Infrastructures de Montréal les défis du plan dintervention (PI) Présenté par Normand Hachey...

Infrastructures de Montréalles défis du plan d’intervention (PI)

Présenté parNormand Hachey ing. Ville de Montréal

Raymond Leclerc ing. Le groupement CGT (CIMA+,GENIVAR, Tecsult)

Introduction Objectifs du plan d’interventionLes défis de gestionLes solutions de gestion Les défis technologiques Les solutions technologiquesTechnologies innovantes

PLAN DE LA PRÉSENTATION

Plan d’intervention

La Ville de Montréal en bref

• 19 arrondissements et 4 unités administratives qui se partagent la gestion des infrastructures

• 5600 km de chaussées• Plus de 5 000 km de réseau d’aqueduc• Plus de 7000 km de réseau d’égouts• La fourniture d’eau potable et traitement des eaux

usées pour 14 villes liées

INTRODUCTION


Le plan d’intervention de Montréal

• Débuté en 2005, la Ville prévoit compléter son plan d’intervention fin 2009.

• Près de 50 personnes y travaillent à temps plein depuis 2005.

• À la fin du plan, la Ville aura répertorié et analysé plus de 125 000 plans, relevé plus de 200 000 éléments des réseaux d’aqueduc et d’égouts et évaluer l’état de plus de 12 000 km de réseau.

• D’ici 2010, la Ville aura investi plus de 45 M.

INTRODUCTION


Établir les priorités de renouvellement

Préciser les investissements requis

Mettre en place un environnement informatique supportant la prise de décisions

Faciliter une accessibilité rapide à des données fiables

Développer des synergies et assurer une meilleure coordination avec les autres réseaux techniques urbains

Développer une solide base de connaissance relative à l’inventaire

et l’état des réseaux

Élargir l’éventail des techniques

d’intervention

PI

SIAD( Systèmes intégré d’aide à la décision )

Réseaux numérisésRéseaux numérisés

Données historiques +Collecte de données

LES OBJECTIFS DU PLAN D’INTERVENTION


Le nombre d’intervenants• Unités administratives et arrondissments

Compréhension des besoins• Adapter les outils de gestion aux processus d’affaires de la Ville • Répondre aux besoins d’une variété d’usagers

Communications• Diffuser l’information• Consulter l’ensemble des usagers

Partage et transfert des connaissances• Transfert de l’expertise de la Ville au projet • Transfert des connaissances développées au projet à la Ville

LES DÉFIS DE GESTION


Dès la planification du projet, la ville comprend que pour réaliser ce projet en cinq ans, l’interrelation entre les consultants et la Ville doit être constante.

Pour ce faire, la ville fait deux (2) choix :

1. Elle crée un bureau de projet;

2. Elle partage le mandat entre la Ville et le consultant (les relevés terrain et la

numérisation des réseaux sont partagés 50 % la Ville / 50 % le Groupement CGT).

LES SOLUTIONS DE GESTION


Pourquoi le bureau de projet ?

• Priorise l’atteinte des objectifs;• Permet l’implication directe des employés municipaux

au projet (comités de travail, etc.);• Permet au consultant d’avoir une meilleure

compréhension du cadre administratif de la Ville;• Favorise l’adhésion des partenaires au projet tant du

côté de la Ville que du côté des consultants;• Facilite le transfert des connaissances entre le projet

et les services de la Ville;




Le Bureau de projet coordonne plusieurs intervenants.

Arrondissements

DTI

DPEP

DGSRE

DEEU

CGT

Villesliées

Géomatique

BUREAU DE

PROJET


Avantages du partage du mandat

• Permet de développer une expertise à l’interne qui sera cruciale pour la pérennité du projet;

• Permet d’identifier plus rapidement les problèmes;• Permet d’établir un équilibre entre les besoins du

projet et ceux de la Ville;• Permet à la Ville de mieux évaluer les besoins de

mises à jour.




Vers des systèmes de gestion performants et ouvertsUne meilleure connaissance de nos infrastructures

Une approche évolutive de gestion des actifs

Approche verticalepar silos

Ville

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Approche horizontale intégrée par processus d’affaires

PI

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Ville

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Uni

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AVANCEMENT DU PROJET


Plusieurs gestionnaires d’unités différentes (services centraux: 4, arrondissements :19, villes liées : 14)

Plusieurs réseaux sous différentes formes Plusieurs sources de données d’opération et d’état Plusieurs logiciels spécialisés (balancement

hydraulique, gestion d’actifs, d’opération et entretien) Aucun lieu commun d’échanges Besoin de coordination et de partage d’informations

LES DÉFIS TECHNOLOGIQUES


Un outil de diffusionUn seul réseau numérisé d’aqueduc et

d’égoutsUn modèle de données universelUne stratégie d’auscultation

LES SOLUTIONS PROPOSÉES


Le Navigateur Urbain JMAP

UN OUTIL DE DIFFUSION


Le Navigateur Urbain JMAP

LES RÉSEAUX NUMÉRISÉS


MODÈLE DE DONNÉES UNIVERSEL

ORACLE SPATIALDONNÉES SPATIALESDONNÉES OPÉRATIONNELLES

APPLICATION WEB

APPLICATION EAUOUTILS DE NUMÉRISATION

DIFFUSION PLANAUTOCADMICRO-STAIONMATRICIELLE, JPG, PDF

MISE À JOUR

PROJECT WISE, MICRO-STATION

SERVEUR IMAGE

G:\UPP_POL.TXT

CLIENTS:- DIRECTION DE LA PRODUCTION DE L’EAU POTABLE- DIRECTION DE L’ÉPURATION DES EAUX USÉES- DGSRE- PLAN D’INTERVENTION- PLANS ET PROFILS- CONSULTANT EXTERNE- 19 ARRONDISSEMENTS- 15 VILLES LIÉES

ORACLE

DONNÉES OPÉRATIONNELLES

DIFFUSION GISMAP INFO, ANALYSE SPATIALAUTOCAD MAPMICRO-STAION V8 GEOGRAPHICBASE DONNÉES, ORACLEFME

DONNÉES DES RÉSEAUX D’AQUEDUC ET D’ÉGOUTS

APPLICATIONSGDCDGT

LOGICIELS SPÉCIALISÉSAQUAGÉOXPSWMM

SIAD

GESTION DE DONNÉES D’ÉTATCANALIS

GESTION DE DONNÉES D’OPÉRATION

AUTRES

Plan d’intervention Avantages

• Réduire les efforts de mise à jour• Partager l’ensemble des informations avec tous les

gestionnaires de réseaux• Récupérer des informations spécifiques d’une

application pour l’utilisation par une autre application, exemples :

– CHW du logiciel de balancement →modèle universel→SIAD – Planification travaux SIAD→modèle universel→SIG pour

diffusion

MODÈLE DE DONNÉES UNIVERSEL


Identification des conduites sensibles

Approche proactive

Conduites critiques

Évaluation des besoins en inspection de dépistage

Information disponible pour l’ensemble des infrastructures

Définir les critères et niveaux de performance

Évaluer les performances actuels des réseaux

(SIAD, PIPs, diagnostics partiels)

Approche réactive

Définir les priorités d’inspection de dépistage

Conduite respecte critères et niveaux de performance

Auscultation de dépistage

Planification stratégique

Auscultation

Préparation du programme d’auscultation

oui

non

non

Auscultation de diagnostic

oui

Faire suivi selon prescriptions

STRATÉGIE D’AUSCULTATION


AVANTAGES • Optimiser les dépenses d’auscultation• Critères uniformes pour les gestionnaires• Prioriser en fonction des risques• Établir des normes de saisies des résultats• Établir des budgets annuels par type de

conduites

STRATÉGIE D’AUSCULTATION

Plan d’intervention Remplacement des entrées en plomb Capacité structurale des conduites d’égout

ovoïdes en briques Réparation ponctuelle des conduites ovoïdes en

briques Détection des vides autour des conduites non

visitables Mécanismes de dégradation des conduites en

fonte Nouvelles technologies d’auscultation

TECHNOLOGIES INNOVANTES


• Inspection télévisée de collecteur avec Sonar

TECHNOLOGIES INNOVANTES


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