ir r - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1868_12_19_MRC.pdf · Voici les...

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Nuiumfl 1» Déestaibrc «8«i9 Samedi 1» Occcuilire ISO». Grands ir r.i PRIX' DE t’ABÛNNEMfeNT ON S'ABONNE Va an, 0 fr. — Six m oli, 8 fr, &unuf Onu, io fr—tfatmolf, 6 fr. 60 AU BiRBAU o u j W M Mi PUoedornMei-tfo-YW«,u B H U TOUS Onu, Il Hp. — Bl*«|oU, « fr. A i .• £ rU InsertionN. Anxoxcbs: La ligne, c. - l/annonce au-dessous de ItKCLAkBS : La ligne, 40 c. -r- En lu ils divers, Avis a. •arable d’avance. II i renouvelé al à l'expiration m m ù p n • n €;hensln de fer du Word Dkpaiits de Skxms : 7 h. 50 matin. - 12 h. 1 1 ,- 4 |, 2(1 Dki'aiits w. Paius : 7 li. 15, — midi, — S.h.iO, ^-r.lô h.ïÔ *oir is interrompu et est considéré comme i-no pas d’avis contraire. Scnlls. 19 Décembre 18Ç8. Ilevile «le lin Semaine. Par décret impérial en date du 17 décembre : M. le^ m aquis de la Valette, sénateur, membre du conseil prive, est no(pmé mij..stré dw affaire .étrangères, en remplace- ment noM.loman|uis de Mobslicr, dont la démission est acceptée.; M. do Foréadc la Rdi|ftel(o, ministre tloTagriculîure, «lu côm- morco et des travaux-publics, est nommé ministre de l’intérieur, inercc eiacs travaux iiunlics, est noininc minislre. de l’intérieur, «m remplacement de M. Pmard, dont la déniiss'on est acceptéo; M. Gri-sSicr, députe au Corps législatif. est nommé ministre de 1agrmnlture, dit commerce èt des travaux publies, en remplace- ment do M. de Forcadc la Roquette, nommé ministre de l'inté rieur; M. le marquis de Housticr, ancien ministre des affaires étran gères, est élevé à la dignité de sénateur. L’Empereur, l’Impératrice cl le Prince Imitériul, venant de Complique, sont arrives à Paris jeudi, à trois heures, cl seront immédiatement rendus au palais dos Tuileries. Voici les résultats définflirs des éler lions de la 3' ciri ons- cripliqn des Jôlcx-dnNord. M. Le Calvez, candidat o|(ici-i, ;»î i,.- VU,X‘ Olivier cil n obtenu G, 130 et M. Le JMcnuule u lo . G’est loiijnilrs l’Espagne qrti lient le liant bout dans les prtoccmiaiiods de la politique européenne. Il paii.il jissez do Cadjix a mis le.feu I- - ...... . •Intw filusirurii nnjVtne« c4 que j'incendie se propage avec Uuu rapidité. qui commence & donner de sérieuses iiuiuirtndcs au gouvernement. DVù sou file le vent qui pousse ainsi la fl.ii.miie jusque vers Madrid? C'est re qu’il n’est pas encore tacile dcdire. On parlé d'émissaires ..... répandus dans toute | Espagne, d'individus arrêtés avec des sommes KiiniMiHrt piii'Feufi-wfà'cètlx qui lesporleul tant caracière îé m m lir.im <ti> nninU m ai,..» i.„, .................. général, comme dabs les espérances que ce iitécou.eiilemenl encourage, il n’est pas réslé eu dehors de l'action. Ueouèil- lera-t-jl les fruits des tentatives violentés, ni.iis éxplic.ibles dont il tf pris riiiiliafive mi auxquelles il prête son appui? Ou ne saurait lu prévoir. Mais si l’oii en juge par les r.ipmoche- llieills llallltp.ls ni vnkho i.r/ .... i .................... ..... ineuls lia lui ois cl voisin* qu'appelle Inévitablement une insurrection de rçtië'n?iiim>, on peut anirmer qu’il for, regretter logftüvbrjiilmVnl qiril ciitdndail remplacer. Pluitieurs journaux ont déjà dit q ic Its événements révo- Inlionnaires dont l'Espagne est actuellement le théâtre ressemblaient & notre formidable émeute de juin 1848. Or on sait que cette émciite a été la ruine tout à la fois du g,,,,’ ycriicnicnt qui l'a réprimée et du parti ou des partis qui I mit soulevée. Croire qu'il on sera autrement en Esna-iie c'est se figurer qu’un miracle .s’accomplira exprès pour elle’ et cest aller contre la. cortimde (Finie loi historique assez souvent vérifiée poiir qu'il soit presque impossible d'espérer que ges événements nouveaux viendront la démentir i.e détail changera1 peut-être, mais lu fond des choses n’eu sera pas sensiblement modifié. 1 Les détails manqncnt cnroresur le soulèvement de Cadix mais la capitulatiou des insurgés éclaircira sans doute ces événements mal connus.-Nous souhaitons, dans l'intérêt de la nation.espagnole, que les faits sanglant* dont Cadix vient il Cire le théâtre fassent comprendre au gouvernement pro visoire la nécessité d’en finir au plus vite avec une situation quinoffre a uni lie garantie contre les revendications anar chiques. Lu cflel, Ja guerre civile heiireusemcul comprimée a Cadix, peut renaître1 dans les principales villes de l’Espagne car «haquo centre populeux fuuruit au désordre les mêmes WlSS2Ü2j^ P^rtm içut p^er..l'Espagne nesl qu'une vaste confédération; chactiUe dé «c* provinces a son unité politique sa‘ capitale et, au besoin, son gouvernement tout prêt. Si’ comme pu semb'e avoir raison do' le redouter, la résistance au pouvoir central s'organise en Catalogue, dans 1rs pars basques cl eu Andalousie, 1rs autorités de. Madrid peuvent se trouver sans dioyeli* d'action et comme Isolées au milieu des populations soulevées. Déjà la rébellion de Cadix a retardé l’envoi A Cuba des troupes destinées à comballiii les projets séparatistes des colonies espagnoles dans les Antilles, et sur lO.OOü hommes que Ion devait expédier primitivement, c’est à peine si le gouvernement métropolitain peut disposer de 3,000. On t1’ T «0 le* insurgés cubains viennent d’essuyer une détone; mais nous savons, par expérience, ce que valent 1rs triomphes racontés de si loin. D’ailleurs, la question de I esclavage reste toujours sans solution, et il faudrait aux autorités coloniales une prudence et une habileté infinies pour ue point faire éclater la mine chargée sous leurs pieds. Nous sommes toujours sans nouvelles de l'ultimatum turc. Toutefois, l’accord des grandes puissances doit suffire dans les circonstances nolnrilcs à conjurer Ja uriné l. excmp|e de la Roumanie est lé pour indiquer au cabinet 'b A rln lu ql,i A rcs,° Le discours prouoncé par le prince (.hurles A I ouverture do la session législative des I iincipaulis nous^ semble bon A méditer pour le gduver* ucnieut grec. Voyez plutôt ce que dit le prince : . .J?ï u!Tl I?, Pond,,ito1do gouvernement ait été absolument rcçubue, a etc suspectée. Mais j espère qu’aujourd’hui, comme autrefois, les faits démentiront les préventions. La Sublime-Porto finira par être persuadée qu’en concentrant pendant l’été dernier nos troupes sur la rivogaucliedu Danube, ce qui a entraîné nour nous une dépensé do plusieurs millions, nous n'avions en vue que d « pargner à la Turquie clle-inému i’apprébension la plus lé -ère Lors<pie la Sublime-Porto aura acquis celle conviction,'"elle ^}î C,.,,CI,f d ecouter encore ceux qui cherchent à faire ïïncnîl1 3 a" S"JCl dü ,a si"e'rilddu 1,1011 gmver- ..I-dSSSÔÏJff ,u ",ên,u - Les .U'inicrcs tlq.Colius il'AHiini's cl ,1» Cnnslaiitinonlc i.,.,,,.-..,...,.. 1)111, le rcndil BrMu.lQrcMr.iil sur é ,1 aliuulir ù n ne s ....... un, la,.onil.l,:. j). l!,,,,,,*,;, ►a.dcm. iiratlii Sublima.p..i l,.. et >1.<rl.lvvillc-, rharu.. il’un:iiires ,l,i I*raiioi: l"i!s [« gotivcniiMiiL-iil liiSili'niq.u-, .•,ur.u,.„|. nssurta- ' "11. f.“ ! 'mil* leurs l'ili.i ls poin iiiloiiuliti eu l,ul. ....... U s crajnlcs el'im ciwüil s,■■riens ciili u la Turniifr cl h v J o i f n i l <lc ftiw lj.m '1,1 ai! *■* 11,1 tohgi anime de \ icn ne ainsi conçu: ”■ il !,nu.^'!L '!ll|,' nK,,‘l- n ÿ r dn ;i- ,a somination olioinano; I a opero la dispersion des bandes, a mlerdil aux officiers et aux employés grecs toute participation à l'insurrection et a accordé aux émigrés la latitude de rcnUvrdans leur pays. iim.i . i ? S , ' " ° ,!Vt!lI(’S . se çoiifirmciil, comme nous avons tout lieu de i espmer cl de le croire, vdlft encore un point noir qui disparaît momentanément de l'horizon. Il ne faudrait pas: néanmoins que l Europe s’endormit trop sur la foi «les j ailes, tour notre part, nous n'avons jamais en d'inquié tudes sur les suites du diflêreinl turco-grcc, pas plus que sur les conséquences immédiates de I altitude hostile de la Roumanie; mais les causes qui ont fait agir lus Grues et les Roumains contre lempire ottoman subsistent toujours cl il S!™ , i-V r iu i i'i'ss"s,.'i‘',|' ii s.™ s'-,! lu <i>".sii«„ I Oural. (-Ç.I A un (iiingci- qui i-i'piinuira cllitquu fois nui les affaires s embrouilleront en Europe. '."l'Hétudc a été causée dans le monde °.rn,-!cl ,M‘ !.« conflit gréco-turc. Il paraît que lord Claremlon s est empressé de s mur aux iulcinions delà France nom- jnlerveii.r énergiqucnienl auprès du cabinet d'Athènes, afin d ccatter tous les dangers d’une rupture. De nouvelles dépêches d'Athènes parlent d’une crise immi- neiile qui diviserait le ministère et nécessiterait sa dissolu- Les bruits qui ont été répandus d’une abdication éven tuelle du roi Georges sont dénués de fondement. Uno lettre de Triesle dit qii'une partie de la flotte autri- diiennc, sous les ordres du roui re amiral de Pueclc, sc ioiii- dia aux forces navales anglo-françaises, pour prendre part a une action commune dans le cas où un conflit maritime éclaterait dans l'archipel entre la Turquie et la Grèce. Un grand mouvement'règne en ce niomcut dans le port do Rela ies armements de l'.-scadre d’évolutions seul poussés avec beaucoup d activité, et tout l’équipage de la flotte autri chienne s attend à prendre part à une action belliqueuse dans un temps peu éloigné. 1 La canonnière Slrcilcr s'apprête è conduire â Tunis le *!• I,r zrdd’ chi"«é dc 'ciller aux iiitcicts de I Autriche dans la régence. On écrit de Sainl-I'étcrshourg : Le fameux article de la Gasotte de l'Allemagne du Nord, par lequel le gouvernement prussien a répudié toute immixtion ou complicité dans Ire armemeiiLs et les actes hostiles do la Rouma- hn’re^on C°Ur imp<:,ria,c dc Itllssia 1» plus Relieuse L )»rince Corlscliakorr qui a, dituin, si bien travaillé pour la I russe durant sa cam ayne d clé (c'est dans ces termes qu’il qualifie son voyage on Allemagne), le prince serait désappointé par celte volte-face du cabinet de llcrlin (pii, en proclamant l’in nocence prussienne, semble mettre en relicl'la culpabilité russe.- 1 # chancelier aurait, assure-l-on, adressé à cusujcl à M. d’Oubril, ambassadeur du czar â Rerlin, une note qui aurait été lue à M. do Jhrmark, note dans laquelle certains reproches d’ingratitude seraient laits au chancelier prussien. M. de Bismark, depuis quelques Jours, semble diriger Scs batteries du cote de la Hongrie; on s'efforcerait à Berlin dc persuader les ministres siégeant â Peslh que les Magyare n ont absolument rien 5 voir dans une conflagration qui pourrait surgir è propos de la question allemande. Cette i«C i*!ï ï e& *" uVst quunappelaltürahUon qui ne péiit rencontrer d échos dans les rangs de l'armée hongroise, laquelle vient de donner spontanément mi éclatant F r a n ç o is ^ e p li811 el de 80,1 dli’rou«n,‘J.,n «*• coi Que M. de Bismark n’oublie donc pas que, si A Vienne il a coiuine parallèle le comte de Bcusl, è lVslh, il a comme ad\eisn|res de sa politique |0 comte Andrassy, ministre du a ddense nationale, cl M Deak, l’éminent patriote; le langage dc ces deux hommes d'Elat suffira bien, Aun moment (tonné, pour apprendre è la nation ce qu elle doit faire. Ce n’est pas seulement contre M. de Bcust que les journaux uetoues au chancelier prussien se répandent eu invectives de joute sorte, la cour de Vienne nVst pas plus épargnée, cl tous es pntextes paraissent bons-aux fougueux rédacteurs des leuilles bismarkieunes pour rhercher querelle au gouverne ment austro hongrois. ° A peine I cx-lauiille royale de Hanovre est-elle rentrée A Vienne el s’est elle fixée â la villa Brniiswiek à Hielzing que le cabinet de Berlin, parl'organ: desou ambassadeur, le comte de Wiinpffen, réclamé de nouveau i-t avec une insisiaucc toute particulière l'éloigneinent du territoire autrichien du roi Georges V el de la petite cour d'amis fidèles et dévoués qui forme sou entourage. Quelles que soient les raisons spécieuses qu'invoque la 1 russe pour iditcnir I éxecution d’une telle mesure il n’est pas réel que les menées hostiles attribuées au roi Georges si J æ iJ*} qu’elles^ existent, puissent en quoi que ce soit •"amoindrir l;f prépondérance prussienne en Allemagne, la prince, injustement déjmuillé, ne demande qu'une chose • la restitution des biens dont il a été spolié par la force et par h violation d’un traité revêtu de la siguuiuie du roi Guillaume lui-meme. Ou avait dit que les Hongrois <■ n’avaul rien è voir dans I affaire du conflit austro-prussien » n’éîaient guère disposés a accepter la nouvelle organisation militaire (Wergheseiz) Il il en cjsrnrii. La nouvelle loi. acceptée par les délégations trouve en ce moment un accueil favorable é la Chambre des députés. Le comte Andrassy, en la présentant au Parlement madgyar, a été interrompu par de chaleureux vivats, les dispositions relatives à l'armée active, â la landwehr et à la levée en masse, out rencontré une égale faveur. Le bruit a circulé ces jours ci que l’empereur François- Joseph ne se bornait pas à conférer le litre de comte à M. de Beust, mais que Sa Majesté se proposait encore d<: lui don- lier a titre de don national un domaine eu Transylvanie Celte nouvelle qui n’est encore qu'à l’étal de rumeur excité au plus haut point le dépit et les railleries des teiiilles prussiennes qui nu peuvent comprendre qu'un homme comme M. de Itcu.fl soit | objet de la part de son souverain de tant de témoignages d'estime cl d’attachement, quand à Berlin le rot Guillaume, par la grâce de Dieu, a gorgé d'hoïmeurs de fiefs el de domaines son chancelier M. le comte dé Bismark Scbwnliausen. Les lettres de Saint-Pétersbourg parlent du peu dc salisfac- ti«»:qn.éprouve la cour inijvériale de Russie au sujet du pj-ochaui mariage du prince héritier de Danemark avec la fil.o unique du roi Charles XV, la princesse Louise de Suède. Cette alliance royale, est en grande partie l'œuvre d'un homme d'Elat éminent, 31. le comte deWuchtneisler, minis tre des affaires étrangères à Stockholm. Le ministre suédois, a I instar du comte de Bismark en Prusse, rêve une fédéra tion Scandinave formée dc^Elats du Nord que des intérêts maritimes et politiques unissent dans la Baltique. A Pélcrsbourg, M. de Gorlschakoff n’envisage pas aussi favorablement pour la 'Russie la fusion certaine, dans un temps plus ou moins rapproché, des deux cabinets de Copenhague et dc Stockholm. Il craint que la marine russe ne soit bloquée dans les ports du Nord comme elle l’est déjà en Orient dans la mer Noire; aussi, en diplomate habile il Lut tous scs efforts sinon pour entraver le mariage du u incc danois, du moins pour l'ajourner jusqu’à ce que cér ames garanties aient été accordées à la Russie. L’cx*roi François II de Nnples vient d’envoyer en AiHe- Jerre un agent particulier afin dc négocier un emprunt sur t liypolhcqoc de plusieurs propriétés et sur le dépôt d'objets d art d une grande valeur. On nous assure, dit la Gazelle d'Italie, que le ministre d agriculmrc cl du commerce, pour seconder une idée émise par le professeur Palmiéri dans un doses rapports, va faire opérer des essais sur la lave dc la dernière éruption du Vé suve. Si on peut utiliser cette nouvelle lave pour Ic.pavage des rues et pour les différentes couslruetious, les proprié taires endommagés pourront trouver une compensation des perle» subira, qui. ci, lolnl, s'élève,il à un diidïo Ires cunsi- dérabli!. La Suisse s'occupe eu ce moment dc la réorganisation dc son année el du perfectionnement de son matériel de ‘ f u 1?- ' Le gouvernement helvétique;propose.d'élendito l’o- . b igation du service A tonsb-s riloycin âg.'s de vingt ans. ; n". 5’"r,,irait contingent â l’armée f^érale. qui serait divisée en troupes actives, réserve, et lamlwehr !r°i ' f rv “ '•« ans (Lins l'armée àelive. teneur dans la reserve. L-i laii(lw*-hr coniprrudriiiliou les hommes de trente-six à quaranterinq ans. t^e projet ne1 sera soumis à l assemblée législative de là Conrédéralinti ua'a- pies que le duparleiueut militaire aura reçu des diveré^rou* néccssalres!ta 11 ,ol,ilux ,on,L,,i k* observations et indications On ignore encore quollu décision prendra M. Ferdinand d« au sl,J '!(1di: l« candidature qui lui est offerte par les élctlu re marseillais: et cependant la pureomialitédu président je la Lompagme du l'isthme do Sues est ri considéfabS n. î! I «n discute déjà scs chances dc succès. q — M. Empis. membre de l’Académie française, aineien adiunii.sirateur général de la Comédie-Française, est décédé le 11 décembre courant. * ucçcac D e l t o v ï o f liC“ J 0"2“ "c,lrca H demie. 4 - Non, apprenons la mort do Mgr Boni,,,mol, do la Guadel„„|,„. enlevé, le 13 noie,libre drrnier. à l'aioUion de la coin,un )„„• line bevre qui. jiiaée bé,,i„-,,e d’abord .! lent A coup pris, dans sa dernière période, le caractère pernicieux apoplectique. r.icicio I. Acadiinic française a décidé qu'il ne scrail précédé i I éleclionenrciiiplaceinenldeJIJl. Vieunel. lleriyer ri d ■'!"(» 1“.réception dc JI.1I. Claudeilerunrd el Aubrai! Ira nellveaux élus, el qui aura lien au mois de février. ' iiimÏA l ï ï è dü" 1 •* appar. Gelait pendant, les élections. Uu orateur s’adressait à la foule. Il venait dp un discours (ont palpin.nl de palriolismo.' il nviii fôrnmfo ses [irincqies, proné son nllaclioincnt A la Ifouslilulion ré. eoiiisé ses leudances libérales, et. enfin, luellaul “a ,,ni, soi la h gion du cœur, il s écria avec une émotion visible ■ — lois sou;, lucssieurs, mes sentiments,incsseiitiinenls réels vrais, sinreres, les sentiments d’un honnête ItoTbm cl d un lionuètc citoyen: mais, messieurs. J m al. latent pus, je pourrais les modifier ! I.e mol qui va suivre nsi de ceux qu'un clirouiqueur enre- sympatli!e.ü S , “l“""crs’ sur accicillis aKc lino reuconlrc A l'éiuie a eu lieu deruiéremcul cnlre deux oflicicrs appartenaul A I armée dc l.yon. I.a cause première de celle .ilf.inc était assez fulile et lescouséqiicuces en furent bé,ligues becreusc,tient : une jolie.perforîtion de la ,nain Apres le combat, les deux adversaires s'embrâssèrenl ïi jurèrent de tout oublier. Ils n'eu furent pas moins n iés par-devant un oilieier général, qui dut les Interroicr - ilacoutez-moieomiueul rnlfatrea eomniencé, demanda- t-il au plus âgé dc çcs deux mc.-wicu re. r-E n vérité, mou général,; répondit l'intcrpel/é, je ne saurais que vous due. Nous nous sommes promis, ânrùklî foui de suiïo Cl*raa foi’ j* mc s,,W niis à ôubli. r Pour extrait et rédaction : ErnrePPayen. On lit dans le Moniteur universel d’hier vendredi : Malgré Ire conseils dc modération et d’apaisertient nue Ire grandes puissances ont fait entendre à Athènes et à ConsUntinonl,. a suspension dre relations diplomatiques entre la Turquie et h Grece n a pu être évitée. Les derniers avis télégraphiques annon cent que ies représentants des deux pays avaient reçus leurs tasseporls et faisaient leure préparatifs de départ. Quelque rccrct- H'"1 son celto rupture, il y a lieu d’espérer que l'action commune cl la conformité de vues des puissances signataires du traite dc I80O pourra en atténuer et en circonscrire les cortsé- quenccs. RODYELLES BEPARTEaEWTALES. lues jeunes gens de la deuxième portion du contingent de la classe do 1867 viennent de recevoir leur feuille de roule pour se rendre dans les dépôts d’inslruetion pour Ire exercices léglemon- laires; ces exercices auront lieu en deux périodes et dureront ius- qu au 15 mai I8G9. J Les remplaçants des hommes dc la deuxièmo portion qui ont déjàservi ou ceux qui, comme jeunes soldats d’une classe libérée ont fait cinq mois d’exercices militaires, seront dispensés de sè rendre au dépôt d'instruction. Il en sera de même des jeunes sol dats qui ont etc versés dans la réserve. FEUILLETON. (10) LE TUEUR DE CHACALS. teil te moment lèsoléil éléicnuit à es dcriiicrs rayons dans les brffniek de Toèe lileii I. .. jr-À ' S.Allaftt voiclThctini de la prière ! cria l imiird'imè vol.V f.irte.' ToiiK se priislcriièrêiil yciti j ormnî, dans la dircclimi de là Mcnqfip, Vl'idéfaill d’dàii élp.iré firent, arec une poignée de ««me,.l’ahlulioii qu'iirilmine le Coran. Lorsque Abd él-K.ii 1er rcinonlà A cheval, il semblait Irans- llgiifé. Une vive fo'ugéhr colorait scs joues, ses yeux lançaient des éclaire, v » . liant sur les élH(*re, le Iront levé, l'Opée niie. jl montra • .oll.B!?do(pfriblp là Mitidj.i qui déroulait au Ionises verger.* cl sep nibisjiojik ^jj,f,,nls (îiV P'rniihèle, cria-l il. La - EligHoH^ î hurlèrent les Ariibés, qui sc livrèrent à uno fantasia eflMrtée. , An1départ d'Abibel-Kiidur, encore qu'à l'arrivée. 11 remplissait le vœu de tous, il proclamait la guerre sainte. — En avant, les enfants de la pblidre! disait-il en fendant avec peine les flots pressés du populaire; la trahison est partie de c|ie*rinftdèlo : sa perfidie a éclaté au grand jour. Relevez vos burnous et serrez .vos ceintures pour le combat ; balayez jusqu’au dernier ces infidèles, ces routuis, ces oppres seurs de la patrie. Nolro sabre n soif de leur sang ; leurs biens, nous les donnerons &nos femmes. A la guerre, jeunes gens et vieillards, à la guerre! Les Galles ne tuent pas; il n'y n que I.» destinée qui tue. Allah ! te qui est écrit est écrit. ; l'enthousiasme était plus grand Dès qu'il fut parvenu aux limites du campement des H.idjmites, Abd cl K.uler, suivi de ses califes, mil son che val nu galop et disparut comme une vision. Ou allait-il/' Vers d'autres djemmâas, sans doute, proclamer la «rerre sainte, frapper du pied la terre et en faire sortir des légions Après avoir pris congé dc l'émir, dont il baisa la main droite en signe do vassalité, le cheik Sidi llairibi s'en revint lentement vers son douair. Les Hudjnulcs, pleins d'enthousiasme, se dispersaient en toussons et allaient répandre au loin la grande nouvelle, nnifii'liii <‘heik A chaque pas pour lui demander plus en ut tau les ordres et les intentions du maître. Mais il sc contentait de répondre: n-.T C","rC? " nulrnnce! I.'cmir nous abnnilonne la JIIIUIj.1. votre |1«™ rnvasc!' iBAJunorcz ; liummus el biens sont Sun preniicf soin, en entrent dans sa demeure, fut de ré- clamer son chaouc. connaissons’ °ccoul 1,1 avec ''"itêissailco servile que nous lui roiiebe0" |,risomiicrf demanda SldbKarrlbi d'un ton lit. pnr'vôtromdrtf °Uf* *" r"n(l d“ Si'° °" j° ' rail ™formor — Bien. surlenr'lêlo° hommos vcillcm *“■'lai a' répondent — Et que fait-il là-dedans? !* i A ,,r 0 ^ P.*0' 11 ,8°sier, pour vous, braver, sans doute, .imiin chanter demain une autre air dont il ne sc douto nas, grommela le cheik. injurie ,a,Ul '* *a8 do vous menace cl il vous — Jujurçsct menaces, jt: lui forai payer lu loul avec usure. ne I oui a pas volé, conclut le chaouc, toujours prêt à fl.iltcr les instincts mauvais de son mailre. — A-t-il pris quelque nourriture? demanda le cheik. — Aucune, Sidi, vos ordres n'allaient pas jusque là. — Tans pis. Jette à ce fils de chien quelques os de mouton à ironger, fais lui passer dc l'eau dans une peau do boue. Je veux (pi il garde toutes ses forces pour le supplice que je lui ai réserve. 1 1 * Le chaouc s’inclina. — Un mot encore, reprit Sidi Harribi. Ne va point l’cffra- yerpar d mutiles menaces. Ne réponds à aucune de scs questions; sois muet avec lui; qu'il ignore mes intentions. Il en souffrira double ; l'a lion le du châtiment est plus cruelle que le châtiment même. Le chaouc sortit pour exécuter les ordres du rheik. — Ah ! s'érria celui-ci, dès qu’il •fut seul, je vais donc pouvoir salislaire à la fois ma haine et mon amour. La guerre sainte livre tous les Français à notre merci ; profitons en « T u 0ll,v<d<W °r tomme dans nu filet Vhaoitcli de Sidi nom lard. Oh ! cet haoucli, il contient plus que la moitié de ma vie, il renferme mon âme entière, ma gazelle, ma sœur choisie entre tomes, la boni is de mon paradis! ; Il poussa un long soupir : -- Allah ! reprit-il, pourquoi l’as-tit créée si belle, on pour* quoi ne I as-tu pas fait uuilro dans nos tribus? Pour quelques pièces d or, pour quelques cadeaux, je l'aurais obtenue do son pero, cl je I aurais nommée ln première de mes quatre Lpotiscs, sans qu’il eût été nécessaire pour cola de répandre des flots de sang. Il parcourut la chambre à pas précipités* en proie à une agitut ion fébrile. . . T -? llc n,’'™P0,‘to, après tout, la guerre sainte? murmu rait-n ; que m importe le culte des nmmis ou le culte d’Allah! Je ne vois qu'Elle ; Elle seule occupe ma pensée. Elle vaut mieux pour moi quo Mascara, Tlemrcm, Médénh. Alger inclue, avec leurs boutiques, leurs marchands cl leurs étoffes embaumées. Elle vaut mieux pour inoi que mille chevaux, la fortune d'une tribu. Elle vaut mieux pour moi quo toutes nos tribus ensemble avec leurs cheiks, leurs califes et leur sultan. Il s’arrêta, puis, crispant les poings dans une explosion de colerc : — Oh ! misère? s’écria-t-il; avoir vu ses cheveux noirs nlus fins que l.i soie, envelopper ses épaules comme d’une nuée- avoir vu ses dents, dont on dirait des perles fines enchâssées dans du corail ronge; son front plus blanc que la neiccrini tombe sur I Allas; sa joue aussi tendre que lu fruit qui niurit sur le pêcher; el ses cils noire et scs yeux plus terribles au cœur que le fusil qui fait parler la poudre; avoir vu tout cela; être riche, être noble, être un cheik, loiil-puissani el s.(i,d','p : c,l,lc me dédaigne, elle moa préfère un vil roùmi ! Allah! malheur â lui; mais malheur aussi à elle si, une fois ma prisonnière, elle persévère dans sou inimitié? Il poussa un rugissement dc tigre en fureur; puis, s’adon- cissant par degrés. ' ' u — Allah est grand, soupira t-il ; Allah est bon pour ses fidejes serviteurs. Elle oubliera cet homme; lui mort.elle I oubliera. L’esprit delà tomme' est un sable mouvant • les empreintes qu’y marque le pied, un coup de Vent tes èffaco Je la comblerai du tant de présents, je l'environnerai de tant dc respect, dc vénération et dc tendresse, qu’elle finira peut- ' dre par franchir la djslonuM sépiIresa rocea» la miSiiie. A ."Ile les balks 1rs plus Dns. les lissus 1rs plus snyelix. 1rs éfolTos les mieux brodées, les bijoux les pins rares ! A clic ma belle jnmeut blanche, si douce on répos, si urdcdléA lu chusse! A elle ma chambre lu micui. meublée, ma néaressc la plus dévouée, mes scrrlleurs les plus empressés 04 d t que 1rs lalismaiM du saiul marabout •M naM -tattU M M joulsscnl d un souverain philtolr. J irei irourer le salin inaraboiil Jluhained.bnn.Mukrani, j'invoquerai son aido- in parerai nu poids do l'or un de scs talismans, car jo veux qu'elle m'aime. 1 Il avait presque un soilitlol dans la voix cil prohoncant dessus'" ^ m°'S; ""liS W'" 141 ri"sli'lcl crucl reprit le — Oui- ouI.sVcrla.t il d'une voix terrible; qu'elle clioi- slsso! il n y aura pour elle que deux allprnnllves j ra'épofcer ou mourir I C est écrit ! 1 .. gôm’issdt en°b,e 'i8'C ' "8issai' c” lla“'* '« lion prisonnier \

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N uium fl 1 » D éesta ib rc « 8 « i9

S a m e d i 1 » O c c c u i l i r e I S O » .

Grands

ir r.i

P R IX ' D E t ’A B Û N N E M fe N T

ON S'ABONNEV a a n , 0 f r . — S ix m o l i , 8 fr , & u n u f

Onu, io fr—tfatmolf, 6 fr. 60

AU B iR B A U o u j W M M i

PUoedornMei-tfo-YW«,u

B H U TOUS

O n u , I l Hp. — B l* « |o U , « f r .

A i .• £ r U I n s e r t i o n N .A n x o x c b s : L a l ig n e , c . - l / a n n o n c e a u -d e s so u s d e

ItKCLAkBS : L a l ig n e , 4 0 c . -r- E n lu i l s d iv e rs ,A v i s a .

•arable d’avance. II i renouvelé al à l'expiration

m m ù p

n • n € ;h en s ln d e f e r d u W ordDkpaiits de Skxms : 7 h. 50 matin. - 12 h. 1 1 , - 4 |, 2(1

Dki'aiits w . Paius : 7 li. 15, — midi, — S .h .iO , ^-r.lô h .ïÔ * o ir

is interrompu et est considéré comme i-no pas d ’avis contraire.

Scnlls. 19 Décembre 18Ç8.I l e v ile «le lin S e m a in e .

Par décret impérial en date du 17 décembre :M. le m aq u is de la Valette, sénateur, membre du conseil

prive, est no(pmé mij..stré dw affaire .étrangères, en remplace-ment noM .loman|uis de Mobslicr, dont la démission est acceptée.;

M. do Foréadc la Rdi|ftel(o, ministre tloTagriculîure, «lu côm- morco et des travaux-publics, est nommé ministre de l’intérieur,inercc e iacs travaux iiunlics, est noininc minislre. de l’intérieur, «m remplacement de M. Pmard, dont la déniiss'on est acceptéo;

M. Gri-sSicr, députe au Corps législatif. est nommé ministre de 1 agrmnlture, dit commerce èt des travaux publies, en remplace- ment do M. de Forcadc la Roquette, nommé ministre de l'inté­rieur;

M. le marquis de Housticr, ancien ministre des affaires étran­gères, est élevé à la dignité de sénateur.

L’Empereur, l’Impératrice cl le Prince Imitériul, venant de Complique, sont arrives à Paris jeudi, à trois heures, cl seron t immédiatement rendus au palais dos Tuileries.

Voici les résu lta ts définflirs des éler lions de la 3' ciri ons- cripliqn des Jô lcx -dnN ord . M. Le Calvez, candidat o|(ici-i,

; »î i,.- VU,X‘ Olivier cil n obtenu G, 130 et M. LeJMcnuule u lo .

G’est loiijnilrs l’Espagne qrti lien t le lian t bout dans les prtoccm iaiiods de la politique européenne. Il paii.il jissez

do Cadjix a mis le.feuI - - ...... .•Intw filusirurii nn jV tne« c4 que j'incendie se propage avec Uuu rapidité. qui commence & donner de sérieuses iiuiuirtndcs au gouvernem ent. DVù sou file le vent qui pousse ainsi la fl.ii.miie jusque vers M adrid? C'est r e qu ’il n’est pas encoretacile dcd ire . On parlé d 'ém issaires ..... répandusdans toute | Espagne, d 'ind iv idus arrê tés avec des sommes KiiniMiHrt p iii'F eufi-w fà 'cètlx qu i lesporleu l tan t carac ièreî é m m l i r . i m <ti> n n i n U m a i , . . » i . „ , ..................

général, comme dabs les espérances que ce iitécou.eiilem enl encourage, il n’est pas réslé eu dehors de l'action. Ueouèil- lera-t-jl les fruits des tentatives violentés, ni.iis éxplic.ibles dont il tf pris riiiiliafive mi auxquelles il p rê te son appui? Ou ne sau ra it lu prévoir. Mais si l’oii en juge p a r les r.ipmoche-l l i e il ls l la l l l tp .ls n i v n k h o i .r / ....i .................... .....ineuls lia lu i ois cl voisin* qu 'appelle Inévitablem ent une insurrection de rçtië 'n?iiim >, on peut an irm er qu ’il for, reg retter logftüvbrjiilmVnl q iril ciitdndail rem placer.

Pluitieurs jou rnaux ont dé jà dit q ic Its événem ents révo- Inlionnaires dont l'Espagne est actuellem ent le théâtre ressemblaient & notre form idable ém eute de ju in 1848. Or on sait que ce tte ém ciite a été la ru ine tout à la fois du g,,,,’ ycriicnicnt qui l'a réprim ée et du p arti ou des partis qui I mit soulevée. C roire qu 'il on se ra au trem en t en Esna-iie c 'est se figurer qu ’un m iracle .s’accom plira exprès pour elle’ et c e s t aller contre la. cortim de (Finie loi historique assez souvent vérifiée poiir qu 'il soit presque impossible d 'espérer q ue ges événements nouveaux viendront la dém entir i.e détail ch an g era1 peut-être, m ais lu fond des choses n ’eu sera pas sensiblement modifié. 1

Les détails m anqncnt cn ro re su r le soulèvement de Cadix m ais la capitulatiou des insurgés éc laircira sans doute ces événements mal connus.-N ous souhaitons, dans l'in térêt de la nation.espagnole, que les faits sanglant* dont Cadix vient il Cire le théâtre fassent com prendre au gouvernement p ro ­visoire la nécessité d ’en finir au plus vite avec une situation q u in o ffre a u n i lie garan tie con tre les revendications an a r chiques. Lu cflel, Ja gu erre civile heiireusem cul com prim ée a Cadix, peut renaître1 dans les principales villes de l’Espagne c a r «haquo centre populeux fuuruit au désordre les mêmes

WlSS2Ü2j^ P ^ r tm iç u t p ^ e r ..l 'E s p a g n e n e s l qu 'une vaste confédération; chactiUe dé «c* provinces a son unité politique sa‘ capitale et, au besoin, son gouvernement tout prê t. Si’ comme pu sem b'e avoir raison do ' le redou ter, la résistance au pouvoir cen tral s 'organise en Catalogue, dans 1rs pars basques cl eu Andalousie, 1rs au to rités de. Madrid peuvent se trouver sans dioyeli* d 'action et comme Isolées au milieu des populations soulevées.

Déjà la rébellion de Cadix a re ta rd é l’envoi A Cuba des troupes destinées à com balliii les projets séparatistes des colonies espagnoles dans les Antilles, e t s u r lO.OOü hommes que Io n devait expédier prim itivem ent, c ’est à peine si le gouvernement m étropolitain peut disposer de 3,000. On

t 1’ T «0 le* insurgés cubains viennent d ’essuyer une détone; m ais nous savons, p a r expérience, ce que valent 1rs triom phes racontés de si loin. D’ailleurs, la question de I esclavage res te toujours sans solution, et il faudrait aux autorités coloniales une prudence et une habileté infinies pour ue point faire éc later la m ine chargée sous leurs pieds.

Nous sommes toujours san s nouvelles d e l'u ltim atum turc. Toutefois, l’accord des grandes puissances doit suffire

dans les circonstances nolnrilcs à conjurer J a uriné l. excmp|e de la Roumanie est lé pour ind iquer au cabinet

' b A r l n l u q l,i A r cs ,° Le discours prouoncé parle prince (.hurles A I ouverture do la session législative des I iin c ip au lis nous^ sem ble bon A m éd iter pour le gduver* ucnieut g rec . Voyez p lutôt ce que d it le prince : .

. J ? ï u ! T l I?, Pond,,ito1do gouvernement ait été absolumentrcçubue, a etc suspectée. Mais j espère qu’aujourd’hui, comme autrefois, les faits démentiront les préventions. La Sublime-Porto finira par être persuadée qu’en concentrant pendant l’été dernier nos troupes sur la rivogaucliedu Danube, ce qui a entraîné nour nous une dépensé do plusieurs millions, nous n'avions en vue que d « pargner à la Turquie clle-inému i’apprébension la plus lé -ère Lors<pie la Sublime-Porto aura acquis celle conviction,'"elle

^}î C,.,,CI,f d ecouter encore ceux qui cherchent à faire ï ïn c n î l1 3 a " S"JCl dü ,a si"e ' rilddu 1,1011 gmver-

. . I - d S S S Ô Ï J f f ,u " ,ên,u -

Les .U 'inicrcs tlq.Colius il'AHiini's cl ,1» Cnnslaiitinonlc i.,.,,,.-..,...,.. 1)111, le rcn d il BrMu.lQrcMr.iil su r é

,1 aliuulir ù n ne s.......un, la,.onil.l,:. j). l!,,,,,,*,;,►a.dcm. iiratlii Sublima.p..i l,.. et >1.<rl.lvvillc-, rharu.. il’un:iiires ,l,i I*raiioi: l"i!s [« gotivcniiMiiL-iil liiSili'niq.u-, .•,ur.u,.„|. nssurta- ' " 11. f.“ ! 'mil* leurs l'ili.i ls poin iiiloiiuliti eu l,ul. .......

U s crajn lcs el'im ciw üil s,■■riens ciili u la T urn iifr cl hv J o i fn i l <lc f t iw l j .m '1,1 ai!*■* 11,1 to h g i anim e de \ icn ne ainsi conçu: ”■

il ! ,nu .^ '!L'!ll|,' nK,,‘l- n ÿ r dn ;i- ,a somination olioinano;I a opero la dispersion des bandes, a mlerdil aux officiers et aux employés grecs toute participation à l'insurrection et a accordé aux émigrés la latitude de rcnUvrdans leur pays.

iim.i . i ? S, ' " ° ,!Vt!lI(’S. se çoiifirmciil, comme nous avons tout lieu de i espm er c l de le cro ire, vdlft encore un point noir qu i d ispara ît m om entaném ent de l'horizon. Il ne faudrait pas: néanm oins que l Europe s’endorm it trop su r la foi «les j ailes, t o u r no tre p a r t, nous n 'avons jam ais en d 'inquié­tudes s u r les suites du diflêreinl turco-grcc, pas plus que su r les conséquences im m édiates de I a ltitude hostile de la R oum anie; m ais les causes qui ont fait ag ir lus Grues et les Roumains con tre lem p ire ottoman subsistent toujours c l ilS ! ™ , i - V r iu i i'i'ss" s,.'i‘', |' ii s.™ s'-,! lu <i>".sii«„I O u ra l . (-Ç.I A un (iiingci- qui i-i'piinuira cllitquu fois n u i les affaires s em brouilleront en Europe.

'." l'H étudc a été causée dans le monde °.rn,-!cl ,M‘ !.« conflit gréco-turc. Il paraît que lord Claremlon s est em pressé de s m ur aux iulcinions d e là France nom- jn lerveii.r énergiqucnienl auprès du cabinet d'Athènes, afin d cc a tte r tous les dangers d ’une ru p tu re .

De nouvelles dépêches d'Athènes parlen t d ’une crise immi- neiile qui div isera it le m in istère et nécessiterait sa dissolu-

Les b ru its qui ont été répandus d ’une abdication éven­tuelle du roi Georges sont dénués de fondement.

Uno le ttre de T riesle dit qii'une partie de la flotte au tri- diiennc, sous les ordres du roui re am iral de Pueclc, sc ioiii- d ia aux forces navales anglo-françaises, pour p rendre part a une action com m une dans le cas où un conflit m aritim e éclaterait dans l'archipel en tre la T urquie et la Grèce.

Un grand m ouvem ent'règne en ce niomcut dans le port do Rela ies arm em ents de l'.-scadre d ’évolutions seul poussés avec beaucoup d activité, et tout l’équipage de la flotte a u tr i­chienne s attend à p re n d re p a rt à une action belliqueuse dans un tem ps peu éloigné. 1

La canonn ière Slrcilcr s 'app rête è conduire â T unis le*!• I ,r z rd d ’ chi" « é dc 'c i l le r aux iiitc ic ts de I A utriche dans la régence.

On écrit de Sainl-I'é tcrshourg :Le fameux article de la Gasotte de l'Allemagne du Nord, par

lequel le gouvernement prussien a répudié toute immixtion ou complicité dans Ire armemeiiLs et les actes hostiles do la Rouma- h n ’re ^ o n “ C°Ur imp<:,ria,c dc Itllssia 1» plus Relieuse

L )»rince Corlscliakorr qui a, dituin, si bien travaillé pour la I russe durant sa cam ayne d clé (c'est dans ces termes qu’il qualifie son voyage on Allemagne), le prince serait désappointé par celte volte-face du cabinet de llcrlin (pii, en proclamant l’in­nocence prussienne, semble mettre en relicl'la culpabilité russe.- 1# chancelier aurait, assure-l-on, adressé à cusujcl à M. d’Oubril, ambassadeur du czar â Rerlin, une note qui aurait été lue à M. do Jhrmark, note dans laquelle certains reproches d ’ingratitude seraient laits au chancelier prussien.

M. de B ism ark, depuis quelques Jours, semble diriger Scs batteries du cote d e la H ongrie; on s'efforcerait à Berlin dc p ersuader les m inistres siégeant â Peslh que les Magyare n ont absolum ent rien 5 voir dans une conflagration qui pourrait su rg ir è propos de la question allem ande. Cette

i« Ci*!ï ï e& *" uVst quunappelaltürahU onqui ne péiit rencontrer d échos dans les rangs d e l'arm ée hongroise, laquelle vient de donner spontaném ent mi éclatantF r a n ç o is ^ e p l i811 e l de 80,1 dli’rou«n,‘J.,n «*• coi

Que M. de Bismark n’oublie donc pas que, si A Vienne il a coiuine parallèle le comte de Bcusl, è lV slh, il a comme a d \e is n |res de sa politique |0 com te Andrassy, m inistre du a d dense nationale, cl M Deak, l’ém inent patrio te ; le

langage dc ces deux hommes d 'E lat suffira bien, A un moment (tonné, pour apprendre è la nation ce qu elle doit faire.

Ce n’est pas seulement contre M. de Bcust que les journaux uetoues au chancelier prussien se répandent eu invectives de joute sorte, la cour de Vienne nVst pas plus épargnée, cl tous es p n tex tes paraissent bons-aux fougueux rédacteurs des

leuilles bismarkieunes pour rh e rch er querelle au gouverne­m ent austro hongrois. °

A peine I cx-lauiille royale de Hanovre est-elle ren trée A Vienne el s’est elle fixée â la villa Brniiswiek à Hielzing que le cabinet de Berlin, parl'o rg an : desou am bassadeur, le comte de Wiinpffen, réclamé de nouveau i-t avec une insisiaucc toute particulière l'éloigneinent du territo ire au trich ien du roi Georges V el de la petite cour d 'am is fidèles e t dévoués qui forme sou entourage.

Quelles que soient les raisons spécieuses qu'invoque la 1 russe pour iditcnir I éxecution d ’une telle m esure il n ’est pas réel que les menées hostiles attribuées au roi Georges si

J æ i J * } qu’elles^ existent, puissent en quoi que ce soit •"amoindrir l;f prépondérance prussienne en Allemagne, la

prince, injustement déjmuillé, ne dem ande qu 'une chose • la restitution des biens dont il a été spolié par la force et p a r h violation d’un tra ité revêtu de la siguuiu ie du roi Guillaume lui-meme.

Ou avait dit que les Hongrois <■ n’avaul rien è voir dans I affaire du conflit austro-prussien » n’éîaient guère disposés a accepter la nouvelle organisation m ilitaire (Wergheseiz) Il il en c js rn rii. La nouvelle loi. acceptée par les délégations trouve en ce m oment un accueil favorable é la Cham bre des députés. Le comte Andrassy, en la présentant au Parlem ent m adgyar, a été interrom pu p a r de chaleureux vivats, le s dispositions relatives à l'arm ée active, â la landw ehr et à la levée en masse, out rencontré une égale faveur.

Le b ru it a circu lé ces jours ci que l’em pereur François- Joseph ne se bornait pas à conférer le litre de comte à M. de Beust, m ais que Sa Majesté se proposait encore d<: lui don- lier a titre de don national un dom aine eu Transylvanie Celte nouvelle qui n’est encore qu 'à l’étal de ru m eu r excité au plus haut point le dépit et les railleries des teiiilles prussiennes qui nu peuvent com prendre qu'un hom m e comme M. de Itcu.fl soit | objet de la p a rt de son souverain de tant de témoignages d 'estim e c l d ’attachem ent, quand à Berlin le rot Guillaume, p a r la grâce de Dieu, a gorgé d 'hoïm eurs de fiefs el de dom aines son chancelier M. le comte dé Bismark Scbwnliausen.

Les lettres de Saint-Pétersbourg parlent du peu dc salisfac- ti«»:qn.éprouve la cour inijvériale de Russie au sujet du pj-ochaui m ariage du prince héritie r de Danemark avec la fil.o unique du roi Charles XV, la princesse Louise de Suède.

Cette alliance royale, est en grande partie l'œ uvre d 'un homme d 'E lat ém inent, 31. le comte deW uchtneisler, minis­tre des affaires étrangères à Stockholm. Le m inistre suédois, a I in s ta r du comte de Bismark en Prusse, rêve une fédéra­tion Scandinave formée d c ^ E la ts du Nord que des intérêts m aritim es e t politiques unissent dans la Baltique.

A Pélcrsbourg, M. de Gorlschakoff n’envisage pas aussi favorablement pour la 'Russie la fusion certaine, dans un tem ps plus ou moins rapproché, des deux cabinets de Copenhague et dc Stockholm. Il craint que la m arine russe ne so it bloquée dans les ports du Nord comme elle l’est déjà en Orient dans la m er N oire; aussi, en diplomate habile il Lut tous scs efforts sinon pour en traver le m ariage du u incc danois, du moins pour l'a journer jusqu’à ce que cé r­am es garanties aient été accordées à la Russie.

L’cx*roi François II de Nnples vient d ’envoyer en AiHe- Jerre un agent particulier afin dc négocier un em prunt su r t liypolhcqoc de plusieurs propriétés e t su r le dépôt d'objets d a r t d une grande valeur.

On nous assure, d it la Gazelle d'Italie, que le m inistre d agricu lm rc cl du commerce, pour seconder une idée émise p a r le professeur Palm iéri dans un doses rapports, va faire opérer des essais su r la lave dc la dern iè re éruption du Vé­suve. Si on peut u tiliser cette nouvelle lave pour Ic.pavage des rues et pour les différentes couslruetious, les p rop rié­taires endommagés pourront trouver une com pensation des perle» subira, qui. ci, lolnl, s'élève,il à un d iid ïo Ires cunsi- dérabli!.

La Suisse s'occupe eu ce moment dc la réorganisation dc son an n é e el du perfectionnement de son m atériel de

‘ f u 1?- ' Le gouvernement helvétique;propose.d'élendito l’o- . b igation du service A tonsb-s riloycin âg.'s de vingt ans .

; n". 5 ’" r,,irait contingent â l’arm ée f ^ é r a le .qui serait divisée en troupes actives, réserve, e t lam lw ehr

!r°i ' f rv “ '•« m » ans (Lins l'arm ée àe live .te n e u r dans la reserve. L-i laii(lw*-hr c o n ip rru d r ii il io u les

hommes de trente-six à q u aran te r in q ans. t^e projet ne1 sera soum is à l assemblée législative de là Conrédéralinti ua 'a - p ies que le duparleiueut m ilitaire au ra reçu des diveré^rou* néccssalres!ta 11 ,ol,ilux ,on,L,,i k * observations et indications

On ignore encore quollu décision p rendra M. Ferdinand d« au sl,J '!(1di: l« candidature qui lui est offerte p a r les

é lc tlu re marseillais: et cependant la pureomialitédu président je la Lompagme du l'isthm e do Sues est ri considéfabS n . î !

I «n discute déjà scs chances dc succès. q

— M. Empis. m embre de l’Académie française, aineien adiunii.sirateur général de la Comédie-Française, est décédé le 11 décem bre courant. * ucçcac

D e l t o v ï o f liC“ J 0"2“ " c,lrca H demie. 4

- Non, apprenons la mort do Mgr Boni,,,mol, dola Guadel„„|,„. enlevé, le 13 noie,lib re d rrn ie r . à l'aioU ion de la coin,un )„„• line bevre qui. jiiaée bé,,i„-,,e d ’abord .! len t A coup pris, dans sa dern ière période, le carac tère pernicieux apoplectique. r.icicio

I. A cadiinic française a décidé qu 'il ne scra il p récédé i I éleclionenrciiiplaceinenldeJIJl. Vieunel. lle riy er r i d ■'!"(» 1“.réception dc JI.1I. C laudeilerunrd el Aubrai! Ira nellveaux élus, el qui aura lien au mois de février. '

iiimÏA l ï ï è dü" 1 •* a p p a r.G elait pendant, les élections.Uu o ra teu r s’adressait à la foule. Il venait dp

un discours (ont palpin.nl de palriolism o.' il nv iii fôrnmfoses [irincqies, p roné son nllaclioincnt A la Ifouslilulion ré . eoiiisé ses leudances libérales, et. enfin, luellau l “ a ,,n i , so i la h gion du cœ ur, il s écria avec une émotion visible ■

— lo is sou;, lucssieurs, mes sen tim en ts,incsseiitiinen ls réels vrais, sinreres, les sentim ents d ’un honnête ItoTbm cl d un lionuètc citoyen: m ais, m essieurs. J m a l . latent pus, je pourrais les modifier !

I.e mol qui va suivre nsi de ceux qu 'un clirouiqueur enre-

sympatli!e.ü S , “l“" " crs’ su r acc icillis a K clino reuconlrc A l'éiuie a eu lieu deruiérem cul cn lre deux

oflicicrs appartenaul A I arm ée dc l.yon. I.a cause p rem ière de celle .ilf.inc était assez fulile e t lescouséqiicuces en furen t bé,ligues becreusc,tient : une jo lie .p e rfo rîtio n de la ,nain

Apres le combat, les deux adversaires s 'em brâssèrenl ï i ju rè ren t de tout oublier. Ils n'eu furent pas moins n i é s par-devant un oilieier général, qui dut les In te r ro ic r ’

- ilacoutez-m oieom iueul rn lfa trea eom niencé, dem anda- t-il au plus âgé dc çcs deux mc.-wicu re.

r - E n vérité, mou général,; répondit l'in tcrpel/é, je ne sau ra is que vous d u e . Nous nous sommes p rom is, â n rù k lî foui de suiïo Cl* raa foi’ j* mc s ,,W niis à ôubli. r

Pour extrait et rédaction : ErnrePPayen.

On lit dans le Moniteur universel d’hier vendredi :Malgré Ire conseils dc modération et d ’apaisertient nue Ire

grandes puissances ont fait entendre à Athènes et à ConsUntinonl,. a suspension dre relations diplomatiques entre la Turquie et h

Grece n a pu être évitée. Les derniers avis télégraphiques annon­cent que ies représentants des deux pays avaient reçus leurs tasseporls et faisaient leure préparatifs de départ. Quelque rccrct-

H'"1 son celto rupture, il y a lieu d ’espérer que l'action commune cl la conformité de vues des puissances signataires du traite dc I 80O pourra en atténuer et en circonscrire les cortsé- quenccs.

RODYELLES BEPARTEaEWTALES.

lues jeunes gens de la deuxième portion du contingent de la classe do 1867 viennent de recevoir leur feuille de roule pour se rendre dans les dépôts d’inslruetion pour Ire exercices léglemon- laires; ces exercices auront lieu en deux périodes et dureront ius- qu au 15 mai I8G9. J

Les remplaçants des hommes dc la deuxièmo portion qui ont déjàservi ou ceux qui, comme jeunes soldats d’une classe libérée ont fait cinq mois d ’exercices militaires, seront dispensés de sè rendre au dépôt d'instruction. Il en sera de même des jeunes sol­dats qui ont etc versés dans la réserve.

F E U IL L E T O N .(10)

LE TUEUR DE CHACALS.

teil t e moment lèso lé il éléicnuit à es dcriiicrs rayons dans les brffniek de Toèe lileii I... jr -À ' S.Allaftt voiclT hctini de la p rière ! crial im iird 'im è vol.V f.irte .'

ToiiK se priislcriièrêiil yciti j orm nî, dans la dircclimi de là Mcnqfip, V l'id é fa ill d ’dàii élp.iré firen t, a rec une poignée de ««me,.l’ahlulioii qu 'iirilm ine le Coran.

Lorsque A bd él-K.ii 1er rc inonlà A cheval, il sem blait Irans- llgiifé. Une vive fo'ugéhr colorait scs joues, ses y eux lançaient des éclaire, v » .

lian t su r les élH(*re, le Iront levé, l'Opée niie. jl montra • .o ll.B!?do(pfriblp là Mitidj.i qu i déroula it au Ionises verger.* cl sep nibisjiojik

jj,f,,n ls (îiV P'rniihèle, cria-l il. La

- EligHoH^ î h u rlè ren t les Ariibés, qui sc livrèrent à uno fantasia eflMrtée. ,

An1 départ d'Abibel-Kiidur, encore qu 'à l'arrivée.

11 remplissait le vœu de tous, il proclam ait la guerre sainte.

— En avant, les enfants de la pblidre! disait-il en fendant avec peine les flots pressés du populaire ; la trahison est partie de c|ie*rinftdèlo : sa perfidie a éclaté au grand jou r. Relevez vos burnous e t serrez .vos ceintures pour le combat ; balayez jusqu’au d ern ie r ces infidèles, ces routuis, ces oppres­seurs de la patrie . Nolro sabre n soif de leu r sang ; leurs biens, nous les donnerons & nos femmes.

A la guerre, jeunes gens et vieillards, à la gu erre! Les Galles ne tuent p as ; il n 'y n que I.» destinée qui tue. Allah ! te qui est écrit est écrit.

; l'enthousiasm e était plus grand

Dès qu 'il fut parvenu aux limites du cam pem ent desH.idjmites, Abd cl K.uler, suivi de ses califes, mil son ch e­val nu galop et disparut comme une vision.

Ou allait-il/'Vers d 'au tre s djemm âas, sans doute, proclam er la « re r re

sainte, frapper du pied la te rre et en faire so rtir des légions

Après avoir pris congé dc l'ém ir, dont il baisa la main dro ite en signe do vassalité, le cheik Sidi lla ir ib i s'en revint lentem ent vers son douair.

Les Hudjnulcs, pleins d 'enthousiasm e, se dispersaient en toussons e t allaient rép an d re au loin la grande nouvelle, n n i f i i 'l i i i <‘heik A chaque pas pour lui dem ander plus en u t tau les o rd res et les intentions du m aître.

Mais il sc contentait de répondre : n -.T C","r C? " nulrnnce! I.'cm ir nous abnnilonne la JIIIUIj.1. votre |1« ™ rnvasc!' iBAJunorcz ; liummus e l biens sont

Sun pren iic f soin, en en tre n t dans sa dem eure, fut de ré- clam er son chaouc.

connaissons’ ° ccoul 1,1 avec ''"itêissailco servile que nous lui

roiiebe0" |,risom iic rf dem anda SldbK arrlbi d'un ton lit.

p n r 'v ô tro m d rtf ° Uf* * " r" n(l d “ Si'° ° " j ° ' rail ™ form or— Bien.

s u rle n r 'lê lo ° hommos vcillcm *“ ■'lai a ' répondent— Et que fait-il là-dedans?“ !* i A,,r 0 ^ P.*0'11,8 °s ie r, pour vous, b raver, sans doute,

.imiin chanter dem ain une au tre a ir dont il ne scdouto nas, grom m ela le cheik.

injurie ,a,Ul '* *a8 do vous menace cl il vous

— Jujurçsc t menaces, jt: lui forai payer lu loul avec usure.ne I oui a pas volé, conclut le chaouc, toujours prêt

à fl.iltcr les instincts mauvais de son m ailre.— A-t-il pris quelque nourriture? dem anda le cheik.— Aucune, Sidi, vos ordres n'allaient pas jusque là.— Tans pis. Jette à ce fils de chien quelques os de mouton

à ironger, fais lui passer dc l'eau dans une peau do boue. Je veux (pi il garde toutes ses forces pour le supplice que je lui ai réserve. 1 1 *

Le chaouc s ’inclina.— Un mot encore, reprit Sidi H arribi. Ne va point l’cffra-

y e rp a r d mutiles menaces. Ne réponds à aucune de scs questions; sois m uet avec lu i; qu 'il ignore mes intentions. Il en souffrira double ; l'a lion le du châtim ent est plus cruelle que le châtim ent même.

Le chaouc sortit pour exécuter les ordres du rheik.— Ah ! s 'é rria celui-ci, dès qu’il •fut seul, je vais donc

pouvoir salislaire à la fois ma haine et mon am our. La guerre sainte livre tous les F rançais à notre m erci ; profitons en « T u 0ll,v<d<W ° r tom m e dans nu filet Vhaoitcli de Sidi nom lard . Oh ! cet haoucli, il contient plus que la m oitié de ma vie, il renferme mon âme entière, ma gazelle, ma sœ ur choisie en tre tom es, la boni is de mon paradis!; Il poussa un long soupir :

- - Allah ! reprit-il, pourquoi l’as-tit créée si belle, on pour* quoi ne I as-tu pas fait uuilro dans nos trib u s? Pour quelques pièces d o r, pour quelques cadeaux, je l'aurais obtenue do son pero, cl je I au ra is nommée ln prem ière de mes quatre Lpotiscs, sans qu’il eût été nécessaire pour cola de répandre des flots de sang.

Il parcouru t la cham bre à pas précipités* en pro ie à une agitut ion fébrile. .

. T - ? llc n ,’'™P0,‘to, après tout, la guerre sain te? m urm u­rait-n ; que m im porte le culte des n m m is ou le culte d ’Allah! Je ne vois qu'Elle ; Elle seule occupe ma pensée. Elle vaut mieux pour moi quo Mascara, Tlem rcm , Médénh. Alger inclue, avec leurs boutiques, leurs m archands cl leurs étoffes em baum ées. Elle vaut mieux pour inoi que mille chevaux, la fortune d 'une tribu. Elle vaut mieux pour moi quo tou tes nos tribus ensemble avec leurs cheiks, leurs califes et leu r sultan.

Il s’a r rê ta , puis, crispant les poings dans une explosion de colerc :

— Oh ! misère? s’écria-t-il; avoir vu ses cheveux noirs nlus fins que l.i soie, envelopper ses épaules comme d ’une nuée- avoir vu ses dents, dont on d ira it des perles fines enchâssées dans du corail ronge; son front plus blanc que la neiccrin i tom be su r I Allas; sa joue aussi tendre que lu fru it qui n iu ri t su r le pêcher; el ses cils noire et scs yeux plus terrib les au cœ ur que le fusil qui fait parle r la poudre ; avoir vu tout ce la; être riche, être noble, être un cheik, loiil-puissani el s.(i,d ' ,'p : c,l,lc me dédaigne, elle m oa préfère un vil roùm i ! Allah! m alheur â lu i; mais m alheur aussi à elle si, une foisma prisonnière, elle persévère dans sou inimitié?

Il poussa un rugissem ent dc tigre en fu reu r; puis, s ’adon- cissant par degrés. ' ' u

— Allah est g rand , soupira t-il ; Allah est bon pour ses fidejes serviteurs. Elle oubliera cet hom m e; lui m o rt.e lleI oubliera. L’esprit d e là tomme' est un sable m ouvant • les em preintes qu’y m arque le pied, un coup de Vent tes èffaco Je la com blerai du tant de présents, je l'environnerai de tan t dc respect, dc vénération et dc tendresse, qu ’elle finira peut- ' d r e par franchir la d j s lo n u M s é p iI re s a ro c ea» la miSiiie.A ."Ile les balks 1rs plus Dns. les lissus 1rs plus snyelix. 1rs éfolTos les mieux brodées, les bijoux les pins ra res ! A clic m a belle jnm eut blanche, si douce on répos, si urdcdléA lu chusse! A elle ma cham bre lu micui. m eublée, ma néaressc la plus dévouée, mes scrrlleu rs les plus em pressés 04 d t que 1rs lalismaiM du saiul m arabout • M n a M - t a t t U M M joulsscnl d un souverain philto lr. J irei iro u re r le salin inaraboiil Jluhained.bnn.M ukrani, j'invoquerai son aido- in parerai nu poids do l'or un de scs talism ans, c a r jo veux qu 'elle m 'aim e. 1

Il avait presque un soilitlol dans la voix cil prohoncant

d e ssu s '" ^ m° 'S; "" liS W' " 141 r i " sli' lcl crucl rep rit le— Oui- ou I.sV crla .t il d 'une voix te rr ib le ; qu 'elle clioi-

slsso! il n y aura pour elle que deux allprnnllves j ra 'épofcer ou m ourir I C est écrit ! 1 ..

gôm’issdt en°b,e ' i8' C ' "8issai' c” lla“'* '« lion prisonnier

\

Page 2: ir r - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1868_12_19_MRC.pdf · Voici les résultats définflirs des éler lions de la 3'ciri ons- cripliqn des Jôlcx-dnNord. M.

KÜIrMiou nu C'ouwrll ^nrral.Canton île Creil.

Electeurs in scrits .................. 5,999Volants.................................... 4,66*2

Voix pour M. le baron de Condé.............. 3.703M. Gion ............................. 032

En conséquence, M. le baron de Gondé a élé proclamé membre du Conseil général pour le canton do Croil.

Voie! le nombre dô voix obtenues par chacun des candidats dans les'communes du canton :

COMMUNES. INSCRITS. VOTANTS.M. le R -r e Gondé

M. G uln. VoixjM'rdues.

Apremonl . . . . 191 l i l 117 21Blainctiurl." . . . .114 96 74 20 2GhanüUy’) . . . . 664 439 368 70 1Goye. . . . ( .” . 279 177 155 22Cramoisy.............. 143 130 127 3 *Creil *. 1167 941 344 586 11Gouvicux. 458 28*2 211 41 ’ »Lamorlaye . . . . 159 111 105 6 •Maysel . . . . . . 48 43 40 3Mcllo. . . . . . . . 148 1*27 106 19 2Montataire . . . . 921 818 799 14 5Nogen Mes-V ierges 3*22 277 247 28 2Précy-sur-Oisi» . . 249 189 170 9 1Sl-Leu-d'Eâser<»nt. 414 *276 257 18 1Soint-Max'iuin . . 238 175 116 29 »Sl-Vaast-hy-Mello. 233 213 208 5Thivérny. . . . . -15 45 41 lVillcrs-Sainï-Paiil. 143 1*2*2 109 21 1Villors-s-St-Lou. . 77 69 .55 , 13 1

5999 4662 3703 93*2 27

A IJ.C Elci U'iirs thi ranlon île Creil.Mi'ssieurs et chers concitoyens,

Vous ayez voté hier librement dans vos dix-neuf communes, et, par suite de la manifestation nt>n douteuse, do votre volonté, je suis appelé à l’honneur de représenter, au chef-lieu du dépar­tement, notre heaii et hou canton de Creil.

C'en train avec lequel vous vous êtes portés à celle élection et la conliuncc, je puis le dire, toute airecleusc avec laquelle tant d’entre vous, sur tant de points dilfércnls, se sont trouvés d ’ac­cord, m’inspirent une reconnaissance que je liens à vous exprimer, sans relard, par c<s quelques lignes.

Mais, vous le savez, les paroles sont peu do chose, ou du moins elles n'acquièrent de valeur, cuire honnêtes gens, que parce, qu’elles sont toujours suivit» par des actes. Les miens vous prou­veront, je l’esjièiTî. avec mon sincère désir de vous être utile, ma .volonté bien arrêté de faire tout ce qui dépendra de moi pour remplir aussi -consciencieusement que possible le mandat que vient de me confier une majorité si imposante.

Agréez, je vous prie, mes chers concitoyens, la nouvelle expres­sion de> sentiments dévoués de votre afleelionné Conseiller général. Il" d e CONDÉ.

Monialairc, 4 décembre.

S o flé lé d es C h a sseu rs de E'Oiscroi n la iiÊrnrssio.x nu rraconxagk

Du l ,r novembre au 1" décembre de celte année, la Société des Chasseurs a accordé 33 primes s’élevant à la somme de1.045 fr.

20 de ces primes ont été allouées aux gardes-champêlrcs et gir-.lt s-parliculiers dont les noms suivent, savoir :

Gardus-champctrcs.Roilel, à Montrciiil-sur-Urcche, 40 fr. — Happe, à Haute-

fontaine, 20 fr. — Hubert, à Nogent-les-Yierg»*s. 10 fr. — Lefèvro. à Ecuvilly, *20 fr. — Ummncy.au lieux, *20 IV — Gha- puit. à La Neuville. 20 fr. — Sarrasin, à Sainl-Fclix, 20 fr. — Soulrenon, à Senlis, 20 fr.

Gardcs-particulicrs.Uarras,-à Goye, 40 Ir.. — Mfmssin, à Apremonl (3 priint»),

120 fr. — Renault cl Lcrlcrc, à Lamorlaye, 40 fr. — Marry. à ltoulineourt..40 IV.- Rtrgnoi», îi Sorry. 40 fr.— Itoullet, à Bli- t oui t, 75 fr. — Dêlicourt, à Thiesçourl, ift fr. — Lcpclletier. A VAbbaye-âtvFroidinoiit, 20 'fr . — Jumeaux, A Aiiteml, 20 Tr. Iteinhy, brigadier à Saint-Léger, 10 IV. — Uarras, A I'Irnriiif-s, 40 f r / .

Kl iirimes ont élé accordées du 15 juin au I " décembre 1808. O s 81 primes représentent une valeur de 2.715 IV.

I.A BléiuonélK nlion.Un avis du ministère des finances rappelle au public qu’à dater

du 1" janvier 1860, cesseront d’avoir cours les monnaies ci-après désignées

• Mm mai e» françaises. — Toute.- les pièces de 2 francs. I franc, 50 centimes et 20 centimes qui portent un millé-sime. antérieur à 1864.

Monnaies belges. — Toutes les pièces A l'effigie de Iatopnhl I*'.. Monnaies italiennes. — Toutes les pièces frappées dans l'un des Etals qui composent le royaume actuel d'Italie, et portant un mil­lésime antérieur A 1863, A l'exclusion des lires de Lucqucsol des pièces de 60, 20 et 10 grani de l'ancien royaume des Dcux-Sicih», qui ne sont pas reçues par le trésor italien.

Monnaies suisses. — Li» pièces de 2 francs, I franc et 50 cen­times au millésimé de 1850 et 1851.

Jusqu'au 31 décembre 1868, les pièces dont il s’agit seront re­çues ;

A la caisse de tous les trésoriors-payours généraux, receveurs ■ particuliers des finances et percepteurs des contributions directes.

Le m in is tr e d e la g u e rre , v ie n t d 'i n t e r d i r e , p a r c i r c u la ire , la d é l iv r a n c e d e c e r t i f ic a ts d e b o n n e c o n d u i te , lo r s d e le u r lib é r a t io n , a u x h o m m e s q u i si1 s o n t f a i t p u n i r p o u r a v o i r t i r é le s a b re i n d û ­m e n t . O h n e p e u t q u e fé lic ite r lé m in i s tr e d e c e t te m e s u r e , en p ré se n c e d e s a c c id e n ts s o u v e n t s ig n a lé s d e la p a r t d e s m i l i ta ir e s en s o r t ie av ec le u r s a b re .

Ail fond du silo noir qui lui servait de raclio l, N icéphore B .tleinliin. le Tueur de chacals, répétait en soupiran t :

— Je vais m ourir loin d ’elle, et nul ne lui d ira jam ais ce que p o u r clic mon cœ ur renfermait de tendresse et de dévouement ! Je vais m ourir, et pas même une parole, pas même un so u rire , pas même un regard de cal «mge n ’adoucira mou agonie. Hélas! se souviendra I clic seu­lem en t. ne fiil-u» qu’une m in u te , du pauvre chasseur qui, du fond de son isolement cl de sou Obscurité, osa lever sa pensée jusqu’il e lle , si bonne, si douce et si belle, comme on lève les yeux vers les étoiles de Dieu I

Un bruit soudain l ’in terrom pit.Ou soulevait la porto de branchages qui ferm ait sa prison. Une bouffre d ’a ir froid lui fouetta le visage.En même tem ps une voix ru d e , celle du vhaouc de Sidi-

l la r r ib i . lui cria :— L è v e - to i , c h i e n .—• Gomment le pourrai* je? répondit le T ueur de chacals

qui. eu présence de l’ennem i, rappela toute sa placidité. Les cordes dont lu m ’as ficelé comme un vrai saucisson d ’Arles m ecniipeutbrnseljam bes Im possibledc m ’asseoir,do len iuer el, A plus forte ra ison , d e me lever. Donc, l’ancien, si lu me veux, viens me prendre.

—.C ’est ju s te , ricana le chaonc. Allons, vous au tres, ajoUta-t-il e n s ’ad icssanl A deux solides gaillards qui l'accom ­pagnaient. empoignez moi ce d iô le et hissez-lu jusqu 'ici.

' Les deux A rabes sau tèren t dans le silo ,au risque d’écraser le prisonnier, e t le soulevant, ils le jetèren t hors du trou , sans plus de façon q n c s ’il se fût agi d 'une bête morte.

Nicéphore se sentit m eurtri p a r le choc, m ais il no poussa pas urtc plainte.

Il consentait A m ourir puisque telle é ta it h destinée et que tout moyen d 'échapper 4 la m ort lui était ravi : mais il voulait du moins périr en brave et re ste r ferm e devant ses tah irreau x jusqu 'à la dern ière heure.

Le T ueur de chacut** s'en vint ro u ter aux pieds de Sidi lla rr ib i.

Le cheik, a raié jusqu 'aux dents, m ontait son meillour buveur d'air. Une centaine d'H .idjoutes, égalem ent tout

érissés d ’arm es, égalem ent à cheval, l'escortaient, prê ts à

S L X L I S .

S o c ié té « l'in str u c tio n g é n é r a le p o u r l 'a r r o n d is se m e n t cle S e n lis .

Lu Société (l’inslrtic lion générale pour ( 'a rro n ­d issem en t do S en lis , qu i v ien t d ’è lrc au to risée par un a rrê té de M. le P réfe t, en date du 5 décem bre, se réun ira le d im anche ‘20 couran t, à line heure , d an s la g ran d e sa lle d e l'ancien E vêché, pour so co n stitu er d é tin itivem enl par la nom ination d e son Ihireau.

Toutes les p e rsonnes non en co re so c ié ta ires qui voudraient assis te r à la séance e t p ren d re p a rt au vole, p ourron t s ’in sc rire , à leu r en tré e dans la sa lle , su r des lis tes d isposées a cel ellet

E t a l c i v i l d e S c iiI I n . .Naissance.

Thibault (Julie;. ‘ !Itérés. *

Garou {Mario-Vietoiiv}, veuve Fa hiv, 70 ans.Clayc (Henriette), veuve Livraycs, 73 ans.

Publication de mariage.Entre M. Coiiralh (Sébastien), ouvrier manVIial A Simlif, et

mademoiselle Tesson (Julic-Atnbroisinc), sans prolessioii A Senlis.

T h é â tr e do S e n l is .Lundi prochain *21 décembre représentation par la troupe de

M. Edmond.IRi-amc d e la ru e de la P a ix , drame judiciaire

en cinq actes, par M. A. Ilelol.M adam e ex l rouchrc, c-uinxlie en un acte. l . ’IU d ièze, vaudeville eu un ado , de M. Labiche.I.e Drame A huit heures.

P o l ic e c o r r e c t io n » c lle «le N en lU ,PRÉSIDENCE DE M. It.VI C.IIART.

Audience du mercredi 16 décembre 1868.

Le nommé François Verrière, âgé de. 28 ans, né à Compiègne, scieur de long, demeurant à Greil, a, eu passant sur une route, soustrait deux chemises que l'on avait étendue# sur une haie pour sécher, et s'estenfui assez, loin pour ne pas pouvoir sé présenter à Paudience ; le tribunal le condamne par défaut à un mois «l'em­prisonnement el aux frais.

Verrière s’est rendu depuis pour subir sa peine. ,

— Louise-Ambroisine Délry, femme île Pierre Simar, Agée de 16 ans, née à Vauriennes, demeurant â h o rs , a soustrait une paire de bas qui séchait également sur une haie; elle avoue sa faute, car elle a été trouvée en possession de l’objet volé, el k \lr i- , huual la condamne en huit jours de prison et aux frais.

— .loséphine-Ch irlollePécheux, veuve Poutre, âgée de 45 ans, née A Paris, est une marinière demeurant à Ghâteaii-t’Ahbaye (Nord) ; cette femme, chargée de transport et de déchargement j e charbon, a jugé à proposée mettre de côté ce qu’elle pensait pouvoir consommer et consumer; elle ne comparait pas à l'au­dience, el le tribunal la condamne en huit jours de prison et aux frais.

— Noël-Prndcnl Navellier, âgé de 48 ans, né à Montataire, charpentier, demeurant â Saint-Leu, a ensuite été condamné eu trois mois de prison c i aux frais, pour avoir introduit la main dans le comptoir d’une épicière de Gircs-les-M* llo, et en avoir extrait une pièce de 2 francs et une de t franc, qui lui ont élé saisies dans la main au moment même du vol. Navellier a élé obligé de se reconnaître coupable.

— Cliarles-Auguste Delion, âgé de 41 ans, lié à l'Églantier, cultivateur, demeurant â Itury, a rencontré dans la ville de Greil »l«*s voyageurs qui, comme lui, conduisaient une voilure ; une querelle s'élaut élevés» entre les conducteurs des deux voitures, Duhon a administré â tort el à travers des coups de, manche de. tnucl, et pour ce fait, le tribunal le condamne en 25 fr. ü’auitindr et aux frais. ■' o.

v — Théodore Clahaul, âgé de 20 ans, né A Rullÿ, charretier, demeurant â yauciemics, est sorti de son caractère habituel le jour de Saint-Éloi; il s’est enivré, a battu plusieurs personnes, a outragé M. le maire de la commuite, et a troublé la tranquillité des habitants de la commune par des tapages nocturnes. Il est condamné en dix jours de prison, I l francs d'amende el aux frais.

— Louis-Gustavc ta m oine, âgé de 19 ans, manouvricr, né cl demeurant à Baron, est, dit-oii, un garçon fort peu commode, méchant, violent et ivrogne; sa conduite dans le pays A l'égard inèmc des membres de sa famille, est on ne peut plus mauvaise; il frappe sans distinction tous ceux qu’il pense avoir des torts à son égard, c’est-à-dire ceux qui lui font des remontrances sur l'inconvenance de sa manière de vivre, la» tribunal, pour mettre fin à ses façons d’agir, le condamne, aujourd'hui en six mois de prison et aux frais.

— André Philinpart, âgé de 28 ans, né à Gorain, carrier, de­meurant â Sainl-Maximiu, conduisant une voilure qui devait pas­ser sur le pont de Sninl-Lcn, refusa de payer le prix convenu e t réglementaire; il pensa marchander comme sur nos marchés, el comme le gardien du |M»it refusait de céder, Philippurl exerça sur le préposé des violences inexcusables, et ce poiir une somme de cinq centimes qu'il refusa «l'ajouter pour compléter le péage. Le tribunal condamne Philipparl en trois semaines de prison et aux frais.

— Galixlc Mnlabirade, âgé de 45 ans, né à AssOp, aiguilleur au chemin de fer du Nord â Chantilly, demeurant en ladite ville, et le sieur Jean Gourdon, âgé de 35 ans, né à Toulry, conducteur

fondre l'espace et A faire parler la poudre su r un m ol du m aître.

Celui r i fit un signe au chaonc.En un clin d ’œil Nicéphore B.ilondriu fut hissé el ficelé su r

un cheval sans selle, qu 'u n des Arabes tenait en laisse.Geci fa it, le cheik cria :— En avant !La petite troupe, enveloppant S idi-H anihi el Nicéphore

balendrin . fila m inu te un tra it dans la direction d e l'orient.I.a unit était tiède cl parfum ée; la brise qui soufflait du

n o rd mêlait de fraîches exhalaisons m arines aux senteurs balsam iques des plantes ; la lune versait su r les hommes cl les choses su cla rté douce ; le silence était profond, rien n 'm troublait la solennité, sinon le galop cadencé des chevaux, qui effleuraient A peine le sol.

On m archa ainsi l'espace d 'une demi-heure.Puis su r un nouvel o rd re de Sidi lla rr ib i, 1rs chevaux

fam és A toute b iidc , s 'a rrê tè ren t court, comme p ar enchan­tem ent.

On avait a ttein t le bon i d e la Chiffe, c 'est A-dire l'extrêm e limite du royaum e a rab e , l’au tre rive étant terre française.

— C’est ici le lieu du supplice, d it le cheik. «P ur un raffinement de rriu iu lé , Sidi lla rr ib i voulail.quc

son ennem i expirât en vue de sou pays, c’est à-dlrc à deux p a s de la lib erté . •

l.c chaouc et scs aides m iren t pied A te rre .Les c jv a lic fs arabes form èrent le cercle.On se trouvait su r une so rte de mam elon ou plutôt de

coteau d o r^ lu pente s'infléchissait vers lu ficuvc.Le sol é ta it a r id e : il n’y croissait ni a rb u ste ni b rin

d 'herbe. On c u l d it un coin du Sahara égaré dans le Tell.chevaux enfonçaient A dem i dans une poussière fine

et ho irù lrc ressem blant presque A de la cendre.— Creusez le sab le, o rdonna lu cheik.E l tandis que deux Arabes exécutaient dans le sol m ou­

vant une excavation ronde de quelques pieds de profondeur, assez sem blable A un puits, 1e chaouc dépouillait Nicéphore de ses vêtements.

— Le miel ? dem a uda le chcik.

de train audit chemin de fer du Nord, demeurant à Saint-Maxi- min, ont commis nue contravention aux règlements du leur ser­vice. Ia> tribunal condamne Malabirado en 25 francs d'amende, Gourdon en 16 francs de la môme peine, et les condamno tous deux solidairement aux frais.

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Si la Sténographie ou l'art d'écrire aussi vite que la parole an moyen de signes et abrégés conventionnels, n’est pas entrée dans les habitudes, malgré les services qu'elle peut rendre; si elle est, en quelque sorte, restée le privilège d ’un petit nombre de per­sonnes, c'est que les méthodes sténographiques. publiées en assez grand nombre jusqu'à ee jour, présentaient une élude aride et rebutante.

Sous ce rapport, la SléAographie-Dunloyé — ainsi appelée dn nom do son auteur — que nous avons sous les veux, est destinée à faire dans cet art une révolution complète. Avec cette méthode, dégagée «les difficultés qui sc trouvent dans le# autres traités et qui en rendent la compréhension difficile, ou peut, en quel­ques heures, sans guide, sans maître, apprendre A écrire en sté­nographie, et posséder promptement une écriture plus rapide que toute autre.

Le système Duployé est simple et conçu d'après un plan où tout s’cnchaiiH» (Inus un ordre parfaitement méthodique. Gc qui n’est pas un médiocre éloge pour ce système, c’est que «les pro­fesseurs de sténographie — ceux du moins n u ise dévouontde bonne foi à l'enseignement de cet a r t — se plaisent a constater la supériorité do la Sténographie Duployé. Eu effet, rien ici ne se rencontre «jui ennuie, qui décourage, qui fatigue l’intelligenbe r rien ne rappelle celle étude qui», jusqu'ici, on considérait comme difli(i!c. oljrebutante, et A laquelle on renonçait prcsqu’aussilôt qu’on l’avait commencée. Ce qui nous permet de dire que cette méthode constitue vraiment la Sténographie unique, tant elle est facile A saisir en même temps que complète.

Maintenant, si l’on passe aux applications utiles «pie la Sténo­graphie recevra dès le moment où grâce A la méthode Duployé, elle se)vulgari#era, on est frappé du nombre «le ses applications. Ici, on l'cmploira pour rendre plus prompte encore l'expédition des correspondances commerciales dont on recherche avant tout la concision; là, en dehors «les tribunaux et des séances législati­ves la Sténographie appijrlera son concourss A tous les jeunes gens qui fréquentent nos écoles et «pii veulent conserver vivante la leçon du professeur et garder la trace d ’une parole trop souvent fugitive.

E t puis, tant la Sténographic-Duployé présente dans son élude de charmes et d ’attrait, elle entrera forcément dans l’éducation comme un a r t d'agrément. Le nombre «le connaissances qu’on peut acquérir facilement, surtout dans la pratique, n'est pas si commun qu'on ne puisse prédire à ce nouveau système d’écriture un succès que justifiera son enseignement, n’exigeant de tout élève jeune ou vieux, que quelques heures d’attention et debonne volonté.

li«* P u rg a to ire e t le P a ra d is de l la n leILLUSTRÉS PAR «il'STAVE DORÉ ( I ) .

L’illustra!ion de Y-Enfer du Dante a mis le sceau A la réputa­tion de Gustave Dorév Celte publication a servi de point de départ à la brillante carrière qu’il a fournie depuis cette, époquo. Il n’a pas voulu laisser inachevée son œuvre de prédilection. La librai­rie Hachette met en vente un splendide volume contenant la seconde el la troisième partie de la trilogie «|ue le Dante a ap|x»lér la Divine Comédie, c'est-à-dire le Purgatoire et le Paradis. Soixante grandes compositions ornent le volume et révèlent une fois de plus la souplesse du talent do Doré et l'inépuisable variété de son crayon. Le Purgatoire prés«»ntc l«»ur A tour les scènes les plus terribles, les plus suaves paysages et les tableaux les plus inystérieuseument grandioses. L'artiste a su conserver au pur­gatoire le caractère que lui ont donné la théologie et la poésie : uue transition entre les épouvantes «le l’enfer et les gloires du paradis. Citons comme extrêmes, au 24 ' et 25 ' chant, les Dé- eharnés et les Esprits dans les flammes, et cette délicieuse vision «lu 27 ', le plus poétitjiie compromis que jamais artiste a it osé entre le rêve et la réalité Le Paradis a demandé des efforts d 'in­terprétation tout nouveaux : il fallait fixer ces vision# mystiques, donner un corps A ces hiérarchii»# «•«•leste étagées dans l’infini, éclairer ces paysages surnaturels, faire rayonner et voler ces mul­titudes augéliqui's que Dante déploie en spirales sans termes ou qu'il groupe en roses éblouissantes. Doré a su trouver dans son inngination des ressources imprévues et des combinaisons d'une grande originalité. Tous ceux qui possèdent VEnfer accueilliront ce nouveau volume comme mu complément indispensable et aussi comme une œuvre digne de prendre place à côté de son ainée.

_ (1) Ui» volum e iu-fulio. avec la in d u c t io n française «le P -V. Fiorén- tiiio , le texle italien e l le» Cil i-omposilions «le D oré, ca rto n n é ricliem cnl : 100 f r . ; r e liu re r iche «;n m in q u i i i , (ratiches «lotccs en m aroqu in ; 120 f r .

Un des serv iteurs décrocha de la selle d ’un des chevaux une ou tre de c u ir dém esurém ent gonflée p a r le produit savoureux des abeilles.

— Qu’on en fro tte lo rom nt de la tète aux pieds, ordonna S idi-llarribi.

Nicéphore Ralcndrin, qui suivait d 'un œil anxieux les m ouvem ents de scs ennem is, sen tit ses cheveux se hérisser su r sa tôle. L'u cri d ’ho rreu r expira dans sa gorge.

Il venait de com prendre enfin l'effroyable supplice que lui réservait lec h ef arabe.

Hélas! co n'était point la m ort des braves ou des crim inels, une balle trouant la poiti'ine, un coup de yatagan abattan t la tê te , une corde en poil de cham eau liant la gorge et fer­m ant le passage à l’a ir , c’est A-dirc A la vie.

Non, rien do cela!Le cheik des lludjouleu venait d 'inven ter, pour savourer

la vengeance, des raffinements plus sauvages.Il allait liv rer le Roumi, pieds el poings liés, incapable de

se défendre et de sc mouvoir, aux m orsuros des insectes.E l pour exciter davantage les m ouches, les sau terelles cl

les scorpions A fondre su r cette proie hum aine, il leu r pi­m entait le régal en enduisant de miel le corps de son ennem i.

Le Tueur de àhacalt, dans un suprèm o m ouvement de d é ­sespoir, essaya de b riser ses liens, pour fu ir, p o u r résister,* p our fondre su r ces lâches qui regardaien t faire en ricanant, qui ra illaien t froidem ent les maux q u ’il a llait endurer.

Mais les cordes étaient Splides. Le chaouc é ta it un habile bourreau .

Les chairs boursoufflcos crièren t sous la pression cl des cordes de poil tracèrent un silou sanglant au tou r des poi­gnets et des jam bes du condam né.

Le puits achevé, ou plutôt la tombe, c a r c’éta it bien une tombe que les Arabes creusaient, e l, chose épouvantable à d ire , une tombe pour un ê tre vivant, Nicéphore Ralcndrin y fu t descendu.

On le m aintint debout.Les Arabes rejetèrent le sable au to u r de lui cl com blèrent

le trou jusqu'A l'orilicc. l.c Tueur de chacal s sc trouva bientôt en te rré jusqu 'aux épaules; sa tête seule ém ergeait, comme

j£ .

C H E M I N S D E F E Rd e la IJfrne In te ra a tla a a le d 'Ita lie

l»AR I.E SIMRLON(Nouvollo Compagnie anonyme)

Adm inistration centrale A lW is , boulevard Ilaussm ann, 50.

La souscription A la d e r n i è r e r é r i e du capital afférent à l’étranger, dans les 134,600 obligations émises par la Comm. gnio, s’ouvrira sur les principale#, places do l'Europe te 18 fe. cembro courant.. Cette souscription i>ermotIra..d)acçuqijiir ,lc3 demandes qui n’ont pu être admises dans la souscription française.

Les obligations de ce.Uo sérié «ont émises à 9 1 &(50 f r a n c s en s o u s c r iv a n t) .

Elles sont aussi remboursables «\ 0 9 5 F R A N C S (400 francs en espèces. 125 francs en aclioh libérée). Elles rapportent un intérêt annuel de fl& F R .A M C fi.

E n outre d e s conditions ordinaires d ’amortissement, c?s ohli- g a l io n s , c o m m e c e lle s d e la s é r ie française, participent

Au (;RANI) TUUGE «le .

r é p a r t i s s u r 3,200 o b lig a t io n s , e t quiaura lieu au mois d ’a v r i l ou de m a i p r o c h a in , s u iv a n t la d é c is io n do l’Assembléo g é n éra le du m o is d e j a n v ie r 1869.

— -

USINE HYDRAULIQUE DE N01SÏELPrès Paris, fondée en 1825.

êOUR LV FABRICATION DES CgOCOLATS DE QUALITÉ BUI'ÉBIEURB.

C H O C O L A T M E N I E RL'usine de Nuisel, spécialem ent do-itinéo ft la fabrication

du Chocolat, est la plus considérable de F rance.èl sans doute de l'Europe. Située dans la .riante vallée d e là Marne, sur rem placem ent d 'un inouljn h istorique, qui da te du roi Louis. Ic-Gros, elle répond parfaitem ent A au destination . Ile nom- breux ouvriers disciplinés cl d r e s s ^ A leu rs travaux délicats sont aidés p ar du puissantes machines hydrauliques el A vapeur qui perm etten t d 'o p ére r avec la plus rig««urense propreté e l lu plus grande étonom iè de m ain d 'œ uvre, ce qui explique A la fois et l'excellence des produ its de cet établissem ent m odèle cl le bon m arché auquel ils sont livrés A la consommation.

« Il faudrait avoir la place poui d éc rire , suivant les piilo.« loresques expressions de M. Cerabecr de. Médrlsticim, dans « sa curieuse m onographie : Du Cacao ci du C hocolul\t),\e• soin, la propreté excessive qui président A ces opérations,

q u i, presque toutes, so font d 'une m anière autom atique,i• t’aide des plus cu ric u s ts m achines, des outils les plusnou-• veaux, les plus ingénieux L ’œ il su it.a v p esu rp rise le iqoh- « veinent de celle pà le qui m onte, desceud, partou t les étage*, « se mélange, se d iv is i» , s'é ta le , seiUontc. se pv rd .se retrouve « toute seule, pour ainsi «lire», sans qu 'on aperçoive la main « de l'hom m e, qui ne se révèle, que. p a r son génie. •

Industriel hors ligne, M M e .nie r ne s'est' pas contenté «Têire seulem ent fabricant, m ais encore il ..s’csl fait planteur, a rm a teu r, im portun- e t exporteu r à la fois, n é Voulant r«-*lcr étranger A aucune des opérations conrcruaiit l'industrie à laquelle est attaché l'honneur d e sa mnisiite.

Des lorra ins immenses ont été . «ichctés au re n tre de H m eilleur production «1rs cacaos, s u r les bor«ls du l.'œ de N icarague: un homme habile e t dévoué. St. Schiffmaini,a été mis A la tète d 'u n e vaste plnnlolion «le, cacaoyer.»* an Vulle Mcnier. La cu ltu re se fa ild a n sle s iqrilleuM scondition* indiquées p a r la scicnco et p a r la p ra tique , de s é r ie qucl’oji peu) désorm ais com pter R u rü n o production régulière, abon­dante, de fru its ex re llèn ts.

Le c a c a o qui se r t a i l chocolat fab riq u é A l’usine; d e N«dsirl est d o u e e u partie, récolté s u r h i p rop rié tés de H:Mcnier, t r a n s p o r t é p a r se* navires, c jm d u il.à l a la b ru p m .p ir scs v o ilu res; il «jsl t ritu ré , m anipulé, transfo rm é -sousites yeux c l s o r t . d e s c s mngn-ins p o u r a ller dans Je m onde entier s a t i s f a i r e «t u goût du plus hum ble rum ine du pliis riche, r e v ê t u <ii> s a m arque de fabrique q u i. c i l indiquant .ta prove­n a n c e cl le p r i x , gu-oulil la qualité purb de-to u t mélange s u s p e c t .

Les ju ry s «le toutes los Expositions française# e t étrangères ont reronnu la supério rité d u Chocolat Mcnier p a r les pre- mi -rcs récom penses: au«ud. le suce,es^e»4,<L»rv>v,é.A|re point que de 688,486 kilogram m es q ije fib riqm dl en I 8 R l’usine de Noisii'l, la production, a a tte in t, r i l Î 8 6 7 , Fénormo quan­tité de *2,929,881 kilogram m es, chiffre qui sera largement dépassé en 1868. CVsl p rè sd u tiers de toulo lu consommation dn pays. Les dro its de douane payés p a r l.t; .Maison Metiier pour la fabrication dn Ghocolal (sucre ut rac.au) représentent environ 4,tlOI)Jr. p a r jo u r , soit pou loin de I .*203,000 franc# p o u r 1'nnoéc.

( i ) E ludes im JutlrieU e* h propos d e t 'E rp o s i lia i uà iverteÙ è d e 1867. P a r ii, S nc idu «!<■* livre* u til i i* 4 (4 , ru e S a tn l-H onoré

G lI l tM DE L l PilTIlISjK N IL N O We t iie LA K I I O I 1 T I I T E G n n O . t l Q l I E

Traitem ent nouveau. — B io c h u re d e 151 pages, 7* é«lilion, par le Docteur J ules Ro v e r . — tin reçoit cet ouvrage franco en adressant I fr. 50 en tim bres pod«», «au Docteur J ules R o v e r , 140, boulevard M agenta, on A M. D r la iia v k , libraire, 25, place de l'Ecolc-de-Mi'di ciue, A Paris.

Nous, croyons devoir av e rtir mis lecteurs que |a maison Ro is s ie r , confiseur A P aris, a ê tç , p a r su ite d 'cxpro ju ia li on, transférée provisoirem ent

Lii Propriétaire-Gérant : Ernest P a ten .

une effrayante excroissance, de ce so l'désert el nu.Il essaya de c r ie r, m ais le sable qui l’oppressait a rrê ta it sa

voix dans sa poitrine ; sa d ou leu r ne s'exhalait que p ar de lam entables contractions des m uscles de la face.

Scs lèvres p leuraient.H agards, dém esurés, sanglants, scs yeux qui roulaiout

, d an s leu r orb ite dem andaient grâce.Un bourdonnem ent confus battait au to u r do ses tempe#

el lui dunnail le verligfc, un vertige voisin d e la folie.El pourtan t son cerveau conservait tou te sa lucidité.II com prenait son supplice; il en entrevoyait llio rrg u r, il

supputait les longues heures d 'agonie qu ’il lui faudrait subir, il com ptait d ’avance, uue A uue, les innom brables morsure# que les insectes feraien t dans sa chair) cl, rien pour se déli­vrer, rien pour m ourir su r l’heu re , n 'im porte p a r qui, n'im­porte comment ! Rien que des ennem is impitoyables qui riaient de scs dou lcu is e l q u i venaient A to u r d e rôle Cm* suite»* cl lui c rach e r au visage.

A deux ra s , le chaouc enfonça dans le sable un poteau portan t cette inscription en ca rac tères arabes :

• Justice du puissant ch<‘ik S id i-llarrib i •Ces quelques m ots suffisaient pour ferm er le ( to u r «1rs

passants A toute velléité de compassion. ’r . J ' 1 — El m aintenant. |>el nmourçiM , «lit Ic tf ic ik en tf/anan t,

je vais chercher la fiancée A Yhaouch de Son père. Msis sois tranquille , tu p ourras la sulnèr* tin passage, si les nmitchesle p rêtent vie, ca r je veux q»> lle voie p a r elle-mêm e comment je sais me venger.

Francis T e s s o n .(L a suite au prochain num éro.)

Un mot d e la Veilleuse :Ou parla it devant M. *’* du ce llie r de cent cinquante mille

francs donné p a r le duc *** à m ademoiselle %...— C'est singnlier, dit-il, qu an d on me parle .de pérles don­

nées à des femmes, je trouve toujours une h u ître aitarliéeaprès. ' \

Page 3: ir r - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1868_12_19_MRC.pdf · Voici les résultats définflirs des éler lions de la 3'ciri ons- cripliqn des Jôlcx-dnNord. M.

A M u o a to e a ^ u d i e t â i F c g

I*«r a r r ê t é d e M . le p r é f e t d o l'O ise , o ifp ro i i^ î p a r S . K xc. M. le M in is tre de l 'I n t é r i e u r , Ib J c n r a a l « le S c n l i s<i M d é s ig n é p o u r in s é re r c il 1868, d a iïs l 'a r ro n d is s e m e n t d o SunlisJ to u te s ;n ijiu n cç j ju d ic ia ir e s c l légales.

L a p u b lic a tio n ^ g a lo d e s a ci e s d e so c ié té e s t o b lig a to ire p o u r l 'a n n é e mil (m il c e n t , s o ix a n te -h u i t , d a n s ch a c u n e d e s d c ijx fefliillcfè d e ra r rn n d f ts n m iiu i

.d és ig n é e s p o u r l 'in s e r t io n d e s an n o n ces ju d ic ia ir e s .

A n . 1 " .

A V I S .

C Joqj^ agiile d o s E a u x d £ (O ise ).

Société à Responsabilité limitée.

c a p ita l qpci\r. : > 1 0 , 0 9 9 f i t a nos.

AWEURJ.ÉE GÉSèflALE EXTRAORDINAIRE.

MM. Ici Actionffaires do ladite Compa­gnie feopt informés qu' une asskmm.ük liKNBBALK EXTRAORDINAIRE aura licil leIHmiptclic 24 Janvier 1809, à l'Holrl-do- V ille ^ ugo heure de relevée.

(Ar*. 31 des s ta tu ts . — L'üsseinhléc générale se compose d c lo fts les Action­naires pôrteiir4<ftà deux actions au moins.)

OBJET-DE LA RÉUNION :1* Mise en location do. l'Etablissement

des Eaux.2° (Jréaüof) de q m lo yze obligations de

Îj09 fr; cliacüno.RURE.AU DE LA COMPAGNIE :

Hue aux Flagofrds.’ n* 5 ; ouvert tous les jours de dix à onze heure* et dp une

■-•a trois heures, excepté les-Dipiuft-he* et jouir» fériés, ' . '

EÏilde de, 1 1 ' JL U o « R n , avoué i d î*v»nt A.SdttiM.;Itfè y?tf»do J’.y is ,

P U 1 I G F , i K G I L E .-Suivant exploit d e NolévaJh», huissier

. û Sinitis, ch «LtUi du dix-iiMur décem bre 4 3 »8 , enregistré.

Notification a été faite A M. le Procu­r e u r imnérinl- p rès le IribuiKd m i l de Sijidis, em£_on porqùet, requête de : I" M. H 'w i Lange, p ro p rié ta ire , du- m eiiran l .$ \ l 'la ÿ ly (Oise): 2» Ma lame ■Sojihio Uaisien*. p ro p re 'fa ire , deincu

' ran i A Plailly, Veuve de M. Joseph- H nnorê L cm aire; 3” 'M,. Lotiis Victor L a n d r y , hiAnotivriery dem eurant A Plailly ; 4- M. Joseph Félix L abisque, ép ic ie r «I m archand ire VjiM.'ilpmeu- raiH à Plailly; 5” M. Al«rv1s Jutjon La

• g au le , jjrràplnyé, diurteurnûl à P alis, n iu deTTanihuleau, V 22 ; 6“ M. Alcxis- AfphoUso Burnou. em ployé, dejlieiirjn t

Argenttutil ; î* M: LouisKityiiard G ro n y /m .j j tr e j l ii i l f e r , dcm éfïrani A »aint-W Ux;7l* M adame Victoire Vii-gkiie Lam bin, «amt- profession; H cnieqranFb Plailly, v7*uVc de M.' Louis Alexandre PeithUMot> 9* M. ThéftpbPe Mailly. m archand d e vin, d cm -u rau l à Plailly; 10\*M." H eifri-B enim i P aren t, ciillivu- 'Luné* rfenwiM'^ul A 'êtorfcforttaine; 11 ' * . Louis-Dénis D uvàl, m archand de bois, d em e u ra i^ A M ortefont.iine; 12“ .M. Cliarles-Conslanl l ln m e l: p ro p rié - l a i r f t detncur.ud A P aris , rué .Mirâmes- riiU •** 49 ; L3* M. J j ro b Foiîhcv, nia irouvrier. dem curanL à Pl.iilly ; Louis-Àntoine H aine, nianouvréer. de­m eurant à P la il'y ; 15~J1. Loiiis-Ernesl Roussel, m enuisier, denfeuraul à Vue; 19’ AI- Augusfe-Maric Vinceftl. p ro p rié­ta ire , dem eurant A D um m aiiin ; 47” M, Auguste Charleiungue M ariette, m.tiiou- v ricr , dem euranr d Rofivrcs (Soiue^cl • M arne); 18" H . Philippe Ponsoui, m ar­chand ép ic ier, dem eurant à Bvc; 19° M. Edm ond G hnfticr. cu ltivateur, d e ­m eurant a t i ' Plessis-BelleviUo ; 20“ Et M. JInrccLEugèue Eorjiic, cultivateur, dem eura ut A Moftbignji Sainte-Félicité ;

Tous lesquels rVquérijnts ont élu do tn icile en l’é lude d e M* Jules Godin, nvofié A Soiilis.- y d em e u ran t, ru • Neuve- de-Parls, b* 2*21

Do l 'expéd ition -s i'ru ac te passé au greffe d u d it Ir ib tld u l, le vingl.p.-of octobre 1868, enregboré,. consl.Uafit le dépôt fait aud it greffe p a r M'.Vludin, avoué des» rengéruuBK de U> copie,‘p ar lui colblionnef*, enregistrée, d ’ûri pi n- ' cè? verbal d ’udjm licatioii d ressé par. M*Morei,notaireÂSiuilis, judiciairem ent com m is à cet effet, cl son collègue, A Ja d a te des tren te août cl six seiilem bre (8 68 , enreg istré , 4 la su ite du cahier des charges d ressé p a r led it BP Bloror, lu vingt-ciuq ju ille t p ré céd e n t, aussi en reg istré , 'contenant ledit procès vgr- bal, A |,i requête de : 1“ M. Charles- l ie r re - Courroye, p ro p rié ta ire , dem etu ra n t A Lagny-le Sec ; 2* Madame Allier th ie Geneviève Courroye, proprié taire, dem euran t h Eve, veuve du s ieu r Jean- HaplitHe Charlcmagm? G a u tie r; 3* BU* 1-ouis-FrauçoiA Bellamy. p ro p rié ta ire , dom enrant à E ve; -(“ .M adame Marie Louise-Vrrginie Itcllamv , a^pouse de Bl. Pierre-Félfx Ib-clerciy» proprié taire , a te c lequel elle dctueiiFic A Monllévêquc, et d u d it s ie u r Leclercq lAnt en son nom personnel que pour au to rise r Ix dame

. sou épouse n | la validité de la |iro rè d u rp ; 5* M. Victor H a(hier, cu ltivateur, dem euran t à J.»g!iy-lerSvc^6» M. A rthur IhirhhT , garçon boulanger, tlb ineuranl nu môme lieu ^T^JIadrtrtie Aglaé-Gepe* viève G autier,.-t'im ore d e M- Sin*>n Pousardi b o u rre lier, avec lequel elle dem eure jt.iKve, a i du d it sic ttr Punsard tan t en «iui H o m .p èu o u u c l que po n r au to ri.sep ladbm éw inépou item la vali­d ité 'do la p rocédure ; 8* M.Vitlor-Marin U nîtreux, épicior-buraUtHév dem cnrau t A E> e ;

£«■ p uésence iKi* : | " M adAm c Julie* C la r is s e G a u t ie r , p ro p tH d a ire , deinefi* r a n t A S e n lis , v euve <ti> Al. V lcloi-V ulon- t in l lm ie l e t ; 2* Bl. A nfo inc Viu^cHl F a g a rd , b n u le n g é r , d e m e u ra n t A ' l . a

n o m e tCha^elle-cn Serval, agissant au no) comme tirtep r unlurct e t h'xtal de Emile* Honoré F a jp rd (A JuliçrK léouore Fa- gnrd , scs «feux en fan ts 'm in eu rs , issus

ouore Fa­

do son m ariage avec dam e Joséphine- Julie G autier, ga fumme décédée; |° M. A ntoine-t.hnicm agnc fiputiiy , coin m issionnaire en m archandises, demuu-

ran t A Paris, ru ç Fran1)ois-Miron, ir8 '2 . 4* Al. Julus-Honoré G autier, ouvrier' boulanger, dem eurant A P aris, rue Se- daine, n° OPr 5“ M. Frum ence-Félix G autier, m a r^ h in d ép ic ier, dem eurant à P aris, ruo des Gravillicrs. n“ 23 ; C" Bl. Jules-Alphonse llerson fils, cultiva­teu r, dem eurant à S iin l-W ilz (Seine- «I Oise); 7° AI. Louis-Anloine-Auibroise lliclié , capitaine de gc idarm cric, dc- nriNiranl à Grenoble (Isère) ci-devant, et actuellem ent A Aires (Landes); 8“ Ma­dam e Eulalie Sophie Itirh». épousé de Jl. Charles Héguerly. cafetier,- avec le ­quel elle dem eure A Itoruay (Vosges), et dud it s ieu r H uguciiy , tan t en son nom personnel que pour au to rise r la dam e sou épouse et la validité de la procédure ; 9 ' Madame Clotilde-Louise Bellamy, énousc do J l. Victor Alarin Jo u d rie r , d is tilla teu r , avec lequel elle dem eure A Aleaux (Seine-ct-Marne), cl dudit kiciir Jo u d rie r , tan t eu son nom personnel que pour au to rise r la dame sim épouse et la validit - de la proi e- du re ; 10“ M. Théodore-Fêlix Bellamy, garçon d istilla teu r, dem eurant A Saint- Denis, Grande-Rue, n# 23; II* M. Jules Tliem ry, avoué près le tribunal civil de prem ièic instance séant A Senlis (Oise), y dem eurant, ru e du Chûlcl, n° 21, agis­san t au nom et comme syndic d e la f..i!- iitc dû s ieu r Loiiis-Alphonsc Biché, ancien boulanger A Bn-gy, canton de lletç (Oise), et aclm llemeiit n il liv i t nr. dam euraiii A.Montcel, pai A ' - ’es-Bains (Savoie); et encore en présence de Mv François-Casimir P h ilibert, coiffeur, dem eurant A Scnlis, agissant au nom et comme subrogé tu te u r des m ineurs F a­gard sus-nom m és, élu A cette fim ûion p a r délibération du conseil de famille desdits m ineurs, p rise sons la prési douce de Jl le juge de paix du canton de Sentis, A la date du quinze février 1868, enregistrée ,

Adjudication su r licitation au profil de tous les icqiD-rauls, savoir :

Au profil de AI. La igc, du : une m aison, sise A Plailly (Oise), en la rue d'En-ILiul. en face l'Église, composée d e deux étages , g ren ie r au-dessus , cave, irnaiii p a r devant A la rue , par derrière . A la cour, d ’un côié JL Du val, e t le bàihiielil è î-aprés,. d 'a u tre côté A la rom m iine de Plailly. un petit bAti- m ent adossé A c e f e m aisou, ayant en­trée p a r un cul-ile-sar, cour avec grande porti* de sortie . Dans celle cour, graml bûcher ou grange, avec d ro it de sortie s u r la p roprié té G abreux. Petit bàli nient d 'baiiilatio ii avec gren ie r au dessus, écurie avec colom bier au-des su s . grande g range, rem ise , toits A porcs, poulaillers, rabanes à lapins; puits com m un. Petit ja rd in à h suite, piaulé d 'a rb res , et en tou ré de m urs, bp tout tenant d ’un bout A la maison, d 'au tre bout le verger, d 'u n rôlô la com m une , d ’a u lre coté Gabreux ; m oyennant, ou tre les charges, la somme de cinq mille fm u es de prix principal.

Au profit de m adam e veuve Lcmaire, d ’uj» verger clos de m urs, s itué rue Bj- l a i lk , d e r riè re la m aison ci-dessus, p lum é d 'a rb res fru itiers cl d 'espaliers, porté aji cadastre section A, u“ 266 pour p a rlic , nm leiiutil so ixante cinq ares •vingt q u a tre cen tiares , y com pris le m ur s u r la n ie Bataille e t la m oitié des m urs de clô tu re du su rp lus, tenant d ’un cô té à la rue Bataille, d 'au tre côté A Duflorq, A la com m une et au petit j a r ­din ci dessus, d 'un bout m adam e Le- m aire , et d 'a u tre bout Duflocq; moyen­nant, o u tre 1rs charges, la somme de (fil-ilre m ille trois cenls francs

Au profil de Al. Landry, d e : un jard in d e deux ares q u a tre centiares, situé en la iv*> du Poul-M aucet, clos de in u rsd c (ro is côtés, et du quatrièm e p ar une haie vive, tenant d 'un côté A la rue du l’ont-ILiueel, d 'a u tre côté Ju les Fonrry , d ’un bout L andry , d 'a u tre bout Jules F om cy et C aru ic r; cadastré section A, ii° 361; m oyennant, o u tre les char g e s , la .somme de r/ita'.re cent vingt frqncs.

Au profil de M. L abasque, de : un ja rd in , au mémo lieu, connu sous te nom de ja rd in de la B ruyère, planté d ’arb res Iru itiers. contenant ouzo arcs quatre-vingt-un ro u ftire s , tenan t d ’un côté Vincent d 'a u tre côté cl d 'un bout F.tuvcl, d ’au tre bout la ruelle du It is- Hi'l, cadastré section A, il" 220; m oyen­nant, ou tre tes charges, la- som me de m ille francs de p rix principal.

Alt profit de M. L agardc, de : une pièce du te rre , connue sous le nom do Ja rd in du l'uils-Jaus-icl ou de la Jlaisou- Bouge, contenant vingt a res trcnte-el- un centiares, tenant d 'u n côté la voirie du Puits J.iusscl, d 'a u tre côté Paulm icr, d 'u n bout ll.iincl, et d 'a u tre bout la voiric.de la Légère, avec d ro it du pus spgo pris l|! long du g rand r.bcinin con­du isant a u ‘P uits Jausse l, cadastrés sec-

..lion J l, ii“ 6 7 ; nïnye.nujyil, ou tre les c h a rg e s , la som m e de sept Cent cinquanlc francs de prix principal.

Au profil du JL Bers ou de : 1" un hcc- (ai csoixantc-el-am centiares dû te rre , au Poirier Vert, p rès le Bois de Choisy, lieu d tl.l’E rable, leu.Mil d 'u n côté Du- flocq, d 'au tre côté P a re n t, d 'u n boqt P a ii lm ie r , cl d ’a u tre bout B euoisl, cadastrés section C, n° 115; m oyennant, o u tre les charges, le prix principal de trois m ille quatre cent cinquante francs ;2° c l la m oitié de vingt-deux arcs ch iquante neuf re n tia res de p ré , situés an te rro ir de Alortcfoutaiuc, lieu d it le G rand l’onim crct, tenan t d ’un côté Al. Joly, d 'a u tre côté M. Ilainct, d ’un bout M. P au lm icr, cl d 'au tre bout AI. Cham peaux, cadastrés section D,

V 5 6 ; . lad ite m oitié A p rendre du rôlé do JL Jo ly ; m oyennant, ou tre les charges, la som me de trois cents francs.

Au profil de Al. Grotiy, de : vingt- cinq, arcs cinquante-trois cen tiares de lorçc, situés te rro ir do Plailly, l'ôu dit le s PI Amères ou la Longue-Baie, louant d 'u n côlé Louis Robquiu, d 'au tre côté p lusieurs, d 'u n bout Pontrcl, d ’au tre bout G rony , cadastrés section N , n° 106; m oyennant, o u tre les charges, la som m e de doux mille cent francs de pi ix

, m adame veuve Gabreux et Paulm icr, cadastrés section J , n* 153; m oyonnunt, outre les charges, la som m e do sept cent d ix francs de prix principal.

Au profil do Bl. Mailly, de : vingt cinq ares cinquante tro is cen tiares de te rre , plantés d 'a rb res frd ilie rs , te rro ir du Plailly, lieu dit “la Fontaine de Dri- dut, Icninl d 'un côté l la ssa rd , d 'au tre rôlé .Mailly, d 'un bout Paulm ier, et d 'au tre bout Gléry, cadastrés section G, n* 33; moyen n ml treize cent vingt francs du prix principal, ou tre les charges.

Au profit do AL P aren t, de : trente- s-p t ares quatre-vingt sept centiares de Irrre . même te rro ir, lieu d it le chemin do P h illy A B lo itné liau , lieu d |t le Temple, tenant d 'un côté pm ir partie A Bl. P aren t, e t des au tres p a rts A BL Chaïqpcîiux, cadastrés section F. i r 9 ; m oyennant, ou tre les charges, seize cent d ix francs de prix principal.

AU profil de BL Duvàl, de : un ja rd in verger, s itué môme te rro ir, lieu dit lo chemin de Blotissy le Neuf ou lo Vivier, contenant environ vingt et un arcs q ta- rante-six centiares, plantés d 'a rb res fruitiers, tenant d ’un rôlé A la ru r l 'e d u Vivier, d 'au tre côté M. Beuoisl, d ’un

principal. Au profiprofil de m adam e Po| th u ’sot, de :

iloiuc ares soixante-dix-sept centiares do 'le rre , lieu d it lu Longue-Raie ou GrosÜle, te rro ir de Plailly, tenant d ’un rô lé aux reprê.scuiauis «lo m adam e G abreux. d 'au tre rô lé Jl. Ségard, d 'un bout.Chapelain, de Ph illy , d 'a u lic bout

bout au chemin de B lm ssy lc Neuf A Plailly, u’alitre bout A J) .GLiry, cadastrés section A, i»**205; m oyennant, ou tro les charges, quinze cent soixante d ix francs de prix principal.

Au profil de Jl. Hamct. du : I" vingt cinq arcs cinquante deux-ecnii-irés de bois taillis, s u r lesquels cxi-lcut trente sept modernes de diverses essences, au môme l< rro ir , lieu la J lare Laïque, te­nant d ’un côté AI. B ouchard, d ’au rc rô lé Bniu ‘1, d 'u n bout C lary, d 'au tre bout Bouchard et le chem in de la Blaru Laïque, cadastras suclion D , n° 95; m oyennant, ou tre lus charges , n e u f cents panes do prix p r i ic o a l. — 2“ El la moitié de vingt deux arcs cinquante neuf centiares de p ré , situés au terro ir de Jtorlefotitainè, lieu d i t le Grand Pommoret , tenant d 'un rôlé Jo ly , d 'au tre côté ll-iin«*t. d ’un bout Puûl- luior, cl H l'autre boni Gharnpeaux, e.i- dasin-s sed io ii II. i r 50; lad ite m oitié A prendre du r ô té d é l l im é l ; m oyennant, ou tre lus charges, trois Cenls francs de prix principal.

Au profil d e AI Al. Fmircy et H aine, chacun pour moitié, de dix-lmil arcs qiialre-viugt qualo rzercn ti.ires de terre , te rro ir dudit Alorlofoulainc, lieu dil rÉjiiitay, tenant d 'un côté lu voirie de rÉ pin .iÿ , d 'a u tre côté B -uchard et Gli impeutix, cl des deux boifts Gliam- peaux, cadastrés section E, n° 212; moycun'aul, ou tre les charges, la som m e de mille cinquante francs do prix p rin ­cipal. La m oitié de J). Fourry est A prun.lre du côté de AL S iiu te Bouve, u t colle de >1. Haine du c à t ï do AI P i- ren t, pour avoir tous deux a e è v p a r là voirie de l'Epiu.iy.

An profil d e JL Roussel, do : L douze ares roixanlc-quinze centiares de terre , au terro ir d ’Ève,x a u canton des Tiiil leaux, ou moulin d 'Ève. icuaiil du nord A M. Rortiior, du couchant au m êm e comme ferm ier, du midi à la Couroye, et du levant A S tanislas B irh ic r, c a d a s ­trés section A, ii” 57: m nycnnaiP, ou tre les charges, trois cent soixante d ix frfincs do prix princ ipa l; 2° Ircule-deux areu; cinquante cen tiares de le rre . môme te rro ir, au hau t du chem in d ’Eve A Oihis, tenant d ’un côté nord Mcuiiel. d ’Olbis, d ’au tre côté veuve Urugeon, d 'u n bout D ernier, d 'a u tre bout A Laghez cl au tre s : m oyennant, outre les charges, n euf cenls francs de prix principal.

Au profit de Bl. V inrent, de : un hec­tare q u a tre -v in g t-h u it cen tiares de terre , môme terroir,|lic ii d il au Moulin d 'Eve, tenant du nord c l du midi AMI. Dernier et Lnron, du couchant BL Dernier, du levant JIM. Vincent, Bataille et B arb ier, cadastrés section A. n° 58; hm yenuanl, ou tre les charges, trois mille francs de prix principal.

Au profit de AL M ariette : vingt six arcs soixante cen tiares de te rre , mémo te rro ir , lieu d il la J a rréo ou Sainl- F ran ib o u rg , tenan t de tro is côtés A AI. Galle, de Rouvres, com m e fermier, d 'au tre bout ailN h é r iiiu is Muiguanl : moyennant, o u tre les charges, cinq cent soixante f îm e s de prix principal.

Au profil de M. Ponsard , de : cin­quante six ares q u atre vingt quinze centiares de len t?,.m ôm e te rro ir, lieu dît la G ïrénuc des Jterlsièrs, tenant «lu levant au chem in de Rouvres A OrchcuxH du couchant Bl. Bataille, comme fer­m ier, cl du m idi Jl D ern ier; moyen­nant , outre les ch a rg es , douze cents francs de prix principal.

Au profit de AI G hartier, de : 1° La moitié indivise avec Al. Couroye, de f.agny-le-Scc, d ’une pièce de te rre de deux hectares quaraiile-et-un ares cin­quante-six centiares, sise infime terro ir, lieu dil au Haut du Suret ou du Poirier Rouge, traversés p a r la sen te de Lagny- Ic-Scc A Eve, tenant d ’un côté nord D ern ier, comme fe rm ie r , du midi AL de l.ongpéricr, du couchant BL Gob rl ; m oyennant, ou tre lus charges, trois mille vingt francs de prix p rin­cipal.

2* viiiet-et-un ares dix centiares de te rre , au te rro ir d 'Erm enonville, au- dessus de la Justice T rip lo l, canton du S uret, tenan t du nord A BL Pivert, du m idi Al G obcrt, comme ferm ier, du levant au môme, du couchant M Ba­ta ille ; moyennant, ou tre les charges, cinq cent quarante francs de prix prinV cipal.

El au profil de M. Corbie, dé ; qua­ran te et un arcs q u atre vingt cinq cen­tiares de te rre , infime te rro ir d 'E rm e­nonville, A dro ite du chem in de Provil- Icrs, vers le chemin Blanc de Blonlàgny e t près lu borne du te rro ir du Plcssis- Bcllcvillo, tenant de tontes p arts A AL Corbic, comme ferm ier du AL Rougé; m oyennant m ille deux cents francs de prix principal.

Tous lesdils im meubles dépendaient de la com m unauté de bicnsaynnl existé e n tre Sl.v Eticunc-Rogcr Couroye, pro­priéta ire , cl m adam e Julie-Joséphiue G autier, sa hunm e, et des successions desdHs époux t’.onroyc-Gaulicr, tous deux décédés A Plailly.

Ledit dépôt clfcclu'é pour parvenir A purger les hypothèques légales pouvant

grever les im meubles ci-dessus, indé­pendam ment de l'inscription.

Il n été déclaré A M. le P rocureur im périal :

l - * \ Que les anciens p roprié taires des immeubles sus-désigués éta ien t, ou tre m onsieur cl m adam e Gouroye : m adame Blar e-Jcaune-FrauçoiseLlios.c, veuve en prem ières noces du Bl. Autoiur- D ominiquv.ltiché cl en secondes noces de BL Jean-B apliste G autier, décédée A l’I.iilly; Gen-Viève-Mélaiiiu Rie.hé,épouse du P io rrc B arb ier, cu ltivateur à l.oisy, commune du V er; François-Remi Gau­tier, b o u rre lier, dem eurant A Plailly; Atiloim-Félix G autier, gardc-parlicu- lier, dem eurant au Plessis-Ceitc* ille ; Louis-Julcs G antier, de Sen lis; Autoitic- llominiqiic Iticlié , rcnlici A Dorqay; Etisa G autier, épouse de Viclor-.Marin Gabreux ; Geneviève • Aglaé G autier, époiiso du Simon Ponsarl ; Maric-Fran- çoise Dresl, décédée épouse de Domi­nique Lhosle; Ale.xaudrc-Joscph l.hosli-, b o u rre lie r , et dam e Louisr-Blanehc P iugan l, sa femme, dem eurant A Mon- taguy - Sainte - Félicité ; Cbarlcs - César P inga l'd , cu ltiv a teu r , e t Ma rie-A une Cousteuux, sou épou-e, dem eurant A P lailly ; Rosalie Coiisleaux, divorcée eu prem ières noces de Nicolas l'éry , cl épouse en secondes noces de François Rrossurd, cordonnier A P aris, rue des Boucheries Saint-Germain; n“ 50 ; Jeaii- Miclicl I .a m ira l, employé dc-s postes, dem eurant A P aris, ru e du F aubturg- Saiiil-M irlin , i r 39, et Marie-Niçole- Emilie G ardeil. son épouse; Charles- Nieolas Bouchard, eullivateur, ei darne Vicloirc-Adélaï le G ardeil, son épouse, dem eurant au Aiesnil-ILimelot; Jean- B .iplistc-François C harpentier, tap is­s ie r ,e t dam e Blanclie-Anastasic Gardeil, son épouse, 'dem eurant A P aris, rue des Fo-'sés-Siiiil-Gerniain-des-Prés, n" 31; Juan - Vincent D ussnull, ch irurg ien ,

dam e Aune - Victoire - Germaine Dclatiuay, son épouse , dem eurant A la Ch.ipelle-cn-S'rval: Pierre-François Janet et dam e Florc-C ilhci inc G ardeil, son-épouse, dume.irnnt .A Lo livres* et

'"dem oiselle Aune-Flore Itergor, tille alors m ineure, dem eurant A Viuccuiies; Jean Gardeil cl dam e Aune Lavignc. son épouse; les héritiers et représen­tants de Jeanne C loppe, veuve de Phi­lippe llerson; P ierre Rapporblé c l dam e Guticvièvc-Elisabclh F resiiot.son épouse; Ju.in-Raplislc Deferl ; Lôuis-tharles Lcgrand, m .frchand boucher, et dame Jlaric-Sophic Bécu, sa fumme, dem eu- ra u l au Mcsnil-cu-France; Denis Le- grand; J.içqucs-Louis l.epcllclicr; les héritiers Lcrebours*. Henri-Jlichul Paul­m ier, écuycr, inaire-adjoint du prem ier arro ulisscincut do PaVis, y dem eurant rue Ncuvr-dcs-Petils-t'h.imjis. u” 70; Louis-Eustacbe tb-ii lisl, p roprié taire cl m aire de la com m une de Plailly; Ji-au- N 'colas-Joarhim Leduc cl dam e Itade- Ronde H aine, sa femme, dem eurant A Plailly; Jcati-B p lb te M alhas. notaire et p rocureu r en la te rre et m arquisat de M .nlahaz, et dam e Louise Clii fdc- ville, son épouse; Jo-cph-Julien Auberi

.e t dam a Vicloirc-Aiigùhquc Leduc, sa femme, dem eurant A Plailly; Elisabeth- Charlotte Lecoiule, p rop rié ta ire , de­m eurant A Mantes, veuve de M. Jean

• V a a s t.d e Suint-Queutiu; Jean-Charles- - Claude Dnssaiix, inèderin, cl dam e Angéliquc-Hélcnc Alaiguieii.son épouse, dem eurant A Mantes ; Louis-Marie

f;Sohier, avoué et Alexis-Elisabclh Mai- g lien, son épouse, dem eurant audit lieu; Char!olte-Opporluuc-Hé!èue Rous-

’ Sel, veuve en prem ières noces do Chis- lophP-Salomou Leromle cl en deuxièmes noces de Clatidc-Gaspard Blaigneu ; Charles-Pierrc Roussel; Pierre-Charles Roussel père et dam e Alarie-Elisabeth G annerou, son épouse; Sébastien Gan- lici'on cl dam e Elisabuili*Claude Bou­ch a rd . son époiiNc; Louis-Dcuis-Achillu Fleury. cultivateur et dam é l.ouisc- Josépliinc Petit, sa fumme, dem eurant à Moriel'oniaiue ; Augusiiiic Boullut, fille alors m ineure, dem eurant A Paris; P rosper Duval, m archand fru itier, et dam e Joséphiuc-Vieloirc L abasque, son épouse, dem eurant A Plailly; Cn- rolm-M arie Malle!, liuutcuant a u l " ré­giment d 'a rtille rie A cheval, dem eurant à P aris, ru e du Regard, n* 11; Victor Lelourtioau, m ineur sous la tutelle ad hoc de JL Bcnoid-Frauçois Rouss I, Ancien négociant, dem eurant A Paris,

'FucC hariot, n"47; Juan-Etiennu l.etour- ueaii, ci damo Adélaïde Roussel, sa

yfçnmic ; Françoise-V ictoire Chcruisu, j.vèuvc de Jeau-E liennc L clôurncan, ‘de­

m eurant A P aris , ru e Neuve-Samson. ii° L r; Edm ond Letourueau, sou fils m ineur; la m ineure Adélaïde Letourueau sous la tutelle adlioc do Alexis-François Lefèvrc, p rop rié ta ire dem euran t A Paris, ru e Alandar, u" I" ; Augélique- Sophie Bloreàu, veuve Antoine Haine, dem eurant A Plailly; Pierrc-Gci main Simon, facteur ru ra l , et dam e Jcaunc- Einéliu Haine, sou épouse, duiuourant A la Cliapellc-Cn-Serval ; Jeau-Charles Ségard, berger, et dam e Alarguerite- Angélique H aine, sou épouse, dem eu­rant A Plailly; Glande Durié, lunellier, et Vicloire-A*drienne II line, son épouse dem eurant A P a r is rue des Deux-' Pories-Sainl-Sanvi u r. ii" 4; Antoine Haine père e t dam e Blarguerile Fi nasse, sa femme; la com m une de Plailly ; P ierro-lsidoro Roche père, p lâ trie r cl c iilliv a tc iir , dem eurant A Plailly ; P icrrc-lsidorc Roche fils, e t Maxcncc-. Céline Rosée, fa femme, dem eurant A Plailly: Louise • Philippine Roche, épouse de Lnuis-Eugènc lia hache, ma- 'nonvricr à G harlepout; Viclorine-Vir <giuie Roche, m ineure, dem eurant A Plailly ; B larie-Jlarguerilc Itoi-hé, veuve d e P ie rre Desculis, dem eurant A Plailly:

' Charlcs-Suljiict-Bcihmoni, s e r ru rie r , cl dam e Maric-Auguslinc B u ch el, sou épouse, dem eurant A Marly^!a-Ville;'la veuve Dclnunny : Auguste-Vielor-lli|»pn- lytc G anucron,f p roprié taire , e t dame Blariu-Gélestc H ubert, sou épouse, de­m eurant ensemble A Paris, ru e Bleue-, n° 15; Blarie-Anne-Vieloire G annerou. veuve do Jl. P ierre G annerou; Alexan- drine-Vicloire G annerou, épouse de M. Jenu-lsidorc Adeliue, p rop rié ta ire A P aris , rue des M artyrs, n" 4 : Jean-Bap- liste-Fèlix G hartier, p rop rié taire , de­m eurant A P aris, ru e Bergèie, n° 15; F rnnçois-F rédéric Lebouc, d it la Jeu­nesse. p rop rié taire , et dam e Denise- Rosalia Meunier, son é| o:ise, domcH-

r jl l l 4 lire; Nicolas r.b r lc àn l1 ,ll*ill'0 r • «Ionieiipi.nl ù B arnol»'.

: A'J'oine-Théo.lorn Bondi»..n  Pi , |amo Arl„p.Jr,,é | 1va,|X,Ï I , 1!'! '"! '; c,0ln™™»l Crosne (Seinc- «1-O.M 1 Alexandre ,.t *Vl|illr-px.îi *! o, “ 'Illw ieon i. ileiiiov-im i ou P ies, , . |h II» x iiic ; Ki.ii-Zirtmrie ï ' ,l' " ,l,r" , |»l™ . 01 do,no Kniilic v i n , ™ r " ’1: d e in rn ra n l,4villrneute-les-Augei'.r.i?.7*"! iiy " L‘ Ti",lil0. nolidroliou lui 41,11 f i ' .1 • iO A re q u érir \< |.m ,. ~ . ''!1' SUI' l-» inilnousil s .p irlu s . rl.il,, I,. ,1,'.|.,| , | „ ls

lo t o n»rt| l'Mu|i» .| i l ,p , , | l| i ,l ,,M !éeil|e; q in i jugeraii convenable.. . .5r!’ ,' .El f,'« »*«*|u«r4iu»-: n e ro n -

. co ,,x ‘•'l «hef desquels•[pourrait ê tre requis des insiripHons de cet lu na tu re , ds feraient faire la

la*h»i,,,,C ,,,S,ÎI't‘ni> ùa,ir' ^ m c , U A Four insertion.

Signé : GODIN.

A i ;t . 3 .

Elude de II* I V c m y , avoué à .Séidis, flic Ncnvc-de-Paris, n“ 13.

v e ' S i n ePar suite de surenchère du sicicnic.

En I audience des criées du tribunal civil de prem ière instance de Senlis,

■,c Hardi cinq Janvier IIH19, heure de midi.

D’GNE MAISONAVEC

c . . „ € o « ,, ft Jardin?aîse a It.inAv, rue du Son, couduisanl

A l'Eglise.

Parsuite.dn la surcrtebêrc du sixième laite par acte du grell'e en date du quinze décembre mil huit cent soixarile huit enregistrée et dénoncée par acte du palais, du ministère de Deplaigne, huissier à Scn- hs, en date du dix-buit dudit mois, à l avoue du poursuivant et dè l’adjudi­cataire, conformément A la.loi.

Il sera aux requéle, poursuite et dili­gence de RI. Jean-Daptiste Garou, ber>er demeurant A Raray, ’

Surenchérisseur ayant pour avoué cons­titue M* Fréinv,

En préscncede M. Jcan-Baptiste Lcsucur, innnouvricr, el dame Marie « c ilc Dubois, son epouse de lui autorisée, demeurant ensemble à Raray,

Adjudicataires surenchéris avant pour avoue conslifué M’ Gliahnin ;

El encore de : 1- madame Opporlune- Angehque Bocquel, veuve de M. Gasimir- Xaxier Touret, demeurant à Survilliem • Snine-et-Oisc).

Partie poursuivante ayant M* Fréinv pour avoué;

2 ' M. Antoine-leaii-Baplistc Prévost, .jardinier, et Maric-Augustinc-Yirginic Var- lel, son épouse, demeurant ensemble à Lianeourt, débiteurs;

3" Et le sieur Picrnsfoseph Barblu lils, manouvrier, el Marie-Louise-Ainbroisinr Lesueiir, son épouse, demeurant ensemble a Raray, au nom comme tiers détenteurs de l'immeuble ci-après.

N’ayant pas d ’avoué constitué.Procédé A la vente aux enchères pu­

bliques, au plus offrant el dernier enché­risse* et à l'extinction des feux, de la maison ci-aj»rès désignée.

l » L § l G i \ A T l O x l t .Une maison, sise à Raray, canton de

Pont-Sainle-Maxence, arrondissement de Senlis (Oise), dans la rue du .Son, condui­sant à l’Eglise, avec toutes ses circons­tances et dépendances, consistant notam. nient en deux pièces au rez-de-chaussée- grenier au-dessus couvert parlic. en tuiles partie en chaume, chambre attenant à ladite maison couverte en tuiles, cave sous ladite chambre, cour el jardin devant la maison.

Le tout tenant parjurant à la grande rue, par derrière au sieur Armand Roger, d un boni orient à la rue du Son, et d'autre bout au sieur Adolphe Viart, section A, n"‘ 157 el 158 du cadastre.

M B S E A I > R | \ ,Outre les charges, clauses el conditions

de I enchère, l'adjudication aura lieu sur la mise A prix fixée par suite de la suren-c,,îr».* ............................. 1071 lr.

Lait el rédigé par l'avoué poursuivant soiiAugnè, A Senlis, le dix-neuf décembre

Signé ï FREMY. S ad icsscr pour avoir des renseigne­

ments :I" A M* FREMY, avoué, poursuivant

la vente ;2“ d M* GHALMLN, avoué, présent d la

vente ;3 “ A' AI* MOREL, notaire d Senlis.4° Et an CrcfJ'c du Tribunal, où le

cahier de charges est déjmsé.Pour insertion :

Signé : F rém v.

Abt. 4.Etude de M* ( 'h . l* in .v o n , avoué A

Gompiègne, rue du Clial-qui-Touriie, n“* 4 et 6 .

V E i w s u n ■ i r i T i u tENIIIE MAJElinS ET MINEIUIS,

En l'audience des criées du tribunal civil de prem ière insinncc de Gnmpiegup, pnr-dcV.iut JL Scotb, juge, commis A cet effet,

üe :

D E U X BIAISONSSises A Aiiircuihsuf-Ourcq, canton de

Bclz, arrondissem ent de Scnlis (Oise),

ET D’UNE PIÈGE DE TERRESiée à Margny>ur-!e Malz, canton de

Dessous sur-le Alalz, arrondissem ent de Gompiègne (Oise).

l/ad jud ication au ra lieu le Jeudi qua­torze Janvier onze heures du m alin.

On fait savoir à tous ceux qu'il appartiendra :

Qu’en exécution d'un jugcm cul «on- trudirloireuicul rendu entro les parties y dénommées par le tribunal civil de prem ière in s ta u re . do Gompiègne, le 19 scpicm iïrc 1868. enregistré et signifié ;

^ E l .lus roqn 'ttf, pou^RUite cl Jiligcnci

I - M. Jcin-V iirie ü n . Jârdinici-, dem eurant 4 Muretijl-eur-Ourcli;

i '; Madanié Aimé llosallc Jéan , «Huera de II. AugasIe-nbiirA Moulut, nialiou- vrier, ,a»çc leqni l c;!o dem eure 4 Vjllcre- Cotlcrô.ls; et, çd dernleiv tant én son nom pcrsqhnçl au bcso jii. quo p o u r assister et autoriser.la dam e son’ énousé cl validi’l-la prOréiRlre; . -

AI Ëugèng-Désii ô Ézelof, vdfèt Jo cham bre,, drm ciiraiit A P aris, ru e AdR* berl. num éro I I I ;

4“ Mademoiselle §ephie Ëzolol, m a- jun re, nnvrjère, de/fieuPhnl à Blcauxl rue des Vii-ux-Jloiilins;

Ayant AI* .Pinson pôùr avoué cons­titué en c!iuse;

En présence où eux dùiu.eiit appelés de :

1“ M. François E*éfoi. ja rj 'in je r , dem curanl A Neuillf:Sjiril Front ;

• An nom ei cômme (u leu r• datir de Augustin-PiVrre Ezcloti• son neveu, issu du m ariuge d e « M. Jean Prosper. Ezelotfc avec « dame Victoire Jean , wJn épousâ- « tous deux dficédés, nom m é à ce lle- fuiiclion, qu* I a acceptée p a r défi-*. bérutiort du conseil d e famillo• dudit m ineur, prise sous l a , pré» sidence de M. le juge . c * paix dû

• canton de But2 |Qisc), le 23 ao û t « dern ier, enregistrée; » , .

Co-licilant, ayant Jl* Guillaum e p o u r avoué constitué en cjuse;

2“ M. Augustc-Désiré Itotilol, rtan o u - vrier, dem eurant A Villcrs-Golterfits; .

« Eu sa qualité dci>uhrogé-tulcuç « du m ineur Ezclot, sus utfromé. e t « appelé A la vente eh cette (fnanié.• conformément A P art. 459 d u « Code Napoléon »

N ayant pas d ’avoué constitué;:• M. Jean, Madame Roülol, M.

» Ezcldl, Mademoiselle Ezelot, héri- « tiers chacun pouç p a r lic d è Bfade-• moiselle Rose-So|Nii*-Ro.salie Je a n ,« leur sœ ur et tau le décédéo à- AI a rgny-su r-le-M u l z , lu 12 ao û t• 1868, le m ineur Ezclot, sous h é -• tiéficud’iiirentaireseulenjcnl, aux « term es d ’uuc déclaralion toile n u « greffe du tribunal civil de Com-• piôgnc* le 9 novembre dernier»'« enregistré. »

Il sera procédé le jeu d i 14 jan v ie r ' 1869, onze heures du m alin , A l’au- dieuce des criées du tribunal civil de première instance de Gompiègne, e t par devant M. Scolé, juge A ces fins commis, à la teirte s u r licitAlion, nu plus offrant et dern.icr enchérisseur,- des immeubles dçut la dèsim utio it suit :

D E S I G N A T I O NTELLE QU'ELLE EST INSÉRÉE AU CAniEtl

DBS CIIAHG£$.Terroir de Margny-xur le f fa ls . arron­

dissement de Gompiègne [Oise). ■*ren*2er Lot.

Dix arcs quatre-vingts Centiares dû terre , au terro ir de Margny-sur-l^AIatz; arriuidi-sem enl de Compïègno (O isd), section B. num éro 857. tenan t d 'un côté à Duuvillry, d 'an tre côté aux re p ré ­sentants Baiiib-qnin, d ’un bout au n i et d 'au tre bout è P ierre Flochcz.

Commune de M areuil-surSurcq. canlQii de Bel s, airondisscmetif d e Senlis'

(QisèJ.D e u x iè m e L » t

Üne Maison, sise A Marcbil'jûii*- Ourcq, Canton dù Belz ÇQise)-, on l i rue de Crépy. eensbt.int m im«.nialHnu d habitation , chaipLbre* g re n ie r aû* dessus, cave dans le jArdin, rdu tsm ant environ 14 ares 30 ecufftb^s duA rrafin.' tenant d 'yn côté à h taïU c

TcoUièpic ts»4.Luc au tre petite, fn à jfw , couverte

eu tu ile s , si^e A Jlsofetll s u r èh.Brq v place de l'Eglise, consisjnnt en liné . cham bre au rez chaussée, une a u tre cham bre au premier étage, nvcc g renier au*dessus, établi», pou la ille r, to it à poi es, ja rd in , le tuul d ’une contonance siipcrflcicllo d'ciiviron t r j s -aresr six centiares, teuanl par d w on t à laqffacd de l'Eglise.

M I S E A P R I X .En outre des charges, clauses e t

conditions, ta vente au ra lieu su r les mNes A prix fixées p a r le jogenîi*ut sus- daté , savoir :

Pour le prem ier loi, A b■somme de......................................... (OO fr.

Pour le deuxième lot* Acelle de................................. . 500

Et pour le iroislèm* lot, A celle d e .........................................200

Total des mises A prix*. 800 fr. Fait et rédigé par l’avoué poursuivant

soussigné.A Cqmpicgnc, le 16 décem bre 1863.

• Sieifé : PINSON. Enregistré A Comfncgne, |c 18 d é ­

cem bre 186,$. Reçu I franc 15 centim es décime e t demi com pris.

Signé : Sonnet. S'adresser pour les rcnsvigemenPi i 1* A AI* PINSON, avoué poursuivait! ;2“ A M* GUILLAUME, avoue co-

licilant:3* AM'VII.LAJN, notaire à BesÜons-

surle-M ats;4° A M* DESJARDINS, nolaira d Belz;6* El au Greffe du Tribunal cnOt lié

Compir'gne, où lp cahisr des charges est dé/m e .

Pour iuaertton,Signé : Piüjîos.

_A CEDER « VaminhU BONNE

EXPLOITATIOIf AGMÇOLΫ e 2 R O H e c t a r e ^ ,

A Ruliy.Longue jûuissânax

O n v e n d r a i t a n b e s o in l e Col^p» d o F e r m e r a p r e n e u r *

S 'ad resser:A Hully, A Madnmr FREMOAiT;El A Ôcnlis, A M* BENOIST, liotaire-;

Page 4: ir r - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1868_12_19_MRC.pdf · Voici les résultats définflirs des éler lions de la 3'ciri ons- cripliqn des Jôlcx-dnNord. M.

JOURNAl. UK SIvM.lS.

A r t . 5 .

Elude île SI* O m i i n , avoué à Scnlis

V E n iT E s u r L îc i la l îo uEntre iim jours et m ineurs,

Par lo ministère do SI* Dki.aoouh, notaire à Neuilly-en-TheUo (Oise),

commis à cet effet, uk :

UNE MAISONAVEC

C o u r , J a r d i n p i a u l é c l O é p c u - d a n c r » ,

S isa Ercuis, canton do Netillly-nn-Tholle, en la rue du Puits du Val,

Deux autres MaisonsAVEC

C o u r , J a r d i n c l B é p c n d a n c c s ,Sises audit Ercuis, n ieV e x iu ,

U N J A R D I N> Sis nu mfinic lieu.

Avec Droit de ronintuitatilé A la ron r commune sc Irouvanl au-devant,

ETÜBE CBÊMCE DE 1,200 FR.(En cinq C o i«

qui pouiToiit ê tre réunis en tout ou en partie .

(.'adjudication au ra lieu le Dimanche vingt-sept Décembre 18G8, Itettré do m idi, en la maison d'école com m u­nale d ’Ercuis.S'adresser pour plus amples rensei­

gnements :1* A M* GODIN. avoué poursuivant la

vente, à Sentis, rue Neuveale-Paris. «*22: 2* A M* PEI.DOIS, avoué co licitant,

à Scnlis. rue Rougamaillo, «* 10;3“ El à M* D EU COU R, notaire à

Neuilty-cn Thrllc, dépositaire des titres et ilu cahier des charges.

A r t . G.Etude de S I 3 E r u e s l C h a l n i i n ,

avoué A Scnlis (Oise).

V E N T REn |\m<lic:ir« des criées du tribunal

civil de Scnlis, au Palais de Justice, L e H a r d i 2 !> D c c r i n b r e IS G S ,

à ntidi, d' uhk

GRANDE MAISON\ Avec COUR Cl JARDIN,

Sise à Chantilly. Grande R ue, n '7 8 . M is e à P r i x . 3 0 , 0 0 0 f r .S ’adresser pour les renseignements :1* A Senlis, A M* C i i a l m i s , avoué;2» A P aris, à M* Dupât, avoué, rue

Venl.idonr, n° 1.

AnT\ 7.Etude de M' E r n e s t - C l i a l i n i n , avoné

à Scnlis, rue Saint-llilaire, n* 10.

V E N T E a u x E n c h è r e sEn la m aison d'école d'O rrotiy.

P arle ministère de M* Ruines, notaire à Crépij [Oise),

d ’i ' îse

M IS A S DE CAMPAGNEAvec C our, Jard in ,

Située à Orrouy. lieu dit l’Orme Baron ou Fourelton.

c l 3 P iè c e s d e P r é c l B u isSises te rro ir d 'O rrouy.

(.'A djudication a u ra lieu le Dimanche vingt-sept Décembre 18G8, A m idi,

M is e A P r i x . 3 , 0 0 0 f r .S'adresser pour les renseignements :1e A Scnlis, A M* Ciialmin, avoir'-;2* A Çrépy, à M* R i b o u s , notaire , dé­

positaire «lu cahier des charges.

AnT. 8.Elude de SC E rn est C halntin ,

avoué à Scnlis.

V E N T EEn l'élude cl par le ministère de

M* R i c h a r d , notaire à Ponl-Stc-Maxcnce, D 'e n

F o n d s d e C o m m e r c eSSE Q I J I V C .t I L L E M E

AVECm MARCHANDISES ET OBJETS MOBILIERSServant à son exploitation,

c l le U ro ii an b a il de» lieu x ,l.c tout sis h Pont Saintc-Maxencc

(Oise), rue de la Ville, t r 71.

(.'adjudication au ra lieu le Samedi vingt- s ix Décembre 1808, à rgidi.

i.e C"iid« de com m erce sera vendu s ;t la mise A prix de 390 fr. qui pourra

. „'s objets m obiliers, accessoires et •„m 'ises seront pris A .d ire d ’ex-

.^adresser pour les renseignements :A Sentis, à M" CllALMIN cl GODIN.

.» .cités;Cl â y.* RICHARD, n o ta ire , déposi­

ta ire du cahier des rltatgcs.

Art. 9.Etudes de S l ! D n r l o u t , n o ta ire à

P aris, ru e Boissy d'Auglas, t r 9. cl de M* f o s s e s , avoué à Pau,

rue des Ç ordeliers, 1G-18.

N E N T ESUR LICITATIOX,

Au plus offrant cl d ern ie r enchérisseur,'SUR BAISSE DK1IISE A PRIX,

En ta Chambre des Solaires de Paris, sise place du Chût ciel.

P a rle m inistère «le M* Ducloux,Ciiii d'eux,

DU

Situé commune dë Daron, canton de Nanicnil-lc-ll.iudouin. a r ro n ­

dissement, de Senti* (Oise),C. iJIPÔSR DR ;

I* « I I A T K WAvcç PARG enclos de m urs.

D’une superficie de 14 hectares 85 arcs,

V T K 0 9 S B ^ E B U i E Sil’u iir eoiilcnnurc en sem b le «Se

•Slfl Eiecluees 8 1 are»Ü 7 c e n t i a r e s ;

» 8 U N M O U H JiY A 152jÉMonté A l'anglaise;

4 “ I0B EÜ B L ES DÉTACHÉS.ll|dsiOii, T e r r e s lah«»m*ables,

E*r«\», Oscruii-N, l'rrNsou- n iéecs e l AnlitaSrs,

Contenant ensemble ®!8 hectares i b 3 ares H7i> centiares;.V B 5 O 0 ®

C onteiinui 9 3 3 h ccln ees 8 3 urcs 8 9 eesiliareu ;Le tout ci ap rès désigné.

L’Adjudication au ra lien le Hardi vingt- deux Décembre 1808, h m idi.

S'adresser : pour visiter,A 51. MASSON, régisseur au château

de Baron;Et pour tous renseignements :

1“ A M* FOSSES, nvolié â Pau;2 ' A M'VILLENEUVE, aussi avoué è

Pau ;5“ A M* REN01ST, notaire â Scnlis; 4* A M* IIVDOT. expert r u ia l , rue

D«nnpartc, 20. â P aris ;5° El à .M* DUCLOUX, notaire â P aris,

rue Boissy-d’Angl.ts, 9, dépositaire du cah ier des charges.

Art. 10.Eludo de .H* F r é m v , avoué â Scnlis

(Oise).

D'un acte sous signatures privées en date, à Paris, du vingt-trois novembre mil huit cent soixante-huit, enregistré, passé entre 51. Joseph Larcade, négociant, demeurant à Coye (Oise), M. Frédéric Pouydebat,négociant, demeurant au même lieu, 5L Théodore Finir!., négociant, de­meurant à Roubaix (Nord), madame veuve Henri Nathan, au nO:n et comme légataire universelle de feu Henri N athan, son mari, el suivaut l'envoi en possession dé­finitive qu'elle a obtenu le vingt-six mars, mil huit cent soixante-huit, demeurant à Slarseille,

Il appert :Que la Société formée entre les sus­

nommés, par acte sous seings privés, en date, à Marseille, du cinq novembre mil huit cent soixante six, enregistré el publié, pour l'exploitation, tant en F ram o qu'à, l’étranger, d’une invention consistant dans' la destruct o i des parties végétales qui sc trouvent dans les matières premières tex­tiles, ainsi que dans les tissus fabriqués, ladite Société eu nom collectif à l'égard de 5IM. La rende el Pouydebat, «i en com­mandite à l'égard de M. Funck et du feu sieur Nathan, sous la raison sociale J. Lar­cade, Pouydebat et Compagnie, dont la durée avait été fixée h dix années, à partir du premier novembre mil huit cent soixante-six, et dont le siège, originaire­ment à Paris, 15, rue Richelieu, avait été transporté à Coye (Oise), a été d 'un com­mun accord dissoute à partir du vingt- trois novembre mil huit cent soixante- huit.

La liquidation sera faite par M. Joseph Larcade.

Les dépôts prescrits par la loi ont é!é faits an GrctVc du Tribunal de première instance de Scnlis, faisant fonction de Tribunal de commerce, et ail Guelfe de la Justice de paix de Greil, le dix-huit dé­cembre mil huit cent soixante-huit.

Pour extrait, le dix-neuf décembre mil huit cent soixante-huit.

Signé : LARCADE.F. POUYDEBAT.

A tm o n r e s E D îvcs*seis.

Une épingle «A chftlo, racine do corail rose. — l'uo broche e .ïo r émaillé, garnie de roses.

Une petite chaîne do cou, et un fermoir en or.

Sellerie: Deux belles salles do dame, dont une presque neuve, uno selle d'homme, deux bèlles brides, fouets, étriers, stalles, mangeoirrs. etc.

Objets divers: Outils de. jardinage, caisses «-1 pots à fleurs. < m'iron 309 bou­teilles vides, échelles, planches, tables et bancs de jard in en pierre, vases on fonte, niche a chien, et beaucoup d'autres ob­jets.

Expressément au comptant.Exposition publique des objets A ven­

dre , le samedi 2t»décem bre, â p a r tir de une brurc-dc l'aprés-m idi, cl le d im an­che 27, dans la m atinée.

Etude de M ,! B R a llé d ea il, commissaire- priseur à Scnlis.

T E N T E a u x en c ltè c e sEn vertu d ’une ordonnance.

P ar suite du décès «le m adam e I.eyder, prop rié taire à Avilly,

Au domicile de la défunte.Les Dimanche 27 e l Lundi 28 Décem­

bre 18G8, A une heure très précise derelevée.

Par le ministère de 51* D a l l è r e n t . coin missairc priscur à Senlis,

BON MOBILIERe t d e B i jo u x e t O a r d e - B o l i c

d e fe m m e . D é a i g n a t l o n .

Ustensiles de cuisine : Batterie de cui­sine en cuivre, ustensiles de ménage, po­teries, faïences, verreries, cristaux, por­celaines, plaqué.

Garnitures de chemincc : Pondules en bronze et en marbre, flambeaux, lampes, vases, jardinière, grandes glaces enca­drées, chenets, garde-cendre, pelles, pin­cettes, jtapis, tableaux, pastels, phologra phics, gravures, charges.

Meubles : Meubles «le salle A manger en acajou, buffet A étagères, tables A ral­longes, consoles, couchettes, commodes, table de nuit, petite bibliothèque en lu i; de rose, deux meubles d'enlrc-dcux en palissandro, armoire à glace, toilettes, tables d e j iu , table de bouillotte, guéri­dons, piano et son casier, «livan, canapé, fauteuils, chaises, pliants, métiers A ta­pisserie, meubles de jardins, coll'res A nois.

Literie : Draps fins, nappes, serviettes de table cl de toilette, tabliers do cuisine, laies d’oreillers, mouchoirs de poche.

Garde-robe de femme . Un grande quantité de chemises, camisoles, jupons, pantalons, peignoirs, robes «le chambre, robes de soie et autres, costumes com­plets, amazones, cols, manches, corsages, lingerie, confections, fourrures, dentelles, giiipures, bas ch soie et en colon, une grande quantité de mercerie, ceintures, rubans, chaussures, etc., etc.

Hijoux: Uijosuperbe montre do femme en or, ornée de roses el brillants, fond en iapis-lazuli, une chaîne de cou, garnie de perles fines, clef de montre el cachet, or­nés de perles fi nés et roses.

Une parure en or, garnie, de lumuoises, roses et brillants, composée d’une broche, d ’nue pairndo bouclés «l’orcillcsct de deux boutons de manchettes.

Une parure on corail, montée sur or, composée d’uifc broche cl d’une paire do boucles d’oreilles.

V K V T B Î 3 a u x E m * la è i ‘C3,Donr cause dç départ,

DE LA BELLE COI.LKCTHJNd ’ O j e l s a n t i q u e s

De M. Il . . „A Senlis, salle des ventes, m ode Meaii r . 6 l.c Dimanche 20 Décembre 18G8, A une

heure «h* relevée.

Consistant nota minent en :Porcelaine de Sèvres, Saxe, Ghine,

Japon, f. ï. nees el verreries de Itnlumi *.Bijoux anciens, tableaux, pendules,

dentelles, guipures;Une paire do candélabres en vieux Ve­

nise, groupe en biscuit.Nécessaire de voyage, tapisserie, etc.

Voir l’affiche pour le détail. Exposition publique, les vendredi 18.

sam edi 19, A p a r tir de «leux heures, et le dim anche 20, dans la matinée.

Etude de S I3 BRrn o I s I , notaire A Senlis

N E O Î ’EBS M E 0 JE 8 3 Æ EPour en tre r eu jouissance «le su ite ,

U S E M \m D E C H I P A S S ESituée à Saint-Léonard.

S'adresser a 51* IIexoist, notaire.

Elude «10.18° H lc n o îs l , notaire A Senlis.

a w s s N s s a & E à r r t t s n a ! ^

. s M a r c h é s d e T e r r eSitués dans l'arrondissem ent de Senlis,

all'ermés, savoir :Le I *. 881 fr. 85 c.Le 2% l.GOO ««Le 5*. t .000 »»

S'adresser midiI 51* B.knoist, notaire.

Pour 5 , G ou 9 années.

L e M o u l i n d e i B n ï h e iSitué A Scry, su r la rivière S lin te-51a rie

S'adresser pour tous renseignements :A 51* Fu.isuhk, no taire A Crépy.

F E R M Ed e 3 5 0 à 32BO E aecliïs 'e .-î,

Près l'onl-Saiulc-M axence (Uise),.-tv C E 3 5 E 5 5 à i 'i its a â n lL ïe P our en tre r en jouissance de suite.

l'oiiilSduii.v t r i s avnntageu-i^v. S'adressent 51* R i c h a r d , notaire à Pont-

Saintc-Maxencc.

Etude de SH° BEï*«*Iâï‘, n o ta ire A Aey.

E X P L O IT A T IO N A G R IC O LE<■4* 8 3 0 B S o c I a m o s

Que faisait valoir à Bouillancy, canton «le Bel/,, 51. Désiré Courtier,

& e é d e t* à r m u i a b S e ,P ar su ite d e son décès. -

G randes facilités pour le paiement. On pourra vendre en même temps,

ensemble ou séparém ent, soit à l’ac­qu éreu r de l'exploitai ion. soit à tout au tre personne, un très-joli Corps «le Feim e, nouvcllc'uenl construit, el 02 hectares de terre faisan Iparliu du ladilc- cx, loilaLon.

S'adresser pour tous renseignements : A 51' Bukttk, notaire;E| A 51. Gustave Cour t i en cu ltivateur

A Villcrs Saint Gcm-et (Oise).

Même élude.

A VENDREPAR ADJI'DIC.ATIOX VOl.OXTAIRR,

A Aey, en l'élude cl par le ministère de 51* IhiKrrK, notaire,

Le Jeudi 11 Janv ier I8G9, A m idi, UN TRÈS BON

M a r c h é d e T e r r eSitué su r lu territoire, «le Rrégy (Oise) c l Douy et Oissery (Seinc-ei.Marne),

31c I » c o i i l c i i a n c c t i c 3 1 1 l i e e - t n r c . v S S a r c s U H m i l .

Ce m arché est inné moyennant un formage annuel «te 4.001) fr ., oiilre l'impôt et diiréreiitcs f-iisances.

Mise A prix ; 112.009 fr.On ponria tr a i te r a l’amiable avant

l'adjudication.Facilités pour payer.

S'adresser <i 51* B r k t t k , notaire.

5lémc élude.

M A I S O NA A. y.

c l jia iT o lIc s ile fé tT C c i Sîois» T erro irs d'Acy el Botz,

A \ rci*c!i*c |>aa* n i l ju d îc a f io nf a r le ministère de 51*‘ B e x ô i s t , notaire,

et en son élude,l.c Dimanche 27 Décembre, A une heure

Facilités de paiement. S'adresser audit .M* B i i e t i e , notaire.

Elude de SB’ SBktU i'c-B D cvaüloii,notaire à Cliambly (Oise).

M a i s o n b o u r g e o i s eSituée A Puiscux-lc-Ilaubergor,

E t cimc B*icco «le Tci*t»cSituée au m ême lieu,

A VENDREP a r ad judica tion volontaire,

P w le ministère do 5P M a i t u k - D k v a i . i .o n .notaire à Chamblg,

Le Dimanche 27 Décembre, A 1 heure. Eu la maison d ’école «le Puiseux-!c-

H.iuberger,Jouissance de suite.

Facilités pour paiement. S'adresser audit 51* M a i t r k - D e v a i . i . o .x .

BON FONDS D E COMMERCE«l’IilMcei’Sc, llo iirn n ci'le , Hier-

• rrrh ', Q n iiiea lllc i'lo c i C ou leu rs,

A Liuucouri, su r la place du Marché* A VENDRE A L'AMIABLE

S 'adresser A 51. Ci-AnA-Finum, qui l’exploite.

E lude de SB" I5îcI»i»i*J, no taire A Pont Saiutc-51axcuce.

9 P i è c e s « l e T e r r e sÈ P a 'ès c i ^ î g n e a

Situées aux terro irs de l’ont Sainle- Maxenco, B uuorcpaire, Fleurincs, Sacy-le-Crand cl Grandfrcsuoy,

A L G H E 9 5 ju s h* a t l j n «1 î c a t i o n En l'élude cl par le ministère do

51* R i c h a r d , notaire « Pont,Le lendemain de NoÇI, 20 Décembre

|8 ti8 , une heure de relevée. Facilités pour le paiement.

S'adresser audit 51* R ichard, notaire.

Etude de .11° Qjcnioine, notaire A Chantilly.

9 h e c t a r e B 9 a r c s 0 - 1 c c i a l .T e r r e , P r é e t B o i s

Sises au te rro ir do l.am orlaye,A VENDRE

P ar adjudication volontaire.Par le ministère de 51* Lemoinb, notaire.

En la salle de la Mairie de Lnmorlayc,I.e Dimanche 27 Décembre 18G8, A midi.

Jouissance de suite.Facilités pour le paiement.

S'adresser audit 51* Lcmninc, notaire.

-Elude de M :’ notaireA Retz (Oise),

G i U l Ë i d l i l L E fiiAIS05iA u sa g e <Sc eo m n ierec ,

Sise A Ih-lz, au centre du pays, eu face la place du Marché.

A ^'ESÜSBSEÏ A R.’/àSaBASSSÆ Par le ministère de .M* D k s j .v r i h .xs , notaire

à Retz.G randes facilités pour le paiem ent.

S'adresser audit M * D e s j a r d i x s . notaire.

Elude de SB1’ S ïj ig 'i i e l , notaire à Creil.

Pour entrer en jouissance de suite,

m m ü Y i M U L i Q iSituée A Villi-rs-Saint-Paul.

Celte usine, qui a servi anlri-fois «le filature, de carlonuerte . «le lécuhnie , «île., est située su r la rivière la Grande Brèche.

S’adresser audit 51* Duguet, notaire.

Elude de SB* , no taire ABélhisy-Sainl-I’ierre.

A VENDRE PAR ADJUDICATION A B«>l 11isy-S.i i «i t - 51 a r 11 ti.

Le Dimanche 27 Décembre 18G8. Par le ministère do M* Gniso.x. notaire, A midi précis, au domicile de 51 Labs,

EFFETS & OBJETS IOBÏLÏEBS,cl à 5 heures, eu la maison d ’école,

Situées A Béthisy-Saint-51arlin, e t 9,*-2 B*àèee«

DE TER RE , Ë A B 41S . PRÉ ET BOIST erro ir dudit Réthisy S-iin'-Murlin.

Entrée en j»ni-sance de su ite . Facilités ite paiem ent.

S'adresser and il 51* CuisoN, notaire.

Elude de 53e T o u e i i e n e , no taire à Verberie.

DOMAINE DE RARAY. î 'o u p c «Se. 9 3 E ic c f n r r s D l a r c

D E BOIS T A IL L ISe t '3 5 8 A 8855258^

De liante futaie et d 'essences diverses, A VENDRE

PAn ARJUIIICATION voloxtairk.Soit en un lot, soit en tro is lots.

Le Dimanche 27 Décembre, A 2 heures, A Raruy, en la salle de la m airie ,

Par le ministère de M* Tourneur, notaire. S adresser audit 51* Tourxbur, notaire.

Même étude.

\ Y K N i m KP ar adjudication volontaire,Soit eu gros, soit en détail,

A Moricnvul, en la maison d'ccolc.Le Dimanche 10 Janv ier I8G9, A I heure Par le ministère do 51* Franchi: , notaire

à Crépg,En présence dudit 51* Tourneur, notaire.

H o M a r c h é d o t e r r eD'une contenance do G hectares G8 ares,

Eu dix-neuf pièces Sises terro irs du Morienval et Gillocourt

Facilités pour le paiement.* S'adresser auxdits M" (Franche cl

T ourneur, notaires.

D E U X M A I S O N SSituées A Neuiliy'cn Tliclle,

A VENDRE Pai adjudication volontaire,

Par lu ministère do 51* GnANiié, notaire il Cliambly,

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prévient qu 'il lient A .ht disposition «iü .Messieurs les CujI.ivaleurs • Eleveurs, N o lx n n te B J « 'l h 'r v M c r l i i « » s , dont la location Icohii'neneer.i le Dituanchu 27 Décembre prochain.

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F rom en tT lice t. I " qua lité 19 f»0, 2 ' qualité 18 25, 3» qua lité 17 . . . — Seigle 1 225 . — Avoine I ’* qua lité 9 65, 2 ' qua lité 8 40.

Pain le k il. I " qua i. 36 c .; 2* quai. 31 c.

Via par nous, Maire de la ville de Sintis, pour légalisation de la signature de J], E . Payi n apposée à Particle . /«c 1808

Enregistré «i Scnlis, le Itrru

1808 ,f Imprimerie et Lithographie Ernest PA YEN, sure, de Mme REGNIER Place de l’IIntel-ile- Ville, d Sentis.