Il paraît qu’on appelle la vieillesse l’âge d’or parce que l’or est la couleur des moissons. C’est celle du blé mûr.

Le bon côté des choses: si vieux que l’on puisse être, c'est qu'on est toujours plus jeune qu'on ne le sera jamais.

Si quelqu'un affirme être capable d’accomplir à soixante-dix ans ce qu'il accomplissait à vingt ans, c'est qu'il ne faisait sûrement pas grand chose à cet âge-là.

Passé soixante-dix ans, quand on se réveille sans avoir mal quelque part, c'est qu'on est mort.

Si on compare la vieillesse à une rose fanée, cette rose fanée est parfois aussi belle que celle fraîchement éclose.

Celui qui déclare être trop vieux pour apprendre l'a probablement toujours été.

L’important c’est le jour qui naît et qui précède celui qui va

naître dans 24 heures.

«Vive les Moissons!»

Musique: Libestraum de Franz Liszt

-Citations prises sur le Net

-Création

Lise Breton-Bérubé- 2012 -