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Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 1. Inelia Benz Traduction : The Avalon Translation Project 10 mars 2011 www.projectavalon.net Bill Ryan (Bill) : Bonjour. Ici Bill, de Project Avalon. Vous allez voir l’interview d’une femme absolument remarquable, dont j’ai fait récemment la connaissance et qui est devenue une amie proche. Cet entretien parle de sa mission envers cette planète et de ses capacités extraordinaires et remarquables. Au cours des deux prochaines heures, Inelia va nous préciser ce qu’elle sait faire et ce qu’elle a déjà fait, les joies et les difficultés qu’elle a vécues lorsqu’elle était enfant, et comment elle utilise aujourd’hui, en toute responsabilité, ses pouvoirs considérables. Une histoire vraiment extraordinaire que je vous invite à écouter jusqu’au bout. Pourquoi cette petite introduction ? Parce qu’il est très important de souligner que les capacités psychiques tout à fait extraordinaires présentées dans cette interview ne sont pas les dons d’une personne particulièrement exceptionnelle, auxquels nous ne pourrions aspirer. Ces dons, tout être humain les possède. C’est le message d’Inelia pour nous. C’est ce qu’elle affirme, bien qu’elle vienne d’un lieu, disons... insolite. Sa mission est inhabituelle, son incarnation aussi. Ses dons sont ceux des humains. Ce qu’elle veut que nous comprenions tous, c’est que ces dons sont un droit de naissance, et que les contrôleurs de cette planète NE VEULENT PAS que nous sachions que nous les possédons. Mais eux, bien sûr, les utilisent. Autre remarque importante sur cette interview : la magie à défaut d’un meilleur mot – c’est intéressant et spectaculaire. Elle fascine les humains depuis des générations, depuis des milliers d’années, c’est bien compréhensible. Mais elle n’est pas une fin en soi. Il est important de comprendre, comme le dit Inelia dans son interview, que ces capacités magiques sont des produits dérivés acquis par toute personne évoluant sur une voie authentiquement spirituelle. Ceci est bien sûr attesté par de nombreux grands maîtres dans nombre de traditions. Ces capacités sont intéressantes mais pas une fin en soi. Pas un objectif à atteindre en tant que tel. Ce serait un piège. C’est une impasse. Cela ne mène en fait nulle part, sinon probablement à satisfaire son ego. En écoutant Inelia, vous verrez qu’on y trouve bien peu d’ego. Elle donne son témoignage simplement, et dit que vous aussi pouvez faire exactement comme elle. Vous aussi avez la capacité de changer l’univers qui vous entoure. Vous aussi pouvez, comme elle l’affirme, créer votre propre ligne temporelle. Créer votre propre avenir. Et, à nous tous, en prenant nos responsabilités et en assumant notre pouvoir, nous pouvons créer le monde que nous souhaitons. Merci. Bill : Ici Bill Ryan, de Project Avalon. Nous sommes le 10 mars 2011. Et je suis avec Inelia. Inelia, pourriez-vous prononcer votre très harmonieux nom de famille : je suis incapable de le faire. Inelia Benz (Inelia) : OK. Mon nom complet, c’est Inelia del Pilar Ahumada Avila. On me connaît aussi sous le nom d’Inelia Benz. Bill : Bien. Et vous êtes née au Chili, n’est-ce pas ? Inelia : Oui. Bill : OK. Et pour simplifier, car c’est une autre histoire – vous avez quitté le Chili comme réfugiée. Exact ? Inelia : Exact. Oui. Bill : Pour finir en Angleterre. Je ne me trompe pas ? Inelia : Nous sommes arrivés à Nottingham, en Angleterre. J’y ai plus ou moins grandi. Et suis restée là pas mal de temps. Puis l’Irlande, pendant neuf ans. Je suis allée à la fac en Irlande. Puis, adulte, je suis revenue deux ou trois ans au Chili pour régler des histoires de propriété de famille et autres. Ensuite j’ai vécu quelques années en Espagne, puis retour en Angleterre. Cela fait maintenant 6 ans que je suis aux Etats-Unis. Bill : Comment est-ce possible : vous paraissez 22 ans ? [Petits rires.] Inelia : Oh, OK. Bon, on ne demande pas son âge à une dame. [Elle rit.] Bill : [Il rit.] Inelia : Donc, je ne vous le dirai pas. Mais je ne suis pas jeune. Bill : Vous n’êtes pas jeune. Inelia : Mais c’est très gentil. Bill : OK. La raison de cette interview... Nous aimerions savoir si nous sommes capables de décrire par des mots certaines de vos activités, de manière à les faire comprendre au public. Vous êtes puis-je le dire une des personnes les plus extraordinaires que j’aie rencontrée, bien que j’en aie rencontré un certain nombre. Et si je comprends bien, bizarrement, vous ne vous décririez même pas comme étant une personne. Ça va paraître étrange à ceux qui nous regardent. [Il rit.] Inelia : [Elle rit.] C’est vrai. Oui. Oui, parce que... [Elle s’éclaircit la gorge] quand je regarde une personne (ou les gens) sur Terre... habituellement mais pas toujours c’est une âme ou, disons, une étincelle divine qui serait

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  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 1.

    Inelia Benz Traduction : The Avalon Translation Project

    10 mars 2011

    www.projectavalon.net

    Bill Ryan (Bill) : Bonjour. Ici Bill, de Project Avalon. Vous allez voir linterview dune femme absolument remarquable, dont jai fait rcemment la connaissance et qui est devenue une amie proche.

    Cet entretien parle de sa mission envers cette plante et de ses capacits extraordinaires et remarquables. Au cours des deux prochaines heures, Inelia va nous prciser ce quelle sait faire et ce quelle a dj fait, les joies et les difficults quelle a vcues lorsquelle tait enfant, et comment elle utilise aujourdhui, en toute responsabilit, ses pouvoirs considrables.

    Une histoire vraiment extraordinaire que je vous invite couter jusquau bout.

    Pourquoi cette petite introduction ? Parce quil est trs important de souligner que les capacits psychiques tout fait extraordinaires prsentes dans cette interview ne sont pas les dons dune personne particulirement exceptionnelle, auxquels nous ne pourrions aspirer. Ces dons, tout tre humain les possde. Cest le message dInelia pour nous.

    Cest ce quelle affirme, bien quelle vienne dun lieu, disons... insolite. Sa mission est inhabituelle, son incarnation aussi. Ses dons sont ceux des humains. Ce quelle veut que nous comprenions tous, cest que ces dons sont un droit de naissance, et que les contrleurs de cette plante NE VEULENT PAS que nous sachions que nous les possdons. Mais eux, bien sr, les utilisent.

    Autre remarque importante sur cette interview : la magie dfaut dun meilleur mot cest intressant et spectaculaire. Elle fascine les humains depuis des gnrations, depuis des milliers dannes, cest bien comprhensible. Mais elle nest pas une fin en soi. Il est important de comprendre, comme le dit Inelia dans son interview, que ces capacits magiques sont des produits drivs acquis par toute personne voluant sur une voie authentiquement spirituelle.

    Ceci est bien sr attest par de nombreux grands matres dans nombre de traditions. Ces capacits sont intressantes mais pas une fin en soi. Pas un objectif atteindre en tant que tel. Ce serait un pige. Cest une impasse. Cela ne mne en fait nulle part, sinon probablement satisfaire son ego.

    En coutant Inelia, vous verrez quon y trouve bien peu dego. Elle donne son tmoignage simplement, et dit que vous aussi pouvez faire exactement comme elle. Vous aussi avez la capacit de changer lunivers qui vous entoure. Vous aussi pouvez, comme elle laffirme, crer votre propre ligne temporelle. Crer votre propre avenir. Et, nous tous, en prenant nos responsabilits et en assumant notre pouvoir, nous pouvons crer le monde que nous souhaitons.

    Merci.

    Bill : Ici Bill Ryan, de Project Avalon. Nous sommes le 10 mars 2011. Et je suis avec Inelia. Inelia, pourriez-vous prononcer votre trs harmonieux nom de famille : je suis incapable de le faire.

    Inelia Benz (Inelia) : OK. Mon nom complet, cest Inelia del Pilar Ahumada Avila. On me connat aussi sous le nom dInelia Benz.

    Bill : Bien. Et vous tes ne au Chili, nest-ce pas ?

    Inelia : Oui.

    Bill : OK. Et pour simplifier, car cest une autre histoire vous avez quitt le Chili comme rfugie. Exact ?

    Inelia : Exact. Oui.

    Bill : Pour finir en Angleterre. Je ne me trompe pas ?

    Inelia : Nous sommes arrivs Nottingham, en Angleterre. Jy ai plus ou moins grandi. Et suis reste l pas mal de temps. Puis lIrlande, pendant neuf ans. Je suis alle la fac en Irlande. Puis, adulte, je suis revenue deux ou trois ans au Chili pour rgler des histoires de proprit de famille et autres. Ensuite jai vcu quelques annes en Espagne, puis retour en Angleterre. Cela fait maintenant 6 ans que je suis aux Etats-Unis.

    Bill : Comment est-ce possible : vous paraissez 22 ans ? [Petits rires.]

    Inelia : Oh, OK. Bon, on ne demande pas son ge une dame. [Elle rit.]

    Bill : [Il rit.]

    Inelia : Donc, je ne vous le dirai pas. Mais je ne suis pas jeune.

    Bill : Vous ntes pas jeune.

    Inelia : Mais cest trs gentil.

    Bill : OK. La raison de cette interview... Nous aimerions savoir si nous sommes capables de dcrire par des mots certaines de vos activits, de manire les faire comprendre au public. Vous tes puis-je le dire une des personnes les plus extraordinaires que jaie rencontre, bien que jen aie rencontr un certain nombre. Et si je comprends bien, bizarrement, vous ne vous dcririez mme pas comme tant une personne. a va paratre trange ceux qui nous regardent. [Il rit.]

    Inelia : [Elle rit.] Cest vrai. Oui. Oui, parce que... [Elle sclaircit la gorge] quand je regarde une personne (ou les gens) sur Terre... habituellement mais pas toujours cest une me ou, disons, une tincelle divine qui serait

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 2.

    entre dans lespace-temps. Qui, aprs stre spare de lUn, se serait transforme au cours dune priode de peut-tre mille ou je ne sais combien dincarnations en une personne et en un tre dou de sensation. Et a... Quand je regarde les gens de cette plante... Cest parfois arriv sur Terre. Beaucoup dentre eux ont effectu tout leur parcours sur Terre.

    Et nous voyons maintenant des milliers, sinon des millions de gens qui, aprs avoir effectu leur parcours sur dautres plantes, sincarnent actuellement sur Terre pour vivre les choses tonnantes qui se droulent en ce moment. Jaurais donc tendance considrer que ces mes ont parcouru le temps et lespace, afin de ressentir des sensations et dvoluer, en tant que personne ou tre.

    Et je ne me considrerais pas comme tel, parce que je suis arrive ici directement, ce moment prcis, sans aucune volution, pour accomplir un travail particulier sur cette plante. Une fois la tche termine, cette individualit, cette... singularit correspondant la personne que vous voyez actuellement, nexistera plus. Donc le concept de personne ou dme ne rside pas l.

    Bill : OK. Bon. Quelques-uns parmi ceux qui suivent ceci sont peut-tre dj en train de rcouter ce passage. Vous dites que non seulement vous ntes jamais venue sur cette plante auparavant, mme en vous y incarnant, mais aussi que vous ntes jamais auparavant alle nulle part, ni dans lunivers physique, ni dans la matrice existentielle, en quelque sorte. Cest votre premier sjour ici.

    Inelia : Exact. Je suis entre dans la matrice de

    lespace-temps cest un bon terme une demi-heure avant ma naissance.

    Bill : Bien. Et vous savez vous lavez dit quand nous discutions hors camra que vous ne vous rincarnerez pas. Vous tes prcisment ici pour... oserais-je dire, une mission ?

    Inelia : Oui. On pourrait appeler a une mission.

    Bill : OK. Vous tes ici pour faire quelque chose de ncessaire.

    Inelia : Exact.

    Bill : Et vous venez de... Pas facile ici de trouver les mots. Vous tes passe directement de la Source, de lUn, un corps humain.

    Inelia: [Signe de tte affirmatif.]

    Bill : Vous agissez donc diffremment des humains, qui sont ici depuis des millions de rincarnations.

    Inelia : Oui. Et tout mon parcours, depuis le dbut... et mme encore maintenant, consiste apprendre ou fonctionner en assumant le point de vue dun individu, dans le corps dun individu. Et dans les limites de lespace-temps qui est linaire, de grer a, de fonctionner dans ce corps, parce que a fait partie du travail. Mon parcours consiste donc apprendre a, plutt que de faire linverse, comme les gens le penseraient normalement.

    Bill : Un sacr dfi, probablement, lorsquon vient de nulle part et de hors du temps, que dtre directement une trs petite fille humaine sur cette trange plante Terre, sans bnficier de mode demploi, ni de conseils ou de renseignements sur ce que vous tiez cense tre.

    Inelia : Oui. Cest incontestablement un dfi. Le principal dfi, ctait la raction des autres vis--vis de moi. OK ? Donc, par exemple, javais quand mme des outils. Je suis venue avec des outils. Je pouvais tlcharger des

    informations. Donc si je ne comprenais pas quelque chose, je pouvais normalement puiser dans le collectif [humain] et obtenir linformation.

    Selon une de mes tantes, je parlais lge de neuf mois absolument parfaitement espagnol... sans mme laccent du Chili, ce qui la faisait compltement flipper. Mais personne dautre ne semblait sen tonner.

    Et cela, parce que jessayais de comprendre ce que disaient les gens et ce quils essayaient de communiquer, et que je ny arrivais pas. Alors jai simplement tlcharg la langue [Elle rit.] et je lai utilise.

    Malheureusement, je ne peux plus le faire avec les langues... Cest une de ces choses que je ne peux pas faire, mais je peux en faire dautres. En grandissant, ctait dans lordre des choses, je pense, que jai pu... Les choses dont jai besoin, je les obtiens, mais si je veux faire quelque chose, juste parce que a mintresse, sans que ce soit ncessaire, alors a mest refus.

    Bill : Sil le faut, vous tlchargez le programme ncessaire, afin daccomplir la tche.

    Inelia : Exact.

    Bill : Mais si vous le faites par simple curiosit, a ne marche pas.

    Inelia : a ne marche pas. [Petits rires.] Rien ne se passe.

    Bill : OK. Vous mavez racont, je me souviens, il y a deux ou trois semaines... La fois o vous vous tes trouve... o on vous a dit que vous parliez parfaitement portugais et une autre fois, o on vous a dit que vous parliez russe

    Inelia : Exact.

    Bill : Et vous ne vous en tes mme pas rendu compte.

    Inelia : Non. Je pensais parler anglais. Quand je reviens sur mes souvenirs, je parlais anglais. Mais pour les

    tmoins, je parlais une autre langue, ce qui, pour moi, est comme... OK. Je les crois sur parole, jai lu des choses l-dessus et dcouvert que dautres pouvaient aussi le faire. Mais cest une sorte de preuve venant dailleurs. Je ne peux pas dire : Oui, je sais faire a, parce quen ce qui me concernait, je parlais anglais. Bon. [Elle rit.]

    Bill : Oui. Bien sr. Ce ntait mme pas conscient.

    Inelia : Non. Et il sagit toujours dune situation o lautre personne a besoin daide.

    Bill : OK.

    Inelia : Par exemple de quelquun de trs malade. Un malade en phase terminale. Ctait la premire fois que je... quon voyait a. Et jai apparemment parl portugais cette personne pendant des heures, sans men rendre compte. Et aussi dautres gens, qui venaient pour de laide ou des conseils. La dernire fois ctait trs simple : quelquun de perdu dans le mtro Madrid.

    Bill : Mm-hm.

    Inelia : Cette famille-l tait dans le mtro et compltement perdue. Je suis alle les aider. Et jai dit que je leur avais indiqu les directions, leur avais montr comment utiliser la carte, o ils devaient aller, etc. Je les ai mis sur leur chemin, leur ai dit au revoir, et fait demi-tour. Et la personne qui maccompagnait ma dit : Savais-tu comment... O as-tu appris le russe ? Tu savais que tu tais en train de parler russe ? Jai rpondu : Non. [Elle rit.]

    Bill : [Il rit.] Excellent !

    Inelia : Oui. [Petits rires]

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 3.

    Bill : Il y a une autre histoire excellente que je vous invite raconter. Il faut que je dise devant la camra quInelia et moi parlons de ses expriences depuis maintenant

    plusieurs semaines, et il en reste encore raconter. Il y en a tant ! Une histoire que je trouve particulirement bonne, cest celle o vous tiez petite et o vous tombiez tout le temps.

    Inelia : [Elle rit.] Ah oui. Une des choses que jessayais de faire... Il faut que vous compreniez que je suis arrive peu prs une demi-heure avant la naissance du corps. [Elle sclaircit la voix] Ensuite il a fallu se mettre daccord sur le corps pour que je puisse y entrer, parce quil ne sagissait pas dune incarnation normale, o lme est prsente, attendre le corps... avec liaison entre les deux, etc. Il y a eu le moment o on a demand au corps dautoriser ce changement [dme]... Du genre : On y va ? [Rires.] Et la rponse a t un oui franc.

    Mais ctait bien diffrent de la faon dont je voyais les humains fonctionner, car je suis entre en ignorant comment manuvrer le corps. Une sorte dintelligence lie au corps est entre dans le corps physique pour lanimer, le faire vivre et le faire fonctionner, respirer, etc. Et moi jtais plus ou moins lextrieur. Je voulais utiliser le corps, mais je ne savais pas comment faire, je navais pas le mode demploi. Et quand je lai examin, ctait une sorte dordinateur quil fallait programmer. Il fallait lui apprendre bouger les bras, saisir des objets, le rendre capable de parler et de communiquer, de tourner la tte quand on... Je mintressais ce qui se passait l et je ne savais pas comment bouger la tte de ce petit corps, comme a, pour que je puisse voir. Et des trucs de ce genre.

    A partir de l, je ntais plus lintrieur du... A partir de ce moment-l le systme visuel sest trouv lextrieur du corps, larrire de la tte. Et la seule diffrence, ctait que jessayais dactionner les bras comme sil sagissait dune marionnette. a ne marchait pas du tout et le corps rlait.

    Il ma donc signifi : Non, il faut que tu entres et que tu actionnes les bras depuis lintrieur, comme si on enfilait une combinaison. Je lai donc fait, mais pas de lintrieur. Pas de lintrieur. Mais comme une nergie qui pntre. Jai donc pu manuvrer les bras et les jambes. Ctait comme programmer le corps pour quil fonctionne, etc. Trs mcanique. Ctait littralement comme rdiger un programme dans un ordinateur. Je le voyais comme a.

    Les annes scoulaient et je voyais tout. Javais une vision sur 360, en bas et en haut, je voyais tout ce qui arrivait autour de moi. Et je passais mon temps tomber, parce que ma source de vision tait l [Elle montre une zone situe au-dessus et en arrire de la tte.] Je ne pouvais donc pas voir ce qui tait devant moi quand jtais dans la rue, par exemple, parce que la tte me gnait. Donc je passais mon temps tomber... Javais en permanence les genoux en sang et le visage toujours tumfi. Et les lvres enfles, parce que je tombais tout le temps sur la tte.

    Et puis un jour, ma mre ma dit : Pourquoi nutilises-tu pas tes yeux ? Ouvre donc les yeux. Regarde devant toi. Je lui ai donc rpondu : Ben, jpeux pas. Parce que lorsque je regardais par mes yeux, ils taient comme deux petits trous daiguille, et on ne peut pratiquement rien voir de ce qui se passe. Puis elle ma demand : Alors, comment fais-tu ? Je lui ai donc dit : Ben, je peux tout voir. Et alors... Je ne me souviens pas de toute la conversation, mais ctait quelque chose comme : Bon. Entre immdiatement dans ton corps et sers-toi de tes yeux. Commence donc te servir de tes yeux ! a se passait, je crois, juste avant dentrer lcole, javais

    donc peu prs 4 ans. Quand vous tes une gamine de 4 ans, vous faites ce que dit votre mre.

    Jai donc obi. Pour moi, ctait horrible. Je ny voyais pratiquement rien. Il fallait que je tourne la tte dans toutes les directions, pour voir ce qui se passait. Et je ne pouvais pas la tourner compltement, donc je ne savais jamais ce qui se passait derrire moi. a ma perturbe pendant trs longtemps. Mais jai cess de tomber, parce que jy voyais devant moi. [Elle rit.]

    Bill : Et mme encore maintenant, vous pouvez quitter votre corps sur commande, vous promener et voyager

    dans tout lunivers et voir tout ce que vous voulez. Cest vrai ?

    Inelia : Oui. Oui. Et il faut plus ou moins que je le fasse, parce que... Sinon on devient claustrophobe, rester ici tout le temps.

    Bill : [Il rit.] On se sent ltroit dans ce corps humain. Comme si on tait pig dans cette cellule de prison exigu, dans cette machine.

    Inelia : Oui. Exact.

    Bill : Cest un peu comme tre dans une voiture aux vitres troites.

    Inelia : Oui. De trs petites vitres et... comme quelque chose sur les oreilles qui vous empcherait de tout entendre ou de tout ressentir. Une sorte de ... privation sensorielle. [Elle rit.]

    Bill : Bien. Vous possdez donc ces dons extraordinaires qui sont, bien sr, des capacits communes tous les tres spirituels, si jai bien compris. Mais la plupart des gens qui ont sjourn dans un corps pendant des millions de vie ont totalement perdu ces capacits. Ils ne peuvent mme plus... Ils ne croient mme plus les possder.

    Inelia : Exact.

    Bill : Et vous venez darriver avec toute cette norme caisse outils que tout tre spirituel peut utiliser.

    Inelia : Oui.

    Bill : Que savez-vous faire dautre ?

    Inelia : Soyez plus prcis. [Elle rit.]

    Bill : [Il rit.] OK. Vous mavez racont une excellente histoire, sur une mission de tlvision que vous regardiez.

    Inelia : [Elle rit.] Oui.

    Bill : Elle est vraiment bonne.

    Inelia : Bon. Je suis un peu une drogue de la tl, malheureusement au sens propre. Si quelquun allume une tl devant moi, je deviens accro et je nen dcroche plus... Je narrive plus men dtacher... spcialement si cest une mission que je veux voir. Si quelque chose ne mintresse pas, je peux partir sans problme. Mais un film... Habituellement les films sont... Les missions de lHistory Channel sont... Si a retient mon attention la tl, je ne peux pas men dgager. Et si quelquun entre et veut changer de chane, je me mets un petit peu en colre. [Elle rit.] Je ne suis pas en colre, mais je len empche.

    Et il y a eu cet incident. Ctait en 19... Non, 2001, je crois. Je regardais une mission. Et quelquun entre, saisit la tlcommande. Je le regarde du coin de lil, tout en suivant lmission. Et je lui dis : Ne change pas de chane ! Daccord ? Il me rpond : Je suis rentr pour regarder bla bla. Et il sapprte changer de chane. Je lui dis : Ne touche pas cette tlcommande ! Au moment

    o il va presser le bouton, [Petit rire.] il la laisse tomber

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 4.

    par terre en faisant Ouille ! Ouille ! Il regarde la tlcommande en disant : a brle ! Puis il la ramasse, louvre et tout a fondu lintrieur. [Petit rire.] Il me demande : Pourquoi as-tu fait a ? Tu naurais pas pu me prvenir ? Je lui rponds : Je tai demand de ne pas toucher au bouton ! [Elle rit.]

    Bill : [Il rit.]

    Inelia : Et cest juste un exemple. Cest comme...

    Bill : Cest juste une sorte de raction. Il sagissait dune raction.

    Inelia : Oui, ctait une raction.

    Bill : Oh. [Il rit.]

    Inelia : Touche pas ma tlcommande ! [Elle rit.] Donc, oui, ces choses-l existent. Mais pas vraiment pour quon les utilise comme a.

    Tous ceux qui parviennent un certain niveau de conscience peuvent le faire. a fait partie de la bote outils humaine. Je ne lai pas import. Tout tre humain est cbl comme a. Et a fait partie des botes outils

    humaines qui sont opprimes, touffes et neutralises chez tout le monde. On enseigne aux gens quelles nexistent pas, et quils ne sont pas capables de faire ces choses-l.

    Un schma trs intressant que jai constat, cest que celui qui est sur le chemin de lillumination ou... dune volution spirituelle, dveloppera toujours, sans exception, toutes ces choses. Sans exception. Mais celui qui quitte le chemin pour dvelopper ces choses-l, sans dvelopper ncessairement ce qui concerne lvolution spirituelle... Ce sont donc plus ou moins deux choses spares mais ceux qui suivent la voie de lvolution spirituelle dvelopperont toujours, en quelque sorte, ces capacits-l.

    Bill : Cest une consquence naturelle.

    Inelia : Cest la consquence naturelle de se dvelopper spirituellement. Mais la personne qui cherche apprendre la tlkinsie, etc. et qui dplace des objets ou... qui lit dans lesprit des gens et fait de lobservation extrasensorielle... Nimporte qui peut le faire. On peut trouver comment apprendre ces choses-l. Et il existe des outils et des livres fabuleux pour lapprendre. Mais ces gens-l ne dveloppent pas forcment leur spiritualit en le faisant.

    Bill : Parfaitement compris. Et vous devez avoir atteint un haut niveau de capacits tlpathiques. Je suppose que vous pouvez lire dans lesprit de nimporte qui et y lire tout ce que vous voulez.

    Inelia : Bien. Cest une faon vraiment intressante de prsenter les choses, parce que la tlpathie, ce nest PAS entrer dans lesprit de quelquun et voir ce quon y trouve. Parce que ce nest pas lesprit de la personne qui contient les souvenirs, ni les sentiments ou les motions. Donc, mme en voyant les choses comme a, vous allez tre extrmement limit dans ce que vous pouvez faire tlpathiquement. Vous pouvez peut-tre lire des cartes... Si une personne joue aux cartes, vous pouvez les lire parce quelle est justement en train de les regarder. Daccord ?

    On raconte habituellement aux gens : Oh, savez-vous, Inelia peut lire dans lesprit des gens. Tout ce quils essaient de cacher, remonte... la surface. Ce sera donc diffus et je pourrai le rcuprer. Mais la faon dont la tlpathie fonctionne vraiment, cest... Ma meilleure faon de le dcrire serait...

    Bill : Cest une fusion. Une fusion.

    Inelia : Oui, a ressemble plus une fusion. Une fusion de lesprit... Une fusion impliquant des tres plus que leur esprit, parce que... Une fusion peut-tre, mme avec le

    collectif [humain], o se trouve lautre personne. Daccord ? Et une fois l, vous ne saisissez pas forcment des phrases. Mais des images, des sentiments, des souvenirs. Parfois aussi de vraies penses. Par exemple, ce que la personne pense ce moment prcis.

    Bill : Ce que je retiens de nos conversations sur le sujet, cest que vous vous mettez provisoirement de ct et que vous tes cette personne. Vous devenez en quelque sorte cette personne et vous avez accs ce quoi elle a accs.

    Inelia : Oui.

    Bill : Cest proche de la vrit ?

    Inelia : Cest un petit peu a, mais vous dcrivez en fait les sessions que je donne, o la personne... Lespace entre les deux individus... est rendu non-existant, pour ainsi dire. Et alors, cette personne et moi devenons un,

    ou plus exactement... Vu autrement, la personne se trouve hisse un niveau dunit qui lui permet daccder toutes ces informations et tous ces outils. Daccord ? Et moi aussi, cet instant l.

    Bill : OK. Donc le processus, par exemple, qui consiste regarder dans la vie de quelquun et de pouvoir observer cette vie... pour y voir tout ce que vous voulez y voir, ou ce que cette personne veut que vous y voyiez, [cest] un peu comme regarder un film vous pouvez aller nimporte quel endroit de ce film.

    Inelia : Daccord.

    Bill : Si vous avez tlcharg un film et que vous le

    regardez sur votre ordinateur, vous pouvez dire : Bien. Je vais l, cet endroit.

    Inelia : Bon, ce nest pas tout fait comme a, parce que si nous considrons les choses sous langle de la piste temporelle celle dune personne, par exemple soit dans la vie actuelle, ou lensemble de la piste, en arrire et en avant...

    En avant, cest un peu plus difficile voir, parce que tant de lignes temporelles bifurquent chaque instant, que tout ce que dit, pense ou dcide une personne change cette ligne temporelle. Ce quon regarde donc chez cette personne, cest sa ligne la plus probable, si rien ne la modifie. Daccord ?

    Mais revenir en arrire est trs facile, parce quelle est arrive ici la suite de choix... en ayant parcouru cette ligne de temps particulire, une ligne prcise.

    La personne peut se dcaler sur le ct et regarder ses propres lignes parallles ce quelle aurait accompli, si elle avait fait des choix diffrents. Si elle veut faire quelque chose diffremment, elle peut consulter une ligne o elle la fait autrement. Prendre tous les renseignements et le recrer ici.

    Mais regarder la ligne temporelle de quelquun est un peu diffrent de ce que jai vu les autres gens faire. Quand jai vu des mdiums examiner des lignes de temps, ces dernires ressemblent, comme vous lavez dit, un film. Ils se rendent ce quon appelle les Annales Akashiques et les regardent comme un film, tandis que moi, jy vais rellement Je me rends effectivement ce point du temps et lexamine, comme une ... bilocation. Donc, jy suis rellement.

    Bill : Une bilocation dans le temps, aussi.

    Inelia : Oui, dans lespace-temps. Dans lespace-temps. Je me rends donc l... et il me faut tre extrmement

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 5.

    prudente quand je le fais, parce que si lautre est vraiment mdium, il me verra. [Rire.] Et il dira : Tu y tais ! Et a mest arriv rcemment. [Petit rire.]

    A la seconde mme o jai regard la personne, la mdium sest retourne vers moi et ma dit: Tu y tais !

    Et, bien sr, je ny tais pas all, avant de le faire, mais elle a repr que jtais l ce moment l.

    Donc il me faut tre prudente, parce que cela peut changer des choses. Changer le pass. Changer lavenir.

    Bill : Donc vous devez faire attention ntre quune observatrice et ne laisser absolument aucune trace. Rien !

    Inelia : Pas de traces, non.

    Bill : Whitley Strieber, dans son travail, sur son site, www.unknowncountry.com il fait partie des commentateurs qui ont dcrit un soir, de faon trs

    image, il y a quelques annes il a fait un rve extrmement saisissant. Rve , entre guillemets. Dans lequel il sest vu vivre dans diffrentes ralits, lune aprs lautre.

    Dans lune delles, sa femme... je ne me souviens pas des dtails. Dans lune delles, sa femme tait malade, ou dcde. Dans une autre, ils taient pauvres. Dans une autre encore, ils vivaient ailleurs et lui avait un mtier diffrent. Et il suivait une sorte de promenade guide dans ce rve vivant. Toutes ces incarnations diffrentes. Il y en avait six, je crois. A peu prs. Puis il est revenu lui. Vraiment choqu. Vraiment secou par cette exprience.

    Il la ensuite mise par crit. Et il a expliqu, autant pour lui-mme que pour ses lecteurs, quune personne avanant dans le temps ne doit pas tre vue comme une sorte de train suivant une voie, comme un point qui avance, mais plutt comme un front de vagues dferlant sur une grande et longue plage. Et en des points varis de cette plage se situent diffrentes lignes temporelles, se

    manifestent diffrentes expriences. Vous affirmez quil sagit l dune ralit part entire mais, en travaillant avec quelquun, vous pouvez regarder de ct et voir ce qui sy trouve.

    Inelia : Oui. Oui. Mme la science accepte maintenant la ralit quantique. La physique quantique parle de ralits multiples. Et cela, pour moi, cest rel. Je peux y puiser, puiser dans ma propre vie et y trouver diffrentes choses que jy cherche. Je peux aller dans des vies diffrentes o ceci sest dj produit et me faire conseiller par cette autre Inelia comment elle a agi envers X ou fait ci ou a. Parfois des choses trs pratiques, comme jouer du violon, faire manger, jouer la bourse...

    Ctait trs drle, parce que lorsque je suis alle consulte lInelia bonne boursire, elle ma dit rapidement : Ne fais pas a ! [Elle rit.] Tu es nulle. Ne le fais surtout pas ! Et elle avait raison. Jai quand mme essay : une vraie catastrophe ! Je naurais jamais d... [Elle rit.]

    Bill : Une version de vous-mme demandait donc conseil lautre version de vous-mme, celle avec laquelle nous parlons en ce moment.

    Inelia : Oui. Exactement. Nimporte qui peut le faire. Nimporte qui. On peut penser, OK, je veux une ralit o je peux raliser 100 % mon travail dharmique. Et il faut une fois de plus tre prcis, parce que votre travail dharmique serait probablement lgrement, sinon compltement diffrent dans chacune des lignes

    temporelles. Si, par exemple, vous tes un artiste, vous pouvez vous demander : Comment dois-je utiliser mon art pour aider les gens voluer ou sveiller ? Quelque chose comme a.

    Je vais donc puiser dans le courant de vie o jai fait a, o mon art veille les gens, et je vais le faire avec beaucoup de succs et je peux en vivre. Pas seulement en vivre, mais en tirer un revenu fabuleux, que je peux ensuite rinvestir et rutiliser pour accomplir encore plus dans le monde.

    Vous pouvez donc vous rendre dans cette ligne temporelle

    l, en parler longuement avec cet autre vous-mme, qui la dj accompli. Revenir avec tous ces renseignements et... le raliser dans cette vie-ci.

    Bill : Ce que vous dites ici, cest que vous possdez tout un tas de vies alternatives parallles, Inelia, du type Pile et face . En rfrence au film Pile et face (Sliding Doors), sauf quil ny a pas ici deux vies, mais beaucoup.

    Inelia : Un nombre infini.

    Bill : Un nombre infini ?

    Inelia : Infini.

    Bill : OK. Infini. Mais ce qui est commun aux Inelia de toutes ces vies parallles, cest que vous avez un travail faire ici.

    Inelia : Oui.

    Bill : Et que jouer du violon, prparer un repas ou pratiquer un art ny a pas grande importance.

    Inelia : Prcisment. [Elle rit.]

    Bill : Dans cette vie, ce ne sont plus ou moins... que des fioritures et un emballage. Pas vrai ?

    Inelia: Exact.

    Bill : Quelle est donc votre mission ici ? Jusqu prsent, nous avons surtout parl des aspects priphriques qui beaucoup de gens paraissent curieux, intressants et passionnants. Mais pourquoi tes-vous donc ici ?

    Inelia: Ma seule tche ici, cest dlever le niveau de vibration de la plante, y compris celle du collectif humain, qui fait partie de la plante, jusquau point critique qui permettra une transition dans le nouveau paradigme, un nouveau niveau de conscience pour tout. Pour la plante et pour tous les tres qui sy trouvent. Chaque rocher, chaque insecte, chaque personne. Cest ma seule tche. Oui, je ferai vraiment nimporte quoi pour y parvenir.

    Si cela consiste aider quelquun de dj veill, conscient et clair, atteindre un niveau vibratoire encore suprieur, eh bien je le ferai. Sil sagit dveiller quelquun dencore endormi, et daugmenter son niveau vibratoire, je le ferai. Ou daller dans une rgion pour la nettoyer afin de permettre aux vibrations de se propager

    correctement, je le ferai. Je nai pas dattache, ni.... Ma seule raison dtre ici, cest dlever le niveau vibratoire global. Rien dautre.

    Bill : Bon, jai un million de questions l-dessus. Mais laissez-moi vous demander, tout dabord : quel ge aviez-vous quand vous avez dcouvert votre raison dtre ici ?

    Inelia : Je lai toujours su, mais je ne savais pas comment le dire, parce que dans mon enfance, nous nen parlions pas dans la famille. Javais des parents trs rationnels. Ctaient des mathmaticiens et des physiciens. Des universitaires. Ils ne sintressaient pas au spirituel. Pas aux vibrations de la plante ni aux choses de ce genre. Donc, enfant, je navais pas de concept me permettant dexpliquer ce que jtais cense faire ici.

    Jagissais nanmoins. Si je voyais quelquun de souffrant, je masseyais prs de lui, pour lever son niveau de

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 6.

    vibration. Je lai fait sans y rflchir pendant toute mon enfance, mon adolescence et plus tard.

    Bill : Vous vous fondiez donc juste dans le contexte, et vous gurissiez les gens, vous les aidiez, et vous preniez les choses en main.

    Inelia : Oui, en gros cest a,.

    Bill : Et si je comprends bien, vous avez plus tard effectu une tche quon pourrait considrer comme plus importante, plus fondamentale, de plus grande porte. Exact ?

    Inelia : Je travaillais toujours en arrire-plan. On ma dit trs tt et pendant trs, trs longtemps que je devais porter une sorte de masque, et que je ne devais pas montrer ce que jtais, ni qui jtais. Et ce masque... on ma demand de le retirer autour de 2002-2003. Et jusqualors je travaillais beaucoup individuellement avec les gens et je faisais du militantisme psychique... trs discrtement [Elle rit.] ...sans en parler personne.

    Bill : OK. Une question me vient : Vous dites quon vous a demand de faire ci ou a.

    Inelia : Exact.

    Bill : Qui vous la demand? Comment ?

    Inelia : [Elle rit.] Oui, je suppose que cest une trs bonne question.

    Les informations me viennent trs clairement, normalement accompagnes dvnements en synchronisme qui, si je les nglige, seront rpts et

    rpts. Par exemple... un livre qui tombe dune tagre. Et un enfant rpte au mme moment une phrase qui correspond au titre du livre. On entend la radio une chanson qui parle du mme sujet. On mindiquait donc les choses trs clairement mais, la plupart du temps, en douceur gnralement des choses concrtes.

    Du genre : va au parc et assieds-toi sur un banc. Une jeune fille sassira prs de toi et mangera son djeuner ; elle a besoin que tu tassoies prs delle. Je recevais ce renseignement et jexcutais. Pas de problme, la fille arrivait. Elle correspondait limage que jen avais reue : elle venait sasseoir l manger son repas, puis partait. Ctait tout fait suffisant.

    Bill : En prenant cet exemple de la jeune fille sur le banc, vous ne saviez peut-tre pas pour quelle raison et ne le saurez peut-tre jamais.

    Inelia : Exact. Et je nai jamais eu besoin de le savoir.

    Bill : Juste une mission ponctuelle.

    Et vous tes toujours absolument sre, en votre for

    intrieur, que la chose faire, quand vous recevez ce type de mission, cest de ne pas la remettre en question...

    Inelia : Exact.

    Bill : ...de ne pas sy impliquer, seulement de lexcuter. Cest exact ?

    Inelia : Oui. Lorsque jtais adolescente... Vous savez que tous les ados se rvoltent, nest-ce pas ? Et une partie de ma vie devait consister apprendre tre un humain. Il me fallait donc passer par la case rvolte. et je me suis rebelle contre a aussi. Par exemple, on me demandait : Il faut que tu marches silencieusement et trs calmement, sans faire de vagues dans lastral. Alors jy allais en hurlant, en chantant, en dansant et tout et tout. [Elle rit.] Du style... je fais beaucoup de bruit... dans lastral. [Elle rit.]

    Bill : Dans lastral ? [Il rit.]

    Inelia : Oui. [Elle rit.] Vrai. OK.

    Des trucs comme a. Comme une ado. Et plusieurs occasions on ma demand de faire certaines choses, et jai rpondu : Non, pas daccord. Pas envie. Je regarde la tl. Ou autre: jcoute de la musique, etc. Lado type... quand votre mre... Nettoie ta chambre. -- Oui, cause toujours ! [Rires.]

    Et je suis passe par l dans ce domaine-l aussi, ce qui

    est drle quand on y pense. Parce que... On a ici un tre cens faire un travail important, et il traverse une priode de rvolte adolescente. Mais jai trs vite appris quil ne fallait pas le faire. [Elle rit.] Parce que les choses tournaient trs mal quand je... refusais.

    Et ctait plutt comique, je suppose. Jai dit une fois quelque chose de mchant ma mre, et je savais que je ne devais pas le faire. Je ne me rappelle pas ce que ctait, mais ma main [Elle rit.] ma gifle : Ouille ! a fait mal ! [Elle rit.] Et ce ntait pas vraiment mchant. Juste un petit rien quon a sur le cur. Je naurais pas d. Juste un petit rien.

    Je ne me rappelle pas ce que ctait. Probablement un truc du style : Oh, tu as un cheveu blanc. Ou autre. Probablement quelque chose de li son physique. Juste une mchancet.

    Bill : Et vous vous tes immdiatement donne une gifle ? [Il rit.] Une excellente anecdote !

    Inelia : [Elle rit.] Oui. Celle-l est trs drle. Et a ma fait vraiment mal !

    Mais dautres moments, quand il sagissait de quelque chose de trs srieux et que je ncoutais pas, il y avait un effet durgence, du genre : Fais-le tout de suite ! Vas-y ! Vas-y ! Avec une impression durgence grandissante, comme si quelque chose de terrible allait marriver si je nobissais pas. Et je ne pouvais pas men dbarrasser, a devenait donc de pire en pire, et alors, il me fallait courir jusque l, etc. et y tre. Et bien sr, jtais tout essouffle. [Elle rit.] Jai donc trs vite appris que... je navais pas vraiment le choix. Que je navais pas mon mot dire.

    Et nous en venons maintenant lautre aspect des choses. O est le libre arbitre dans tout a ? Nous en avons dj parl un petit peu. Mais par rapport aux choses quon me demandait de faire, il existe un trs bon moyen de savoir si cest lego qui vous lordonne. Ou sil sagit dautres entits ngatives qui essaient de vous entraner faire des choses mauvaises ou que vous pensez tre bonnes, mais qui ne le sont pas. Ou si a provient bien de la Source, comme je le pense personnellement.

    On peut lui donner beaucoup de noms, et cest ce que font les gens couramment. Je trouve quils comprennent mieux si je dis mes guides ou mon moi suprieur me dit a en ce moment. a, ils le comprennent. Et cest bien vrai. Cest ainsi que a se passe. Et je navais pas besoin dexpliquer ou de lui donner une personnalit... bien que je dise que mon guide me demande de faire ci ou a maintenant, je ne peux pas le dcrire, et a le dcrit parfaitement. Pour moi, ce guide ntait pas une entit. Il restait exactement le mme, avec ou sans identit. Voil comment il se prsentait.

    Et la bonne manire de faire la distinction entre cela - cette nergie pure en provenance de la Source quest votre guide ou votre moi suprieur - et votre ego, ou

    autre entit ngative essayant de vous influencer, cest dtre lcoute de votre corps. Et le meilleur moyen dapprendre le faire, cest dentrer dans un grand espace ouvert en vous-mme et puis de vous raconter un mensonge. Au lieu de dire que vous vous appelez Bill,

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    vous direz : Je mappelle Georges. Et a ne vous semblera pas correct. Pour ainsi dire, quelque part, a sonnera faux. Ensuite, vous saurez quand cest vrai ou non. Quand il sagit de la source ou non. Quand il sagit de vous de votre vrai moi suprieur ou non.

    Bill : Cest en fait comme a quon talonne un dtecteur de mensonges.

    Inelia : Ah, vraiment ? [Petit rire]. Oui.

    Bill : Ils font pareil.

    Inelia : Bien.

    Bill : Ils demandent quelquun de dire volontairement un mensonge, pour voir comment lappareil ragit.

    Inelia : Bien.

    Bill : Et cest aussi ce quon fait avec un pendule. _____________ (inaudible)

    Inelia : Oui. Bien. Cest une trs bonne faon de le dire. Oui.

    Bill : Je comprends. Bon. OK. Reprenons lexemple de la jeune fille sur le banc du parc, quand vous avez directement connaissance de ce que vous devez faire, que vous y allez et que, pour sr, elle y est. Quelque chose se passe, on peut le supposer, et vous ne savez pas forcment ce que cest. Puis la jeune fille sen va et votre tche est termine.

    Vous lavez peut-tre rtablie ou gurie, ou empche de se suicider, ou vous avez rsolu un problme, etc. Mais selon quel processus ? Comment a fonctionne ? Comment lexpliquez-vous ? Comment expliquez-vous ce qui se passe ?

    Inelia : Le meilleur moyen de le dcrire serait de dire que je me concentre sur elle. Je suis l 110 % dans chaque dimension, dans chaque espace-temps en cet instant-l. Cest ainsi que je peux... Mais je nagis pas, je nexprime aucune intention. Le rsultat mest indiffrent. Je suis sans curiosit. Rien. Juste une concentration totale. Ce qui arrive apparemment, cest quautre chose appelez-le force Divine, nergie, chi, ce que vous voulez passe directement en elle et agit ou rsout le problme - jignore ce que cest. Et tout est rgl.

    Bill : Vous pourriez donner des exemples o vous avez nanmoins obtenu une raction en retour et o vous avez t tmoin de la transformation. Pouvez-vous nous en donner des exemples ?

    Inelia : Oui. Il y a lexemple de la personne qui parlait portugais, et qui remonte mon adolescence. Je devais avoir 12 ou 13 ans lpoque. Voyons. Javais 13 ans, je pense, mais jen avais peut-tre 12. [Elle rit.] Et ma mre sextriorisait beaucoup, elle tait trs extravertie, et elle organisait des soires la maison, la plupart des week-ends. Il y avait donc toujours une soire chez nous, avec une cinquantaine de personnes ou plus. Et lpoque... Normalement, parce que je ne suis pas extravertie, jentrais dans la pice, je la scannais, je voyais qui navait pas de hautes vibrations ou qui en avait de trs basses, et jallais masseoir prs deux. Voil ce que je faisais.

    Bill : Seulement parce que vous le souhaitiez.

    Inelia : Oui. Ctait pour moi quelque chose de naturel.

    Bill : OK.

    Inelia : Ctait l mon rle, je suppose. Cest comme : pourquoi respirons-nous ? Parce quil le faut. [Elle rit.] Ou parce que a se fait. Donc je masseyais prs deux et je sentais leurs vibrations slever encore et encore. A loccasion, je prtais attention et voyais des espces dombres, et je les loignais plus ou moins. Mais juste si

    on me le demandait. Quelque chose du style : Oh, regarde, ce qui est concentr dans ce petit coin-l. Et quand je regardais l, la chose se dissolvait et disparaissait.

    Quant ce garon, jtais assise prs de lui, comme je lai dit, depuis une heure ou deux. Nous bavardions. Une grande et longue conversation, qui portait sur diffrentes

    choses, des tas de sujets et de trucs. Et soudain, il se tourne vers moi et me dit: O as-tu appris le portugais?

    Je le regarde et lui rponds : Nulle part. Je ne sais pas le portugais. Et il rplique : Oh, mais a fait dj une heure

    ou deux que tu me parles en portugais. Je le regarde et lui dis : Srement pas ! A lpoque ma langue principale tait lespagnol. Je lui ai donc rpondu : En fait, je parlais espagnol. --Pas du tout, me rpond-il, Je ne sais pas lespagnol. Tu me parles en portugais. Jai pens ce moment-l : OK. Ce type est un peu barjo. [Elle rit.] Je me lve donc calmement pour aller lautre bout de la salle. [Petit rire.] Je lui ai donc dit : Bon, jai t heureuse de faire ta connaissance. Et je me suis leve et suis alle lautre bout de la salle.

    Quelques jours plus tard, peut-tre une semaine aprs, je pense, il est revenu la maison et il a parl avec ma mre. Et jai vaguement cout. Il a racont qu la soire, et depuis environ quatre mois, il savait quil avait une maladie incurable et quil ne lui restait que, disons, quelques semaines vivre. Je ne sais pas quelle tait sa

    maladie. Quil tait all voir le mdecin aprs la soire, et quil navait plus cette maladie incurable. Quil tait guri. Quil tait en bonne sant.

    Bill : Elle avait tout simplement disparu.

    Inelia : Elle avait tout simplement disparu. Et il a immdiatement su que ctait grce moi, selon lui. Parce quil tait Brsilien, et quau Brsil, ils savent beaucoup de choses sur les gurisseurs et sur ce quils sont capables de faire. Et selon lui, une chose quils savent faire, cest parler en diffrentes langues. Quil existe des enfants et des adultes diffrents des autres, capables de parler aux patients dans leur propre langue, de faon naturelle. Donc, il le savait il avait fait le rapprochement. Et il tait revenu me remercier de lavoir guri, etc.

    Voil donc une raction en retour de ce qui stait produit et dont jignorais tout sur le moment. Jignorais quil tait malade. Et jignorais quil avait t guri. Et mme encore maintenant, jai le souvenir davoir parl espagnol, car jignorais que je mexprimais en portugais. Et franchement, ctait sans importance. Je navais pas besoin de le savoir. Vraiment pas. Mais je lai dcouvert. Et puis, il y a eu dautres choses. Et il arrive que des gens viennent me dire : Tu sais, a sest produit, etc., et parfois un tiers qui ne savait pas que javais accompli une mission psychique, venait plus tard me dire des choses du style : Je viens davoir un rve quil faut que je vous raconte. On ma dit quil fallait que je vous le raconte. Et habituellement, cest la conclusion du travail que jai fait. On me raconte donc ce qui sest pass. [Petit rire.]

    Cest vraiment intressant, parce quen gnral, je ne suis pas curieuse. Je ne cherche pas savoir ce qui se passe, ni obtenir de validation ou de preuve objective. Mais jai dcouvert que parfois, cette validation et ces preuves objectives taient ncessaires aux autres.

    Bill : Auquel cas, cette manifestation fait partie du contrat.

    Inelia : Tout fait. Absolument.

    Bill : Je comprends. Cest passionnant... Vraiment passionnant. OK. Vous venez donc de nous donner

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 8.

    lexemple de quelquun, physiquement dlivr dune maladie, guri dune maladie, juste parce que vous vous tiez assise prs de lui et que vous lui aviez parl deux

    heures. Quels autres types de transformations peuvent se produire ? Je suppose quil sagit de bien autre chose que dune simple gurison physique.

    Inelia : Oui. Il se produit une sorte de dissociation

    dnergies, parfois dans la personne, qui la fait penser plus clairement. On menvoie loccasion auprs dun travailleur de lumire qui doit poursuivre une mission quil est sur le point dabandonner. Cest arriv un certain nombre de fois. De diffrentes faons.

    Bill : Il sagit donc dune structure de soutien pour gens accomplissant dj du bon travail.

    Inelia : Exact. Oui. Tout fait.

    Bill : OK.

    Inelia : Parce que, voyez-vous, les travailleurs de lumire, spcialement sils ont une mission importante, auront face eux des gens et des entits qui essaierons de les en dissuader. Et il y a des points dans le temps o on aurait pu leur enlever cette mission. Soit physiquement, totalement, ou seulement en tuant leur volont de la poursuivre. Ou bien, il existe mme des

    points de convergence o la personne sapprte commencer sa mission et o, en pleine prise de dcision, on lui injecte tant de ngativit, quelle dcidera probablement de sarrter l. Cest alors que jarrive, pour contrer cette ngativit et que la personne puisse choisir en exerant son libre arbitre.

    Bill : Sans tre influenc ngativement.

    Inelia : Tout fait. Tout fait.

    Bill : Cest donc un peu comme si vous les protgiez de linfluence ngative, en leur permettant de dcider alors en toute libert.

    Inelia : Exactement. Et ils peuvent alors dcider de continuer. Ou de ne pas continuer, mais cest leur libre choix. Cest une dcision qui vient deux-mmes, pas impose par les forces ngatives quils ont rencontres.

    Bill : Avez-vous ide, ou connaissance, ou limpression davoir fait dassez grandes choses, des choses assez importantes, je veux dire par l, pas seulement lies, par exemple, la vie personnelle dun individu, mais de bien plus grande porte ?

    Inelia : Je ne comprends pas vraiment la question, parce quil sagit, en fin de compte, uniquement dtres pris sparment. Je fais diffrentes choses. Je ne fais que

    concentrer mon attention sur quelque chose ou sur quelquun qui sera en mesure de rsoudre [le problme]... sur leurs vibrations. Cest tout... et il nous faut revenir la raison de tout a. Le but est dlever le degr de vibration de la plante. Donc si, par exemple, je concentre mon attention sur un tre extrmement ngatif, ce qui sest pass rcemment... bon, en ralit, je lai souvent fait, mais... [Elle rit.]

    Lun dentre eux tait rellement costaud. Un tre ngatif vraiment gratin. Et quand mon attention se focalise dessus, cest comme si lunivers entier le regardait, cet tre. Et ltre peut agir de diffrentes faons. Il peut se dissoudre dans lUn. Il peut quitter son corps et partir... se rincarner sur une plante o il est bien dtre ngatif, mais il nest bien de le faire en ce moment sur la Terre, ce niveau. Ou bien, il peut implorer de la clmence. Et il

    peut tre transform en travailleur de lumire. Donc, rcemment, jai vcu une exprience o on ma demand de frquenter cet tre extrmement ngatif, une personne considre comme vraiment, vraiment ngative

    pour cette plante. Au niveau psychique il ntait pas au niveau courant. Je veux dire que cet individu tait extrmement puissant tous niveaux. Social, psychique et mystique. Trs, trs puissant. Trs, trs sombre.

    Bill : Et sans entrer dans tous les dtails, moins que vous ne le vouliez, quel a t le rsultat de cette mission lie cette personne ?

    Inelia : Un rsultat trs intressant, parce quon ma demand, entre autres, de frquenter cette personne, dans son espace. Et je navais pas envie de le faire, parce que ctait un individu infect et dgotant. [Petit rire.] Trs ngatif. Il me montrait des trucs ... horribles sur ce quil faisait ou avait fait dans sa vie, aux autres, et grande chelle. Donc je navais gure envie de le frquenter. Puis a sest produit. Jai parl avec une amie moi trs branche psychiquement et aussi trs veille. Et je lui ai tout racont et puis je lui ai dit : Eh bien, on dirait que ce type a vraiment du pouvoir. On pourrait croire que cest lindividu le plus puissant de la plante. Mais il ne peut lavouer personne. Et il veut que jcrive un livre sur ce quil peut faire et ce quil a fait dans sa vie.

    Elle a rpondu : Tu sais, je sens vraiment quil faut que tu le fasses. Je crois que tu dois tasseoir auprs de lui et le laisser crire ce livre. Et tout ceci se droulerait un niveau trs psychique. Nous nous frquenterions un degr trs psychique et il me dicterait le livre. Cest donc ce que jai fait. Je lai frquent, et pendant plusieurs semaines, jai pris des notes... [sur] les choses les plus horribles que cette personne faisait.

    Puis je suis alle sur Google faire un peu de recherche. Et

    on trouve des documents l-dessus ! Il y a l des gens qui crivent sur ce qui se passe, et sur ce que ces gens-l font. Nous parlons bien ici de sacrifices humains et... denfants quon sacrifie et dont on boit le sang, et de trucs de ce genre. a parat totalement inimaginable, des choses dont je naurais jamais cru quelles se produisaient sur cette plante. Et il sagit du gars dont nous parlions.

    Aprs quelques semaines, jai vcu cette exprience o, sortie de mon corps, on ma envoye vers une immense demeure. Quand je vois une grande demeure, cest habituellement... interprt comme ltre de la personne, peut-tre le corps et la vie de cette personne. Et cette demeure l tait immense.

    Et il y avait une autre personne lextrieur. Cela ressemblait un homme, qui tait... Quand je lai regard, jai pens : Oh, on dirait que cest un mdium, l. Et il avait tous ces livres, toutes ces croix, etc. Et il attendait dentrer dans la maison pour se dbarrasser de cet tre. Puis jai pens : Oh l l. Sil entre dans cette maison-l, il est fichu. [Elle rit.] Il va se faire compltement dmolir. Il faut quil reste ici. Jai donc essay de lui transmettre cette image. Restez ici. Nentrez pas dans la maison. Cest ce quil a fait. Il est rest l.

    Puis je suis moi-mme entre et tout tait sombre. Une nergie trs malfique. Et quand jentre dans ce genre de situation, il ny a pas de jugement. Ds que vous injectez du jugement dans lobscurit, cen est fini de vous. Vous tes dtruit. Vous ne pouvez plus tre l. Ce ntait que de lnergie. Comme si je flottais dans du bleu ou du rouge ou du vert. Je lai vcu comme a. Je savais, intellectuellement, Oh, a ressemble a le mal. Cest la couleur du mal, etc. a ressemble a quand on le touche du doigt [Elle se frotte le pouce avec les doigts.] Cest comme a que je le ressens avec ma peau. [Elle se caresse la joue.]

    Et jai travers la maison et lai trouv dans une salle, assis sur un trne. Il tait simplement assis l et il me

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 9.

    regardait. Toute lnergie tait constitue de mal pur, intgral. Et je me suis assise prs de lui. Jai juste regard. Je me contentais de le regarder et lui de me

    regarder. Je navais aucun plan. Jignorais si quelque chose allait se passer ou non. Jtais juste assise auprs de lui.

    Et tout dun coup, il a mis un sentiment, une image, une requte de clmence. Jai t prise par surprise. Et ds quil la fait, jai ressenti cet norme afflux dnergie du Chi du pur amour inconditionnel qui se dirigeait vers lui. Et il a t pntr de cette lumire, il y a eu seulement : Ouah ! Quelque chose dtranger ce monde. Puis javais disparu, jtais partie. Jtais de retour dans mon corps et je me suis dit: Ouah, ctait quoi, a? Que lui est-il arriv ?

    Alors, bien sr, ce qui est humain en nous intervient et dit : Comment est-ce que cela a bien pu arriver ? Je laurais tu ou... Regardez tout ce quil a fait de mal ! Jai travers ce moment dmotivit humaine.

    Bill : En ragissant en humain ?

    Inelia : Oui. En ragissant en humain pendant une fraction de seconde. Pendant une fraction de seconde, je me suis dit : Comment de telles choses peuvent-elles exister ? Cette personne fait a depuis des milliers dannes. Et on est clment envers lui, et il en est transfigur. Voil pourquoi ni le jugement, ni le ct humain, ni le corps physique ne peuvent entrer en jeu quand je fais ce travail, parce que cet humain-ci [Elle se montre.] en aurait t dtruit, et il naurait pas fait son travail, celui dlever le degr de vibration de la plante. Et on llve beaucoup en transformant toute cette ngativit en lumire.

    Bill : Oui.

    Inelia : Donc, travail termin.

    Bill : Et les hommes se jugent mutuellement depuis des millnaires, sinon depuis beaucoup plus longtemps, et a na rien chang du tout.

    Inelia : a na absolument rien chang. Et voici le plus intressant : ctait une preuve subjective, venant de quelquun dautre - et a quivaut une preuve objective. Une amie moi, qui a aussi des capacits psychiques, ma appele pour me raconter un de ses rves... il fallait quelle le fasse.... En fait, elle ne ma pas appele. Elle ma envoy un e-mail.

    Elle ma dit : Il faut que je te raconte mon rve. Je ne sais pas de quoi il parle. Ni ce quil signifie, mais ce que je sais, cest quil faut que je te le raconte. Elle ma dit quelle tait alle dans une grande demeure, avec moi et un mdium trs connu un homme. Nous nous promenions autour de la maison et elle a dit quelle tait experte en Feng Shui . Vous prononcez a comment ? Feng Shui ?

    Bill : Feng Shui [Il le prononce comme Fung Shway ]... je pense...

    Inelia : OK. Elle est experte en Feng Shui. Elle sy connat donc en nergies dans une maison. Lorsquelle entre dans une maison, elle lit psychiquement les nergies et elle effectue les changements ncessaires.

    Elle faisait le tour de cette maison et elle ma dit quelle tait ultra propre. Compltement vide et propre, comme si elle ne contenait aucune nergie. Et elle pouvait voir les traces danciens tableaux sur les murs, et on avait tout enlev. Ce qui stait entre autres pass, cest que lors de cet vnement dans cette demeure, lhomme avait reu de la lumire, et on avait la sensation quil avait bnfici de clmence et quil avait emport tous ses biens avec lui.

    Et maintenant, en rapportant ce rve li la fin de lvnement, elle mapportait pratiquement la rponse, voyez-vous ? [Petit rire.]

    Bill : Oui.

    Inelia : Ce qui est arriv. Oui. Et voil.

    Bill : Juste pour rsumer : cette demeure que vous avez visite, ctait un endroit rel, pas une sorte de situation astrale symbolique ?

    Inelia : Exact.

    Bill : Une demeure relle, dans lunivers physique. Et il tait vraiment l, dans un corps, assis sur son trne. Puis,

    sous forme astrale, ou sous une autre forme dsincarne, vous vous tes assise prs de lui, mais lui savait-il que vous tiez l ?

    Inelia : Oui. Oh, absolument.

    Bill : En tant quhumain, en temps rel, il savait que vous tiez l ?

    Inelia : Oh oui.

    Bill : OK.

    Inelia : Il en tait extrmement conscient. Il le savait, oui.

    Bill : Mm-hm. Voici donc un exemple o, si je comprends bien, par votre simple prsence physique auprs de cette

    personne, et en lui prtant toute votre attention plus tt vous avez parl de 110 % - sest cre une sorte de transformation provoque par quelque chose qui fonctionne donc par votre intermdiaire ?

    Inelia : Tout fait, oui.

    Bill : Et vous ny apportez rien : ni pense, ni jugement, ni tentative de comprhension.

    Inelia : Non.

    Bill : Vous jouez juste le rle dune lentille.

    Inelia : Exact. Et il faut le faire ainsi, parce que, pour influencer les choses sur cette plante, il est ncessaire dtre un humain, spcialement en ce qui concerne les affaires humaines, sinon cest de lingrence. En tant qutre humain, on peut rellement influencer, et agir sur lhumanit et le collectif humain.

    Il sagit donc dun petit vide juridique dans la loi dingrence, une clause quon peut utiliser pour provoquer des choses.

    Bill : Oui. Ce que vous dites donc ici et maintenant, cest quen tant qutre humain, vous vous positionnez, vous vous concentrez, et vous devenez cette lentille. Vous vous placez au bon endroit, puis quelque chose fonctionne travers vous ?

    Inelia : Oui.

    Bill : Et votre fonction, cest essentiellement dtre cette lentille, de la dplacer et de la rgler dans le temps selon les instructions que vous recevez ?

    Inelia : Oui.

    Bill : Et que ni la personnalit, ni lego ninterviennent ici. Ce nest quune fonction ?

    Inelia : Exact. Il ne sagit que dune fonction. Et de lautre ct de cette lentille, il y a lautre. Et cet tre doit avoir librement choisi son lien avec moi. Je ne peux mimposer quiconque. Que leur travail soit de couleur ngative ou positive, appelez-a comme vous voulez. Je

    ne peux imposer ce lien quiconque. Il faut que lautre souhaite entrer en relation avec moi un niveau quelconque.

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 10.

    Bill : Quand vous vous tes assise prs de la jeune fille sur le banc du parc, existait-il l une sorte dentre en matire ? Comme Bonjour ou autre, pour quelle reconnaisse votre prsence et laccepte ?

    Inelia : Exact. Normalement laccord se fait un niveau suprieur. Elle aura accept une aide quelconque ce moment-l, et il se peut mme quelle ait demand de laide, pri pour en recevoir, et cette aide est arrive.

    Bill : Bien. Oui, je comprends.

    Inelia : Mais sur le plan physique, spcialement si jai affaire un travailleur de lumire totalement conscient, je ne peux quannoncer ma prsence, et il doit alors minviter et demander ou accepter la relation. [Elle rit.]

    Bill : Oui. ______________ (Inaudible) Il est si merveilleux dinterviewer quelquun de tlpathe, parce que vous savez exactement ce que je vais vous demander. [Tous les deux rient.] Quand je vous ai t signal comme cible... OK. En fait, la tlpathie ne fonctionne pas en prsence dune camra vido. Il faut que vous disiez quelque chose ! On vous a donn mon nom. Pas vrai ?

    Inelia : Vrai. Parfois...

    Bill : Bill Ryan. Juste comme a ?

    Inelia : Non. Juste Bill.

    Bill : Bill ?

    Inelia : Bill et Avalon.

    Bill: Bill et Avalon ?

    Inelia : Oui.

    Bill : Et a ne vous voquait rien ?

    Inelia: Non, rien. Je navais jamais entendu parler de vous avant ! Dsole. [Les deux rient.]

    Mais cest souvent le cas. On me donne un nom et il me faut normalement des semaines pour trouver la personne et le lien, parce quon me donne aussi dautres indices. Mais avec vous, a a t trs rapide. Normalement, quand je trouve quelquun rapidement, cest que cest urgent. a passe ou a casse, pour ainsi dire. Normalement, jignore comment [Elle rit.], mais... Parfois on minforme de faon trs visuelle.

    Pour vous, on ma donn Bill et Avalon. Je suis donc all sur mon ordinateur, jai entr Bill Avalon et votre site est apparu. Et votre dernire interview. Je me suis donc inscrite votre forum et jy ai mis un message destin attirer votre attention. Un message avec de lnergie cache, pour quil soit lu. Mais il fallait ensuite que vous me contactiez, parce que je ne pouvais pas droger, et dire par exemple : Il faut que je travaille avec vous. [Petit rire.] Daccord ?

    Bill : Oui. Vous deviez attendre que je vous contacte ?

    Inelia : Oui.

    Bill : Ce qui est exactement ce que jai fait.

    Inelia : Vrai. Oui. Je peux en fait dire : Hou-hou ! je suis ici. a, je peux le faire. En envoyant un e-mail ou un message personnel ou en postant un message, pour dire

    que je suis l. Lautre doit alors rpondre : Jaimerais vous voir ou Jaimerais vous contacter / Jaimerais vous parler.

    Bill : Oui. La faon dont jai t manipul illustre parfaitement comment vous oprez toujours ? Pas vrai ? [Il rit.]

    Inelia : Oui, cest vrai.

    Bill : Cest vraiment surprenant. Et nous sommes ici. Daccord ! Et ces tches ou ces missions combien en avez-vous entrepris dans votre vie ?

    Inelia : [Surprise] Oh, cest impossible dire.

    Bill : Des centaines ? Des milliers ? Un grand nombre ?

    Inelia : Un trs grand nombre.

    Bill : Un trs grand nombre.

    Inelia : Oui. Et comme je lai dit, certaines sont trs courtes. Pour certaines, il suffit daller quelque part, dy tre ou de dire quelque chose quelquun.

    Bill : Juste un petit quelque chose de court qui peut ne pas prendre longtemps ?

    Inelia : Oui, exact.

    Bill : Autre chose. Vous mavez dit, je crois, que certaines missions durent...

    Inelia : Des annes.

    Bill : ...longtemps.

    Inelia : Oui... Des annes parfois.

    Bill : Savez-vous pourquoi certaines choses mettent autant de temps se rsoudre ?

    Inelia : Non. Je nai jamais essay de savoir. Je nai jamais cherch pourquoi certaines sont brves et dautres longues.

    Bill : Parce que vous ntes pas cense analyser ?

    Inelia : Exact. Mon rle nest pas danalyser, ni dtre curieuse, ni dessayer de relier les pointills. [Elle rit.] a, on le fait pour moi !

    Bill : Oui. Etes-vous curieuse ? Ou bien rfrnez-vous votre curiosit ?

    Inelia : Je ne le suis vraiment pas.

    Bill : Vous ntes pas curieuse du tout ?

    Inelia : Non. Non. Seulement des moments dattention. Je veux dire, il faut que je me concentre sur tant de choses, sil fallait que je me concentre aussi sur mon attention... On ne peut pas faire tout a. [Elle rit.]

    Mais cest distrayant et amusant quand la preuve arrive ou quun synchronisme se produit et montre le pourquoi et le comment et toutes les autres pices [du puzzle], parce que je ne travaille pas toute seule. Tout est orchestr par des tres suprieurs, ou notre moi, etc., ou lunivers. Et il y a des milliers et des milliers de gens sur la plante qui font ce que je fais. Et des milliers et des milliers dautres, des millions dautres, qui font dautres trucs, que je ne peux mme pas approcher, mais qui sont en rapport avec ce que je fais.

    Bill : Hmm. Comment pourriez-vous dcrire le mieux la source de vos informations, do vous tenez vos informations ? Quel est lobjet de tout a ? Quelle est cette source dinformations, de directions, etc. ?

    Inelia : OK. Cela passe par diffrents niveaux. Je peux dcrire trs rapidement lun deux, parce que je me concentre sur les deux, cest labsence de forme de lUn, qui fait partie du Tout. Daccord ? Comme la Source Divine.

    Bill : Lunit ultime ?

    Inelia : Exact. Cela se situe hors de lespace-temps. Ce serait comme si une tincelle qui en mane venait ici faire un certain travail, mais ne le faisait que parce quelle nest lie en rien ce qui se produit sur la plante, si vous y rflchissez bien. Et la demande dintervention ou la

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 11.

    requte est venue dautres tres, dautres gens. En quelque sorte, il y a eu un appel de lentit-Terre et dtres de lumire lintrieur de la plante qui ont cri : A laide ! Daccord ? Pour faire cela, nous avons besoin daide.

    Cet appel a t mis, et il ntait pas seulement plantaire. Il provenait aussi dautres tres de la galaxie, affects par ce qui se passe sur la plante, peut-tre pas aujourdhui, peut-tre dans un million dannes, et lappel a t immense. Un immense appel dune conscience doue de sensation, pour quon intervienne sur la plante sur cette ligne temporelle afin de lui permettre deffectuer la transition prvue, un appel quon essaie dinterrompre par la ngativit. Donc un immense appel, et voil pourquoi des tres comme moi peuvent entrer dans lespace-temps et agir ainsi, en rponse cet appel.

    La plante suit une trajectoire naturelle, qui est volutive.

    Bill : Vous voulez dire concernant la culture, la civilisation, les gens qui y habitent ?

    Inelia : Tout.

    Bill : OK.

    Inelia : Les plantes, les rochers, leau, les gens. Tout ne fait quun. Bien que les gens disent : Oh, nous sommes sur cette plante, on nous y a mis, nous ny appartenons pas vraiment. Cest une illusion, parce quils sont faits des mmes constituants que la plante, physiquement parlant. La chair est constitue du mme matriau.

    Elle est venue de la plante. Elle en est nourrie. Elle en fait partie. Tout nest quun seul tre intgr, avec diffrents niveaux de conscience en son sein. y compris le collectif humain et les autres collectifs dautres tres dous de sensation qui sont sur cette plante, et qui le sont depuis des millions dannes.

    Et cette plante, en tant quunit, a une trajectoire dvolution. Ce qui se passe, cest qu ce moment prcis, sur cette ligne de temps prcise, des forces tentent darrter cette volution, parce quil nest pas rentable que la Terre volue [Petit rire.] leur ide. Daccord ?

    Bill : OK.

    Inelia : Nous en arrivons alors aux lois dexistence il faut des lois pour que ceci se produise. Vous avez la loi du libre arbitre, par exemple, qui est partout viole sur cette

    plante. Vous avez celle de lespace-temps ; la trajectoire, exprimente par la plupart des gens comme du temps linaire, est une loi. Et les lois sont des sortes de rgles acceptes quand ltre vient ici jouer un jeu.

    Bill : Les rgles du jeu.

    Inelia : Exact. Donc, si soudain les rgles sont violes, la majorit des joueurs peut se retourner et dire : Allez chercher un arbitre, a triche ici. Daccord ?

    Bill : Mm-hm. Oui. Cest passionnant, parce que jai connu quelquun, il y a longtemps, qui faisait presque ce que vous faites et il se considrait comme un arbitre.

    Inelia : Ah, bien ! [Elle rit.]

    Bill : Et il faisait allusion un certain nombre dautres arbitres, dont il connaissait lexistence. Tout un sujet dont nous navons pas encore parl. Ctait vraiment un homme extraordinaire et il affirmait prendre son pied en le faisant : il se plaait psychiquement dans une situation prcise et alors ces mchants tres malfiques lui jetaient un regard et fichaient le camp. [Les deux rient.] Et bien sr il leur courait toujours aprs !

    Inelia : Bien.

    Bill : Il y aurait toute une histoire raconter. Trs intressante. Ctait ma premire exprience de quelquun de ce genre et jai contribu lencourager acqurir ces capacits quil a ensuite pu utiliser ... Je veux dire quil a termin une guerre, par exemple, lui tout seul. Comment il y est arriv ? Il y a l de quoi faire une autre histoire.

    Revenons nos moutons. Nous tions en train de dire que vous veniez pour traiter une situation o des rgles, ou des accords, avaient t viols.

    Inelia : Exact. Mm-hm.

    Pour lessentiel, ce qui se produit actuellement sur la plante est extrmement ngatif et... au niveau physique, il y a violation du libre arbitre, parce que si on maintient un collectif endormi, toutes leurs dcisions sont

    influences par ceux qui sont veills, et il ny a plus vraiment de libre arbitre.

    Bill : Un peu comme empcher les gens de voter ? Oui. Sr.

    Inelia : Exact. Ou bien prendre possession de leur corps, sils dorment, et le faire leur place. Il ne sagit donc pas vraiment de libre arbitre voil donc une des choses quon viole. Et puis toutes les guerres et toute cette autre ngativit la peur. La vibration de la peur, cest le matriau de la ngativit. Et on bombarde la plante... les humains qui y sont, le collectif sont bombards de peur par un trs petit nombre de gens sur Terre. Tels que llite au pouvoir. Ces gens-l bombardent lensemble de la population, de la plante, en utilisant la tlvision, les guerres, le crime... ils perptuent toutes ces choses... mme la musique. a aussi, cest une violation de ce qui devrait se passer ici.

    Bill : Bien.

    Inelia : Cest un bombardement en rgle.

    Bill : Bien. Votre rle donc, est peu prs celui dun arbitre dans un sport. Cest de sassurer que la partie est joue honntement et en respectant les rgles. Et si quelquun ne les respecte pas...

    Inelia : ...Carton rouge ! [Elle rit.]

    Bill : ...Alors, on les... Bon. Alors on les remet en place. Pas vrai?

    Et de temps autre, vous renvoyez quelquun aux vestiaires ?

    Inelia : Exact. [Elle rit.]

    Bill : OK. Donc vous voquez le contexte du rglement dun jeu prcis, qui comporte un trac et des limites. Quelque soit la nature du jeu, votre rle cest de veiller ce que les joueurs participent ce jeu sans en modifier les rgles tablies lorigine et acceptes.

    Inelia : Exact. A moins que tous les joueurs saccordent pour le modifier.

    Bill : Je comprends. OK.

    Inelia : Et il ny a pas eu daccord sur cette plante. Et la plante ne veut plus tre dans la ngativit.

    Bill : Jai saisi. OK. Bon, sagit-il ici dune intervention exceptionnelle ? Sagit-il dun changement de ligne temporelle o la prsence dtres comme vous, ou de fonction comparable, ne sera plus ncessaire ici, une fois ces aiguillages manuvrs ?

    Inelia : Oui.

    Bill : Voil une bonne rponse ! [Il rit.]

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 12.

    Inelia : [Elle rit.] Cest une question de ligne temporelle, parce quil y a dautres lignes sur cette plante o cela ne se produit pas. Et dautres o tout est dj rsolu.

    Bill : Cela signifie-t-il donc que, dans ces autres lignes, il ny a pas dInelia parallle, parce quil nest pas ncessaire quelle y soit ?

    Inelia : Exact.

    Bill : OK. Concernant toutes ces ralits parallles, Inelia nest donc prsente que dans celles o on a besoin delle.

    Inelia : Exact.

    Bill : L o les choses ont t trafiques, tandis quailleurs ce na pas t le cas...

    Inelia : Exact. Mais il y a diffrents niveaux.

    Bill : OK.

    Inelia : En arrivant sur cette ligne temporelle parce quune fois de plus, il y a toute cette multiplicit dtres sur diffrentes lignes... En arrivant et en prenant conscience que jtais dans lespace-temps, je ntais pas sre de certains lments. Par exemple, o me situais-je par rapport la transition ? Avant, pendant ou aprs ? Je lignorais. Lautre, ctait : dans quelle ligne temporelle ? Quel degr de gravit ? Que se passe-t-il dans cette ligne de temps ? Je lignorais aussi.

    Et je lai dcouvert lge de 3 ans. Et je voulais men aller. [Elle rit.] Jai fait ce quon appelle une grosse dpression nerveuse, quand jai dcouvert quil y avait encore des guerres sur cette plante, jai ralis... jai commenc comprendre sur quelle ligne jtais. Une des pires ! Ils ont encore des guerres ici ! Je me suis compltement effondre et jai commenc pleurer. Jai d pleurer pendant 3 ou 4 jours ! Il a fallu mamener chez le mdecin, me faire une piqre, et une cure de sommeil pendant quelques jours supplmentaires, etc.

    Puis quand je me suis rveille, je me suis dit : Je ne sais pas si jen suis capable. [Elle rit.] Cest franchement ce que je pensais lpoque. Je pensais honntement ne pas pouvoir y arriver !

    Bill : A lge de 3 ans ?

    Inelia : Oui.

    Bill : Et ce souvenir est rest tout fait clair dans votre esprit ?

    Inelia : Oh, je nai jamais oubli ! Ctait une sorte de plaisanterie dans ma famille. Combien de gamins de 3 ans ont des dpressions nerveuses [Elle rit.] quand ils dcouvrent quil y a encore des guerres sur la plante ?! a, a ne soublie pas facilement !

    Bill : Vous vous rappelez tous les dtails de votre petite enfance ?

    Inelia : Plus maintenant. Cest fini. Autrefois, oui. Je me rappelais tout ce qui arrivait et tout ce que je lisais. Si javais lu un livre 10 ans plus tt, vous pouviez lavoir en main, en ouvrir une page, men indiquer le numro et je vous la rcitais. Je possdais ce genre de mmoire. Mais un beau jour, a a disparu ! [Elle rit.] Jignore pourquoi ! Javais peut-tre la tte trop pleine !

    Je peux en fait retrouver linformation, si on me donne une date et une heure. Je peux y revenir et probablement la retrouver, mais a ne mintresse sans doute plus. Je lignore. Mais je ne me rappelle plus vraiment tout ce qui sest pass.

    Bill : Votre tche prise dans son ensemble, votre mission ici quel point est-elle, sera-t-elle, ou sur le point

    dtre une russite ? Pouvez-vous mesurer votre degr daccomplissement ? Ou le ntre tous, avec votre aide ?

    Inelia : Je suppose quil y a des moments o je pourrais aider des gens, mais o laccord ne se fait pas. Ils ne ragissent pas. Et jai aussi des moments o jaurais aim quils laient fait. Cela aurait simplifi les choses pour la plante. [Elle rit.] Je ne peux pas donner de noms, parce

    que le libre arbitre de ces gens ne serait pas respect, et ils ont choisi de ne pas simpliquer un certain degr.

    Bill : Peut-tre est-ce une question de timing et vous pourriez alors revenir vers eux voir sils ont lintention de simpliquer plus tard ?

    Inelia : Cest ce que je fais, en fait. [Elle rit.]

    Bill : Bien.

    Inelia : Je retente tous les ans ou... ou lorsquon me dit : Ressaie ! en fait je me rends l-bas pour voir sils sont prts, etc.

    Bill : Vous avez donc un petit nombre de missions en instance que vous navez pas encore russi mener terme ?

    Inelia : Absolument ! Toutes celles cependant o jai rellement pu entrer en contact, ont t de vrais succs.

    Bill : Et dans lensemble, concernant... le contexte de tout ceci, cest--dire...

    Inelia : ...la plante.

    Bill : ...le changement de ligne temporelle.

    Inelia : Oui.

    Bill : et la restauration du libre arbitre et de lautodtermination des citoyens de la plante o en sommes-nous ? Pouvons-nous lvaluer ? Russissons-nous ?

    Inelia : Nous nous dbrouillons extrmement bien. Bien au-del de toute attente et de plus, toutes les possibilits nous sont offertes en ce moment mme. Aucune limite [Elle rit.] dans ce qui peut tre accompli.

    Bill : Toutes les possibilits nous sont offertes en ce qui concerne le degr de potentiel positif ?

    Inelia : Exact. Oui.

    Bill : Il y en a. Cest bien a ? On ne se pose plus la question de savoir si nous allons y arriver ou non.

    Inelia : Oh non, nous allons y arriver ! [Elle rit.]

    Bill : OK. Bien.

    Inelia : Il reste voir le degr de perturbation et de difficult que subira la majorit de la population de la plante. Ce ne sera pas aussi terrible que cela aurait pu tre.

    Bill : Mm-hm.

    Inelia : Mais le degr de gravit dpendra en fait du collectif [humain]. a dpendra vraiment de chacun, sil choisit de traiter sa peur.

    Bill : Hmm!

    Inelia : Mais chaque personne qui le fait, qui dcide de ne pas sombrer dans cette peur, augmente lgrement le degr de vibration de la plante et lamliore pour des centaines dautres personnes.

    Bill : Bien. Vous dites donc... que nous allons sans aucun doute y parvenir, pour ainsi dire.

    Inelia : Oui.

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 13.

    Bill : Mais que linconnue, cest quel point a va secouer ?

    Inelia : Oui. [Elle rit.] a va tre de la responsabilit du collectif.

    Bill : Bien.

    Inelia : Cest ce dont le collectif a besoin. Cest ce qui va se passer.

    Bill : Est-ce que a veut dire que nous avons effectivement chang de ligne temporelle, ou bien est-ce trop simpliste, parce que a dpend sur quelle ligne nous sommes...

    Inelia : Exact.

    Bill : ...et a dpend de...

    Inelia : ...de la personne. [Elle rit.]

    Bill : Laissez-moi recommencer ma phrase ! Cest une question de nous pourrions nous trouver sur nimporte quelle ligne temporelle, certaines plus pnibles que dautres mais toutes vont aboutir au bon endroit ?

    Inelia : Mm-hm. OK. Chaque individu sur la plante contrle sa propre ligne temporelle. Et a fait partie de ce que llite ne veut pas que vous sachiez, parce que ds quune personne peut changer de ligne temporelle, elle ne va pas en choisir une o elle est asservie pour le restant de ses jours. Mais en choisir une o elle peut manifester ce quelle aime, vivre o elle veut et avoir une belle vie.

    Bill : Exact.

    Inelia : Donc, plutt que de nous demander comment nous avons chang de ligne, la bonne question serait : Ai-je chang de ligne temporelle ? et de rejoindre ceux qui veulent la mme ligne que moi. [Elle rit.]

    Bill : Bon, jai limage mtaphorique de la ligne temporelle : en fait une grosse corde tresse compose de millions de petits fils...

    Inelia : Mm-hm.

    Bill : ...entremls...

    Inelia : Exact.

    Bill : ...en un nombre indtermin de permutations qui constituent une incarnation.

    Inelia : Oui.

    Bill : Et chacun dentre nous tisse ce fil selon ses souhaits et nous nous alignons sur dautres qui font de mme.

    Inelia : Exactement. Et qui ont consciemment choisi ce

    fil, de le tisser et de sassocier. Lasservissement nexiste plus. Il est impossible. Il ny a plus de guerres, moins dun groupe motiv par les jeux de guerre, mais ils peuvent crer ensemble leur propre ligne temporelle.

    Bill : Eh bien ! Cest une pense plutt stupfiante, je dois dire. Dans une de nos conversations prcdentes, lautre jour, vous y aviez fix un pourcentage. Vous aviez dit que ctait rgl 70 %, et ce nest peut-tre pas exactement ce que vous avez dit. A quoi faisiez-vous allusion ?

    Inelia : A une transition en douceur, sans chaos, sans... par exemple des millions de vies perdues.

    Bill : Ah, OK. Je vous suis. Daccord. Ce 70 % concerne donc le degr de chaos.

    Inelia : Exact. [Elle rit.]

    Bill : OK. Mais vous dites que le rsultat global est acquis, en fait.

    Inelia : Absolument, oui.

    Bill : Ai-je raison de penser que, lorsque vous tes arrive ici, il y a quelques dizaines dannes... le rsultat ntait pas acquis. Et que les conditions ont chang depuis. Que ce rsultat est acquis maintenant.

    Inelia : Oui.

    Bill : OK. Et en rsumant ainsi, je nessaie pas de simplifier lexcs, au point de dire que vous lavez fait vous toute seule. Vous lavez dit plus tt, vous avez bien insist que ce ntait pas le cas. Cela sinscrit dans tout un mouvement. Tout un concept. Leffort commun de toute une quipe, impliquant des dizaines de milliers de gens. Que nous ne connatrons jamais, pour la plupart.

    Inelia : Je dirais des millions. Des millions.

    Bill : Des mil... Oui. Tous de faon varie.

    Inelia : Exact.

    Bill : Des tres sincarnent ici, venant de partout et de toutes les poques.

    Inelia : De lunivers connu. [Elle rit.]

    Bill : Exactement. Oui. De lunivers et hors de lunivers.

    Inelia : Exact.

    Bill : Et de la plante d ct. Je veux dire que toutes sortes de choses se passent ici.

    Inelia : Oui.

    Bill : Beaucoup de ceux qui nous regardent peuvent avoir personnellement rencontr certains de ces tres. Ils peuvent eux-mmes tre lun deux.

    Inelia : Exact.

    Bill : Ils peuvent tre lun de ces tres sans mme le savoir, et cette vido va les veiller ! Que dites-vous de a ?

    Inelia: [Elle rit.] Oui.

    Bill : [Il rit.] Plutt que de vous asseoir en personne prs de quelquun sur le banc dun parc ou daller rendre visite quelque sombre despote assis sur un trne dans sa demeure, nous vous offrons ici lintressante occasion de le faire rellement, grce cette vido, par votre prsence virtuelle.

    Inelia : Bien.

    Bill : Avec tous ceux qui nous regardent, des dizaines de milliers de gens. Voil peut-tre la raison pour laquelle nous le faisons.

    Inelia : Ce nest pas une concidence si vous regardez en ce moment cette vido. [Elle rit.]

    Bill : [Il rit.] On ny chappe pas. Je viens juste de penser a, je dois dire. Mais il y a peut-tre quelque chose l derrire, ne pensez-vous pas ?

    Inelia: [Elle rit.]

    Bill: [Il rit.]

    ***********************

    Bill : Nous voici donc, Inelia, deux ou trois semaines plus

    tard. Il serait utile de parler aussi de quelque chose dautre. Dans linterview vous avez voqu les lignes temporelles parallles, diffrentes ralits alternatives, et dit que nous disposions dun certain choix dans nos exprimentations.

    Les choses sont perturbantes, en ce moment, cause du nombre dinformations. On a des prophties et des prdictions, des visions et des rves et les gens pensent : Oh mon Dieu. Ci ou a va se produire ! et les gens qui

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 14.

    des tres astraux ou des ET ont racont des choses, qui ensuite narrivent pas.

    Quest-ce que a veut dire ? Quel conseil donneriez-vous tous ceux qui sinquitent de ce quon leur a annonc comme allant ou pouvant se produire?

    Inelia : Il y a ici un aspect rellement intressant. Quand linformation est diffuse, nous choisissons collectivement de laccepter ou de la refuser. Je vous conseillerais donc de la refuser. [Elle rit.]

    Bill : Que diriez-vous ceux qui ont regard ceci jusqu prsent et qui ne parviennent pas croire ce que vous leur dites. Ils ne peuvent pas croire que vous existez, parce quil y a tant de trucs qui nexistent pas ou qui sont trompeurs. Et ils se disent : Vous savez quoi ? Je vais regarder autre chose, parce tout a ne tient pas debout..

    Inelia : Jaimerais confirmer cette ralit-l, et je pense que vous avez emprunt la meilleure voie, celle daller voir ailleurs, parce que je ne suis pas relle vos yeux, et je ne le serai jamais. Et japprouve vous avez entirement raison.

    Bill : Ou bien vous pouvez devenir relle, quand ils regardent nouveau la vido.

    Inelia : Peut-tre.

    Bill : [il rit.]

    Inelia : Alors leur ralit aura chang.

    Bill : OK. Je sais que vous voulez mentionner quelque chose dautre. Lventualit dun malentendu, que des gens puissent penser vous comme une sorte de faiseur de miracles agitant sa baguette magique et remettant des choses en tat, quon peut vous passer commande de choses retaper, que cest vous qui dcidez de ce quil faut faire ou ne pas faire, etc., etc. Et il serait peut-tre bon que vous prcisiez tout cela.

    Inelia : Je ne choisis jamais avec qui je travaille. Cela se fait par mon moi suprieur, par intervention divine ou ce que vous voulez. [Petit rire.] Mais ce sur quoi je me concentre avant tout, cest le collectif. Si donc vous pensez rellement que jai quelque chose vous offrir, vous pouvez aller sur mon site, vous y trouverez des trucs. Il y a tout un tas dinformations, dexercices et de choses que vous pouvez faire.

    Mais je ne travaille plus avec les gens, individuellement, parce que les temps ont chang. Il ne sagit pas de ce quInelia peut vous apporter, mais pour vous de rpondre lappel. Il sagit dun appel laction, voici pourquoi jai accept de faire cette interview et de dire : Comment

    pouvez-vous, en tant que spectateur, amliorer les choses et aider cette tche ? Daccord ? O se situe votre joie ? Votre passion? Suivez cette voie-l !

    Bill : Vous ntes donc pas un rparateur ? Mais un catalyseur. Exact ?

    Inelia : Oui, un catalyseur. Cest un mot adquat. Un catalyseur. Et vous pouvez devenir le catalyseur. Seulement, comment fait-on ? Il sagit dlever votre degr personnel de vibration et alors vous deviendrez vous-mme un catalyseur.

    Bill : Nous pouvons donc tous tre, le catalyseur les uns des autres.

    Inelia : Absolument.

    Bill : Voici la synergie potentielle quon y trouve.

    Inelia : Oh, oui.

    Bill : Cest vraiment un problme, nest-ce pas, que les gens cherchent toujours quelquun pour les secourir, pour

    faire quelque chose leur place, les sauver, les en sortir. Ils attendent lextase. Ils attendent que Dieu, ou les ET, les aident. Et ce que vous ne voulez surtout pas, cest quon vous fasse jouer ce rle, parce que vous ntes pas ici pour a.

    Inelia : Je nai pas lintention de le faire. [Elle rit.] En fait, la personne nest pas responsable, a vient de la faon dont le programme a t tlcharg, afin que llite puisse bnficier du contrle absolu. Parce quainsi on dresponsabilise tant les gens, quils ne se rendent mme pas compte quils peuvent saider eux-mmes. Ils le peuvent. Chacun le peut. Tout individu peut non seulement tre le catalyseur de sa propre vie, mais aussi de celle de ceux qui lentourent.

    Bill : Voil donc probablement un de vos plus importants messages. Tout le monde peut accder aux dons que vous possdez. Vous navez besoin de la permission de personne pour commencer votre tche et remettre les choses en tat. Vous navez mme pas besoin de vous organiser, ni dattendre quon vous dise : OK. Attention au dpart. Go !

    Inelia : Exact.

    Bill : Vous encouragez juste les gens sassumer et se mettre faire ce pour quoi ils sont venus ici.

    Inelia : Oui, absolument. Autre chose : nous sommes tous venus ici avec ces capacits-l. Et nous les avons perdues en route, cause de notre programmation, de notre ducation, de notre situation culturelle, etc. Jai moi-mme perdu plusieurs de mes capacits. Et personnellement, il faut que je travaille les rcuprer ou trouver pourquoi a ne marche pas.

    Bill : Donc, tout est l. Si quelque chose a t perdu, ce nest pas dfinitif. Juste provisoirement gar, et tout ce quil y a faire, cest le retrouver.

    Inelia: Cest exact. Oui. Il faut le retrouver. Mais ici, limportant nest pas de dplacer des chaises travers une pice. Ce nest pas de lire dans le mental des gens. Ni de gurir les malades. Il sagit de lexpansion de votre propre conscience et dun degr de vibration plus lev, de pouvoir vous faire vibrer au niveau le plus lev possible, et ces capacits viendront. Les gens se sentiront soudain mieux en votre compagnie et, grce ces savoir-

    faire, vous serez plus efficace et capable dlever le degr de vibration de la plante, ou pour le dire autrement, den faire un monde meilleur.

    Mais si, pour vous, dplacer une table travers une pice

    tourne lobsession, bon, oui, cest possible et des gens peuvent le faire. Vous pourrez finalement y arriver, mais en quoi est-ce une aide ? Vous auriez pu aussi bien vous lever, saisir la table et la dplacer travers la pice. En quoi est-ce que a va aider la plante ? Daccord ?

    Bill : A mon avis, une bonne analogie a se trouve dans La Guerre des toiles. Il y a tant de vrits dans ce merveilleux film. Et ce petit Yoda, qui possde tous ces pouvoirs et qui montre Luc comment sortir son vaisseau du marcage avec ses capacits le lviter distance. Mais ce nest pas le sujet du film. Son sujet, cest le pouvoir donn par la Force. Le sujet du film, cest comment provoquer la dfaite du Ct Obscur et comment rcuprer ses propres capacits, pour vaincre lEmpire, pour ainsi dire, en les associant celles dautres personnes.

    Inelia : Oui, absolument. [Elle rit.]

    Bill : Et il ne sagit pas des tours de magie.

    Inelia : Non, il ne sagit pas des tours de magie.

  • Project Avalon - Inelia Benz 10 mars 2011 15.

    Bill : Les tours de magie sont amusants, mais ils sont un effet secondaire totalement dnu dimportance.

    Inelia : Ils ne sont pas importants, non.

    Bill : Pour ceux que a intressent vaguement, de ce ct-ci de la camra, en tant que Bill Ryan, je suis totalement incapable dexcuter des tours de magie, mais a ne fait rien. a ne mempche pas de participer part entire ce processus de transformation et, pour a, il me suffit dutiliser une camra.

    Inelia : [Petit rire] Exactement. Vous navez pas besoin de pouvoirs spciaux pour appuyer sur enregistrement . _____ (inaudible)

    Bill : [Il rit.] Je peux le faire de mes mains. Je nai pas besoin de le faire par la pense.

    Inelia : Exactement.

    Bill : Exactement. Dsirez-vous communiquer un message final ceux qui nous regardent ? Il y aura dautres vidos. Davantage dinformations... Des exposs personnels ? Allez-vous faire des ateliers, participer des colloques ?

    Inelia : Cest possible, oui. Oui.

    Bill : Mmh. Ce nest donc pas la dernire fois quon vous voit.

    Inelia : Non. Non. [Petit rire.]

    Bill : [Petit rire.] Cest quelque chose que nous attendrons avec impatience. Mon impression ici, si je peux partager mes penses personnelles sur le sujet,

    cest que nous sommes au tout dbut dun parcours palpitant. Et jencourage tous ceux qui nous regardent, et qui ont aussi cette impression. Mme si vous, personnellement, ressentez que ce parcours a commenc il y a peut-tre quelques annes, ce nest encore que le dbut. Il y a beaucoup faire. Beaucoup de compagnons de voyage potentiels, beaucoup damusement en perspective, et plein de pain sur la planche.

    Inelia : Oui, cest vrai. Il ne sagit pas seulement des vnements des 2 ou 3 prochaines annes. Ni de toutes ces catastrophes sur la plante. Non. Il sagit de ce qui se passera aprs.

    Bill : Il sagit de ce qui se passera aprs.

    Inelia : Oui.

    Bill : Et cela vous conviendrait tout fait, sil ny avait pas de catastrophe du tout.

    Inelia : Oh absolument ! Mettons-nous daccord l-dessus. [Elle rit.]

    Bill : [Il rit.] [fondu] [musique]