INSTRUCTION N° DGCS/SD5C/5A/2B/2015/169 du 15 mai 2015

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Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de la Cohésion Sociale Service des politiques sociales et médico-sociales Sous-direction de l’enfance et de la famille Bureau de la protection des personnes Personne chargée du dossier : Séverine PECHARD Tél. : 01 40 56 82 48 Mél. : [email protected] Service des politiques d’appui Sous-direction des affaires financières et de la modernisation Bureau des budgets et de la performance Personne chargée du dossier : Dounia BASSOUDI Tél. 01 53 86 10 64 Mél. : [email protected] Bureau de la gouvernance du secteur social et médico-social Personne chargée du dossier : Nadia ARNAOUT Tél. 01 53 86 85 97 Mél. : [email protected] La ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes à Mesdames et Messieurs les préfets de région copie à : Directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, Directions de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale outre mer, Mesdames et Messieurs les préfets de département Directions départementales de la cohésion sociale, Directions départementales de la cohésion sociale et de la protection de populations, INSTRUCTION N° DGCS/SD5C/5A/2B/2015/169 du 15 mai 2015 relative aux orientations de l'exercice 2015 pour la campagne budgétaire des services mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des services délégués aux prestations familiales Date d'application : Immédiate NOR : AFSA1511665J Classement thématique : protection des personnes Examinée par le COMEX du 13 mai 2015 Publiée au BO : oui Déposée sur le site http://circulaire.legifrance.gouv.fr : oui

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  • Ministre des affaires sociales, de la sant et des droits des femmes Direction Gnrale de la Cohsion Sociale Service des politiques sociales et mdico-sociales Sous-direction de lenfance et de la famille Bureau de la protection des personnes Personne charge du dossier : Sverine PECHARD Tl. : 01 40 56 82 48 Ml. : [email protected] Service des politiques dappui Sous-direction des affaires financires et de la modernisation Bureau des budgets et de la performance Personne charge du dossier : Dounia BASSOUDI Tl. 01 53 86 10 64 Ml. : [email protected] Bureau de la gouvernance du secteur social et mdico-social Personne charge du dossier : Nadia ARNAOUT Tl. 01 53 86 85 97 Ml. : [email protected]

    La ministre des affaires sociales, de la sant et des droits des femmes Mesdames et Messieurs les prfets de rgion copie : Directions rgionales de la jeunesse, des sports et de la cohsion sociale, Directions de la jeunesse, des sports et de la cohsion sociale outre mer, Mesdames et Messieurs les prfets de dpartement Directions dpartementales de la cohsion sociale, Directions dpartementales de la cohsion sociale et de la protection de populations,

    INSTRUCTION N DGCS/SD5C/5A/2B/2015/169 du 15 mai 2015 relative aux orientations de l'exercice 2015 pour la campagne budgtaire des services mandataires judiciaires la protection des majeurs et des services dlgus aux prestations familiales Date d'application : Immdiate NOR : AFSA1511665J Classement thmatique : protection des personnes Examine par le COMEX du 13 mai 2015 Publie au BO : oui Dpose sur le site http://circulaire.legifrance.gouv.fr : oui

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    Catgorie : Directives adresses par la ministre aux services chargs de leur application, sous rserve, le cas chant, de l'examen particulier des situations individuelles.

    Rsum : La prsente instruction rappelle les modalits de financement des services mandataires judiciaires la protection des majeurs (SMJPM) et des services dlgus aux prestations familiales (SDPF) et fixe les orientations relatives lexamen des budgets prvisionnels 2015 de ces services.

    Mots-cls : Financement. Taux directeurs. Budgets prvisionnels. Dotations globales de financement.

    Textes de rfrence :

    Code de laction sociale et des familles (CASF), notamment ses articles L.314-4, L.361-1, L.361-2, R.314-193-1 et R.314-193-3

    Loi n 2007-308 du 5 mars 2007 portant rforme de la protection juridique des majeurs

    Loi n 2007-293 du 5 mars 2007 rformant la protection de l'enfance

    Dcret n2008-1498 du 22 dcembre 2008 fixant les listes de prestations sociales mentionnes aux articles L. 271-8 et L. 361-1 du code de laction sociale et des familles et larticle 495-4 du code civil et le plafond de la contribution des bnficiaires de la mesure daccompagnement social personnalis Dcret n 2008-1506 du 30 dcembre 2008 relatif la mesure daccompagnement social personnalis et la mesure daccompagnement judiciaire Dcret n2010-1404 du 12 novembre 2010 fixant le barme national de lindemnit complmentaire alloue titre exceptionnel aux mandataires judiciaires la protection des majeurs Dcret n 2011-936 du 1er aot 2011 relatif la rmunration des mandataires judiciaires et diverses mesures de simplification en matire de protection juridique des majeurs Arrt du 9 juillet 2009 fixant les indicateurs des services mandataires judiciaires la protection des majeurs et des services dlgus aux prestations familiales et leurs modes de calcul pris en application de larticle R. 314-29 du code de laction sociale et des familles

    Annexes :

    Annexe 1 : Bilan de lexercice 2014

    Annexe 2 : Montant des dotations rgionales limitatives 2015 pour les SMJPM

    Annexe 3 : Modalits de calcul, objectifs et interprtation des indicateurs applicables aux services mandataires judiciaires la protection des majeurs et aux services dlgus aux prestations familiales

    Annexe 4 : Valeur des indicateurs des services mandataires judiciaires la protection des majeurs

    Annexe 5 : Valeur des indicateurs des services dlgus aux prestations familiales

    Annexe 6 : Rpartition des financeurs selon le revenu peru par les personnes sous mesure de protection

    Annexe 7 : Tableau de calcul de la DGF des SMJPM par financeur public

    Annexe 8 : Tableau de calcul de la DGF des SDPF par financeur public.

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    La prsente instruction dfinit le cadre de la campagne budgtaire 2015 des services mandataires judiciaires la protection des majeurs (SMJPM) et des services dlgus aux prestations familiales (SDPF) ; elle sinscrit dans la poursuite de leffort de convergence tarifaire engag depuis 2009 visant rduire les disparits entre les services les mieux et les moins dots, charge dactivit comparable objective par les indicateurs rglementaires. En ce qui concerne les SMJPM, elle prcise les paramtres qui ont permis de dterminer les dotations rgionales limitatives (DRL) et rappelle les orientations relatives la fixation de leurs dotations globales de financement (DGF). A titre liminaire, il est prcis que les ressources ddies aux dpenses de protection des majeurs de lEtat (services mandataires et mandataires individuels) au titre de lexercice 2015 slvent 239,4 M. Elles sont en hausse de 3,4% par rapport aux dpenses excutes en 2014 qui slevaient 231,5 M, en lien notamment avec la croissance des mesures de protection. Sagissant plus particulirement des dpenses de lEtat, qui font lobjet de la prsente instruction, elles taient jusquen 2014 imputes budgtairement sur le programme 106 Actions en faveur des familles vulnrables , au sein de laction 3 Protection des enfants et des familles . A compter de cette anne et conformment la loi de finances initiale 2015, le programme 106 est supprim et les dispositifs jusqu'alors ports par celui-ci sont dsormais intgrs au sein du programme 304, dont l'intitul volue et devient Inclusion sociale, protection des personnes et conomie sociale et solidaire . Les dpenses de protection juridique des majeurs seront donc dsormais imputes sur le programme 304, au sein de laction 16 Protection juridique des majeurs . A titre dinformation, vous trouverez en annexe 1 des lments relatifs la campagne budgtaire 2014. Sagissant des SDPF, pour lesquels aucune DRL nest fixe puisque lEtat est charg uniquement de leur tarification, lexclusion de leur financement, linstruction rappelle les modalits de cette tarification et la ncessit dallouer les ressources dans une logique de rduction des carts entre les services les mieux et les moins dots, linstar des SMJPM. Au 31/12/2014, le nombre de mesures prises en charge par les SDPF tait de 15 800.

    1. MODALITES DE DETERMINATION DES DRL DES SMJPM AU NIVEAU NATIONAL

    1.1. Orientations 2015 Le montant allou aux SMJPM en loi de finances pour 2015 est dclin au niveau rgional en dotations rgionales limitatives, prsentes en annexe 2. Les montants de ces DRL ont t dtermins en tenant compte de la poursuite de leffort de convergence tarifaire tendant rduire les disparits entre les services les mieux dots et les moins dots. Lindicateur utilis cette fin est celui relatif la valeur du point service qui permet de comparer les charges globales d'un service tutlaire en neutralisant l'htrognit des mesures prises en charge. La valeur de cet indicateur correspond au cot du point du service. Au regard de ces lments, les DRL 2015 ont t calcules en tenant compte des donnes et critres suivants :

    - le budget autoris en 2014 ; - la quote-part de lEtat pour 2015 ; - un taux dvolution de la masse salariale fix 1% , combin un taux dvolution des

    autres dpenses fix 0%, soit, un taux dactualisation des moyens reconduits de 0,82% considrant que la masse salariale reprsente en moyenne 82% des charges.

    En application du dispositif de convergence tarifaire engag depuis 2009, lvolution des DRL tient galement compte des disparits entre services, mesures par la valeur du point service. Elle doit permettre une modulation positive des dotations pour les services dont les valeurs du point service

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    2013 et 2014 sont infrieures 13,5 et des mesures dconomie pour les services dont les valeurs du point service 2013 et 2014 sont suprieures 15. Pour les autres services ayant une valeur du point service 2013 et 2014 se situant entre 13,5 et 15, les progressions des dotations seront accordes en fonction de lvolution de lactivit et de son impact sur la valeur du point service.

    1.2. Variation de la DRL et variation de la quote-part Etat Il est rappel que la contribution des diffrents financeurs publics au sein de la dotation globale de fonctionnement est fonction de la nature et du montant des prestations sociales perues par la personne protge, en application de larticle L. 361-1 du CASF. A ce titre, le montant de la dotation de lEtat ne constitue quune partie des recettes des services. Elle est calcule, par service et chaque anne, aprs avoir dduit du budget allou les recettes en attnuation et appliqu le pourcentage correspondant la quote-part Etat. Elle peut donc varier dune anne sur lautre et sa variation nest pas lie celle du budget du service, comme prcis en annexe 2.

    2. MODALITES DE DETERMINATION DES DOTATIONS GLOBALES DE

    FONCTIONNEMENT AU NIVEAU REGIONAL

    2.1. Critres de dtermination de la DGF

    Il est rappel que les SMJPM sont financs sous forme de dotation globale, dtermine lissue dune procdure budgtaire contradictoire qui dure 60 jours compter de la date de publication des enveloppes rgionales limitatives. Pour dterminer le montant de la DGF alloue chaque service sur la base de ses propositions budgtaires, vous devez tenir compte, dune part, des orientations sur lvolution des taux dactualisation budgtaire (2.1.1) et, dautre part, des valeurs nationales, rgionales et dpartementales des indicateurs du secteur (2.1.2.) Par ailleurs, je vous demande dexaminer avec attention les avis ports sur les budgets prvisionnels par les autres organismes financeurs, transmis dans le cadre de la procdure budgtaire.

    2.1.1. Taux dactualisation budgtaire

    2.1.1.1. Moyens reconduits Pour la campagne 2015, lvolution moyenne rgionale devra rester circonscrite dans la limite des orientations indiques ci-aprs. La dotation 2015 intgre une actualisation des moyens reconduits correspondant la prise en compte :

    - dun taux dvolution de 1% de la masse salariale ; - dun taux dvolution de 0% sur les dpenses de fonctionnement hors personnel.

    Au final, le taux dactualisation est de 0,82% pour lensemble des charges correspondant au poids relatif de la masse salariale et des dpenses de fonctionnement dans lensemble de la dotation. Il convient de souligner que ces taux constituent des taux dvolution moyens devant tre moduls dans le cadre dune dmarche de comparaison entre services et dharmonisation des cots.

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    2.1.1.2. Mesures nouvelles

    Afin de respecter au niveau national lenveloppe alloue dans le cadre de la loi de finances 2015, vous devrez accorder des mesures nouvelles en tenant compte de lobjectif de convergence rappel au 1 de la prsente instruction et dans la limite de votre enveloppe rgionale limitative. Les mesures nouvelles (ex : moyens supplmentaires en terme de personnels) seront rservs aux services dont la valeur du point service 2013 et 2014 sont infrieures 13,5. Celles accordes aux services ayant une valeur du point service 2013 et 2014 se situant entre 13,5 et 15 seront strictement lies lvolution de lactivit et son impact sur la valeur du point.

    2.1.2. Indicateurs Vous trouverez en annexe 3 la prsentation des 12 indicateurs applicables. Les valeurs de ces diffrents indicateurs est prsente en annexe 4 pour les SMJPM. Lutilisation de ces indicateurs dans la procdure budgtaire doit vous permettre dobjectiver lallocation des ressources et de la rendre plus efficiente. En effet, la comparaison des rsultats des indicateurs de services fournissant des prestations comparables permet de mieux apprhender les spcificits de chaque structure et de justifier des ventuels carts entre les ressources alloues aux diffrents services. Lutilisation des indicateurs sinscrit donc pleinement dans la logique de la procdure budgtaire contradictoire et favorise le dialogue entre le financeur et le gestionnaire sur la base dlments objectifs. Elle consolide la motivation de vos modifications des propositions budgtaires en cas de contentieux tarifaire. Les modalits dutilisation des indicateurs que vous souhaitez mettre en uvre doivent tre prcises dans le rapport dorientation budgtaire mentionn au 5 de larticle R.314-22 du CASF.

    2.2. Dialogues de gestion Afin de favoriser ce dialogue entre financeurs et gestionnaire, je vous invite mettre en place des dialogues de gestion avec les services concerns. Ils associeront les principaux financeurs publics (notamment la CAF), afin de dbattre des propositions budgtaires transmises par les SMJPM. Ces dialogues de gestion constituent laccompagnement indispensable une convergence tarifaire plus exigeante. Situs en amont de la fixation de la dotation globale de financement, ces dialogues seront utilement ouverts par un rappel de votre part du contexte budgtaire de la campagne 2015 et des modes de calcul retenus pour la DGF du service ; ils impliquent par ailleurs ncessairement une phase dchange de points de vue et les complments dexplications apports le cas chant par le service. Ils seront utilement enrichis de lanalyse de lactivit coule du service et des ventuels documents dvaluation interne ou externe que les services auront pu vous transmettre par ailleurs.

    2.3. Points particuliers

    Examen distinct de la progression des moyens reconduits de celle des mesures nouvelles Dans le cadre de lexamen des budgets prvisionnels des services, je vous demande de veiller examiner distinctement la progression ventuelle des moyens reconduits de celle des mesures nouvelles.

    Examen de la bonne rpartition des charges entre SMJPM et un SDPF pour organismes grant SMJPM et SDPF

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    Enfin, ds lors que certains organismes gestionnaires ont la fois un SMJPM et un SDPF, vous veillerez mener les vrifications ncessaires dans les budgets de chacun des SDPF et MJPM relatives : - la rpartition des personnels dintervention entre lactivit tutlaire ralise auprs des familles

    et celle auprs des majeurs ; - la rpartition des autres personnels ; - la ventilation des personnels administratifs et des charges communes entre lactivit tutlaire

    ralise auprs des familles et celle auprs des majeurs protgs de mme quentre les mesures administratives et les mesures judiciaires ;

    - la bonne affectation des amortissements lactivit correspondante.

    2.4. Rpartition de la DGF entre financeurs publics Le critre de rpartition du financement entre financeurs publics1 est la situation du majeur protg au regard de la perception de prestation sociale au 31 dcembre du dernier exercice clos la date du dpt des propositions budgtaires. Par consquent, pour 2015, la rpartition prendre en compte pour dterminer la quote-part de chaque financeur est celle au 31/12/2013. Vous trouverez cette rpartition la page 21 du document activit-indicateurs des SMJPM et la page 13 pour les SDPF. Il vous suffit pour chaque service dindiquer le montant de la DGF prvu par larrt de tarification dans la cellule prvue cet effet et vous obtenez le calcul pour chaque financeur public. Si des modifications de la quote-part sont intervenues suite aux vrifications effectues par les autres financeurs publics, vous reporterez les chiffres corrigs dans les annexes 7 (SMJPM) et 8 (SDPF). Lannexe 6, quant elle, prcise le financeur public en fonction de la prestation sociale perue par la personne. A noter que des travaux au niveau national rassemblant lensemble des fdrations du secteur ont t engags en juillet 2014. Ces travaux visent notamment simplifier les modalits de financement des SMJPM et den faciliter le pilotage, au niveau local et national. Leur finalisation est prvue fin 2015 et la mise en place dune rforme en 2016-2017.

    2.5. Notification de la dcision dautorisation budgtaire Enfin, en application de larticle R. 314-36 du CASF relatif la notification de la dcision dautorisation budgtaire, vous devez notifier la dcision, dune part, au service, dans un dlai de 60 jours compter de la publication de larrt fixant les dotations rgionales limitatives et, dautre part, aux autres principaux financeurs, ds lors que ceux-ci versent une quote-part de la DGF.

    3. LA TARIFICATION DES SERVICES DPF Les services DPF ne sont pas financs par lEtat mais celui-ci est charg de leur tarification. Par consquent, aucune DRL nest fixe pour ces services. Leur procdure budgtaire dbute compter de la publication de larrt qui fixe les DRL pour les SMJPM, comme larrt le prcise lui-mme. Comme pour les SMJPM, vous devez tenir compte pour dterminer la dotation globale de financement, dune part, des orientations sur lvolution des taux dactualisation budgtaire et, dautre part, des valeurs nationales, rgionales et dpartementales des indicateurs du secteur.

    1 dpartement, CAF, caisse dassurance retraite et de la sant au travail (CARSAT), caisse locale de mutualit sociale agricole (MSA), caisse primaire dassurance maladie (CPAM), service de lASPA, rgimes spciaux et tat pour les SMJPM ; CAF, caisse locale de la MSA, CARSAT et rgimes spciaux pour les SDPF

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    Ainsi, la dotation 2015 intgre une actualisation des moyens reconduits correspondant la prise en compte des mme taux dvolution mentionns aux points 1.1. et 2.1.1.1, soit un taux dactualisation global de 0,82% pour lensemble des charges correspondant au poids relatif de la masse salariale et des dpenses de fonctionnement dans lensemble de la dotation. Ces taux moyen doivent galement tre moduls dans le cadre dune dmarche de comparaison entre services et dharmonisation des cots. Sagissant des mesures nouvelles : vous devez accorder des mesures nouvelles en tenant compte des valeurs nationales, rgionales et dpartementales des indicateurs notamment la valeur du point service des services DPF (cf. annexe 5) et ce dans un souci de rduire les disparits entre les services les mieux et les moins dots. Je vous invite enfin mettre en place des dialogues de gestion avec les SDPF, en associant la CAF, le principal financeur et ce afin de dbattre de leurs propositions budgtaires.

    Pour la ministre, et par dlgation,

    Pour la directrice gnrale de la cohsion sociale, La cheffe du service des politiques dappui, adjointe la directrice gnrale de la cohsion sociale

    Virginie MAGNANT

  • Annexe 1 :

    Bilan de lexercice 2014 Les paragraphes suivants dressent quelques lments de bilan de lexercice 2014. Afin dillustrer le cot global du financement public du dispositif de protection juridique des majeurs, le tableau ci-aprs montre que les moyens accords aux services mandataires ont fortement augment depuis 2009, date dentre en vigueur de la loi n 2007-308 du 5 mars 2007 portant rforme de la protection juridique des majeurs. Il est en effet pass de 470,5 M en 2009 540,3 M en 2014, progressant ainsi de 14,8% en cinq ans. Les volutions du cot par financeur public sont toutefois diffrentes comme lindique le tableau ci-aprs. Evolution du cot du financement public des services mandataires la protection des majeurs de 2009 2014 :

    Financement public des SMJPM

    2009 2014 Evolution

    Etat 188,8 199,8 5,8 % Organismes de scurit sociale

    275,9 338,4 22,6%

    Conseils gnraux 5,8 2,1 -63,7 % TOTAL 470,5 540,3 14,8 %

    A titre dinformation sur le systme gnral de protection des majeurs, le nombre total de mesures de protection tait estim au niveau national au 31/12/2014 prs de 850 000, dont 48% sont confies la famille, le reste tant pris en charge par les mandataires judiciaires la protection des majeurs. Parmi les mesures confies ces professionnels, les SMJPM graient au 31/12/2014 348 342 mesures de protection, soit prs de 79,5% du total, les mandataires individuels 59 000 (13,5%) et les prposs 31 000 (7,1%). Lvolution du nombre de mesures confies aux SMJPM a ainsi progress en 2014 de 2,08%. Le mme taux dvolution est prvu pour 2015 au niveau du nombre de mesures. En 2014, le cot moyen total, tous financeurs confondus, dune mesure de protection juridique confie un SMJPM slevait en moyenne 154 par mois et 156 pour une mesure confie un mandataire exerant titre individuel. Par ailleurs, les ralisations des indicateurs 3.24 et 3.2.5 qui apparatront au rapport annuel de performance 2014 du programme 106 annex au PLR 2014 montrent que leffort de rduction des carts entre les services les plus dots et les moins dots se poursuit. Le financement sous forme de dotation globale a donc permis, grce la mise en place dindicateurs tenant compte de la charge de travail des services, damliorer et doptimiser lallocation du financement public. En effet, cette mthode dallocation des ressources a favoris les services qui avaient des indicateurs dont les valeurs taient trs en-de des moyennes nationales et rgionales aux dpens des services les mieux dots. La rforme du financement des services mandataires permet donc prsent dallouer les ressources de manire plus objective, rationnelle et quitable.

  • Le tableau qui suit en dtaille les rsultats.

    Sagissant des SDPF, pour lesquelles aucune DRL nest fixe puisque lEtat est charg uniquement de leur tarification, lexclusion de leur financement, la circulaire rappelle les modalits de financement et la ncessit dallouer les ressources, comme pour les SMJPM, dans une logique de rduction des carts entre les services les mieux dots et les moins dots. Au 31/12/2014, le nombre de mesures prises en charge par les SDPF est de 15 800.

    Unit2012

    Ralisation

    2013

    Ralisation

    2014

    Prvision

    actualise

    PAP 2015

    2014

    Ralisation

    Part des services mandataires dont la

    valeur du point service est infrieure

    de 10% la moyenne nationale

    % 22,5 21 17 16,36

    Part des services mandataires dont la

    valeur du point service est suprieure

    de 10% la moyenne nationale

    % 17,6 15,12 10 13,9

  • Annexe 2 :

    Montant des DRL 2015 pour les services mandataires judiciaires

    la protection des majeurs

    Comme rappel au point 1.2 de l'instruction, le montant de la dotation de lEtat est calcul, par

    service et chaque anne, aprs avoir dduit du budget allou les recettes en attnuation et appliqu

    le pourcentage correspondant la quote-part Etat.

    Autrement dit, laugmentation du budget dun ou de plusieurs service(s) lanne N+1 par rapport

    lanne N nentrane pas ncessairement daugmentation de la DRL : en effet, si la quote-part de

    lEtat diminue pour un service donn, compte tenu de la composition des prestations sociales

    perues, la DRL peut elle-mme diminuer.

    Le tableau ci-dessous prsente le cas o, malgr laugmentation des budgets allous aux services

    mandataires, la DRL diminue du fait dune baisse de la quote-part Etat plus importante que la hausse

    des budgets.

    Par consquent, hormis lapplication des taux dvolution relatifs leffet prix, une variation de la

    DRL de votre rgion en 2015 peut tre lie :

    - si elle est la baisse : soit la diminution de la quote-part de lEtat dont limpact sur la DRL est plus

    important que lvolution la hausse des budgets, soit des mesures dconomies sur les services

    les mieux dots, soit au cumul de ces deux effets ;

    - si elle est la hausse : soit une augmentation de la quote-part de lEtat, soit des mesures

    nouvelles accordes aux services les moins dots, soit au cumul de ces deux effets

    Budget DGFQuote-Part

    EtatMontant part

    Etat Budget

    N+1DGF

    Quote-Part Etat

    Montant part Etat

    Taux d'volution du budget

    Taux d'volution

    part Etat

    Service 1 3 550 000 3 017 500 52,5% 1 584 188 3621000 3 077 850 51% 1 569 704 2,00% -0,9%

    Service 2 150 000 127 500 42,3% 53 933 152130 129 311 43% 55 604 1,42% 3,1%

    Service 3 500 000 425 000 37,5% 159 375 511 500 434 775 37% 160 867 2,30% 0,9%

    Service 4 2 300 000 1 955 000 48,3% 944 265 2 339 100 1 988 235 47,50% 944 412 1,70% 0,0%

    TOTAL 6 500 000 5 525 000 49,6% 2 741 760 6623730 5 630 171 48,5% 2 730 585 1,90% -0,4%

    Exercice N Exercice N+1

    Services MJPM

  • Rgions Montant des DRL 2015

    Alsace 3 888 548

    Aquitaine 12 456 357

    Auvergne 5 018 511

    Bourgogne 6 303 709

    Bretagne 14 861 540

    Centre 9 623 629

    Champagne-Ardennes 3 792 682

    Corse 483 729

    Franche-Comt 4 776 523

    Ile de France 23 946 890

    Languedoc-Roussillon 7 039 816

    Limousin 2 904 518

    Lorraine 6 666 585

    Midi-Pyrnes 8 597 833

    Nord-Pas-De-Calais 16 208 542

    Basse-Normandie 7 589 123

    Haute-Normandie 7 261 708

    Pays-de-Loire 12 859 740

    Picardie 5 982 738

    Poitou-Charentes 9 112 017

    Provence-Alpes-Cte-D'Azur 11 471 019

    Rhne-Alpes 21 405 242

    guyane 136 508

    guadeloupe 682 871

    martinique 322 097

    runion 1 488 023

    TOTAL 204 880 498

    Tableau des DRL

  • An

    nex

    e 3

    :

    Mo

    dal

    its

    de

    calc

    uls

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    ject

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    es in

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    ateu

    rs a

    pp

    licab

    les

    aux

    serv

    ices

    man

    dat

    aire

    s ju

    dic

    iair

    es

    la p

    rote

    ctio

    n d

    es

    maj

    eurs

    et

    aux

    serv

    ices

    dl

    gu

    s a

    ux

    pre

    stat

    ion

    s fa

    mili

    ales

    Le

    s in

    dica

    teur

    s, p

    rvu

    s pa

    r le

    dc

    ret b

    udg

    taire

    et c

    ompt

    able

    (ar

    ticle

    R .3

    14-2

    8 et

    sui

    vant

    s) s

    ont d

    es o

    utils

    per

    met

    tant

    au

    finan

    ceur

    :

    - d

    appr

    cie

    r la

    str

    uctu

    re d

    es c

    harg

    es d

    un

    serv

    ice,

    lac

    tivit

    et l

    e ty

    pe d

    e po

    pula

    tion

    accu

    eilli

    e -

    de c

    ompr

    endr

    e le

    s co

    ts

    de fo

    nctio

    nnem

    ent d

    un

    serv

    ice

    par

    rapp

    ort a

    u se

    rvic

    e re

    ndu

    - de

    com

    pare

    r ce

    s co

    ts

    de f

    onct

    ionn

    emen

    t au

    x co

    ts

    de f

    onct

    ionn

    emen

    t de

    s au

    tres

    ser

    vice

    s fo

    urni

    ssan

    t de

    s pr

    esta

    tions

    com

    para

    bles

    et

    den

    app

    rci

    er le

    car

    act

    re ju

    stifi

    ou

    non

    -

    de m

    ieux

    cer

    ner,

    gr

    ce

    lan

    alys

    e de

    s di

    ffre

    ntes

    com

    posa

    ntes

    des

    indi

    cate

    urs,

    les

    part

    icul

    arit

    s de

    cha

    que

    stru

    ctur

    e.

    Lob

    ject

    if de

    s in

    dica

    teur

    s n

    est

    donc

    pas

    de

    dte

    rmin

    er u

    n ta

    rif u

    niqu

    e. C

    e so

    nt d

    es o

    utils

    au

    serv

    ice

    du t

    arifi

    cate

    ur p

    our

    laid

    er

    com

    pren

    dre

    les

    cot

    s de

    fon

    ctio

    nnem

    ent

    dun

    ser

    vice

    par

    rap

    port

    au

    serv

    ice

    rend

    u et

    ceu

    x de

    s se

    rvic

    es f

    ourn

    issa

    nt d

    es p

    rest

    atio

    ns c

    ompa

    rabl

    es e

    t d

    en

    appr

    cie

    r le

    car

    act

    re ju

    stifi

    ou

    non

    . E

    n ef

    fet,

    si u

    n se

    rvic

    e a

    des

    rsu

    ltats

    de

    plus

    ieur

    s in

    dica

    teur

    s qu

    i son

    t lo

    ign

    s de

    la m

    oyen

    ne e

    t de

    la m

    dia

    ne, a

    lors

    il d

    evra

    just

    ifier

    de

    fao

    n ci

    rcon

    stan

    cie

    qu

    e se

    s de

    man

    des

    budg

    tai

    res

    ne

    sont

    pa

    s an

    orm

    ales

    . A

    insi

    , la

    d

    mar

    che

    ne

    cons

    iste

    pa

    s

    sanc

    tionn

    er

    de

    fao

    n di

    scr

    tionn

    aire

    et

    syst

    mat

    ique

    un

    serv

    ice

    dont

    les

    rsu

    ltats

    de

    ces

    indi

    cate

    urs

    para

    trai

    ent

    au p

    rem

    ier

    abor

    d

    anor

    mau

    x

    mai

    s d

    inte

    rrog

    er le

    se

    rvic

    e su

    r le

    car

    act

    re j

    ustif

    i o

    u no

    n de

    sa

    dem

    ande

    . Il

    peut

    y a

    voir

    des

    cot

    s di

    ffre

    nci

    s pa

    rfai

    tem

    ent

    just

    ifis

    . L

    obje

    ctif

    est

    des

    saye

    r d

    iden

    tifie

    r ce

    ux q

    ui s

    ont

    inju

    stifi

    able

    s et

    abu

    sifs

    . Il

    ne f

    aut

    donc

    pas

    avo

    ir co

    mm

    e bu

    t sy

    stm

    atiq

    ue d

    alig

    ner

    tous

    les

    ser

    vice

    s su

    r le

    s co

    ts

    moy

    ens

    et m

    dia

    ns c

    ar p

    our

    cert

    ains

    la d

    iffr

    ence

    de

    cot

    s es

    t par

    faite

    men

    t jus

    tifi

    e.

    Lau

    torit

    de

    tar

    ifica

    tion

    doit

    donc

    ana

    lyse

    r le

    s di

    ffre

    ntes

    com

    posa

    ntes

    des

    indi

    cate

    urs

    pour

    lui p

    erm

    ettr

    e de

    mie

    ux c

    erne

    r le

    s pa

    rtic

    ular

    its

    de

    chaq

    ue s

    truc

    ture

    et

    just

    ifier

    les

    ca

    rts

    impo

    rtan

    ts.

    Ce

    st la

    rai

    son

    pour

    laqu

    elle

    lau

    torit

    de

    tar

    ifica

    tion

    doit

    disp

    oser

    du

    ne b

    atte

    rie d

    indi

    cate

    urs

    com

    plm

    enta

    ires

    entr

    e eu

    x. L

    e r

    sulta

    t d

    un s

    eul

    indi

    cate

    ur n

    est

    pas

    rv

    lat

    eur

    et n

    e pe

    rmet

    pas

    da

    ppr

    hend

    er t

    oute

    s le

    s sp

    cifi

    cit

    s d

    un

    serv

    ice.

    Les

    indi

    cate

    urs

    sont

    don

    c co

    mpl

    men

    taire

    s en

    tre

    eux.

    Lo

    bjec

    tif d

    e la

    dm

    arch

    e es

    t de

    sin

    terr

    oger

    sur

    la c

    ohr

    ence

    des

    rs

    ulta

    ts d

    e ce

    s di

    ffre

    nts

    indi

    cate

    urs

    pour

    ens

    uite

    int

    erro

    ger

    la s

    truc

    ture

    sur

    les

    l

    men

    ts d

    inte

    rpr

    tatio

    n qu

    elle

    a e

    lle-m

    me

    de c

    es r

    sul

    tats

    . Le

    s in

    dica

    teur

    s pe

    uven

    t don

    c au

    ssi

    tre,

    pou

    r le

    ges

    tionn

    aire

    , une

    aid

    e au

    pilo

    tage

    de

    sa s

    truc

    ture

    . C

    once

    rnan

    t les

    SM

    JPM

    et S

    DP

    F, d

    es in

    dica

    teur

    s sp

    cifi

    ques

    ont

    t

    la

    bor

    s. C

    ette

    sp

    cific

    it e

    st li

    e

    une

    mt

    hode

    d

    valu

    atio

    n de

    lac

    tivit

    re

    posa

    nt s

    ur u

    ne c

    ota

    tio

    n e

    n p

    oin

    ts d

    es m

    esu

    res.

    Plu

    s u

    ne

    mes

    ure

    nc

    essi

    te d

    e tr

    avai

    l p

    lus

    le n

    om

    bre

    de

    po

    ints

    aff

    ect

    c

    ette

    m

    esu

    re e

    st i

    mp

    ort

    ant.

    Le

    diff

    rent

    iel

    de c

    harg

    e de

    tra

    vail

    repo

    se s

    ur 3

    crit

    res

    : l

    a na

    ture

    de

    la m

    esur

    e, l

    e lie

    u d

    exer

    cice

    (do

    mic

    ile o

    u t

    ablis

    sem

    ent)

    et l

    a p

    riode

    de

    xerc

    ice

    (ouv

    ertu

    re, f

    erm

    etur

    e et

    ges

    tion

    cour

    ante

    ).

    Lap

    prc

    iatio

    n de

    la

    ctiv

    it d

    es a

    ssoc

    iatio

    ns n

    e se

    fai

    t do

    nc p

    as u

    niqu

    emen

    t au

    reg

    ard

    du n

    ombr

    e de

    mes

    ures

    mai

    s g

    alem

    ent

    au r

    egar

    d du

    no

    mbr

    e de

    poi

    nts.

    Ain

    si,

    la p

    rise

    en c

    ompt

    e de

    len

    sem

    ble

    des

    mes

    ures

    dan

    s le

    cad

    re d

    e la

    cot

    atio

    n pe

    rmet

    do

    bten

    ir le

    to

    tal

    des

    po

    ints

    du

    n

  • serv

    ice,

    qui

    a p

    our

    but

    dap

    prc

    ier

    lim

    port

    ance

    qua

    ntita

    tive

    de l

    activ

    it e

    t da

    ppr

    hend

    er d

    e m

    ani

    re p

    lus

    prc

    ise

    la c

    harg

    e de

    trav

    ail q

    ui p

    se

    sur

    celu

    i-ci.

    La v

    alor

    isat

    ion

    par

    une

    cota

    tion

    en p

    oint

    s de

    s ch

    arge

    s de

    trav

    ail d

    acc

    ompa

    gnem

    ent d

    es m

    ajeu

    rs p

    erm

    et d

    onc

    dob

    ject

    iver

    lac

    tivit

    r

    elle

    des

    ser

    vice

    s.

    Le s

    impl

    e co

    nsta

    t ar

    ithm

    tiq

    ue d

    u no

    mbr

    e de

    mes

    ures

    dc

    ide

    s pa

    r le

    s ju

    ges

    nes

    t pa

    s su

    ffisa

    nt p

    our

    argu

    men

    ter

    une

    augm

    enta

    tion

    ou u

    ne

    bais

    se c

    onco

    mita

    nte

    et s

    ymt

    rique

    des

    moy

    ens

    allo

    us.

    En

    effe

    t, un

    ser

    vice

    peu

    t avo

    ir un

    acc

    rois

    sem

    ent d

    u no

    mbr

    e de

    mes

    ures

    de

    10 %

    mai

    s un

    e au

    gmen

    tatio

    n de

    s po

    ints

    de

    5% e

    t in

    vers

    emen

    t. L

    augm

    enta

    tion

    rel

    le d

    e la

    cha

    rge

    de t

    rava

    il du

    ser

    vice

    sa

    ppr

    cie

    donc

    au

    rega

    rd d

    u no

    mbr

    e de

    poi

    nts

    et n

    on d

    u no

    mbr

    e de

    mes

    ures

    . Deu

    x se

    rvic

    es p

    euve

    nt a

    voir

    un n

    ombr

    e de

    mes

    ures

    iden

    tique

    s m

    ais

    un n

    ombr

    e de

    poi

    nts

    trs

    di

    ffre

    nt.

    Le s

    eul

    indi

    cate

    ur d

    e li

    nfla

    tion

    du n

    ombr

    e de

    mes

    ures

    est

    , pa

    r co

    nsq

    uent

    , tr

    op f

    rust

    re p

    our

    ajus

    ter

    corr

    ecte

    men

    t le

    s m

    oyen

    s de

    s se

    rvic

    es

    l

    volu

    tion

    rel

    le d

    e le

    ur a

    ctiv

    it e

    t de

    leu

    r ch

    arge

    de

    trav

    ail.

    La c

    otat

    ion

    perm

    et d

    onc

    daj

    uste

    r le

    s m

    oyen

    s au

    por

    tefe

    uille

    de

    mes

    ures

    . C

    e to

    tal

    de p

    oint

    s es

    t en

    suite

    util

    ise

    pou

    r ca

    lcul

    er u

    ne b

    atte

    rie d

    indi

    cate

    urs

    de n

    atur

    e di

    ffre

    nte

    : in

    dica

    teur

    s de

    pop

    ulat

    ion,

    da

    ctiv

    it,

    de

    stru

    ctur

    e et

    fin

    anci

    ers.

    Par

    all

    lem

    ent

    ce

    s in

    dica

    teur

    s co

    nstr

    uits

    p

    artir

    de

    la c

    otat

    ion

    des

    mes

    ures

    , d

    autr

    es i

    ndic

    ateu

    rs c

    omm

    uns

    le

    nsem

    ble

    des

    tab

    lisse

    men

    ts e

    t se

    rvic

    es s

    ocia

    ux e

    t m

    dic

    o-so

    ciau

    x s

    appl

    ique

    nt a

    ux S

    MJP

    M e

    t S

    DP

    F :

    indi

    cate

    ur d

    e qu

    alifi

    catio

    n, in

    dica

    teur

    de

    vie

    illes

    se te

    chni

    cit

    , tem

    ps a

    ctif

    mob

    ilisa

    ble,

    indi

    cate

    ur d

    u te

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    form

    atio

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    Lar

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    200

    9 fix

    ant

    les

    indi

    cate

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    des

    serv

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    et

    leur

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    de

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    ris e

    n ap

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    atio

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    R.

    314-

    29 d

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    dica

    teur

    s ap

    plic

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    sec

    teur

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    ind

    icat

    eurs

    fig

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    indi

    cate

    urs

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    fr

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    : Le

    poi

    ds m

    oyen

    de

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    par

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    esur

    e m

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    dica

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    indi

    cate

    urs

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    serv

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    ent

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    cit

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    rtan

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    Les

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    cate

    urs

    seco

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    res

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    onc

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    uer

    une

    com

    para

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    e de

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    cate

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    seco

    ndai

    res

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    l

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    indi

    cate

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    ins

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    par

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    utre

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    e d

    ind

    icat

    eurs

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    ateu

    rs

    Mo

    de

    de

    calc

    ul

    Ob

    ject

    ifs

    et in

    terp

    rta

    tio

    n

    Indi

    cate

    urs

    de p

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    atio

    n

    Poi

    ds m

    oyen

    de

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    esur

    e

    Indi

    cate

    ur d

    e r

    fre

    nce

    Tot

    al d

    es p

    oint

    s/

    tota

    l des

    mes

    ures

    en

    moy

    enne

    fin

    anc

    es

    Ap

    pr

    cie

    l'act

    ivit

    en

    fo

    nct

    ion

    de

    la lo

    urd

    eur

    de

    pri

    se e

    n c

    har

    ge

    des

    mes

    ure

    s.

    Cet

    indi

    cate

    ur p

    erm

    et d

    e d

    term

    iner

    la lo

    urd

    eur

    mo

    yen

    ne

    des

    mes

    ure

    s g

    re

    s p

    ar le

    ser

    vice

    . Plu

    s la

    val

    eur

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    et in

    dica

    teur

    est

    le

    ve

    plus

    les

    mes

    ures

    gr

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    par

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    onne

    ls s

    ont l

    ourd

    es.

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    eur

    sup

    rie

    ure

    l

    a m

    oye

    nn

    e n

    atio

    nal

    e: L

    e se

    rvic

    e pe

    ut a

    voir,

    par

    rap

    port

    l

    a r

    part

    ition

    m

    oyen

    ne n

    atio

    nale

    des

    mes

    ures

    , de

    s m

    esur

    es d

    ont

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    otat

    ion

    est

    plus

    impo

    rtan

    te :

    plus

    de

    mes

    ures

    dom

    icile

    ou

    plus

    de

    mes

    ures

    de

    cura

    telle

    ren

    forc

    e.

    Il pe

    ut p

    ar a

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    rs a

    voir

    un n

    ombr

    e pl

    us

    impo

    rtan

    t de

    sort

    ies

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    'ent

    res

    . V

    aleu

    r in

    fri

    eure

    l

    a m

    oye

    nn

    e n

    atio

    nal

    e: L

    e se

    rvic

    e pe

    ut a

    voir

    un n

    ombr

    e im

    port

    ant

    de m

    esur

    es

    dont

    la

    cota

    tion

    est

    plus

    fai

    ble

    : m

    esur

    es e

    n t

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    sem

    ent

    et/o

    u de

    s tu

    telle

    s ou

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    mes

    ures

    qui

    en

    tren

    t et s

    orte

    nt.

    Indi

    cate

    urs

    d'ac

    tivit

    Nom

    bre

    de

    poin

    ts p

    ar

    ET

    P

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    gu

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    es

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    rson

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    Indi

    cate

    ur d

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    fre

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    Tot

    al d

    es

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    es m

    oye

    ns

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    erso

    nn

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    tu

    tla

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    par

    rap

    po

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    u n

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    bre

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    po

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    n ef

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    cate

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    poi

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    pris

    en

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    ar c

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    . Il

    se d

    clin

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    ur l'

    ense

    mbl

    e du

    per

    sonn

    el,

    pour

    le

    s d

    lgu

    s e

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    es a

    utre

    s pe

    rson

    nels

    . Il

    est

    plus

    per

    tinen

    t de

    pre

    ndre

    en

    com

    pte

    le n

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    po

    ints

    gr

    s p

    ar l'

    ense

    mbl

    e du

    per

    sonn

    el c

    ar c

    ela

    perm

    et d

    e ne

    utra

    liser

    les

    choi

    x or

    gani

    satio

    nnel

    s de

    s se

    rvic

    es.

    Val

    eur

    sup

    rie

    ure

    l

    a m

    oye

    nn

    e n

    atio

    nal

    e: l

    a ch

    arge

    de

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    ail

    qui

    pse

    sur

    les

    per

    sonn

    els

    est

    impo

    rtan

    te p

    ar r

    appo

    rt

    la

    moy

    enne

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    ette

    val

    eur

    doit

    tre

    com

    par

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    ec l

    e po

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    moy

    en d

    e la

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    esur

    e.

    Deu

    x si

    tuat

    ions

    peu

    vent

    se

    prs

    ente

    r :

    - so

    it la

    val

    eur

    du p

    oids

    moy

    en d

    e la

    mes

    ure

    est

    gal

    emen

    t l

    eve

    , ce

    la s

    igni

    fie q

    ue le

    s pe

    rson

    nels

    de

    ce

    serv

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    gre

    nt d

    es m

    esur

    es p

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    des

    et q

    ue l

    es m

    oyen

    s en

    per

    sonn

    el n

    e so

    nt p

    as

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    sant

    s. U

    n aj

    uste

    men

    t de

    vrai

    t se

    fai

    re p

    ar l

    'em

    bauc

    he d

    e pe

    rson

    nels

    sup

    plm

    enta

    ires

    afin

    de

    com

    pens

    er c

    ette

    cha

    rge

    de tr

    avai

    l. -

    soit

    la v

    aleu

    r du

    poi

    ds m

    oyen

    de

    la m

    esur

    e se

    situ

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    ns la

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    enne

    nat

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    frie

    ure

    : la

    cha

    rge

    de t

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    ppl

    men

    taire

    qui

    ps

    e su

    r le

    s pe

    rson

    nels

    ne

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    as li

    e

    des

    mes

    ures

    plu

    s lo

    urde

    s m

    ais

    uniq

    uem

    ent

    des

    moy

    ens

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    erso

    nnel

    inad

    qua

    ts a

    u re

    gard

    de

    la c

    harg

    e de

    trav

    ail

    qui p

    se

    sur

    le p

    erso

    nnel

    . V

    aleu

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    fri

    eure

    l

    a m

    oye

    nn

    e n

    atio

    nal

    e: L

    a ch

    arge

    de

    trav

    ail p

    esan

    t su

    r le

    s pe

    rson

    nels

    est

    moi

    ns

    impo

    rtan

    te q

    ue d

    ans

    les

    autr

    es s

    ervi

    ces

    soit

    parc

    e qu

    e so

    n pa

    nier

    de

    mes

    ures

    est

    com

    pos

    de

  • Typ

    e d

    ind

    icat

    eurs

    In

    dic

    ateu

    rs

    Mo

    de

    de

    calc

    ul

    Ob

    ject

    ifs

    et in

    terp

    rta

    tio

    n

    mes

    ures

    moi

    ns l

    ourd

    es,

    soit

    parc

    e qu

    e le

    s m

    oyen

    s en

    per

    sonn

    el s

    ont

    trop

    im

    port

    ants

    au

    rega

    rd d

    es

    mes

    ures

    pris

    es e

    n ch

    arge

    . C

    e se

    rvic

    e se

    ra

    donc

    en

    m

    esur

    e d'

    abso

    rber

    un

    e ce

    rtai

    ne

    augm

    enta

    tion

    de

    son

    activ

    it

    sans

    re

    crut

    emen

    t de

    pers

    onne

    l sup

    plm

    enta

    ire.

    C

    ot d

    e l'i

    nter

    vent

    ion

    des

    dl

    gus

    Dp

    ense

    s de

    pe

    rson

    nels

    d

    lgu

    s

    la

    tute

    lle/T

    emps

    act

    if m

    obili

    sabl

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    AM

    )

    Mes

    ure

    le c

    o

    t d

    es in

    terv

    enti

    on

    s au

    pr

    s d

    es u

    sag

    ers

    ho

    rs le

    s ch

    arg

    es d

    e st

    ruct

    ure

    V

    aleu

    r su

    pr

    ieu

    re

    la

    mo

    yen

    ne

    nat

    ion

    ale

    : Le

    co

    t de

    lin

    terv

    entio

    n de

    s d

    lgu

    s e

    st d

    onc

    plus

    im

    port

    ant q

    ue d

    ans

    les

    autr

    es s

    ervi

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    Cec

    i est

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    it

    des

    char

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    erso

    nnel

    s d

    lgu

    s

    la

    tut

    elle

    tro

    p l

    eve

    s pa

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    ppor

    t au

    x au

    tres

    ser

    vice

    s (v

    oir

    les

    vale

    urs

    des

    indi

    cate

    urs

    viei

    lless

    e te

    chni

    cit

    , la

    stru

    ctur

    e de

    qua

    lific

    atio

    n (a

    ttent

    ion

    ces

    indi

    cate

    urs

    conc

    erne

    nt l

    ense

    mbl

    e de

    s pe

    rson

    nels

    m

    ais

    ils p

    euve

    nt d

    onne

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    s pr

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    rs

    lm

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    gus

    .

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    e d

    ind

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    In

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    ateu

    rs

    Mo

    de

    de

    calc

    ul

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    ifs

    et in

    terp

    rta

    tio

    n

    Indi

    cate

    ur d

    e pe

    rson

    nel

    indi

    cate

    ur d

    u te

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    atio

    n

    Nom

    bre

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    ures

    de

    form

    atio

    n r

    alis

    es

    par

    les

    dl

    gus

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    telle

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    bre

    tota

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    valu

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    s ac

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    n f

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    e la

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    rmat

    ion

    C

    et in

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    teur

    per

    met

    d

    valu

    er le

    s ac

    tions

    de

    la s

    truc

    ture

    en

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    ur d

    e la

    for

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    ion.

    La

    vale

    ur d

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    teur

    dev

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    ress

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    nn

    e n

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    rson

    nel

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    le

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    u tr

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    ures

    moi

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    enne

    que

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    autr

    es s

    ervi

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    r la

    val

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    e la

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    esur

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    el e

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    rop

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    rtan

    t au

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    de c

    ette

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    rge

    de t

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    erni

    re

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    ion

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    rait

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    que

    seu

    les

    les

    char

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    oir

    une

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    nce

    avec

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    ombr

    e de

    poi

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    rson

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    a m

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    u re

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    la c

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    soit

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    e d

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    tr

    e fa

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    indi

    cate

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    teur

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    aleu

    r d

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    u bu

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    ser

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    alis

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    es m

    esu

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    pri

    ses

    en c

    har

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    La

    vale

    ur

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    aleu

    r su

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    yen

    ne

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    Les

    moy

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    ervi

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    ont

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    rtan

    ts a

    u re

    gard

    de

    la lo

    urde

    ur d

    es m

    esur

    es q

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    autr

    es in

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    teur

    s po

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    it le

    ser

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    es m

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    moy

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    moy

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    impo

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    corr

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    rega

    rd d

    u no

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    poi

    nts

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    s ce

    son

    t le

    s ch

    arge

    s de

    per

    sonn

    el q

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    rop

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    es

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    s ce

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    dev

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    oir

    une

    disc

    orda

    nce

    entr

    e le

    nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r E

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    a m

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    ne)

    et l

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    nnel

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    teur

    de

    form

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    n, q

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    icat

    ion

    des

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    onne

    ls,

    indi

    cate

    ur

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    V

    aleu

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    Cel

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    - so

    it qu

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    ser

    vice

    gr

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    rs

    lour

    des

    par

    rapp

    ort

    aux

    moy

    ens

    qui

    lui

    sont

    allo

    us.

    Il

    faut

    vr

    ifier

    cet

    te i

    nter

    prt

    atio

    n pa

    r le

    bia

    is n

    otam

    men

    t de

    lin

    dica

    teur

    rel

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    au n

    ombr

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    poi

    nts

    par

    ET

    P o

    u du

    poi

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    oyen

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    i les

    val

    eurs

    de

    ces

    deux

    indi

    cate

    urs

    sont

    le

    ves

    par

    rap

    port

    aux

    val

    eurs

    moy

    enne

    s et

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    s r

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    ales

    ou

    dpa

    rtem

    enta

    les

    alor

    s il

    pour

    rait

    tre

    just

    ifi,

    dan

    s un

    e lo

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    n de

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    otr

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    oyen

    s du

    ser

    vice

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    r le

    mba

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    de

    pers

    onne

    ls s

    uppl

    men

    taire

    s.

    - so

    it qu

    e se

    s ch

    arge

    s no

    tam

    men

    t de

    per

    sonn

    el s

    ont

    asse

    z fa

    ible

    s pa

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    ppor

    t au

    x au

    tres

    ser

    vice

    s.

    Cet

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    prt

    atio

    n do

    it qu

    ant

    el

    le

    tre

    vrif

    ie

    par

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    iais

    des

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    eurs

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    vale

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    onne

    l ou

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    cate

    ur-

    viei

    lless

    e te

    chni

    cit

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    rson

    nel a

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    enne

    t f

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    vale

    urs

    de c

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    dica

    teur

    s pe

    rmet

    tent

    de

    voir

    si le

    s c

    arts

    son

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    tifi

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    par

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    tres

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    els/

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    onne

    l en

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    Per

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    com

    par

    er l

    es m

    oye

    ns

    en p

    erso

    nn

    el e

    t le

    s ch

    oix

    eff

    ectu

    s d

    ans

    l'org

    anis

    atio

    n d

    u

    serv

    ice

    En

    effe

    t, un

    se

    rvic

    e tu

    tla

    ire

    peut

    op

    ter

    soit

    pour

    un

    e or

    gani

    satio

    n o

    de

    s se

    rvic

    es

    jurid

    ique

    s,

    adm

    inis

    trat

    ifs,

    com

    ptab

    les

    appu

    ient

    le

    d

    lgu

    la

    tute

    lle

    qui,

    lui,

    orie

    nte

    son

    activ

    it

    sur

    lacc

    ompa

    gnem

    ent

    la

    per

    sonn

    e, s

    oit

    rest

    rein

    dre

    ces

    diff

    rent

    s se

    rvic

    es e

    t co

    nfie

    r au

    x d

    lgu

    s d

    es

    tch

    es a

    utre

    s qu

    e la

    ccom

    pagn

    emen

    t la

    per

    sonn

    e.

  • DIRECTION GENERALEDE LA COHESION SOCIALE

    Services mandataires judiciaires la protection

    des majeurs

    Annexe 4

  • Nom

    bre

    Tau

    x v

    olut

    ion/

    N-1

    Nom

    bre

    Tau

    x v

    olut

    ion/

    N

    Mes

    ures

    au

    31/1

    2 (s

    ans

    sauv

    egar

    de)

    332

    930

    342

    860

    3,0%

    353

    688

    3,2%

    Mes

    ures

    au

    31/1

    2 (a

    vec

    sauv

    egar

    de)

    337

    488

    348

    192

    3,2%

    359

    200

    3,2%

    Mes

    ures

    en

    moy

    enne

    dan

    s l'a

    nne

    (a

    vec

    sauv

    egar

    de)

    335

    433

    343

    816

    2,5%

    354

    404

    3,1%

    ET

    P

    11 5

    7211

    864

    2,5%

    12 2

    092,

    9%

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s43

    870

    716

    44 9

    03 6

    272,

    4%46

    361

    475

    3,25

    %

    2013

    2014

    2015

    Poi

    ds m

    oyen

    de

    la m

    esur

    e m

    ajeu

    r pr

    otg

    10

    ,90

    10,8

    810

    ,90

    Val

    eur

    du p

    oint

    ser

    vice

    14,2

    514

    ,25

    14,4

    7

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r E

    TP

    3 79

    13

    785

    3 79

    7

    Nom

    bre

    de m

    esur

    e "m

    oyen

    ne"

    par

    ET

    P28

    ,72

    28,6

    728

    ,77

    2013

    2014

    2015

    Val

    eur

    du p

    oint

    aff

    ren

    t au

    x d

    pens

    es

    de p

    erso

    nnel

    don

    t :

    11,6

    711

    ,74

    11,9

    3

    - V

    aleu

    r du

    poi

    nt d

    lg

    u

    6,00

    6,09

    6,18

    - V

    aleu

    r du

    poi

    nt a

    utre

    s pe

    rson

    nels

    5,67

    5,65

    5,74

    Indi

    cate

    urs

    seco

    ndai

    res

    lis

    aux

    grou

    pes

    fonc

    tion

    nels

    -Moy

    enne

    s

    Tab

    leau

    de

    bord

    rel

    atif

    aux

    indi

    cate

    urs-

    Moy

    enne

    s

    Indi

    cate

    urs

    de r

    fr

    ence

    -Moy

    enne

    s

    Don

    nes

    gn

    ral

    es

    2013

    2014

    2015

    (Pr

    visi

    onne

    l)

  • Nom

    bre

    de p

    oste

    s E

    TP

    (en

    %)

    2013

    2014

    2015

    Dl

    gu

    s 51

    ,2%

    51,2

    %51

    ,4%

    Aut

    res

    pers

    onne

    l48

    ,8%

    48,8

    %48

    ,6%

    Indi

    cate

    ur d

    e qu

    alif

    icat

    ion

    en 2

    013

    Niv

    eau

    I(H

    1/H

    )N

    ivea

    u II

    (H2/

    H)

    Niv

    eau

    III

    (H3/

    H)

    Niv

    eau

    IV(H

    4/H

    )N

    ivea

    uV(H

    5/H

    )N

    ivea

    u V

    I(H

    6/H

    )

    Niv

    eaux

    I

    V

    I

    %3,

    3%9,

    2%56

    ,7%

    16,8

    %12

    ,8%

    1,2%

    100,

    0%

    Indi

    cate

    ur d

    e fo

    rmat

    ion

    2013

    2014

    2015

    nb d

    'h/E

    TP

    36,2

    33,2

    29,3

    Indi

    ce d

    e vi

    eille

    sse-

    tech

    nici

    t e

    n 20

    131,

    25

    2013

    2014

    2015

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r l'e

    nsem

    ble

    des

    ET

    P3

    791

    3 78

    53

    797

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r E

    TP

    dl

    gu

    s 7

    406

    7 39

    27

    385

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r E

    TP

    aut

    res

    pers

    onne

    ls7

    767

    7 75

    67

    816

    2013

    TA

    M p

    ar r

    appo

    rt

    la

    dur

    e th

    ori

    que

    annu

    elle

    de

    trav

    ail

    Indi

    cate

    ur d

    e te

    mps

    act

    if m

    obili

    sabl

    e0,

    94

    2013

    Co

    t de

    l'in

    terv

    enti

    on d

    es d

    lg

    us

    29,8

    5

    Indi

    cate

    urs

    d'ac

    tivi

    t-M

    oyen

    nes

    Indi

    cate

    urs

    rela

    tifs

    au

    pers

    onne

    l-M

    oyen

    nes

  • 2013

    2014

    2015

    Poi

    ds m

    oyen

    de

    la m

    esur

    e m

    ajeu

    r pr

    otg

    11

    ,06

    11,0

    911

    ,11

    Val

    eur

    du p

    oint

    ser

    vice

    14,5

    214

    ,50

    14,5

    5

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r E

    TP

    3 81

    33

    758

    3 73

    3

    Nom

    bre

    de m

    esur

    e "m

    oyen

    ne"

    par

    ET

    P28

    ,89

    28,4

    728

    ,28

    2013

    2014

    2015

    Val

    eur

    du p

    oint

    aff

    ren

    t au

    x d

    pens

    es

    de p

    erso

    nnel

    don

    t :

    12,0

    011

    ,96

    11,8

    4

    - V

    aleu

    r du

    poi

    nt d

    lg

    u

    6,04

    6,13

    6,15

    - V

    aleu

    r du

    poi

    nt a

    utre

    s pe

    rson

    nels

    5,46

    5,57

    5,60

    Nom

    bre

    de p

    oste

    s E

    TP

    (en

    %)

    2013

    2014

    2015

    Dl

    gu

    s 51

    ,19%

    51,2

    0%51

    ,42%

    Aut

    res

    pers

    onne

    l48

    ,81%

    48,8

    0%48

    ,58%

    Tab

    leau

    de

    bord

    rel

    atif

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    indi

    cate

    urs-

    Md

    iane

    s

    Indi

    cate

    urs

    de r

    fr

    ence

    -Md

    iane

    s

    Indi

    cate

    urs

    rela

    tifs

    au

    pers

    onne

    l-M

    dia

    nes

    Indi

    cate

    urs

    seco

    ndai

    res

    lis

    aux

    grou

    pes

    fonc

    tion

    nels

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  • Indi

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    ur d

    e qu

    alif

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    en 2

    013

    Niv

    eau

    I(H

    1/H

    )N

    ivea

    u II

    (H2/

    H)

    Niv

    eau

    III

    (H3/

    H)

    Niv

    eau

    IV(H

    4/H

    )N

    ivea

    uV(H

    5/H

    )N

    ivea

    u V

    I(H

    6/H

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    Niv

    eaux

    I

    V

    I

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    3%6,

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    cate

    ur d

    e fo

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    2013

    2014

    2015

    nb d

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    t e

    n 20

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    2013

    2014

    2015

    Nom

    bre

    de p

    oint

    s pa

    r l'e

    nsem

    ble

    des

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    P3

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    Nom

    bre

    de p

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    Nom

    bre

    de p

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    s pa

    r E

    TP

    aut

    res

    pers

    onne

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    838

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    67

    805

    2013

    TA

    M p

    ar r

    appo

    rt

    la

    dur

    e th

    ori

    que

    annu

    elle

    de

    trav

    ail

    Indi

    cate

    ur d

    e te

    mps

    act

    if m

    obili

    sabl

    e0,

    94

    2013

    Co

    t de

    l'in

    terv

    enti

    on d

    es d

    lg

    us

    29,5

    5

    Indi

    cate

    urs

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  • Nom

    bre

    de m

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    oyen

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