant impression 3D) — Bricksmith jeu de Lego virtuel http://bricksmith.sourceforge.net/ — MineCraft jeu de construction en 3D https://minecraft.net/

Impression 3D :

Même principe que pour les livres : On envoie le fichier ((UPLOAD), on choisit son materiau, on fait imprimer — En français et simple : http://www.sculpteo.com/fr/ — Moins cher, plus de materiaux, mais en anglais : http://www.shapeways.com/

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La boule à facettes avec Sculptris

Sculptris est un complément gratuit de ZBrush (cher). C’esy de la 3D sur treillis intuitive et artistique. C'est aussi une bonne introduction aux manipulations 3D à la souris et aux paramètres utilisés en 3D.Il reconnait et utilise la tablette graphique et la pression si on en a une. Il a son propre format, mais on peut y charger certains fichiers.obj (à structure simple. En cas d’erreur « too many connections to vertex (max 24) »). Pour simplifier un ;obj, on peut essayer d’utiliser Meshlab : Cluster/Remeshing... /Clustering Decimation, puis "Export Mesh As…" au format .obj

1— Premiers repères   : Didactique : activer le maillage (W)F1=Aide Manipulations de base :Clic Dt bouge la bouleClic G sculpte avec l’outil en cours (palette à gauche) +Shift : adoucis +ALT:inverse (CTL PC) Cmd+Z annule

Tableau de bord :— Palette à gaucheChaque item a un raccourci clavier— Paramètre de la brosse sélectionnée en haut

Touche espace pour l’avoir en menu conextuel— Le plus à droite : — MATERIAL : materiaux (dérouler)— PAINT : peindre sur l'objet (on ne peut plus modeler après)— OPTIONS : les Préferences, fond, brouillard, tablette graphique...— GoZ : pour exporter vers Z-Brush

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2— Palette   : — En bas, 6 icônes pour les fichiers :

Changer d’objet, charger, sauver, importer en OBJ (dossier models fournit des exemples).— En haut : 6 outils de modelage

et 3 de manipulation globale : rotation Z, translation, échelle

— Au centre : 6 icônes de redéfinition de la structure Symetrie (avec perte des asymetries si on enlève/remet)

WireFrame(fil de fer) permet de voir le maillage Reduce Brush : pinceau réduit le nombre de triangles Mask : pinceau augmente le nombre de triangles Subdivive All divise TOUTE la surface en plus petit Reduce Selected réduit le nombre de triangles dans les zones dessinées seulement

3— Parametres de la brosse   : — coche Invert (K)

inverse le relief de la brosse (creux/bosse)— Detail (Q) règle le maillage (lâche/serré)— Brush coche Clay(D) Soft(S)

le relief remplit les trous aussi (sinon bosse simple)— Coches Size et Strength si on a une tablette graphique pour l’action de la pression

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La 3D carrée avec SKetch

Presentation   : Sketchup est un logiciel de dessin 3D vectoriel assisté par ordinateur. Il cherche la rapidité et la simplicité, avant le réalisme ou le détail. Il est idéal pour les modèles d’objets architecturaux ou mécaniques, de la conception à la présentation animée, texturée et ombrée simple. L’ordinateur anticipe les points remarquables, les faces à fermer etc... La roulette de souris fait zoom.Chaque outil a des fonctions multiples suivant la touche associées.— Passer par Preferences/Extension pour ajouter certains outils (dont « bac à sable) — Passer par Affichage/Personaliser la barre d’outil » et ajouter les vues standard.

Affichage   : Tout est à base de lignes droites, arêtes, faces, qu’on crée, tire, extrude, tourne, grossit. Les outils sont groupés selon qu’ils servent à désigner, dessiner, modifier, poser des repères, ou visualiser. L’outil orbite (1er du groupe du bas) permet d’incliner le plan de dessin pour le voir en 3 D. (par défaut, on voit le monde d’en haut, comme sur un plan d’architecte)Le « moteur d’inférence » anticipe les points remarquables et affiche ses repères quand on trace.Shift le force à garder actif le dernier repère qu’il a trouvé.

Outils   : — Selection: Shift ajoute/enlève, Shift+alt enlèveTriple clic sélectionne tout ce qui est connecté DoubleClic sélectionne ajoute seulement en contact immédiat.

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— Gomme : Avec alt, adoucit les angles (Shift+alt les remet) Shift masque l’arête, pas la surface. Une surface à bord arondis sera repeinte d’un coup et pas en deux faces— Crayon : Forme automatiquement des surfaces, des coupures de lignes. On tape les coordonées absolues : Longueur [1 m ; 4 m ; 3,5 m] ou relatives : Longueur <1 m ; 4 m ; 3,5 m>ClicDt permet une division en segments réguliers— Arc : taper longueur de corde, renflement, ou rayon r, et nombre de segments — Main levé : dans un seul plan. Shift : polyline, sans surface, fragmentable par clicDt— Polygone : à 3 côté il n’est pas traité comme un triangle : ses côtés ne peuvent être traités séparément.— Cercle : Shift garde l’orientation proposée au départ, quand on change de plan— Deplacement: Permet aussi les étirements et pliages quand il concerne une arête. Alt copie. Copies régulièrement espacées : select, Alt+deplace, et taper Longueur 6/pour 6 copies depuis le départ, ou 6x pour 6 copies au-delà de la position actuelle.— Rotation : Shift garde l’orientation du plan en cours. Placer le centre, puis le départ, et la fin.Préférences pour avoir des incréments discrets. Alt copie. Finir par Angle:3x pour 3 copies.Ou Angle : 6/pour 6 copies depuis le départ, Ou l’angle sous forme pente Angle : 8 h 12Pour plier un coin le long d’une ligne, draguer le rapporteur le long de la ligne.— Mise à l’échelle : fait le symétrique si on passe sous le zéro.— Extruder : tirer-pousser. Double-clic ensuite sur une autre face répète la transformation automatiquement. Aprés extrusion, recommencer la même face avec Alt crée une nouvelle couche. Pomme étire en restant orthogonal.

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— Suivez-moi : extrude une surface perpendiculaire à une ligne (suit une arête ou un cercle) On désigne la surface, puis on suit la ligne avec le carré rouge de l’outil. Ou on dessine la face, on sélectionne sa trajectoire, on clique l’outil puis la face. Cela permet de raboter un volume selon un profil dessiné sur une face, ou, avec Alt, de boucler un couvercle de volume.— Concentrique : reproduit en plus petit une face sur une face, ou des bords contigüs sur une face. Double-clic ensuite sur une autre face lui fait la même chose.— Peindre : Les matières sont disponibles directement dans la palette de couleurs habituelle. Alt repeint toutes les faces adjacentes. Shift remplace une matière par un autre dans TOUT le decors. Alt+Shift ne peint que les voisins immediats. Pomme fait la pipette de matières. ClicDt donne accès au menu Texture avec quatre « punaises » colorées, qu’on clique pour déplacer, et qu’on drague pour actionner tandis que les autres leur « tiennent » la grille. Un nouveau clicDt décoche « punaise verouillé » et rend les punaises equivalentes pour déformer la grille. La ronde se déplace sur un cercle pointillé ou zoome, la bleue cisaille, la jaune fait perspective. On importe des images (menu fichier/importer, coche « utiliser comme matière ») dans la palette des textures/couleurs du modèle : cliquer un point de la surface à peindre, un autre point hors de cette surface : le dessin s’encadre de jaune. ClicDt dessus, « Utiliser comme matière » le met en palette. Tapisser une face, clicDt/Texture/positionner, ClicDt/Terminer, et enfin remplir les autres faces (Pomme pour pipette si necessaire) le fait en contnuité. Pour projeter une image sur un volume, ancrer l’image devant le volume, clic Dt/Eclater et peindre avec. — Bac à sable : ou TIN (triangulated Irregular Network) (Preferences/Extension) Créer un plan « Creer à partir de 0 », puis outil modeler. ClicDt/Editer groupe allume les points d’un périmètre à lever ou abaisser. (valeurs éditables en bas de fenêtre)Le « tampon » crée une base pour une surface mise au-dessus.

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Projeter trace le contour de la surface mise au-dessusDiviser : (shift) double-clic sur les éléments à subdiviser (pour détails ou aspect lisse)« Retourner l’arête » aide à lisser le terrain en « pliant » les rectangles selon l’autre diagonale.Pour « créer à partir de courbes » : dessiner des courbes de niveau à plat, se mettre de profil puis les monter. Enfin, sélectionner le tout et cliquer la fonction.— Soustractions de volumes : triple clic sélectionne un des volumes qui en croise un autre. Clic Dt/Intersection avec le modèle crée les faces de l’intersection, il n’y a plus qu’à effacer les parties en creux (y compris les « bouchons » sur la surface)— Outils de construction: permettent de mesurer ou imposer des lignes pointillées, des angles. On peut changer l’origine et l’orientation des axes du monde (clic Dt pour reinitialiser)— Fenêtre/Console Ruby: ouvre une console de script en Ruby (voir Aide pour la doc) pour travailler en ligne de commande.

Calques et Groupes:Les « calques » sont des regroupements d’objets qu’on peut rendre invisibles (pour en dessiner d’autres sans faire fouillis)

Une fois un objet complexe créé (maison, voiture), on le définit comme groupe pour le manipuler et comme composant pour l’enregistrer et le reproduire. Des bibliothèques de composants sont disponibles (www.sketchup.com). On leur affecte des « comportements » pratiques : collage ou découpe automatique pour les composants fenêtre etc..On peut plaquer des matières sur les surfaces : plus ou moins transparentes, tirées d’images, chargées d’un bibliothèque... Le placage n’affecte qu’un côté d’une face : la face peut être transparente d’un côté, opaque de l’autre. Il est nettement plus simple de peindre un rectangle en transparent que de faire un trou dans une face...

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Les librairies sont en/Library/Application Support/SketchUp5/Le rendu des ombres est possible, selon l’heure et l’orientation, mais volontairement simplifié pour rester rapide.

Fioritures : présentation de coupes, section, tranches, diaporama...

Refaire le monde avec Terragen 09http://www.naturescapes.net/articles/techniques/terragen-classic-basics-for-mac/http://www.terradreams.de/All/Downloads.php#2

Premier contact   : Terragen est un créateur de paysages (sans plantes détaillées) où on définit le relief, l’eau, les nuages et surtout l’atmosphère. On sauve les paramètres de création (« world files. ») Dans l’exemple suivant, on utilisera le terrain (cf pj) : « American Dream. » et le world file: “Naturescapesnew.” 1— Fenêtre de Rendu : « Rendering control » Menu File/open et charger Naturescapesnew.tgw 2— Menu « Windows/Landscape. » Dans la fenêtre Landscape, cliquer l’icône en forme de page en haut à droite. Refuser de changer l’angle de camera

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La version libre etant limitée à une grille 513x513, on doit retailler le terrain chargé : Fenêtre « Landscape/ » cliquer size/radius » — Refuser de changer l’angle de camera— On demande la taille : Cliquer sur 513- “Copy and Resize Terrain” dialog box : « OK »- “Adjust the point spacing” : « OK »— Enfin cliquer « OK » en bas et refuser de changer l’angle de cameraDans la fenêtre « Render control » cliquer « Render Preview » (image rapide et minuscule) Si c’est bon, lancer la création en grande taille, qui prend du temps : Cliquer « Screen »

Créer un paysage   : 1 — Dans les outils, choisir le pinceau. On obtient la fenêtre"Landscape View/sculpt » On y définit la « vue camera » :

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Le point vert est l’œil, le rouge la cible, on les drague à l’envi. Vérifier ce que ça donne dans le « render preview ». On peut taper les chiffres directement.2 — Dans les outils, choisir l’eau. Monter le niveau (Water level) à 600 m et cliquer « Update Maps. »On voit l’eau monter dans la fenêtre « Landscape »Vérifier ce que ça donne dans le « render preview ».On peut (déjà) régler des effets de lulmère et de texture : frequence et taille de vagues, reflexions, couleurs et transparence, influence du rivage....3 — Dans les outils, choisir les nuages et jouer avec les réglages, mais il faut cliquer « Generate » pour voir le résultat sur la vue du ciel, et vérifier ce que ça donne dans le « render preview ».4 — Dans les outils, choisir Atmosphère : c’est le plus important dans un rendu. L’atmosphère se compose de — Haze (brume plus ou moins dense et haute, qui atténue contours et couleurs avec l’éloignement)— Atmospheric blue— Light decayDans notre exemple, « Rendering control » indique que notre camera est à 969.9 m, le sol a 650 m, donc la camera est à 319.9 m du sol. Remettre le niveau de l’eau à 0 m pour voir la suite.Régler la demi-hauteur de brume à 160 m (half height) et faire un « render preview ».Reessayer en montant le niveau de half height pour voir.Remaque : si on remet l’eau à 300 m, une partie du brouillard est « englouti »De même, si on met les nuages à 2100 m, on ne les verra pas si la camera est au-dessus de 2100 mIl faut tenir compte de ce côté artificiel pour comprendre les problèmes possibles.Experimenter aussi Atmospheric blue et Light decay

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Lighting ConditionsRègle les angles d’éclairage, intensité, couleur de lumière, taille et position du soleil, luminosité générale.

Landscape/Surface MapDéfinit la texture su sol (accidenté ou errodée.. ). On le construit par couches (« layer », on dirait « calque » dans Photoshop). Chaque couche vient ajouter ses effets de construction aux couches précédentes : onpeut ajouter des mesas sur des deserts. La couche de départ est appelléee « Base »Exemple à 5 couches : Surface (Base), Mountain 1, Mountain 2, Mountain 3, VegOn remarque que mountain 2, 3 et veg layersont des « triangles » indiquant qu’ils ont eux-même des sous-couches : les « child layers » qui n’affectent que leur « Parent layer » et pas les autres ni la base. Cliquer le nom d’un une couche pour l’éditer dans le Surface Layer Editor :Surface Layer Editor :En haut : bosselage (bumpines) et couleur

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Faire dans l’humain avec QUIDAM

Quidam est un créateur de sujets 3D rapide et intuitif. L’objectif est la production de personnages d’une variété sans limite avec le moins de polygones possibles, pour une utilisation éventuelle en temps réel. À l’usage, c’est un modeleur de rêve.

1 — INSTALLATION ET DEMARRAGE   : Quidam n’est pas très encombrant (55 Mo) mais ses modèles le sont (plus de 300 Mo). Il vaut mieux avoir de la place (1 Go) sur son disque pour travailler. La RAM (1 Go) et une carte graphique seront exploités, mais Quidam propose des « trucs » pour les machines vraiment lentes. Sur Mac OSX, les données vont dans ~/Library/Preferences/NSided, et Quidam à la racine du dossier Application,. On peut le déplacer, mais il faudra le remettre temporairement à la racine de Application à chaque nouvelle mise à jour ou installation de plug-in. Au démarrage, on choisit le type de modèle dans un tableau où on retrouvera ses propres créations plus tard. On peut aussi charger un fichier « . QUI » extérieur.

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2— TABLEAU DE BORD   : Parti-pris du « tout sous la main ». Le modèle reste à l’écran, c’est la palette autour qui change.Les outils globaux et rapides sont à gauche, les fins et précis à droite, et ils restent là (dehors les menus !)

a — bases Indispensables :Pomme-Z annule les dernières manœuvres. Les icônes activées passent du bleu au jaune. La ligne du bas donne le rôle de l’outil survolé.Les icônes de manipulation fine sont en bas au centre, mais c’est tellement simple de passer par la souris (deux boutons et molette à clic sont plus que recommandés, n’hésitez pas). Draguer avec clic droit fait tourner, avec clic molette fait glisser, la molette fait zoom. (si vous avez d’autres habitudes, faites un tour dans le menu Preferences). Double-cliquer un point du sujet désigne le centre des mouvements. Les 6 ateliers (sans ordre obligatoire) : composition (formes des membres, du visage etc.. ), les proportions (grand, gros...), modelage, poses, textures et rendu.

Icône géniale : la symétrie. La plupart des modifications, de forme, de taille, de position sur le corps se font en symétrie, ça va tellement plus vite. Mais on clique le masque pour la débrayer, histoire de changer une pose ou une coupe de cheveux... Le mode Soft offre une sécurité : ne pas faire « croiser » les surfaces prés du plan médian.En bas à gauche, le tee-shirt et le bonhomme (touches U et O) rendent invisible soit le corps, soit les « props », (vêtements, cheveux, yeux, dents...) Aspect bizarre mais très pratique pour ajuster à vue les uns aux autres.

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b-le reste :La boule lumineuse gère jusqu’à quatre ampoules. On drague la boule pour bouger le groupe, ou chaque spot séparément. On allume par les numéros en dessous, et pour chaque source, on a une palette en haut, l’intensité à droite, le cône de lumière à gauche. Le cube donne les sempiternelles vues de chaque face.En bas à droite : transparence du personnage et chargement d’une image de fond (mais qui gêne les manipulations). L’affichage du relief (bump) aussi empêche d’autres options, donc on le réservera plutôt à la phase de rendu.En bas à gauche : les deux listes (main et tee-shirt). On désigne un élément en cliquant sur le modèle, mais on peut vouloir cliquer son nom sur une liste pour des parties cachées ou minuscules.

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3 — COMPOSITION, PROPORTION, POSE   : a — L’atelier de composition : En bas : le dé produit une combinaison au hasard (essayez comme demo) et Reset remet le personnage d’origine. Suivant la partie du corps que vous cliquez, les palettes de variantes à cliquer s’ouvrent à vous. (le triangle sur le côté affiche une vue grossie de la variante survolée.La partie PROPS ouvre différents choix d’équipement suivant les personnages.Modelage et texturage seront différent entre les vraies props [objets ou vêtement qui sont en plus] et les parties du corps où un pseudo-vêtement remplace le corps.L’icône tee-shirt permet de charger des fichiers OBJ extérieurs. [cf dernier paragraphe] b — L’atelier proportion : Reset remet le personnage d’origine. Le cercle + — étire globalement. C’est dans le coin supérieur droit qu’on va agir sur le modèle avec la flèche qui allonge, et le coin qui épaissit. Le modèle montre son « squelette » bleuté [« diamants » épaissir, « barrettes » pour allonger] et on draguera dessus pour modifier. Avec la symétrie [icône masque] on manipule le tout au jugé.

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En mode « barre », vous noterez les « couvercles » d’un côté des articulations : cliquer l’os allonge l’os, cliquer le couvercle déplace l’articulation. L’os origine [bassin] ne change pas. De même les yeux ne bougent pas, sauf si on débloque le « smiley » à côté du masque

c- L’atelier pose :Utilise aussi le squelette et la symétrie. On accroche les faces des boîtes pour donner le plan de la rotation, et cette fois les « couvercles » servent aux rotations axiales.La flèche droite ne fait que déplacer en bloc. L’outil pinceau fait partie des fonctions avancées [cf dernier paragraphe].

4 — MODELAGE   : a — les brosses 3D :Allumez la flèche dans le coin supérieur droit. Dans le panneau, le pinceau doit être en jaune, activé. Dans la ligne de brosses, il y en a 4 nettes et 4 floues.

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Cliquez la 2eme floue, approchez le modèle : vous faites apparaître le réseau lumineux des surfaces « accrochées » [touche i s’il est inactif]. Cliquez et tirez... C’est aussi simple que ça.

On tourne ou zoome le modèle [les brosses gardent leur taille écran] et on joue avec la symétrie pour le triturer comme de l’argile. Le truc avec les cache-corps et cache-props [U et O] : cacher le corps, cliquer la brosse sur la props, découvrir le corps : on continue à n’agir que sur la sélection props.

Les autres outils : la flèche ronde tord [autour du point cliqué], le coin dilate. La goutte est géniale : elle lisse ou accentue les irrégularités. La croix [qui apparaît uniquement avec l’outil torsion] décide si le centre de la torsion est pris là ou on clique ou [croix éteinte] au centre de la zone séléctionnée.La gomme efface les dernières transformations là où elle passe. [tandis que Pomme+Z est un Undo par étape globale]

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b — délimiter les zones d’action :Quand on veut agir sur une zone précise sans déborder, on a recours aux outils du haut du panneau : « 1 » pour accrocher des zones isolées [Shift+Clic pour accumuler différentes zones]. Le cercle + — étend intelligemment la sélection à chaque clic sans déborder le bord des props. « K » sélectionne par morceaux, le carré sélectionne le cadre étiré. Le verrou fixe la sélection. On peut alors activer le pinceau pour modeler à la brosse sans risque de déborder. De chaque côté du masque de symétrie deux aides pour cas difficiles : La camera sur écran fait agir perpendiculairement à l’écran [accès caché, visage ..] La flèche qui perce le plan pour étirer la face cachée [dans le dos] en même temps.Les cubes de l’autre côté limitent les manipulations aux sommets, arêtes ou faces. La camera en icône outil ouvre un dièdre si on veut limiter les déplacements à un plan ou un seul axe géométrique.

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c - le reste : L’outil Yin-Yan ouvre les « brosse molles », avec les curseurs de réglage intensité/adoucissement dessous. Elles se manient comme des pinceaux, [et non comme les brosses de modelage qu’on accroche et tire].On peut relever, resserrer, tourner ou rendre acérées les arêtes. Dans le panneau : Le curseur Soften/Accent rend les arêtes de la dernière zone sélectionnée plus douces ou plus voyantes, comme la goutte d’eau.[à l’export, il faut activer « Split Vertex on Hard Edges » pour donner cet effet hors Qiuidam] Le réglage des brosses de fait avec les curseurs, la camera indique une taille fixe pour le modèle ou pour l’écran, la boule/cylindre choisit la séléction avec couches profondes ou seulement surface.On règle le maillage [1 par défaut] donc le nombre de polygones du modèle, donc la finesse des contours mais aussi la lenteur du maniement. Le module payant Low-Polygones [LP] prend place à gauche et réduit au maximum le nombre de faces. Ca déforme un peu, mais les modèles obtenus sont hyper-légers pour les créateurs de jeux.

5 — SURFACES ET TEXTURES GLOBALES   : L’élément sélectionné se peint avec le graphique du haut [courbe et barres], la couleur se règle sur les demi-lunes [palette locale, ou CTL+clic pour la palette du système].Couleur ambiante, couleur propre [Diff], couleur du reflet [Spec], couleur émise [opalescence]. Puis étendue du reflet [Shin], transparence, et aussi possibilité de charger et doser une texture externe en cliquant le dossier sous la colonne « Refl ».Un clic prolongé sur une props [iris, cheveux, vêtement...] ouvre une palette de textures avec un menu pour supprimer ou charger bump et texture : des images qui seront nappée sur le volume. [notamment les images. tga avec couche Alpha où le noir définit les découpages de la partie couleur]

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Le bump est une image monochrome qui définit le relief superficiel d’une surface [ride, grain]. Il faudra activer l’affichage du relief [en bas à droite] pour les voir.Le corps bénéficie d’un traitement spécial dans le bas du panneau, puisqu’on peut régler sourcils, grain de peau, rides, taches de rousseur, couleur de peau, couleur de lèvres. En exportant au format. obj, on récupère les textures qu’on peut modifier pour les recharger ensuite dans Quidam.Particularités : si vous toucher à la reglette « Hair », les cheveux props sont remplacés par une texture en brosse ! Il ne vous reste plus qu’à repartir en atelier composition, et à choisir une chevelure en props. Les « fausses props » subissent les réglages de lumière de la peau, pas celui de la palette de couleurs de peau. Mais on peut les décorer avec une texture .jpg [pas TGA ! Et il faut redécorer par « Default » avant chaque changement]

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6 — PEINTURE   : a-les pinceaux :On clique l’icône pinceau ou « 3D PAINT » pour peindre couleur, transparence, ou relief [Bump ou Norm] à même le personnage. Les « Brosses Preset » en outil en haut suffisent en général, mais le panneau [sous OPTIONS] permet de régler l’intensité [10 : brume], la taille, la cadence des retouches [de semis à continu]. Les modifications doivent être confirmées [en bas du panneau] pour persister dans les autres ateliers [le modèle sera sauvé avec ses images de texture séparées]On définit ses pinceaux dans le panneau : le motif [à gauche] sera coloré [pastille] et projeté à travers le masque [le noir est le trou], par exemple pour en atténuer les contours. Pour le relief, c’est la hauteur et non la couleur qu’on règle. Un clic long offre 6 palettes spécialisées [formes, reliefs, transparences, motifs, imprimés, peaux et poils], qu’on peut enrichir jusqu’à 29 échantillons par palette.Pratiques : CTL+clic copie le motif dans le masque et les es Yin/Yang inversent les contenus. La pipette prélève les réglages sur un point de l’écran.b-la toile :C’est sur la « peau » numérique 2D, étirée sur le modèle, qu’on peint. On peut suivre ce qui s’y passe en mode UV en allumant MAPVIEW. Le mode VIEW a moins d’options, est plus lent mais plus fin et précis. Il permet ce « truc » génial : quand on active un BACKGROUND, on peut le décalquer au pinceau sur le sujet, comme si l’image était projetée sur lui. Ca permet de calquer une photo dessus avec mask Alpha si on veut un contour isolé). Pour adapter le relief, on aura d’abord modelé en jouant sur la transparence du sujet (avant dernière icône du bas à droite) pour voir le fondc-les tracés assistés :Les icônes du haut prennent en charge le pinceau pour : aligner les motifs répétitifs, les symétries, l’aspect « fait au pinceau » (ou

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taches de rousseur), la continuité des lignes (si on trace trop vite, ça évite les « sauts ») et, en UV, le flou de la brosse, le flouteur de bords, et enfin l’effacement de la couture dans les cas où la carte UV met une frontière. AMesh restreint la peinture à la partie visée pendant le clic : peindre les cheveux ne déborde pas sur le frontd-le reste : Les brosses sont stockées dans ~Library/Preferences/NSided/Quidam2/Paint/Brushes/En dehors du pinceau, on a le pot (couleur uniforme), le tampon Cloneur (Pomme+ALT un Clic au centre de la la source, puis peindre la destination) et le timbre pour voir le motif avant de le placer en un coup. Il y a aussi les effets de « mélangeur numérique » : Overlay:accentue la saturation, ADD : éclaircit SUB:assombrit en mélangeant MULT : accentue les différences. La palette est mobile en cliquant sur BAR puis son point.

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7— RENDU   : Le rendu Scanline est beau et fulgurant. Raytracing, plus lent, est utile pour des matériaux transparents ou réfléchissants. On l’accélère si on décoche « Cast Shadow ». De toutes façons, pour faire joli, il vaut mieux ne cocher qu’un ou deux projecteur pour projeter les ombres au sol.Pour le Raytracing, on utilise les presets (panneau) ou leurs options sous la boule à lumière (cf plus bas).a-Textures en raytracing :En atelier Texture le triangle à droite des graphiques règle le raytracing par matériaux : Eccentricity : de satiné à plastique, Filter : couleur du reflet entre le spot et le Spec, Reflexion : reflète l’environnement, Refraction : déformation par transparence (de l’eau au plexiglas)Pour du verre, placez les lumières au-dessus, sinon il reste sombre. La réfraction doit être légèrement supérieure à 1, la réflexion à peine supérieure à 0, et la transparence totale.b— Les options du raytracing :Ce qui ralentit le Raytracing est le « flou » calculé des ombres : le « ShadowMap » en terme technique. On adoucit aussi avec une source plus diffuse (Quality :), contraste doux (Attenuation), ombres mêlées (Noise), portée du projecteur (Softness), diffusion sur les côtés (Falloff)C’est quand Quality est à 0 qu’on accède au réglage manuel de la vraie ShadowMap :BIAS : décale l’ombre de l’objetMAXWIDTH : finesse des contours de l’ombre : pixellisée à fineMAXSAMPLE : nombre (et lenteur) des ombres à mélanger par source

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8 — FICHIERS EXTERIEURES, SKINNING et FONCTIONS AVANCEES   : a — import prop : On désigne le fichier. obj choisi, puis l’« os » auquel il sera fixé. Corrigez la taille pour que l’objet reste manipulable. Un gros zoom arrière est parfois nécessaire pour le retrouver dans le ciel... La triple icône de droite une fois cliquée attend qu’on lui désigne une props pour la « coller » sur son côté droit. N’oubliez pas de la désactiver à la fin !b— skinning : il s’agit de définir comment s’arrondissent les Props souples autour d’un squelette articulé quand il se plie. Il peut s’agir de la chair sur le squelette, ou d’un pantalon sur des jambes, ou de bouger les seins quand on écarte les bras. Tout se passe avec l’outil pinceau dans l’atelier Pose

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Pour un pantalon, après l’avoir mis à l’échelle et en place allez en Pose, outil pinceau : Cliquez « Choose Props » puis le pantalon, enfin cliquez Transfer. Prenez l’outil rotation : si tout est bien quand vous pliez les jambes, c’est fini. Sinon, retour au pinceau et Unskin All, il va falloir « peindre » les liaisons os par os.

c- fichiers : Les textures se chargent en un seul fichier par objet : les objets multi-textures devront être retravaillés (tutorial sur le site).Quidam sauvegarde au format propriétaire. QUI, lequel retient les références aux modèle de base de quidam. Depuis la version 1.5 est apparu le format. QDM sans référence : un modèle chargé dans ce format sera traité comme un objet avec squelette, mais ne pourra plus être édité dans les ateliers composition ou recevoir des props.

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Seul l’atelier Pose sera disponible, pour les fonctions de « skinning » autour de squelettes. Quidam communique à la base avec les autres logiciels 3D par les fichiers. obj, en import et en export. Mais N-Sided propose une foule de plug-ins d’export pour Maya, 3 DS MAX, Cinema 4D, Carrara, LightWave, COLLADA etc ... qui raviront les professionnels.

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Cours 8 : Simulateurs ou Émulateurs ?

On connait les simulateurs de vol, de combat, de voiture sur ordinateur. Il y a aussi des simulateurs d’ordinateur : on parle alors d’émulateurs.

Le but est d’utiliser sur un ordinateur des logiciels conçus pour un autre, qui a des circuits et un système d’exploitation différents. Par exemple, utiliser des logiciels Windows sur un Mac, ou réciproquement. Utiliser des logiciels Mac OS 9 (ou Mac OS X « ancien ») des logiciels DOS ou XP, des jeux PlayStation 1, des logiciels d’ordinateurs disparus : Atari, Amiga, Commodore 64, Spectrum, des consoles de jeu...

On a par là accès à des millions de logiciels, données et démos qui ne sont plus utilisables ni commercialisés sur les machines actuelles, certains remarquables ou uniques. Ce patrimoine pas encore reconnu est entretenu par des amateurs et des fans et va à l’encontre de l’obsolescence commerciale imposée.

Principe   : 1 — Sachant qu’un ordinateur donné est composé de circuits dont on connait les entrées, les opérations et les sorties, on peut écrire des programmes qui reproduisent le comportement de ce circuit (principe de la « boîte noire »). 2 — Si on fait exécuter à ces programmes ce qu’exécutent les circuits, on obtient le même résultat. En particulier, si on fait exécuter un système d’exploitation. (Mac OS X, Windows ou Linux sont, in fine, des programmes comme les autres)

Performances   : Les premiers émulateurs n’avaient qu’un ou deux circuits à simuler (Z80, 6806). La réussite a poussé les développeurs à relever le défi des machines devenues plus complexes : Playsation 2, et les nouveaux matériels (cartes son, vidéo...)

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On s’attend à une lenteur de l’émulation par rapport à la machine originale : il faut beaucoup d’instruction pour réaliser une seule opération d’un circuit électronique dédié. Mais — les développeurs font preuve d’une ingéniosité sans borne pour compenser ce défaut. — les machines actuelles calculent beaucoup plus vite que les machines anciennes. (un Amiga calculait à 4,7 kHz, là où un Core Intel est à 2 GHz)— Quand le processeur à émuler utilise les mêmes instructions que celui qui émule, on ne perd pas de temps (Virtual Box)

On arrive donc à des émulations parfaites de machines anciennes, et des émulations utilisables de systèmes sur x86. La seule difficulté pratique est de trouver les « ROM » ou les OS, qui bien que plus en vente sont légalement protégées. Ils ne sont en général pas sur le même site que les émulateurs.

Objets manipulés   : Le terme « ROM » est ambigu dans le monde des émulateurs : normalement il désigne la copie du contenu d’une puce. Sur les ordinateurs cette puce amorce le système (BIOS, TOS, Kickstart ...) Mais sur console les cartouches de jeu sont aussi des ROM. On trouve donc parfois sous la rubrique « ROM » des copies de disquettes...Les images-disque sont omniprésentes dans l’émulation. Il s’agit de fichiers qui reproduisent la structure physique d’un disque (pistes, secteurs) plutôt que les fichiers eux-mêmes. C’est le système émulé qui reconstituera les fichiers d’après ces données. Mac OS utilise ce principe (.img, .dmg). Malheureusement, il y a beaucoup de formats d’image-disque...

Des exemples d’émulateurs   : MAME : le retro-gamming est le plaisir de jouer à des jeux anciens : Pong, Pac-man, space invaders, jeux d’arcade à pièces...

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Il y a des émulateurs pour quasiment chaque type de machine de jeux : bornes d’arcade ou consoles familiales. MAME se propose de les émuler toutes. Il « suffit « de trouver les ROM et de les installer dans MAME, ce qui est un peu plus compliqué que sur les émulateurs dédiés. Les jeux NeoGeo (bornes d’arcade) y sont bien accueillis.

DOSBox : un des plus vieux émulateurs, il reproduit le système DOS des premiers PC. On peut y utiliser tous les produits de l’époque, des simulateurs de vol aux dbase3, Works et autres. DOSBox tourne même sur téléphone portable !

WINE: (Wine Is Not an Emulator) Quand un logiciel précieux disparait des rayons, une autre solution est de recréer le logiciel lui-même et non la machine : c’est plus simple, la vitesse d’exécution est assurée et on peut mettre à jour le son et les graphismes. Certains jeux passionnants ont ainsi résisté au temps, dans des versions proches de l’original : Ur qan master, UFO, Élite, Galaga, Missile Alers, Lemmings...

De même on peut émuler un système en reproduisant ses fonctions. Wine reproduit les programmes du système Windows. Les applications tournant sur ce système peuvent donc tourner sur Wine... en principe. En pratique il faut souvent quelques réglages. Wine peut émuler toutes les versions de Windows et tourne aussi sur Mac et Linux. Sa force est qu’il ne viole aucun copyright et ne nécessite pas les disques d’installation de Windows.

ShapeShifter, SheepShaver et Rosetta : Le premier émulateur Mac (OS 7.5 noir et blanc) s’appelait ShapeShifter et tournait sur Atari ST. "La puissance sans le prix"Quand Apple est passé du système Mac OS original au système OS X proche d’UNIX, les logiciels Mac OS n’étaient plus compatibles. Grâce à un émulateur « Classic » incorporé au système OSX, on a pu faire tourner les deux systèmes... jusqu’à la version OSX suivante. Quand Apple est passé des processeurs Motorola PPC aux

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Intel x86, les logiciels OSX PPC n’étaient plus compatibles. Grâce à un émulateur « Rosetta » incorporé au système OSX, on a pu continuer à utiliser ses logiciels PPC... jusqu’à la version OSX suivante (10.7 Lion). Contrairement à ce que prétend Apple, on peut utiliser un système Mac OS PPC sur un Mac OS X Intel, avec un émulateur, nommé SheepShaver en hommage à ShapeShifter. Cet émulateur est dérivé de Basilisk (émulateur pour Mac OS 7.5). Pour les Macs plus anciens, il y a aussi vMac, très simple d’utilisation. Ces émulateurs fonctionnent aussi sur PC, Linux, Android...

Qemu est un logiciel GNU (libre) dérivé de Bosh. Au début il est présenté comme l’opposé de DOSBox : on veut émuler la machine et non le système, pour y faire tourner le système original. Q a mis du temps à devenir performant. Actuellement Q est fonctionnel, et capable d’émuler des machines 6800, PPC ou ix86, ce que ne fait pas VirtualBox.

VirtualBox est dérivé de Q, maisdépend d’Oracle (qui détient entre autres Sun, Java et OpenOffice). VB est plus convivial mais se limite aux machines Intel x86 (on ne peut pas y faire tourner Mac Classic). On peut y installer des Windows (dont XP), OSX, des Linux... On peut ainsi les tester, ou les isoler d’internet.

Conclusion   : Les émulateurs sont des logiciels parmi les plus complexes, ils sont l’œuvre de communautés de hackers passionnés. La plupart sont gratuits, mais il y en a des payants : CrossOver, Parallels sur Mac. Émulateurs gratuits et adresses :Émulateur Atari ST/STE/Falcon : https://hatari.tuxfamily.org/Émulateur Amiga : FSUAE https://fs-uae.net/Émulateur Playstation 1 : PCSX

http://www.pcsx.fr/ ou https://pcsxr.codeplex.com/En français :

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http://www.1980-games.com/http://www.abandonware-france.org/

Le plus complet :http://www.planetemu.net/

Le mieux documenté sur les vieilles machines :https://archive.org/details/tosec

Spécialisé en jeux :http://thegamearchives.net/

Emulateurs en java (= dans un navigateur, sur tout système)http://java-emu.emuunlim.com/projects.html

Jeux DOS :http://www.dosgamesarchive.com/

Pour MAME :http://romhustler.net/roms/mame

ROM, jeux PSX :https://www.emuparadise.me/http://www.freeroms.com/

Wine :https://sourceforge.net/projects/darwine/wineskin.urgesoftware.com/

QEMU :http://www.qemu-project.org/

Des images-disque toute faites pour Virtual Box :https://sourceforge.net/projects/virtualboximage/files/

Les notices des jeux Amiga :http://www.lemonamiga.com/games/list.php

Site spécialisé des émulateurs pour Mac : http://www.mac-emu.net/

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Virtual Box : des lapins dans un chapeau

VirtualBox est un simulateur de materiel : c’est un ensemble de logiciels qui vont imiter le fonctionnement de cartes son, video, processeurs, et qui rendent leurs résultats sur les vraies cartes video, son et processeur de la machine ou tourne VirtualBox. Il n’y a aucun risque d’endommager le système (Windows, Mac ou Linux) où marche VirtualBox, même si la machine virtuelle plante.

Disposition de l’écran   : Chaque machine créée apparait dans la liste de gauche.La machine selectionnée dans cette liste est détaillée dans la page de droite. On peut éditer et modifier les éléments de cette page. On peut aussi les éditer en passant par les menus.

Principe d’utilisation sur deux temps   : 1 — On crée une machine virtuelle, en définissant le materiel qu’on voudrait (taille du disque, de la RAM, carte son etc…). 2 — On installe un système d’exploitation sur cette machine virtuelle (MS-DOS, Windows 3.1, 95, 98, XP, 7, un Linux, MacOS ….)Pour faciliter les choses, VirtualBox propose des pré-configuration à l’étape 1 en fonction du système qu’on veut installer à l’étape 2.

Installation d’un système   : Solution 1 : A la volée : Sélectionner la machine virtuelle éteinte, la démarrer, appuyer F12 quand l’écran de boot s'ouvre, puis introduire le CD/DVD d’installation (ou désigner l’image-disque d’installation.)Solution 2 : Préméditée :Sélectionner la machine virtuelle éteinte, cliquer sur sa ligne « Stockage » pour ouvrir la fenêtre qui montre ses disques. Cliquer dur l’icône du CD dans l’arbre : le nom du CD actel apparait dans

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la ligne de droite. Cliquer sur l’image de CD au bout de cette ligne pour mettre un autre CD virtuel (. iso) dans la machine, ou l’enlever (Retirer le disque du lecteur virtuel->Vide)Note : Dans cette fenêtre, on peut aussi ajouter une autre image-disque, ou un autre lecteur de CD virtuel...Démarrer la machine garnie de ces disques.

Icônes du bas de la fenêtre de la machine virtuelle   : — Elles signalent l’activité des périphériques émulés : disque dur, CD, USB, réseau, souris, clavier— On y indique la touche qui permet de récupérer la souris et le clavier (CTL droit)— Clic Droit

— sur le CD permet de le changer— sur USB : accès aux periphériques (démontés)— sur Dossier : réglages du dossier partagé — sur l’écran : régler l’affichage

Echanges entre hôte et machine émulée   : On peut toujours passer par une clef USB : on la démonte de l’hôte (sans l’enlever !), on la connecte à l’emulateur par l’icone du bas. Puis l’inverse dans l’autre sens. VB propose une solution plus pratique qui améliore l’affichage et la rapidité de l’émulation : les « Additions Invité ». Malheureusement, elles ne pas toujours installables sur des systèmes exotiques. Les additions invité propsent d’utiliser un dossier partagé, qui sera créé chez l’hôte et apparaitra chez l’émulé.1 — Dans l’hôte, créer un nouveau dossier (avec un chemin facile à écrire) Exemple : E:\VirtualBoxPartage2 — Installer les Additions invité : (machine virtuelle en marche) Menu VirtualBox de la fenêtre de la machine virtuelle :

/Périphériques/Insérer l’image CD des additions Invité

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Installer tout ce qu’on peut, ce sont des sortes de drivers pour l’hôte pour le dossier partagé, plus d’écran une souris mieux gérée.3 — Indiquer à VirtualBox le dossier à partager : (machine virtuelle en marche.) Aller dans les Icônes du bas de la fenêtre de la machine virtuelle, icône Dossier, clic Droit. Dans la fenêtre Dossiers partagés, à droite de la ligne « Nom Chemin... Accès » Cliquer la petite icônee « + »Désigner le dossier créé (Exemple : E:\VirtualBoxPartage) et lui donner un nom, par exemple « Partage » pour VirtualBoxNe PAS le mettre en lecture seule, mais le montage automatique est pratique, et permanent aussi. OK4 — Lier un dossier de la machine virtuelle à ce dossier à partager :La methode dépend du système virtuel.— Pas moyen sous win95— Linux Mint : le media sf_Partage apparait sur le bureau, mais il n’est pas encore lisible. Créer un dossier PartageWin (clic droit sur le bureau). Son chemin est (si l’utilisateur est lolo) :

/home/lolo/Desktop/PartageWinPour y accéder, il faut le « monter ». Sous Linux, c’est comme ça.On ouvre un Terminal et on tape :

sudo mount -t vboxsf nomVirtualBox cheminLinuxCe qui donne ici :

sudo mount -t vboxsf Partage /home/lolo/Desktop/PartageWin

Pour le démonter (l’éjecter)sudo umount cheminLinux

Ce qui donne ici :sudo umount /home/lolo/Desktop/PartageWin

— Windows XP : Navigateur de fichiers, trouver « Favoris Reseaux » Clic Droit sur « Favoris Reseaux » et « Connecter un lecteur réseau » Parcourir jusqu’à/Virtual Shared Folders/et pointer le dossier partagé — Pour une machine virtuelle sous DOS, il faudrait taper en ligne de commande net use x:\\vboxsvr\ (non testé)

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Défauts de VirtualBox   : — Le système virtuel est deux à quatre fois plus lent— Chaque machine occcupe facilement 10 Go— On ne doit pas bouger ou renommer les images-disque sous peine de bloquer les machines virtuelles.— On ne peut pas copier directement un objet d’une fenêtre virtuelle.— VirtualBox ne fait tourner que des système Intel : Windows, Mac OSX, LinuxIl ne peut pas faire tourner des vieux système Atari, Amiga, ou des consoles de jeu Playstation, Wii, Nintendo...

Utiliser Virtual correctement   : Les machines virtuelles sont dans deux fichiers liés :— L’image-disque de plusieurs Go, qu’on peut stocker où on veut(mais qu’on ne peut pas bouger ensuite sans passer par VB)— L’autre est le fichier de description de la machine virtuelle, situé dans un dossier utilisateur « VirtualBox VMs » Il faut absolument passer par les menus de VirtualBox pour changer les liens, copier, effacer ou reconnecter machines et images-disque : menu « Fichier/Gestionnaire de médias »

Arrêter une machine virtuelle   : Il y a des choix supplémentaires : On passe normalement par le menu « eteindre » du système virtuelle.Mais on a aussi un menu à la fermeture de la fenêtre de VirtualBox : — « Eteindre la machine » c’est comme retirer la prise de courant: au redémarrage, on aura « demarrer en mode sécurisé » — « Sauver » l’état de la machine : est mieux que sur une vraie: on retrouve la machine comme on la laisse, sans redemarrage, avec le logiciel ouvert (mais ça prend de la place)

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Annexe : technique et des astuces sur VB

Images-disque   : Une image-disque est un fichier qui peut être traité par certains programmes comme un disque physique (CD, DVD, disquette, disque dur…) Ce fichier ne contient pas directement les fichiers du disque physique, mais il reproduit la structure physiques du disque (structure des secteurs et des pistes, contenu de chaque secteur…)C’est le rôle du système d’exploitation émulé de lire gérér les contenus physiques pour les présenter sous forme de fichiers. Intérêt des images-disque : — Le disque mis en image-disque peut être d’un autre format que celui du système (CD, Mac, PC, FAT, NTFS, HFS, ext2fs…) — Un disque d’un autre format que celui du système ne peut pas être lu par le système (Windows ne peut pas ire un disque formaté Mac ou Linux)— Alors qu’un fichier image peut être parcouru, comme n’importe quel fichier, sur n’importe quel système (Win, Mac, Linux…)— Mais Il reste au logiciel qui le lit à en reconstituer les fichiersUtilisation des images disque :— Les ordinateurs sans lecteurs peuvent utiliser des images disques grâce à des logiciels capables de les présenter comme de vrais disques à Windows (exemple : faire tourner Starcraft sur un PC sans lecteur, alors que Starcraft vérifie si le CD original est inséré) — MacOS inclut cette facilité pour les nouveaux logiciels et leurs annexes comme des disques externes (fichiers. dmg)— Les graveurs de CD et DVD s’en servent pour graver des copies physiques (y compris des protections anti-copie)— Les logiciels qui émulent d’autre machines (gameboy, consoles de jeu) sur les ordinateur : ils font tourner des systèmes étrangers sur les circuits qu’il émulent, ces systèmes sont capables de lire des formats de disque étranger .

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Types d’images-disque :. iso est le plus courant. Il y a aussi des images en deux fichiers :. bin. cue, plus précises(reproduit même les anomalies de certains CD protégés) Sur Mac, les fichiers. toast peuvent être renommés en. isoSur Mac, on utilise couramment :. dmg, et anciennement. imgLes émulateurs utilisent des fichiers mieux adaptés à la lecture et écriture : VDI, VHD, (VirtualBox). qcom (Bochs et Qemu, versions libres antérieures de VirtualBox) HDD (Paralèlles, émulateur Windows pour Mac). raw (données brutes pour Qemu). hdf, adf (disques et disquettes Amiga), st, msa (disquettes Atari ST). tape (image-cassette des ordinateurs des '80)….Les émulateurs proposent des programmes en ligne de commande capables de traduire certains formats d’image dans certains autres.(hdiutil sur Mac, VBoxManage pour VirtualBox, qemu-img pour Qemu) Il y a des utilitaires courants pour changer un CD, un DVD ou un disque dur en image-disque.

Machine virtuelle Multiboot   : Si on veut installer un Linux sur une machine virtuelle contenant déjà une autre système, Linux va proposer de faire de la place en redéfinissant les partitions virtuelles. Ca prend un temps infini si le disque de la machine virtuelle est un disque dynamique : il vaut mieux prévoir dans ce cas un disque virtuel de taille fixe (et de taille suffisante)

Blocages VirtualBox   : En cas de problème de disque virtuel non retrouvé, ou de machine qu’on ne peut pas créer, aller dans le menu « Fichier/Gestionnaire de médias »

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Partager des fichiers sans Dossier Partagé   : Cette astuce peut être utilisée pour Win 95/98 sur VirtualBox, elle est valable pour d’autres émulateurs aussi.1 — Créer une image-disque au format FAT (reconnue par la plupart des systèmes). Elle servira d’intermédiaire.2 — L’ajouter comme deuxième disque dur à la machine virtuelle qui ne peut pas utiliser de dossier partagé. Ecrire sur ce disque.3 — Monter ce disque comme deuxième disque dur sur une machine qui peut utiliser les dossiers partagés. Dans cette machine, copier le contenu du disque vers le dossier partagé

Internet dans VirtualBox   : Internet doit être connecté avant démarrage de VirtualBox Dans une machine virtuelle, ligne Reseau :Activer la carte, Mode NAT

Agrandir un disque virtuel   : Il faut le détacher de la machine virtuelle (soit en supprimant la machine, soit dans le menu de gestion des volumes). On utilise VBoxManage (qui se trouve sur Mac dans/Applications/VirtualBox.app/Contents/MacOS/)Exemple : passer une image disque à Win98.vdi 700 Mo

VBoxManage modifyhd/Volumes/DATAS/Win98.vdi -- resize 700

Ajouter un disque dur à Windows 95/98:Dans VB, ajouter un disque créé par gestionnaire de mediaDans Windows, Control Panel/System/Device ManagerDisk Drive : on doit avoir 2 « Generic IDE DISK TYPE 48 »Cliquer le second, Properties, Settings : il n’a pas de lettre !Cocher Removable, donner les Reserved Drive letter D Faire pareil pour le lecteur de CD et donner les Reserved Drive letter E

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Ajouter du sonSoudblaster à Windows 95/98   : Dans Virtual Box, désigner la machine Win 98 arrêtée,Configuration/Son et dérouler SoudBlasterLancer Win98, puis installer les drivers dans Win98 :Si on n’a pas le CD d’installation Win 98 pour actualiser la configuration matérielle, on passe par— Panneau de controle/Ajout Materiel/et cocher « pas listé ci-dessous »pour forcer Windows à chercher les « non plug'n play »

À la fin, cliquer « Détail » et lui indiquer cocher « Soundblaster 16 or AWE 32 or compatible »

Redémarrer de la machine VB puor que ça marche

Améliorer l’écran de Win 95/98   : Comme le Périphérique/CD addition invité ne marche pas, pas d’écran supérieur 640x480x4 ni de disque partagé.On télécharge le driver sur

http://bearwindows.boot-land.net/vbe9x.htmOn récupère 100601.zip et on en tire le dossier UNIOn crée un CD virtuel. iso :1— Sur Mac (on doit y arriver sur PC aussi) : Ouvrir Utilitaire de dique pour faire un. dmg au format FAT Utiliser AvosMac2iso (gratuit) pour chager le. dmg en. isoAutre solution : créer une image CD au format compatible Mac/PC(avec Toast, changer à la fin le suffixe. toast en. iso)Monter l’image, mettre le fichier UNI dedans et démonter l’image2— installer le driver dans Win98 virtuel : Ouvrir le CD virtuel récupérer UNIPasser par Panneau de controle/Video/Settings/Avancé/Adaptateur (=Driver)Puis désigner le dossier UNI qui contient le fichier INF cherché !3— Choisir l’écran dans Win98 virtuel :Panneau de Configuration/Affichage/Paramètres/Avancé/Carte graphique/Moniteur/Modifier

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Et prendre un Moniteur 1024x768 en 256 couleursEnfin, revenir au Panneau de controle/Video/Settings et choisir la résolution enfin autorisée !3 bis : Autre manière si le système est différent :Mettre un moniteur :Panneau de controle/Systeme/Gestionnaire de périphériques/Ecran ouvrir et cliquer l’écran en cours/Pilotes/Ecran/mettre pilote à jour/Suivant/Afficher une liste/Suivant/Afficher tous les materiels/SuivantChoisir Super VGA 1024x768/Suivant/Suivant/TerminerMettre un pilote graphique :Dans Panneau de controle:/Affichage/Parametres/Avancé/Carte/Modifier/Suivant/(Installer à partir d’une disquette et désigner C:Windows/Bureau/UNI)Afficher une liste/Suivant/Afficher tous les materiels/SuperVGA/Suivant/OUI ! /

On trouve des image disque vdi pour VirtualBox ici   : https://virtualboximages.com/http://virtualboxes.org/images/https://sourceforge.net/projects/virtualboximage/files/

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Cours 9 : GNU, Linux : chercher ensemble

A — Historique:1969 : Kernigan et Ritchie inventent le langage C et UNIX, système multitâche multi-utilisateur pour gros ordinateurs.Variantes de UNIX : BSD (Berkley) en 1978, NextStep 19881— En 1979, l’entreprise Symbolics décide de commercialiser des machines LISP (langage List Processing), développées par le MIT. Les universitaires se voient interdire les modifications de leur propre code mis sous Copyright. Le 27 septembre 1983, Richard Stallman (du MIT) fait sécession et entreprend GNU (acronyme récursif : Gnu is Not Unix)2 — Richard Stallman fonde GNU en 90 — éthique universitaire : mettre en commun les savoirs pour faire progresser les connaissances, opposé au secret industriel, au courtiers en information payante.— Il crée la licence libre, emacs, GCC, et plein de logiciels de développement, mis à disposition de tous.— lui-même travaille le noyau Hurd (multitâche, multi-utilisateur, composants démontables sans l’arrêter)3 — En 1991, Linus Torwald, étudiant informatique, perfectionne MINIX, une version universitaire libre d’UNIX. À ce moment :— Les ordinateurs individuels ont assez de mémoire pour faire tourner UNIX— Le net est apparu et d’usage courant chez les universitairesLinus invente le travail en réseau sur le net naissant. Il met les composants GNU autour de son noyau Unix libre. Le travail collaboratif par le net assure la diffusion, la mise au point fulgurante des composants logiciels.En 1992, Linux est né et se développe depuis par le fonctionnement

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collaboratif sur le net. Linux est moins perfectionné que Hurd mais fonctionne avant lui.Hurd : noyau achevé en 2005, distribution Debian avril 2015, pas encore de son.4 — En 2000, Knoppix : premier LiveCD (dérivé de Slackware) ouvre Linux au grand public, il permet de l’essayer sans modifier quoi que ce soit à son ordinateur. En 2011 : Unetbootin permet la même chose avec une clef USB et des versions Linux téléchargées.

B — Distributions :Sous Linux, on développe séparément des systèmes (distribution) et des interfaces (bureaux) :— Une même distribution peut tourner sous plusieurs bureaux (KDE, Gnome, XFCE, LXDE, Cinnamon, ICE…)— Des distributions différentes peuvent avoir le même aspect (Suse, Ubuntu sous KDE ou Gnome)1 — Généalogie des distributions   : A l'origine (1993) il y a Debian, Slackware, Redhat/Fedora. Ce sont des systèmes complets pour développeur, avec gestion des tâches et des périphériques par ligne de commande. Puis les exigences contradictoires aboutissent à la multiplication des versions :— Uniquement du libre, ou pouvant utiliser des formats non libres (Flash, mp3, Wmv, mp4/DivX…)— Code source uniquement, lisible et utilisable sur toutes les machines avec un peu de travail d’adaptation pour les compiler, ou paquets prêts à installer avec gestion des dépendances.— Pratique et grand public ou fait pour des hackers professionnels.— Simples et rapides, ou avec des effets et fonctions prédéfinies.

Enfin, certaines distributions deviennent parfois commerciales ou cherchent à l’être (Red Hat, Suse, Mandrake/Mandriva/Mageia, Sun, Oracle, Firefox, Ubuntu…)On aboutit à des différences dans les types de paquets, les soutien longue durée, les dépots, les bureaux...

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2 — Quelques distributions actuelles remarquables   : — Debian : grand public, mais sans les codes propriétaires (Flash, Mp3, Pdf ne sont pas lus, ces formats ont des versions libres)— Ubuntu et Mint : Debian, grand public, durable, plus simple que Windows ou Mac, version Longue Durée (4 ans) (Mint est une version améliorée par des français, après coup, de chaque version d’Ubuntu)— Mageia : issue de SlakeWave, française, durée incertaine.— OpenSuse : issue de SlakeWave, grand public, plutôt allemande.— DSL (50 Mo), Toutou, Puppy, Slitaz : de très petite taille, rustiques et rapide, idéales pour ordis limités ou les clefs USB.— Gentoo, Linux From Scratch : à compiler soi-même depuis le code source + GCC uniquement. — Arch Linux : pour construire soi-même tout son système en tapant des lignes de commande.— Distributions spécialisées : Freeduc (éducation), Framasoft ou Mandrake Move (sur clef USB mobile), récupération de données, PuppyArcade, immédiate au boot XPUD (abandonnée)

3 — Quelques bureaux Linux   : Le système Linux a un complément qui gère souris et fenêtre : le serveur X (X11.Variantes : Xorg, X86, Wayland). Sur ce serveur X les bureaux Linux ajoutent des decorations et des commandes système : Bureaux KDE (genre Windows), Gnome (genre Mac), Unity (genre Android), Cinnamon, XFCE (genre XP), LXDE...

C - Linux aujourd’hui :Dans le monde   : — Tous les informaticiens utilisent aussi Linux. — Inde, Brésil, Islande, Venezuela, Chine. Ville de Munich. USA : Maison-Blanche, Défense.— France : gendarmerie, Assemblée Nationale, ministère de l’Agriculture. Mais l’EN qui continue à subventionner Mirosoft...

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Chez vous   : Android (portables), Mac OSX (BSD), logiciels libres, Apache (serveurs Web)Logiciels libres en version sur Windows et Mac :— Star (Sun)/Open/Libre Office, Netscape/Mozilla/Firefox, Java— Gimp, Blender, Ardour, ZynaddsubFx

D - Essayer Linux c’est l’adopter :Intérêts de Linux :— Plus simple à utiliser que Windows ou Mac— Finis choix imposé, logiciels qui font ou interdisent pour vous.— logiciels gratuits à gogo.— Pas de virus, donc pas d’antivirus, ni de fenêtres importunes.— Mise à jour gratuite (tous les 4 ans pour Ubuntu)— Wine fait tourner pas mal de logiciels Windows courants. — Le petit pingouin il est mignon.Défaut de Linux : « l’autre système c’est déjà fait »— Il faut faire l’installation alors que l’autre système c’est déjà fait.— Il faut choisir. Distribution, taille de sa partition, et bureau.— Il faut changer, comme quand on passe de Mac à Win…— Il faut son mot de passe dès qu’on veut installer quelque chose.

— Peu de jeux tournent aussi sous Linux.mais…)Mais il y a de bons jeux : Warzone 2000, UFO, Freespace. Et les grands jeux en ligne sont chez Steam Essayer Linux avant de l’installer :On peut vérifier que tout le matériel (USB, écran, WiFi, clavier, souris) est utilisable. Windows Wubi : n’est plus conseillé ni possible sous Win10. Wubi modifiait le boot-menu et démarrait sur une image-disque de Ubuntu. Sinon, on peut passer par VirtualBox, ou par un CD Live, ou une clef USB et Unetbootin.

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1— VirtualBox   : https://www.virtualbox.org/ et linuxmint-17.3-cinnamon-32bit.iso (variante de Ubuntu)a-installer Virtual Box:(crée et gère des machines virtuelles)b — Creer une machine virtuelle :Lancer VirtualBox, cliquer « Nouvelle ». L’appeler Mint, Type Linux, Version Ubuntu 32 bits. Taille mémoire (RAM) ok suivant, Disque dur créervirtuel ok créer, Type de fichier disque dur virtuel : VDI (ou HDD ou QCO) ok suivant. Dynamiquement alloué. Emplacement et Taille : 8 Go (ou mieux 10 Go). Noter la place= C:\Utilisateurs\moimeme\VirtualBox VMs\MintCréer : la machine virtuelle est prête à démarrer, dans la liste.c-Installer Linux sur la machine virtuelle:Lancer la machine Mint. Attention à « choisissez le disque de démarrage » : Naviguer jusqu’à linuxmint-17.3-cinnamon-32bit.iso et Demarrer. (Touche Windows pour récupérer la souris)Attendre plusieurs minutes jusqu’à l’écran du bureau Linux Mint.Install Linux Mint l’installe sur la machine virtuelle Mint : choisir Français continuer, relier à internet (actualise et francise), continuer. Effacer le disque et installer Linux Mint, continuer, fuseau Paris ok. Attention : prendre le temps de vérifier le clavier.Nom, mot de passe. Attention : cocher ouvrir la session automatiquement.L’installation finie, menu (VirtualBox) Fichier/Fermer : Eteindre la machine. Lancer la machine Mint. Le démarrage prend quelques minutes. Dans Mint : menu préférences/Affichage 1024x768, dans VB:CTLDt+FI

2 — Live CD :Principe : Linux peut tourner sans le disque dur, juste avec le lecteur de DVD et la RAM. L’ordi sera exactement comme avant l’essai, dès qu’on aura enlevé le DVD. Défaut : le DVD est

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beaucoup plus lent que le disque dur. Linux sera très lent pour démarrer et aussi chaque fois qu’il chargera un logiciel du DVD. Pratique : Se munir d’un LiveDVD vendu en revue (moins de10 euros) chez le marchand de journaux. Le mettre dans le lecteur de l’ordinateur.Sur un Mac : Redémarrer le Mac et laisser le doigt appuyé sur la touche « alt ». Choisir le démarrage sur le DVD Sur un Windows :— Le plus dur est de trouver la touche à taper quand on allume l’ordinateur : l’info est affichée 3 secondes sur fond noir avant l’affichage du chargement de Windows. Ça dépend du fabricant… Souvent Esc, Del, F1, F12, F9. Si on rate, on peut éteindre immédiatement (10 secondes sur le bouton de démarrage). Au pire, on devra ensuite choisir de « Demarrer Normalement » Windows et c’est tout.— On se retrouve dans le menu de démarrage du matériel (Windows n’est pas installé). Là il faut naviguer pour trouver l’option « boot from CD/DVD drive » 3 — Clef USB   : Unetbootin: Sur les ordis sans lecteur de DVD, on va démarrer sur une clef USB. On utilise le logiciel UnetBootIn, une clef USB vierge (8 Go minimum) et internet. UnetBootIn installe depuis le net une distribution DVD au choix sur la clef USB et rend la clef bootable.On se sert ensuite de la clef USB comme du LiveCD : il faut ordonner à l’ordinateur de démarrer dessus.

E — Installer Linux :On l'installe à partir d’une version d’essai (Live CD, clef USB) en train de tourner. Il est conseillé (mais pas nécessaire) de connecter un câble Internet pendant l’installation pour avoir les dernières versions et tout en Français. Il est conseillé (mais pas nécessaire) de sauver des données personnelles : mails, photos, écrits... Démarrer en cliquant « installer Linux » sans crainte : Il y aura

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beaucoup d’étapes et de confirmations à donner avant que quelque chose d’irrémédiable se passe. Arrive le moment de cocher un choix où Linux demande comment il doit occuper le disque :Il y a deux cas simples :1— On a un ordinateur qui ne démarre plus du tout, ou un vieux de récupération : On choisit « sur le disque entier » = à la place de Windows ou OSX, on perd les données personnelles2 — Linux propose « Installation automatique à côté de » On aura le choix au démarrage de démarrer sous Linux ou sous le système d’avant. On ne perd aucune donnée. Linux sur sera beaucoup plus rapide que depuis le DVD. On peut déplacer un curseur pour donner plus ou moins de place à LinuxOu un cas à gérér soi-même : Si Linux ne propose pas « Installation automatique à côté de » c’est que votre disque n’est pas simple à gérer. Si La partition Windows est corrompue, Linux ne veut pas y toucher. On peut tenter de résoudre les problèmes sous Windows : Il faut retourner sous Windows réparer le disque (chkdsk/f) Défragmenter peut aider aussi. Après on pourra installer Linux avec « Installation automatique à côté de »Autres cas : Installation manuellePar exemple, Les quatre partitions primaires sont déjà occupées, ou on installe un système réduit (Toutou Linux, DSL…) Il vaut mieux demander à se faire aider si on a peur de perdre son système ou ses données. On utilise GParted pour faire de la place sur les partitions existantes. On installe Linux sur la place libérée. La partie critique est seulement quand on installe le gestionnaire de démarrage (GRUB) qui demandera sur quel système démarrer. Grub4Dos est assez clair si l'installeur ne propose rien.Les étapes importantes :— Cocher l’installation des logiciels non libres— Ne pas rater le choix de la langue et le test du clavier.— Choisir un nom et un mot de passe sans espace, ni accent, ni majuscule pour éviter les crises de nerfs.— Choisir le démarrage automatique sans mot de passe.

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F — Utiliser Linux:— Linux demande facilement le mot de passe quand on veut changer ou ajouter quelque chose.— Beaucoup de choses peuvent se faire soit avec un programme, soit en ligne de commandeInstaller des programmes :On fait appel à un programme gestionnaire d’installation comme Synaptic (en effet, les programmes utilisent des librairies qui peuvent faire appel à d’autres librairies…) Ça marche comme AppleStore ou Play Store, en moins clinquant. Le gestionnaire d’installation a sa liste de serveurs spécialisés (« dépôts ») pour sa distribution Linux. Mais on peut trouver des programmes sur d’autres dépôts. Exemple simple : installer LMMS avec SynapticExemple complexe : installer Grub Customiser qui permet de choisir si on démarre par défaut sur Linux ou Windows.Ouvrir un terminal et taper

sudo add-apt-repository ppa:danielrichter2007/grub-customizer && sudo apt-get update && sudo apt-get install -y grub-customizer

Anatomie de Linux :

1 Sur le disque   : Deux partitions et GRUB2— swap: taille double de la RAM, format swap— Racine : / (slash) format au choix (FAT, NTFS, HFS, ext2…) Linux lit et écrit tous les formats.On peut se passer de swap (déconseillé). On peut créer une ou des partitions supplémentaires: home au lieu du dossier /home, ce qui permet de ne changer que le système si on veut une autre version de Linux. Ou usr au lieu de /usr pour les logiciels supplémentaires

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et leurs annexes.— GRUB2 : gestionnaire de démarrage (boot menu) pour choisir Linux ou Win ou Mac au démarrage. Installé en deux morceaux: sur le MBR du disque ou de la partition, et sur la partition linux. Exécuté par BIOS ou EFI qui lisent le MBR au démarrage. 2— Dossiers, Utilisateurs et droits   : Notation: / racine .. dossier précedent Commandes indispensables : cd ls mount su sudo manComme Mac ou Windows : login/mot de passe, utilisateurs et administrateur (=root=super) Le super (root, sudo, su) peut créer, effacer, mais pas modifier un autre super. Les utilisateurs n’ont pas accès aux dossiers des autres utilisateurs. Dossier système / avec plein de sous-dossiers.Dans /home chaque utilisateur a un dossier à son nom (comme dans/Users Mac et Win) où les sous dossiers ont les mêmes noms que ceux du dossier système. Comme ça chaque utilisateur utilise le système commun et sa partie personnalisée.3 — Dossiers à connaître   : Les fichier de configuration sont dans un dossier « etc », mais il y a beaucoup de dossiers « etc » (système,/home/utilisateur/, usr, opt)On utilise surtout les dossiers repérés ici avec « * » — root : le dossier administrateur*— home : contient les dossiers utilisateur — dev : les fichiers-périphériques montables. Dans UNIX, tout est géré comme des fichiers, même les disques et les imprimantes.*— mnt : périphériques montés=accessibles (disques, clefs USB..)*— etc : les fichiers de configuration en humain, éditables — bin : les programmes Unix de base en binaire exécutable — sbin : les programmes Unix disque et réseau en binaire exécutable — lib : « librairies » sous-programmes en langage machine utilisables par toute sorte de programmes

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— opt : logiciels optionnels : commerciaux ou non nécessaires au système. Chaque logiciel y a son répertoire.— var : avec des sous-dossiers, contient des variables dont les logs— tmp : dossier temporaire, utilisé par le système pour des fichiers à effacer ensuite — usr : logiciels qui complètent le système :*—/usr/bin, /usr/sbin, /usr/lib,/usr/etc mais aussi :

/usr/X11R6 : gère souris et fenêtres (X-Window)/usr/share : des fichiers de données.

Pour les programmeurs :/usr/src : sources de certains logiciels, dont le noyau de Linux./usr/include : les fichiers d’en-tête pour la programmation. /usr/local : contient des logiciels compilés sur place à partir des sources. Mêmes sous-dossiers que/usr...De la documentation :*/usr/man : le manuel en ligne. Les fichiers sont compressés./usr/info : la doc au format GNU info./usr/doc : documentations/usr/dict : dictionnaires (pour les correcteurs d’orthographe et les craqueurs de mots de passe)./usr/games

Où télécharger les differents linux :http://distro.ibiblio.org

Un dossier par distro ; chercher des. iso dans les sous-dossiers.

Des linux en Live CD ou DVD en format iso :http://livecdlist.com/

On trouve unetbootin ici :https://unetbootin.github.io/

Pour mettre ces iso sur une clef USB et rendre la clef botable.

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Cours 10 : PROCESSING programmation

Où trouver Processing :https://processing.org/

À visiter : Exhibition : https://processing.org/exhibition/ avec Light Kinetics, Pathfinder (14 pages de plus en bas…)

LA PROGRAMMATIONUn ordinateur est concu pour être transformable en n’importe quelle autre machine : calculette, machine à écrire, synthétiseur... En fait, programmer consiste à créer des machines avec des pages de texte plutôt qu’avec un fer à souder. Le texte (programme en lettres) est transformé par un autre programme (interpréteur ou compilateur) en un programme en langage binaire qui est exécuté par les circuits électroniques de l’ordinateur.Le texte se fait circuit électronique comme le verbe se fait chair (!)

Les mots programme, application, logiciel, progiciel sont quasiment synonymes. Ces termes désignent le code source (en lettres, lisible par un humain) ou l’exécutable (en binaire).

Le code source est écrit en général en « langage évolué » de 3e ou 4e génération (java, python, Perl, Ruby, C++, Basic, Forth, Scratch, Applescript, bash,...) tout à fait lisible et souvent compréhensible.Il est traduit en code machine binaire. Le code machine peut être traduit en mots qui désignent les opérations correspondant à chaque chiffres binaires : c’est la traduction en « langage assembleur », (langage de 2e génération) qui dépend du processeur (CPU). On ne peut pas vraiment remonter ensuite de l’assembleur au code source de 3e génération. Mais on peut toujours programmer et décoder un programme en assembleur.

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1— Structure générale d’un programme :Un programme est structuré comme une recette de cuisine :— Liste des ingrédients

= déclaration des variables — Suite des transformations à apporter aux ingrédients

= séquence d’instructions— Parties indépendantes qu’on utilise à un autre moment(laisser macérer les raisins, monter les blancs pendant que la pâte repose…)

= sous-programmes (on dit aussi « procédure », « routine », « fonction », API, librairie sans très grosse différence…)

2— Test et saut : Un programme n’est pas seulement une chaîne immuable de traitement de données. (comme les macros, les automatisations : Automator sous Mac, AutoHotkey sous PC)Pour qu’il y ait programme, la chaîne de traitement elle-même est modifiée par les données : Concrètement il faut au moins un saut d’instruction conditionnel. (if -- then-- else)

3 — Debuggage:Un programme n’est pas un texte porteur de sens mais un assemblage de mots. Le texte sera utilisé par une machine qui ne perçoit que les mots exacts et la syntaxe. Elle ne réagira pas aux buts, erreurs, absurdités, évidences.

4 — Conseil aux apprentis :— Un programme ne tourne jamais du premier coup.— On n’arrive à quelque chose qu’en compliquant petit à petit un exemple simple. C’est comme ça qu’on arrive à enlever peu d’erreurs à la fois. Si on part à écrire un grand programme d’un coup, on n’arrive jamais à corriger toutes ses erreurs.

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CHOISIR PROCESSING

1— Processing est libre et universel:— Il tourne sur tous les Mac, PC, Linux— Depuis un Mac ou PC ou Linux on crée des programmes pour Mac et PC et LinuxEn effet Processing est une surcouche de Java, et Java existe sur tous les OS. Processing a aussi l’objectif de remplacer Flash, HTML5 pour les page Web. Processing peut s’intègrer directement au html en étant traduit en javascript. (Processing.js http://processingjs.org/)

2— On peut faire simple mais aussi faire compliqué :— On peut écrire un programme linéaire genre Basic— Ou un programme style intialisation/objets— Ou créer des classes (et y écrire directement en java)— On peut ajouter des « librairies » : des extensions à Processing pour tout : reconnaissance video, gestion de robots...— La syntaxe et les mots sont semblables à ceux d’autres langages : Pratiquer processing permet de lire et comprendre des listings dans d’autres langages (java, python, perl, voire C++.), même si processing a moins de mots et de structures 3— Processing est fait pour des béotiens   : Il a été créé par le MIT pour être utilisé par des artistes et non des informaticiens :— Une seule fenêtre et six boutons (là où on a des fenêtres et des programmes partout)— Le code est clair à relire et n’abuse pas des signes exotiques.— Il est fourni avec un nombre impressionnant d’exemples concis faciles à adapter— La documentation de chaque instruction est accessible d’un clic pendant la rédaction

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4 — Une documentation et des cours en Français :http://www.ac-grenoble.fr/disciplines/informatiquelycee/

proc_index.htmlhttp://www.ecole-art-aix.fr/rubrique.php?id_rubrique=81http://fr.flossmanuals.net/processing/les-bases-de-processing/http://wiki.labomedia.org/index.php/Liens_ressources_tutoriaux_ProcessingForum en français :http://codelab.fr/processingUn manuel en pdf :http://www.flossmanualsfr.net/_booki/processing/processing.pdfDes exemples d’amateurs en plus de ceux de la page d’accueil :https://www.openprocessing.org/

5— Les défauts de Processing   : — Il est en anglais (à part Scratch et Logo, je ne connais pas de langage de programmation en Francais)— Il est fait surtout pour le graphisme :

L’entrée et la sortie de texte ne sont pas très simpleLa gestion des fichiers est compliquée

— Il a peu d’instructions (c’est aussi un avantage)— Il y a peu de structures de contrôle (if, case, while, for. Pas de do ni until)— Il est difficile de changer de type de variable

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PROGRAMMER EN PROCESSING :

Ecrire un programme en Processing produit :— Un fichier texte ordinaire (le votre) avec le suffixe. pde— Contenu dans un dossier qui a le même nom— Avec si nécessaire un sous-dossier « data » contenant les annexes (images, sons, polices de caractères...)

Visite guidée   : 1— Files/Examples : Classement, charger des exemples, voir leur brièveté :— Camera/MoveEye Camera/Perpective— Color/RadialGradient Colour/Relativity— Form/Bezier, Form/TriangleStrip— Demos…2- Help/References: — Langage Libraries : découvrir le langage de base et les extensions— Curves/BezierTangent : copier et coller dans un nouveau « Sketch »— Remarquer que sans setup/draw ça marche quand même— Selectionner un mot-clef (double-clic) et clic Droit : Find in Reference

Niveaux d’écriture   : 1— Basic : Avec Processing, on peut programmer comme en basic : le programme commence au début et finit à la fin. Même pour faire des choses élaborées : prendre « examples/Topics/Image Processing/Blur » ou « EdgeDetection » On supprime void setup {} et void draw {} et ça marche aussi. Il n’y a pas de sous-programme. C’est très pratique pour faire des tests rapides pour des bouts de

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programme, sans besoin d’accolades ni d’initialisations. Pour être propre, on finit le texte du programme par la ligne

exit () ;2— Continuous: C’est le mode de prédilection. Dès qu’on a un sous-programme, Processing impose d’en avoir deux autres — void setup() { …} où on définit les variables, structures, sons, graphisme etc... — void draw () { …} qui va tourner en continu, comme un bocal où tournent les sous-programmes.On parle de programmation objet. On écrit les sous-programmes pour traiter le clic souris, une touche, un minuteur…Et chaque sous-programme peut utiliser d’autres sous-programmes.C’est Processing qui se chargera de les déclencher quand les évennements (« Events ») se produirontVoir Examples/Basics/Image/Alphamask3— Java : Processing est aussi éditeur/compilateur java, avec classes, objets, héritages et tout... C’est trés compliqué pour moi, mais si vous cherchez à faire du java, c’est gratuit.

Structure obligatoire   : … //déclaration des variables globalesvoid setup() { //Procédure d’initialisation des variables size (640, 360) ; //toujours définir la taille de l’écran en premier...}

void draw { //Procédure qui guette les événements... //et anime les autres} //plusieurs fois par secondes

… //autres procédures 151

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Menu Edit:— Auto Format met des tabulations pour rendre plus lisible— Comment-Uncomment permet d’inactiver/reactiver des blocs lignes suspectes d’erreur

Syntaxe   : On finit chaque instruction par « ; ». On conseille d’aller à la ligne à chaque instruction. On respecte scrupuleusement les lettres Majuscules/minuscules : « loadImage » est accepté, mais pas « loadimage »Signes spéciaux fréquents : accolade {} (alt+parenthèses) qui délimitent les procédures et crochets [] (Shift+alt+parenthèse) qui délimitent les listes.

Vocabulaire   : On a droit aux mots du langage Processing (Menu Help/Reference) et aux nombres, et aux noms de variables et de procédures qu’on définit dans le programme. Ils doivent être employés selon la syntaxe correspondant au mot dans le langage Processing (Menu Help/Reference) et, pour NOS procédures, selon la syntaxe qu’on définit dans le programme.

Programmer, c’est surtout définir des variables et des procédures.

Variables   : On définit une variable avec le mot désignant son type, le nom qu’on lui choisit, et sa valeur. Il y a peu de types de variables, et on ne peut pas utiliser l’un pour l’autre sans passer par une fonction.(attention aux differences de traitement entre entiers et flotttants) Les variables int (entiers) contiennent des valeurs numériques entières int un=1 ; int deux=2 ; println (un+deux) ; --> 3 Les variables String (chaines) contiennent des suites de cararctèresString un = » 1 » ; String deux= » 2 » ; println (un+deux) ; --> 12

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Les types de variables sont (Help/Reference/Data)

Variables numériques :int (nombre entier) long (le même en plus gros)float (nombres à virgules) double (le même en plus gros)boolean (true/false), color, char, byte (-128 à + 128)

Variables non numériques : String (chaines de caractères) Array (tableau rempli de variables qu’on repère par leurs indices) Exemple : livre [tome, page, ligne]On peut aussi créer des types de variables en passant par java….

Certaines opération sont possibles sur certains types et pas sur d’autres…. (à constater dans Help/Reference/conversion)

Variables globales et locales (numériques ou pas)— Une variable définie au début du programme est dite « globale » : Elle est lisible et modifiable par toutes les procédure.— Une variable définie à l’intérieur d’une procédure n’existe que dans la procédure. Elle est dite « locale ». Des procédures différentes peuvent employer les mêmes noms de variables en local (n, i, j ..)

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Procédures   : définir une procédure : Une procédure est définie au minimum par

void riendutout () {}

et au maximum par exemple par :String[] FilesR (String dir) { … return Fichiers [] ;}

On a donc successivement : — Le type de variable qu’elle rend (ou void si elle n’a pas de compte à rendre)— son nom (riendutout ou FilesR)— ses paramètres entre parenthèse : les variables qu’elle recevra, avec leur type (String) et le nom (dir) sous lequel on les rebaptise dans la procédure local— les instructions qu’elle fait, entre accolades

Procédures   : utiliser une procédure : Dans notre exemple, la procédure FilesR recoit une chaîne dir et renvoit un tableau de chaînes (return Fichiers [] ;) On l’utilera donc pour définir un tableaus de chaîne : dans le programme principal, on crée un tableau files [] qu’on va remplir par traitement de la chaïne path. Ca tient en une ligne :

String [] files = FilesR(path) ;

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Cours 11 : Retrogaming Faire du neuf avec du vieux

Présentation   : « retrogaming » désigne l’activité et les moyens qu’on déploie pour accéder à des jeux vidéos tournant sur des machines qui n’existent plus ou ne plus commercialisées.

Il est motivé par la même passion déraisonnable et nostalgique qui pousse les collectionneurs de voitures anciennes ou les écouteurs de vinyle. Il connaît les mêmes tendances : émuler ou restaurer les vraies machines, chercher la machine rare (Le Squale), chercher l’émulateur le plus fidèle, même au détriment de l’efficacité, ou au contraire le plus pratique…

Les moyens mis en œuvre par les passionnés sont insensés. Les clubs et sites amateurs très nombreux préservent ce patrimoine par encore reconnu (des présentations de cracks aux démos dans les années 80 avec leurs groupes, leurs messages, avant internet)

Classification   : On peut classer es émulateurs par puissance des processeurs émulés : 8-16 bits (Z80, 6502, 6805.. ) 16-32 (68 000, Pentium). Pour les processeurs récents 32-64 bits (ix86, AMD) on utilise VirtualBox (qsp).

On pourrait les classer par type : émulateurs d’ordinateurs (DOSBox pour les PC sous MS/DOS, Basilisk pour les Macs 68 000 OS 7 à 8, SheepShaver pour Mac Power PC OS7 à OS9), émulateurs de machines (QEmu, VirtualBox), émulateurs de système (Wine). Sans oublier les multiémulateurs (MAME, MESS) et les nombreux émulateurs de consoles de jeux (PCSX, GBA et autres)

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Matériels et logiciels   : L’art du retrogaming fait appel aux programmes les plus sophistiqués pour reproduire fidèlement et rapidement le fonctionnement de puces anciennes. Il suscite le bricolage et la création de matériels destinés à reproduire des manettes, s’interfacer avec de vieux matériels afficher (manettes, sorties PAL, VHF). Il donne accès à des millions de logiciels et à des centaines de machines qui valaient une fortune autrefois (comme pour les voitures de collection). Il donne parfois une valeur inattendue à des machines qui dorment dans les greniers (Curta, PSION, Palm, HP 48…)

Les portes du paradis perdu   : Si l’accès à des milliers de logiciels plus ou moins gratuits est un bon prétexte, la mise en œuvre de l’émulation se heurte aux difficultés qui en font le tout sel :

— Certes l’émulateur fonctionne en général du premier coup. Mais les réglages (écran, son et surtout dossiers et clavier) pour le personnaliser et le rendre pratique sont longs et complexes (et ils changent selon les émulateurs...)

— La situation légale n’est pas simple. Les ROMs des machines émulées et les logiciels ne sont pas libres. Il faut avoir les mêmes chez soi (droit de copie privée). Cependant il n’y a plus de vendeur et les ayants droit sont introuvables. En tout état de cause on ne peut pas officiellement en distribuer ou en vendre.

— Les logiciels et les jeux de l’époque ne disposaient pas des ressources suffisantes pour offrir un fonctionnement facile. C’est aussi une difficulté que de retrouver les modes d’emploi.

Précisions sur les termes :— ROM, par abus de langage en retrogaming, désigne des images-disque de jeux aussi bien que des fichiers contenant le copie du contenu d’une ROM. Cela parce que les consoles de jeu utilisaient souvent des cartes (ROM) où étaient gravés les jeux, là où les

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ordinateurs utilisaient des disquettes où étaient enregistrés ces mêmes jeux.

— Abandonware désigne les logiciels qui ne sont plus commercialisés depuis plusieurs années, et dont les ayant droit ne se font pas connaître.

Exercice pratique avec DOSBox

DOSBox existe pour Mac, Windows, Linux et Android. Il émule un PC tournant sous MS/DOS (jusqu’à Windows 3.1, et même un peu Win95).

Exemple de démonstration :Lancez DOSBox du dossier Win3Mac ou Win3PC Exemple à faire soi-même pas à pas :Trouver le dossier « CarmenDBox » : c’est un dossier exemple à poser sur le bureau. Il y a une ligne à modifier pour qu’il fonctionne quand on lancera son DOSBox dans dosboxCarmen.conf

1— Modifier dosboxCarmen.conf :Pour un usage pratique, il faut savoir que DOSBox va— utiliser francais074.lng pour tourner en français— utiliser un dossier en tant que disque C : pour la machine émulée— utiliser par défaut le fichier dosbox.conf pour se configurerCe fichier a été renommé ici dosboxCarmen.conf. C’est un texte éditable qui définit la machine. À la fin de ce fichier, on trouve :

….[autoexec]# Les lignes de cette section seront lancées au démarrage.# Vous pouvez mettre vos commandes MOUNT ici.

Il faut compléter la fin de ce texte — pour indiquer quel dossier joue le rôle de disque C :

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— pour ajouter des commandes MS/DOS si on veut.Dans l’exemple donné, on a mis— Sur le bureau un dossier CarmenDBox avec dedans :— l’exécutable DOSBox et le fichier « francais074.lng » (et sur PC, DOSBox.exe, SDL_net.dll, SDL.dll)— Un dossier Cdisk servira de disque CIl y a dedans le dossier Carmen qui contient le jeu DOS.On y mettra d’autres jeux plus tard.Ce dossier de données est le même pour DOSBox Mac.Il faut donner le chemin du dossier qui servira de disque à la fin de dosboxCarmen.conf après mount :Sur MON Mac ça a donné :mount c /Users/pierrecounillon/Desktop/CarmenDBox/CdiskSur MON PC, ça a donné :mount c E:\Utilisateurs\COUNILLON\Desktop\CarmenDBox\CdiskÀ vous de remplace mon chemin par le vôtre.On ne pourra plus déplacer le dossier après sans modifier cette ligne sinon DOSBox ne le trouvera plus.Cette ligne est valable ensuite pour tout ce que contiendra Cdisk

À la suite, on trouve des commandes DOS ordinaires :clsc:KEYB FRcd c:/CarmenCARMEN.EXEexit

(effacer l’écran se mettre à la racine du disque C : émulé, y lancer KEYB FR pour mettre le clavier en français, aller dans le dossier Carmen, y lancer CAREN.EXE et c’est fini).On sauve ce texte DEUX fois : sous les noms

dosboxCarmen.conf et dosbox.confOn les met dans le dossier CarmenDBoxOn peut maintenant cliquer DOSBox pour lancer le jeu Carmen.

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2 — Créer un script de lancement de DOSBox:Le script est Carmen.bat (PC) ou Carmen.command (Mac).Le script lance DOSBox quand on clique dessus.Ce script indique à DOSBox un fichier. conf à prendre au lieu de son dosbox.conf habituel.On peut ainsi créer autant de lanceurs que de fichiers. conf différents, pour lancer des jeux différents. (alors que DOSBox ne sait lancer que le jeu indiqué dans dosbox.conf)

Pour Mac : Carmen.command (on le rendra exécutable avec un chmod 777 au terminal)

# ! /bin/shchemin="`dirname « 0 $ »`«cd $ chemin$ chemin/DOSBox — conf dosboxCarmen.conf

Pour Windows : Carmen.batset ch = E:\Utilisateurs\COUNILLOB\Desktop\CarmenDBox\Cdiskcd % ch %% ch %\DOSBox.exe — conf dosboxCarmenPC.conf

3 — Exercices   : 1— Copier dans Cdisk les dossiers contenus dans Cdisk+ et écrireleurs fichiers. conf et. command (. bat sur PC)2— Charger des jeux DOS sur

http://www.dosgamesarchive.com/games//Créer un dossier pour chacun dans Cdisk et écrire leur leurs fichiers. conf et. command (. bat sur PC)

Pour le fichier. bat il faudra adapter ces deux lignes :cd c:/CarmenCARMEN.EXE

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4— Faire plus simple   : les chemins relatifs — Dans Mac OSX, l’application DOSBox.app contient l’exécutable DOSBox. (Clic Droit sur DOSBox.app, Afficher le contenu du dossier et chercher) Si on lance depuis un Script, on peut se contenter de cet exécutable et jeter le reste.— Si le dossier Cdisk est dans le même dossier que le script exécuté on peut se contenter du chemin relatif par rapport au script dans dosbox : à DOSBox.app et remplacer dans dosboxCarmen.confmount c /Users/pierrecounillon/Desktop/CarmenDBox/Cdiskparmount C CdiskNoter que ce nouveau fichier. conf, renommée dosbox.conf— ne marche plus avec l’exécutable DOSBox— marche avec le script— marche avec DOSBos.app si on la met dans le dossier. Morale : les chemins absolus marchent toujours, mais on ne peut plus déplacer les fichiers. Les chemins relatifs marchent presque toujours.

5— Machine avec un CD :On ajoute une ligne dans le fichier. conf en dessous du mount c…pour monter un disque d :— Si on met le contenu du CD dans un dossier géré comme un CD

On copie le contenu du CD Mig29 dans le dossier Mig-29.cdrom :

mount c /Cdiskmount D /Mig-29.cdrom

— Si on a une image.iso du CD à monter comme comme disque DOn utilise imgmount… — t iso (au lieu de mount) : Pour une image “CarmenCD.ISO” dans un dossier “CD”

mound c Cdiskimgmount D CD/CarmenCD.ISO » — t iso

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Annexe : Internet technique https://craym.eu/tutoriels/utilitaires/ouvrir_les_ports_de_sa_box.htmlhttp://abcreseau.blogspot.fr

Internet : la technique en 9 stationsAdresses IP et serveur :Toute ce qui est reliée au net (ordinateur, camera, disque dur NAS, téléphone…) a une adresse IP (Internet Protocole) de forme 192.168.xxx.xxx. Un serveur est un ordinateur à distance, qu’on peut joindre par internet, et sur lequel on peut lire ou faire des choses intéressantes. (Tout ordinateur peut être transformé en serveur)La carte réseau de votre ordinateur (celle qui a la prise RJ45 et la puce WiFi) a son adresse IPL’adresse que vous tapez est celle d’un serveur que vous voulez joindre par son adresse IPLe but du jeu est de créer une connexion entre votre adresse IP à celle du serveur

1— Vous tapez l’adresse (URL) dans le navigateur : (Intenet Explorer, Safari, FireFox, Opera…)Exemple : http://www.allocine.fr/seance/salle_gen_csalle=P0728.html Variante : votre navigateur se connecte tout seul à Google, et vous tapez votre recherche etc…Mais la barre d’adresse affiche toujours l’URL de la page affichée, tapée par vous ou par l’ordinateur.L’URL indique comment  --> nom du protocole

http:// (ce pourrait être https, ftp, pop, smtp…) 161

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où  --> nom du serveurwww.allocine.fr/ (adresse de l’ordinateur au bout

du fil) quoi --> chemin du fichier dans le serveur de fichier

seance/salle_gen_csalle=P0728.html

2 — Le navigateur découpe ce qu’il envoie en « paquets » de quelques octets, avec des octets d’étiquette en plus (source, destination, taille, numéro du paquet dans le fichier à reconstituer). En cas d’erreur, le receveur demande qu’on lui renvoie le paquet jusqu’à pouvoir reconstituer le message. C’est le protocole TCP/IP (Transfert Control Protocol) (Shannon AT&T)Les règles de découpage et d’échange de paquet dépendent d’un des sous-protocole dans TCP/IP : HTTP : (Hyper Texte Transfert Protocol) : utiliser

pour consulter les pages web. POP : utiliser pour recevoir des mails SMTP : (Simple Mail Transfert Protocol) : utiliser

pour envoyer des mails. FTP : (File Transfert Protocol) : utilisé pour

transférer des fichiers (créer des sites, envoyer des gros fichiers) Fech, Cyberduck, Filezilla

Telnet : utiliser surtout pour commander des applications côté serveur en lignes de commande

IP (internet Protocol) (TCP/IP-IP) : pour vous attribuer une adresse lors de votre connexion à un FAI

-> Les clients mail comme Outlock, Thundirbird ramènent le courrier « à la maison » (dans l’ordinateur)

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Tandis que les webmails comme gmail, hotmail, imp.free, le courrier académique, les forums ne permettent que l’aller regarder son courrier chez le serveur, avec un navigateur. Une fois déconnecté, on ne peut plus relire son courrier.->Ensuite il faudra transformer l’URL écrite en lettre, en adresse IP écrite en nombres. (à moins qu’on la connaisse déjà)Si l’adresse est une « vraie » adresse IP de la forme http://192.168.xxx.xxx, on sautera des étapes.L’ordinateur regarde d’abord s’il a déjà la traduction dans son fichier « hosts ». Sinon, il doit demander à passer par un serveur DNS (voir plus loin)L’ordinateur envoie les paquets à la carte réseau

3— La carte réseau :Chaque carte réseau a un identifiant MAC (Media access Control Ex : 5E:FF:56:A2:AF:15) unique au monde (comme un numéro de chassis pour une voiture). Elle envoie le signal dans la prise RJ45 (Ethernet) jusqu’à la multiprise RJ45 de la box, gérée par le Routeur de la Box. Pour le Routeur de la Box, la carte réseau a une adresse IP (c’est lui qui les donne sur son réseau local) genre http://192.168.1.3 Pour connaitre son IP locale de forme 192.168.xxx.xxx : sous Windows cmd ipconfig, sous Mac Preference/Reseau.La carte réseau envoie donc les paquets au routeur de la box

4— Routeur : C’est le Routeur qui attribue une adresse IP locale par câble relié à une machine (192.168.1.3, 192.168.1.4, 192.168.1.5…)

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On peut dire aussi :C'est la passerelle NAT (Network Adress Translation) pour le réseau local LAN (Local Area Network) Ensuite, il émet (et reçoit) les paquets vers l’exterieur par une seule adresse adresse IP InternetPour connaître cette adresse, tapez : http://monip.net./(exemple de réponse : 90.46.14.19)-> Votre adresse change à chaque fois que vous allumez la box :adresse dynamique par le réseau « DHCP » ce qui protège des piratesOn peut demander une adresse IP fixe pour créer un site chez soi en non chez le FAI-> IPv4 : les adresse IP sont faites de 4 groupes de nombre. Les premiers désignent le réseau (192.168…..)Les derniers le « sous-réseau » : la machine dans le réseau local (16x.xxx.xxx)On a le « masque de sous-réseau » pour déterminer combien de chiffres désignent le réseau local (255.255.255.0 laisse libre le dernier octet : soit 256 machines d’adresse 192.168.1.0 à 192.168.1.255)Il n’y aura bientôt plus assez d’adresses avec 4 groupes de nombre, on va devoir passer en IPv6

5— Ports :Le Routeur doit envoyer des paquets reçus à la bonne machine, et dans la machine, à la bonne application.Selon le protocole, le routeur ouvre des « ports » (porte) differents (des adresses dans la RAM, en réalité)Normalement, par sécurité, ces ports sont fermés aux

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messages qui arrivent de l’extérieur. C’est l’application et le routeur qui gèrent. Il y en a 65 536 possibles (numérotés 0 à 65 535)Les ports 0 à 1024 ont un usage défini par le W3C (World Wide Web Consortium). Les plus courant sont :21= FTP22= SSH et SFTP (Secure SHell et fichiers sécurisés SFTP), 23 Telnet (premier internet, mode texte genre minitel), 25 SMTP envoi de mail

110 POP lecture de mail80 HTTP pour navigateurs internet143 récupération de son courrier électronique via IMAP443 HTTPS sécurisé3389 pour le RCP de microsoft (Remote connection protocol)6667 pour la connexion aux serveurs IRC (forums de hackers, échange de textes et de fichiers)

On peut aller configurer la box : (« redirection de port » de la fonction NAT) pour qu’elle laisse un accès de l’extérieur :Tapez son adresse (URL) dans le navigateur : http://192.168.1.1/ (pour une Livebox. Login : admin mot de pass:admin)Certaines camera video de surveillance par internet, certains disques (NAS) ont une adresse IPExemple : 2 machines reliés à ma box : l’ordi a pour adresse 192.168.1.3, et le disque NAS l’adresse 192.168.1.4

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Le disque NAS n’utilise que le port 80. Ma box communique avec le net avec l’adresse IPv4 : 90.46.14.19 (http://monip.net./)Je peux y accéder au disque NAS de l’extérieur en demandant à ma box de me relier à son port 80 par http://90.46.14.19:80(deux points 80)

6— Proxy local (optionel. proxy=serveur mandataire)Avant d’arriver sur le réseau extérieur, l’adresse IP demandée par l’ordinateur peut être lue et filtrée par un autre ordinateurExemple : dans un établissement scolaire, la consultation de certains sites sera bloquée et dirigée vers une page d’avertissement.

7— Modem : transforme le signal numérique en signal analogique.ADSL=Asymetric Digital Subscriber Line= on reçoit plus facilement qu’on n’envoie. D’où l’intérêt du Peer-to-Peer — on envoie chacun, lentement, un morceaux différents d’un même fichier— et on reçoit dans le même temps tous les morceaux des autres ensemble

8— Le réseau téléphonique : va chez le FAI, Qui se connecte au serveur DNS (Domain Name System) pour transformer votre URL humaine « http://google.fr » en adresse IP http://74.125.136.94Des logiciels et des services « Whois », affichent les traductions URL/IP comme l’annuaire inversé.

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Certains FAI (Orange, SFR etc…) bloquent l’accès à des sites par blocage de DNSOn peut forcer à aller chercher un serveur DNS ailleurs que chez eux : Sur Mac donner les DNS dans : Preferences/Réseau/Avancé/DNS8.8.8.8 (Google)8.8.4.4 (Google)80.67.169.12 (French data network)208.67.220.220 (OpenDNS)208.67.222.222 (OpenDNS)Et on peut enfin relier mon IP à celle que je voulais joindre !

9— proxy web :Si mon navigateur (Outil) se connecte par un proxy webC’est un serveur proxy qui reçoit ma demande de connexionLe serveur que je veux joindre est alors contacté par ce serveur proxy. C’est le serveur proxy qui me transmet les paquets.Intérêt : celui qui reçoit la demande n’a que l’adresse du proxy, pas la mienne — en enchaînant des proxy, on a un certain anonymat — en passant par un proxy étranger, on peut contourner les restrictions locales (epub Colette…)

WiFi : 2,4 Ghz

Vitesse : 11 Mbps à 300 Mbps (*)adresse BSSID = Base Service Set Identifier =

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adresse unique de la carte WiFi : comme l’adresse MACadresse SSID = Extended Service Set Identifier= nom du réseau local : LiveBox_5789 ou FreeBox_Anabelle (on peut personaliser)Canal 1 à 14 : préférer 1, 6, 11 pour éviter les chevauchementsRéseau WLAN:Wireless Local Area Network) ou réseau local sans fil Modes WiFi : « Infrastructure » vers la Box, « Bridge » entre Box, « Répéteur » pour étendre un signal local, « Adhoc » entre ordi, sans boxRouteur WISP : comme un routeur normal, mais en WiFi : reçoit un réseau WiFi branché au net, et crée un sous réseau WiFi pour les ordis locaux(*)802.11a avec un débit de 54M/bits/s sur les 5 GHz sur 10 m de distance  (quasi disparue)802.11 b avec un débit de 11 M/bits/s sur les 2,4 GHz sur 300 m de distance   (fréquent)802.11 g avec un débit de 54M/bits/s sur les 2,4 GHz sur 300 m de distance  (fréquent)802.11n avec un débit de 300M/bits/s sur les 2,4ou 5 GHz sur 100 m de distance  (fréquent)802.11ac avec un débit de 300M/bits/s sur les 5 GHz sur 10 m de distance      (en cours)

CPL : cable RJ45 jusqu’à la prise CPL, puis le signal passe par le réseau électrique, puis est récupéré par la deuxième prise CPL à l’autre bout de la maison. On doit placer les prises dans le mur et pas sur une multiprise (mais on peut mettre la multiprise sur la prise CPL).

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Sécurité :Sécuriser sa box :— WiFi : désactivé, ou SSID invisible— connexions aux seules Adresse MAC définies— ports— proxy (chez Free par exemple)

Sécuriser son navigateur :— Navigateur FireFox— vérifier si on est en https : HTTP qui passe par des serveurs utilisant les systèmes clé publique/privée pour se connecter, (cf plus bas) avec certification des serveurs entre eux (réseau bancaire SWIFT, sorte de cooptation) et cryptage SSL/TLS.— Navigateur TOR : (The Onion Router) chaque paquet passe par un réseau aléatoire de serveurs qui changent l’adresse d’origine par la leur et cryptent le paquet pour le serveur suivant qui est le seul à pouvoir décrypter. Ralentit beaucoup. Journalisme en dictature, terrorisme, espionnage, pédophiles

Sécuriser son identité :— Mots de passe : les programmes de crack utilisent des listes de mots de passe courants, ou essayent toutes les combinaisons.— Exemple faciles à retenir : +1, ou phonétique (7ACO7LEV)— Sur les sites qu’on crée : Captcha pour éviter les robots— lire l’adresse avant de cliquer sur un lien lire la barre d’adresse quand on navigue, ne pas ouvrir les pièces jointes sans être sûr.

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Cryptage :On veut coder une message sur une ligne espionnée.On sait crypter avec des nombres (code Cesar, codes aussi longs que le message, Enigma…). Mais comment transmettre la clef si la ligne est espionnée ?RSA : cryptage asymétrique : on se sert de deux nombres premiers, et d’un troisième nombre qu’on obtient en les multipliant l’un par l’autre. On crypte avec les deux premiers, on décrypte avec le troisième nombre. Or il on ne sait pas décomposer rapidement un grand nombre en deux nombres premiers, même avec un ordinateur. Si on ne transmet QUE le troisième nombre, on sera seul à savoir écrire, même si tout le monde peut lire. (« signature » qui authentifie celui qui a écrit). Inversement, avec d’autres nombres, on pourra s’arranger pour que tout le monde puisse crypter, mais que seul celui qui connait la clef puisse lire. Dans un cas on diffuse des écouteurs mais on est le seul à avoir le micro, dans l’autre tout le monde a un micro, mais a le seul écouteur. RSA est utilisé pour les échanges financiers, les licenses de logiciel, les connexions https, etc...Il dépend du temps pour décomposer les nombres en nombres premiers avec de l’arithmétique ordinaire.Mais ordinateur quantique manipulant des nombres à plusieurs valeurs simultanées (qubit) pourrait y arriver beaucoup plus vite.PGP est la version libre. On y utilise RSA (lent) pour transmettre une clef classiqueBitCoin est un programme libre où tous les

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utilisateurs entretiennent le répertoire des utilisateurs, de leur avoir en Bitcoin et de leurs échanges de Bicoin. Répertoire et échanges sont cryptés et inviolables. Les Bitcoins ne sont que des nombres. Le programme garantit une quantité limitée de Bitcoins, les échanges sont transparents et la quantité de Bicoin connue. (pas de taxes ni de spéculation)On peut donc les traiter comme une matière première (comme l’or, en plus sûr) pour des d’échanges de valeurs.SSH sert à utiliser un ordinateur à distance. Il utilise le port 22 et le codage RSA.VPN : Virtual Private Network (ou tunneling) On code les paquets selon un protocole (FTP, SSH…) mais on les envoie par un autre (par exemple HTTP). On utilise SSH sécurisé, en passant par un « tunnel » HTTP non sécuriséCa permet par exemple de faire passer du SSH par le port 80 si la box a fermé le 22 par sécurité.

Paiement sécurisé :Conseil : mettre une gommette sur le « code securité » de votre carte vraie bleue (les trois chiffres au dos) évite aux voyeurs et videos indiscrètes de récupérer les éléments suffisants aux achats sur le net.— Ne jamais donner son code secret carte bleue sur le net, surtout pas à des sites qui se présentent comme sa banque ou son fournisseur internet.— Eviter au maximum de donner ses numeros écrits sur la carte bleus, dont celui au dos. Jamais si le site n’est pas en https

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— Si possible réserver au maximum aux sites officiels genre SNCF, et encore, où vous vois connectez vous et pas par un clic sur un lienVérifier toujours l’adresse dans la barre d’adresse.

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Solutions plus sûres :e-carte bleue est un service à demander la banque, gratuit dans certaines banquesComme pour la carte bleue, on reçoit identifiant et le code par courrier séparé.Quand il faut payer, on ouvre une fenêtre supplémentaire qui se connecte en https à la banque sur le site de e-carte bleueOn y donne identifiant, code, puis la somme à payerLa fenêtre affiche alors une carte bleue valable pour un seul achat d’au maximum cette sommeLa liaison avec la banque est sécurisée, séparée de celle du marchand, et on ne donne jamais le numero de votre vraie carte bleuePaypal à qui vous donnez vos vrais numeros de carte bleue, et qui la débite à votre place.C’est une sorte de banque par internet, qui se présente comme plein de garanties. On peut même donner des numeros de e-carte bleues à Paypal, mais il faut aller les effacer et renouveler à chaque achat :Paypal n’acceptent de gerer que 4 cartes, et ils ne

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rendent pas la gestion de ces cartes facile.

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Annexe : MIDI http://fr.audiofanzine.com/mao/editorial/dossiers/le-midi-les-midi-control-change.html

0   Sélection de banque1   Roue de Modulation2   Controleur de souffle (Breath controller)3 Non défini4   Pédale de pied continue5   Temps de Portamento6   Curseur d’entrée de données7   Volume8   Balance9 Non défini10 Panoramique11 Expression12 Controle d’effet 113 Controle d’effet 214 Non défini15 Non défini16 Réglage continu général 117 Réglage continu général 218 Réglage continu général 319 Réglage continu général 420..31 Non défini32 Sélection de banque (réglage fin) (voir n° 0)33 Roue de Modulation (réglage fin) (voir n° 1)34 Controleur de souffle (réglage fin) (voir n° 2)36 Pédale de pied continue (réglage fin) (voir n° 4)37 Temps de Portamento (réglage fin) (voir n° 5)38 Curseur d’entrée de données (réglage fin) (voir n° 6)39 Volume (réglage fin) (voir n° 7)40 Balance (réglage fin) (voir n° 8)42 Panoramique (réglage fin) (voir n° 10)43 Expression (réglage fin) (voir n° 11)44 Controle d’effet 1 (réglage fin) (voir n° 12)45 Controle d’effet 2 (réglage fin) (voir n° 13)46 Non défini (réglage fin) (voir n° 14)47 Non défini (réglage fin) (voir n° 15)48 Réglage continu général 1 (réglage fin) (voir n° 16)49 Réglage continu général 2 (réglage fin) (voir n° 17)50 Réglage continu général 3 (réglage fin) (voir n° 18)51 Réglage continu général 4 (réglage fin) (voir n° 19)52..63 Non défini (réglage fin) (voir n° 20..31)64 Pédale de maintien (on/off)65 Portamento (on/off)66 Pédale de soutien (on/off)67 Pédale d’étouffement (on/off)68 Pédale de légato (on/off)69 Pédale de maintien 2 (on/off)70 Variation (Controle de son n° 1)

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71 Timbre (Controle de son n° 2)72 Temps de relâchement (Release) (Controle de son n° 3)73 Temps d’attaque (Controle de son n° 4)74 Brillance (Controle de son n° 5)75 Controle de son n° 676 Controle de son n° 777 Controle de son n° 878 Controle de son n° 979 Controle de son n° 1080 Interrupteur général n° 1 (on/off)81 Interrupteur général n° 2 (on/off)82 Interrupteur général n° 3 (on/off)83 Interrupteur général n° 4 (on/off)84 Portamento Control85..87 Non défini88 High Resolution Velocity Prefix (réglage fin) (voir n° 7)89..90 Non défini91 Niveau d’effet92 Niveau de trémolo93 Niveau de Chorus94 Niveau de Vibrato (Celeste)95 Niveau de Phaser96 Bouton d’incrémentation de données97 Bouton de décrémentation de données98 Paramètre non référencé (Non-registered Parameter) (réglage fin)99 Paramètre non référencé (Non-registered Parameter) (réglage grossier)100 Paramètre référencé (Registered Parameter) (réglage fin)101 Paramètre référencé (Registered Parameter) (réglage grossier)102-119 Non défini120 Extinction des sons (All Sound Off)121 Arrêt des contrôleurs (All Controllers Off)122 Sélection du mode local (on/off)123 Extinction des notes (All Notes Off)124 Mode Omni Off125 Mode Omni On126 Mode Mono127 Mode Poly

 Remarque : les messages de control change utilisant le code de canal (choix possible entre 16 canaux MIDI destinataires), il est possible d’affecter des réglages différents pour chaque instrument d’un expandeur multi timbral (qui répond donc sur plusieurs canaux).

Sélection de banque (Bank Select) — Control change n° 0 (réglage grossier) et n° 32 (réglage fin)Aujourd’hui, la plupart des appareils MIDI possèdent un grand nombre de programmes (appelés Sons, Patch, instruments, Preset, Performances, etc...). Le message de Program Change ne permet qu’un choix limité à 128 Programmes. De ce fait, le Control change n° 0 (et 32) de sélection de banque est quelque fois utilisé pour changer de groupes de programmes. Pour accéder, par exemple, au son n° 129 d’un instrument qui en possède 256 (répartis en 2 banques de 128), on enverra un message de Control change n° 0 (Sélection de banque) avec une valeur de 1 (la première banque ayant la valeur 0), suivi

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par un message de program change avec une valeur de 0 pour choisir le premier son de la deuxième banque.Remarque : un message de sélection de banque doit être envoyé juste avant le message de programme change pour être pris en compte. Sinon, la nouvelle banque ne prendra effet que lorsque l’appareil recevra le prochain message de programme change.Résolution : sur 14 bits entre le Control change n° 0 et n° 32 permettant le choix entre 16 384 banques de 128 sons (ce qui donne 2 097 152 instruments possibles)La plupart des appareils n’utilisent que le Control change n° 0 (sans le n° 32 de réglage fin) car il est rare d’avoir plus de 128 banques de 128 sons (ce qui donne déjà 16 384 sons possibles).

Roue de modulation (Modulation Wheel) — Control change n° 1 (réglage grossier) et n° 33 (réglage fin)Positionne la valeur de la roue de modulation. Elle est souvent utilisée pour doser le taux d’effet de vibrato (variation cyclique de hauteur) ou de trémolo (variation cyclique d’amplitude) d’un son ou encore pour régler sa brillance (plus ou moins d’harmoniques aiguës). Les appareils MIDI permettent généralement de paramétrer l’affectation de la roue de modulation sur un effet particulier.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 1 et n° 33 permettant un réglage de la modulation sur 16 384 valeurs (la valeur 0 coupe l’effet de modulation).

Contrôleur de souffle (Breath controller) — Control change n° 2 (réglage grossier) et n° 34 (réglage fin)Positionne la valeur du contrôleur de souffle. Il s’agit d’un capteur placé dans la bouche du musicien qui est sensible aux variations de pression par le souffle, utilisé notamment pour moduler les sons de cuivre. Il est souvent utilisé pour doser le volume et/ou la brillance d’un son (permet d’obtenir un effet plus réaliste pour le musicien qui veut jouer à la manière d’un instrument à vent comme le saxophone, par exemple). Les appareils MIDI permettent généralement de paramétrer l’affectation du contrôleur de souffle à un ou plusieurs réglage(s) particulier(s) comme pour l’aftertouch.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 2 et n° 34 permettant un réglage du contrôleur de souffle sur 16 384 valeurs (la valeur 0 donne le minimum de pression du souffle).

Pédale de pied continue (Foot controller) — Control change n° 4 (réglage grossier) et n° 36 (réglage fin)Positionne la valeur du contrôleur au pied. Elle est souvent utilisée pour doser le volume (comme le potentiomètre) ou la brillance (comme une pédale wha-wha). Les appareils MIDI permettent généralement de paramétrer l’affectation du contrôleur au pied à un ou plusieurs réglage(s) particulier(s) comme pour l’aftertouch.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 4 et n° 36 permettant un réglage du contrôleur continue au pied sur 16 384 valeurs (la valeur 0 donne le minimum).

Temps de portamento (Portamento time) — Control change n° 5 (réglage grossier) et n° 37 (réglage fin)Positionne la vitesse avec laquelle l’effet de portamento (glissement de fréquence) va faire glisser le pitch entre deux notes.Remarque : un autre contrôleur (n° 65) mettra l’effet de portamento hors ou en service.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 5 et n° 37 permettant un réglage de la vitesse de portamento sur 16 384 valeurs (la valeur 0 donne la vitesse la plus lente).

Curseur d’entrée de données (Data Entry Slider) — Control change n° 6 (réglage

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grossier) et n° 38 (réglage fin)Positionne la valeur d’un paramètre référencé ou non référencé (RPN ou NRPN). Le paramètre affecté dépend du message RPN ou NRPN qui précède (lui même identifie le numéro de paramètre à régler). Les paramètres NRPN et RPN sont expliqué en détail plus loin.Sur certains appareils, ce contrôleur n’est pas utilisé en conjonction avec les messages RPN et NRPN. Il positionne alors directement la valeur d’un paramètre particulier à la manière du contrôleur continue au pied ou de l’aftertouch.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 6 et n° 38 permettant un réglage du paramètre correspondant sur 16 384 valeurs (la valeur 0 donne l’effet minimum et 8192 donne en général une valeur neutre).

Volume — Control change n° 7 (réglage grossier) et n° 39 (réglage fin)Positionne le volume général du canal sélectionné.Remarque : Pour régler le volume général d’un appareil multi timbral (Master volume — volume de toutes les parties), on utilisera un autre type de message (soit un message système exclusif universel de réglage de volume général, soit le contrôleur Général purpose slider n° 1).Le contrôleur d’expression affecte également le réglage de volume.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 7 et n° 39 permettant un réglage du volume sur 16 384 valeurs (la valeur 0 coupe le son). La plupart des appareils ignorent le réglage fin (Control change n° 39) et n’utilisent que le réglage grossier (Control change n° 7) ce qui porte la résolution à 128 (généralement suffisant pour l’oreille humaine qui ne discerne en général pas la différence de résolution sur le volume).

Balance — Control change n° 8 (réglage grossier) et n° 40 (réglage fin)Positionne la balance du canal sélectionné. Trés proche du réglage de Panoramique, la balance est généralement utilisée sur des parties comportant des sons stéréo (quand on veut ajuster le volume d’un élément stéréo sans changer sa position panoramique). Par exemple, sur un son de piano stéréo, l’élément de gauche comporte souvent plus de composantes basses (les cordes graves se trouvant à gauche du piano) tandis que l’élément de droite comporte plus de composantes aigues (les cordes aigues se trouvant à droite du piano) ; le réglage de balance aura pour effet d’accentuer aussi plus ou moins les graves ou les aigus dans ce cas, ce qui ne sera pas le cas pour le réglage du panoramique qui n’influencera que le positionnement dans l’espace stéréo.Le réglage de balance sera plus utilisé pour les sons stéréo, tandis que le réglage de panoramique le sera pour les sons mono.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 8 et n° 40 permettant un réglage de balance sur 16 384 valeurs (la valeur 8192 donne une balance centrale, 0 positionne tout sur la gauche et 16 383 tout sur la droite). La plupart des appareils ignorent le réglage fin (Control change n° 40) et n’utilisent que le réglage grossier (Control change n° 8) ce qui porte la résolution à 128 (généralement suffisant pour l’oreille humaine) où la valeur 64 donnera la position centrale, 0 portera tout le son sur la gauche et 127 sur la droite.

Panoramique — Control change n° 10 (réglage grossier) et n° 42 (réglage fin)Positionne le son du canal sélectionné dans l’espace panoramique stéréo. Trés proche du réglage de balance (voir les remarques associées), le réglage de panoramique est généralement utilisé pour ajuster chaque partie d’un instrument multi timbral dans l’espace stéréo, pour le mixage, de la même manière que le réglage de volume.Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 10 et n° 42 permettant un réglage du panoramique sur 16 384 valeurs (la valeur 8192 donne une position centrale, 0 positionne tout sur la gauche et 16 383 tout sur la droite). La plupart des appareils ignorent

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le réglage fin (Control change n° 42) et n’utilisent que le réglage grossier (Control change n° 10) ce qui porte la résolution à 128 (généralement suffisant pour l’oreille humaine) où la valeur 64 donnera la position centrale, 0 portera tout le son sur la gauche et 127 sur la droite.

Expression — Control change n° 11 (réglage grossier) et n° 43 (réglage fin)Positionne le volume relatif du canal sélectionné en rapport avec le niveau de volume général de la partie concernée. L’expression travaille en pourcentage du volume courant (lui même réglé par les contrôleurs n° 7 et 39) et la divise en 16 384 valeurs (ou 128 si on utilise le Control change n° 11 seul — sans le n° 43). Elle est donc plutôt utilisée pour régler des crescendos/decrescendos alors que le Control change n° 7 (et n° 39) est utilisé pour régler le volume (disons maximum) d’une partie (d’un canal). Quand l’expression est à 100 % (16 383, ou 127 si le réglage fin n’est pas utilisé), le volume réel correspond au niveau du réglage de volume général de la partie, tandis qu’à 0 % (valeur 0) le son est coupé.Remarque : Ce contrôleur est appelé expression car sur la plupart des appareils il agit en temps réel, contrairement au contrôle de volume qui met souvent quelques centièmes de secondes pour agir sur la partie (le réglage de « fading » parait saccadé dans ce cas). Il permet aussi de modifier la balance relative (le mixage) entre les parties en cours de jeu, sans avoir à changer le réglage de volume initial de chaque canal (ou piste).Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 11 et n° 43 permettant un réglage de l’expression sur 16 384 valeurs (la valeur 0 coupe le volume). La plupart des appareils ignorent le réglage fin (Control change n° 43) et n’utilisent que le réglage grossier (Control change n° 11) ce qui porte la résolution à 128 (généralement suffisant pour l’oreille humaine qui ne discerne en général pas la différence de résolution sur le volume).

Contrôle d’effet n° 1, 2 — Control change n° 12 ou 13 (réglage grossier) et n° 44 ou 45 (réglage fin)Change la valeur d’un paramètre relatif à un effet sur le canal sélectionné, comme par exemple le temps d’amortissement d’une réverb, la vitesse d’un cycle de chorus, etc...Remarque : le contrôle de niveau d’effet est géré par d’autres contrôleurs (n° 91 à 95)Etendue de réglage : sur 14 bits entre le Control change n° 12 (ou 13) et n° 44 (ou 45) permettant un réglage sur 16 384 valeurs (la valeur 0 donnant le réglage du minimum permis par le paramètre associé).

Réglage continu général n° 1, 2, 3 ou 4 (General Purpose Slider) — Control change n° 16, 17, 18 ou 19Change la valeur d’un paramètre préalablement choisi par le musicien à la manière d’un potentiomètre de réglage (on dispose de 4 réglages continus possibles). Il sont souvent utilisés de la même manière que la molette de modulation, le réglage d’aftertouch ou le contrôle d’expression, par exemple. Certains claviers maîtres disposent de 4 potentiomètres linéaires sur leur face avant que le musicien utilise souvent pour mixer plusieurs instruments entre eux (exemple : réglage d’un niveau de nappes par rapport à un piano en jeu simultané).Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin). La valeur 0 donne le réglage du minimum permis par le paramètre associé.

Pédale de maintien (Hold Pedal ou Sustain) - Control change n° 64Provoque le maintien des notes du canal sélectionné qui vont être relachées par le musicien (de la même manière qu’une pédale de maintien d’un piano — celle de droite — permet de conserver la résonance du son comme si les touches n’avaient pas été relachées).

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Remarque : le contrôleur d’arrêt de toutes les notes (n° 123) ne prendra effet qu’après le relâchement de la pédale de maintien.Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) signifie le relâchement de la pédale, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) signifie l’enclenchement de la pédale.

Portamento (Marche/arrêt) — Control change n° 65 Provoque la mise en ou hors fonction du portamento (effet de glissement de fréquence entre deux notes).Remarque : il existe des contrôleurs (n° 5 et 37) permettant le réglage du temps de portamento.Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) signifie la mise hors fonction de l’effet, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) signifie la mise en service de l’effet.

Pédale de soutien (Sustenuto) — Control change n° 66Fonctionne pratiquement comme la pédale de maintien (sustain), mis à part que seules les notes qui sont enfoncées au moment de l’appui sur la pédale seront maintenues après leur relachement (de la même manière qu’une pédale de soutien d’un piano — celle de gauche — permet de conserver la résonnance des notes « mémorisées au moment de l’appui » comme si les touches correspondantes n’avaient pas été relachées). Le fonctionnement de cette pédale, est généralement méconnue des musiciens, mais elle présente un grand avantage harmonique par rapport à la pédale de maintien.Remarque : le contrôleur d’arrêt de toutes les notes (n° 123) ne prendra effet qu’après le relâchement de la pédale de soutien.Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu. Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) signifie le relâchement de la pédale, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) signifie l’enclenchement de la pédale.

Pédale d’étouffement (Soft Pedal) — Control change n° 67Provoque l’étouffement des notes jouées en diminuant leur volume et éventuellement leur brillance (de la même manière qu’une pédale d’étouffoir d’un piano — la pédale centrale — permet de garder de bons rapports avec ses voisins lorsque l’on joue après 22 h).Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) signifie le relâchement de la pédale, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) signifie l’enclenchement de la pédale.

Pédale de legato (liaison) — Control change n° 68Provoque la liaison entre deux notes ; l’effet est généralement obtenu en ne réinitialisant pas l’enveloppe de la première note pour garder son déroulement sur la seconde — sans enclencher de nouvelle attaque sur le son (de la même manière qu’un violoniste jouera deux notes d’affilé en laissant son archer progresser dans le même sens).Remarque : l’utilisation de ce contrôleur permet aux claviéristes de simuler un jeu plus réaliste dans les phrasés utilisant par exemple, des bois ou des cuivres, où l’on joue souvent plusieurs notes consécutives sur une seule attaque de langue. L’effet est plus favorable au jeu de type monophonique (le jeu polyphonique s’y prêtant mal).Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne

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permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) signifie le relâchement de la pédale, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) signifie l’enclenchement de la pédale.

Pédale de maintien n°2 (Hold Pedal ou Sustain) - Control change n° 69Provoque l’extinction plus lente des notes relâchées sur le canal sélectionné ; l’effet est généralement obtenu par le prolongement de temps de release. Contrairement à l’autre pédale de maintien (Control change n° 64), elle n’assure pas le maintien permanent des notes tant que la pédale est enfoncée, mais elle prolonge simplement l’extinction des sons. L’action cumulée des deux pédales est possible : après relâchement de la pédale de maintien n° 1, si la pédale de maintien n° 2 est enclenchée, un effet de résonance plus important sera obtenu.Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) signifie le relâchement de la pédale, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) signifie l’enclenchement de la pédale. Variation (contrôle de son n° 1) — Control change n° 70Provoque le changement d’un paramètre de son sur le canal sélectionné (peut servir à régler les VCA, VCF, enveloppes, ajuster la fréquence de coupure du filtre, l’accordage ou autre).Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les paramètres d’attaque et de relâchement de VCA, de fréquence de coupure de VCF, ou d’autres paramètres génériques de sons.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin), la valeur 0 donnant le réglage du minimum permis par le paramètre associé.

Timbre/Intensité harmonique (contrôle de son n° 2) — Control change n° 71Contrôle le niveau de l’enveloppe du filtre (VCF) pour changer la variation de brillance du son sur le canal sélectionné.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les paramètres d’attaque et de relâchement de VCA ou d’autres paramètres génériques de sons.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin), la valeur 0 donnant l’effet de brillance minimum.

Temps de relâchement (Release — contrôle de son n° 3) — Control change n° 72Contrôle le temps de relâchement sur l’enveloppe de l’amplificateur (VCA) pour changer la longueur de disparition du son sur le canal sélectionné.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les paramètres d’attaque de VCA, de fréquence de coupure de VCF, ou d’autres paramètres génériques de sons.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin) (la valeur 0 donnant généralement le temps de relâchement le plus lent).

Temps d’attaque (contrôle de son n° 4) — Control change n° 73Contrôle le temps d’attaque sur l’enveloppe de l’amplificateur (VCA) pour changer la longueur de l’arrivée du son sur le canal sélectionné.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les paramètres de relâchement de VCA, de fréquence de coupure de VCF, ou d’autres paramètres génériques de sons.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin) (la valeur 0 donnant généralement le temps d’attaque le plus lent).

Brillance (contrôle de son n° 5) — Control change n° 74

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Contrôle la fréquence de coupure du filtre (VCF) pour changer la brillance du son sur le canal sélectionné.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les paramètres d’attaque et de relâchement de VCA ou d’autres paramètres génériques de sons.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin), la valeur 0 donnant l’effet de brillance minimum.

Contrôle de son n° 6, 7, 8, 9 et 10 — Contrôleurs n° 75, 76, 77, 78, 79Provoquent le changement de paramètres de sons sur le canal sélectionné (peuvent servir à régler les VCA, VCF, enveloppes, ajuster la fréquence de coupure du filtre, l’accordage ou autre).Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les paramètres d’attaque et de relâchement de VCA, de fréquence de coupure de VCF, ou d’autres paramètres génériques de sons.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin), la valeur 0 donnant le réglage du minimum permis par le paramètre associé.

Interrupteur général n° 1, 2, 3 ou 4 (General Purpose Button) — Contrôleurs n° 80, 81, 82, 83Provoquent la mise en ou hors service d’une fonction sur le canal sélectionné. Ces contrôleur peuvent être utilisés, par exemple, pour commander un punch In punch Out, mettre en marche un métronome sur un séquenceur, ou d’une façon générale commander tout marche/arrêt d’une fonction quelconque.Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) commande l’arrêt, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) commande la marche.

Origine du Portamento — Control change n° 84Le portamento ira de la note spécifiée par le contôleur jusqu’à la prochaine note

jouée.nn = note from which to start glide of next note. Affects only the next Note-On message on the same MIDI channel as this message. This makes the next note glide from the value specified in this message, nn to the value of the Note-On message.

Niveau d’effet (Effect Level) — Control change n° 91Règle le niveau d’envoi d’effet pour le canal sélectionné. Il s’agit souvent du niveau de réverb ou de délai.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les effets de Trémolo, de Chorus, de Vibrato ou de Phaser (Phasing).Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin). La valeur 0 annule le niveau d’effet et la valeur 127 donne le maximum d’effet).

Niveau de trémolo — Control change n° 92Règle le niveau de trémolo pour le canal sélectionné. Il s’agit d’un effet de variation cyclique d’amplitude.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les effets de Réverb, de Chorus, de Vibrato ou de Phaser (Phasing).Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin) (la valeur 0 annule le niveau d’effet et la valeur 127 donne le maximum d’effet).

Niveau de Chorus — Control change n° 93

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Règle le niveau de Chorus pour le canal sélectionné. Il s’agit d’un effet de doublage du son (léger retard ou désaccordage).Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les effets de Réverb, de Trémolo, de Vibrato ou de Phaser (Phasing).Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin) (la valeur 0 annule le niveau d’effet et la valeur 127 donne le maximum d’effet).

Niveau de Vibrato (Celeste) — Control change n° 94Règle le niveau de Vibrato pour le canal sélectionné. Il s’agit d’un effet de variation cyclique de fréquence.Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les effets de Réverb, de Trémolo, de Chorus ou de Phaser (Phasing).Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin) (la valeur 0 annule le niveau d’effet et la valeur 127 donne le maximum d’effet).

Niveau de Phaser — Control change n° 95Règle le niveau de Phaser pour le canal sélectionné. Il s’agit d’un effet de doublage du son (léger retard ou désaccordage modulé provoquant un balayage d’harmoniques).Remarque : il existe d’autres contrôleurs pour ajuster les effets de Réverb, de Trémolo, de Vibrato ou de Chorus.Etendue de réglage : sur 8 bits permettant un réglage sur 128 valeurs (pas de réglage fin). La valeur 0 annule le niveau d’effet et la valeur 127 donne le maximum d’effet.

Bouton d’incrémentation de données (Data Button Increment) — Control change n° 96Incrémente la valeur du paramètre courant (ie ajoute 1 à cette valeur). Généralement utilisé pour les paramètres référencé ou non référencé (RPN ou NRPN). Le paramètre affecté dépend du message RPN ou NRPN qui précède (lui même identifie le numéro de paramètre à régler). Les paramètres NRPN et RPN sont expliqués en détail plus loin.Etendue de réglage : l’octet de donnée est inutilisé (le contrôleur se suffit à lui même) et est généralement mis par défaut à 0.

Bouton de décrémentation de données (Data Button Decrement) — Control change n° 97Décrémente (retranche 1 à) la valeur du paramètre courant. Généralement utilisé pour les paramètres référencé ou non référencé (RPN ou NRPN). Le paramètre affecté dépend du message RPN ou NRPN qui précède (lui même identifie le numéro de paramètre à régler). Les paramètres NRPN et RPN sont expliqués en détail plus loin.Etendue de réglage : l’octet de donnée est inutilisé (le contrôleur se suffit à lui même) et est généralement mis par défaut à 0.

Paramète référencé (Registered Parameter Number - RPN) — Control change n° 101 (réglage grossier) et n° 100 (réglage fin)Sélectionne le paramètre référencé (RPN) qui sera modifié par le bouton d’incrémentation de données, le bouton de décrémentation de données ou le curseur d’entrée de données. Il identifie donc le numéro de paramètre à régler.Etendue de choix des paramètres : sur 14 bits entre le Control change n° 101 et n° 100 permettant un choix sur 16 384 paramètres référencés (On a donc pas mal de paramètres de contrôle MIDI disponibles pour pouvoir régler un appareil).Ces paramètres sont répertorié par l’IMA (International MIDI Association) ; tous les constructeurs doivent normalement les prendre en compte. Un réglage de paramètre référencé comporte au moins 3 messages de contrôle change (de trois octets chacun) du

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type :Control change n° 101 (RPN MSB) + N° paramètre à régler (MSB)Control change n° 100 (RPN LSB) + N° paramètre à régler (LSB)Control change n° 6 (Data Entry MSB) + réglage (MSB)Control change n° 38 (Data Entry LSB) + réglage (LSB)où MSB = Octet de poids fort (réglage grossier)et LSB = Octet de poids faible (réglage fin)On peut également utiliser les interrupteurs d’incrémentation/décrémentation de données (contrôleurs n° 96 et 97) à la place des curseurs d’entrée de données (contrôleurs n° 6 et 38), ce qui donnerai :Control change n° 101 (RPN MSB) + N° paramètre à régler (MSB)Control change n° 100 (RPN LSB) + N° paramètre à régler (LSB)Control change n° 96 ou 97 (Data Increment/Decrement) + 0— Paramètre n° 0 : Réglage de l’étendue du Pitch BendLa définition de l’étendue se règle par demi-tons pour le réglage grossier (curseur d’entrée de données grossier — Control change n° 6), et par centième pour le réglage fin (curseur d’entrée de données fin — Control change n° 38). Par exemple, pour obtenir une étendue de pitch Bend sur 1 ton et 5 centièmes sur l’instrument affecté au canal 0, on enverra les 4 messages suivants :10 110 000 011 00000000 Control Change/canal 0 (176), RPN MSB(101), Etendue de Pitch bend (0)10 110 000 011 00000000 Control Change/canal 0 (176), RPN LSB (100), Etendue de Pitch bend (0)10 110 000 000 00000010 Control Change/canal 0 (176), curseur d’entrée de données (6), +/— 2 demi-tons (2)10 110 000 001 00000101 Control Change/canal 0 (176), curseur d’entrée de données fin (38), +/— 5 cents (5)— Paramètre n° 1 : Réglage de l’accord général (Master Tune)La définition de l’étendue se règle par demi-tons pour le réglage grossier (Curseur d’entrée de données grossier — Control change n° 6), et par centième pour le réglage fin (Curseur d’entrée de données fin — Control change n° 38) la valeur 8192 donnant le La 440 Hz. Par exemple, pour accorder l’instrument affecté au canal 0 au La 440 Hz, on enverra les 4 messages suivants :10 110 000 011 00000000 Control Change/canal 0 (176), RPN (101), Réglage d’accord (0)10110000 01100100 00000001 Control Change/canal 0 (176), RPN fin (100), Réglage d’accord (1)10 110 000 000 00100000 Control Change/canal 0 (176), curseur d’entrée de données (6), mi-course (64)10 110 000 001 00000000 Control Change/canal 0 (176), curseur d’entrée de données fin (38), 0 cents (0)ou bien à 1 centième près :10 110 000 011 00000000 Control Change/canal 0 (176), RPN (101), Réglage d’accord (0)10 110 000 011 00000001 Control Change/canal 0 (176), RPN fin (100), Réglage d’accord (1)10 110 000 000 00011111 Control Change/canal 0 (176), curseur d’entrée de données (6), — 1 demi-ton (63)10 110 000 001 01111111 Control Change/canal 0 (176), curseur d’entrée de données fin (38), +99 cents (127)

Paramètre non référencé (Non Registered Parameter Number - NRPN) — Control change n° 99 (réglage grossier) et n° 98 (réglage fin)Sélectionne le paramètre non référencé (NRPN) qui sera modifié par le bouton

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d’incrémentation de données, le bouton de décrémentation de données ou le curseur d’entrée de données. Il identifie donc le numéro de paramètre à régler.Etendue de choix des paramètres : sur 14 bits entre le control change n° 99 et n° 98 permettant un choix sur 16 384 paramètres non référencés.Chaque fabriquant assigne les paramètres non référencés à des fonctions spécifiques de leurs appareils. Il ne sont donc pas gérés par l’IMA. Ces paramètres sont donc propres à chaque constructeur, mais il arrive souvent qu’ils soient identiques.

Extinction des sons (All Sound Off) - Control change n° 120Provoque la coupure immédiate du son, sur le canal sélectionné, des notes reçues via l’entrée MIDI IN, non seulement comme si un message de note off avait été envoyé sur toutes les notes jouées, mais aussi en coupant leur éventuelle relâchement. La différence entre le contrôleur d’extinction des notes et celui d’extinction des sons, est que ce dernier coupe immédiatement le son de la partie concernée (du canal) quelque soit l’état de la pédale de maintien, sans laisser le temps aux enveloppes de se terminer (coupure du release).Remarque : certains appareils n’implémentent pas ce contrôleur (il s’agit entre autres de ceux qui comportent un clavier de commande et pour lesquels le générateur de son ne sait pas faire la distinction entre les notes reçues via MIDI IN et celles jouées sur le clavier).Etendue de réglage : l’octet de données est inutilisé (le contrôleur se suffit à lui même) et est généralement mis par défaut à 0.

Arrêt des contrôleurs (All Controllers Off) - Control change n° 121Provoque la réinitialisation de tous les contrôleurs du canal sélectionné, en leur donnant leur valeur par défaut. Cela signifie que tous les interrupteurs sont coupés (relâchement des pédales de maintien, de soutien, d’étouffoir, coupure du portamento...) et que les contrôleurs continus sont remis dans leur position neutre ou minimum (retour de la roue de modulation à 0, Pitch Bend en position centrale, coupure des effets...).Etendue de réglage : l’octet de donnée est inutilisé (le contrôleur se suffit à lui même) et est généralement mis par défaut à 0.

Sélection du mode local (Local keyboard on/off) — Control change n° 122Provoque le passage du clavier en mode local ou non, sur le canal sélectionné. Lorsque l’interrupteur est mis sur off, le clavier se déconnecte du générateur de son, ce qui a pour effet de ne plus déclencher les sons internes ; par contre les messages MIDI générés par le clavier continuent à être envoyés sur la sortie MIDI OUT. Par ce biais, il est possible de supprimer les problèmes de retour MIDI, particulièrement dans les câblages avec séquenceurs.Etendue de réglage : il s’agit d’un contrôleur Tout ou Rien (comme un interrupteur) qui ne permet pas de réglage continu.Une valeur de 0 (ou comprise entre 0 et 63) commande l’arrêt, et une valeur de 127 (ou comprise entre 64 et 127) commande la marche.

Extinction des notes (All Notes Off) — Control change n° 123Provoque la coupure de toutes les notes reçues via MIDI IN, sur le canal sélectionné, sauf celles actuellement jouées par le musicien sur le clavier de commande local. Ce message est également prioritaire sur la pédale de maintien (voir aussi le contrôleur d’extinction des sons et les remarques associées).Remarque : certains appareils n’implémentent pas ce contrôleur (il s’agit entre autres de ceux qui comportent un clavier de commande et pour lesquels le générateur de son ne sait pas faire la distinction entre les notes reçues via MIDI IN et celles jouées sur le clavier). Si l’appareil est en mode Omni On, il peut ignorer ce contrôle sur tous les canaux.

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Etendue de réglage : l’octet de donnée est inutilisé (le contrôleur se suffit à lui même) et est généralement mis par défaut à 0.Sélection des modes MIDI (contrôleurs 124 à 127)Lorsqu’un appareil reçoit un de ces messages, il coupe automatiquement les notes jouées sur le canal concerné.Etendue de réglage : l’octet de donnée est généralement inutilisé (les contrôleurs se suffisent en eux même), et est généralement mis par défaut à 0 (sauf pour le mode 4 : OmniOff/Mono où il peut avoir une signification particulière).

Omni Off — Control change n° 124Provoque l’arrêt du mode Omni sur le canal sélectionné (voir détail des modes MIDI). Il force l’appareil récepteur à ne prendre en compte que les messages correspondants au canal qui lui a été assigné. Les modes Omni On et Omni Off s’annulent mutuellement.

Omni On — Control change n° 125Provoque le passage en mode Omni sur le canal sélectionné (voir détail des modes MIDI). Il force l’appareil récepteur à prendre en compte les messages de tous les canaux.

Mode Mono — Control change n° 126Provoque le passage en mode Mono (coupe le mode Poly) sur le canal sélectionné (voir détail des modes MIDI). Il force l’appareil de réception à jouer en mode monophonique, c’est à dire à ne jouer qu’une seule note à la fois. Si plusieurs notes sont enfoncées exactement en même temps, un ordre de priorité ne fera jouer que la plus aigue (ou la plus grave suivant les appareils), sinon c’est la dernière qui a été enfoncée qui jouera. Les modes Mono et Poly s’annulent mutuellement.

Mode Poly — Control change n° 127Provoque le passage en mode Poly (coupe le mode Mono) sur le canal sélectionné (voir détail des modes MIDI). Il force l’appareil de réception à jouer en mode polyphonique, c’est à dire à permettre de jouer plusieurs notes en même temps.Remarque : il ne faut pas confondre polyphonie (possibilité de jouer plusieurs notes simultanément : par exemple, des accords) et multitimbralité (possibilité de jouer de plusieurs timbres différents ensembles en utilisant un seul générateur de sons : par exemple, un piano, une trompette et un violon en même temps). Un appareil qui respecte le standard Général Midi doit pouvoir jouer sur une polyphonie d’au moins 24 notes (ou voix) et avoir une capacité multi timbrale d’au moins 16 timbres (autant que de canaux MIDI). Modes :ModesCes quatre contrôleurs sont utilisés conjointement (Control change n° 124, 125, 126 et 127) pour obtenir le fonctionnement des appareils MIDI dans quatres modes différents :Mode 1 — Omni On/Poly (Control change n° 125 + 127)L’appareil concerné par l’adresse du canal, joue toutes les données MIDI reçues, sur les 16 canaux, en utilisant les capacités polyphoniques de l’instrument (Pour chaque canal, on affecte une nouvelle voix à chaque nouveau message de Note On dans la limite des voix disponibles).Mode 2 — Omni On/Mono (Control change n° 125 + 126)L’appareil concerné par l’adresse du canal joue également les données MIDI reçues, sur les 16 canaux, sauf qu’il jouera en mode monophonique, même si l’instrument a des capacités polyphoniques.Mode 3 — Omni Off /Poly (Control change n° 124 + 127)L’appareil concerné par l’adresse du canal, joue les données MIDI qui sont reçues, sur un

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seul canal prédéfini, en utilisant les capacités polyphonique de l’instrument.Mode 4 — Omni Off /Mono (Control change n° 124 + 126)L’appareil concerné par l’adresse du canal, joue les données MIDI qui sont reçues, sur un seul canal prédéfini, en mode monophonique, même si l’instrument a des capacités polyphoniques.

Running StatusAfin d’accélérer les transmissions et de réduire les besoins de stockage, la norme MIDI prévoit enfin le Running Status (littéralement Statut courant) : si un message est terminé et qu’il est suivi d’octets de données sans octet de statut, on considère que le dernier statut doit être pris en compte. Ceci est particulièrement utilisé dans le cas de messages Note-On, Pitch bend, ou surtout Control Change.

Messages systèmesLes messages système s’appliquent à une machine en général et non plus seulement à l’un des seize canaux MIDI (le code de canal sur les 4 bits de poids faible de l’octet de statut n’est donc pas utilisé).On peut les regrouper en trois catégories :Les messages système exclusifsLa première catégorie de messages système concerne les messages système exclusifs, souvent abrégés « sysex ». Ils disposent d’une entête et d’une terminaison normalisées, mais peuvent contenir entre les deux n’importe quel type d’informations : leur définition est réservée aux constructeurs de matériel MIDI. Différents d’une machine à l’autre, ils permettent généralement de modifier les sons, d’effectuer des transferts de la mémoire (dumps) etc...Les messages système communsLa seconde catégorie est celle des messages système communs, parmi lesquels « Song Position Pointer » qui positionne une machine (séquenceur, boîte à rythmes...) à un endroit précis d’un morceau, « Song Select » qui sélectionne l’un des 128 morceaux de cette même machine, ainsi que « Tune Request », qui demande aux synthétiseurs analogiques d’accorder leurs oscillateurs.Les messages système temps-réelLa troisième catégorie de messages système regroupe quant à elle les messages dits temps réel, susceptibles d’intervenir à n’importe quel moment, même au milieu d’un autre message. Deux d’entre eux sont actuellement non définis et réservés à de futures extensions de la norme. Les autres concernent la synchronisation de plusieurs machines (« Timing clock », « Start », « Stop » ou « Continue »), la réinitialisation complète du synthétiseur (« System Reset »), ou le test cyclique de la liaison MIDI (« Active Sensing »).

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Annexe : ZynaAddSubFX

1 Les bases:

1.1 la largeur de bande de chaque harmonique :C’est elle qui détermine la qualité du son d’un instrument.

C’est un aspect très peu documenté. Quand on synthétise un son (piano, chœur, orgue etc.. ) avec seulement fréquence+harmonies, ça sonne toujours artificiel, même en ajoutant vibrato ou tremolo. En effet, les sons naturels ne sont pas strictement périodiques, mais quasi-périodiques : le nombre des fréquences (spectre) évolue au cours du son. Et l’étalement est plus grand avec les sons aigüs : Pour une fréquence de 440 Hz avec largeur de 10 Hz (435 à 445 Hz), à 880 Hz ont doit étaler de 20 Hz La formule est : BW=n* bw1 (bw est la largeur de bande à la fréquence de base, n l (ordre de l’harmonique, BW est la largeur de bande qu’on doit avoir pour cet ordre)Pour y arriver on ajoute le son légèrement désaccordé (ADsynth), ou on ajoute un bruit blanc filtré (SUBsynth), ou on fait une transformée de Fourrier inverse (IFFT) avec des phase aléatoires pour arriver à avoir le bon spectre.1.2 l’imprévisibilité du son :

Un son naturel n’est jamais deux fois le même. Dans ZynAddSubFX, ADSynth a une fonction Randomness, SubSynth n’en a pas besoin car il part d’un bruit blanc. Pour le PADSynth, le départ de son est systématiquement tiré au hasard.1.3 Réduire la force des harmoniques élevées pour les notes faibles :Les notes à faible vélocité ont moins d’énergie, donc moins de hautes harmoniques : on filtre, ou on réduit la plage de synthèse en FM

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1.4 L’étalement du spectre doit être le même à toute frequence :

Plus un son est aigu, moins ses harmoniques sont nombreuses, comme dans les instruments naturels en raison des résonances. Le Do2 d’un piano joué 8 fois plus vite n’ura pas le timbre d’un Do5 de piano : les harmoniques auront été resserrées aussi. Dans ZynAddSubFXon peut ajouter de la résonance dans ADsynth et SUBsynth

2 Les composants de ZynAddSubFX :Noter que tous les indices partent de 0 (et non de 1) pour les

canaux MIDI, les Part, les Effets… (la premiere Part est la Par 0)— chaque Parts est un instrument (contenant un ADsynth et un SUB synth), qui reçoit ses notes par un des canaux MIDI — La sortie de chaque Part passe ensuite par des « Insertion Ettects » successifs (chaque Part a ses propres effets)— Les sorties de toutes les Parts sont réunies dans le « Part Mixer » et subissent les « System Effects »— Le tout passe ensuite dans le Master Mixer qui envoie vers la sortie son2.1 Les composants de ZynAddSubFX pour une note :

(principe développé précédemment dans « Paul’s Sound Designer »)ADSynth fait la somme d’oscillateurs avec chacun leur enveloppeSUBsynth part d’un bruit blanc et de filtres, les deux sont mixés et donnent la note

3 Interface utilisateur de ZynAddSubFX :Les cases bleues C et P un peu partout sont pour faire des Copy et Paste(insere)Trois échelles de paramètres :— Master settings : effets, instruments— Instruments : dans chaque instrument on règle ADnote et

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SUBnote— Scale : réglages des tonalités plus finement que le par demi-ton3.1 Enveloppe :

Misc/Switch User Interface/ case Edit Instrument/ADSynth case Edit case Amplitude Par les boutons classique Attack Decay Sustain Release visu graphique : lettre E de CPECocher FreeMode pour éditer sur la vue graphique. Stretch allonge l’enveloppe pour les gravesEn FreeMode, on déplace, ajoute ou enlève des points. Sust règle le point de Susiain (0 : sans)L : lineaire, sinon on est en logarithmique (en décibels) frcR : force à sauter au point release dès que la touche est relachée, au lieu de suivre la courbe.3.2 Filtre (formant) : pour faire des voyelles Misc/Switch User Interface/ case Edit Instrument/ADSynth case Edit case Filter, Filter Parameter, Category: formant Edit. Determine l’amplitude des fréquences qui passentParamètres des formants :Num.Formants : nombre de filtres Fr.Sl : lenteur du formant (évite les transitions brusques entre voyelles)Vw.Cl : pureté de la voyelle (évite les mélanges de voyelles)C.F: fréquence médiane du graphiqueOct : nombre d’octaves affichéesParamètres des Voyelles :Vowel no: numero de voyelle Formant:formant affiché freq : frequence de ce formant Q : sa largeur de bande amp : son amplitudeParamètre de Sequence : Décide de la voyelle jouée en fonction des entrées de l’enveloppe du filtre et du LFOSeq Size : nombre de voyelles S.Pos : position actuelle Vowel : voyelle à cette positionStretch : taux de compression Neg Input : si on inverse la sequence

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3.3 Fenêtre principale :(A suivre ...)

5. Controleurs :Les boutons réel devront être réglés pour envoyer ces messages Messages Control General MIDI reconnus:— Molette Pitch bend, Roue Modulation wheel (Controller 1),

Volume (no. 7), Pan (no. 10)— Expression (no. 11), Sustain (no. 64),

Portamento On/Off (no. 65), — Filter Q (no. 71), Filter cutoff (no. 74)— All sound off (no. 120), Reset all controllers (no. 121),

All notes off (no. 123)Messages Control spécifiques interprétés par Zynadd :— Sound control 6 (no. 75) Largeur de bande.

Valeur par défaut : 64— Sound control 7 (no. 76) Modulation amplitude

pour les modulateurs ADsynth. valeur par défaut : 127— Sound control 8 (no. 77) Fréquence centrale de résonance — Sound control 9 (no. 78) Largeur de bande de résonance.Messages pour les effets passés par Control NRPN (Non Registered Parameters Number) Si on n’en veut pas, décocher NRPN à côté du bouton Master Volume en haut à gaucheSyntaxe en 12 octet par message :0xB0 (NRPN) 0x63=99 (Control High) 0xnn (type : 4 pour un effet System, 8 pour un effet Insertion)0xB0 (NRPN) 0x62=98 (Control Low) 0xnn (effet : numero de l’effet (en commençant par 0)0xB0 (NRPN) 0x06 = 6 (Data High) 0xnn (param:numero du paramètre de l’effet)0xB0 (NRPN) 0x26 =38 (Data Low) 0xnn (valeur : valeur à donner au paramètre, 0 à 127 sauf précision)

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Reverb param:00 — Volume or Dry/Wet 01 — Pan 02 — Reverb Time 03 — Initial Delay 04 — Initial Delay Feedback 05, 06 — reserved 07 — Low Pass 08 — High Pass 09 — High Frequency Damping [64..127] 64=no damping 10 — Reverb Type [0.. 1] 0 — Random, 1 — Freeverb

11 — Room SizeEcho param :00 — Volume or Dry/Wet 01 — Pan 02 — Delay 03 — Delay between left and right 04 — Left/Right Crossing 05 — Feedback 06 — High Frequency DampChorus param :00 — Volume or Dry/Wet 01 — Pan 02 — LFO Frequency 03 — LFO Randomness 04 — LFO Type [0.. 1] 05 — LFO Stereo Difference 06 — LFO Depth 07 — Delay 08 — Feedback 09 — Left/Right Crossing 10 — reserved

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11 — Mode [0..1] (0=add, 1=subtract)Phaser param :00 — Volume or Dry/Wet 01 — Pan 02 — LFO Frequency 03 — LFO Randomness04 — LFO Type [0.. 1] 05 — LFO Stereo Difference 06 — LFO Depth 07 — Feedback 08 — Number of stages [0..11] 09 — Let/Right Crossing 10 — Mode [0..1] (0=add, 1=subtract) 11 — PhaseAlienWah param:00 — Volume or Dry/Wet 01 — Pan 02 — LFO Frequency 03 — LFO Randomness 04 — LFO Type [0.. 1] 05 — LFO Stereo Difference 06 — LFO Depth 07 — Feedback 08 — Delay [0..100] 09 — Left/Right Crossing 10 — PhaseDistortion param:00 — Volume or Dry/Wet 01 — Pan 02 — Left/Right Crossing 03 — Drive 04 — Level 05 — Type [0..11] 06 — Invert the signal (negate) [0..1]

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07 — Low Pass 08 — High Pass 09 — Mode [0.1] (0=mono, 1=stereo)EQ param:00 — GainOn écrit les autres paramètres de EQ autrement. Si Nest la bande de fréquence, (en commençant par la bande 0)10+N*5 — Change the mode of the filter [0.. 9]

11+N*5 — filter frequency of the band 12+N*5 — filter gain of the band 13+N*5 —filter Q (bandwidth or resonance)of the band 14+N*5 — reservedExemple : Changer le gain du filtre de la 2e bande N=1, ce qui donne 12+N*5=17, le numéro de paramètre sera donc 17.

MidiPipe : Boutons MIDI pour ZynAddSubFx

1— Brancher dans l’ordre :1 — Clavier branché2— MidiPipe3-JackPilot, Demarrer4— Zynadd5— Jack Routage : Zyn->System, Sysmidi->Zyn6— Zynadd Instrument Synth/Soft Synth 27— Bouger les boutons en position mediane

2— Interfacer MDIPipe pour Jack+ZynMidi In : MasterKeyMessage Converter

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AList (cocher juste Control/Mode Change)Midi Out : BUS IAC2, ou virtual 1, ou virtual 2 mais pas IAC1 ni MidiPipeSortie1

3— CC du clavier, CC lus par ZynAdd : ZYnAdd MasterkeyAll snd off CC 120Reset all CC 121All notes off CC123Volume CC 07Volume CC 07 comme Expression CC11, mais conseillé pour volume global sur tous les canauxRoueMod CC 01FilterCutOff CC 74 Bouton1 CC 74Filter Q CC 71 Bouton 2 CC 71

Bouton 3 CC 73Bouton 4 CC 72

PanStere CC 10 Stereo droite/gaucheExpressio CC 11 Volume, comme CC 07, mais conseillé pour crescendo d’un seul canalSustain CC 64 On/Off. On si > 64Portamen CC 65 On/Off. On si > 64ZynSndCrl6 CC 75 Largeur de bande. valeur par défaut : 64 Richesse en harmoniques du son (longs, genre orgue) ++ZynSndCrl7 CC 76 Modulation amplitude ADsynth.défaut:127 (peu audible, sauf instr. Rhodes 4)ZynSndCrl8 CC 77 Fréquence centrale de résonance (peu audible, sauf Instrument Reed 1 à 8)ZynSndCrl9 CC 78 Largeur de bande de résonance (peu audible, sauf Instrument Reed 1 à 8)

4— Traduire les CC non lus par Zynadd :a - Conversion simple de CC: Message Converter Exemple : bouton 3 (CC 73) pour contrôler la stereo (CC 10 Pan)

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— Griser Control Change à gauche, dérouler 73 (3eme bouton) en entrée— Griser Control Change à gauche, dérouler 10 (Pan en sortie)

b - Message spécifiques à passer par NRPN en 4 CC :Des contrôles de Zynadd sont passés par des messages NRPN

(Non Registered Parameters Number) par quatre CC(Si on n’en veut pas, décocher NRPN à côté du bouton Master Volume en haut à gauche)1er CC= CC 99 (NRPN High) nn

(type : 4 pour un effet System, 8 pour un effet Insertion)2e CC = CC 98 (NRPN Low) nn

(numero de l’effet en commençant par 0)3e CC = CC 06 (Data High) nn

(numero du paramètre de l’effet)4e CC = CC 38 (Data Low) nn

(valeur à donner au paramètre, 0 à 127 sauf précision)

On utilise l’outil Message Factory :En MIDI, un Message :

CC=1 octet Status + 2 octets Datas valeur du parametre Exemple : si on veut que le bouton 73 change le volume aussi : — Trigger : Control Change 73 valeur coché 0-127 traverser coché

(le bouton 73 activera l’émission des messages)— Messages :Status Byte 0xB0 =176 CC Chanel 1Data Byte 1 0x73=115 CC 73

(ou 07 pour le volume. ou 99 pour NRPN MSB)Data Byte 2 Trigger Byte 3 la donnée lue dans le 3e octet du message originel : 175/115/donnée (CC Chanel 1, CC73, donnée)

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Exemple pour ZynAdd :Pour que le bouton 3 (CC 73) devienne un NRPN à ZynAdd (NRPN=donc en quatre messages MIDI : 3 Messages Factory+le message Data original du bouton)— Créer 3 Messages Factory avec Trigger Control Change 73, valeur coché 0-127, traverser coché pour le Message Factory suivant. Les messages Factoty seront:176 99 4 CC Chanel 1/NRPN High/= 4 pour un effet System

(8 pour un effet Insertion)176 98 0 CC Chanel 1/NRPN Low/= Effet numero 1

(on suppose qu’on a mis l’Echo comme Sys.Effect No 1)176 06 0 CC Chanel 1/Data High/= 0 Paramètre Volume

— Et un Message converter CC 73-> CC 38 (Data Low) pour que le

CC Status=176 Byte1=115 Byte 2=xx devienne

CC Status=176 Byte1=38 Byte 2=xxet « consommer » le message MIDI

Essayer avec l’instrument Rhodes/Echo RhodesPour activer l’effet, défiler Sys.Effect No sur 1, dérouler EffType=Echo et dessous, tourner le bouton 1 de To.Sys.Efx à fond

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Annexe : Make Human

Make Human & Blender :Programme à part pour créer des formes humaines qui seront déformées et animées dans Blender. Pour l'utiliser avec Blender, on doit installer des plugins fournis pour Blender.

1 — Dans le Finder :Aller dans ~/Library/Application Support/Blender/2.70/scripts/addons(créer les dossiers scripts/addons) et les mettre dedans

2 — Dans Blender aller dans File/User Preferences/System/Addons (Liste) Cocher pour activer

— Import-Export : Import : Make Human (.mhx)— MakeHuman : les trois— Armatures : (Rigging en anglais) Rigging: Rigify

File/User Preferences/Files/ Cocher Execution automatique : Lancement auto scripts PythonNe pas oublier de cliquer Enregistrer preferences utilisateur en bas !

3 — Passage d’un modèle de Make Human à Blender :Dans Make Human:

Export/Fichier d’échange Blender (mhx) nom/exporter(par défaut dans ~/Documents/MakeHuman/v1/exports/)

Dans Blender : Fichier/Import/Make Human(mhx) choisir le fichier xxx.mhx (conseil : mettre un signe pour le retrouver facilement)On est en mode Pose au départ (menu du bas)

Ensuite, Clic droit+draguer sur un membre pour le bouger. (taper X Y Z pendant pour changer d’axe, ou R pour forcer la rotation du centre)Pour modeler, clicDt la peau et se mettre en mode Sculpture (CTL

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inverse la brosse pour creuser)Selectionner l’onglet gauche « Outil » pour revenir au mode Pose

4 — Decors:En mode objet, menu « Ajouter » (en bas) — Lampes (Point ou Spot rendent mieux) — Mesh/Plan pour le sol. Dans la 2e fenêtre à droite (Propriété) on définira sa couleur de materiau (icône boule à cadran)Dans la même 2e fenêtre à droite (Propriété) on a l’icône World qui donne un ciel : Prévisualisation/Monde : couleur horizon, zenith et cocher mélanger. Exposition 0,500 améliore la lumière.On peut perfectionner les materiaux :Peau : Speculaire:0, 3Cheveux : Ombrage/Translucide : 0,5 Transparence : Fresnel:0, 6 et Melange:2

5— Animation :Ligne graduée en bas— Frame : définir début, bouger le curseur sur 200, définir fin— Clic Dt sur un joint de squelette pour pouvoir passer du mode Objet au mode Pose— Se mettre sur la DERNIERE frame cliquer point rouge, sans sa clef— mettre le personnage en pose finale — Se mettre sur la PREMIERE frame, mettre le personnage en pose initiale(desélectionner le point rouge et sa clef)— Jouer l’anim avec les commandes « magnetoscope »

Alternative: Make Human 0.9.1.RC1La version 0.9.1.RC1 est la dernière permettant de créer des poses. On la trouve encore en bas de la page :

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https://sites.google.com/site/makehumandocs/downloadpour un rendu en qualité photo, il faut utiliser ensuite le « moteur de rendu » aqsishttp://sourceforge.net/projects/aqsis/files/aqsis-macosx/

Blender 272 :

Installation   : Commencer par mettre en Français :File/User Preferences/System/ (Cocher :) International FontsLanguage : Français, Translate Interface, InfobulesEnregistrer préférences utilisateurs

Premières manips en vue 3D   : Plein Ecran : ALT-F11Vue : Molette centrale +/ — Clic +/— ShittUndo/Redo : Pomme-Z +/— ShiftSelect : G Rotation : R Taille : S Delete : X(cliquer la flèche axe colorée pour le suivre)Creer : Shift-APlein cadre/réduite : Shift+SPACE (ouCTL +flèche ht)Quatre vues : CTL ALT Q

Clavier des Portables   : Chiffres clavier numérique, souris 3 boutons : File/interface Utilisateur/Entrée(on choisit entre touches chiffrées pour les calques ou pour les angles vues)Autre solution : KeyRemap4MacBook.app (gratuit) à mettre obligatoirement à la racine de Applications, onglet Change Key/Change Num Keyset cocher que fn+chiffre donne le code chiffre keypad

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Espace de travail   : Le système de fenêtres dédiées à chaque outil est inhabituel : On a un espace de travail où cohabitent un nombre arbitraire de fenêtres de plusieurs types.(Certaines barres de menu sont en réalité des fenêtres)Une fenêtre se repère par — ses coins rayés en bas à gauche et en haut à droite— sa barre de menu située en bas— sa nature (info, 3D, timer…) indiquée par l’icône/menu de gauche de sa barre de menuOn dimensionne une fenêtre par ses bords et non ses coinsOn crée/ferme par menu clic droit sur le bord, ou directement :Les coins servent à diviser la fenêtre, tirés dans l’espace de travail.Le coin tiré avec Shift ouvre un double dans une fenêtre détachableOn referme un double en cliquant à nouveau son coin pour le draguer sur son doubleDes fenêtres ont des panneaux qu’on dispose en draguant leur grille de points en haut à droiteOn peut mettre sa barre de menu en haut ou en bas (clic droit dessus)La barre de menu contient toutes les manip possibles dans la fenêtreL’effet des raccourcis-clavier dépend de la fenêtreLa fenêtre où on voit vraiment l’objet est la fenêtre 3D.

Le menu Fichier/Préférences utilisateur offre de colorer et dimensionner toute l’interface. Preferences dans ~/Library/Application\Support/Blender/2.72/config/On structure l’espace de travail selon ce qu’on fait : 3D, Video, Game …On est dans l’espace de travail « Default au départ, mais on peut créer et charger des espaces de travail pré-définis (fenêtre info, premier cartouche)

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Fenêtre 3D   : La fenêtre où on voit vraiment l’objet est la fenêtre 3D.Son menu (en bas !) choisit dans quel mode on y travaille : Objet, Edit, Pose… On debraye la perpective dans le menu Vue (persp/orth) (en orth on perd le dégtadé du ciel)bm_20100622.pdf p149 On a des « calques » où on peut travailler séparément des éléments 3D d’un même décors--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Tutorial:Menu/Fichier/Nouveau, Sélectionner=Clic Dt sur le cube, X ou menu SupprimerMenu3D/Ajouter ou Shift-A/Mesh/Sphère UV--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

I Espace de travail   :

— Enfin, la fenêtre « Buttons Window » est en fait celle des palettes d’outils :Ils sont tellement nombreux que les six premières icônes doivent plutôt être considérées comme des « ateliers » puisqu’elles ouvrent chacune à leur tour un choix d’icônes-outil sur le reste de la ligne. Le bas de la fenêtre affiche ainsi des panneaux de réglage qui correspondront à l’icône-outil cliquée.Ces panneaux eux-même sont disposables comme on veut (roulette pour les faire défiler, clic droit pour les aligner, mais on peut aussi les draguer ou on veut dans la fenêtre). Leur taille se règle avec Ctrl+alt+draguer

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II Manipulation des Objets 3D :— On bouge la vue 3D plutôt avec la molette :

roulée=zoom (ou Ctrl+dragué), clic-draguée=rotation (depuis où on clique autour du centre), shift+clic+draguée=translationSinon, avec un seul bouton : garder Alt enfoncé et idemOu avec le clavier numérique (touche fn et touches clavier spéciales sur portables)(Touches disposées « en croix » :) 4,6, 8,2 pour les déplacements, ajouter Shift pour les rotations(Touches disposées « aux angles »)7,1, 3 pour les vues haut, face, profil, ajouter Shift pour les autres faces.5 bascule entre vue en perspective et vue isometrique— Le pointeur 3D est une croix cerclée rouge et blanc (clic gauche)— C’est un clic long (et pas un clic Droit) qui donne le menu contextuel— La scène par défaut : comporte 3 objets : un cube au sol, une lumière (en forme de cible) et une caméra (en forme de pyramide). Le premier menu de la fenêtre 3D décide du type d’action 3D qu’on choisit :Comme on change surtout position (Object mode) et forme (Edit Mode), on bascule entre les deux modes avec Tab.Object Mode:Quand on sélectionne un objet avec le clic Droit (ou Pomme+clic), un repère s’affiche dessus : rouge vert bleu (axes absolus) et blanc (point de vue de l’utilisateur). On n’a plus qu’à recliquer-draguer une seconde avec le clic droit pour qu’il « colle » à la souris. Un clic molette guide temporairement suivant l’axe en cours. L’autre manière de faire est de draguer sur le repère lui-même(avec Shift pour rester dans un plan des deux autres repères)On lâche avec un dernier clic gauche, ou un clic droit pour tout annuler.L’action (translation, rotation, taille) se choisit dans le menu de la vue 3D à côté de la main, puis.

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Les touches R (otation) G (rab) S (cale) sont des raccourcis pour se mettre directement en plan utilisateur et n’avoir qu’à bouger et cliquer pour lacher.Shift+D Duplique l’objet (et on a deux objets differents)Edit Mode   : L’objet séléctionné peut se déformer en tirant dessus. Dans ce mode, l’avant dernier menu 3D décide si on bouge un angle, une arête ou une face.En plus des R (otation) G (rab) S (cale), on peut aussi X (supprimer), K (couper, on termine le tracé avec la touche ENTER — celle côté de Pomme droite sur les portables-et non RETURN). On E (xtrude) en clic-draguant, mais avec une ligne-guide si on clic-drague avec la moletteOn a deux menus supplémentaires : W et Ctrl+EShift+D dans ce mode rend l’objet double (mais il est traité comme un seul objet)P sépare la partie sélectionnée en un autre objet.

III Materiau :Le materiau se définit dans les outils (« Buttons Window ») avec l’icône boule. Pour une lumière, c’est aussi « matériau » qui définit quand les types de lumière. Pour le fond, on sélectionne une camera et on règle le panneau « World »Une palette de solides d’exemple (boule, poils, tête.. ) donne une idée rapide, mais dans le menu de la fenêtre 3D, la dernière icône vous fait un rendu de la scène (du layer en tout cas) :dans le mode (de fil de fer à texturé) en cours (première icône solitaire du menu 3D)Pour un rendu long et détaillé, c’est F12 (passez dans les Préférences si Exposé s’en sert...) ou la dernière icône-atelierPropriétés d'un Materiau :(MA:material) On le lie à un objet (ME:mesh), on lui donne un nom. Il a une couleur propre, une couleur du reflet à sa surface, et un mirror (?) On peut créer un effet complexe avec Ramps si on

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allume une ColorBand :On définit une couleur qui change avec la lumière : ombre à gauche, plein feux à droite. Cette couleur ne remplace pas la couleur propre, elle s’y superpose avec une transparence réglable. Ca donne des effets d’opalescence très facilement.Texture : la surface de l’objet n’est pas forcément lisse et uniforme. Elle peut être imprimée, comporter des veines (bois) des marbrures... C’est la texture qu’on va plaquer (napper) sur l’objet.Poils   : Par contre les poils sont un nouvel objet, et on passe par l’atelier objet, outil particules. Add New, remplacer Emitter par Hair, activer Random (le bouton devient fonçé)Even (poils répartis également selon la surface des face et non un par face)Jittered (centré par face) Random (au hasard sur la face) Grid (?)Physics : les poils sont considérés comme des trajectoires de missiles :Initial Velocity : Normal=taille Random=Angle Damp(fondu) raccourcitGlobal Effect : poils dressés ou courbés par le poids AccZ=-- 0.002 (oursin/boule de poils)Vizualisation/Render : Activer Emiter si on veut voir le sujet poiluChildren : ajoute des poils qui accompagnent leur poil-guide. Ca permet d’obtenir une toison abondante avec très peu de poils-guide : Particle System/Amout=50 Children/Faces/Amount=2Children/Particle au lieu de Faces ne fait pousser qu’autour des guides : l’effet est visible quand il y en a peu, donnant des touffes, ou des gerbes, genre brosse à dent. Il faut passer par ce mode si on veut raser ensuite (on ne rase que les poils-guides, et leurs enfants, pas ceux des faces) On augmentera donc le nombre de poils-guides (1000)Pour le nombre, on peut ruser aussi avec des parents virtuels et en RenderAmount>100Clump décide de leur convergence au bout (comme une mèche de

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cheveux, ou une touffe d’herbe) positive rassemble, négative ébouriffe. Shape dessine la ligne suivie pour se rapprocher : droite, concave (courbe maximum en bas=négatif) ou en cloche (courbe à la fin=positif)La forme collective des trajectoires est Kink/Branch, ondulations (wave) boucles (Curl)Rough introduit du chaos sur un des 3 segments du poil : ce segment s’allonge et part dans n’importe quelle direction. L’effet de cheveux emmêlé, crêpé ou rasta vient très vite. Shape décide encore de la forme de la courbure, répartie sur la ligne ou à une extrémité.Couleur des poils :Leur materiau (Link and Pipeline) est lié à celui de l’objet poilu. On va raffiner avec une texture alpha pour rendre les poils transparents au bout (aspect fin et doux). Shading/Material/Links and Pipieline, MA:Sphere Col RGB = couleur des poils par défautMais cette fois on met A=0 (À=Alpha=transparence) et on allège le calcul des transparences Render/ZtranspCréer la Texture Transparence :Shading/Texture: TE:ADD NEW, la nommer PoilsTrans, TextureType=BlendColors/Colorband : Mettre RGB=1 (couleur du poil), A=1 à gauche et RGB=1 et A=0 à droiteMélange au materiau :Revenir en Shading/Material, sélectionner dans le panneau Texture : TE:PoilsTransMapInput/Strand (comptera les cordonnées du dégradé relativement à la base du poil)MapTo cocher Alpha : la texture se met sur le materiau transparentVariante : Si on enlève Col : la texture n’agit que par son Alpha, qui laisse apparaitre la couleur sous-jacente, celle du matériau (même s’il est transparent !).

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Finesse des poils :On peut affiner directement les poils en les taillant en ogive :Shading/Material/Links and Pipieline/Render Pipeline/Strands Start=2 End=0.25 Width Fade=2Rasage :Ce n’est qu’une fois le pelage bien défini en texture, forme et abondance qu’on peut éditer les zones sans poils, mais on ne pourra plus revenir sur ces paramètres !Revenir en Objet/Particle/Particle System et cocher Set Editable (attention : ca fige le pelage)Dans la fenêtre 3D, se mettre en Particle Mode, puis Taper N pour avoir une fenêtre « Particle Edit Properties qui offre ses outils :

“Comb” pour coiffer (avec réglage de la taille et de la force de la brosse)

“Cut” permet d’enlever les poils (des yeux par exemple)“Add” en ajoute en extrapolant sur ceux autour“Lenght” allonge (Grow), +Shift (ou Shrink) raccourcit

(autour des yeux par exemple)Pelage complexe: Leur materiau les définit (Link and Pipeline) comme lié à celui de l’objet poiluOn va le raffiner en deux couches de texture : Une texture des poils sous une texture alpha pour rendre les poils transparents au bout (aspect fin et doux). On ajoute un nouveau material à la sphere Shading/Material/Links and Pipieline MA:ADD NEW On le nomme Poils, RGB=1 partout (Col, Spec, Mir) mais A=0 (À=Alpha=transparence)et on allège son calcul de transparences Render/ZtranspC’est sa couleur qui donne la couleur des poils, ici blancs1— Texture Transparence:Shading/Texture: TE:ADD NEW, la nommer PoilsTrans,

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TextureType=BlendColors/Colorband : Mettre RGB=1, A=1 à gauche et RGB=1 et A=0 à droite On peut draguer la borne gauche vers le centre (la limite d’opacité du poil) 2— Texture Couleur :Shading/Texture : TE : ADD NEW, la nommer PoilsColor, TextureType=Blend (mais là on est plus libres, on peut faire ce qu’on veut). Dans Colors, les réglages précédents sont toujours là, on peut remettre la borne gauche à sa place, mettre les A à 1 des deux côtés et faire un dégradé.3— Intégration au materiau :Shading/Materiau/Texture/cliquer les cases vides et ajouter toutes les textures de l’objet :TE:PoilsTrans TE:PoilsColor TE:Sphere, puis sélectionner TE:PoilsTransMapInput/Strand compte relativement à la base du poilMapTo/Alpha et enlever Col(La texture active doit être celle des poils quand on visualise)

IV Mise en scène :Quand on travaille précisément un objet, on est plutôt gêné d’avoir en travers tous les autres éléments de la scène. On va donc choisir de ne voir que les éléments nécessaires en les abonnants à un “layer” (calque), puis en demandant à ne voir que ce layer. C’est à cela que servent les “tablettes de chocolat” à droite dans le menu 3D. Chaque carreau représente un “layer”, on change de layer en cliquant sur un carreau. Pour abonner un objet sélectionné, on tape M et on clique le carreau-layer voulu, avec Shift si on veut qu’il apparaisse dans plusieurs layers.Camera : pour passer en vue camera, sélectionner (clid Dt) la camera dans la vue 3D, et taper Ctrl-0 (Ctrl+fn+ ? sur les portables). Revenir en vue ordinaire du dessus : Ctrl-1 (Ctrl+fn+J) Le rendu a ses réglages dans le dernier bouton principal des outils

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(“Buttons Window”)Le rendu interne est déja très réaliste Le rendu externe en RayTracing fait appel à un programme exterieur à charger : YafRay, ou PovRay ...On sauve avec (fn) F3

Guide Pratique: Pilosité Disposer les ingrédients :Clic long sur le cube/Edit/DeleteMenu File/Import/WaveFront objIcône-atelier Objet, outil Particule (ou repeter Ctrl+F7 jusqu’au panneau particule), AddNewDans l’onglet “Particle System”, on choisit “Hair” à la place de “Emitter”Poils Guides :— Dans l’onglet “Physics”, on dessine la “trajectoire” des poils :Initial velocity/Normal : allonge le poil (0.06)Global effects/AccZ -0.01 le fait courber vers le sol (axe Z)— Dans l’onglet “Particle System”Emit from : ça doit partir des Faces, sinon on choisit son style : Random (en touffes hirsutes) Even Jittered/Random— Dans l’onglet “Visualization” on doit voir : PathRender : Emitter (la face poilue), le reste est inutileOn peut mettre “R.Lenght” (variation aléatoire de longueur de poil)=0,75B-Spline qui adoucira cette variation, et Strand Render qui epargne la mémoire.Poils de volume :— Dans l’onglet “Children”, mettez Amount=30 (nombre de poils-fils par poil-guide)Pour faire des touffes, passez Clump=0, 2(touffe autour du guide) et Shape=0,25 (base large)

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Matière :Icône-atelier Boule (Shading) Outil Material (Boule)— Onglet Links And Pipeline: Link to Object : F Grey (couleur de la peau du modèle)— Vue Preview, choisir l’objet d’exemple Poils (5eme)Pipeline : Ztransp est allumé pour éviter le raytracing à travers la transparence des cheveux— Onglet Materials, régler les couleurs RGB : Col=brun, Spe=reflet=blond, Mir = ??? =0 A=canal Alpha=0Outil Texture (leopard) : On va creer un masque de transparence et une textureOnglet Texture : Add New (la nommer PelageTrans par exemple) Texture Type : Blend Onglet Colors, allumer Colorband pour avoir des poils en dégradé de couleur/transparence— Régler RGB blanc (couleur de la base), et A (alpha=opacité) à 1 — Cliquer couleur de droite et régler RGB en blanc mais Alph=0— Onglet Texture : Add New (la nommer Pelage) Texture Type : Clouds— Onglet Clouds, cocher Color et Hard Noise, régler NoiseSize:0, 5 et Noise Depth:3— Onglet Colors : faire encore une Colorband, brun sombre et opaque (A=1) à gauche, blonde à droite, puis tirer la borne de droite vers le centre et cliquer S pour harmoniser le dégradé.

Variantes :Outil Texture (leopard) : on peut faire des variantes de matière :— Onglet Shaders : remplacer le mode Lambert par Oren-Nayar et régler :Rough=1 Spec=0.2 Hard=20 Emit=0.005Outil Material (Boule), Onglet Links And Pipeline, allumer Strands

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er régler le panneau: Start=0.75 End=0.25 Shape=0.9 With Fade=2 (poil en pointe, courbe, bords transparents)

Rasage :Icône-atelier Objet, outil Particule, cliquer “Set Editable” (attention, ça fixe les paramètres du pelage) Fenêtre 3D : passer de “Object Mode” à “Particle Mode” pour voir les poils-guide et taper NUne fenêtre “Particle Edit Properties offre ses outils : — ‘Comb’ pour coiffer (avec réglage de la taille et de la force de la brosse)— ‘Cut’ permet d’enlever les poils (des yeux par exemple)— ‘Add’ en ajoute en extrapolant sur ceux autour— ‘Lenght’ allonge (Grow), +Shift (ou Shrink) raccourcit (autour des yeux par exemple)

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Annexe : Les Formats Video

Définitions   : Codec, Multiplexage et Conteneur: Un Codec (Codage-Decodage) est un algorithme de

compression de flux video ou audio (mais pas les deux). Par exemple : MP3 pour la musique, JPG pour les images uniques.

En video c’est plus compliqué : certains codecs (anciens comme le MPEG) enregistrent en même temps audio et video. On dit que l’enregistrement est ‘multiplex’. C’est rapide mais ça prend de la place, car peu compressé. C’est bien adapté aux enregistrements en direct, cameras (ou EyetV).

Pour la diffusion, on passe plutôt à des fichiers audio et video distinct, mieux comprimés.Pour diffuser un film, on va réunir les fichiers audio et video dans un fichier ‘Conteneur’Un conteneur peut contenir plusieurs flux audio (langues) et même vidéo comprimés, mais aussi des sous-titres, du chapitrage et des menus. Chaque type de conteneurs n’autorise que certains codecs.

Lecture   : VLC (VideoLan) libre existe sur tous les systèmes et lit

quasiment tout.Il permet également des conversions de format video (mais ça prend du temps)

Les types de fichiers:Codecs :3GP video+audio pour téléphone mobileMPG: mpeg1 video + audio Video CD

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MP2 : mpeg 2 DVDFLV: Le format Flash Video de Adobe Flash Player. Utilisé en quantité sur Internet.RMVB : Real video. Codec video propriétaire de Real Networks. Necessite Real PlayerOGG: codec libreVorbis (audio) et Theora (Video)

Codecs autour du MPEG4 :DivX et XvidH264, MPEG 4, AVC, M2TS : Codec haute définition. Se retrouve dans les Blu-rayM4V : video+audio iPod, PSP MP4 : video+audio

Conteneurs :VOB : video mpeg 2+audio Format des DVDOGG est le nom d’un codec, mais aussi un nom de conteneurASF : Il supporte tous les formats audio et vidéo. Plutôt Microsoft WMVAVI : Dans un fichier AVI, chaque composante audio ou vidéo peut être compressée par n’importe quel codec (DIvX et mp3 par exemple). C’est un ‘conteneur’ très pratique, le plus utilisé.MOV : Format conteneur d’Apple, pouvant contenir un très large choix de codec, y compris haute définition. Nécessite QuicktimeWMV : Un format conteneur de Microsoft et sa famille de codecs vidéo. On le trouve souvent chez des vidéo en streaming ou en téléchargement. Necessite Windows Media Player

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