Guide de voyage

Le tour du monde

en 42 jours

Semaine 2

Mol

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eChisinau

Succession d’occupations et d’annexions remontant aussi loin que l’empire romain, l’histoire de la Moldavie est l’une des plus riches d’Europe. Ayant subi l’influence successive des Hongrois, des Turcs, des Roumains et des Russes, la Moldavie a proclamé son indépendance en 1991. La Moldavie est parvenue à conserver intact son environnement et dispose encore aujourd’hui d’une diversité biologique très importante. Elle possède plus de 30 réserves naturelles, 13 territoires protégés ainsi que cinq réserves scientifiques. La Moldavie est donc une destination idéale pour les amateurs de tourisme vert.

Chisinau est la capitale économique, administrative et politique de la Moldavie. Elle est surnommée « la ville blanche baignée d’une mer verte » en raison de son architecture en pierres blanches noyées dans la verdure. Vous y retrouverez de larges boulevards bordés d’arbres et de fleurs ainsi que d’innombrables parcs. Les parcs couvrent plus de la moitié de la sur-face de la capitale. En bref, Chisinau vous propose un voyage entre l’histoire et la nature.

Le football est très populaire en Moldavie, toutefois le sport national est la boxe. Le trânta, un art martial ressemblant à la lutte, est aussi très populaire.

La cuisine moldave est un assemblage de plusieurs influences. Reposant essentiellement sur sa production agricole, le pays puise ses ingrédients de base dans des légumes tels les poivrons, les choux, les aubergines ou encore les tomates. L'un des plats traditionnels de cette cuisine est la mamaliga, une bouillie de farine de maïs que les moldaves associent à des grillades ou à des fromages. Pour boire, ce n’est pas le choix qui manque. La Moldavie est un des grands pays producteurs de vin et d’eau-de-vie d’Europe. Une visite des caves de Cricova devrait suffire à vous convaincre de la place qu’occupe le vin dans l’histoire et la culture moldaves.G

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Sport

Nous voilà à la deuxième semaine! J’espère que vous n’avez pas déjà dépensé toute votre énergie!

Ukr

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Kiev

L’Ukraine est un vaste pays aux attraits innombrables. Un voyage en Ukraine permet de profiter d’une nature sau-vage dans ses grands parcs nationaux où rôdent encore des animaux sauvages tels les ours, les loups ou les bisons. Les ama-teurs d’architecture seront séduits par Kiev et par les nombreux monuments, monastères et églises qu’offre le pays.

Kiev est la capitale et la plus grande ville d’Ukraine avec plus de 2,7 millions d’habi-tants. Kiev est surtout une ville possédant un héritage historique et traditionnel fort impressionnant. Le patrimoine religieux est sans aucun doute l’élément le plus intéres-sant à découvrir et le plus riche sur le plan esthétique. Kiev est aussi une ville agréable remplie de parcs qui jalonnent le Dniepr, immense fleuve qui traverse l’Ukraine.

En Ukraine, serrer la main de quelqu’un sur le pas de la porte peut avoir une influence néfaste. On ne remet pas de cadeau à cet endroit non plus. Il est préférable d’attendre d’être à l’intérieur.Les fleurs s’achètent ou se cueillent en nombre impair. Un nombre pair de fleurs est considéré comme néfaste et remis uniquement lors de funérailles.Il vaut mieux ne jamais siffler à l’intérieur d’un bâtiment ou d’une voiture. Si vous sifflez dans l’un de ces endroits, son propriétaire se retrouvera vite sans agent.Il ne faut jamais faire asseoir une femme célibataire au coin de la table. Si cette règle n’est pas respectée, la célibataire devra attendre au moins sept ans avant de se marier.Enfin, il est déconseillé de déposer son chapeau, de l’argent ou, pire encore, ses clés sur la table de la cuisine.Mais n’allez pas croire qu’il n’existe que des mauvais présages en Ukraine! Croiser un porc dans la rue porte chance...Supe

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Le borsch est une soupe traditionnelle faite à base de légumes, en particulier de betteraves, ce qui lui donne une couleur plutôt rouge. Si la soupe est d’une couleur verte, elle est faite avec de l’oseille (de l'ortie aussi). Le borsch ukrainien est différent du borsch russe. Dans la recette ukrainienne, on rajoute du lard écrasé en fin de cuisson et une gousse d’ail. Dans la recette ukrainienne, les légumes sont cuits à part avant d'être ajoutés à la soupe, tandis que tout est cuit dans le même chau-dron dans la recette russe.

La soupe borsch

Marie, Sylvie,

changez de place

s.v.p.

L’art de la pysanka

Un des plus anciens arts populaires du pays et une très vieille tradition en Ukraine est l’art de la py-

sanka. Cela consiste à dessiner ou peindre des oeufs avec des couleurs, des motifs et des symboles variés.

Tout a une signification, que ce soit la couleur ou la forme dessinée. L’oeuf est vénéré en Ukraine,

car il représente l’origine de la vie. Cette tradition vient de la fête de Pâques, alors que les Ukrainiens allumaient un feu dans la nuit pour purifier l’air et la terre du village. Ils apportaient un panier rempli de victuailles que le prêtre bénissait après la messe.

Maintenant, les pisanki sont des talismans, des porte-bonheur, mais aussi des signes de reconnais-

sance de l’identité culturelle.

Inde

New Dehli

Hyderabad

Dans ce pays, le moindre petit détail surprend et ravit : les bruits, les odeurs, les masses de gens, les couleurs, la pauvreté, la splendeur des montagnes, les temples, la présence des mendiants, les femmes aux allures de prin-cesses, les vaches et les éléphants qui se promènent libre-ment au milieu des carrefours chaotiques, etc. Le mélange esthétique et culturel du moyen-âge et de la modernité ne laisse personne indifférent. Soyez séduit par l’immensité du bagage historique de ce pays.

Delhi est en quelque sorte la porte d’entrée de l’Inde. Elle constitue un important carrefour de transports majeurs, grâce à de nombreuses liaisons routières, ce qui n’est pas toujours le cas dans le reste du pays.

Hyderabad est la sixième plus grande ville de l’Inde avec plus de 6,8 millions d’habitants. Située à la frontière de l’Inde du Nord et de l’Inde du Sud, elle possède une culture et une histoire qui sont partagées entre ces deux pôles, musulmans et hindous. La ville présente une panoplie d’infrastructures à l’architecture incroyable telle l’énorme mosquée de Mecha, le fort de Golconda, les Sept Tombes des Rois Qutb et plusieurs temples et statues dédiés à Bouddha.

On connaît tous le salut traditionnel indien (le namaste), qui consiste à joindre les deux mains sous le menton en inclinant légèrement la tête. Doit-on l’utiliser ou doit-on opter pour la poignée de main, que la jeune généra-tion indienne tend à utiliser de plus en plus lorsqu’on rencontre quelqu’un? Un conseil pratique : si la situation le permet, laissez votre interlocuteur saluer en premier...

Parlons us et coutumes...

Racontez-nous sur Facebook vos anecdotes sur les

différences de culture.

Dans la religion hindoue, la crémation est le rituel funéraire d’usage. Cependant, il en est qu’on ne brûle

jamais. Les femmes enceintes, les lépreux, les enfants de moins de 10 ans, les grands maîtres spirituels sont enve-

loppés dans un linceul blanc et confiés tels quels au Gange. Il n’est donc pas rare, comme ici, de voir de temps à autre

un corps dériver sur les eaux du fleuve. Les eaux du Gange sont considérées comme pures spirituellement.

Namaste

Ban

glad

esh

Dhâkâ

Situé au nord-est de l’Inde, au creux du golfe du Bengale, le Bangladesh est un pays tout neuf (1947) au passé millénaire enraciné dans l’animisme, le bouddhisme et l’islam. On y retrouve des sites archéologiques de plus de 2000 ans, des demeures historiques ayant appartenu à des maharajas du XIXe siècle et même les ruines d’un monastère bouddhique du VIIe siècle.Destination idéale pour les randonneurs, le Bangladesh compte de nombreux parcs nationaux et refuges fauniques, dont plusieurs sont dotés d’installations de loisirs, de sentiers et de guides. C’est dans ces installations que vous courez la chance d’apercevoir des léopards, des éléphants, des singes (langurs, gibons, etc.), des oiseaux exotiques et, si vous êtes vraiment chanceux, des tigres du Bengale.

Dhaka est la capitale du Bengladesh. Située sur la rive gauche de la rivière Buriganga, elle est l’une des plus grandes villes du sous-continent indien, avec une population d’environ 15 millions d’habitants. Un tiers de cette population vit dans l’un des quelque 800 bidonvilles que compte la capitale.

Dhaka est connue pour ses 700 mosquées. La ville compte aussi de nombreux monuments, dont le temple Dakeshwari, le palais Bara Katra et le fort de Lalbagh . Vous pourrez également vous rafraichir dans les différents parcs et jardins de la ville, le Jardin Baldha, les jardins botaniques et le parc Suhrawardy Uddyan.

Le sport national est le kabbadi. Son nom vient d’un mot hindî signi-fiant « retenir son souffle », une notion qui semble à la base de ce sport. Il s’agit d’un mélange de «tag» et de lutte opposant deux équipes de sept joueurs. Pour marquer des points, un attaquant doit, en retenant son souffle, foncer dans la zone adverse et briser la ligne des défenseurs (qui se tiennent par la main). Les défenseurs, eux, tentent d’attraper l’ennemi avant qu’il puisse retourner dans sa zone.Les autres sports couramment pratiqués au Bangladesh sont le cricket, le football (bien sûr!) et le badminton. Vous trouverez des courts de badminton absolument partout.

• Issues de l’islam et de la tradition rurale, les coutumes bangladaises imposent un cadre strict aux rapports homme-femme. Tout contact physique public entre eux, bangladais ou étrangers, même mariés, est absolument proscrit. Il est en revanche banal de voir des hommes se tenir par la main.

• Un présent est donné ou reçu avec la main droite.• On ne doit jamais toucher de la nourriture avec la main

gauche qui est considérée impure, tout comme les pieds. D’ail-leurs, on se déchausse à l’entrée d’une maison, et on ne pointe pas un orteil vers quelqu’un lorsque l’on est assis.

Saviez-vous que

Attention! Défi de la semaine : Passer une journée en couple sans se toucher en public. Qui a réussi? Dites-le nous sur Facebook!

Photo : Experience Bangladesh

Photo : Experience Bangladesh

Photo : Experience Bangladesh

Sport national

Birm

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Yangon

« Un pays différent de tout ce que tu connais », disait l’auteur du Livre de la jungle, Rudyard Kipling, à propos de la Birmanie. Plus d’un siècle plus tard, alors que le pays devient une destination de plus en plus cou-rue, cette remarque demeure vraie. La Birmanie séduit d’abord par la spiritualité qui en émane. La gentillesse des habitants et la présence des 250 000 moines y sont sans doute pour beaucoup, mais les routes de pèlerinage et les nombreux temples y contribuent également. Il ne faut pas manquer, par exemple, de visiter la fabuleuse cité en ruine de Bagan. Mais la Birmanie n’est pas que mystique. Ses montagnes, ses plages, sa faune et sa flore (il y aurait plus de 25 000 espèces de plantes à fleurs en Birmanie) en font l’une des destinations les plus féeriques au monde.

Yangon (Rangoun jusqu’en 1989) est une ville cosmopolite. Preuve en est la multi-tude de pagodes, mosquées, églises, temples hindous et synagogues qu’on y trouve. L’ancienne capitale birmane (elle a été remplacée par Naypyidaw en 2005), séduit par un charme mystérieux attribuable à la richesse de son histoire et à la chaleur de ses habitants. Un incontournable: le sanctuaire bouddhique le plus sacré de toute la Birmanie et l’un des endroits les plus magiques de l’Asie du Sud-est, le Dra-gon d’or « paya Shwedagon », mesurant 100 mètres de haut et composé d’un en-semble de 72 autres temples et de nombreuses statues de bouddhas et de nats..

Le sport national est la boxe birmane appelée bama lethwei. Il s’agit d’un art martial où les coups peuvent être portés avec n’importe quelle partie du corps : poings, pieds, genoux, coudes et même la tête.

Le repas « type » birman se compose d'un curry (hin), accompagné de riz (htamin), d'un bouillon et d'une multitude de petits plats, notamment de légumes. On apporte tout en même temps sur la table et on se sert ce qu'on veut dans une assiette à part. C'est le fameux « buffet birman » pro-posé dans plusieurs petits restos. Les currys sont presque invariablement préparés avec de l'ail, du gingembre, des oignons, du curcuma, beaucoup d'huile et souvent une substance omniprésente dans la cuisine birmane : le ngapi, une sorte de pâte assez salée, au goût prononcé de poisson ou de crevette. Les currys sont rarement pimentés, sauf dans la cuisine arakanaise.

Cuisine

Sport

Avertissement• On ne doit jamais toucher la tête de

quelqu'un. • Pas de doigt pointé vers le visage

de quelqu’un, même pour étayer une explication.

• En entrant dans une maison, en présence de l’hôte, on se penche légè-rement.

• Les cadeaux se reçoivent et s’offrent des deux mains, en s’inclinant légè-rement.

• Ne faites pas la bise à une femme, cela est inopportun, même si vous êtes une femme.

Si vous prenez le train pour visiter la ville, et que vous avez à passer par-dessus les jambes de quelqu’un, demandez-le avec le sourire. Dans la

plupart des cas, le Birman repliera les jambes avec le

même sourire.

Souriez

Thaï

land

eBangkokIl y aurait trois Thaïlande distinctes au sein du pays.

La première, incarnée par la ville de Bangkok et ses 12 millions d’habitants, est une région hyperactive et un monstre urbain où l’on se perd avec plaisir. La deuxième est la région du sud avec ses îles, ses plages, sa cuisine plus épicée, ses architectures gravées dans la roche, ainsi que ses mentalités et influences quelque peu musulmanes. Enfin il y a le Nord, la Thaïlande originelle avec son patrimoine culturel et historique incroyable, ses royaumes, son rythme détendu, ses temples, ses terres, ses mon-tagnes et ses forêts. Prenez le temps d’apprécier les trois.

Il est impératif de se laisser submerger par Bangkok pour apprécier la capitale du royaume de Siam. L’aspect extérieur est peu flatteur et peu révélateur de ses beautés et mystères. La ville de Bangkok présente à la fois la tradition et la mo-dernité. La ville compte de nombreux monuments, dont 400 temples boud- dhistes somptueux, des palais magni-fiques et des musées très intéressants. Un incontournable : le musée national de Bangkok qui présente un panorama historique de l’art thaïlandais.

La boxe thaïe ou muay-thaï, parfois appelée boxe thaïlandaise, est un sport de combat qui fait partie des boxes pieds-poings, dites sportives. Elle trouve son origine dans les arts martiaux ancestraux. Sp

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atio

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• La base de la cuisine thaï est le riz.• Les plats sont toujours plus ou moins épicés. • La cuisine actuelle thaï a subi des influences

chinoise et indonésienne. • Les desserts sont peu prisés.

Saviez-vous que

Si certains d’entre vous se sont régalés avec la cuisine thaï, rendez-vous sur le web à la recherche d’une bonne recette de pad thaï.

Vous ne vous sentez pas l’âme d’un cuisinier thaïlandais? Allez faire un tour au Chanchaï à

Sherbrooke. C’est vraiment bon!

Attention les pieds!Les thaïlandais considèrent que le pied est

une partie sale et grossière du corps, alors que la tête est une partie noble et élevée. Cela a

influencé leur manière de s’asseoir ; les pieds sont disposés sur le côté du corps, un peu

cachés, en évitant de les montrer aux autres. Montrer ou toucher les choses avec le pied est

considéré comme une action vulgaire.

Miam... du pad thaï! J’en veux!

Laos

Vientiane

L’histoire récente du Laos, qui a connu trois guerres au cours de la seconde moitié du XXe siècle et qui vit depuis sous une dictature communiste, explique que le pays ait, davantage que ses voisins, conservé ses charmes traditionnels. Ouvert aux touristes que depuis une vingtaine d’années, le « pays du million d’éléphants » n’est pas encore une destination touristique à la mode. Vous n’y trouverez pas de complexes touristiques…Vous y rencontrerez par contre un peuple discret, souriant et accueillant, qui vous séduira. À pied, à vélo ou en kayak, vous y explorerez des paysages magnifiques, combinaison de montagnes, de hauts plateaux et de cours d’eau enserrés dans une végétation luxuriante et fleurie. Enfin, vous serez enve-loppé par l’atmosphère mystique se dégageant de la présence des nombreux temples et moines bouddhistes.

Vous ne trouverez pas, dans la capitale du Laos, l’agitation caractéristique des autres métropoles asiatiques. Avec un peu plus de 800 000 habitants, Vientiane ressemble néanmoins à une petite ville paisible. La proximité et l’influence de plusieurs autres nations (Thaïlande, Chine, Vietnam, France) sont visibles dans l’architecture de Vientiane, un mélange incomparable de villas coloniales fran-çaises et de temples anciens issus de la culture locale.Beaucoup de bâtiments au style originel colonial français ont été transformés en hôtels et en restau-rants, ce qui donne un chic cachet européen aux larges avenues de certains quartiers. Ces édifices à la française voisinent des temples aux toits dorés. Ne pas manquer la visite du Stupa That Luang, symbole national principal du Laos, ainsi que celle du temple Sisaket , impressionnant avec ses 6 400 bouddhas.

Hé oui, les Laotiens aussi jouent au football. Mais c’est le volley-balL qui est considéré comme leur sport national. Les Laotiens sont aussi très nombreux à pratiquer le kataw. En résumé, le kataw est un mélange des deux sports précédemment mentionnés : deux équipes de trois joueurs sur deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs d’une équipe ont droit à trois touches avant d’envoyer la balle dans le territoire adverse en la faisant passer par-dessus le filet. Ils peuvent toucher le ballon avec la tête, les jambes et les pieds, mais pas avec leurs mains.

Envie d’une petite recette laotienne!? Essayez celle-ci!

Lap (Salade de boeuf)

N’oubliez pas notre soirée thématique.

Le mercredi 14 mai, venez découvrir le Laos avec nous!

Mesdames et mesdemoi-selles, veillez à couvrir vos

épaules et vos genoux. C’est innaproprié pour visiter le temple. Ça vaut pour vous

aussi messieurs! Merci!

Sport