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l’EPITA fête ses 25 ans bienvenue à Web@cademie Une nouvelle école ouverte aux jeunes sortis du système scolaire idées, idées, idées ! Plongée au cœur des meilleures initiatives de nos établissements Cité de la réussite 2010 Retour sur les débats 10 le magazine de ionis education group Juin 2010

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l’EPITA fêteses 25 ans

bienvenue àWeb@cademieUne nouvelle école ouverteaux jeunes sortis du systèmescolaire

idées, idées, idées !Plongée au cœur des meilleures initiatives de nos établissements

Cité de la réussite 2010 Retour sur les débats

10le magazine de ionis education group • Juin 2010

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sommaire

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l’EPITAfête ses25 ans

Pages 8/11> ils écrivent, ils enseignent • Pages 26/39> au cœur des écoles • Pages 48/50> portraits d’entrepreneurs •Pages 52/55> nominations

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l’industrie :un retour en grâce attendu

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éditopar Marc Sellam, président de IONIS Education Group

Puisque notre époque est marquéepar des transformations radicales de nosmodes et de nos conditions de vie, nous nepouvons nous contenter des leçons du passéet des expériences du présent pour construirece monde. Rien d’étonnant à ce que l’on exigedes institutions de nouvelles idées pour trou-ver des solutions aux problèmes causés par les mutations, se préparer à de nouvellesperspectives dans le monde du travail, répondre à des questionnements majeurs.

Mais s’il y a pléthore d’idées, il y a égalementdéficit de réalisations. L’intuition et l’exper-tise favorisent la production d’idées, les moyens humains ou financiers limités, le temps nécessaire pénalisant le besoin de changement. La complexité même de nosorganisations, atténue quant à elle ce pouvoirde créativité pourtant manifeste. Alors nousavons décidé de placer ce dixième numéro de IONIS Mag sous le signe des idées, maissurtout sous celui des concrétisations, parcequ’elles symbolisent l’esprit d’entreprendre,qui est notre code génétique et notre vérita-ble passion.

La Cité de la réussite : rassembler durantdeux jours à la Sorbonne des dizaines de per-sonnalités amenées, en ces temps de crisesprolongés, à réfléchir à la réinvention de notremonde, devant des milliers d’auditeurs, peutapparaître comme une évidence alors quec’est un défi exceptionnel. Nous sommes fiers

d’être l’un des principaux partenaires de cetteCité de la réussite qui concrétise avec talentl’indispensable besoin de dialogue.

Web@cademie : Les idées ne manquent paspour aider les jeunes sortis du système scolaire, mais les réalisations sont limitées. Il aura fallu plus d’un an pour que le 6 avrilWeb@cademie ouvre. Cette école, destinée àformer en deux ans des jeunes déscolarisésaux métiers de développeur et d’intégrateurweb, concrétise un partenariat pérenne avecl’association Zup de Co. Nous visons ainsi à accompagner chaque année plusieurs centaines de jeunes.

EPITA TIC 2025 : rien n’est plus évident quede faire un livre pour célébrer les 25 ansd’une grande école. Mais rassembler 25 per-sonnalités, de différents pays, aux agendasplus que chargés, pour qu’ils réfléchissentaux conséquences des nouvelles technolo-gies sur la société, pour imaginer notre futurhors des clichés, c’est une véritable aventure.Les commentaires élogieux à la sortie du livrenous laissent supposer que c’est aussi uneréussite marquante.

Trente Bougies-Trente projets : Pour fêterses 30 ans, l’ISEG a mis en place un concoursde projets. Une idée juste, mais pas excep-tionnelle. Ce qui l’est, par la mobilisation detous, c’est la concrétisation : 200 groupes ouindividus inscrits, 140 dossiers examinés,

30 finalistes de qualité. Parmi eux, dix projetsseront récompensés lors de la remise des diplômes, le 21 mai, quelques jours avant la parution de ce numéro, sous le patronagede Maurice Lévy, président du directoire dePublicis Groupe.

Notre mentalité d’outsider nous pousse à nejamais nous cantonner à de belles idées.Mêmes si nous n’avons pas toujours « toutesles cartes en main », si le chemin est semé decontraintes, de sermons (ces fameux « ça nemarchera jamais »), l’avenir appartient à ceuxqui imaginent, et en premier lieu, à celles etceux qui osent passer à l’acte, s’engager.

Je profite de ce numéro 10 pour féliciterl’équipe qui a concrétisé une autre belleidée : tenir informé notre large communautéde nos réalisations, de nos projets et de nosréflexions. Fin septembre sortira le onzièmenuméro : nouvelle maquette, nouvelle for-mule, parution trimestrielle, un magazine enrichi… Il traduira encore mieux, j’en suiscertain, notre dynamique.

Je vous souhaite, et plus particulièrement à nos étudiants, d’excellents examens, desstages passionnants et instructifs. Et naturel-lement de très bonnes vacances.

“Le long et turbulent cheminement d’une idée

Directeur de la rédaction :Marc Drillech > [email protected]

Rédaction : Caroline Ales > [email protected] Mathias Bocabeille > [email protected] Anna Drillech > [email protected]

Conception graphique :Alice Mascarell > [email protected]

EDUCATION GROUPRetrouvez nos informations quotidiennes sur IONIS [email protected]él. : 01 44 54 13 06

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2, rue des Quatre Fils 75003 ParisTél. : 01 44 54 13 06 Fax : 01 42 71 15 21

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l’EPITA fête ses 25 ansCréée en 1984, au moment où le PC d’IBM et le Macintosh d’Apple voyaient le jour, l’école d’ingénieurs en informatique célèbre son premier quart de siècle. Au cours d’une cérémonieorganisée au palais Brongniart, l’établissement a présenté un ouvrage collectif donnant la parole à 25 acteurs majeurs desnouvelles technologies. « TIC 2025, les grandes mutations »permet de décrypter les stratégies d’innovation, les usages et les tendances à venir.

« Quand on a 25 ans,

on pense forcément

à l’avenir », a expliqué

Marc Sellam, président

de IONIS Education

Group, au cours de

la soirée célébrant

l’anniversaire de l’école,

qui s’est tenue le 7 avril

dernier à Paris. Orches-

tré par Joël Courtois,

directeur de l’Epita,

le rendez-vous fut

l’occasion de présenter

aux anciens élèves, aux

partenaires et à l’ensem-

ble des personnels,

les axes de développe-

ment de l’école pour le

futur. « Car 25 ans, c’est

jeune. En quelques an-

nées, l’Epita est devenue

incontournable. »

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3 questions à Yannick Lejeune, directeur Internet de IONIS Education GroupDiplômé de l’EPITA et d’un Master de recherche en sciences de gestion de l’IAE Paris,Yannick Lejeune est directeur Internet du Groupe IONIS.

Il y a presque une année, l’EPITA décidaitde fêter ses 25 ans de manière mémorableavec un livre, comment s’est fait ce choix ?

L’EPITA s’est organisée pour devenir l’un des leaders de l’ « intelligence infor-matique », une discipline assez neuve quivise à décrypter et à réfléchir les NouvellesTechnologies au-delà du simple aspecttechnophile pour aller anticiper les impactssociétaux et économiques des Technolo-gies de l’Information et de la Communica-tion. Plutôt que de retracer les 25 anspassés et de regarder en arrière, nousavons décidé de prendre du recul pour pré-parer l’avenir. L’écueil aurait été de nouscentrer sur l’actualité ; nous avons préférécontribuer à la réflexion prospective. Au fond, il est bien là le rôle de l’ingénieurque forme l’EPITA : vivre la maitrise tech-nologique tout en ayant le recul nécessairesur la passion pour pouvoir inventer, réflé-chir et évaluer l’impact de l’innovation surle monde demain. Dans cet univers où toutdevient numérique, il reste à déterminer lesrègles, les limites et les frontières, nouspensons que le fait d’être acteur de cet écosystème passe par la prise de position.

C’est pourquoi cet ouvrage, également dis-ponible en ligne, propose les participationsde 25 contributeurs qui ont un avis et quine se contentent pas de constater l’état deschoses.

Comment s’est faite la sélection des auteurs ?

Le panel d’experts que nous avons élaboréprivilégie volontairement l’éclectisme des profils. Certains sont investisseurs,d’autres managers, il y a des informati-ciens, des sociologues, des chercheurs, des élus, etc. Ils viennent de tous horizons.Cela donne une belle diversité d’opinions.D’ailleurs, si certains textes peuvent inter-roger, d’autres pourraient gentiment heur-ter du fait des positions défendues. Maisc’est ce que nous aimons : un débat ouvertfait d’idées disparates, ni gratuites, ni faci-lement polémiques, mais pas forcémentconsensuelles.

Est-ce un livre réservé à des ingénieurs ?

Surtout pas ! L’objectif est au contraired’amener des personnes aux profils diffé-rents à échanger des idées et des points devue enrichissant la réflexion. A ce titre, nousavons réalisé ce livre en pensant à ceux quiveulent enrichir leur vision du futur pourmieux y naviguer, quels qu’ils soient. Il s’adresse à tous, aux professionnels qui veulent anticiper leur marché, aux étudiants qui s’interrogent, aux chercheursqui veulent contribuer au savoir, aux élusqui veulent mieux piloter et réguler, aux citoyens qui veulent comprendre la sociétédans laquelle ils évoluent et agir enconscience.

Quelles en sont les grandes idées ?

Difficile de résumer plus de 200 pagesd’idées en quelques lignes. Au niveau global, on peut citer la pénétration forte dunumérique dans tous les secteurs, le rétré-cissement de la planète du fait de la dispa-rition des frontières dans le monde virtuelet de la vitesse des échanges et du coup, le renforcement de l’interdépendance desacteurs mondiaux.

Au niveau personnel, il est certain que l’in-dividu doit maintenant se poser la questionde son identité numérique. Bien qu’elle lui donne de nombreux pouvoirs tels quel’accès instantané à la connaissance et à de nombreux services, cette « mise en réseau » pose également des questions surle respect de la vie privée et la définition de la personne.

Et puis, du point de vue économique, on se pose des questions sur la gratuité et ladématérialisation des biens culturels, surles écosystèmes d’entreprise, sur l’égalitédes chances et la fracture numérique, sur la désintermédiation qui brise les chainesde valeur existantes. Dit comme cela, toutceci peut paraitre complexe et jargonneuxmais je pense que nous avons réussi à rendre toutes ces questions plus claires etaccessibles dans le livre.

25 experts pour les 25 ans de l’EPITA

> Jean-Michel Billaut président d’honneur de l’Atelier BNP-Paribas

> Nicolas Bordas président de TBWA\ France, et de l’Association des agences conseils en communication, enseignant à Sciences Po. et chroniqueur à La Tribune

> Danah Boyd chercheuse au sein de Microsoft Research New England et à Harvard

> Jean-Christophe Capelli dirigeant de Friends-Clear et cofondateur du BarCampBank, un cerclede réflexion sur l’apparition d’innovations et de nouveaux business models dans le monde de la banque et de la finance

> Bruno Carrias directeur des affaires sociales du groupe Capgemini et membre de la Commission recherche, innovation et nouvelles technologiesdu Medef

> Yseulys Costes P-DG et fondatrice de 1000mercis,enseignante et chercheuse

> Emmanuel Darras cofondateur et directeur commercial et financier d’Ankama

> Esther Dyson investisseuse, membre du Personal Genome Project de George Church et du conseil d’administration de 23andMe, auteur et journaliste

> Timothy Ferriss entrepreneur et business angel, auteur de « La Semaine de 4 heures », intervenant pourGoogle, le MIT, PayPal, Facebook, la CIA, Microsoft, les universités de Princeton, Harvard et Stanford

> Divina Frau-Meigs professeur à la Sorbonne nouvelle, experte internationale sur la régle-mentation des TIC et sur l’éducation aux médias à la Commission européenne et à l’Unesco

> Rafi Haladjian entrepreneur, créateur de Sen.se,de Violet et d’Ozone

> Joi Ito capital-risqueur, entrepreneur, P-DG de Creative Commons et membre du board de diverses organisations, dont la fondation Mozilla

> Daniel Kaplan délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing)

> Nathalie Kosciusko-Morizet secrétaire d’État chargée de la prospective et du développement de l’économie numérique auprès du Premier ministre,maire de Longjumeau, conseillère régionale d’Île-de-France

> Yannick Lejeune directeur internet de IONIS Educa-tion Group, consultant en stratégie d’innovation

> Freddy Mini P-DG de Netvibes, créateur de musicMe

> Jean-Louis Missika adjoint au maire de Paris, chargé de l’innovation, de la recherche et des universités

> Jean Mounet vice-président et membre du directoire de Sopra Group, président de la fédération Syntec informatique

> Bernard Ourghanlian directeur technique et sécurité (CTO et CSO) de Microsoft France

> Jean-Michel Planche fondateur et président de Witbe, membre de la Commission consultative des réseaux et services de télécommunications

> Katherine Prince directrice des opérations de l’Institute for Creative Collaboration au sein de la fondation KnowledgeWorks

> Steve Rubel vice-président et directeur de la prospective du cabinet de relations publiques Edelman Digital

> Mehdi Tayoubi directeur de la stratégie et du marketing interactif de Dassault Systèmes

> Cédric Tournay président de Dailymotion et cofondateur du portail Doctissimo

> Henri Verdier président du pôle de compétitivité Cap Digital, consultant et animateur du think tank de la Fondation Télécom

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Marc Sellam, président de IONIS Education Group

« 25 ans, c’est l’âge de la jeunesse et de la maturité. Le jouroù l’Epita a rejoint le Groupe IONIS, je m’étais promis d’enfaire une école d’ingénieurs ; c’est chose faite. Le résultatest à la hauteur de nos espérances, l’école est au premierrang de l’aventure de l’intelligence informatique. Nous sou-haitons inscrire notre action dans l’effort collectif. Lestechnologies de l’information sont au cœur de toutes lestransformations de la société. On ne peut se contenterd’être ingénieur en informatique, il faut aussi penser l’envi-ronnement dans lequel se déploient ces technologies. »

Le « EPITA enterprise

awards 2010 »

> Thalès et Orange, qui ont recruté près de 100 diplômés chacun

> Solucom, premier recruteurde jeunes diplômés (19 sur 3 promotions)

Les Ambassadeurs EPITA

Cette distinction récompense des diplômés qui continuent à s’investir dans la vie de l’école : Gilles Enguehard(93), Frédéric Fourdrinier (94)et Serge Payeur (94).

Marc Sellam

Marc Sellam, Jean-Michel Poulalion et Giovanni Farina

Fabrice Bardèche Joël Courtois Yannick Lejeune

EPITA au Palais Brongniart pour ses 25 ans

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Fabrice Bardèche, vice-président de IONIS Education Group

« Je suis frappé par ce que l’école est devenue et la place qu’oc-cupe désormais l’informatique. Nous en sommes tous désormaisdépendants. Les informaticiens sont devenus essentiels, avecdes responsabilités. La société s’est transformée très rapide-ment et l’informatique change la vie des gens. Il faut savoir de temps en temps s’arrêter pour réfléchir. On ne peut plus êtrequ’un simple virtuose de la technique. Les changements vont si vite que le challenge est de rester connecter avec tout ce quise forge. C’est une tâche ardue. »

Joël Courtois, directeur de l’Epita

« Nous célébrons la réalisation de plusieursrêves. Celui du créateur de l’école qui a fait lepari que l’informatique avait un bel avenir etcelui de Marc Sellam qui a décidé de donner unenouvelle dimension à notre projet éducatif. Le métier d’ingénieur en informatique évolueen profondeur : il reprend les caractéris-tiques des autres métiers d’ingénieurs tout en gardant une spécificité technique extrêmementforte. Le programme de l’école prend encompte les évolutions de la technique et des applications dans les entreprises et la société. »

Marc Muller (Solucom)

Franck Leleu,

président des anciens élèves

Serge Payeur (94)

Frédéric fourdrinier (94)

Les Ambassadeurs EPITA Corinne Laberty (Thalès)

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À la rencontre des enseignants du Groupe IONIS qui publient.

Le consultant Jean-Louis Tomas, intervenant àl’EPITA, est l’auteur d’un ouvrage destiné à accom-pagner les entreprises qui souhaitent faire évoluerleurs systèmes d’information et apporter de la valeur ajoutée à l’entreprise.

Comment les systèmes d’in-formation, et de traitementde l'information évoluent-ilsdans l’entreprise ?

On a assisté à un tournant il y a une dizaine d’années (findes années 90, début 2000)dans les entreprises  : à cemoment, les applications in-formatiques ne sont pluscréées en interne, pour unemajorité d’entre elles, ellessont achetées sur le marché à des éditeurs. Tous les dé-partements dans l’entreprise

qui ont besoin de solutions informatiques applicatives, fonctionnelles, achètent désor-mais des solutions sur le marché, adaptées àleurs besoins, puisqu’elles sont paramétrableset configurables. De facto, les informaticiensen entreprise qui avaient essentiellement pourmission de créer et coder des applications, ontvu leur travail de développement décroîtreconsidérablement. Ils sont désormais amenésà s’intéresser à la définition des processusopérationnels et à leur alignement avec les objectifs de l’entreprise : la façon dont l’entre-prise fonctionne, la manière dont elle est arti-culée, afin d’optimiser son fonctionnement etde remplir les objectifs de management fixés.Cette évolution de l’outil amène une véritable problématique dans l’entreprise : ils ont étéembauchés pour leur capacité à produire et

coder, mais pas forcément pour leurs apti-tudes à comprendre et transformer l’entre-prise. La question aujourd’hui ne se pose pasquant aux systèmes d’information et ce qu’ilssont, mais sur ce qu’on veut en faire et les va-leurs ajoutées qu’ils apportent à l’entreprise.

Qu’est-ce qu’une bonne « conduite des chan-gements » ?

Elle repose sur trois éléments fondamentaux.Le premier, c’est le processus en lui-même :on passe de fonctions verticales à des proces-sus horizontaux orientés client. Le deuxièmepoint, c’est que les utilisateurs de ces sys-tèmes d’information acceptent ces change-ments et prennent en main ce projet. Enfin, ilfaut une grande implication du management.

Pour bien diriger une société, il faut désormaisfaire preuve de plus de collégialité. Il va falloirque les directeurs opérationnels partagentleurs responsabilités. Pas tant au niveau opé-rationnel que décisionnel surtout. Ces mana-gers opérationnels et généraux vont devoirs’impliquer dans ces projets de transformationde l’entreprise, dont finalement le systèmed’information n’est qu’un catalyseur. Les impliquer n’est pas forcément évident. Ils doivent se rendre visibles au maximum.

« ERP et PGI : de la décision d'implantation à

l'utilisation opérationnelle » de Jean-Louis

Tomas (5e édition, éditions Dunod)

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Christian Soleil est consultant en communication, intervenant à l’ISEG Lyon et écrivain touche-à-tout. Sondernier ouvrage, « Le manager caméléon », traite de ladifficulté de négocier avec des interlocuteurs étran-gers, de l’art de s’adapter à différentes cultures et deces petits détails qui peuvent parfois mettre en périlles discussions.

Pourquoi les négociations interculturelless’avèrent-elles si délicates ?

Il m’est arrivé à de nombreuses reprises d’ac-compagner des entreprises à l’étranger auprèsde leurs contacts. Les problèmes interculturelssont à la base de toute communication. Trèssouvent les entreprises, et notamment lesPME, commencent à se préoccuper de cesquestions une fois qu’il y a blocage. Elles n’ontpas ou peu intégré les différences intercultu-relles. On a souvent tendance à penser que les valeurs sont les mêmes n’importe où dansle monde. J’ai vu beaucoup de malentendus,notamment dans les négociations avec leJapon, un pays que je connais bien. Et le plussouvent, pour des broutilles que l’on pourraitfacilement éviter et contourner si l’on avait unminimum de culture de l’autre et d’ouverture.

Par exemple ?

Je me souviens d’une entreprise française pourqui j’avais opéré des premiers contacts avecl’Allemagne. Cette entreprise de salaison dejambons et de saucissons souhaitait se fairedistribuer là-bas. Le distributeur allemand étaittout à fait d’accord. L’accord a bloqué pour une simple question d’adaptation de la pro-duction : pour les Allemands, le bon saucissonest haché gros, alors qu’en France, il doit êtrelisse et menu. L’entrepreneur français a refusétout accord, ne voulant pas s’adapter, alorsque ce pacte aurait largement permis de com-penser cette adaptation. C’est un exemple caractéristique de manque d’ouverture, alorsque l’accord était déjà scellé.

Concernant le Japon, et l’Asie en général, lagestion du temps est complètement différente,notamment sur les « rituels de démarrage ».En France, après 10 minutes autour d’un caféet de discussion avec un nouveau partenaire,vous allez vous mettre au travail. Au Japon,

cela est beaucoup plus difficile à vivre pour unFrançais, car ça peut prendre plus de trois joursavant de commencer à vraiment discuter : visites de musées, boissons, repas… Les Japo-nais ont besoin de bien connaître leurs inter-locuteurs avant de négocier. Pour nous, celanous semble être une immense perte detemps, mais pour eux c’est nécessaire afin detravailler plus vite sur de bonnes bases. Celuiqui n’est pas prévenu et ne le sait pas, peut se retrouver bloqué avec ce genre de pratiques.

Quels sont ces différences culturelles sur les-quelles il y a généralement achoppement ?

Elles sont très nombreuses. Il y a déjà unequestion de valeurs : certains pays sont plusaxés sur le travail et la performance. En Europe, dans les relations professionnelles,nous nous basons plus sur la production, l’efficacité et la rentabilité ; et des liens ami-caux, au bout d’un certain temps peuvent secréer. Au Japon, on construit d’abord des lienspersonnels, c’est pourquoi on les trouve beau-coup plus lents. Il y a aussi les questions reli-gieuses, de couleurs de peau, d’orientationsexuelle, de hiérarchie, de famille… 80 % des entreprises italiennes sont des affaires defamilles, il est donc essentiel de séduire l’ensemble du clan. L’environnement social etéducatif est important.

Mais il y a aussi des enjeux autour de la com-munication, du rapport à l’argent au statut social : au Japon vous ne pouvez pas discuteravec une personne qui n’est pas votre égal hiérarchique, ce qui n’est pas le cas dans lespays anglo-saxons, où la transversalité nepose pas de problème. Dans les pays latins, onprend le temps du plaisir, autour d’un verre oud’un repas. On peut aussi évoquer la gestionde l’espace : certaines cultures ne tolèrent pasle contact physique entre les personnes…

Quels conseils pourrait-on donner à un ma-nager pour qu’il soit un bon « caméléon » ?

Dans un premier temps, avant de se rendredans un pays que l’on ne connait pas, il faut sedocumenter. Il existe suffisamment d’ouvragesdisponibles et les Chambres de commerce ontun certain nombre de documents à disposition.Souvent, on possède un partenaire privilégiédans le pays et il est utile de lui poser de nom-breuses questions. Il faut surtout éviter d’interpréter trop rapidement les choses, s’in-terroger en permanence et se renseigner.Lorsque l’on n’est pas sûr, il faut demander.J’ai moi-même commis des erreurs, notam-ment dans mes voyages au Japon. Mais les in-terlocuteurs peuvent être sensibles aux effortsque l’on essaie de faire. Il y a deux attitudes àne pas adopter : l’admiration totale pour denouvelles cultures, et par exemple critiquerson pays d’origine, cela ne passe pas bien, età l’inverse, le dénigrement systématique. Dia-loguer et questionner permet de créer du lien et d’avancer. Il faut s’adapter à l’autre mais nesurtout pas se « sur-adapter », en tentant parexemple de devenir japonais au Japon : on n’y arrive pas et cela est ridicule.

« Le manager caméléon, une approche métho-

dologique de la négociation interculturelle »

de Christian Soleil (Editions Edilivre)

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Le projet

Au départ, je ne voulais pas écrire de livre. Je prenais simplement des notes pour moi, surce que je découvrais et j’apprenais au fil de mes lectures et de mes rencontres avec denombreux chercheurs. Après quelques années, je me suis rendu compte que cesnotes avaient pris une dimension assez consi-dérable, qu’elles touchaient à beaucoup de domaines scientifiques et surtout qu’ellespossédaient une cohérence  : comprendre l’espèce humaine intégrée à la nature, l’uni-vers et son histoire.

Mon but a été de synthétiser ces informationssous une forme logique, avec un langage sim-ple pour que le plus grand nombre puisse en profiter. Le livre est organisé comme un parcours scientifique, en partant des originesde l’univers jusqu’à l’espèce humaine abou-tie : astrophysique, origines de la matière, évo-lution, comportement animal, psychologie,sciences humaines, histoire de la science, philosophie… Dans ma réflexion, il s’agit à travers la science fondamentale de compren-dre qui nous sommes vraiment.

Vulgariser

L’objectif du livre est de parler simplement desciences souvent très compliquées. Je souhai-terais faire passer le message que les sciences

ne sont pas forcément inaccessibles au grandpublic. Ce sont des matières que l’on n’est pasobligé d’aborder sérieusement. J’ai d’ailleursmis beaucoup d’humour dans cet ouvrage. On peut lire et se faire plaisir en même temps.A partir du moment où nous avons conscienceque nous sommes issus de cette longue histoire de la vie et que nous sommes partieintégrante du monde animal, je pense quec’est une base pour comprendre qui noussommes. Il faut prendre en compte cette partd’animal (exceptionnel, il est vrai) que nouspossédons en nous, la connaître et la maîtriserpour porter un nouveau regard sur nous-mêmes : on perd en orgueil, mais on gagne enlucidité. 

Pour écrire ce livre, j’ai rencontré des spécia-listes des domaines concernés. Parmi eux, certains m’ont très bien accueilli et d’autresont été choqués par le ton et le style que j’em-ployais dans le livre. Quand je leur expliquaisque j’étais moi-même scientifique, certains ontcru à une blague. Je le vois dans mes articlesde vulgarisation  : une partie de la commu-nauté ne supporte pas de voir son nom associéà un texte qui ne soit pas d’une rigueur scien-tifique absolue, ni écrit dans un langage tech-nique. Certains ont peur d’être associés à uneentreprise de vulgarisation.

Rendre attractif

Les scientifiques qui veulent transmettre doivent se mettre à la place de ceux qui veu-lent comprendre, ce qui n’est pas chose facile.Il faut rendre ces données simples, concrètes,attachées au monde quotidien, afin qu’ellesparlent aux gens. Et surtout ne pas les prendreau sérieux, car je pense que l’on fait bienmieux passer un message en rigolant. Il fautaussi que celui qui veut apprendre soit proac-tif. La communication est aujourd’hui très pas-sive  : on attend que l’information vienne ànous au lieu d’aller la chercher. Si vous voulezapprendre, il faut lire, ouvrir des revues, ren-contrer des chercheurs… Il faut aussi identifierdes sources sûres, ce qui est un problème essentiel : où aller chercher de l’informationscientifique  ? Avec le développement dessources « libres », accessibles depuis le Web,cela devient un enjeu majeur pour les spécia-listes comme pour le grand public…

« Homo sapiens, drôle d’espèce ! » de Damien

Jayat (Editions Les 2 Encres) - « Les animaux

ont-ils une culture » de Damien Jayat (Editions

EDP Sciences) (sortie prévue mai 2010)

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Damien Jayat est ingénieur biochimiste, docteur en bio-logie et intervenant à Epitech Toulouse. Son premierlivre propose un voyage teinté d’humour à travers lessciences afin de « cerner l’homme dans sa complexité »et de construire des pistes qui pourraient « nous ren-dre meilleurs ».

La foi du général de Gaulle« Rencontrer de Gaulle ! Voilà une occasionqui ne manque pas d’intérêt, pour les citoyens, les décideurs, les politiques... et toutes celles et ceux qui veulent se faire leur propre idée du personnage, à la lumière de ce que l’histoire intime etacadémique nous en a dévoilé », expliquel’auteur d’« Une vie sous le regard de Dieu,la foi du général de Gaulle ». C’est le pre-mier ouvrage de Laurent de Gaulle, déléguégénéral de l’ISG ALUMNI, l’association des

diplômés-Anciens élèves de l’ISG. Il propose« de relire ou de découvrir la vie de cethomme légendaire dont le rayonnementpour la France est toujours universel ». L’ouvrage invite à porter un nouveau regardsur l’homme, sa vie, son œuvre, et du mêmecoup, sur la France.

« Une vie sous le regard de Dieu, la foi du

général de Gaulle » de Laurent de Gaulle

(Editions de l’œuvre)

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Peter Punin est professeur en classe préparatoire, en école de commerce et à l’ISTH. Il vient de sortir unouvrage consacré à la vieillesse, dans la cadre de lapréparation au concours d'entrée des IEP de Provincepour donner aux étudiants quelques repères et lesprincipaux axes en matière de dissertation.

Quelles sont les différentes manières d’abor-der la vieillesse ?

Il y a différentes approches. D’un point vue philosophique, l’être humain est conscient dela perspective de sa mort. C’est quelque choseà laquelle il doit se préparer. Cette perspectivepeut créer un sentiment d’absurdité existen-tielle dont il est difficile de se séparer : vivrepour mourir. Et la vieillesse est en quelquesorte la perspective du vécu dans cette exis-tence. Nous sommes contraints de nous pré-parer à mourir à travers la vieillesse. C’est en quelque sorte une perspective d’absurdité.La vieillesse, c’est le vécu de l’approche decette échéance. Pour certains, cela augmentece sentiment d’absurdité, pour d’autres, il s’agit de s’y préparer. Plusieurs auteurs seconfrontent sur la question.

D’une approche psychologique, la vieillesseest une mutation, souvent négative : les pro-blèmes psychiques qui l’accompagnent sem-blent s’aggraver. Pour certains, la vieillesse estune manière de se détacher de la vie. Une bonne partie du livre est consacrée au pa-radoxe qui traverse toutes les cultures : on honore et on célèbre la vieillesse cependantqu’elle est méprisée. Cela s’explique : quandla vieillesse est vénérée, il s’agit du conceptabstrait qui symbolise l’expérience, le savoir-faire, la transmission du savoir et les tradi-tions. Quand la vieillesse est méprisée, c’estlorsque l’on se positionne d’un point de vuephysique : le vieillard qui affronte le méprisdes plus jeunes. On ne parle donc pas de lamême chose. C’est un paradoxe que l’on re-trouve dans la littérature et la mythologiegrecque, notamment dans L'Iliade d’Homère.

Vieillir, cela concerne plutôt soi ou son rapport aux autres ?

Les deux. Plusieurs auteurs contemporains reprennent la thèse de Sartre : nous sommescomme nous nous voyons nous-mêmes

et comme les autres nous voient. Ces deux visions concordent rarement. La vieillesse estle théâtre de tensions : la vision qu’ont lesgens de la vieillesse est très différente de cellequ’ont les personnes âgées d’elles-mêmes.

La manière d’aborder la question évolue-t-elle ?

Oui absolument, pour plusieurs raisons.D’abord, les sciences sociales progressent,elles sont de plus en plus rigoureuses. A l’ins-tar de n’importe quel phénomène humain, la vieillesse est de nos jours mieux élucidée.Ce n’est pas un sujet sur lequel les chercheursne sont pas particulièrement aidés. Cepen-dant, économiquement et sociologiquementparlant, avec le vieillissement de la population,les seniors jouent un rôle de plus en plus im-portant. Ils sont de plus en plus pris en compte ;on remarque un changement de la société.

Paradoxalement la société semble surtouts’identifier aux « jeunes ».

C’est exact et je l’évoque dans le livre. Lorsquela société met en valeur les personnes âgées,elle a tendance à les faire paraître plus jeunesque ce qu’elles ne sont : vous ne faites pasvotre âge, vous êtes encore très jeune… Le regard évolue sur les seniors, mais la jeunessereste toujours la référence.

Comment bien vieillir ?

Le travail intellectuel favorise la conservationd’un esprit jeune plus qu’une activité routi-nière ; c’est sûr et certain. En ce moment on parle beaucoup de la maladie d’Alzheimer,qui pourrait toucher 1 personne sur 5 ou sur 6.Sans résultats vraiment établis, certains indices dénotent toutefois que des personnesqui entraînent leur esprit échappent davantageà cette pathologie que ceux qui tombent dansla routine : il faut réfléchir, innover et ne pasavoir peur du changement. C’est une hypo-

thèse que défendent plusieurs auteurs très sérieux. Après, il est sûr qu’une activité phy-sique, sans excès, et une bonne hygiène de viesont aussi des facteurs positifs. Ils ne prolon-gent pas la vie, mais ils permettent de mieuxvivre la vieillesse. La médecine fait des progrèsextraordinaires et on peut nettement prolon-ger la vie, parfois dans des conditions effrayantes, dans un état de délabrement trèsavancé sur le plan physique et mental. 

Est-ce une réalité en mutation ?

Oui, beaucoup de choses évoluent. Grâce auxprogrès de la médecine, de l’hygiène et desconditions de vie, des personnes qui auraientété affaiblies il y a 20 ou 30 ans ne le sont plusdésormais et mènent une vie quasi identique à celle qu’elles menaient l’année dernière.D’autre part, les conditions économiques de lavieillesse qui naguère étaient atroces se sontconsidérablement améliorées. Mais avec la dé-gradation de la situation économique, il fautêtre vigilant. Les retraités actuels pensent queles futurs retraités n’auront pas le mêmeconfort financier. Autre élément : le niveau devie est corrélé à la dégradation des conditionsde vie des plus vieux. Ainsi, concernant la ma-ladie d’Alzheimer, il existe une corrélationentre le niveau de vie du pays et la propaga-tion de la maladie : plus le pays est développé,plus la maladie l’est, exception faite du Japon.

« La vieillesse : Concours commun des IEP »

de Peter Punin (Editions Studyrama)

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l’industrie : un retour en grâce…attenduComme chaque année, l’ISERAM(Institut Supérieur Européen de Recherches Appliquées auManagement, le laboratoire derecherche de l’ISEG) a organiséà Paris son colloque annuel. Enadéquation avec les grandesquestions du moment, il futquestion de penser l’industrieautrement. Retour sur les débats qui se sont tenus le 25mars à la Maison de l’Europe,en présence d’universitaires,d’enseignants, de dirigeantsd’entreprises et d’étudiants.

Par Faouzi Bensebaa, professeur des universitésen sciences de gestion et conseiller scientifiquepour la recherche à l’ISEG.

Le colloque a été ouvert par les quatre membres du comité d’organisation : Adrienne Jablanczy (ISEG), Faouzi Bensebaa (Université de Reims, ISEG, ISERAM), Philippe Béraud (TELECOM Bretagne, ISMEA, CRESS) et Viviane du Castel (ISEG, ISERAM, ISMEA). Les débats ontdémarré avec l’intervention de Christian Sautter, ancien ministre de l’Économie, de l’Industrie et des Finances, adjoint au Maire de Paris. Il a souligné l’importance d’une nouvelle façon de voir l’industrie : en termes de création d’emplois et de préservation du territoire, avec notamment la constitution de pôles de compétitivité innovants. M. Sautter a également insisté sur la portée de la prise en compte de l’incertitude, comme variable comportementale et de réflexion face aux bouleversements aigüs du monde.

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L'ingénieur et le philosophe

Cette première session plénière permit de confronter plusieurs points de vue. Pourl’ingénieur Michel Arnaud (ADP-Villes en dé-veloppement) la dimension spatiale semblemanquer aux stratégies européenne et française en matière de compréhension del’évolution mondiale, au regard de l’hétéro-généité des sociétés sur le plan culturel et surcelui du développement économique. Le territoire doit dans cette optique devenir la question centrale et ceci, à l’échelle de la terre entière. Pour le philosophe FranckCormerais (Université de Nantes) il n’est pasinutile de rappeler que les activités écono-miques reposent essentiellement sur la pro-duction des hommes et la production deschoses. Dès lors, penser à un retour à l’in-dustrie et penser autrement l’industrieconsiste à s’efforcer de retrouver un équilibreentre la finance et l’économie réelle et à pro-poser une solution pour sortir de la crise actuelle. En même temps, penser l’industrieautrement peut être l’occasion de réfléchir aumodèle de développement à responsabilité limitée, tel qu’il a opéré jusqu’à présent.

Propriété intellectuelle et innovation

Quels sont les nouveaux modèles d’organisa-tion ? Liliana Milkova (Université de Marne-La-Vallée) a proposé une analyse de laproblématique au filtre des stratégies offen-sives et défensives de dépôts de brevets desept grands groupes industriels français. LaureMuselli et Xavier Parisot (ESC Troyes) prirentle relais en se focalisant sur l’innovation ou-verte ou fermée qu’ils mirent à l’épreuve parl’analyse empirique des entreprises du secteurdes biotechnologies et du logiciel. Salwa HanifOubenaf (Université de Montpellier) clôtural’atelier par un exposé sur les alliances établiesentre les dirigeants des très petites entreprises(TPE), en étudiant les spin-offs (entités dédiéesà une nouvelle activité) universitaires du secteur des biotechnologies, issus des laboratoires universitaires.

Finances et mutations industrielles

Viviane du Castel (ISEG, ISERAM, ISMEA) estrevenue sur la politique de restructuration dusecteur nucléaire, opérée par la Russie. Cettestratégie, estimée géopolitiquement offen-sive, pourra-t-elle être contenue par l’Unioneuropéenne ? En même temps, est-elle sus-ceptible d’offrir des opportunités d’investis-sements (quelle qu’en soit la forme) pour lesacteurs industriels européens ? Pour sa part,Christian Fauré (association Ars Industralis)

partagea avec l’assemblée son intérêt pourles tendances actuelles de l’industrie infor-matique, notamment la gestion. Il a large-ment évoqué les data centers, qui, commel’ensemble des systèmes d’information, nepeuvent guère être appréhendés comme re-levant de l’immatériel, contrairement à unecroyance largement répandue. Au contraire,ces derniers sont assimilables à de l’industrielourde sur le plan des équipements et de l’in-frastructure : ils conduisent à de nouveauxmodèles d’affaires, fondés sur la concentra-tion en un seul lieu, sur l’évolution possibleet rapide du logiciel, sur la vente de droitsd’usage, sur la proposition gratuite de nom-breux services Web et sur l’utilisation de don-nées numériques comme matière première.Cette mutation est à double tranchant : elleapporte certes des avantages réels (parexemple via la puissance de calcul), mais en-traîne des conséquences fâcheuses, entermes de confidentialité et de sécurité desdonnées. De façon surprenante, cette muta-tion semble avoir échappé au contrôle de lapuissance publique. Le déclin des économiesindustrielles hautement financiarisées futévoqué : il se traduit par la diminution du rôlede la puissance publique, par la perte de ladynamique entrepreneuriale des dirigeants,par un moindre financement des investisse-ments, et par l’augmentation des délocalisa-tions. Enfin, Myriam Haouat Asli (ISEG,ISERAM) se pencha sur les stratégies de mul-tinationalisation des banques, comme pen-dant de l’internationalisation des firmesindustrielles, en prenant comme terrain em-pirique le marché chinois.

Le territoire et le nomadisme des entreprises

Boualem Aliouat (Université de Nice) a mis l’ac-cent sur les réseaux d’innovation et notammentles pôles de compétitivité, outils de maintiendes entreprises dans le territoire. Le cadre ins-titutionnel et l’ancrage territorial constituent,pour Hayat Bazzah et Yorgos Rizopoulos (Uni-versité de Picardie Jules Verne) des élémentsintimement liés qui influencent la nature descoopérations mises en place. Denis Lescop etThierry Isckia (Telecom École de Management)ont abordé la notion d’ « écosystèmes d’af-faires » : elle permet d’étudier les change-ments survenus dans le monde des affaires etparticulièrement dans le développement descoopérations. Ces écosystèmes constituentune nouvelle lecture de la dynamique indus-trielle, ce qui conduit à penser différemmentl’industrie et les relations entre firmes. Pour sapart, Nabila Daidj (Telecom École de Manage-ment) s’attarda sur la notion de réseaux.

Le capital humain

La dimension humaine des mutations indus-trielles est un sujet généralement peu appréhendé, tant par les chercheurs que parles praticiens, qui ont tendance à considérerles changements quelque peu désincarnés.Différents chercheurs, issus de différentesinstitutions de Bretagne, se sont penchés surla gouvernance des entreprises à travers lasanté des salariés. À cet égard, l’influence dupouvoir managérial dans l’entreprise est loind’être négligeable. La solution clé suggéréesemble aller dans le sens d’un managementouvert au dialogue qui influencerait de façonpositive la santé au travail et se traduirait in fine par un moindre coût pour la société. Lestress, maladie des sociétés modernes, attirale regard d’Ali Smida (Université Paris XIII) et d’Alina Gomez Mejia (Université Javerianade Cali), qui l’étudièrent, sous l’angle de ses causes dans les organisations du secteursanitaire et médico-social ; l’objectif viséétant de diagnostiquer le stress à un momentdonné afin de proposer au final des solutionsmanagériales.

Pour sa part, le consultant Bernard Largillierestima que penser l’industrie autrement doitimpérativement passer par le retour aux fon-damentaux que sont le client et le personnel,voire de saisir l’industrie uniquement sur le ter-rain de l’humanitaire. Enfin, Olivier Beddeleem(ISEG, ISERAM) et Pierre Katawandja (ISEG,ISERAM) s’interrogèrent sur le rôle que peutjouer l’Union européenne pour accompagnerles entreprises dans la reconversion des in-dustries en déclin et identifier les nouvelles op-portunités industrielles, bien que cette actionne semble pas toujours suffisante.

Le besoin impératif de reconsidérer l’indus-trie à l’aune des transformations observéesnotamment au niveau mondial, comme l’ou-verture des frontières et la reconfigurationdes firmes, fut évoqué, au cours de la tableronde concluant le colloque. Les échangesautour de la Chine comme exemple emblé-matique des changements survenus dans lemonde furent riches et fort appropriés. Mais,plus que jamais, l’industrie doit être penséedifféremment, en tenant compte justement decette nouvelle donne mondiale, mais égale-ment en interrogeant les nouvelles stratégies,les nouvelles règles juridiques, la nouvellegouvernance. Penser l’industrie autrement,c’est penser l’entreprise et l’homme diffé-remment...

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la Cité de laréussite 2010Depuis 20 ans, cette manifestation invitehommes politiques, chercheurs, enseignants,personnalités du monde culturel… à débattre autour de thèmes aussi variés que la transfor-mation, le temps, l’imagination, les nouveauxmondes ou encore les nouvelles frontières. Le Groupe IONIS était pour la 4e fois l’un desprincipaux partenaires de la Cité, dont l’édition2010 s’est tenue à la Sorbonne samedi 10 etdimanche 11 avril 2010. Cette année, l’accent a été mis sur l’idée de « tout réinventer ». En cestemps de crise économique, et face aux prisesde conscience environnementales et solidaires,les intervenants se sont interrogés sur nos nou-veaux modes de vie, nos manières de penser,de consommer. Chaque génération doit mode-ler le monde à sa façon. En 1945, il a été reconstruit. En 1968, il a été révolutionné. En 2010, la nouvelle génération veut le réinven-ter. Parmi quarante-deux débats passionnants, invités et étudiants ont interagi et mis en évidence quatre pôles de réflexion : les connais-sances, la croissance, la gouvernance et les tendances. Nous avons sélectionné quatre débats, afin de vous faire partager ces instantsde réflexions citoyennes, personnelles et enga-gées.

Tous les comptes-rendus des

débats sont disponibles sur :

www.citedelareussite.com

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Débat « Réinventerl’éducation : tout

changer ou changerde méthode » dans le Grand Amphi

L’écologie est aujourd’hui présente dansl’esprit de chacun. La prise de conscienceest là. Mais si l’on se réfère à l’échec du sommet de Copenhague ou aux récentesremises en question de l’application despropositions du Grenelle de l’environne-ment, les solutions restent à inventer afinde trouver un modèle de développement àla fois viable et durable.

Claudie Haigneré, présidente de la Cité desSciences et de l’Industrie et du Palais de laDécouverte, entame ce débat en partageantson expérience : appréhender la finitudede la terre permet de comprendre le rôle pri-mordial de l’Homme. Il doit faire face à sesresponsabilités et se projeter dans l’aveniren se confiant à la science et au progrès.

Pour autant, comme le souligne PhilippeVan de Maële, président de l’Agence del’environnement et de la maîtrise de l’éner-gie (Ademe), la question écologique ne peutse résumer au problème climatique. Que cesoit la survie des espèces, la protection dela biodiversité, le traitement des déchets,l’eau ou encore l’alimentation, ces problé-matiques impliquent un réel changementdu mode de vie.

Ainsi, pour Jean-Louis Chaussade, directeurgénéral de Suez Environnement, on ne peutpas continuer sur le modèle productiviste.Il propose de créer une économie circulaire,concevoir des produits pouvant être recy-clés, privilégiant la fonction sur l’objet. Pourse faire, tous s’accordent sur l’importance

de la mise en place de nouveaux indica-teurs. Ceux-ci doivent être pertinents etcompréhensibles par tous.

Pour finir, s’est posée la question de la décroissance, synonyme de régression pourPhilippe Van de Maële pour qui l’éducationest la meilleure des solutions. La décrois-sance est également décriée par ClaudieHaigneré, qui préfère lui substituer unecroissance et un progrès raisonné. « Il nefaut pas consommer moins, mais mieux ».Tous convergent donc vers l’idée d’unecroissance qualitative et d’une société quiaffronte les risques sans se cacher automa-tiquement derrière le principe de précau-tion.

« À nouveaux défis économiques et écologiques : nouveaux modèles »

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Le débat commence par un point communentre les intervenants : il faut tirer des leçons de la récente crise financière. PourJacques Attali, écrivain et président de PlaNet Finance, c’est l’altruisme qui doitmener nos sociétés et les pousser à retenirles leçons de l’histoire.

Maurice Lévy, président du directoire de Publicis Groupe, considère que nous vivons dans la précarité et que celle-ci doitnous guider dans nos réflexions à savoirprévenir et prévoir. La méthode de ThierryDerez, président directeur de MAAF Assu-rances, est celle du courage et de l’humilité.

L’improbable n’est donc point une fatalitémais bien un moteur pour l’avenir. A laquestion qu’est ce que l’improbable,Jacques Attali préfère définir ce qui est cer-tain à savoir l’amour et la mort, puisquepour le reste, tout dépend du point de vue.Ainsi il définit le court terme comme l’inconnu et le long terme comme l’instantdes mouvements prévisibles. Maurice Lévy,en tant qu’entrepreneur, pense au contraireaux limites du court terme. Il dénonce par làmême, nos sociétés de l’instant, guidéespar le buzz et non plus par les médias ou la politique.

Thierry Derez confirme ce manque de pa-tience de l’homme d’aujourd’hui. Revenantà la crise qui agite nos économies, JacquesAttali ouvre le procès du capitalisme débridé, rejetant la responsabilité sur lesassureurs et les fonds de pension. ThierryDerez se dédouane de ces accusations pourdénoncer les produits financiers toxiquesdes grands conglomérats américains. Les intervenants ont conclu de manière plusoptimiste, en encourageant comme MauriceLévy, la générosité et l’entraide comme mo-teur de notre développement.

« Comment se préparer à l’improbable ? »

Jean-Pierre RosenczveigRichard Descoings etJean-michel Blanquer Marc Drillech

Premier à prendre la parole, Richard Descoings, directeur de Sciences Po, veutmettre en avant ce qui fonctionne notam-ment les progrès résultant de « l’innovationordinaire », celle que chaque professeurmet en place tous les jours dans ses mé-thodes d’enseignement.

Partageant cet avis, Jean-Michel Blanquer,directeur général de l’enseignement sco-laire, met en évidence l’idée d’expérimenta-tion : « l’Education nationale doit se reposersur les choses qui ont été prouvées ».L’école doit être proche de ses élèves et la confiance, réactivée.

Jean-Pierre Rosenczveig, président du tri-bunal pour enfants de Bobigny, est égale-

ment convaincu que le conservatisme n’estpas un obstacle à l’évolution de l’éducation.Pour lui, l’école doit être un lieu de sociali-sation permettant à chacun de devenir citoyen et de trouver sa place dans la so-ciété. Il met en exergue le rôle primordialdes parents, arguant que « l’école ne suffitpas à faire l’éducation d’un gosse ».

Pour Marc Drillech, directeur général deIONIS Education Group, c’est la situation sociale quoi est inacceptable mais c’estégalement le besoin de faire évoluer lesmentalités qui est indispensable. L’hyper-sélection, la dévalorisation de certaines filières, l’impossibilité pour des bacheliersde prendre une année d’expérience. Pour Marc Drillech, il est vraiment temps de

réformer un système qui nuit à l’expressiondes individus et des personnalités.

Pour Jean-Michel Blanquer, il faut cultiver la diversité en personnalisant l’aide. MarcDrillech ajoute que l’école doit être un lieude création et de vouloir et non juste de devoir. Pour conclure, Jean-Pierre Rosenczveig revient sur le rôle des parentsen préconisant de leur ouvrir l’école afind’allier éducation scolaire et parentale. Evitant l’écueil d’un débat public-privé, lesintervenant se sont mis d’accord sur l’idéeque l’école est « la dernière grande institu-tion de la République. Il faut croire en elleet cultiver l’optimisme. »

« Réinventer l’éducation : tout changer ou changer de méthode »

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Le panel d’étudiants débute ce débat en interrogeant notamment les invités sur ce qu’est la créativité. Pour Ferran Adrià,chef du restaurant El Bulli, la créativité est àportée de tous puisqu’il est normal de créer.

Plus pragmatique, Alain Passard, chef durestaurant L’Arpège, rappelle l’importancedu travail qui permet l’expérience du gesteet l’expérimentation des sens.

Jean-Charles de Castelbajac, créateur de mode, ne voit pas cette créativité commeun choix mais comme un sentiment le pous-sant à sans cesse composer et bouleverserles codes, et ce depuis son enfance. Pour

autant l’inventivité est toujours liée aumonde qui l’entoure, comme le prouve AlainPassard qui n’hésite pas à s’intéresser àtoutes les formes de cuisine, ou FerranAdrià qui cherche à en repousser les limites.La créativité va donc de pair avec l’envie dechangement, de nouveauté, que ce soitdans la mode ou dans la cuisine, mais éga-lement avec l’expérience et le passé,comme le dit Jean-Charles de Castelbajac,« il n’y a qu’une devise : faire de mieux en mieux la même chose ». Être unique ouextravagant ne tient donc pas seulement du simple fait de la nouveauté, mais bien dela transgression ou de la remise en cause

des acquis. Le débat se clôt sur la questiondu temps de la création.

Pour Jean-Charles de Castelbajac, ce tempsne s’arrête pas, l’inspiration est un état de chaque instant, l’envie de créer ne lequittant jamais.

Pour Ferran Adrià, c’est le futur qui guide le temps de la créativité alors qu’Alain Passard met en évidence l’importance de se tourner vers le passé. Ils s’accordent finalement ensemble sur l’idée que la créa-tivité appartient à tous.

« Créativité, inventivité : comment faire naître de nouvelles idées »

Simone Veil « Tout réinventer et ne rien oublier »

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focus surles MBAspécialisésde l’ISGDepuis 40 ans l’Institut Supérieur de Gestion intègre l’importance de l’international, de la cul-ture, et d’une pédagogie de l’action résolumenttournée vers l’entreprise. Ses MBA spécialisés,destinés à tous les étudiants titulaires d’un diplôme qui veulent optimiser leur entrée dans lavie professionnelle, constituent une formationcomplémentaire valorisante et reconnue.

Les MBA spécialisés de l’ISG proposent d’acquérir une expertise professionnelle dansles domaines les plus innovants. Quatorzespécialités sont proposées en formation ini-tiale et continue. Les étudiants bénéficientd’une formation transversale permettant decomprendre les interactions des différentesfonctions de l’entreprise. A l’issue de cettepremière partie, les étudiants seront non seu-lement prêts à recevoir une expertise dans undomaine de compétence donné mais égale-ment à replacer celle-ci dans un contexte plusglobal.

La deuxième période d’enseignement est intégralement consacrée à l’expertise profes-sionnelle ; chaque spécialisation est placéesous la coordination d’un référent, garant dela pertinence professionnelle et pédagogiquede la spécialisation. Cet ancrage profession-

nel permet de mobiliser tout le réseau du référent afin de permettre aux participants de bénéficier de la meilleure connaissance dela pratique, de ses impératifs, des difficultéset usages que comporte le secteur concerné.

Forts de ces connaissances transversales etet de leur expertise, les participants sontprêts à entrer dans la dernière partie de la formation : l’insertion professionnelle. Cettepériode est préparée dès le début de la for-mation par un suivi constant des participantseffectué par des professionnels, sur la formu-lation et la mise en œuvre de leur projet ainsique sur la rédaction des CV et lettre de moti-vation. Le stage peut ainsi être vécu soitcomme un véritable premier emploi dans lesecteur, soit comme une reconversion.

14 MBA spécialisés :

> Finance et marchés internationaux

> Conseil stratégique

> Management du sport

> Marketing du luxe

> Gestion du changement et technologies

> Création d'entreprise

> Management des compétences internationales et multiculturelles

> Gestion de patrimoine

> Management des univers de l'enseignement et de la formation

> Logisitique/supply Chain Management

> Communication et médias

> Customer relationship management

> Management et développement durable

> Banque, Marché du Retail

Plus d’informations sur :

www.isg.fr/fr/MBA-specialises

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3 questions à Gaëlle Deharo, directrice pédagogique des MBA spécialisés de l’ISGA quelles personnes s’adressent ces MBA ?

Les MBA spécialisés de l’ISG s’adressentprincipalement aux cadres dotés d’uneforte expérience professionnelle et souhai-tant acquérir une expertise dans un domaine donné dans la perspective d’unereconversion professionnelle, d’une valori-sation auprès de leur direction, d’un déve-loppement de compétences… Formationsde haut niveau, les MBA spécialisés del’ISG sont également ouverts en formationinitiale aux personnes justifiant d’un diplôme de niveau bac +4. L’organisationen deux parties permet aux étudiants unetransition des pédagogies classiques versdes pédagogies appliquées nécessaires àune bonne maîtrise de la spécialisation.

Quel est le niveau d’anglais requis ?

Les MBA spécialisés nécessitent une com-préhension globale de l’anglais permettantde suivre certaines interventions en anglaiset d’exploiter les matériels pédagogiques

en anglais. Le projet pédagogique n’est pasfondé sur l’exploitation du bilinguisme,mais sur un dépassement des appréhen-sions quant à une expression en anglais.L’objectif n’est donc pas de développer unecompétence anglophone mais d’amenerdes cadres francophones exerçant dansdes firmes internationales à se décom-plexer à l’égard d’une pratique profession-nelle anglophone.

Comment les participants sont-ils recrutés ?

La sélection des étudiants se fait sur dossier et entretien. Un premier dossier està adresser à l’ISG afin d’étudier l’éligibilitéde la candidature. Si celle-ci est recevable,un entretien sera organisé afin d’examinerle profil du candidat. L’ISG sélectionne sesétudiants sur différents critères : perti-nence du projet professionnel et de la for-mation choisie, créativité, valeur del’expérience professionnelle ou de la for-mation…

Ce cursus aborde l’entreprise de façon trans-versale et permet d’acquérir un savoir-fairecomplet du management et une connaissancepratique étendue du marché mondial. Il prépare de manière opérationnelle les jeunesprofessionnels à des fonctions managérialesgrâce à une pédagogie interactive et intercul-turelle. L’objectif de ce MBA est que les mana-gers aient une compréhension holistique deleur environnement en entreprise, une solideconnaissance des fondamentaux du marché et une perspective internationale. Les partici-pants travailleront autour d’études de cas pourlier la théorie au fonctionnement moderne desaffaires. Une emphase toute particulière est donnée à l’éthique des affaires.

Diplôme

L’International MBA permet aux participantsd’acquérir de solides compétences en: mana-gement financier, marketing international,management du changement, entreprenariatet management du système d’information. Le MBA se déroule sur un an et inclut un mémoire professionnel ou business plan. Les participants ont également l’opportunitéde prendre part à des séminaires dans uneuniversité partenaire à New York au mois de juillet (« summer session »). Ils peuventainsi se concentrer sur le management anglo-américain au cœur de Manhattan.

Public

Le MBA est destiné aux cadres souhaitantmettre à jour leurs pratiques et faire avancerleur carrière, aux ingénieurs, techniciens, avo-cats et autres professionnels qui cherchent àbooster leur carrière et qui ont besoin d’uneconnaissance approfondie du managementde haut niveau. Le diplôme s’adresse aussiaux personnes formées en université et qui cherchent à se réorienter pour une meil-leure insertion professionnelle et aux jeunesdiplômés avec une grande motivation.

Pour plus d’informations :

http://bba-mba.isg.fr/

> 22 séminaires de 24 heures chacun, d’octo-

bre à juin, les jeudi, vendredi et samedi tous

les 15 jours.

> Tous les séminaires, les lectures et le

mémoire professionnel sont en anglais.

> « Summer session » optionnelle d’un mois

à New York.

> Les intervenants professionnels sont de

langue maternelle anglaise et les participants

proviennent du monde entier : plus de 40

nationalités sont représentées.

> Admission : Licence ou Bachelor, bon

niveau d’anglais (TOEFL®, TOEIC®, IELTS®) et

3-5 ans d’expérience professionnelle.

> 2 rentrées, en octobre et en janvier.

Programme d’un an à Paris, sur le campus de l’ISG :

L’International MBA de l’ISG

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les conférences de l’ESME Sudria L’école des sciences de l’énergie et des technologies avancées a proposédeux rendez-vous en février et en mars. Le premier, afin de se pencher sur l’habitat durable du futur. Le second, pour faire le point sur l’imageriecardiaque, via la première « Matinale du Pôle de Recherche en Imagerie Appliquée à la Médecine (PRIAM) » rattaché au département Signal et Télécommunication de l’école. Comptes-rendus.

L’habitat durable Les Assises 2010 de l’école se sont tenues dans les locaux de l’ESME Sudria, le 18 février,sur le thème : « L’habitat et les bâtiments industriels à l’horizon 2025 : vers une néces-saire prise de conscience collective ».

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A l'heure où la question énergétique du cadrebâti, y compris les bâtiments industriels, apris une dimension essentielle dans le débatpublic, l'école a tenté de faire le point sur cesujet et d'y apporter des réponses à traversles témoignages et les regards d'experts, encompagnie notamment d’architectes, de res-ponsables de collectivités publiques et deresponsables de grands groupes.

État des lieux

A l’opposé de son voisin allemand, la Franceest nettement en retard en matière d’habitatdurable et d’écologie. Cette différence s’explique notamment par l’importance du nucléaire face à d’autres formes d’éner-gies et par l’omniprésence du vieux bâti. LaFrance souffre également d’autres carences :architectes qui travaillent trop souvent de manière isolée, et lacunes dans l’approche pédagogique. Le bâtiment durable a un coûttrès important et les participants de se demander s’il existe une réelle volonté poli-tique de changer le système pour construiredurablement. A cela, s’ajoute la frilosité des entrepreneurs qui s’interrogent sur

la rentabilité de l’investissement à long termeet sa viabilité.

Solutions actuelles et futures

Après avoir réalisé «La Bonne Maison» pourYann Arthus-Bertrand, l’architecte EmmanuelCoste a réalisé deux constructions exem-plaires en la matière : le « Natural PositiveBuilding », le siège de son agence à Houdan,en 2008 (critères de sobriété, de performanceet d’énergie renouvelable, un mode construc-tif accessible à toutes les entreprises) et sa propre demeure dans les Yvelines (la « Maison Canopée », neutre en énergie avecun système innovant de récupération énergé-tique, de recyclage des eaux et utilisation dematériaux naturels). La ville d’Ivry s’est forte-ment engagée en faveur de l’habitat durable.C’est surtout au niveau local qu’il peut se pas-ser des actions concrètes et l’agglomérationest ainsi devenue un laboratoire vivant avecla mise au point du « plan climat-énergie ».Les projets « Phosphore 1 et 2 » (laboratoiresde recherche en développement urbain dura-ble) de la société Eiffage sont des exemplesvirtuels d’une approche réellement globale

d'un développement urbain durable, propo-sant aux collectivités une offre de haute qualité de vie : respect du territoire et de sonenvironnement, sobriété et efficience éner-gétiques, confort et bien-être des personnes,etc.

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21L’imagerie cardiaque Cette première « Matinale du Pôle de Recherche en Image-rie Appliquée à la Médecine (PRIAM) », organisée le 18 mars, a permis de faire le point sur les progrès en imagerie cardiaque. État des lieux de la recherche, qu’elle soit fondamentale, appliquée, clinique ou qu’elle concerne le développement industriel.

Plusieurs conférenciers, issus du milieu industriel, académique et hospitalo-universi-taire, étaient réunis afin de partager leurs tra-vaux. Leurs recherches pourraient contribuer,à terme, à améliorer le diagnostic des patho-logies cardiovasculaires, repousser les limitesde l’imagerie cardiaque et permettre la miseen place d’une stratégie médicale mieuxadaptée au patient.

Recherche clinique

Premier enseignement : l’appréhension de lanotion de complémentarité ou de redondancedes outils d’imagerie biomédicale. BenoîtDiebold, professeur des Universités et prati-cien hospitalier à l’hôpital Georges Pompi-dou, est revenu sur l’intérêt d’une nécessairecomplémentarité des outils biomédicaux, surleurs particularités mais aussi leurs limites. Ila mis l’accent sur le fait que la redondancepeut, dans certains cas, être nécessaire voireindispensable, notamment en chirurgie pré-ventive lorsque le praticien doit prendre desdécisions lourdes. La redondance permet, desélectionner le meilleur outil possible afind’éviter de faire courir des risques aux pa-tients et de réduire ainsi les cas de mortalité.

Recherche fondamentale

Frédérique Frouin, chargée de recherche àl’Inserm, a évoqué ses travaux sur la place del’IRM dans l’étude du vieillissement cardio-vasculaire, plus précisément la mesure descaractéristiques relatives à l’élasticité del’aorte. Elle a exposé sa méthode qui consisteà suivre l’évolution de l’artère par une seg-mentation de l’image IRM à l’aide d’un logi-ciel. Constantin Constantinides, doctorantPRIAM/ Inserm, a présenté sa thèse sur « lasegmentation automatisée des contours desventricules gauche et droit en IRM », afin

d’étudier au mieux la fonction cardiaque. Yasmina Chenoune, post-doctorante PRIAM/Inserm, a quant à elle expliqué l’intérêt de la technique du rehaussement tardif enimagerie cardiaque appliquée à l’évaluationde la viabilité myocardique et au diagnosticdes pathologies myocardiques ischémiques.

Développement industriel

Vincent Bismuth, ingénieur de recherche chezGeneral Electric Medical Systems, a traitéd’une application concrète concernant uneméthode via la fluoroscopie pour rendre plus visibles les stents coronaires, ces petitsressorts que l’on place dans une artère pouréviter qu’elle ne se bouche. Yohann Attal, ingénieur de recherche à l’institut de forma-tion IMT, a présenté le logiciel NeurInfarct quipermet de prédire la croissance de l’attaque,le volume et la localisation de la lésion. Grâceà une segmentation de l’image, le logiciel vaégalement pouvoir exprimer le potentiel de lazone infarcie que l’on peut sauver. Cetteconférence aura apporté plus de visibilité surle potentiel exponentiel de l’imagerie biomé-dicale, un outil de diagnostic puissant, qui né-cessite encore d’être exploité afin d’en tirer leplus de bénéfices possibles, pour le praticienet le patient. « J’espère que les futurs ingé-nieurs, que forme aujourd’hui l’ESME Sudria,seront touchés par ce besoin naturel quipousse l’ingénieur à vouloir goûter au pro-grès et à la recherche », a expliqué Patrick De-vriendt, directeur du département « Signal etTélécom » et du Pôle de Recherche en Image-rie Appliquée de l’école, citant le chercheurFrançois Jacob en guise de conclusion : « Larecherche est un processus sans fin dont onne peut jamais dire comment il évoluera, a-t-il conclu. L'imprévisible est dans la naturemême de la science. »

Dans l’ensemble, ce débat consacré à l’habi-tat durable du futur a démontré que, bien quela France soit en retard, elle possède à sa dis-position les moyens nécessaires pourconstruire « durable ». Reste simplement quela volonté publique puisse accompagner cetenjeu. Les discussions ont souligné le besoinde proposer une offre de formations dans ce domaine, où il y a de nombreux besoins. « C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, a expliqué Hervé Laborne, directeur de l'école,l’ESME Sudria ouvrira, dès la rentrée 2010,une nouvelle voie d’expertise. Notre écolesait adapter ses programmes d'enseignementaux évolutions et aux enjeux du développe-ment durable ainsi qu’aux besoins des entre-prises et des exigences environnementales.Elle fera donc, de ce thème, une des compo-santes fortes de son offre pédagogique en formant des experts qualifiés. »

Les vidéos des conférencessont disponibles sur :

www.esme.fr/assisses

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bienvenue à Web@cademieEpitech et l’association Zup de Co lancentune école gratuite, car financée par des entreprises, ouverte aux jeunes sortisdu système scolaire qui souhaitent se formeraux métiers du web.La première promo-tion, composée d’unecinquantaine d’étu-diants, a débuté lescours au mois d’avril.

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Le projet

Il est né de la rencontre, en 2008, entreFrançois Benthanane, Kévin André, fonda-teurs de l’association Zup de Co, et NicolasSadirac, directeur d’Epitech, l’école supé-rieure de l’expertise informatique. Ensem-ble, ils ont souhaité apporter une solutionconcrète pour les 120 000 jeunes qui sortent chaque année du système scolairesans qualification. Malgré certaines initia-tives sérieuses, mises en place depuis plusieurs années, aucune n’était jusqu’àprésent dirigée vers le secteur pourtantporteur de l’informatique et du web. Or, en2010, près de 170 000 postes d’informati-ciens restent encore à pourvoir en France.

La formation

Web@cademie est destinée à des jeunesde 18 à 25 ans, non titulaires du bac. Cetteformation en 2 ans, gratuite pour les étu-diants et financée par Zup de Co au traversde ses partenaires, propose à des jeunesmotivés, que l’informatique passionne, unesolution pour trouver un emploi durable.L’école se situe au sein du campus techno-logique de IONIS Education Group, auKremlin-Bicêtre, qui regroupe écoles d’in-génieurs et d’expertise (EPITA, Epitech,Sup’Biotech, Ionis-STM, e-artsup) et plusde 4 000 étudiants. Les étudiants sont présélectionnés par Mozaïk RH, un cabinetassociatif de recrutement, spécialiste de ladiversité et de l´égalité des chances.Web@cademie a ouvert les portes à sa première promotion de 50 étudiants aumois d’avril.

Le programme de l’école se développe sur4 semestres : 3 sont destinés à l’enseigne-ment et le dernier vise l’insertion profes-sionnelle (stage en entreprise + école). Les cours se déroulent sur la base de 40 hpar semaine réparties en 25 h de projetsencadrés, coaching et évaluations et 15 h

de cours « classiques ».

À terme, Web@cademie souhaite formerchaque année près de 1 000 jeunes aux mé-tiers de développeur et intégrateur web,grâce au soutien notamment des Epitechen région.

La pédagogie

Web@cademie repose sur une pédagogienovatrice et une réelle démarche de pro-fessionnalisation. Les méthodes utiliséessont celles d’Epitech : des cours actifs, uneculture du projet, une importance donnéeau travail en équipe, un coaching renforcéet individualisé.

Fidèle à la culture par projets d’Epitech, la formation Web@cademie impose auxétudiants la réalisation chaque semestre demini-projets individuels et de projets engroupes de 3 à 4 personnes. Ces projetssont développés, conduits et appréciésselon des critères professionnels. La réali-sation collective permet de fédérer les efforts, d´encourager et de responsabiliserchacun. Professionnels et entrepreneurs du secteur interviennent régulièrement à l’école afin de présenter aux étudiants les particularités de leurs métiers et lescompétences attendues par les acteurs dumarché.

Partenaires

Le coût de la formation est couvert par des subventions ou des participationsd´entreprises, notamment des sociétésdont le mécénat est dédié aux activitésd´insertion professionnelle, de formation et d´accompagnement des jeunes, des SSIIen demande de développeurs web, des fondations et la taxe d´apprentissage.L’Etat, la Région, le Département et des col-lectivités territoriales ont été sollicités poursoutenir le projet financièrement.

Pour Marc Sellam, prési-dent de IONIS EducationGroup

« En débutant notre par-tenariat avec Zup de Co,nos étudiants ont par-tagé leur temps et leurssavoirs. Aujourd’hui Epitech, résolumenttournée vers l’avenir,s’engage avec Web@ca-demie pour partager sesméthodes, sa réputationet aider ainsi des jeunesen rupture avec le sys-tème scolaire à trouverun emploi stable et valorisant. Au-delà denotre engagement deformation, c’est unefierté pour nous ».

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ils saluent la naissance deWeb@cade mie

Jacques-Antoine Granjon, président de Vente-privee.com et parrain de Web@cademie

« Pourquoi je parraine Web@cademie ? Parce que le cœur du réacteur de vente-privee.com est informatique et technologique, que le site doitfonctionner 24h/24 et que notre croissance est intrinsèquement liée àla capacité de nos équipes à développer très vite les projets. Mais aussiet surtout parce que je pense que nous avons besoin de tous les talentsd'où qu'ils viennent. Je crois à la création de valeur par les chefs d’entreprises et l’avenir passe par la formation des jeunes aux métiers dedemain, du digital et du numérique, car la révolution technologique esten cours. Et il ne faut pas rater le train. Web@cademie est une initiativeformidable. »

Nicolas Sadirac, directeur général d’Epitech et directeur pédagogiquedu projet

« Aujourd’hui les experts en informatique qui sortent diplômés d’Epitechaprès 5 ans d’études managent des équipes, font face à d’importantes responsabilités ou lancent leur entreprise. Mais les entreprises man-quent cruellement de développeurs web répondant à leurs exigences. La pédagogie Epitech sera utilisée au sein de Web@cademie, les étudiantsqui en sortiront seront parfaitement adaptés à notre secteur. »

Fabrice Bardèche, vice-prési-dent de IONIS Education Group

« Pour une école habituée à jouerdans la "cour des grandes", recevoir une promotion de non bacheliers semblait une gageure.Tout le personnel impliqué était enthousiaste, mais en même tempss'interrogeait : saurions-nous, pédagogiquement, être à la hau-teur de l'enjeu. Aujourd'hui, un mois après la rentrée, nouspouvons d'ores et déjà dire quela première manche est gagnée.La sélection qui avait été faite arésisté aux premières pressionsfortes des exigences de l'école,la motivation de nos jeunes étudiants est restée intacte,voire s'est accrue. Combien résisteront aux 3 semestres deformation ? C'est encore l'incon-nue, mais le coaching proximalmis en place, la réelle progres-sion constatée tous les jours, le caractère très pragmatique dela formation ainsi que la qualitépersonnelle et humaine desjeunes recrutés nous rendentoptimistes. (à suivre). »

Fabrice Bardèche et Jacques-Antoine Granjon

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Christine Kelly, journaliste membre du CSA et marraine de Zup de Co

« M’investir aux côtés de Zup de Co dans ce projet correspond parfai-tement à mes valeurs, qu’elles soient professionnelles, de parcoursou éducative. Je crois à la formation, à la remise en question et latransmission. Je me suis battue toute ma vie pour être régulièrementformée, que ce soit initialement ou tout au long de la vie. Mêmelorsque l’on a acquis un certain savoir-faire, il faut se remettre enquestion, être capable de tout recommencer. Et je ne vois pas l’intérêtd’acquérir des connaissances si ce n’est pas pour les transmettre.C’est pour ces raisons que je soutiens les projets de Zup de Co. »

François Benthanane, prési-dent de Zup de Co

« Quand nous avons fondé Zup deCo pour soutenir les jeunes dé-favorisés dans leur parcoursscolaire, c’était pour moi unjuste retour des choses qued’apporter une aide que j’avaislongtemps cherchée. Aujourd’huiavec Web@cademie, nous allonsencore plus loin : c’est une solu-tion concrète pour les jeunesdéscolarisés mais aussi une réponse à une carence françaiseen développeurs web. Ce n’estpas de l’assistanat, c’est un pro-jet à vocation sociale certes,mais également économique. Cesjeunes vont reprendre goût autravail, aux études parce quecela sera appliqué à leur passionpour l’informatique avec un objectif à court terme très facileà imaginer. Leur réussite passerapar leur volonté, nous nesommes là que pour les encadreret leur proposer une nouvellechance, à eux de la saisir. Le mar-ché de l’emploi les attend. »

Léon Legla, Saliou Magassa, Claire Dorgueil, Laurence Maitre

Christine Kelly

François Benthanane

Nicolas Sadirac et Fabrice Bardèche

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Chaque année, l'ISEG Lille organise en colla-boration avec Alexis Hazard, le Festival inter-national de magie de Lille. Cette année, la 10eNuit Magique s’est déroulée le 7 mai au théâ-tre Sébastopol. L’école et Alexis Hazard y ont présenté une sélection des plus beaux nu-méros qui ont marqué les dix ans du festival,devant un millier de personnes. Ce rendez-vous constitue l’occasion de réunir chaqueannée les entreprises partenaires de l’ISEG,professeurs et collaborateurs, autour d’unévènement qui fait rêver les petits comme lesgrands. Alexis Hazard est un ancien Iségiendevenu magicien professionnel à la sortie deses études. En 2001, il crée la première édi-tion du festival. Depuis, ces Nuits MagiquesISEG se succèdent et accueillent les plusgrands magiciens, comme Gérard Majax ouDani Lary.

www.alexishazard.com

10e Nuit Magique

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ISEGLa Victoire à Table

Pour sa quatrième édition, la manifestations’est tenue place de la Victoire à Bordeaux, le samedi 10 avril. Ce rendez-vous, animé parles étudiants de l’ISEG est un prolongementdu blog « Wine & Food » qu’ils font vivre toutau long de l’année, autour de la valeur ajou-tée de l’école : la gastronomie et l’œnologie.Cette année, La Victoire à Table était placéesous le signe des Antilles et des épices, par-rainée par le chef Franck Descas du restau-rant Au Sarment à Saint-Gervais. Au menu :différents stands, un concours culinaire, desdégustations, des ateliers, de la danse…Alain Juppé a inauguré la journée et en a pro-fité pour évoquer l’ouverture prochaine ducampus urbain de IONIS Education Group, ruedu Jardin Public, dans lequel l’ISEG Bordeauxva emménager à la rentrée, avec Epitech et e-artsup.

www.wine-food.fr

YMS Team mandatée parl'AS Nancy Lorraine

Le club de football, actuellement en Ligue 1,vient de signer un partenariat avec YMSTeam.Cette toute récente société a vu le jour en février, composée de cinq étudiants de 4e année du programme EXE. La structure est spécialisée dans le Yield Managementsportif : un outil de gestion encore peu connu,qui est utilisé par les entreprises souhaitant optimiser leurs coûts en fonction des périodes d’activités, comme c’est le cas pourles clubs sportifs professionnels et la gestiond’infrastructures comme les stades. YMSTeam aura notamment pour mission d’effec-tuer des campagnes publicitaires, du consul-ting, de la recherche de partenaires etl’organisation d’événements pour le comptede l’AS N ancy Lorraine.

Le transfert de technologiesAGNI Social Business est une associationcréée en septembre par quatre étudiants del'ISEG Toulouse en collaboration avec leurprofesseur M. Andriano.

Positionnée sur le social business (entrepre-nariat social), l'AGNI a plusieurs missions et projets : être un outil d'intelligence socialeet économique pour répondre aux besoinsphysiques et éducatifs des étudiants.

Le 27 avril, dans les locaux de l’école, l’asso-ciation a présenté le social business et la manière de la développer en France. Elle estrevenue sur l’histoire du prix Nobel d’écono-mie Mohamed Yunus, créateur du microcré-dit en Inde et au Bengladesh. Elle a aussiprésenté l’AGNI 2.0, la première plateformesociale, gratuite et interactive, destinée à mettre en relation le monde étudiant et le monde professionnel.

http://agnisocialbusiness.ning.com

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27Le Forum entreprises de Paris

Chaque ISEG organise dans ses locaux des forums afin de favoriser les échanges entreétudiants, jeunes diplômés et entreprises à larecherche de profils pouvant répondre à leursbesoins. L’édition parisienne s’est dérouléele 17 mars.

Côté étudiants, cet événement leur a permisde rencontrer de manière concrète des pro-fessionnels offrant des opportunités en adé-quation avec leurs objectifs. Côté entreprises,elles se sont entretenues en moyenne avecune dizaine d'étudiants et d’anciens au coursde la manifestation. Plus d’une trentaine de sociétés étaient présentes, dont Unilever, De-cathlon, Aviva ou encore la Société Générale.

ISEG

Le XV ISEG Paris en finale

En partenariat avec la Mairie de la Bernerie-en-Retz, les étudiants de l’ISEG Nantes sesont engagés pour une journée de nettoyagede cette plage ligérienne, le 8 avril dernier.Ce moment de rassemblement pour la pro-tection de l’environnement s’inscrivait dansla semaine Littoral et Environnement del’ISEG Nantes, en rapport avec la valeur ajou-tée de l’école.

Accueillis par Jean-Paul Daviaud, adjoint àl’environnement, au cadre de vie et au littoralde la commune, les étudiants de 1re et 2eannée de l’école ont d’abord été sensibilisésaux enjeux du nettoyage des plages, avec notamment un point sur « la laisse de mer »,ces accumulations de débris que l’on retrouvesur l’ensemble des littoraux. Munis de gants,

de sacs poubelles et de divers outils, les élèves se sont lancés dans un nettoyageintensif. Ils ont ainsi trié les déchets : un sacpour le verre, un sac pour le plastique et unautre pour le mazout, traces des dégazagesabusifs. L’opération fut un succès et a encoreune fois mis en évidence la pollution dontsouffrent chroniquement les façades mari-times. En parallèle, des activités de sensibili-sation organisées par l’association Littoral et Environnement de l’ISEG Nantes se sontdéroulées.

Nettoyage de la plage de la Bernerie-en-Retz

L’équipe de Rugby de l’ISEG Paris a décrochésa qualification pour la finale des champion-nats de France universitaires. Emmenée parson capitaine Corentin Daguin, l’équipe a suélever son niveau de jeu tout au long desphases qualificatives. Elle s’est qualifiée faceà l’ESC Rouen, en quarts de finale. Elle a malheureusement chuté en finale (34-15)contre l’Université Lyon 3. Bravo quand mêmeà eux !

Compét’ISEG 2010

Dans le cadre de la Semaine de la Publicité,Communication et Médias 2010, l'ISEG Lyona choisi de stimuler la créativité de ses étudiants de 4e année en marketing et com-munication en organisant le concours « Com-pét'ISEG 2010 ».

Les agences de communication étudiantesVictory Agency, Bliss 360 et Seventen se sontaffrontées autour d’un brief proposé par Mi-chel Hébert, vice-président de TBWA\Franceet Philippe Gadel strategic planning de Being,

pour une marque réputée du marché des cosmétiques : Clarins.

Après une séance de briefing approfondie, les agences étudiantes ont disposé d'une semaine pour construire leurs stratégies mar-keting et communication. Leurs préconi- sations ont été soumises au jury. Après déli-bération, il a désigné vainqueur l'agence Victory. Les prix ont été remis par Valérie Dmitrovic, directrice de l’ISEG Lyon, le 7 avril.

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L’ISG vient de ratifier deux nouveaux parte-nariats. Le premier concerne l’université pu-blique de Madrid, fondée en 1996,l’Universidad del Rey Juan Carlos. Cet établis-sement compte plus de 15 000 étudiants ré-partis sur 4 campus. Le partenariat est basésur un échange d’étudiants dans le cadre desaccords européens ERASMUS.

www.urjc.es

Le second partenariat concerne l’UniversitéAhlia, la première université privée accréditéepar le gouvernement de Bahreïn. Elle compte6 facultés dont le « College of Business and Finance » avec lequel l’ISG échangeraprochainement des étudiants.

www.ahlia.edu.bh

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ISG

Deux nouveaux partenariats internationaux

Premier succès pour la « Soirée Portes-Ouvertes spéciale Formation Continue »

Mardi 27 avril, a eu lieu la première « SoiréePortes-Ouvertes spéciale Formation Continue »,organisée conjointement par l’ISG et IONISExecutive Learning (IEL). Destiné aux profes-sionnels qui souhaitent se reconvertir, évoluer à leur poste ou assurer leur employa-bilité, cet événement a été l'occasion pourl'ISG et IEL de présenter l'ensemble de leuroffre en formation continue : MBA spécialisés,Executive MBA, International MBA, VAE, Mas-ter, formations courtes et sur-mesure...

Au programme de la soirée, une conférence-débat sur le thème « évolution profession-nelle, reconversion : quelle formation choisir ? », animée par Michael Tapiro, direc-teur des programmes d'IEL.

Pour affiner leur projet de formation, les invi-tés ont également pu discuter avec les res-ponsables et les référents des formationsprésents (développement durable, marketingdu luxe, management du sport, gestion de pa-trimoine, communication et médias, manage-ment de transition...). Cette rencontre a étéun réel succès et une nouvelle édition devraitbientôt voir le jour.

Moda Domani

Valérie Favier est étudiante à l’ISG lorsqu’ellecrée en 1991 l’association Moda Domani « Prix des Créateurs de Demain ». Son idée :associer une école de commerce, l’ISG et des écoles de stylismes, autour d’unconcours ouvert aux jeunes créateurs désireux de se faire connaître.

Chaque année, une dizaine de stylistes sontretenus sur dossier et doivent imaginer unecollection autour d’un thème. Cette année,pour la 18e édition, c’est le sujet « stylismerime avec surréalisme », en référence à la cé-lèbre et défunte créatrice de mode italienneElsa Schiaparelli, qui a été sélectionné.

Les résultats ont été dévoilés au Temple Pentemont, à Paris, le 26 mai, sous le parrai-nage de La Mairie de Paris représentée par l’adjointe au maire Lyne Cohen-Solal, de LaFédération Française de Prêt à Porter Féminin,du salon Whos’s Next, des Galeries Lafayetteet de l’association Cosmetic ExecutiveWomen.

http://modadomani.fr

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29« Café métiers » RP et communication

L'association des anciens élèves présidée parAdalbert de Bagneux et l'ISG ont organisé la 7e rencontre « Café métiers » de l’ISG, sur les métiers des relations publiques et dela communication.

Le rendez-vous s’est déroulé le 18 mai, encompagnie de Dominique Mine (promotion81), président-directeur général de Cape etCime Relations Publiques.

ISGDarketing, épisodes 9 et 10

Deux nouveaux volets de Darketing sont enligne.

Dans le 9e épisode, Henri Kaufman, co-auteurd’« Internet a tout changé » présente les nou-veaux métiers et les nouveaux usages affé-rents à l’émergence de ce nouveau médium.Les notions de communauté, de témoignage,de gratuité ou encore de buzz, intimementliées à ces nouvelles pratiques, y sont expli-citées. Henri Kaufman est un passionné decommunication, d’innovation et de nouveauxmédias. Il est notamment directeur d’agence,vice-président du Cercle du Marketing direct,blogueur, designer et photographe.

Nicolas Riou, fondateur de la société d'étudesmarketing et de planning stratégique BrainValue, auteur de « Marketing Anatomy », estl’invité du 10e numéro. Comment les marquesinnovantes créent-elles de la valeur d'envie ?En s’appuyant sur des exemples pris aux qua-tre coins du monde, Nicolas Riou dresse un panorama des changements en cours, des nou-velles tendances et des nouvelles pratiques :révolution digitale, crise, montée en puissancedu développement durable, brouillage des ci-bles, critique de la surconsommation...

Retrouvez ces numéros et les anciens sur

le site de Darketing : www.darkplanneur.tv/

index.php/tv/Darketing ou sur www.isg.fr

Le Printemps des associations

L’ISG connaît un mois de mai très actif en matière de vie associative avec pas moins de11 événements organisés par les étudiants despromotions 2011 et 2012 du cursus National.Parmi ces différentes manifestations, l’asso-ciation Vue sur Court a lancé un mini-festivalde courts métrages dans le foyer des associa-tions pendant que l’ISG Maroc a proposé desanimations autour de la culture de ce pays.Après deux jours d’affrontement des listes

pour la campagne BDE qui ont plongé l’ISGdans une ambiance festive, ISG Santé a apporté son soutien à la 2e Journée des Mala-dies rares à l’Institut Pasteur. Puis l’ASISG aemmené une cinquantaine d’étudiants dansles Yvelines pour une journée de paintball, tandis que le Yacht Club ISG proposait une ini-tiation au monde nautique. Le 20, ISG Dreams,en partenariat avec l’association Rêve a proposé un cocktail dînatoire à l’Atelier Guy

Martin, dans le 8e arrondissement de Paris.Dans cet hôtel particulier, les participants ontpu admirer le chef aux deux étoiles du GrandVéfour officier dans ses cuisines ouvertes etéchanger avec lui. Ce Printemps des associa-tions s’achevera par le défilé organisé par l’association Moda Domani (voir ci-contre) etle Gala de l’école, organisé par le BDE qui se tiendra au Tir aux Pigeons dans le 16e arrondissement.

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ISTHCréation du Ciné ClubFondé par une équipe d’enseignants del’ISTH, le Ciné Club répond, au-delà d’unepassion partagée pour le 7e art, aux exi-gences et aux demandes récurrentes des étu-diants : projeter chaque semaine undocument en rapport avec les programmes,enclencher une réflexion autour de la projec-tion et sensibiliser à la culture cinématogra-phique. Il ne s’agit pas simplement deprojeter un film mais, à partir d’une présen-tation polyphonique et d’un débat critique,d’en comprendre son inscription dans uncontinuum historique et un contexte socio-économique particuliers. Les séances ont lieuchaque vendredi de 18h à 20h30.

Rencontres sportives étudiantes

Les étudiants de Prépas négligent trop sou-vent les activités sportives pendant leurs an-nées d’études. C’est pourtant un très bonmoyen de se maintenir en forme et de favori-ser la cohésion de groupe.

Ainsi, tous les samedis matin, le gymnase duFond des Princes, dans le 16e arrondissementde Paris, accueille une première phase de ren-contres mixtes entre les étudiants de PrépasSciences Po. et les étudiants de Prépas Ecolesde Commerce et Hypokhâgne, pour le plusgrand plaisir de tous les étudiants présents –joueurs ou simples supporters.

L’ISEFAC Bachelor lance à la rentrée 2010 unenouvelle formation sur le cycle marketing/communication, orientée vers les métiers del’environnement.

Vivement sollicité par un certain nombre d’ac-teurs œuvrant dans ces métiers porteurs,l’ISEFAC a organisé, encadré par des profes-

sionnels du métier, un cycle spécialisé permettant aux étudiants de se préparer à denouvelles opportunités dans les domaines ducommerce ou de la communication.

ISEFACUne nouvelle spécialisation environnement

Le 15 avril, le Bureau des Sports a organiséles 1res Olympiades ISEFAC au stade de Colombes. Elles ont réuni l’ensemble des étu-diants de l’établissement qui ont pu se me-surer dans différentes disciplines sportives :football, rugby… En fin de journée, des prixont été remis et une grande soirée de gala a clôturé les épreuves.

Les 1ères Olympiades Isefac

Le 19 mai, les étudiants de l’ICS Bégué ont as-sisté à une conférence sur la gestion de pa-trimoine, animée par Marc Bellaches. Anciende l’école et conseiller en gestion de patri-moine, il est revenu sur son expérience en cabinet comptable, en tant que directeur administratif et financier, puis en qualité deconseil en gestion de patrimoine.

Abordant la comptabilité, le droit et la com-préhension du monde économique, il a mis enévidence certaines compétences nécessairesà la bonne gestion, comme la maitrise del’équilibre financier, la connaissance du droit

ou l'approche par les risques. Même si la ges-tion de patrimoine est une activité annexepour de nombreux experts-comptables, elleconstitue pourtant une opportunité intéres-sante.

ICS BéguéComment gérer un patrimoine en 2010 ?

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Cette collaboration s’inscrit dans une dé-marche active en faveur de l’innovation pourrenforcer les relations entre étudiants et entreprises. Le pôle de compétitivité Cosme-tic Valley est le premier réseau mondial deressources en parfumerie et cosmétique.

L’adhésion de Sup’Biotech traduit une vo-lonté commune de mutualiser les compé-tences et permettra à l’école de prendre partà des projets de pointe en cosmétologie,d’augmenter son réseau d’entreprises parte-naires et de proposer à ses étudiants unenouvelle formation de qualité. Sup’Biotechélargit ainsi son offre pédagogique en propo-sant une mineure d’enseignement (option)dédiée à la cosmétique, afin de répondre aumieux aux attentes des professionnels dusecteur. Avec cet accord, les étudiants parti-ciperont à des missions et projets (réalisationde veilles technologiques et scientifiques,

études de marché…) dans des conditionsréelles et avec un impact concret.

« Notre objectif est de dispenser une forma-tion d’excellence en ingénierie des biotech-nologies afin de subvenir aux nouveauxbesoins en compétences des entreprises ence domaine, explique Vanessa Proux, direc-trice de Sup’Biotech. Le partenariat avec laCosmetic Valley renforce cet objectif et nouspermet d’améliorer la formation théorique etpratique proposée aux étudiants en leur ga-rantissant de pouvoir évoluer sereinementdans l’avenir ».

www.cosmetic-valley.com

Sup’Biotech

Sup’Biotech s’associe à la Cosmetic Valley

L’école s’est rapprochée de l’université d’Evrysur la prometteuse thématique qu’est la bio-logie synthétique. Cette discipline permet laconception de systèmes biologiques issus dumonde vivant, mais avec des fonctions n’exis-tant pas dans la nature. La direction deSup’Biotech a signé un accord avec les responsables d’un nouveau master 2 lancé àla rentrée prochaine sur la biologie systé-mique et synthétique (mSSB). Avec ce parte-nariat, des étudiants de Sup’Biotech pourrontpostuler à cette formation pour la suivre en parallèle de leur 5e année, dans le cadredu cursus « Recherche Fondamentale » et obtenir ainsi un double diplôme à la fin deleur scolarité à l’école.

www.mssb.fr

Un nouveau partenariatacadémique

Sup’Biotech s’associe à l’Institut GustaveRoussy dans le cadre d’un partenariat avec lepôle Cancer Campus. Ce pôle entièrementdédié à la lutte contre le cancer a pour objec-tif de développer un « bio-cluster » (parc derecherche et d’innovations) pluridisciplinaireautour de l’Institut pour répondre à des en-jeux majeurs de santé publique, de rechercheet de développement économique. CancerCampus est reconnu pour son fort potentielen innovations médicales ainsi que pour sacapacité d’accueil des entreprises, des nou-veaux services et ses créations d’emplois.Déjà active en tant que membre associée ausein du pôle Medicen, également située à Vil-lejuif, l’école Sup’Biotech a souhaité au-jourd’hui mettre ses compétences au servicedu projet Cancer Campus.

En s’appuyant sur le cœur de métier del’école, la formation de cadres et d’experts enbiotechnologies, Sup’Biotech a proposé auxporteurs du projet cancer Campus, plusieursaxes de partenariat. L’école désire en effetdévelopper des modules de formations auxmétiers de l’ingénieur, adaptés aux étudiantsde l’école de cancérologie, de l’école docto-rale et de ceux de l’Institut de Formation Supérieure BioMédicale (IFSBM), présentessur Cancer Campus. De plus, des modules deformation sur des sujets transversaux pour-ront être mis en place pour tous les person-nels hospitaliers : management d’un projet derecherche clinique ou financement des essaiscliniques… L’apport d’expertise à destinationdes jeunes entrepreneurs de biotechnologiesimplantés sur la pépinière du Cancer Campussera également possible. Cette assistanceproposée par les étudiants de Sup’Biotech,via des stages professionnels ou bien fédérésau sein de la junior entreprise, constitue uneressource humaine facilement mobilisable.

www.cancer-campus.com

Partenariat avec Cancer Campus

Les bons résultats de la première promotionLes résultats de l’enquête professionnelle surla première promotion de l’école, diplômée en2009, s’avèrent satisfaisants et très encoura-geants, dans un contexte économique encorefragile.

> Le temps moyen de recherche d’emploi aprèsl’obtention du diplôme est d’un mois. Le salaire annuel brut moyen pour la promotion 2009 esttrès honorable avec une valeur moyenne de 33 000 €(le salaire le plus haut étant de 44 000 €/an).

> La répartition des postes parmi les secteursd’activité des Biotechnologies montre une do-minance du secteur de la santé (pharmaceu-tique, matériel biomédical…) pour cettepromotion : 2/3 des postes occupés

> Parmi les employeurs ayant recruté les pre-miers diplômés, les PME sont plus nombreusesque les grands groupes. Cela illustre laconjoncture économique actuelle, dans laquelle les grands groupes sont souvent enpleine restructuration.

> La grande majorité des diplômés occupentactuellement un poste en corrélation avec lesmajeures professionnelles proposées dans lesecond cycle de Sup’Biotech, le « cycle Exper-tise » : Recherche & Développement ou Marke-ting & Commercial.

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Epitech

Security Quest

La sécurité informatique est l’un des pointsforts du cursus Epitech, en témoignent le suc-cès des jeunes diplômés dans cette disciplineet les postes stratégiques qu’occupent cer-tains anciens. Ce savoir-faire est l’aboutisse-ment d’un enseignement pragmatique, dontfait partie le projet Security Quest : les étu-diants ont pour mission de récupérer des cer-tificats sur des machines de l’école oud’entreprises volontaires. Dans cet exercice,le niveau de difficulté est échelonné : certainspostes ne sont volontairement pas protégés,d’autres se trouvent derrière des pare-feux oudes proxys paramétrés pour l’occasion. Et cer-tains sont en théorie infranchissables. L’ob-jet de ce challenge est de mesurer la maîtrisedes étudiants face à des difficultés d’accès entous genres. Au final, ceux qui auront récu-péré le plus de certificats auront les meil-leures notes, graduées selon la difficulté.

Le challenge est encadré par la cellule d’ana-lyse de codes malicieux de l’école et par unecharte ratifiée par les élèves participants (res-pect des droits individuels et privés des per-sonnes, respect de la propriété des donnéesprivées). Les entreprises souhaitant tester leniveau de protection de leurs machines peu-vent s’inscrire sur le site de l’école et bénéfi-cier d’un audit gratuit de leur parcinformatique.

“Geek Me” sur Radio Activ’Exclusivement diffusée sur Internet, RadioActiv’ a vu le jour en 2005 grâce à un anciende l’ISEG Toulouse. Chaque mardi à 18 h lespassionnés de nouvelles technologies peu-vent partager leur passion pour l’informa-tique, une heure durant, en compagnie deVincent, étudiant à Epitech, accompagné deses camarades de promotion, Matthias, Gré-goire et Arthur. L’émission « Geek Me » a étécréée en octobre 2009 : en plus des rubriquesclassiques d’actualités de cinéma, de mu-sique et de jeux vidéo, un dossier est pré-senté chaque semaine, dans une ambiancedécontractée.

www.radioactiv.biz

« Viens créer ton jeu »

Epitech Paris a offert une chance unique à 50lycéens d’être accompagnés par une équipede spécialistes afin de concevoir leur proprejeu vidéo. Cet événement s’est déroulé dansles locaux de l’école, le week-end du 8 au 9mai, en partenariat avec le GameDevLab, lelaboratoire de développement de jeux vidéode l’établissement. Aucune notion de déve-loppement n’était requise et l’école a mis à ladisposition des sélectionnés des ordinateurs.Les créateurs en herbe ont pu ainsi mettre enforme leurs idées, grâce à un logiciel spécia-lement personnalisé pour l’occasion.

Journée d’initiation au développement web à Nantes

Le 23 avril, Epitech Nantes a proposé unejournée d’initiation au développement webouverte à tous. Domaine en pleine crois-sance, il constitue un point d’entrée verstoutes les autres disciplines de l’informa-tique. A travers cette initiation, qui ne de-mande aucune connaissance préalable, maisune passion certaine pour l’informatique,

l’école souhaite faire découvrir au plus grandnombre certains enjeux de la programmation.La journée était animée par des étudiants dedeuxième année et les professeurs de l’école.Les basiques du développement ont été abor-dés : mise en page avec HTML et CSS, le webdynamique avec PHP, les bases de donnéesavec MySQL…

Epitech Bordeaux a organisé une épreuve deprogrammation informatique les samedi 13 etdimanche 14 mars 2010, baptisée Codathlon.Cette épreuve consiste à créer un logiciel en24 heures et a mis aux prises six équipes ve-nues de toute la communauté bordelaise, re-présentant des écoles d’informatique de laville : Epitech, Epsi, Exia, Supinfo et le Cam-pus de Bissy.

Epitech a réussi le doublé cette année en rem-portant les deux premiers prix, catégories 1eret 2e cycle. L’objectif était de développer unesolution informatique pour une association,à vocation professionnelle. À la fin du week-end, les logiciels des deux meilleures équipessont placés sous licence GNU/GLP. Chacune

des écoles présente deux équipes de cinqétudiants, une pour chaque cycle. Une cou-verture en direct de l’événement a lieu sur lesite internet du concours.

codathlon.org

Codathlon 2010

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Une LAN party à StrasbourgLa première LAN party (soirée de jeux en réseau) a été organisée à Strasbourg, avecl’association Zilat, le week-end des 27 et 28mars : EpZiLAN. L’événement, ouvert à tous, a rassemblé plus d’une centaine de joueursde toute la région. Des lots d’une valeur totale de plus de 500 euros ont été distribuésaux vainqueurs des différents tournois.

Le concours Mobilife

Le concours MobiLife a été présenté à Epitechau cours d’une conférence organisée par leservice des Relations Entreprises, en septem-bre. La compétition proposait de créer uneapplication pour téléphone portable inno-vante, facilitant le quotidien. David Giardi etFlorian Bénéjean (promotion 2010) ont décidéde participer au concours, avec leur projet Ea-syCompta, qui permet de faciliter la gestiond’un budget pour un particulier. Ils ont été re-tenus pour la phase finale le 4 février dernier,parmi plus d’une cinquantaine de groupe.Bien qu’ils n’aient pas été primés, ce chal-lenge leur a permis d’affiner leur projet et denouer de précieux contacts.

www.mobilife2010.org

La Mêlée Numérique 14.0

Epitech Toulouse a participé activement à la14e édition du salon la Mêlée Numérique, quis’est tenu les 28 et 29 avril dans l’aggloméra-tion toulousaine. L’événement a réuni l’en-semble des acteurs, entreprises, structurespubliques concernées par le développementde l’économie numérique et de l’innovationdu grand Sud-Ouest. Trente-cinq étudiants del’école ont ainsi participé à l’organisation dela manifestation, profitant de l’occasion pournouer des contacts utiles. Le salon est orga-nisé par la Mêlée, une association qui fédèreles entités de l’économie numérique dans larégion Midi-Pyrénées, soit plus de 350 parte-naires et 4 000 entreprises. L’école a proposéle soir du 28 avril une rencontre avec les di-plômés et les anciens de l’école, autour d’uncocktail.

http://salon.meleenumerique.com

L.I.S.A. aux trophéeshandi-friends

En mars dernier, un groupe d’étudiants de lapromotion 2011 ont présenté L.I.S.A., leur pro-jet de fin d’études (ou EIP, Epitech InnovativeProject), encore en plein développement,pour la finale de la catégorie « Innovation »aux trophées annuels Handi-Friends. Ces prixrécompensent les initiatives d’établissementsd’enseignement supérieur destinées à favori-ser l’autonomie et l’intégration des étudiantsen situation de handicap.

L.I.S.A. est un projet qui permet de retrans-crire automatiquement un texte en languedes signes française (LSF). Les étudiants sontarrivés à la troisième place de leur catégorie,parmi plus d’une quarantaine de dossiers sé-lectionnés. « Avec notre projet, nous voulionsmontrer que nous nous soucions des pro-blèmes que rencontrent tout particulièrementles sourds et les malentendants, expliqueJosé Antunes, chef du projet. Nous sommesaujourd’hui accompagnés par la chaine TF1,après une rencontre au cours d’une confé-rence organisée par l’école en décembre der-nier. Notre intérêt est avant tout d’optimisernotre solution, pour répondre exactement àla demande des personnes sourdes, malen-tendantes ou qui désireraient apprendre laLSF. »

www.trophees-handi-friends.com

Les 24 h de Stan

Pour la première fois de son histoire, EpitechNancy participe le week-end des 22 et 23 maiaux 24 h de Stan, en collaboration avecl’école Sup’Est. Les 24 h de Stan sont unecourse de chars au plein cœur de Nancy. Deuxcontraintes sont imposées aux participants :les chars doivent être à traction humaine,sans moteur, poussés à la force des bras etêtre décorés selon un thème bien précis, quichange d’édition en édition.

Cette année, c’est la « nature sauvage » qui aété retenue comme sujet d’inspiration pourles chars. Le but principal des 24h de Stan estde se relayer pour pouvoir, du samedi 16h audimanche 16h, accumuler le plus de tourspossibles de la place Carrière à Nancy. Pas dedoute, l’événement demande une bonne dosede préparation et d'endurance ! Au total cetteannée, une trentaine d’écoles réparties en 24équipes participeront à la course. EpitechNancy et Sup’Est se sont associées pour pré-senter un char.

Lancée en 1966, la course a été initialementlancée par des étudiants de l’ENSAN (deve-nue ENSAIA) qui souhaitaient faire la promo-tion du bal de l’Agro : pendant une journéeentière, des étudiants se relayaient autour dela place Stanislas à vélo. Depuis, l’événementa bien évolué pour devenir aujourd’hui unrendez-vous incontournable de la vie étu-diante nancéenne. Autour de la course, denombreuses animations sont proposées enparallèle. Tout en conservant son esprit fes-tif, 40 000 visiteurs sont attendus cette année… dont de nombreux étudiants d’Epitech !

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EPITA DirectGouv

DirectGouv est un utilitaire facilitant l’accès àla salle de presse du site Gouvernement.fr.C’est un logiciel innovant développé par 6étudiants d’EPITA de 3e année du cycle Ingénieur, option MTI (Multimédia et Techno-logies de l’Information), notamment VianneyBriois et Arnaud Seperoumal, à l’aide destechnologies Adobe AIR. DirectGouv est disponible directement depuis le portail offi-ciel du gouvernement français, compatible etmultiplateforme. Il permet de rester informédes derniers communiqués de presse, desnotes aux rédactions, des interventions et de l’agenda du premier ministre. Le logicielest capable d’afficher du texte et des images,mais aussi de lire des flux audio et vidéo.L’utilisateur peut ainsi continuer à accéder àcertaines ressources déjà consultées lorsquesa connexion Internet n’est plus active.

Si l’application se destine avant tout aux mé-dias, elle intéressera également les citoyenssouhaitant s’informer en direct sur les actionsdu gouvernement. Véritable innovation, elleest l’une des premières générations d’appli-cations desktop, dont l’objectif est de servird’extension à un site ou à un service web.

www.gouvernement.fr/outils-web

Le prix Excellencia 2010

Le Prix Excellencia, Trophée de la Femme Ingénieur High Tech cofondé par l’EPITA, récompense de jeunes femmes dont le par-cours démontre un réel épanouissement tantscolaire, académique et professionnel quepersonnel. Cette année, il a récompensé Stéphanie Allassonnière de l’école Polytech-nique (catégorie recherche), Latifa Ailane deTelindus France (catégorie en entreprise) etJohanna Rousson de TELECOM Saint-Etienne(prix Excellencia des Jeunes). Elles ont reçuleur trophée le 30 mars lors d'une cérémonieà la Cité des Sciences et de l'Industrie deParis, à l'occasion de la journée Talents du Nu-mérique eSkills France 2010. L’ancienne mi-nistre Claudie Haigneré, présidente d’univer-science et de la Cité des Sciences, y a reçu un

prix d’honneur pour l’ensemble de son par-cours. Pour Joël Courtois, Directeur de l’EPITA,« le prix Excellencia promeut des femmes remarquables et, au-delà, a pour ambition, àl’heure des choix d’orientation, de présenterdes modèles à de jeunes filles intéressées parune carrière d’ingénieur high tech ».

www.excellencia.eu

Androïd

Du 14 au 16 avril, sur le campus de l'EPITA, 5étudiants et 1 enseignant-chercheur de l'Uni-versity College Dublin (UCD, Irlande) et 17étudiants de l'EPITA (dont 3 internationaux)ont développé 5 applications Androïd lorsd'un atelier intensif, sous forme de concours.Les applications ont été testées en temps réelsur simulateur et sur cinq téléphones mobilesHTC que Google a fourni à l'UCD. La sociétéBackelite a lancé l’atelier après une confé-rence inaugurale et a mis à disposition desétudiants une assistance à distance tout aulong des trois journées.

Plusieurs projets étaient en compétition : « Social match » pour des rencontres via lagéolocalisation, Twixi pour twitter un taxiavec géolocalisation, Offline CollaborativeText Editor(OCTE) pour partager des notessans être connecté à Internet, Keep Sponge-bob Alive un jeu basé sur la réalité augmen-tée et Easy notes, pour la prise de note avecpossibilité de synchronisation sur ordinateur.

Charles Vu, étudiant à l'EPITA en 4e année, acoordonné le projet OCTE : « Nous dévelop-pons une petite application visant à gérer untexte en collaboration. Nous sommes de plusen plus nombreux à ne pas emporter notrelaptop en cours et à entrer directement dans

notre smartphone les notes prises pendant lecours. Imaginons que nous soyons plusieursen cours à noter les propos de l'enseignant etqu’il n'y ait pas d'accès Internet. La sommede toutes ces prises constitue un cours complet : chacun possède une petite partie. »

Twixi, développée par des étudiants de 4e année (ING 2), est arrivée en tête : elle permet de tweeter un taxi dans un périmètrede 15 km pendant 30 minutes pour permettreà la voiture la plus proche d’appeler le clientavant de venir le chercher. Keep SpongebobAlive, le jeu intelligent permettant de faire sedéplacer les personnages dans un arrièreplan photographié est arrivé deuxième avecune interface graphique et sonore très abou-tie. Chaque membre des équipes gagnantesa reçu un téléphone offert par Samsung.

Durant la clôture de l’atelier, le président deBackelite s’est dit impressionné par l’ambi-tion des applications proposées et par le niveau que les équipes ont atteint en 2 joursde développement effectif. L’intégration d’au-tres nouvelles technologies, comme Twitter,a également été saluée par le jury, composéde membres de l’EPITA, de l’UCD et de pro-fessionnels.

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ESME SudriaSimulations d’entretiens

Le 25 mars, le service relations-entreprises de l’ESME Sudria et l'association de dévelop-pement du réseau des anciens, l’AIESME, ontorganisé un atelier pour proposer aux étu-diants de s’entrainer à passer un entretien derecrutement. Durant cet atelier, ils ont puavoir un retour et des conseils sur leur CV et leur façon de se présenter. Ces séances serévèlent très importantes pour la suite deleurs recherches de stage ou d’emploi et leurinsertion professionnelle.

www.aiesme.org

Le gala 2010

Le gala annuel de l’école s’est tenu samedi 3 avril dans les prestigieux salons Hoche à Paris. L’ESME Sudria et le BDE Fist’Up ontproposé aux invités quatre salons et quatreambiances différentes : un espace de détenteavec un groupe de jazz, un casino avec black-jack, poker et roulette, un bar lounge avecdes cocktails et une grande piste de danse.

Symposium R & D 2010

Cette année encore, l’ESME Sudria a organiséun symposium dont l’objectif était de faire dé-couvrir aux entreprises, aux étudiants del’école et à leur famille, les meilleurs projetsR&D de la promotion 2010. Organisé à l’imaged’un congrès scientifique, cet événement s’estdéroulé le mardi 20 mai 2010, dans les locauxde l'école. Ce fut l’occasion pour tous les étu-diants de 5e année de présenter leurs projetsinternes de recherche, parfois couplés à leur

stage de fin d’étude, et développés dans les laboratoires de l'école sous la responsabilitéd'enseignants-chercheurs ou de professeurs.

Au total, 12 projets ont été présentés au public pour les 4 départements de l’école : « Signal et Télécommunications », « Électro-nique, Mesures et Commande », « Informa-tique et Réseaux » et « Systèmes et Énergie ».

L’ESME Sudria Polo Team

Cette toute nouvelle association, qui vient devoir le jour a pour mission de rendre accessi-ble la pratique du polo et de promouvoir cesport au sein de l’école. Pour cela, de multi-ples actions seront menées durant l’annéescolaire, comme l’organisation de journéesd’initiation, la vente de polos ou d’autres pro-duits pouvant avoir un rapport avec ce sport.L’association organisera au moins une fois

par semaine un entraînement pour faire pro-gresser les joueurs de l’équipe. L’ESME-Sudria Polo Team participera aussi à des évè-nements importants, tels que le week-endd’intégration ou les différentes manifesta-tions organisées par le BDE et le BDS.

Lorsque L'ESME Sudria combat le skimming...

Voilà un projet captivant pour des élèves de5e année du département « Signal et Télé-communications » de l'ESME Sudria, qui sesont vus confier par l'Institut de RechercheCriminelle de la Gendarmerie Nationale(IRCGN) la responsabilité de développer unlogiciel d’analyse d’images magnéto-optiques de cartes bancaires, dont l’objectifest d’assister les experts de l’IRCGN dans leurlutte contre la fraude bancaire.

La technique du « skimming » consiste à récupérer les informations contenues sur unecarte bancaire lors d’un retrait d’argent audistributeur ou lors d’un retrait de carburant,à l’insu de la victime. Les criminels intervien-nent sur les distributeurs en y dissimulant dessystèmes de lecture de cartes. Ils utilisent en-suite ces informations pour encoder defausses cartes qui leur permettront de débi-ter le compte bancaire de la victime. Un sys-tème d’acquisition d’images magnéto-optiques a été développé à l’école Polytech-

nique, qui permet d’obtenir une image de l’in-formation magnétique présente sur une cartebancaire. L’IRCGN a confié aux élèves le trai-tement de ces images de façon à en extraire le maximum d’informations, et surtout les in-formations résiduelles dans le cas de cartesencodées illicitement. Alors que les premiersrésultats sont probants, les élèves travaillentactuellement au développement d’un algo-rithme qui puisse traiter le plus possible decartes effacées ou réencodées.

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Première victoire pourIPSA Kart

Jeudi 8 avril dernier, les membres de l’asso-ciation IPSA Kart ont remporté la victoire dansune course d’endurance organisée par desétudiants de l’ISG. Deux heures durant, sur lecircuit du BRK à Trappes, l’équipe de l’école adominé la course qui a réuni des équipagesde l’ISG, l’EPITA et l’ESSEC.

Mickael Bibaut, Sven Ferry, Christophe Lam-bert et Guillaume Mesnage ont pris 4 toursd’avance sur les autres participants. Cettevictoire a valu à l’équipe de se faire inviter

à la 15e édition des 24 heures de l’ESSEC les8 et 9 mai et qui a réuni de nombreusesécoles et universités.

http://ipsa.kart.free.fr

Conférence Safran

L’IPSA et l’association IPS’Action ont organisédans les locaux de l’école, le 3 mai dernier,une conférence avec M. Ventre, directeur général adjoint de Safran et président deClean Sky. Il est venu présenter aux élèves le Groupe Safran, un équipementier interna-tional de haute technologie, leader en aéro-nautique, défense et sécurité. Présent surtous les continents, le groupe emploie prèsde 55 000 personnes et a réalisé en 2009 unchiffre d’affaires supérieur à 10,4 milliardsd’euros.

IPSA Concept aux « Michelin X-Green Student Days 2010 »

L’association IPSA Concept a été conviée les17 et 18 avril à participer aux « Michelin X-green Student Days 2010 » qui se sont dé-roulés à l’intérieur du complexe de dévelop-pement de Michelin, sur le circuit de Ladoux àClermont-Ferrand.

Les membres de l’association y sont partispour valider les tout nouveaux composantsde la voiture sur laquelle ils travaillent. L’invitation a été l’occasion pour l’associationde présenter son véhicule et de faire des essais.

http://ipsaconcept.free.fr

Une première rencontre à Toulouse

Le 13 avril, l’IPSA Toulouse a organisé satoute première conférence. Franck Damaggio,ancien IPSAlien diplômé en 1981 et actuelle-ment directeur des programmes Boeing et Airbus A300/310 chez Thalès Avionics, aprésenté aux élèves son parcours après sasortie de l’école. Il a pu dispenser de précieuxconseils aux élèves avant qu’ils ne se lancentpleinement dans la vie active.

Premier vol d’essai pour un IPSAlien

Charles Donnefort, président de l’associationIPSA Green et aussi pilote de l’Associationpour la Promotion des Echelles Volantes, aréalisé le tout premier vol d’essai de l’ULMélectrique, la Demoichelle, sur la plate formede Voves-Viabon, dans l’Eure-et-Loir, le 11avril dernier. Il a pu réaliser un vol d’une quin-zaine de minutes.

http://ipsagreen.blogspot.com

IPSAUn nouveau site en 3D

L’IPSA, école supérieure de la passion de l’aé-ronautique et du spatial, a mis en ligne sonnouveau site web. Le site Internet, avec unecréation aérienne, est disponible en 3D ou enversion classique. Les visiteurs peuvent y découvrir l’établissement, ses cursus, ses locaux, des informations sur le secteur, desfiches métiers ainsi qu’une galerie photos surl’aéronautique entièrement en 3D. La Web TVde l’école, alimentée régulièrement, diffuseégalement de nombreuses vidéos : visite del’établissement, interviews d’élèves, de pro-

fesseurs ou d’intervenants, conférences del’école… Une rubrique est consacrée au secteur et aux métiers, à l’industrie, elle estouverte à tous les passionnés du ciel et del'espace. L’IPSA, version 2.0, c’est aussi unepage Facebook, un compte Twitter, uncontact MSN et la possibilité de suivre l’ac-tualité de l’école via son flux RSS.

www.ipsa.fr

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Le 29 mai, la deuxième édition de cette com-pétition sportive, ouverte à toutes lesGrandes Ecoles et Universités, se tiendra austade Charléty à Paris, sous le parrainage deStéphane Diagana, ancien champion dumonde du 400 mètres haies, pour ladeuxième année consécutive .

Au programme : un décathlon, de l’athlé-tisme, du football et aussi un concours de la meilleure mascotte et des plus vaillantssupporters.

Pour se préparer au mieux, le BDE de Ionis-STM organise chaque mercredi soir des entrainements sportifs.

www.cdmge.com

es > au cœur des écoles > au cœur des écoles > au cœur de

IONIS Tutoring

IONIS Executive Learning

Juste avant la reprise des cours, des stagesintensifs se déroulent dans les agences IONISTutoring. D’une durée de 6 à 12 jours et à des-tination des collégiens et lycéens, ces courssont encadrés par des coachs-enseignants,spécialisés dans la ou les matières qu’ils enseignent. L’effectif, par groupe, est limité à8 élèves, qui ont la possibilité de choisir de

réviser une ou plusieurs matières. Solutionidéale pour bien démarrer l’année, ces stagespermettent de reprendre le rythme après lesvacances et d’aborder ainsi sereinement lanouvelle année scolaire.

Pour plus de renseignements : 01 47 04 20 00

ou www.ionis-tutoring.fr

Les stages de pré-rentrée

Décrypter les grandesmarques

IONIS Executive Learning a choisi pour sonsixième petit-déjeuner/table ronde d’aborder« les secrets génétiques des grandes marquespour décoder le passé pour anticiper l’avenir ».

Parmi les intervenants : Nicolas Levêque, directeur marketing de Lancia France, Carlos-A. Rosillo, président fondateur de Bell&Rosset Frank Tapiro, président de l’agence Hémi-sphère Droit et auteur du livre « Pourquoi lavache qui rit ne pleure jamais, et autre secretsgénétiques des grandes marques ».

Le Challenge du monde des Grandes Écoles et Universités pour la deuxième année consécutive

Ionis-STM

Soirée portes-ouvertesspéciale formation continue

L’ISG et IONIS Executive Learning organi-saient le 27 avril, une soirée destinée aux pro-fessionnels qui souhaitent se reconvertir,évoluer à leur poste ou assurer leur employa-bilité. Cet évènement était l’occasion pour les deux entités de présenter l’ensemble deleur offre en formation continue. Pour l’occa-sion, Michael Tapiro, directeur des pro-grammes d’IEL, est intervenu lors d’uneconférence-débat sur le thème « évolutionprofessionnelle, reconversion : quelle forma-tion choisir ? »

Les soirées networking

Durant les mois d’avril et de mai, Ionis-STM aouvert ses portes aux entreprises souhaitantvenir à la rencontre des étudiants. Une heuredurant (20 minutes de présentation et 40 minutes d’échange avec les étudiants), pro-fessionnels et prospects ont la possibilité de partager avec les élèves de l’école. Parti-culièrement appréciée des étudiants, cettemanifestation leur permet de développer leurréseau professionnel et de rencontrer des entreprises de renom, représentatives de ladiversité des métiers et secteurs auxquelsforme l’école.

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e-artsupUn atelier pendant les vacances

Pendant les vacances de Pâques, les étu-diants de première année se sont réunis autour du typographe et professeur DavidLaranjeira, pour un workshop de recherche devisuels et de typos sur des acronymes utilisésdans les jeux vidéos pour la marque Micromania. Il s’agissait de plancher sur unecampagne d'affichage pour expliquer auxparents, et aux amateurs de jeux, la significa-tion des acronymes des jeux en question etpromouvoir l’enseigne. À l'issue de cette semaine de travail, un jury composé des 4e et5e années s’est réuni pour juger des travaux.La « compétition » était organisée sous formede poules : une « battle typo ». C’est l’équipecomposée d’Alexandre Besnard, Alix Des-bourdes, Alexandre Dupré, Robin Jeanney etRomain Sentenac, qui a finalement remportél’épreuve.

L’école lance sa première série de tutoriaux

Depuis début février, l’école a mis en ligneune vingtaine de tutoriaux sur les logicielsd’animation et de motion design, encadréspar Matthieu Colombel motion design direc-tor chez TBWA et directeur de la filièreDesign Motion/Animation d’e-artsup.

Ces tutoriaux, destinés aux passionnés decréation numérique et d’animation, sont ac-cessibles à tous ainsi qu’aux élèvesd’e-artsup de toutes les promotions, commecomplément de cours. Ils permettent d’ap-préhender de façon pratique les outils et lesplug-ins les plus intéressants de 3 logicielsphare : After effects (édité par Abobe), Flash(Adobe), 3ds Max (Autodesk). Ils se présen-tent sous forme de vidéos d’une dizaine deminutes, la voix off de l’enseignant guidantl’utilisateur pas à pas.

La filière Design Motion/Animation d’e-artsupa pour vocation de former les directeurs artistiques de demain, qui intégreront « lemonde de la communication qui désormaistravaille à 360° et 365 jours par an » selonl’expression de Nicolas Bordas, président deTBWA. Cette filière prépare donc ses étu-diants autant à la direction artistique qu’à lamaîtrise des technologies d’animation numé-riques nécessaires à l’expression des cam-pagnes, qui se déclinent aujourd’hui sur tousles formats d’écrans.

La première série, constituée de 20 tutoriaux,en ligne le 10 février, a été réalisée par les enseignants de la filière Design Motion et Animation de l’école : Olivier Thiébaut,

animateur 2D est également animateur 3D senior chez Vivendi Universal, Ricardo Gala-bru est graphiste et animateur free-lance,membre du collectif Poisson Crew, YoannCurt, motion designer indépendant, VincentBen Abdellah est motion designer chez TBWA,Guy Grember est designer plasticien et Mat-thieu Colombel.

http://tutos.e-artsup.net

> www.iseg.fr <

> www.isg.fr <

> www.ics-begue.com <

> www.isth.fr <

> www.isefac.org <

> www.epita.fr <

> www.esme.fr <

> www.epitech.eu <

> www.ipsa.fr <

> www.supbiotech.fr <

> www.e-artsup.net <

> www.ionis-stm.com <

> www.ionis-tutoring.fr <

> www.ionis-el.com <

> www.etna-alternance.net <

Bienvenue dans les écoles du Groupe IONIS

u cœur des écoles > au cœur des écoles > au cœur des école

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IONIS Education Group

es > au cœur des écoles > au cœur des écoles > au cœur de

Depuis 3 ans, IONIS Education Group est par-tenaire de l’Etablissement Français du Sang(EFS) et soutient ses actions.

Créé le 1er janvier 2000, l’Etablissement Français du Sang est l’opérateur unique de latransfusion sanguine en France. Le don dusang est régi par quatre grands principeséthiques : l’anonymat, le bénévolat, le volon-tariat et le non-profit. La transfusion sanguineest indispensable, notamment en cas demanque de globules rouges ou blancs, de plaquettes et dans le traitement de nom-breuses pathologies. La régularité du don estun enjeu pour garantir l’autosuffisance natio-nale en produits sanguins et pour répondreaux besoins des malades. Donner son sangest un acte solidaire permettant de sauverdes vies.

Le lundi 14 juin 2010, aura lieu la Journée Mondiale des Donneurs de Sang. Initiée parl’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en2004, le rendez-vous a pour objectifs :

> d’inviter tous les pays du monde à remer-cier les donneurs de sang,

> de promouvoir le don volontaire non rémunéré,

> d’assurer la sécurité des approvision-nements en sang pour tous.

Pour répondre à cet appel et en savoir plus le site de la manifestation, invite les inter-nautes à participer à un concours de mobili-sation. Un blog, ainsi qu’une page Facebookdédiés sont déjà en ligne. Dans chaque villedes actions sont organisées sur les lieux decollecte habituels de l’EFS ainsi que sur dessites mobiles. L’évènement se déroulant cetteannée un lundi, chaque village sera aménagépour permettre au plus grand nombre devenir participer à la manifestation. Différentesactivités viendront donc rythmer les phasesde la journée, de la sortie scolaire à « l’afterwork ».

Pour plus de renseignements :

www.jememobilise.fr

www.dondusang.net

IONIS Education Group, partenaire de l’Etablissement Français du Sang

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Ce dixième numéro du IONIS Mag, numéro estival, marque d’une certainemanière la fin de l’année. Nous ne voulions pas décerner de prix, ni joueraux palmarès ou aux classements, car nous vivons suffisamment ces pressions toute l’année, avec son lot d’approximations et d’erreurs.Une école, c’est avant tout une savante alchimie entre ce qui demeureet ce qui change. Entre des fondamentaux pédagogiques qui traduisentl’ambition et des idées qui permettent de donner à son quotidien plusd’intérêt, de nouveauté, de sens de la découverte ou l’envie d’entreprendre.Nous avons ausculté l’ensemble de nos écoles et nous avons déterminéles meilleures idées. Nous voulions des idées neuves, des initiatives quifont progresser nos étudiants, des concepts qui donnent de la modernitéà la pédagogie et font davantage vivre nos établissements. Des idéesqui stimulent nos acquis, fortes, remarquables et innovantes. Naturel-lement toute sélection est subjective, incomplète, voire contestable.Mais nous avons acquis quelques certitudes au cours de ce périple ausein de nos écoles. La première c’est que le dynamisme d’une école consiste vraiment enune difficile symbiose entre la nécessité de maintenir un cap et la capa-cité à s’éloigner vers des rivages inconnus. La seconde, c’est que touteécole est capable de trouver de grandes idées, mais que la barrière àsurmonter est celle du passage à l’acte, de la mobilisation aux premierspas. La troisième, la plus rassurante, c’est la fierté d’avoir rencontréquelques idées, novatrices, passionnantes, dignes d’un groupe qui affirme depuis longtemps sa volonté de former « la Nouvelle Intelligencedes entreprises ». Enfin, nous avons constaté la véracité toute simplede cette morale : mieux vaut une petite idée réalisée, qui fait son chemin,qu’une idée exceptionnelle qui reste lettre morte…

idées, idées,idées !

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* 30 bougies pour 30 projetsISEGAfin de célébrer les 30 ans de l’école qui ont lieucette année, tout en mettant à l’honneur l’espritd’entreprendre, l’ISEG a organisé un concourspour aider des projets étudiants à se concréti-ser. Le concours s’adressait à tous les étudiantsactuels et aux anciens des 3 dernières promo-tions. Ils ont présenté des projets ambitieux etréalistes qui ont besoin d’un financement pourse réaliser, dans tous les domaines possibles.Les gagnants ont été dévoilés lors de la cérémonie du 30e anniversaire de l’ISEG et lesrésultats sont plus que remarquables, avec prèsde 140 dossiers présentés.

http://30projets.iseg.fr

Lipdub ISEFACAlors que de nombreuses écoles, institutions ou en-treprises rivalisent d’imagination pour leur lipdub,les étudiants de l’ISEFAC ont su se faire remarquer.Les étudiants de 3e année en communication ontainsi mis au point une séquence habilement réali-sée, imaginée par leurs soins, assistés d’une équipede Canal+. Cet exercice fut l’occasion de montrerleur créativité, leur sens artistique et transmettre à l’ensemble de leurs camarades l’engouement et l’attachement qu’ils ont pour leur établissement.

http://www.youtube.com/watch?v=FpPiYqugJ5I

« Ils font avancer la re-cherche » Sup’BiotechLa recherche et les scientifiques souf-frent parfois d’un manque de compré-hension quant à leurs activités. Afin de mieux les faire connaître et sensibi-liser les étudiants et le grand publicaux enjeux de la biologie médicale,Sup’Biotech et l’Institut Pasteur sesont associés pour créer un site sur lequel des portraits vidéo de cher-cheurs sont diffusés.

http://pasteur.supbiotech.fr

Un projet d’orphelinat à Haïti ISGAurélie Saint-Pierre, étudiante haïtiennede l’ISG a lancé un appel à la solidaritélors de la cérémonie de remise des diplômes de l’école, en janvier, au lende-main du séisme. Avec des mots forts et émouvants, elle a présenté son projetde création d’une association pour aiderles orphelins d’Haïti, avec l’appui de l’association des Anciens BBA et MBA del’ISG. Depuis, la mobilisation s’est élargieà l’extérieur de manière remarquable.

Pour faire un don à cette association,

pour aujourd'hui mais aussi sur le long

terme, contactez : ISG International

Alumni, 45 rue de Spontini, 75116 Paris -

[email protected]

Epitanime EPITADepuis 18 ans, l’association Epitanimede l’EPITA propose chaque année, unrendez-vous incontournable pour lesfans d’animation japonaise. Ce festival,au début de l’été, se tient dans les locaux de l’école : projections,concours, animation… L’année der-nière, plus de 7 000 personnes étaientprésentes à la convention Epitanime.Elle s’est imposée en quelques annéescomme l’une des manifestations natio-nales de référence sur le sujet.

www.epitanime.net

* La manièredont ces ini-tiatives sontprésentéesne reflète enrien un quel-conque clas-sement.

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« Tous en route » ISEGIntégrer une école de commerce nese limite pas qu’à suivre des cours :c’est aussi un engagement et de l’activisme. Début avril, les étudiantsde l’ISEG Toulouse participent ainsi à des journées de prévention routièreà destination de plus de 600 élèvesd'écoles élémentaires de la région,en partenariat avec l’associationBuggy Brousse. Deux jours durant, ils animent des ateliers, place de l'Europe à Toulouse, en associationavec la Maison de la Sécurité Rou-tière et la Mairie.www.tousenroute.com

EIP Light Vision EpitechLes projets de fin d’études peuvent dépasser le sim-ple cadre scolaire et se transformer en véritables in-novations. Dans le cadre des Epitech InnovativeProject (EIP), étape principale du cursus de l’école,un groupe d’étudiants a mis au point une paire delunettes destinée à contourner la dégénérescencemaculaire liée à l'âge (DMLA). Cette dégradationprogressive de la partie centrale de la rétine entraîne une perte du centre de la vision et toucheprès de 1,5 millions de personnes en France.

Management et développementdurable IELLes métiers du développement durable sont en pleine explosion. Aucune formation jusqu’alors ne préparait à ces derniers sous l’aspect du management. IONIS Executive Learning et l’ISG proposeront ainsi à la rentréeprochaine un MBA innovant, à raison d’un module de 3 jours par mois sur 15 mois, à tous les professionnels en activité sur le thème du management opérationnel etdu développement durable.

Darketing ISGSuivre l'actualité littéraire du marketing et de l'éco-nomie est le défi relevé par Darketing, une web-émission proposée par l’ISG, Darkplanneur le site« observatoire du monde contemporain » et le magazine « Stratégies ». Le programme en est déjàà son dixième numéro et a donné la parole à des invités prestigieux, comme Nicolas Bordas, prési-dent de TBWA/France ou Nicolas Riou, fondateurde la société d'études marketing et de planningstratégique, Brain Value.

www.darkplanneur.tv/index.php/tv/Darketing

Création du Ciné ClubISTHFondé par une équipe d’enseignantsde l’école, le club est une réponse auxdemandes récurrentes de nombreuxétudiants. Chaque vendredi soir, unfilm en rapport avec les programmesdes classes préparatoires est diffusédans les locaux de l’école. La projec-tion est suivie d’un débat avec la salle.La programmation fait le choix d’ex-plorer non seulement le cinéma euro-péen et américain, mais aussi celui decultures plus lointaines. Cette initia-tive est une vraie plus value culturelleet un beau moment de partage.

Une table de photothérapieESME SudriaInnovation mondiale, le département « Electro-nique et Mesures » de l’école, dirigé par M. Tou-seau, a présenté la première table de photo-thérapie avec différentes couleurs (ou longueursd’onde) au monde, chacune des 18 000 leds decouleur ayant une propriété (ou une couleur)thérapeutique. Elle permet de soigner les problèmes de peau et est déjà utilisée dans uncabinet de médecins parisiens. Bientôt produiteindustriellement, la table a déjà donné lieu audépôt de plusieurs brevets.

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e 43Le « flash mob » lyonnais

ISEGAvec plus de 150 personnes parties pre-nantes d’une chorégraphie géante enplein cœur du centre commercial la Part-Dieu, le 11 mars, les étudiants del’ISEG Lyon ont réussi un joli coup. Ilsont organisé un « flash mob » (ou ras-semblement éclair) qui fut largementrelayé dans la presse régionale. L’opé-ration, montée dans le cadre de la valeur ajoutée de l'école, « économiedes arts et des biens culturels », a constitué un exercice original de management de projets et une mise enpratique des cours plutôt décalée.

IPSA Green IPSAEn application directe des cours dispensés à l’IPSA, l’association IPSA Green combineà la fois l’intérêt de la conception et de la construction d’aéronefs. Elle regroupe desélèves qui conçoivent, construisent et réalisent des essais avec le Buselec 2, un mo-toplaneur ULM biplace entièrement motorisé. Ils ont pour objectif que le coût d’uneheure de vol ne dépasse pas 1 euro. Ce projet est soutenu par la Fédération Françaisede Planeur Ultra-Léger-Motorisé et permet de faire avancer la recherche dans le domaine des moteurs électriques en aviation, un secteur encore assez peu exploré à ce jour.

http://ipsagreen.blogspot.com

Liberation.fr e-artsupPour Peter Gabor, directeur d’e-artsup et professeur de typographie, une école de création numérique qui ne s’in-téresserait pas aux médias ni aux systèmes d'informationne remplirait pas totalement sa mission. En partenariatavec « Libération », il a offert la possibilité aux élèves de sepencher sur le nouvel habillage du site de l’un des princi-paux quotidiens français d’information. Et depuis la fin janvier le portail arbore une nouvelle maquette, fruit de la réflexion de trois élèves de 5e année encadrés parPeter Gabor qui ont su convaincre et se faire remarquer.

www.liberation.fr

Les « Week-ends de la réus-site » IONIS TutoringPour faire le point, préparer au mieux le bacca-lauréat et savoir accélérer le rythme des révisionsavant l’échéance, IONIS Tutoring lance des sessions complètes d’entraînement, totalementnovatrices. Ces « Week-ends de la réussite »,destinés aux élèves de Terminale un mois avantl’examen, consistent en des séances intensivesqui permettent de passer en revue les notionsfondamentales du programme et de multiplierainsi les exercices en temps limité.

Les Cafés Métiers ISGAfin de faire découvrir une profession ou un secteur aux élèves de l’ISG, grâce à l’inter-vention d’un Ancien, ces rendez-vous men-suels sont organisés depuis la rentrée parl'association des Anciens élèves et l’école. Les étudiants ont notamment pu rencontrerFrançois Humblot, président d’Humblot-GrantAlexander et membre de la commission « Nou-velles Générations » du Medef, à propos du recrutement, ou Olivier Chaussy, de la direction synthèse & pilotage des Banques Populaires, au sujet des métiers de la finance.

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Prologin EPITANée en 1992 de l'initiative d'étudiants de l'EPITA et del'école Polytechnique, l'association Prologin proposeun concours éponyme afin de sensibiliser les jeunesaux métiers de l'informatique. L’épreuve est ouverteaux étudiants de moins de 20 ans. Leur capacité à ré-soudre des problèmes d'algorithmique y est mise àl'épreuve au cours de plusieurs étapes de sélection.La finale est une rencontre atypique de trente-sixheures, au cours desquelles les participants doiventfaire face à un sujet d'intelligence artificielle avant de faire s’affronter leurs champions, le tout dans uneambiance très festive.

www.prologin.org

Aux sources du code EpitechL’informatique reste encore un sujet encore trop peu étudié au lycée. Afin de sensibiliser les lycéens, les avertir sur les questions de sécurité sur Internet et éveiller leur passion, ce concours organisé par Epitech Montpellier en partenariat avec HP, LCL et Sis Technologiesinvite les participants à plancher sur la réalisation d’un programme informatique destiné àcrypter un message court. De janvier à mars, près d’une centaine de lycéens s’y sont inscrits.

www.sourcesducode.epitech.eu

La norme « Handi-accueillant » ESME SudriaTous les organismes quels qu’ils soient, seront très prochainement habilités à recevoir le titre de structures « Handi-accueillantes », certifié parl’AFNOR. Hervé Laborne, directeur de l’ESME Sudria et responsable du groupede travail handicap au sein de la CGE, a fait partie du groupe normatif de réflexion sur cette nouvelle certification qui valide les dispositions prises enmatière d’accueil des personnes handicapées.

Les Innovantes ISEGA l’ISEG Lille, l’esprit d’entreprendre n’est pas seulement une valeur, maisune mise en pratique. Imaginé par l’école en partenariat avec la Confédé-ration générale des petites et moyennes entreprises (CGPME), le concoursLes Innovantes, en place depuis deux ans, récompense les meilleurescréations d’entreprises. Cette année, c’est la société Biotex, pour son concept qui favorise l’utilisation de fibres végétales textiles, qui a étédistinguée. Elle a reçu une dotation de 3 000 euros et l’accompagnementde la CGPME pour une année.

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Dail’ISEG et « Just’in time » ISEGDévelopper la polyvalence des étudiants et leur goût pour l’information en leurdonnant des moyens fait aussi partie des missions d’un établissement d’ensei-gnement supérieur. Depuis la rentrée, deux nouveaux médias ont ainsi fait leurapparition à Strasbourg : Dail’ISEG et « Just’in time ». Le premier est une webradio sur laquelle on parle d’actualité, de sport, de musique et de culture.Le second est un magazine bimestriel éclectique. Les deux ont été imaginés et sont animés par les étudiants de l’ISEG.

http://dailiseg.blogspot.com

détails et inscription sur www.lille.iseg.fr

en partenariat avec

7000 €

à gagner

LES INNOVANTES

en n paaravve

L I L L E

challenge de création d’entreprise

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Web@cademie EpitechBien qu’il existe des initiatives pour permettreaux jeunes ayant décroché du système scolairede reprendre des études, aucune jusqu’alorsne proposait une formation aux métiers duweb, un secteur dont il reste pourtant de nom-breux postes à pouvoir chaque année. Epitech,en partenariat avec l’association Zup de Co ontainsi lancé une nouvelle école destinée à cesjeunes sortis du système, passionnés par leweb et l’informatique. La première promotion,composée d’une cinquantaine d’étudiants, a débuté les cours au mois d’avril.

www.zupdeco.org/web-academie

Le site de l’école en 3D IPSADepuis le mois d’avril, le site de l’école supérieure de la passion de l’aéro-nautique et du spatial, est disponible en version en 3D. Ce portail est l’un despremiers de l’enseignement supérieur accessible de la sorte. Il ne peut que ravir les amateurs d’air et d’espace. Il contient notamment une galerie dephotographies en relief.

www.ipsa.fr

Brest Express ISEGPour sensibliser à la protection de l’environnement et à laprotection du patrimoine, des étudiants de l’ISEG Nantes,via l’association Brest Express, organisent depuis 3 ans, unecourse à vélo le long du canal de Nantes à Brest, dans lecadre de la valeur ajoutée « littoral et environnement ». Pen-dant une semaine, ils parcourent les 364 km de la voie na-vigable à la rencontre des habitants de la région. Annéeaprès année, l’événement prend de plus en plus d’ampleur,en témoigne son écho médiatique grandissant.

www.brestexpress.fr

http://blogs.ionis-group.com/iseg/nantes/2010/05/

brest_express_des_courbatures_et_que_du_bonheur.html

Les tutoriaux en ligne e-artsupParce qu’élargir son audience et diffuser la connaissance constituent des missions des établissements d’enseignement, e-artsup propose depuisle début de l’année une série de tutoriaux sur les logiciels d’animation et de motion design. Dirigés par Matthieu Colombel, motion design directorchez TBWA, directeur de la filière Design Motion/Animation de l’école et ancien élève d’e-artsup, ces programmes, destinés aux passionnés de création numérique et d’animation, sont accessibles à tous gratuitement.Ils permettent d’appréhender de façon pratique les outils et les plug-ins lesplus intéressants de 3 logiciels phare : After Effects, Flash et 3ds Max.

http://tutos.e-artsup.net

Ordi 2.0 EPITAUne école possède aussi desdevoirs vis-à-vis du territoirequi l’accueille. C’est pourquoil’EPITA est la première école aavoir signé la charte d’adhé-sion à Ordi 2.0 (Plan FranceNumérique 2012 de la Déléga-tion aux Usages d’Internet), unprogramme de collecte et deredistribution d’ordinateursrénovés pour faciliter l’équipe-ment à bas prix des publics en difficulté économique ainsique des établissements sco-laires. Pour l’heure, plus de 250 ordinateurs ont déjàété rénovés par des étudiantsde l’école et offerts à des collèges et lycées du départe-ment.

www.ordi2-0.fr

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IDEES Madagascar ESME SudriaChaque été depuis 1994, les bénévoles de l’association IDEES Madagascar de l’ESME Sudria s’envolent vers Madagascar pour des projets visant à amélio-rer les conditions de vie et d’hygiène des habitants du pays. Ils ont notammentconstruit une école, participé à l’électrification d’une ville de 3 000 personnes et permis à plusieurs réseaux d’eau potable de voir le jour.

Ouverture de la filièreénergie Ionis-STMLe domaine de l’énergie est un pour-voyeur de métiers d’avenir et un sec-teur porteur. Pourtant, il n’existaitjusqu’à présent aucune formationdouble-compétence mélangeant ingé-nierie et management sur le sujet.Forte de son succès dans les filièresinformatique et biotechnologies,Ionis-STM a donc décidé d’ouvrir à larentrée 2010 une nouvelle filière MBAen management des métiers del’énergie, afin de préparer au mieuxses étudiants aux nouvelles attentesdes entreprises.

Studyvores ISEGSavoir ce que mangent les étudiants est une donnée im-portante qui participe à leur épanouissement dans debonnes conditions. Afin de mieux comprendre ce qu’ilsconsomment et dans quelles conditions, les étudiantsde l’ISEG et de l’Institut Polytechnique de Bordeaux ontlancé un blog permettant de suivre l’alimentation d’unpanel composé d’étudiants dont les écoles sont éloi-gnées des restaurants universitaires. Le projet a vu lejour à l’occasion de la Semaine du Goût qui s’est tenueen octobre.

www.studyvores.com

Le 2 février 2010 de 8h30 à 13h30Athènes Services 8 rue d'Athènes - 75009 Paristél. 01.44.53.15.06

9h15 - 10h45 > Table ronde 1

La médecine personnalisée11h15 - 12h45 >Table ronde 2

Information génétique et éthique

TESTS GÉNÉTIQUES

Conférence animée par Anne Pezet, journaliste, Usine Nouvelle

Quel sera l'impact des informations génétiques sur la vie quotidienne ?

Promesses Dérives

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Conférence Tests Génétiques Sup’BiotechEn février, Sup’Biotech a organisé une conférence pour faire le point sur les tests génétiques. Deux tables-rondes se sont intéressées à la médecine personnalisée et à l’information génétique et l’éthique. Plus de 100 personnes y ont participé et ce rendez-vous fut l’occasion de pré-senter les résultats d’une étude menée par des étudiants de l’école sur l’impact des tests génétiques humains dans la médecine de demain(retrouvez le compte-rendu sur le site de l’école).

www.supbiotech.fr

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Il fut difficile de trancher parmi les nombreuses initiatives qui germent et se concrétisent dans nos établissements. Puisqu’une sélection est arbitraire et non-exhaustive, nous aurions aussi souhaité parler d’autresidées, tout aussi innovantes et remarquables. L’ESME Sudria combat le « skimming », IPSA Technologies, France IOI(EPITA), l’Association EPITA de Developpement Durable, Air radio (EPITA),un logiciel de réalité virtuelle (Epitech), Hole in Wine (ISEG), la Fête desArts de Toulouse (ISEG), une rencontre intergénérationnelle (ISEG), ATRISEG(ISEG), Flex’ISEG (ISEG), le Jeudi Bleu (ISEG), Reading Weeks (ISEG), ModaDomani (ISG), le 4 L Trophy, les Soirées Internationales (Ionis-STM), le Codathlon (Epitech), IONIS en veille contre le sida, le Festival Globule…Rendez-vous à la rentrée prochaine pour bien d’autres initiatives encoreplus remarquables. Véritables étincelles, elles sont le poil à gratter quioblige à ne pas se reposer sur ses acquis.

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Former la nouvelle intelligence des entreprises. Voilà bientôt 30 années que le Groupe IONIS, cherchant à faire la part entre lesavantages et les limites du modèle « à la française », a installé sa vision d’une pédagogie destinée à conduire ses étudiants auxpostes clés de l’entreprise et à leur insufflerl’esprit d’entreprendre. Savoir s’adapter auxmutations de la société et du monde éco-nomique constitue un défi qui nécessiteune remise en cause permanente.Fort d’un réseau de 60 000 Anciensélèves, IONIS Education Groupcherche au quotidien à mettre le sens de l’initiative au cœur desa pédagogie et de ses cursus.Parmi ses nombreux Anciens,certains ont su transformer uneidée ou un concept en société.Chaque année, ils imaginent, développent et donnent nais-sance à des entreprises qui fontla renommée et la fierté du premier groupe françaisd’enseignement supérieur privé. Et certains avant même d’avoirfini leurs études. Rencontres avec ces entrepre-neurs.

portraitsd’entrepreneurs

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Quentin Clarisse et Maxime Delgrange - ISEG 06 - ont fondé reve-prive.com, une société de concourspayantswww.reve-prive.com

Le concept

L’idée nous est venue en décembre 2008,lorsqu’un Autrichien avait mis en vente sa maison sous forme de loterie, avec 10 000tickets à 100 euros ; il avait fait un carton.Nous trouvions que c’était une super idée etqu’il fallait l’importer en France. Nous noussommes renseignés auprès d’avocats quinous ont expliqué que la loterie en France relevait du monopole de la Française desJeux. Nous avons cherché une solution etnous avons alors pensé aux concours : la plu-part des jeux, que l’on voit à la télévision ouailleurs, sont sous forme de questionnaires etfonctionnent très bien. Nous avons opté pourdes quizz, et pour qu’ils soient légaux, nousles chronométrons au millième de secondeprès.

Les participants doivent s’acquitter d’un droitde participation et c’est le plus rapide à répondre qui gagne. Il est aussi possible des’y inscrire gratuitement, grâce au parrainaged'amis ou encore grâce aux concours gratuitsqui permettent de remporter des crédits (et donc de ne pas avoir à acquitter les fraisd'inscription). Nous avons monté la sociétéen juillet 2009 et mis le site en ligne le 25 septembre.

Nous travaillons avec des voyagistes, desagences événementielles, des concession-naires… En termes de trafic, cela monte cres-cendo : 140 000 visiteurs depuis la création.

Le stage le mieux payé du monde

Nous proposons des biens haut de gamme,comme des véhicules ou des voyages de prestige. Et nous offrons actuellement le « stage le mieux payé du monde », à raisonde 10 000 € par mois pendant 3 mois, pour unposte en marketing dans notre équipe.N’étant pas spécialisés dans ce domaine,nous nous sommes dits autant utiliser notreplateforme. Pour postuler, les étudiants doivent payer 4,90 € pour pouvoir participerau concours et ensuite avoir accès à un quizd’une heure sur le marketing.

Avec mon associé, nous avions dès l’originecet esprit entrepreneurial. Avec nos différentsstages, nous avions la volonté de créer notrepropre structure. Nous nous sommes lancéstrès vite. Tout dépend du développement de reve-prive.com, mais nous avons d’autresprojets sur lesquels nous réfléchissons. Si nous pouvons continuer à développer deschoses, nous continuerons, d’autant plus que cette première expérience nous a apprisà savoir ce qu’il faut faire et ne pas faire.

L’ISEG

La cinquième année de l’ISEG nous convientparfaitement pour pouvoir développer notreactivité, car nous avons du temps. Les coursde création d’entreprise nous ont été trèsutiles pour nous aider dans les démarches à effectuer, plutôt que de partir sans notionspréalables.

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Comment vous êtes-vous lancé dans l’accompagnement à l’écriture web ?

Pendant 10 ans, j’ai fait de la vente à l’étran-ger, notamment en Angleterre et aux Etats-Unis. Quand je suis rentré en France, j’ai crééune filiale pour un groupe américain ; une expérience que j’ai répétée trois fois de suite.A près de 50 ans, je voulais passer à autrechose, autour de l’écriture. Pendant 30 années, j’ai lu de nombreux livres d’entre-prises, dont beaucoup que je n’ai pas termi-nés car je ne les trouvais pas très distrayants.Mon idée initiale était de publier des livres surles entreprises qui soient à la fois informatifset qui fassent passer un bon moment. J’en aiécrit six, mais cela me prenait beaucoup detemps et était une activité assez peu renta-

ble. J’ai gardé mon envie d’écrire et je me suis progressivement orienté vers du conseil surla manière de se présenter par écrit sur Inter-net. Je m’adresse essentiellement aux consul-tants et aux entreprises de conseil.

Quelles sont les spécificités de cette écri-ture ?

Il faut savoir être concis et direct. Il y a l’écri-ture qui fait que l’on comprend vite et bien et qui donne envie d’être rencontré. Ledeuxième aspect, un peu plus technique,consiste à connaitre un certain nombre dechoses qui participent au bon référencementdans les moteurs de recherche, comme lesmots-clés. L’écriture doit d’abord être un outilde communication efficace. Etre repéré par

les moteurs de recherche est un facteur important, mais cela ne doit pas se faire audétriment de la qualité. Un des pièges à éviterdans ce type d’écriture est de vouloir trop en dire. On a tendance à penser que plus onva proposer de choses et plus on aura de chances d’attirer des clients. Or c’est exac-tement l’inverse  : il faut se concentrer sur son cœur de métier. L’efficacité passe par uneoffre très claire et bien positionnée, sur uneniche. Pour la commercialisation de services,il faut s’adresser à un public bien identifié etpas à « la terre entière ». Enfin, mes clientsont souvent du mal à présenter leur offre de manière enthousiasmante, car il n’est pasfacile de parler de soi.

Votre métier est-il amené à se développer ?

Oui. Il y a de plus en plus de communicationsur Internet, et donc arithmétiquement de plus en plus de demandes. Le corolaire,c’est qu’il faut être de plus en plus efficace,car les sollicitations se multiplient. Il y a uneévolution dans l’écriture, qui est d’ailleursune nécessité pour se faire remarquer.

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Le projet

« Nous avons monté cette société tous lesdeux, accompagnés de trois autres cama-rades de la même promotion. Au sortir d’Epi-tech, nous sommes partis faire un Master enAustralie. Puis nous avons été salariés d’uneagence digitale et d’une startup parisienne.Nous avons commencé à développer des pro-jets sur iPhone pendant notre temps libre, lesoir et le week-end. Au fur et à mesure, nousnous sommes rendu compte qu’il existait peud’acteurs sur ce marché en France et noscontacts se sont multipliés par le bouche-à-oreille. Ne pouvant plus assumer cette chargede travail supplémentaire, nous avons quitténos postes et décidé de monter Kawet audébut de l’année. Nous sommes une startupspécialisée dans le développement d’appli-

cations iPad/iPhone et dans le conseil en stratégies digitale. Généralement, nous répondons à des appels d’offres via desagences web. »

Un marché déjà saturé ?

« Il y a bien évidemment la partie grand pu-blic, avec de nombreuses applications. Maisle marché professionnel est énorme, avec detrès grands besoins, que ce soit pour les entreprises ou les marques, qu’ils concernentla communication ou le marketing. Il y a denombreuses niches qui existent encore, car ily a finalement peu d’acteurs au vu des possi-bilités qu'il reste à découvrir, d'autant plusavec l'iPad maintenant. De plus en plus desociétés, outre un site Internet, souhaitentdésormais posséder leur propre applicationiPhone et nous les aidons. »

L’Epitech

«  Clairement, la pédagogie par projets estune démarche qui nous sert encore beaucoupaujourd’hui.  Ne serait-ce que sur la partietechnique bien évidemment : les outils, l’en-vironnement… Ces années nous ont permisd’apprendre par nous-mêmes. Nous ne connaissions pas l’iPhone, nous l’avonsdécouvert grâce aux ressources disponiblesen ligne. Epitech nous a donné les armes pourpouvoir nous lancer. C’est une excellentebase sur laquelle sont venues se greffer nosdifférentes expériences. »

Benjamin Hardy et Charles Niaulin - Epitech 07 - co-fondateurs de Kawet, une société de développement d’applications iPhone/iPad et de conseil en stratégiesdigitaleshttp://madebykawet.com/

Etienne Pluvinage - ISG 77 -a fondé Milalma Sarl, une société de création de contenu pour sites Internetwww.enviedebouger.fr

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Organisme de formation permanente de IONIS Education Group

Cette entité est membre de

Numéro de déclaration d’activité : 11 75 42281 75. Cet enregistrement ne vaut pas agrément de l’Etat.

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Arnaud Abraham - Ionis-STM 09 - Project Management Officer Chez Altran CIS

A l’issue de sa formation, il développe dans lecadre son stage de fin d'étude, une expériencedans la gestion de projets informatiques. En 2010,il intègre le cabinet de conseil Altran CIS - FinancialServices au poste de project management officeroù il s’implique dans une mission dans le secteurde l'assurance.

Veronique Beaumont - ISG 89 - Directeur Géné-ral de Digitas France

Elle débute chez Sagem puis rejoint Sema Group.Devenue directeur conseil au sein de TBWA Inter-active, elle intègre ensuite Business Interactif en tant que directeur associé et prend en 2007 leposte de directeur du développement internationalde Digitas France.

Aurélie Beeuwsaert - ISEG 00 - Directeur desRessources Humaines de Philips Consumer

Débutant en tant que campus manager au seind’AXA France, elle devient adjointe ressources humaines chez Philips. Par la suite elle est succes-sivement responsable recrutement et formation etresponsable formation Europe du Sud chez Philips.Elle est également Présidente de l'Association desAnciens de l’ISEG.

Denis Blanpain - ISG 92 - Consultant Senior au sein de la Business Unit « Industrie » deManpower Professional

Il débute sa carrière au sein de l’équipementier automobile Valeo sur des fonctions commerciales,en France et aux Etats-Unis. En 2000, il rejoint lecabinet de chasseurs Euroman comme consultanten recrutement par approche directe d’ingénieurset de cadres dirigeants. En 2004, il intègre le cabi-net de chasseur de têtes Euro Culting Partners.

Caroline Buchet-bully - ISEG 03 - Responsablede Secteur de la Martiniquaise

Elle débute sa carrière en tant qu’assistante marke-ting chez Algoé consulting, elle intègre ensuite Findus France en qualité de responsable de secteur.

Romain Carbonnel - EPITECH 07 - IngénieurPhp5 chez Zend

Il est certifié par la société Zend en tant qu’ingé-nieur PHP5 depuis janvier.

Nicolas Christmann - ISEG 94 - Directeur Com-mercial de Kraftwerk

Chargé de mission chez Auchan, il intègre ensuiteDescours et Cabaud en tant que chef de marché. Ildevient attaché commercial chez Outils Wolf SAS,puis directeur régional des ventes avant d’êtrenommé directeur commercial adjoint. Il entre en-suite chez Sanli France en qualité de responsablegrands comptes.

Nicolas Chouanière - EPITECH 08 - Ingénieurd’études chez Natixis

Il est ingénieur recherche et développement ausein d’ALTEN SIR depuis son stage de fin d’étudesen mars 2008. A partir du 1er avril, il part en VIE à Hong-Kong où il occupe un poste d’ingénieurd’études chez NATIXIS.

Benjamin Cleyet-Marrel - EPITA 02 - Directeurde l’ingénierie de Accelance MSP

Il commence sa carrière au sein du groupe OpenWide en tant qu’architecte Open Source, avantd’accéder au poste d’ingénieur avant-vente. Il intè-gre ensuite la société OSS, en Nouvelle Zélande, en qualité d’Open Source practice manager.

Emmanuelle Court - ISG 93 - Directeur Commercial de CPR Asset Management

Elle commence chez BNP Paribas en tant que responsable de la comptabilité de gestion pour lemétier gestion institutionnelle et privée, puis estnommée responsable de clientèle gestion privée etresponsable de clientèle au sein de l’équipe com-merciale institutionnelle France de Paribas AssetManagement. Elle rejoint ensuite SGAM, pour exer-cer successivement les fonctions de responsablede clientèle institutionnelle France, directrice del’équipe commerciale France puis directrice del’équipe institutionnelle et distribution France.

Christian Darquier - ISG 89 - Président d’Affi-métrie pour l’année 2010

Il commence sa carrière en 1989 chez General FoodFrance. Puis il occupe, entre 1993 et 1999, plusieurspostes marketing chez Colgate Palmolive aux Etats-Unis et en Italie. En 1999, il devient directeur dumarketing de Disneyland Paris. En 2004, il intègrele groupe Johnson Outdoors puis rejoint, en 2006,le groupe Adecco France. Depuis février 2009, il estdirecteur général adjoint marketing & stratégie deCBS Outdoor France. Il vient d’être élu présidentd’Affimétrie, groupement d’intérêt économique

fournissant des outils de mesure d’efficacité et deplanification pour les campagnes d’affichage.

Aymeric de Bergevin - ISEG 01 - Account Direc-tor Corporate - GSO Uki de Concorde Hotels

Senior sales manager du Renaissance ChanceryCourt Hotel en 2001, il devient en 2008 directeurcommercial du London Mariott Grosvenor.

Thierry de Courtilles - ISG 89 - Directeur Général d’Adia

Il commence sa carrière chez Sagem comme ingé-nieur commercial, puis devient en 1995 directeur de journaux gratuits chez SPIR Communications. Il entre chez Adia en 1997 en tant que directeur dusecteur Ile-de-France et occupe successivement lesfonctions de directeur régional Sud Ouest (1999-2001), directeur opérationnel Nord (2001-2004) etdirecteur opérationnel France (2004-2007). Il était,depuis mars 2007, directeur général d’Ajilon ITConsulting et Engineering.

Joël de Lafond - ISG 87 - Directeur du départe-ment Corporate Solutions de Jones Lang LaSalle

Il débute sa carrière comme directeur de projet au sein de différentes sociétés de promotion immobilière. En 1993, il rejoint Jones Lang LaSalle,où il occupe des fonctions au sein du départementinvestissement puis devient directeur du départe-ment project & development services.

Elvire de Rochefort - ISG 90 - Responsable duMécénat du Musée du Quai Branly

Après un parcours professionnel chez UBS War-burg à Londres et BNP Paribas REIM, elle rejointKBL Richelieu Banque Privée comme directeurclientèle institutionnelle internationale.

Gaël de Roquefeuil - ISG 85 - Managing Partnerde Roc Partners

Il débute au sein du département corporate financede Smith Barney à New York puis à Tokyo. En posteau sein de la division marchés de capitaux pour la clientèle institutionnelle de Goldman Sachs àLondres, il est nommé responsable à Hong-Kong dela division vente actions européennes pour la zoneAsie-Pacifique chez UBS. Il devient ensuite partnerde TMP Worldwide Executive Search à Singapouren 2000, puis il intègre Ray & Berndtson à Paris.De 2007 à 2010, il est senior client partner de KornFerry International à Paris.

dernières nominations

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Alain de Villechabrolle - ISG 84 - Gérant deAmilton Asset Management

Il commence sa carrière chez EIFB (ex société debourse GAN-CIC) puis devient directeur des parti-cipations chez Crédit Foncier de France et respon-sable du service d’analyse financière buy-side chezDeutsche Bank Private Banking. Responsable de la gestion et co-fondateur de Efigest AM, il rejointpar la suite Amilton AM.

Lionel Delaporte - ISG 91 - Directeur Associéde Bionest Partners

Il a occupé plusieurs fonctions de management au sein de cabinets de conseil en stratégie et en organisation : Monitor, ISO Health Care Consultinget Smart Pharma Consulting. Il supervise alors plusde 150 projets stratégiques et organisationnelspour le compte d’acteurs majeurs de l’industriepharmaceutique, au niveau local et mondial. Il a auparavant exercé des fonctions opérationnellesau sein d’IMS Health en tant que directeur du département des études internationales et straté-giques et directeur grands comptes.

Mamadou Dieng - Ionis-STM 09 - Chargé de mission à l’Agence de Cohésion Sociale et del’Égalité des Chances (L’ACSÉ)

Il intègre EURIS SA, société « éditrice de logicielPharmaceutique » en tant qu’administrateur puisrejoint l’Acsé en tant que chargé de mission. Son activité consiste à administrer le réseau et le système des applications de bases de donnéesinterministérielles.

Franck Dixmier - ISG - Directeur Général encharge des Investissements chez Allianz Global Investors

Il débute en 1995, chez Allianz et devient en 1998responsable de la gestion obligataire des porte-feuilles d’assurances d’AGF au sein d’AGF AssetManagement puis directeur de la gestion obliga-taire et monétaire en 2000. En 2008, il devient directeur général adjoint d’Allianz Global InvestorsFrance, en charge des investissements.

Arnaud Duhem - ESME Sudria 85 - DirecteurGénéral Opérationnel d’Ajilon It Consulting

Il commence sa carrière en 1985 chez Tekelec Airtronic, comme ingénieur commercial puis responsable de groupe marketing. Il rentre chezDynatech en tant que directeur de division en 1991puis est nommé directeur du business develop-

ment et du marketing pour le groupe Dynetcom. En 2000, il rejoint Toshiba Systemes France en tantque directeur commercial, avant d’intégrer CegelecInfoservices en tant que directeur commercial en2003. Il est nommé directeur des opérations quandcette société est devenue CIS Infoservices en 2005.Depuis novembre 2007, il est directeur régional Ile-de-France d’Ajilon IT Consulting.

Nathalie Duneau - ISG 93 - Directeur Marke-ting de Louvre Hotels

Elle était directeur général adjoint de ProximityBBDO depuis 2005, date à laquelle elle a quitté Tequila où elle a fait l’essentiel de sa carrière, notamment aux postes de directeur associé et directeur du développement.

Philippe Edmond - Ionis-STM - Masters EPITA 06 -Responsable de l’exploitabilité des infra-structures du SI SFR

A l’issue de sa formation, il devient ingénieur sécu-rité chez Jet Multimedia. En décembre 2006, il intè-gre le groupe Vivendi, plus exactement SFR où ilpilote la validation de 250 applications web de SFRlors de la migration du Datacenter. En 2009, il travaille sur la politique d'exploitabilité des infra-structures du SI et est nommé en 2010, responsa-ble de l’exploitabilité des infrastructures du SI SFR.

Antoine Fievet - ISG 90 - Président du Conseild’administration des Fromageries Bel

Chez Emap, La Toute Petite Agence et Anfica, il oc-cupe divers postes de direction. Il rentre chez UnibelSA, société holding détenant les Fromageries Bel, en 2001. Il est élu en 2006 président du directoire.

Magalie Florens - ISG 87 - Président DirecteurGénéral de Mindshare

Entrée en 1987 chez Bélier, agence du groupe Havas,elle rejoint le groupe Grey pour le lancement de sanouvelle agence média, MédiaComParis. Elle intègreOMD en 2001 où elle travaille pour des marquestelles que Henkel, PepsiCo, Renault, Nissan ou EstéeLauder. Elle était directrice générale d’OMD, Omni-com Media Group France, depuis 2007.

Laurent Gautier - ESME Sudria 89 - DirecteurCommercial de HP Entreprise Service France

En 1991, il entame sa carrière au sein du groupeBull en tant qu’expert en logiciel d’infrastructures.

En 1995, il rejoint Tandem Computers comme responsable des ventes Europe pour les solutionslogicielles d’infrastructures. Il est nommé, en 1997,directeur de clientèle France Télécom au sein deSEMA Group, en charge de l’activité de l’opérateurfixe. En 2000, il rejoint la filiale française de l’opé-rateur KPNQWEST en qualité de vice-présidentEMEA South pour les services d’hébergement. Il entre en 2003 chez EDS qui passe dans le gironde HP en 2008.

Gregory Gazagne - ISG 97 - Sale Vice Présidentde Criteo

Il commence sa carrière à la direction de l’antennede TF1, avant d’occuper les postes de directeur declientèle chez IP France, puis directeur du dévelop-pement chez Carat. Entré en 2004 chez Yahoo !France, il a créé le département opérations spé-ciales et partenariats, avant d’assumer les fonc-tions de directeur de la publicité puis celle de directeur commercial adjoint. Il rejoint Criteo au poste de « sale vice president ». Il aura pourmission le développement commercial à l’interna-tional, le développement de nouveaux relais decroissance, ainsi que la mise en place de l’organi-sation des équipes commerciales Monde.

Christian Gras - IPSA 83 - Executive Vice-presi-dent Customers de Eurocopter

Il entre dans le groupe Eurocopter en tant qu’ingé-nieur de production au sein de la division hélicop-tères d’Aerospatial, puis devient vice-présidentmarketing et support clients de la filiale brésilienneHelibras. En 1994, il est nommé directeur d’Emsa,directeur d’American Eurocopter Corporation puisvice-président exécutif support clients d’Eurocop-ter en 2000. Il était depuis 2003 senior vice-prési-dent Amérique latine au sein de la directionstratégie et marketing d’EADS.

Napoleon Gourgaud - ISG 96 - Directeur Géné-ral Délégué en charge du développement de 1818 Partenaires

Il débute son activité professionnelle en 1999 ausein du groupe AXA où il participe au déploiementd’une stratégie de CRM au Japon puis à Paris. En 2002, il dirige les équipes commerciales d’AXATHEMA sur les activités banques et assuranced’AXA France à destination des conseillers en ges-tion de patrimoine indépendants. A partir de 2007,il exerce la fonction de directeur de la distributionFrance à la Financière de Champlain.

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Yolande Gouzalch - ISG 84 - Directrice Com-merciale Emploi de l’Express

Elle débute sa carrière à l’agence Mediasystem (Publicis) en tant que chef de publicité en commu-nication de recrutement. Après avoir été chef degroupe, elle évolue en 1993 vers un poste de chefde projet en communication interne et sociale. En1997, elle devient directeur-conseil puis, en 2002,elle est promue directrice générale adjointe. Elle collabore ensuite à la fusion de Mediasystem,Guillaume Tell et Someone au sein de PublicisConsultant RH. Elle est nommée, en 2006, direc-trice générale adjointe de la nouvelle structure. Depuis septembre 2008, elle était directeur associéchez Publicis Consultants RH.

Bernard Harambillet - ISG 89 - Directeur deVeolia Propreté Sud-ouest

Il succède à Jean-Pierre Morot, qui rejoint le siègedu groupe à Paris. Il était précédemment directeurrégional Aquitaine et collabore depuis 20 ans ausein de Veolia Propreté.

Caroline Hauss - ISG 91 - Responsable desabonnements au sein de la Direction de la dif-fusion des Éditions du Nouveau France Soir

Elle débute chez France Loisir où elle occupe diffé-rents postes dont celui de responsable des mar-chés Outre-mer, entre 1994 et 1996. Elle rejointFrance Micro Multimédia en tant que responsablemarketing direct et VPC (1997-1998). Elle fut direc-trice des abonnements de « Libération » de 1998 à2006. Depuis août 2007, elle était directrice dumarketing et de la relation clients de Gocad(groupe Diffusion +).

Benjamin Horesnyi - ISEG 09 - Chef de secteurde Johnson And Johnson

Il était précédemment chef de secteur chez Unilever.

Cyril Jean - EPITECH 04 - Asia Industrial Soft-ware Manager de Gemalto

Il commence sa carrière en tant qu’ingénieur soft-ware chez Gemalto, leader mondial de la sécuriténumérique. En octobre 2009, il est nommé chef deprojet dans la même entreprise. Depuis janvier2010 il encadre 4 personnes à Sait en Chine en tantqu’Asia industrial software manager.

Pierre-Antoine Lambert-Alison - ISEG 05 - Gé-rant de Cofape Patrimoine & Associés

Cadre commercial chez Alliance en 2005, il intègreensuite CLC Groupe Anthea en tant que gestion-naire de patrimoine, poste qu’il occupe égalementchez Vectra Finance à partir de 2007.

Amaury Lamy - EPITECH 04 - Managing Consul-tant chez Greyspark

Il débute sa carrière en tant qu’analyste sécuritéchez Noos. Il devient instructeur à Epitech. En 2004,il rejoint Net2s à Londres en tant que consultant pourévoluer vers un poste de senior consultant en 2006puis managing consultant en 2007. Il rejoint GreySparkle 4 janvier 2010 en tant que managing consultant.

Adrien Larguier - ISEG 2009 - Chef de produitnational chez Darty

Il était auparavant Chef de produit Junior TV au seinde Samsung.

Frederic-Gerard Levêque - ISG 96 - DirecteurConseil Digital de Revolutions (Leo Burnett)

Il était précédemment directeur associé chez Publicis Modem, après avoir été directeur du pôlecréation puis directeur du planning stratégique deNextedia.

Nhan-Hai Luong - Ionis-STM 09 - Chef de Projetchez Emergence Group Conseil et BusinessStratégie Directeur chez Dis Communication JSC

A l'issue de sa formation, il intègre la société Emer-gence Group Conseil en tant que chef de projet informatique. En 2010, il crée une filiale en Francede la société "DIS Communication JSC Vietnam",qui devient partenaire de Emergence GroupConseil, et d'autres sociétés aux Etats Unis (SiliconValley) et au Japon (Tokyo). Il occupe en mêmetemps le poste chef de projet informatique (Emer-gence Group Conseil) et le poste business straté-gie directeur (DIS Communication JSC).

Jérôme Medegan - EPITECH 07 - Ingénieur Logi-ciel de Cloudmark

Il débute en septembre 2006 chez Wengo en tantque reverse engineering expert developper. En2008, il intègre Bizanga Labs en qualité de déve-loppeur, puis devient ingénieur logiciel chez Cloud-mark à San Francisco.

Jérémy Oudin - Ionis-STM - Masters EPITA 05 -Directeur d’agence, Chargé d’affaires à laCaisse d’Épargne Rhône-alpes

En 2006, BNP Paribas lui confie un poste de chargéd’affaires professionnelles. Fin 2009, il est nommédirecteur d’agence à la Caisse d’épargne RhôneAlpes.

Jonathan Pivert - EPITECH 08 - Business Intel-ligence Consultant de Umanis

Il débute sa carrière en tant qu’ingénieur chezSopra Group. Depuis janvier 2010, il est businessintelligence consultant chez Umanis.

Damien Proffit - ISG 95 - Directeur des Pro-ductions de Shine France

Directeur de production chez Canal Plus et Ende-mol , il rejoindra ensuite FremantleMédia France.

Dominique Romani - ISG 91 - Directeur des Pré-visions et du Contrôle de Gestion de Lyonnaisedes Eaux

Il occupait précédemment la fonction de directeuradministratif et financier de délégation.

Maxime Sakakini - ISG 96 - Directeur Associéau sein du Clients Services de Nextldea (Lagardère Active)

Il est successivement au développement du newbusiness chez Publicis (1998-2001), responsablegrand compte chez Nedstat (2001-2003), directeurde clientèle grands comptes chez Médiamétrie(2004-2006), directeur du développement chez Bu-siness Interactif (2006-2007), country managerchez Pangora France (2007-2008) puis directeurassocié chez The Best Match France.

Sabri Samai - Ionis-STM 09 - Chef de Projet duBataillon des Marins Pompiers de Marseille

A l'issue de sa formation, il intègre le Bataillon desMarins pompiers de Marseille en tant que chef deprojet où il prend en charge une mission d'enver-gure consistant à la refonte de l’ensemble desmoyens informatiques opérationnels (informatiqueembarquée, gestion informatisée des opérationsde secours, outils décisionnels et statistiques).

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Jessica Serve - ISEG 02 - Chef de Produit de

Morgan Vernex

Assistante marketing export chez Danone-Blédina,elle devient, en 2004, chargée de terrain au seind’Adéquation Consulting. En 2005, elle rejoint Mor-gan Vernex en tant que responsable de départe-ment, puis réalise un audit projet au départementconfiserie de la Brasserie du Pacifique en 2009.

Eric Taillard - ISG 91 - VP Global BusinessPartners Mid-market de IBM

Après plus de 15 ans d’expérience chez IBM, il estnommé directeur de l’activité Unix d’IBM pour l’Europe du Sud, à Madrid.

Thomas Texier - EPITECH 06 - Senior GameplayProgrammer de Ubisoft Montréal

Il effectue son stage de fin d’études chez UbisoftMontréal et devient technical lead gameplay pro-grammer en 2008. En mars 2010 il est nommé se-nior gameplay programmer.

Christophe Verdenne - ESME Sudria 83 - Direc-teur Général Europe du Sud de Easynet GlobalServices

Il débute en tant qu’ingénieur commercial chez IBMFrance, avant de prendre la responsabilité d’un dé-partement grands comptes chez un agent IBM. En1992, il entre chez DecisionSystem International,dont il dirige les ventes en 1996. En 1997, il intègreColt en tant que directeur commercial puis direc-teur senior, en France et en Europe du Sud.

Kristell Wauters - ISEG 01 - Responsable desAcquisitions chez Constructa Asset Manage-ment

Titulaire du DECF et d’un master en managementinternational de la St John’s university of New York,elle entre chez DTZ Asset Management en 2004 où elle a successivement été contrôleur financier,investment manager dans l’équipe acquisition etasset manager dans l’équipe valorisation, encharge de portefeuilles tertiaires.

Astrid Weill Canfailla - ISG 94 - Directeur Gé-néral Délégué de BNP Paribas Real Estate Pro-perty Management France

Directement rattachée à Lauric Leclerc, présidentde la ligne de métier Property Management Inter-

national et aux côtés de Jean-Claude Tanguy, directeur général délégué, Astrid Weill Canfaillavient renforcer la Direction Générale de BNP Paribas Real Estate Property Management France.Elle a commencé sa carrière chez Pricewaterhou-seCoopers où elle restera jusqu’en 2002. Puis elledevient ensuite directeur général adjoint financeschez ING Real Estate Development France, postequ’elle occupera de 2002 à 2009.

Paul Younes - ISG 84 - Directeur Général Adjoint de l’Union Financière de France (UFF)

En 1985, il débute en tant que chargé d’études puisdevient chef de projet au sein de l’Institut Français

de Démoscopie. Il rejoint ensuite le Groupe AGFcomme adjoint du responsable des études de mar-ché en 1989, chargé de mission auprès du directeurcommercial en 1994 puis responsable de la straté-gies et des projets au sein de la direction marke-ting de 1996 à 2001. Il devient en 2001 chargé de la mission du développement commercial des réseaux au Brésil au sein d’AGF South-America. Ilest successivement directeur du réseau d’agentsgénéraux à partir de 2003, puis directeur du déve-loppement de 2005 à 2009, directeur de la zoneAfrique du Nord et Moyen-Orient de Cardif et directeur marketing offre financière en 2009.

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transmet depuis près de 30 ans ses valeurs : sens de l'entreprise, de l'initiative et de la responsabilité. transmet depuis près de 30 ans ses valeurs : sens de l'entreprise, de l'initiative et de la responsabilité. Parce qu'Parce qu'être le 1er groupe français d'enseignement supérieur privé suppose un état d'esprit différent.être le 1er groupe français d'enseignement supérieur privé suppose un état d'esprit différent.

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