Moment –clé: Le monde gréco-romain

La civilisation romaine : quelques notions de vocabulaire3LG

Visionne le film : “Gladiator”SynopsisL'an 180 après Jésus-Christ. Maximus, général vertueux et ami personnel de l'empereur romain Marc Aurèle, remporte succès sur succès dans la guerre contre les barbares germains. Pour le récompenser, l'empereur, mourant, le désigne comme son héritier. Commode, le fils de Marc Aurèle, aussi jaloux qu'ambitieux, ne l'entend pas de cette oreille. Il achève son père dans une ultime étreinte, s'empare du pouvoir et ordonne à ses soldats d'éliminer son rival. Miraculeusement sauvé, Maximus rentre chez lui pour trouver sa propriété saccagée, sa femme et son fils assassinés. Capturé par un marchand d'esclaves, il est envoyé en Afrique du Nord et vendu à Proximo, maître de gladiateurs...

Recherche personnelleQui est Marc Aurèle?

Qu’est-ce qu’un empereur durant la Rome de l’Antiquité?

Qu’est-ce qu’un philosophe? ( rappel vocabulaire du premier trimestre)

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Que sont les mânes?

Que sont les lares?

Qu’est-ce qu’une légion?

Qu’est-ce qu’un gladiateur? Comment peut-il obtenir sa liberté?

Voici un texte de Sénèque :

- Quelle est la langue utilisée durant la Rome antique?- Qui est Sénèque?- Quel est son point de vue sur les combats de gladiateurs?

Casu in meridianum spectaculum incidi lusus exspectans et sales et aliquid laxamenti, quo hominum oculi ab humano cruore acquiescant, contra est. Quicquid ante pugnatum est misericordia fuit ; nunc omissis nugis mera homicida sunt. Nihil habent quo tegantur ; ad ictum totis corporibus expositi numquam frusta manum mittunt. Hoc plerique ordinariis paribus et postulaticiis praeferunt. Quidni praeferant ? Quo munimenta ? Quo artes ? Omnia ista mortis morae sunt. [... ]

« Sed latrocinium fecit aliquis, occidit hominem » ?

 Quia occidit, ille meruit ut hoc pateretur : tu quid meruisti miser ut hoc spectes ?

Sénèque, Lettres à Lucilius, VII, 3-4

Je suis tombé par hasard sur un « spectacle de midi » ; m'attendant à des divertissements, des bouffonneries et à quelque distraction qui repose les yeux des hommes de la vue du sang humain, c'est tout le contraire. Dans les combats d'autrefois, l'indulgence eut sa place ; mais à présent, on a renoncé aux bagatelles pour de purs homicides. Les combattants n'ont rien pour se protéger ; tout leur corps est exposé aux coups et ils ne frappent jamais sans se blesser. Et c'est ce genre de spectacle que la plupart des gens préfèrent aux duels de gladiateurs ordinaires ou renommés. Et pourquoi ne les préfèreraient-ils pas ? Le fer de l'épée n'est

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repoussé ni par le casque ni par le bouclier. À quoi bon les protections ? À quoi bon les techniques d'escrime ? Toutes ces choses retardent la mort. [...]

il répond à l'objection de son ami..

Et parce qu'il a commis un meurtre, celui-ci a mérité que cela lui soit infligé : mais toi, qu'as-tu mérité, malheureux, pour regarder cela ?

Qu’est-ce que le Colisée ?

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