Guide apprentissage 2015

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L'APPRENTISSAGE, VOIE ROYALE POUR L'EMBAUCHE LE DYNAMISME ÉDUCATIF DES RÉGIONS RÉFORME DE LA TAXE: LES NOUVEAUTÉS 2015 TAXE D’APPRENTISSAGE 2015 © BARTEK SZEWCZYK GUIDE

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L'APPRENTISSAGE,VOIE ROYALE POURL'EMBAUCHE

LE DYNAMISME ÉDUCATIFDES RÉGIONS

RÉFORME DE LA TAXE:LES NOUVEAUTÉS 2015

TAXE D’APPRENTISSAGE2 0 1 5

©BARTEK

SZEW

CZYK

G U I D E

Page 2: Guide apprentissage 2015

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Page 3: Guide apprentissage 2015

É D I T O

E lle en a fait du chemin depuis sacréation en 1925. La presque

centenaire taxe d’apprentissagedonne chaque année du fil àretordre aux chefs d’entreprise qui,par manque de connaissance oud’intérêt, ignorent à qui reversercet argent.Elle se présente cette année sousun nouveau jour qui change un peula donne financière et que cehors-série tente d’expliciter au

mieux. Avec, en toile de fond, le but fixé par le gouvernement :développer l’apprentissage pour atteindre l’objectif de 500000apprentis en France d’ici 2017. Si la réforme a modifié la répartitiondes sommes versées (51% de fraction régionale, 26% pour le quotaet 23% pour le barème) et augmenté le montant total (0,68% de lamasse salariale brute au lieu de 0,5% l’an dernier), elle n’a enrevanche pas touché au point qui constitue la singularité de cetimpôt : la possibilité de choisir une partie de son affectation.L’occasion, pour un dirigeant, d’accompagner l’école de son quar-tier, celle qui vient d’ouvrir, celle qui connaît des difficultés, celled’où sont sortis diplômés ses employés, celle qui permettra decompléter les équipes… Et d’encourager ainsi l’apprentissage,formule de plus en plus appréciée des jeunes et des recruteurs.Ces derniers sont en effet 82% à juger le contrat d’apprentissage« fidélisant », valeur importante dans une société où tout va tropvite. Si les filières traditionnelles (métiers de bouche, artisanat…)demeurent les principales pourvoyeuses de contrats, les écolessupérieures sont de plus en plus nombreuses à proposer des offresen alternance permettant ainsi à de futurs ingénieurs ou cadresde mettre un pied dans la vie active. Et de conforter ce chiffreoptimiste : 60% des apprentis décrochent un emploi en CDI àl’issue de leur formation.

Pascal LasserreDirecteur Délégué Emploi & Formation

Réformer pour re lancer©

DR

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Édition et Commercialisation : FIGARO CLASSIFIEDSDirection commerciale : O. Arriat. Tél. 01 76 62 31 73.Conception et réalisation : Sopress - Presso. Photo de couverture : © Bartek Szewczyk/Fotolia.Ont collaboré à ce numéro : V. Gardet, M. de Kerimel , R. Gourvennec

Cadre législatif et financier

Le dynamisme des régions

06 _ Un moteur pour la formation

08 _ La collecte : comment ça marche ?

10 _ L'affectation de la taxe

12 _ Payer moins, c'est possible

14 _ Un cadre éducatif adapté

16 _ Île-de-France / L'apprentissage, voie d'excellence

52 _ Rhône-Alpes / En route vers le big data

60 _ Sud-Est / Des experts aux cursus internationaux

64 _ Sud-Ouest / Artisans et techniciens recherchés

72 _ Grand Ouest / Cap sur les métiers d'avenir

78 _ Nord / Le numérique, un secteur qui recrute

82 _ Grand Est / L'apprentissage dépasse les frontières

85 _ Présentation des partenaires

I

II

S O M M A I R E

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16

64

Page 5: Guide apprentissage 2015

Fondée en 1949, située au coeur de Paris, à proximité de la tour Eiffel,Paris ESLSCA Business School, dispose d'atouts exceptionnels dansl'enseignement supérieur dumanagement : un corps professoral com-posé de spécialistes de haut niveau, des relations internationaleseffectives, l'implication des entreprises dans les études et les stages, unevie associative et culturelle enrichissante. 14000 anciens élèvesattestent de l'efficacité d'une formation directement adaptée à la viedes affaires, reconnue par les entreprises.Paris ESLSCA Business School a développé ces trente dernières annéesplusieurs établissements ou programmes périphériques qui constituentavec elle un groupe d'enseignement supérieur dumanagement de toutpremier plan : 3èmes Cycles spécialisés, Programmes MBA et MBASpécialisés, Bachelor (INSAM/BBA), Pôle d'Intelligence Economique(EGE), Classes Préparatoires (PCS), Centre de Formationpermanente.

Page 6: Guide apprentissage 2015

La taxe d’apprentissage ? Basée surles salaires bruts versés par lesentreprises contribuables, elle

permet d’assurer le financement desformations professionnelles et

technologiques. Le point, après ladernière réforme survenue en 2014.

PAR MARTIN DE KERIMEL

Un moteurpour la formation

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©DR

Elle a été créée en 1925 et concerne une

grande majorité des entreprises fran-

çaises. Pour une année considérée, elle

se calcule sur les salaires bruts versés l’année

précédente, avantages (en nature et en

argent) et pourboires attribués sous forme

de salaires compris. La taxe d’apprentissage

vient d’être réformée. Une constante : elle

est encore et toujours due par les entreprises

qui comptent au moins un salarié et sont

soumises à l’impôt sur les sociétés, voire à

l’impôt sur le revenu au titre des bénéfices

industriels et commerciaux. La réforme 2014

a en fait impacté son taux, qui a augmenté :

de 0,5% à 0,68% de la masse salariale consi-

dérée. Il intègre du même coup l’ancienne

CDA – Contribution pour le développement

de l’apprentissage, conçue jusqu’à présent

pour financer les Fonds régionaux de l’ap-

prentissage et de la formation profession-

nelle. Cependant, le texte de la réforme n’a

pas supprimé un autre des compléments

prévus à la taxe : la CSA (ou Contribution

supplémentaire à l’apprentissage). Ce dispo-

sitif complexe concerne uniquement cer-

taines entreprises, selon des cas précis pré-

vus par la loi (lire par ailleurs). Précision : des

dispositifs légaux permettent aux entreprises

qui « jouent le jeu » de l’apprentissage de

bénéficier d’un certain nombre d’allége-

ments ou d’aides financières. Par ailleurs, la

loi prévoit aussi des cas d’exonération de la

taxe d’apprentissage. Autre précision impor-

tante : comme c’était le cas auparavant, sous

le régime de l’ancien mode de calcul, les

départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et

de Moselle bénéficient toujours de taux

réduits.

Répartition et critèresVéritable contrat de travail, le contrat d’ap-

prentissage s’adresse aux jeunes âgés de 16

à 25 ans. Il en existe à tous les niveaux de

formation, dans tous les cursus. Du Centre

de formation d’apprentis pour les métiers

manuels aux écoles d’ingénieur, les profils

des candidats à l’apprentissage sont extrê-

mement variés. Le gouvernement veut

mieux garantir la qualité des formations et a

mis l’accent sur les qualifications de plus bas

EN CHIFFRES

66,8 %des nouveaux

apprentis sont

des hommes

18,8 %des nouveaux

apprentis sont

déjà diplômés à

Bac +2 et plus

Source : 2013 /Ministère du Travail

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Page 7: Guide apprentissage 2015

©DR

INTERVIEW

François MoutotDIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’ASSEMBLÉE

PERMANENTE DES CHAMBRES DE MÉTIERS

ET DE L’ARTISANAT

Quels sont les objectifs

poursuivis par la

réforme de la taxe

d’apprentissage ?

Nous étions favorables

à ce que la taxe

d’apprentissage soit

bien réservée aux

formations essen-

tiellement tournées

vers l’apprentissage.

Il nous semblait

important qu’elle soit

distribuée proportion-

nellement à cet effort

pour l’apprentissage

et aux coûts des

formations concernées.

Aujourd’hui, il n’est pas

certain que le premier

objectif sera tenu. Nous

savons que le second

ne le sera pas.

Pour autant, cette

réforme va-t-elle

dans le sens d’un

développement du

nombre d’apprentis,

objectif évoqué par

le gouvernement ?

Nous avons besoin de

plus de moyens pour

les centres d’apprentis,

la seule porte possible

aujourd’hui pour

développer l’appren-

tissage. Or, les primes

que le président

de la République

avait annoncées au

1er septembre n’ont

toujours pas été

votées. La réforme n’a

pas été poussée

jusqu’au bout.

Des raisons d’y croire,

malgré tout ?

Si je n’y croyais pas,

je ferais autre chose.

Je crois que nous

avons gagné le défi

de l’opinion publique,

aujourd’hui largement

favorable à

l’apprentissage, mais

aussi le combat

médiatique. Les jeunes

eux-mêmes

comprennent

désormais l’intérêt de

métiers concrets,

rémunérateurs.

Les jeuneseux-mêmescomprennentdésormaisl’intérêt demétiers concrets

niveau. Un temps, François Hollande évo-

quait une barre à atteindre, fixée à 500 000

apprentis à l’horizon 2017 – les chiffres issus

du ministère du Travail font état de 415 000

contrats en cours en France métropolitaine

pour l’année 2013. Pour aller plus loin, l’autre

grand changement introduit par la réforme

de la taxe concerne la répartition de son

montant. Auparavant, il était partagé en

deux catégories : le quota et le barème, aux

parts variables en fonction des années.

Désormais, il sera découpé en trois : le quota

représentera 26% du montant et sera versé

aux Centres de formation d’apprentis, le

barème (23%) sera consacré à la formation

technologique et professionnelle hors-ap-

prentissage et le reste (51%) sera confié aux

régions, qui détermineront elles-mêmes les

choix d’affectation. Autre nouveauté : les

établissements susceptibles d’obtenir des

versements par le barème feront chaque

année l’objet d’une liste édictée par le préfet

de région. Ils devront respecter des critères

établis à l’échelon local, lesquels seront

basés notamment sur la reconnaissance par

l’État, le contrôle de la pédagogie et une

absence de caractère lucratif. L’objectif est

de répartir plus efficacement les très impor-

tantes sommes en jeu : ces dernières années,

le montant total des contributions à l’ap-

prentissage versées par les entreprises fran-

çaises a représenté environ deux milliards

d’euros par an.

EN CHIFFRES

49,3 %des nouveaux

apprentis ont

signés pour

24mois

38,2 %des nouveaux

apprentis ont

rejoint une

entreprise

demoins

de 5 salariés

Source : 2013 /Ministère du Travail

CSA, VOUS AVEZ DIT CSA ?

La Contribution supplémentaire à l’apprentissage (CSA) vise lesentreprises supérieures à 250 salariés et concerne – notamment –celles qui ne respectent pas un quota de contrats d’alternance ou devolontariats en entreprise. Elle est d’un taux variable, en fonction del’importance relative de la population salariée de l’entrepriseconcernée, entre autres. Parmi les nombreux interlocuteurs possiblesdes contribuables, les Chambres de commerce et d’industriedisposent généralement de services d’information compétents pourrépondre précisément aux demandes de renseignement sur ce point.

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CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Page 8: Guide apprentissage 2015

Nationaux ou régionaux,les organismes de collecte de la taxe

d’apprentissage sont présents surtout le territoire. Encore important

cette année, leur nombre serabientôt réduit, dans une logique de

rationalisation des procédures.Explications.

PAR MARTIN DE KERIMEL

La collecte :comment ça marche ?

8

©DR

La limite est fixée au 1er mars. C’est avant

cette échéance que les entreprises

assujetties à la taxe d’apprentissage

doivent annuellement verser le montant qui

leur est imputable. Dans les régions, les orga-

nismes de collecte de la taxe d’apprentis-

sage (OCTA) répartiront, en respectant les

trois fractions définies par la réglementation,

les sommes concernées. Il existe aussi des

organes collecteurs nationaux : les orga-

nismes paritaires collecteurs agréés (OPCA).

Tournés vers le financement de la formation

professionnelle continue, ils sont aussi sus-

ceptibles de collecter la taxe d’apprentis-

sage, en tant que délégataire d’un OCTA.

Un échange avec les entreprisesLes entreprises conservent une marge de

manœuvre : même si elles passent obligatoi-

rement par un intermédiaire, elles peuvent

aussi décider elles-mêmes de l’affectation

d’une partie de leur taxe, proportion que les

textes désignent sous le vocable de barème.

Si aucun choix n’est exprimé, les instances

dirigeantes de l’OCTA décident elles-mêmes

de l’affectation de ce barème. Comment cela

fonctionne-t-il ? Les OCTA collectent auprès

des entreprises assujetties à la taxe la totalité

des sommes dues. Ils leur adressent à cet

effet un bordereau d’appel de collecte. C’est

sur ce document que les entreprises peuvent

librement désigner les centres, écoles et

autres organismes habilités qu’elles sou-

haitent voir destinataires de leurs verse-

ments. Toute mention préalable de choix

définis par l’OCTA est interdite. Pour faire

face aux dépenses consenties dans l’exercice

de leur mission, les OCTA peuvent prélever

des frais de collecte et de gestion. Ils sont

plafonnés et correspondent à un pourcen-

tage du montant de la collecte : en 2012, 3%

du montant pour une collecte inférieure à 5

millions d’euros, 2,2% pour les collectes entre

5 et 5 millions d’euros, 1,5% pour les collectes

encore supérieures. Pour éviter les conflits

d’intérêt, les administrateurs et salariés des

OCTA n’ont pas le droit d’exercer de fonction

d’administrateur ou de salarié dans les

centres de formation d’apprentis et sections

d’apprentissage. Par ailleurs, les OCTA sont

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Organismescollecteurs,les OCTApeuvent préleverdes frais degestion etsont soumisà un contrôlede l’État.

Page 9: Guide apprentissage 2015

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INTERVIEW

Phi l ippe Perfett iDIRECTEUR ADJOINT EMPLOI ET FORMATION

À L’ASSEMBLÉE PERMANENTE DES

CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT

Comment choisir son

organisme de collecte ?

Il en existe au niveau

national et au niveau

régional. Au niveau

national, les organismes

de collecte de la taxe

d’apprentissage

(OCTA) sont adossés

aux organismes

paritaires collecteurs

agréés (OPCA).

À l’échelon régional,

après l’actuel régime

transitoire, il n’y aura

plus qu’un OCTA

régional, piloté par les

chambres consulaires.

Les entreprises devront

choisir un collecteur

unique.

S’adresser à un

organisme régional

apporte-t-il aux

entreprises l’assurance

que le montant de la

taxe sera affecté au

bénéfice de leur

propre territoire ?

Aujourd’hui, 51% du

montant de la taxe

constitue déjà une part

régionale, au bénéfice

des Centres de

formation d’apprentis.

Les sommes en jeu

reviennent au

Trésor Public, sont

mutualisées sur un

compte spécial et

finalement réparties

selon une clé définie

par la loi. La collecte

locale abonde souvent

les centres de

formation régionaux.

Un organisme de

collecte peut-il donner

des conseils aux

entreprises en matière

d’affectation de

la taxe ?

Non : la loi l’interdit

formellement !

Elle impose toutefois

aux entreprises

d’aviser les centres

de formation et

les sections

d’apprentissage

de l’affectation

de leur taxe.

Les entreprises devrontchoisir un collecteur unique

tous soumis à un contrôle complet de l’État :

il s’exerce tant sur les procédures de collecte

que sur l’utilisation des ressources collectées.

Des vérifications sur pièces peuvent être

demandées par les inspecteurs sur l’origine

des fonds reçus, ainsi que sur la réalité des

dépenses engagées et la conformité de leur

utilisation. Autre obligation : chaque année,

les OCTA doivent transmettre un rapport

d’activité à différentes autorités publiques,

parmi lesquelles on retrouve le préfet de

région et le président du conseil régional.

Des statuts très diversifiésConstat d’évidence : rien ne ressemble moins à

un OCTA… qu’un autre OCTA. Aujourd’hui, ces

collecteurs sont de natures très différentes : on

y trouve des fédérations, groupements ou

syndicats professionnels, ainsi notamment que

des Chambres des métiers ou des Chambres

de commerce et d’industrie. Publié en mars

2013, un rapport d’information du Sénat souli-

gnait le nombre toujours croissant de ces

organismes et notait que les dix plus impor-

tants collectaient à eux seuls 51% de la taxe

d’apprentissage prélevée à l’échelon national.

Ce même document évoquait «un dispositifhétérogène» et pointait du doigt «des procé-dures d’agrément sources de dérives», du fait

notamment du chevauchement géographique

des OCTA et d’une concurrence entre eux.

Pour les mêmes raisons, le rapport faisait état

de performances de gestion variables en fonc-

tion des organismes de collecte et de contrôles

déficients. Dans le texte : «Le système de listepréfectorales ne permet pas d’identifier avecprécision les formations et établissementséligibles. L’administration fiscale ne disposepas non plus de l’information relative au paie-ment de la taxe d’apprentissage ». Sur ces

questions également, les lignes vont donc

bouger. Afin de rendre le système moins com-

plexe, le gouvernement et le législateur ont

en effet prévu, à très court terme, de réduire

drastiquement le nombre d’OCTA.

DES OCTA MOINS NOMBREUX ?

Harmoniser les coûts de formation des apprentis, mais égalementrationnaliser les circuits de collecte de la taxe d’apprentissage : ladouble tâche est complexe. Pour la mener à bien, le Parlement ad’abord entendu simplifier les démarches des entreprisescontribuables : à compter de 2016, ces dernières devront verser leurtaxe d’apprentissage à un organisme collecteur unique. La loi du 5mars dernier prévoit également une réduction drastique du nombred’OCTA, de 147 aujourd’hui, selon les derniers chiffres du ministère duTravail, à moins de 50 fin 2015.

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CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Page 10: Guide apprentissage 2015

Une certaine liberté de choix.La taxe d’apprentissage n’est pas

tout à fait un impôt comme lesautres. L’entreprise contribuable estlibre d’affecter elle-même une partiede la somme dont elle est redevable.

La dernière réforme n’est pasrevenue sur ce principe.

PAR MARTIN DE KERIMEL

L’affectationde la taxe

10

©DR

La taxe d’apprentissage a changé ! Sa

réforme récente a profondément

modifié les caractéristiques de l’impôt,

même si ce dernier est toujours mis à la

charge des entreprises et calculé sur leurs

masses salariales. Les nouveaux textes modi-

fient très largement les possibilités de choix

d’affectation des sommes versées. Dès la

prochaine collecte, les entreprises contri-

buables vont donc devoir redéfinir la poli-

tique d’attribution de leurs fonds, selon les

nouvelles contraintes. C’est la loi de finances

rectificative pour 2014 qui en dispose :

la taxe d’apprentissage se divise en trois

quotités. Dans le détail : la fraction régionale

pour l’apprentissage (51%), le quota (26%) et

le hors-quota – ou barème – (23%). La régle-

mentation prévoit par ailleurs que chacune

de ces subdivisions du montant total prélevé

est affectée à un usage particulier. Comme

son nom l’indique explicitement, la fraction

régionale est destinée aux régions : elle est

versée par les OCTA au Trésor Public.

Le quota, lui, est dédié aux seuls Centres et

sections d’apprentissage. Enfin, le barème

est destiné à des établissements dispensant

des formations technologiques et profes-

sionnelles initiales, en dehors du dispositif de

l’apprentissage. Complément possible, la

Contribution supplémentaire pour l’appren-

tissage (CSA) est quant à elle réservée aux

Centres de formation d’apprentis.

Un quota à géométrie variableAvec une date limite de collecte fixée au

1er mars, les entreprises contribuables qui

versent leurs contributions apprentissage

ont aussi la possibilité de désigner les éta-

blissements d’enseignement qui seront les

bénéficiaires des sommes versées. Sous la

seule réserve que ces derniers soient bien

habilités, les OCTA sont tenus d’exécuter

cette demande. Les versements directs des

entreprises contribuables à un établissement

donné sont et restent strictement prohibés.

Dans le cadre du quota d’apprentissage,

deux situations peuvent être distinguées.

Lorsque l’entreprise-contribuable a embau-

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Première fractionde la taxe (51%) :la fractionrégionale pourl’apprentissage

Page 11: Guide apprentissage 2015

ché au moins un apprenti, la loi oblige à

(ou aux) l’organisme(s) de formation concer-

né(s) un concours financier égal au coût réel

de cette (ou ces) même(s) formations, dans

la limite évidemment du quota disponible.

C’est le préfet de région qui, chaque année,

doit publier une liste des coûts par apprenti

des différentes formations dispensées sur

son territoire. S’il ne fait pas l’objet d’une

publication, l’entreprise est néanmoins tenue

au versement d’un montant forfaitaire, fixé

alors par arrêté ministériel. Pour les entre-

prises qui n’accueillent aucun apprenti ou

disposent d’un solde de quota après cette

possible affectation obligatoire, la liberté

d’affectation est totale. La loi prévoit toute-

fois que l’entreprise est tenue d’aviser les

Centres de formation d’apprentis et les

sections d’apprentissage des montants

qu’elle doit ou décide de leur affecter.

Deux sous-catégories pour le barèmeDésormais, ces mêmes Centres de formation

d’apprentis et sections d’apprentissage ne

sont donc plus éligibles au barème. La seule

exception subsistante concerne d’éventuels

compléments aux concours financiers, en

cas d’un montant de quota disponible insuf-

fisant pour couvrir les coûts de formation du

(ou) des apprenti(s) accueilli(s) par l’entre-

prise. Par décret, le gouvernement a prévu

également que ce barème devait être réparti

en deux parts, et non plus trois comme

jusqu’à l’année dernière. La première catégo-

rie (dite «A») correspond à 65% du barème,

elle doit financer des formations de niveau V

(CAP), IV (Bac) et III (Bac +2). La catégorie

« B » (35 % du barème) reviendra à des

formations de niveau II (Licence, Bac +3

et 4) et I (Bac +5 et au-delà).

Précision : les entreprises dont le montant

brut de la taxe d’apprentissage n’excédera

pas 415 euros ne seront pas tenues de suivre

cette répartition.

11

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

TAXE D’APPRENTISSAGE(0,5 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) :100 % - QUOTA 57 % + BARÈME 43 %

Quota de 57% :38% : Financement national du développement et de la modernisation

de l’apprentissage.62% : Financement des Centres de formation d’apprentis et sections

d’apprentissage.

Barème de 43% :40% pour des formations de catégorie A (niveaux IV et V)40% pour des formations de catégorie B (niveaux II et III)20% pour des formations de catégorie C (niveau I)

EN COMPLÉMENT…Contribution pour le développement de l’apprentissage (CDA) :0,18% de la masse salariale brute.

Contribution supplémentaire pour l’apprentissage :Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectifannuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés.

TAXE TOTALE(0,68 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) :100% - FRACTION RÉGIONALE 51% + QUOTA 26% + BARÈME 23%

51% de fraction régionale• Trésor Public – destinée aux régions

Quota de 26% : réparti en• Contributions obligatoires : Centres de formation des apprentisaccueillis par l’entreprise.

• Solde : affectation libre par l’entreprise, aux Centres de formationd’apprentis de son choix.

Barème de 23% : formations professionnelles initiales temps plein65% pour des formations de catégorie A (niveaux III, IV et V)35% pour des formations de catégorie B (niveaux I et II)

EN COMPLÉMENT…Contribution supplémentaire pour l’apprentissage :Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectifannuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés.

AVANT

MA IN TENANT

Page 12: Guide apprentissage 2015

L’apprentissage, c’est également,et malgré la taxe, une possibleaubaine financière : en faisant

le choix d’accueillir un oudes apprenti(s), l’entreprise s’ouvre

aussi des droits à des aidesfinancières de l’État. Le point.

PAR MARTIN DE KERIMEL

Payer moins,c’est possible

12

©DR

Le contrat d’apprentissage n’est pas

tout à fait un contrat de travail ordi-

naire. L’employeur qui y a recours est

notamment exonéré des charges sociales

afférentes, à l’exception cependant de la

cotisation patronale pour les accidents du

travail et la maladie professionnelle. De la

même manière, la Contribution sociale géné-

ralisée (CSG) et la Contribution au rembour-

sement de la dette sociale (CRDS) ne sont

pas dues. Dans le détail, la législation prévoit

des cas d’exonération partielle. Ne peuvent

bénéficier du dispositif d’exonération totale

que les seuls artisans dûment inscrits

au répertoire des métiers – ou au registre

des entreprises pour trois départements :

Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle –, ainsi que

les employeurs comptant moins de 11 sala-

riés, hors apprentis bien sûr. Depuis janvier

2014, le contrat d’apprentissage peut égale-

ment être accompagné d’une prime. Desti-

née aux entreprises de moins de 11 salariés,

cette dernière remplace l’ancienne indemnité

compensatrice forfaitaire (ICF) : elle est ver-

sée par la région dans laquelle est situé l’éta-

blissement où travaille l’apprenti. Fixé par le

Conseil régional, son montant est au mini-

mum de 1000 euros par année de formation.

Autre disposition : les entreprises soumises

au régime réel d’imposition et qui emploient

un apprenti pendant plus d’un mois peuvent

bénéficier d’un crédit d’impôt. Celles qui,

tous établissements confondus, ont des

effectifs supérieurs à 250 salariés peuvent

aussi toucher une aide financière en

employant plus de 4% de jeunes en contrat

d’apprentissage. Le montant exact de cette

aide dépend aussi du pourcentage précis

d’alternants y ouvrant droit et sur la base

d’un montant forfaitaire de 400 euros par

employé alternant. Son versement suppose

que l’entreprise ait fait une déclaration sur

ses effectifs annuels moyens auprès d’un

organisme collecteur de la taxe. L’aide est

versée dans sa totalité dans les deux mois

qui suivent la réception de la demande.

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Le versementpar uneentreprise d’undon en natureà un organismede formationpeut lui permettred’alléger lemontant desa taxed’apprentissage.

Page 13: Guide apprentissage 2015

©DR

Déduire des dépenses…Pour réduire le montant de sa taxe d’appren-

tissage, l’entreprise-contribuable peut aussi

utiliser d’autres arguments. Dans la limite

d’un plafond correspondant à un pourcen-

tage de la taxe brute, elle peut ainsi déduire

les dépenses engagées pour l’accueil de

stagiaire. Quelques conditions sont requises :

le stage doit s’intégrer dans un cursus de

formation et être obligatoire en vue de l’ob-

tention d’un diplôme technologique ou

professionnel ; le jeune doit avoir le statut

scolaire ou étudiant ; et une convention de

stage école / élève / entreprise doit être éta-

blie et signée. La déduction se calcule en

multipliant un forfait journalier (fixé à 25 ou

36 euros) par le nombre de jours de stage

effectués. Autre possibilité pour l’entreprise

de « payer moins » : faire un don en nature

d’un matériel neuf ou d’occasion à un orga-

nisme donné, en vue d’un usage pédago-

gique. Pour être prises en compte, ces sub-

ventions doivent être valorisées dans la

comptabilité du donneur et du bénéficiaire,

sur la base d’un calcul fait sur la base du prix

de revient, de la valeur sur inventaire ou de

la valeur résiduelle. Pour que le dispositif

fonctionne, l’établissement récipiendaire

choisi doit bien sûr être habilité à percevoir

la taxe d’apprentissage. Une attestation

d’intérêt pédagogique sera notamment

demandée comme justificatif.

Ne pas oublier…La loi prévoit un cas d’exonération totale de

la taxe. Il concerne les entreprises qui res-

pectent deux critères précis et cumulatifs :

une masse salariale annuelle brute inférieure

à six fois le SMIC annuel et l’emploi d’un

apprenti au moins durant l’année de réfé-

rence. Calculée sur les salaires de l’année

écoulée, la taxe d’apprentissage est due par

les entreprises avant le 1er mars de l’année

suivante. Ceux qui ne se seraient pas acquit-

tés des sommes qui leur sont imputables

prennent de gros risques et notamment celui

de devoir payer le double ! En cas de cession

d’activité, de cessation ou de liquidation judi-

ciaire, une déclaration doit être effectuée

dans les 60 jours. Ce délai est porté à six

mois en cas de décès de l’employeur.

ILS N’ONT RIEN À PAYER

De par leur nature, certaines entreprises sont totalementdispensées du paiement de la taxe d’apprentissage. Cette courteliste comprend les sociétés et personnes morales dont l’objetexclusif est l’enseignement, quelle que soit leur forme. Libérés detoute contribution également, les groupements d’employeurscomposés d’agriculteurs ou de sociétés civiles agricoles,eux-mêmes exonérés. L’État lui-même, les collectivités territorialeset leurs divers établissements publics ne sont pas assujettis nonplus, tout comme certains offices publics d’habitat, établis enétablissement public à caractère industriel et commercial.

13

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Le don en nature - des ordinateurs par exemple - permetde réduire le montant de la taxe d'apprentissage.

Page 14: Guide apprentissage 2015

Il souffre parfois d’une imagefaussée, comme s’il ne concernait

que les recalés du système éducatifgénéral. L’apprentissage réunit

pourtant toutes les filières et s’avèreune très bonne voie d’insertion

durable dans la vie active.Explications.

PAR MARTIN DE KERIMEL

Un cadre éducatifadapté

14

©DR

La France pourrait certainement mieux

faire en matière d’apprentissage.

Nombre d’exemples prouvent en tout

cas que ce contrat de travail alternant

s’adapte parfaitement aux emplois les plus

diversifiés. Cette façon de travailler combine

astucieusement un cursus théorique, dans

un centre de formation d’apprentis, à la fac

ou dans une grande école, avec la mise en

pratique immédiate des compétences

acquises. Elle fait donc aujourd’hui la preuve

formelle de son efficacité, de nombreux

jeunes apprentis s’insérant ensuite rapide-

ment sur le marché du travail proprement

dit, sans passer par la case chômage. Selon

une note publiée en mars dernier par le

ministère de l’Education nationale, 60% des

apprentis trouvent en effet un emploi en

contrat à durée indéterminée à l’issue de leur

formation. Sept mois après, ils sont près de

65%. Côté employeurs, une autre étude

récente établit que le contrat d’apprentis-

sage apporte en général une solution inté-

ressante, à court et à long terme. En termes

statistiques, 82% des employeurs le jugent

« fidélisant » et trois chefs d’entreprises sur

quatre estiment que le coût qu’il représente

est compensé par sa valeur ajoutée.

Différents niveaux de diplômesTrès concrètement, c’est dans son ensemble

que le système éducatif français peut favori-

ser l’apprentissage. Loin de n’être que l’ul-

time bouée de secours destinée aux cancres,

ce type de contrat est aussi tout à fait

adapté aux études supérieures. Pour preuve,

en 2014, et toujours selon les chiffres de

l’Education nationale, près d’un apprenti sur

trois (32,2 %) prétendait à un diplôme à

bac +2 au moins – et jusqu’à bac +5.

L’apprentissage concerne également des

bacs pro et BP (22,2% de l’ensemble des

apprentis) et des CAP-BEP (43%). Les textes

législatifs définissent cinq niveaux, numéro-

tés en chiffres romains : I, II, III, IV et V. Plus le

chiffre est bas, plus la formation est élevée.

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

En 2014, prèsd’un apprentisur trois prétendà un diplômeà bac +2aumoins.

Page 15: Guide apprentissage 2015

©DR

©DR

INTERVIEW

Damien DésirÉTUDIANT EN MASTER À LA KEDGE

BUSINESS SCHOOL (BORDEAUX)

Vous êtes en

apprentissage chez

Orange Business

Services, la branche du

groupe Orange dédiée

aux entreprises.

Comment cela se

passe-t-il ?

Sur les douze mois de

chacune de mes deux

années d’alternance,

je suis tenu d’en passer

huit dans l’entreprise

et quatre à l’école.

Lors de cette première

année, mes cours sont

regroupés en cycles

de quatre semaines.

L’année prochaine, je

les ferai tous d’un coup

dans le cadre d’un

échange. J’aimerais

partir en Amérique

latine, si possible au

Mexique ou au

Venezuela.

Quel est l’avantage pour

vous d’avoir un contrat

d’apprentissage ?

C’est le moyen d’être

intégré dans

l’entreprise et d’y avoir

des responsabilités.

Je suis considéré

comme un vrai salarié.

D’un point de vue

financier, c’est

intéressant aussi :

Orange prend en

charge le coût de

ma formation.

Une fois formé,

pensez-vous avoir une

chance d’être embauché

chez Orange ?

Des perspectives

immédiates, je ne sais

pas, mais Orange va

recruter dans les cinq

à dix années qui

viennent. D’après ce

que je vois, la promotion

interne fonctionne bien.

Ceux qui auront déjà

une expérience dans

la société auront

sûrement une chance

supplémentaire.

Je suis considéré commeun vrai salarié

Exemple : le niveau V concerne les apprentis

en CAP, le III les BTS et DUT, le I les diplômes

d’ingénieur et les masters. Les professions

les plus diversifiées s’ouvrent donc aux étu-

diants-apprentis, qu’elles soient manuelles

ou de bureau. Bâtiment, commerce, hôtelle-

rie, restauration, agriculture, esthétique… Les

secteurs traditionnels demeurent de gros

pourvoyeurs de contrats. L’apprentissage

évolue aussi dans les services : les entrées

y progressent tant que la plupart des

apprentis sont formés dans le secteur

tertiaire - 56% selon une étude publiée par le

ministère du Travail en juillet dernier. Les

autres secteurs demandeurs sont l’industrie

(22,1 %), le commerce auto (18,8 %) et la

construction (18,7%). Le BTP forme 80000

apprentis chaque année, celui de l’artisanat

200000. Quant à la filière alimentaire, elle

devrait générer 150000 contrats d’ici à 2017.

Si 55% des apprentis ont rejoint une société

de moins de dix salariés, ils sont aussi plus

de 17% dans une très grande entreprise,

supérieure à 250 salariés. Pour le recrute-

ment post-apprentissage, ce sont les

domaines de la santé (85%), de l’informa-

tique (82%) et du génie civil (77 %) qui

s’avèrent les plus efficaces aujourd’hui.

EN BONNE ET DUE FORME

L’apprentissage repose bel et bien sur un contrat de travail.Les apprentis formés par les entreprises françaises sont doncrémunérés : selon le degré d’ancienneté dans l’entreprise et l’âgede l’apprenti, la loi définit précisément la rémunération due parl’employeur – une part variable du SMIC. Un certain nombred’aides financières est consenti à l’employeur qui embauche unou plusieurs apprentis. Ce système gagnant-gagnant permet auxentreprises de participer à la formation de leurs futurscollaborateurs. Hormis certains cas prévus par des conventionsparticulières, l’employé embauché en contrat à durée indéterminéeau terme d’une formation en alternance ne pourra être soumis àune période d’essai.

15

CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N

Page 16: Guide apprentissage 2015

16

©POLADAMONTE

Page 17: Guide apprentissage 2015

CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S

L’apprentissage,voie d’excellence

Àla rentrée 2014, les CFA franciliens ont ouvert

plus de 3500 nouvelles places et plus de

mille métiers sont accessibles par l’apprentis-

sage pour tous les niveaux de formation, du CAP au

Master professionnel en passant par les diplômes des

Grandes écoles. Depuis dix ans, la Région Île-de-

France mise sur l’apprentissage en augmentant

chaque année le budget qu’elle lui consacre. «Lesbesoins des entreprises franciliennes dans le secteurdes services sont importants, c’est pourquoi nousavons fait le choix de soutenir son développement enouvrant de nombreuses formations dans le supérieur,indique Jean-Paul Huchon, président de la Région

Île-de-France. Cela a largement contribué à changerl’image de l’apprentissage, auparavant considéréecomme une orientation par défaut et désormais vuecomme une voie d’excellence».

Avec 10% de sonbudget consacréà l’apprentissage,la région Île-de-Franceplace cette formed’enseignement au cœurde sa politique pourl’emploi. Plus de lamoitié des apprentisfranciliens sont inscritsdans le supérieur.

ÎLE-D

E-F

RANCE Double

compétence et

internationalisation

des cursus sont

les atouts majeurs

des formations

franciliennes.

PAR ROZENN GOURVENNEC

17

©GettyIm

ages/iSto

ckphoto

Page 18: Guide apprentissage 2015

L’apprentissage,un levier contre le chômageL’apprentissage a en effet prouvé au fil des années

son pouvoir de levier contre le chômage des jeunes :

plus de 70% des apprentis trouvent un poste dans

les sept mois après leur formation, dont 65% en CDI.

Singularité de l’Ile-de-France, 55% sont inscrits dans

le supérieur. Un fait qui s’explique, selon Jean-Paul

Huchon, par la structure de l’économie francilienne :

«En Île-de-France, les cadres et professions intellec-tuelles supérieures représentent 29% de l’emploifrancilien, contre 17% en France métropolitaine. Sanssurprise, les apprentis suivent la même tendance :58% des apprentis préparent une formation dans lesservices en Île-de-France contre 40% au niveaunational. Nous sommes aujourd’hui vigilants à ce quel’apprentissage dans le supérieur bénéficie à ceux quien ont le plus besoin. Nous avons ainsi renforcé notresoutien sur les premiers niveaux de qualification(CAP et Bac pro) qui correspondent aux jeunes quisont le plus en difficulté sur le marché du travail».

Insérer les jeunes dans l’entrepriseL’insertion des jeunes alternants dans un emploi

durable est également un challenge que les entre-

prises veulent relever. 112 grands noms du SDF 120 et

du CAC 40 sont réunis depuis 1982 au sein de l’AFEP,

l’Association françaises des entreprises privées, pour

défendre leurs intérêts auprès des pouvoirs publics.

L’association s’implique dans l’emploi des jeunes

avec la démarche « Jeunes et entreprises », lancée en

2013. «Cette initiative part d’un constat : les grandesentreprises ont un rôle à jouer dans l’emploi desjeunes car elles ont les moyens financiers et humainsde les former en alternance, indique France Henry-

Labordère, directrice des affaires sociales à l’AFEP.

Or, avec la crise, elles ne peuvent pas forcément lesembaucher à l’issue de leur formation. D’où l’idée dela mise en place d’un portail «Engagement pour lesjeunes», qui met en relation les jeunes en alternanceet les PME-PMI susceptibles de les recruter, et ce, surtoute la France et dans tous les secteurs. D’un côté,les jeunes mettent en ligne leur CV sur cette base, del’autre les entreprises y postent leurs offres d’emploi.92 entreprises ont aujourd’hui rejoint ce portail. 1463jeunes alternants y ont activé un compte. 1819 postesont été ouverts aux jeunes diplômés. Les retours desentreprises sont très positifs ».

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –

R É G I O N S

18

TÉMOIGNAGE

Nicolas BurckelDIRECTEUR DU PÔLE ENTREPRISES

DU GROUPE ESSEC

«Pour la partie quota de la taxe d’apprentissage, nous percevons

environ onze millions d’euros qui nous servent à financer les études

de nos 660 étudiants en apprentissage. Pour la partie barème, qui

sera réduite aux deux-tiers en raison de la réforme, nous devrions

recevoir un million d’euros que nous utiliserons pour le matériel,

le financement d’une vingtaine de chaires pour la spécialisation

de nos étudiants, et le lancement de deux nouvelles formations :

le Master of sciences Data scientists and business analysts et une

nouvelle formule du BBA. Environ 1900 entreprises différentes

nous reversent la taxe, mais 90% de la somme totale provient de

200 entreprises. Un-tiers des apprentis sont embauchés dans les

entreprises qui les ont formés.»

Environ 1900entreprisesdifférentes nousreversent la taxe,mais 90% de lasomme totaleprovient de200 entreprises.

EN CHIFFRES

635 353étudiants

17universités

Plus de 350établissements

d’enseignement

supérieur non

universitaires

Source : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014.

Page 19: Guide apprentissage 2015

Attribuez à la formation des kinésithérapeutes

CEEInstitut de Formation en Masso-kinésithérapie agréé par le Ministère de la Santé

Centre Européen en Rééducation et Réadaptation FonctionnelleCampus Paramédical Porte de Paris - 36 rue Pinel 93200 Saint-Denis – www.ceerrf.fr

zueibtrAt gesaisntrepp’ae daxe ttrvo stepeuraéthsiékinesn dioatrmfolaà

Page 20: Guide apprentissage 2015

TÉMOIGNAGE

Élodie BapstRESPONSABLE DU RECRUTEMENT ET

DE LA MARQUE EMPLOYEUR CHEZ ALTRAN

«Nous adressons le montant de notre taxe

d’apprentissage à tous types de structures :

les écoles d’ingénieurs et de commerces, mais

aussi des universités, des lycées, des écoles de

reconversion, des associations qui font la

promotion de la filière ingénieur. C’est un

moyen pour nous de gagner en visibilité auprès

des étudiants. Altran est reconnu comme un

acteur incontournable dans le marché de

l’ingénierie, mais il est important de présenter

aux jeunes le type de carrières possibles dans

le groupe car le métier de consultant offre une

infinité d’activités. Cela permet aussi de créer

une relation privilégiée avec les structures pour

intégrer des jeunes en stage, des alternants et

des apprentis, dans l’optique d’en recruter

certains par la suite.»

La taxe d’apprentissageest unmoyen pour nousde gagner en visibilitéauprès des étudiants (…)et de créer une relationprivilégiée avec lesstructures.

Diversifier les sources de talentsL’association ouvre aussi davantage les portes des

grandes entreprises aux étudiants d’université titu-

laires d’un Master 2, grâce au dispositif « Booster »,

mis en place en mars 2014. «Souvent les grandesentreprises recrutent des étudiants issus des écolesde management ou d’ingénieurs, poursuit France

Henry-Labordère. Or, la diversification du recrute-ment est un facteur de richesse dans l’entreprise.Avec « Booster », les entreprises partenaires serendent dans les universités pour rencontrer lesétudiants et étudier ensemble leur projet profes-sionnel. Nous travaillons pourl’instant avec trois universités :Aix-Marseille, Pierre et MarieCurie et Sorbonne-Nouvelle.Nous nous sommes fixés d’ac-compagner une centaine d’étu-diants vers l’emploi en 2014 etpas moins de mille en 2015 ».

Croiser les savoir-fairePour répondre à la demande

croissante des entreprises en

profils double compétence, les

établissements créent des par-

tenariats. Objectif : mixer les

savoir-faire des étudiants afin

de déployer des formations

encore plus pointues. L’Edhec

Business School et l’ESTP Paris

proposent par exemple un diplôme hybride axé sur

le management et l’ingénierie. Telecom ParisTech et

l’Ecole Polytechnique se sont associés à la rentrée

2014 pour créer le Master 2 Advanced Communica-

tion Networks (ACN), une formation d’excellence

dans le domaine des réseaux. L’ESSEC va lancer en

septembre prochain un MSc in data sciences and

business analytics dispensé conjointement avec

l’Ecole Centrale Paris. « Le monde est devenu digital,note Jean-Michel Blanquer, directeur général de

l’ESSEC. Aujourd’hui, l’objectif des entreprises est derecruter des talents qui ont intégré cette nouvelledonne, et pour cela, il faut inventer des formationsd’un genre nouveau. L’ambition de l’ESSEC et deCentrale Paris est de former ces talents, notamment

«Lemonde estdevenu digital.Aujourd’hui,l’objectif desentreprises est derecruter des talentsqui ont intégré cettenouvelle donne, etpour cela, il fautinventer desformations d’ungenre nouveau»,note Jean-MichelBlanquer, directeurgénéral de l’ESSEC.

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –

R É G I O N S

20

7 pôles de compétitivité

81,9% de taux de réussite au bac (2012)

26 423 étudiants en CPGE

31 887 étudiants ingénieurs

EN CHIFFRES

Source : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014

Page 21: Guide apprentissage 2015

PARTICIPEZ À L’AMBITION DECHIMIE PARISTECH !

TAXE D’APPRENTISSAGE 2014 Catégories C (+ B)

COMMENTVERSERLATAXE D’APPRENTISSAGE ?Chimie ParisTech est habilitée à percevoir la taxe d’apprentissagepour les catégories cadres supérieurs (C) et cadres moyens (B) (àcondition de tenir compte dela règle du cumul pour la catégorie B).Pour verser la taxe d’apprentissage au titre de l’année 2014, vousdevez obligatoirement adresser vos versements à un organismecollecteur (OCTA) agréé, avant le 1er mars 2014.

Merci de préciser sur le bordereau de l’OCTA :École Nationale Supérieure de Chimie de Paris,(Chimie ParisTech), 11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Paris.

Votre contact :Direction du Développement des Relations Industrielles et de laFormation PermanenteHélène Fischer, Responsable administrative01 44 27 67 53 - [email protected]

VOTRE CONTRIBUTION NOUS EST PRÉCIEUSE !Chimie ParisTech est un établissement socialement responsable, engagé dans une procédure de mise aux normes qui devraconduire à la certification ISO 14001. L’École a le souci constant d’améliorer l’environnement général et technique dans lequel sesétudiants et enseignants s’épanouissent.

Chimie ParisTechÉcole Nationale Supérieure de Chimie de Paris

11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Pariswww.chimie-paristech.fr

Chimie ParisTech est membre fondateur de PSLwww.parissciencesetlettres.org

100% d’insertion professionnelledes débouchés variés dans tous les domaines industrielsUne formation qui couvre tous les domaines de la chimiechimie organique, chimie des matériaux, chimie physique, chimie analytique, génie des procédés, énergie, modélisation, ...Une formation importante en sciences humaines et sociales110 chercheurs et enseignants-chercheursDe nombreux doubles diplômesDes petites promotions soudées par une vie associative intenseUn important réseau d’écoles partenaires en France et à l’étrangerParisTech, Paris Sciences et Lettres, Fédération Gay-Lussac, IdeaLeagueUn réseau académique et industriel international à travers 20 paysUn important réseau d’anciens élèvesDes liens forts avec les entreprisespartenariats, parrainage des promotions, stages, interventions d’industriels dans le cadre de séminaires, chairesd’entreprises, tables rondes et ateliers, visites d’usines et de centres R&D, conseil de perfectionnement composéd’industriels

CHIMIE PARISTECH : EN FRANCE, LAMEILLEURE ÉCOLED’INGÉNIEURS SPÉCIALISÉE EN CHIMIE

Page 22: Guide apprentissage 2015

dans le cadre de leur alliance». Cette formation com-

mune portera à la fois sur les outils informatiques,

l’analyse quantitative, la compréhension de l’environ-

nement économique, et la manière pour le décideur

d’évoluer dans son entreprise armé de cette connais-

sance. « C’est un programme d’un genre nouveau caril ne s’agit pas d’un double diplôme, souligne Lionel

Gabet, professeur des universités en mathématiques

appliquées à l’Ecole Centrale Paris. Ce n’est pas lasimple addition de nos expertises, mais la synthèse :un programme conçu, produit et dispensé en com-mun. Notre objectif est de former des managers quiseront d’emblée à 100% des dirigeants alliant culturescientifique et orientation business et qui serontessentiellement des digital leaders».

Le luxe a la coteAutre filière d’excellence parisienne : le luxe. Un sec-

teur qui plébiscite l’apprentissage pour transmettre

les savoir-faire traditionnels et conserver son mono-

pole sur le marché international. Le groupe INSEEC a

inauguré en septembre dernier un Bachelor en com-

mercialisation des vins et spiritueux et un MBA Wine

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –

R É G I O N S

22

TÉMOIGNAGE

Laura Ferr i -FioniCHEF DU DÉPARTEMENT STAGES, ORIENTATION, INSERTION

PROFESSIONNELLE DE L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE PARIS

«La taxe sert à financer différents outils pédagogiques :

les équipements techniques des salles, des amphithéâtres et des

laboratoires de recherche, les bourses des élèves en stage en France

comme à l’international, les logiciels, l’accès aux banques de données

de la bibliothèque, le déploiement du e-learning… Les entreprises

donatrices sont aussi bien des grands groupes que des PME-PMI.

Nous leur permettons de mieux se faire connaître auprès de nos

étudiants. Et pour élargir le portfolio des entreprises partenaires,

nous nous appuyons sur nos anciens élèves qui font passer le

message auprès des sociétés dans lesquelles ils travaillent. Grâce à

la contribution de ces entreprises, l’École fait évoluer en permanence

son enseignement pour qu’il réponde aux enjeux du 21e siècle.»

Grâce à lacontributiondes entreprises,l’École fait évolueren permanenceson enseignementpour qu’il répondeaux enjeux du21e siècle.

EN CHIFFRES

+ de 400millions d’euros

consacrés par

la Région à

l’apprentissage

en 2013

163CFA en 2014

Source :Région Île de France.

©GettyIm

ages/iSto

ckphoto

Page 23: Guide apprentissage 2015

Former des Psychomotriciens pour répondre auxgrands plans de Santé Publique lancés par leGouvernement Plan Maladies Neuro-dégénératives

Troisième Plan Cancer • Plan Autisme • Plan Petite enfancePlan de santé au travail • Plan Psychiatrie • Créationd’une fondation pour la recherche en psychomotricité etmaladies de civilisation (Fondation de France)

Former des Psychoomotriciens pour répondre aux

PSYCHOMOTRICIEN DE*UN MÉTIER QUI A DU SENS

Établissement d’enseignement supérieur libre agréé par le Ministère de l’Éducation Nationale et le Ministère de la Santépour la préparation au diplôme d’État de psychomotricien - Autorisations Conseils Régionaux Ile de France et Provence Alpes Côte d’Azur

TAXE D’APPRENTISSAGEDONNEZ UN AUTRE SENS

À VOTRE VERSEMENT

SITE POLE EURO-UNIVERSITAIRE DE SANTÉPour donner un autre sens à votre versement deTaxe d’Apprentissage, contactez Gérard Hermant.19-25 rue Gallieni - 92100 Boulogne -Billancourt • Tél. : 01 58 17 18 50 • E-mail : [email protected]

www.isrp.fr

À l’issue de 4 ans (1+3) d’études médicales et psy-chologiques, le psychomotricien intervient auprès :• D’enfants en difficulté scolaire• De personnes souffrant dehandicap mental ou moteur

• D’adultes en situation d’échec ou de blocage• De personnes âgées présentant despathologies dégénératives

• D’entreprises soucieuses de prévenirles risques liés au stress au travail.

Nous attirons votre attention sur l’importance de lapsychomotricité, citéedans lesdifférentsplansdeSantéPublique gouvernementaux mentionnés ci-dessus.

Les étudiants futurs professionnels attendent votresoutien pour que soient financées de nouvelles actionsde formation plus spécifiques, toujours en lien avecces pathologies nouvelles.

Les deux ISRP de Paris et de Marseille sont habilitésà recevoir la taxe d’apprentissage au titre du barèmecatégorie A pour Paris, B pour Marseille.

En versant tout ou partie de votre taxe d’apprentis-sage à l’ISRP, vous contribuez à une amélioration dela formation, à unemeilleure prise en charge futuredes pathologies psychomotrices et à la préventiondes risques psychosociaux en entreprise.

*DIPLÔMED’ÉTATDÉLIVRÉPARLE

MINISTÈREDELA

SANTÉ

©photos:B

enjamin

Brolet

TOUS, nous sommes ou nous serons concernés par la nécessité d’un développement psychomoteurharmonieux ou du maintien d’un équilibre personnel et d’une efficacité psychocorporelle.

Page 24: Guide apprentissage 2015

TÉMOIGNAGE

Nathal ieGormezanoDIRECTRICE GÉNÉRALE DE L’ISIT

«La taxe d’apprentissage sert à financer

l’année de formation en apprentissage par

l’intermédiaire du quota pour les 40 apprentis

de l’ISIT qui bénéficient chaque année de cette

opportunité d’étudier une semaine sur deux à

l’ISIT et en entreprise, pour l’obtention de leur

Master. Avec le hors quota, nous développons

une politique d’égalité des chances en attirant

les meilleurs talents français et internationaux.

Principalement via un dispositif de bourses

suffisamment attractif et la gratuité des frais

de scolarité pour des étudiants d’excellence

issus des milieux les plus modestes.

Pour accompagner le développement des

formations au service des étudiants, nous

avons également investi dans des modalités

de transmission des savoirs innovants et

interactifs.»

Avec le hors quota,nous développonsune politique d’égalitédes chances enattirant les meilleurstalents français etinternationaux.

Marketing & Management accessible à bac+2. Son

objectif : devenir le leader mondial de l’éducation sur

le luxe, le vin et le digital. L’école de management

Istec lance quant à elle un «Summer program» inti-

tulé «French Business and Luxury Brand Manage-ment», une formation qui aura lieu tous les ans en été

et qui répond aux besoins d’étudiants étrangers dési-

reux de bénéficier de l’expertise française.

L’American Business School propose depuis la ren-

trée 2014 un «Bachelor in fashion, luxury and retailmanagement» dédié aux métiers de l’industrie du

luxe. Un secteur qui ne connaît pas la crise et où les

débouchés sont nombreux à l’international. «Cetteformation correspond à un besoin du marché, sou-ligne Jarlath Dillon, directeur du programme. Elle estconçue en partenariat avec des professionnels duluxe qui ont proposé, avant même l’ouverturedu Bachelor, des stages et des postes à pourvoirde vendeurs online ou physiques. Le secteur du luxeprévoit une croissance d’environ 7% par an, grâce audéveloppement de circuits de distribution dans lesBRICS et les nouveaux marchés émergents que sontle Nigeria, la Turquie, la Malaisie, l’Indonésie. Il y a doncun important besoin en recrutement. Le fait de pro-poser une formation tout en anglais permettra auxjeunes diplômés de travailler à l’international».

L’ouverture à l’internationalPour asseoir une notoriété mondiale et permettre aux

futurs cadres de construire une carrière au-delà de nos

frontières, les grandes écoles jouent la carte de l’inter-

national de différentes manières : programmes bilin-

gues ou uniquement en anglais, doubles diplômes en

France et à l’étranger, campus à l’autre bout du

monde… À l’instar du groupe INSEEC qui va ouvrir un

campus à San Francisco courant 2015 et qui déve-

loppe des partenariats avec Shanghaï, Genève, la

Corée du Sud et le Japon. Ou encore l’IDRAC Business

School qui s’implante en République Tchèque avec

l’ouverture d’un campus à Brno. De son côté, l’école

d’ingénieurs EPF propose une formation franco-alle-

mande en collaboration avec la Hochschule de Munich.

Un cursus en alternance géographique pendant cinq

ans qui permet d’obtenir un diplôme conjoint en pro-

duction et automatisation. Réservé aux excellents

étudiants à la fois en langues et dans leur spécialité !

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –

R É G I O N S

24

103 591 apprentis au 15 janvier 2014

55% des apprentis inscrits dans le supérieur

28% d’étudiants étrangers

EN CHIFFRES

Sources : Étude BVA/Campus France - Région Île de France.

Page 25: Guide apprentissage 2015

M A R C O R E LLES MÉTIERS DU GRAPHISMEET DE LA COMMUNICATION

Marcorel – 16, villa Frédéric Mistral 75015 Paris – 01 53 98 88 [email protected] – www.marcorel.com

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CERTIFIANT

ES

Page 26: Guide apprentissage 2015

Bienveillance - Exigence - Excellence

Donnez du sensÀ VOTRE TAXE

Partagerun projet centré surl’accompagnement

des apprentis

Comment nous verser la taxe d’apprentissage ?Vous devez verser votre taxe par l’intermédiaire d’un OCTA agréé

(Organisme Collecteur de Taxe d’Apprentissage).

Le CFA Stephenson est habilité à percevoir la totalité de la taxe d’apprentissage :quota/hors quota* ainsi que la CSA.

Vos instructions doivent indiquer :nom du bénéficiaire : CFA Stephenson / n° établissement : 0752206R.

*en complément du montant versé au titre du solde du quota lorsque ce montant est inférieurà celui des concours obligatoires dus au CFA Stephenson.

Votre contact au CFA StephensonNathalie BEDER, Directrice des Relations Entreprises

Tél. +33 (0)1 44 92 88 53 - Mail. [email protected]

Développerune offre de

formation adaptée

Promouvoirl’alternance comme

formation d’excellence

Page 27: Guide apprentissage 2015

C F A S T E P H E N S O N

RELATION CLIENT ET MANAGEMENT

COMMUNIQUÉ

Face aux enjeux de recrutement et defidélisation des collaborateurs, le CFAStephenson, en veille permanente sur

les problématiques économiques et sociales,répond aux exigences de l’entreprise en pro-posant une solution globale : une équipe struc-turée étudie les besoins, met en place desactions de pré-recrutement, organise desjournées de recrutement et simplifie les pro-cédures administratives.

Pourquoi nous confier la taxe ?

Favoriser la culture de la relationentreprise : création d’un départementdédié aux relations avec les entreprises afind’apporter des solutions adaptées à leursbesoins et permettre la sécurisation du par-cours des apprentis en les accompagnant,dès la recherche d’un contrat d’apprentis-sage jusqu’à l’obtention du diplôme et l’inser-tion en entreprise. Pour cela ils sont suivis

par des formateurs « Chargés de RelationsEntreprises », eux-mêmes issus de la profes-sion qui connaissent les prérequis des entre-prises, se rendent sur le terrain, co-réalisentdes bilans avec les maîtres d’apprentissage.

Eviter les ruptures en cours de for-mation : accompagnement personnalisétout au long de l’année par des formateursréférents, création d’outils éveillant les jeunesà une démarche « compétences » et à la valo-risation de leur employabilité.

Encourager l’ouverture : création d’unposte de « responsable projet handicap etdéveloppement international ».En relation avec les associations, participeraux engagements citoyens des entreprisesdans leur démarche handicap.Grâce à l’obtention du label « ERASMUS + »,le CFA Stephenson renforce la qualité del’apprentissage à l’échelle européenne.

FORMER DES APPRENTIS QUIPARTICIPERONT DEMAIN AUSUCCÈS DE L’ENTREPRISE, LESACCOMPAGNER VERSL’EXCELLENCE :C’EST NOTRE VOCATION.CONTRIBUER AUDÉVELOPPEMENT D’UNE OFFREPÉDAGOGIQUE CONFORME ÀVOS EXIGENCES :C’EST VOTRE CHOIX.

48, rue Stephenson75018 PARIS - FranceTél + 33 (0)1 44 92 88 88 - Fax +33 (0)1 44 92 88 54www.cfa-stephenson.fr

≥ DIPLÔMEDiplôme d’État

≥ SECTEURSCommerce - Hôtellerie - TourismeVente/Négociation - Banque

≥ STATUT

CFA Centre Formation d’Apprentis

≥ JEUNES FORMÉS/AN

1 200≥ FORMATIONS

30 formationsdu CAP au Master II

≥ RÉSULTATS

88% de réussite aux examens

≥ SUIVI DES JEUNES

1 700 visites en entreprise/an

Page 28: Guide apprentissage 2015

Nous formons vos apprentis,vos futurs collaborateurs, vosfuturs interlocuteurs...

Contribuez, dès aujourd'huiau développement del'apprentissage.

Contribuez, dès aujourd’huià la qualité de leurformation.

Contribuez dès aujourd’huià l’ouverture de nouvellesformations.

Contribuez dès aujourd’huià faciliter l'insertionprofessionnelle.

CFA TRAJECTOIRE UAI 0782093 B

Page 29: Guide apprentissage 2015

C F A

CFA ACADEMIQUE TRAJECTOIRE 0782093 B

COMMUNIQUÉ

Le CFA TRAJECTOIRE (UAI 0782093 B)est un centre de formation crée en 1993à l’initiative du ministère de l’éducation

nationale, la Région Ile de France, des entre-prises. Le CFA TRAJECTOIRE organisechaque année au profit de 430 apprentis, desformations de qualité du CAP à la licence pro,préparant aux métiers de l’hôtellerie, de larestauration, du management, du tourisme,de l’alimentation et du commerce.

Le CFA TRAJECTOIRE estcomposé de plusieurs antennes :• CFA du lycée Hôtelier et du tourismede GUYANCOURT (78)

• Université de Versailles/Saint Quentin (78)• UFA du lycée Camille CLAUDEL à Mantesla ville (78)

• UFA du lycée Santos Dumont à Saint Cloud (92)• UFA du lycée Auguste Escoffier à Eragny (95)• UFA du lycée St Pierre à Brunoy (91)

Nos 6 établissements réunissent des forma-tions de la filière professionnelle du CAP auMASTER, en formation initiale et continue,sous statut scolaire ou par l’apprentissageavec + de 3000 élèves sous statut scolaire.

Nos engagements :Mutualiser les outils et ressources péda-gogiques, valoriser l’apprentissage et lesdémarches innovantes, développer les passe-relles, maitriser les coûts de formation, adap-ter nos enseignements aux nouvelles techno-logies, développer la mobilité internationale.Nos élèves inscrits sur les dispositifs passe-relles (SDAM, passerelle Handicap, passerelleUniversitaire) effectuent des stages dans lesentreprises. Nos élèves en formation initialesous statut scolaire (CAP,BAC PRO, MC, BTS,MAN) effectuent des stages dans les entre-prises de 16 à 22 semaines en fonction desdiplômes en France et à l’étranger.

Contribuez, dès aujourd’hui à la qualité de leur formation.Nous développons l’apprentissage.Contribuez dès aujourd’hui à l’ouverture de nouvelles formations.Nous développons l’enseignement technique.Contribuez dès aujourd’hui à faciliter l’insertion professionnelle.

LA TAXE D’APPRENTISSAGEREPRÉSENTE NOTREPRINCIPALE SOURCEDE FINANCEMENT POURNOS FORMATIONS :NOUS FORMONS VOSAPPRENTIS, VOS FUTURSCOLLABORATEURS,VOS FUTURS INTERLOCUTEURS.

CFA TRAJECTOIRE (Siège social) UAI 0782093 BPlace François RABELAIS - BP 67 - 78042 GUYANCOURTTél. : 01 30 96 12 01 - Fax : 01 30 44 24 91www.cfa-trajectoire-hotellerie.ac-versailles.fr

STATUTCFA ACADEMIQUE

DIPLÔMES

15diplômes du niveau V au niveau II

UNITÉS DE FORMATION

6 en Île de France

APPRENTIS

430 (+ 15%)

ÉTUDIANTS

+de3000 élèves dans nosétablissements

TAUX DE RÉUSSITE

92%TAUX D’INSERTION

90%TAUX DE RUPTUREEN ALTERNANCE

-9% (moyenne 20%)

Page 30: Guide apprentissage 2015

DEVENEZPRÉPARATEUR EN PHARMACIE

envie de travailler en officine ?

Formation gratuiteet rémunérée

2 ans d’alternanceen officine

Insertionprofessionnelle

garantie

INFORMATIONS ET INSCRIPTIONS sur CFPP.org

Page 31: Guide apprentissage 2015

PHARMACIE / COMMERCE / SERVICE À LA PERSONNE

CFA DE LA PHARMACIE PARIS ILE DE FRANCE

COMMUNIQUÉ

Parce que nous subventionner, c’est :• Assurer aux 1000 jeunes que nous formons chaque année une formation de qualité,• Offrir à nos entreprises partenaires - (pharmacies officinales et hospitalières, parapharmacies,maisons de retraites, crèches, centres de rééducation) - des collaborateurs efficaces et pro-fessionnels.

• Accompagner nos diplômés tout au long de leurs carrières avec nos formations continues.

En 2014, 24% du financement de nos formations a été assuré par la perception de la taxed’apprentissage. Cette subvention, certes modeste, nous a permis de poursuivre des actionsindispensables à la formation de ces futurs professionnels :• Maintien du niveau de formation des jeunes qui nous sont confiés,• Développement de nos capacités d’innovation pédagogique,• Adaptation des formations,• Renforcement de nos relations avec les professionnels.

Notre dynamisme, notre volonté de coller au terrain, notre responsabilité face aux jeuneset aux entreprises qui nous font confiance ont besoin de soutien financier.La dernière réforme de la taxe d’apprentissage restreint nos habilitations et fragilise un équilibredéjà précaire. Pour maintenir nos filières d’apprentissage et garantir notre pérennité, nous vousserions reconnaissants de nous affecter vos versements dans les catégories QUOTA et/ou CSA,lors de votre règlement à votre OCTA.

Nous espérons vivement que vous nous accorderez votre confiance.

Au nom de l’ensemble des apprentis et du personnel du Centre, nous vous adressons nosplus sincères remerciements.

Françoise TISSEUIL Michel BAZENNERYE,Pharmacien, Présidente de l’ACPPP Pharmacien, Directeur du CFA

Et si cette année vous souteniez notre centre deformation avec votre taxe d’apprentissage ?

DEPUIS PLUS DE 60 ANS, NOUS FORMONSLES JEUNES EN ALTERNANCEAUX MÉTIERS DE LA PHARMACIE ETDE L’AIDE À LA PERSONNE, FONDANTNOS ENSEIGNEMENTS SUR LA RIGUEURET LE SÉRIEUX INHÉRENTS AUX MÉTIERS.

CFPP : 59 rue Planchat - 75020 ParisTél. 01 43 56 30 30 - www.cfpp.org

DIPLÔMES D’ÉTAT PRÉPARÉSBP Préparateur en PharmacieBAC PRO Commerce et ASSP

ÉTUDIANTS ALTERNANTS

1000

STAGIAIRES

170 (formation continue)

FORMATEURS

55 dont32 professionnels

Page 32: Guide apprentissage 2015

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Page 33: Guide apprentissage 2015

DES SERVICESÀ VOTRE SERVICEAppui juridique :

[email protected]

Tout sur la taxe d’apprentissage calcul,déclaration et paiement sécurisé en ligne :

www.taxe2015.fr

Votre CCI vous propose également :• une newsletter spéciale mi-janvier,• une rencontre dédiée le 13 janvier 2015,• le guide pratique 2015.

Rendez-vous :www.dfcta.cci-paris-idf.fr

Retrouvez-nous :

QUI MIEUX QUE NOUS VOUSPERMET D’INVESTIR DANSL’AVENIR GRÂCE À LA TAXED’APPRENTISSAGE.Plus qu’un simple organisme collecteur, votre CCI està votre écoute et à votre disposition pour vous informersur la taxe d’apprentissage et faciliter vos démarches toutau long de l’année.Au quotidien, elle innove pour mieux vous accompagneret vous simplifier la gestion de votre taxe d’apprentissage. Enchoisissant votre CCI, reposez vous sur un professionnalismereconnu et comptez sur une disponibilité, une efficacité et unetransparence exemplaires.

CHOISISSEZ LA PRESTATIONQUI VOUS CONVIENT LE MIEUXFormule internet• aide au calcul de votre taxe sur internet,• possibilité de déclarer et régler en ligne.Formule papierVous nous adressez :• le premier exemplaire de votre déclaration

de versement signée,• les pièces justificatives de vos déductions,• le règlement à l’ordre de la CCI Paris IDF.Vous recevrez :• un accusé de réception de votre paiement

avec le numéro de votre dossier, vous permettantun contact simplifié.

• un état des reversements qui seront effectuésen votre nom, que nous vous proposonspour accord, avant envoi des règlementsaux établissements bénéficiaires.

• le reçu libératoire au titre des versementsd’apprentissage et le cas échéant, de la CSA.

Nous nous chargeons• de vérifier l’ensemble de votre dossier,• d’informer les CFA et sections d’apprentissage

des montants que vous leur versez avant le 16 mai,• d’établir votre reçu libératoire,• de verser vos fonds aux établissements

habilités de votre choix,• de reverser la part revenant au Trésor Public,• d’assurer le suivi complet de votre dossier

auprès de l’administration fiscale.

DIRECTION DES FORMALITÉSET DE LA COLLECTE DE LATAXE D’APPRENTISSAGE6 avenue de la Porte de ChamperretCS10040 - 75849 Paris cedex 17

WWW.DFCTA.CCI-PARIS-IDF.FR

www.taxe2015.fr

COMMUN IQUÉ

Page 34: Guide apprentissage 2015

L’ÉCOLE DE L’INGÉNIERIEÉCO-ÉNERGÉTIQUE

ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

L’ENSIATE est parfaitement adaptée à l’ensemble des métiers d’avenir dans lesdomaines de l’énergie, de l’environnement et du développement durable.Nous formons des professionnels multi-compétences en phase avec les besoinsde recrutement des entreprises. Notre formation fait une large place à la profes-sionnalisation au travers du principe d’alternance en entreprise. La présence deprofesseurs en activité dans des entreprises et un coaching réalisé par des chefsd’entreprise et des cadres, externes à l’ENSIATE, permet à nos élèves de béné-ficier d’un accompagnement de tuteurs séniors.

L’éco-énergétique conjugue les quatre savoir-faire dans le domaine des énergies(classiques et renouvelables). Nos élèves deviennent des experts techniques depremier ordre dans des domaines très recherchés :

• les énergies et la thermique • le traitement de la pollution• l’efficacité énergétique • le génie climatique

Ils bénéficient, à la sortie de l’ENSIATE, d’une expérience réelle de l’ordre de deuxans, du fait de leurs études en cycle alterné. Les élèves, issus de l’ENSIATE, sontd’autant plus recherchés qu’ils possèdent, aux yeux des entreprises, ces deuxcaractéristiques déterminantes, l’expertise et l’expérience. La grande majoritédes étudiants est embauchée dès la fin de leurs études. Le cycle alterné école /entreprise de dernière année s’effectue de plus en plus souvent dans le cadred’un contrat de travail.

PENSEZ À LA PLANÈTE, OUI, PENSEZ À SOI, AUSSI.

UN MÉTIER, UN EMPLOI, DES OPPORTUNITÉS POUR TOUS.

DES FORMATIONS NOUVELLES DANS L’ÉNERGIE ET L’ENVIRONNE-MENT, LE GÉNIE CLIMATIQUE ET LES ÉNERGIES RENOUVELABLES,

L’ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE.

TITRE NIVEAU 1, BAC+5,RECONNU PAR L’ÉTAT.

ENSIATE : 79, rue Charles Duflos - 92270 Bois ColombesTél. : 01 47 84 81 39 - email : [email protected] - www.ensiate.fr

ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR D’INGÉNIERIE APPLIQUÉEÀ LA THERMIQUE, À L’ENERGIE ET À L’ENVIRONNEMENT

Page 35: Guide apprentissage 2015

E N S E I G N E M E N T S U P É R I E U R D ’ I N G É N I E R I E A P P L I Q U É E

ENS IATE

COMMUNIQUÉ

Notre ProjetGrâce à votre aide, nous serons en mesured’améliorer notre plate‐forme technique des‐tinée aux travaux pratiques et à la rechercheet développement.

Performance et InnovationNos élèves expérimentent sur ces bancsd’essais, les dernières technologies liées :

• aux énergies renouvelables,• Photovoltaïque,• Solaire thermique,• Eolien,• au génie climatique,

• pompe a chaleur,• CTA Centrale de traitement de l’air,• à la performance énergétiquedu bâtiment,

• à la CO‐Génération.

La plate‐forme utilisée par nos élèves estégalement ouverte pour la formation Profes‐sionnelle des entreprises.

Ce projet a reçu le concoursdu FEDER Fonds Européende Développement Régional

DEPUIS 2003 NOUS FORMONSNOS ÉLÈVES À L’ECO‐ÉNERGÉ‐TIQUE. EN VERSANT VOTRETAXE D’APPRENTISSAGEÀ L’ENSIATE, POUR LESCATÉGORIES B ET C, VOUSPARTICIPEZ AU DÉVELOPPE‐MENT DE NOTRE PROJET,ET VOUS PERMETTREZ ÀNOS ÉTUDIANTS DE DEVENIRLES FUTURS EXPERTS DEVOS ENTREPRISES.

ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR D’INGÉNIERIE APPLIQUÉE À LA THERMIQUE,À L’ÉNERGIE ET À L’ENVIRONNEMENT79 rue Charles DUFLOS ‐ 92270 BOIS COLOMBESTél. 01 47 84 81 39 ‐ email : [email protected] ‐ www.ensiate.fr

STATUTAssociation loi 1901.Titre niveau 1, bac +5reconnu par l’état

ÉTUDIANTS

250

ENSEIGNANTS

6 professeurs permanents

et40 vacataires

DIPLÔMÉS

300

Voici comment les fonds de votre taxe d’apprentissageseront utilisés par notre école.

Page 36: Guide apprentissage 2015

L’ENSL’école Normale Sociale c’est :

• un centre de formation aux métiers du vivre ensemble

• un centre social, l’Espace Torcy, un lieu d’engagementet de promotion sociale et collective

INformatIoNS :2, rue de torcy - 75018 [email protected]él : 01 40 38 67 00

L’ENS est une association loi 1901L’ENS est membre adhérent de l’UNAFORIS,du PREFAS-GRIF et de la Fédération des centressociaux et sociaux culturels de Paris et de France.

SolidaritéPartageCitoyenneté

laboratoiredu travail social

Sa vocation :

• former aux métiers du travail social, en formations initiales,supérieures et continues

• appliquer son expérience dans son centre social, espace d’animationouvert sur le quartier de La Chapelle à Paris et ses habitants

ensparis.fr

’’

Page 37: Guide apprentissage 2015

É C O L E N O R M A L E S O C I A L E

ENS

COMMUNIQUÉ

Soutenir la formation au travail social :un investissement pour l’avenirInterview de Martine Trapon,Directrice générale de l’ENS.

QUELLE EST LA SPÉCIFICITÉ DE L’ENS ?L’ENS est à la fois un lieu d’apprentissage et unlieu d’intervention sociale : l’ENS est pionnièredepuis 1911 dans le travail social, et notammentdans la formation des travailleurs sociaux, de lapréparation aux concours d’entrée en formationsociale aux diplômes d’Etat d’assistant deservice social (DEASS) ; et depuis 1987, l’ENSest aussi un centre social, l’Espace Torcy.

POURQUOI SOUTENIR LA FORMATIONAU TRAVAIL SOCIAL ?Le travail social est un espace de rencontreet d’échanges qui permet d’accompagner lespersonnes, de les aider à surmonter leursdifficultés, de les guider dans leurs démarches.L’action sociale nous concerne tous : l’amélio-ration de chaque situation individuelle concourtà l’équilibre de toute la société. C’est pourquoila formation à l’action sociale est un investisse-ment pour l’avenir.

QUE REPRÉSENTE LA TAXED’APPRENTISSAGE POUR L’ENS ?Elle est une ressource indispensable à notrecentre de formation. Les actions soutenuesgrâce à cette contribution permettent de parti-ciper au financement de voyages d’études età l’amélioration de nos outils pédagogiques.Nous sommes habilités à recevoir la taxed’apprentissage hors quota pour le niveauBac +2, catégorie B, et la formation au DEASSest celle susceptible de recevoir la Taxe.

POURQUOI VERSER CETTE TAXE À L’ENS ?En nous soutenant, vous faites plus que donnerà nos étudiants des moyens leur permettant desuivre leur formation dans les meilleures condi-tions : vous vous inscrivez avec nous dans unedémarche solidaire et une action citoyenne.

TÉMOIGNAGE DE RIHAM,en formation initiale d’Assistante de service social.«Grâce à la taxe d’apprentissage, nous sommes partisà Berlin pour un projet d’étude sur l’appropriation del’espace urbain et la création de jardins partagés. Nousavons découvert la spécificité de chaque jardin, leurfinalité, leur organisation, en rencontrant les responsableset les adhérents. Une expérience très formatrice !»

NOTRE VOCATION EST DEFORMER DES PROFESSIONNELSÀ UNE ACTION SOCIALECITOYENNE, COLLECTIVEET TERRITORIALE.

EN VOUS ENGAGEANT À NOSCÔTÉS, VOUS PARTICIPEZ ÀUNE DÉMARCHE SOLIDAIRE.

2, rue de Torcy - 75018 ParisTél + 33 (0)1 40 38 67 [email protected]

DIPLÔMEDe Bac + 2 à Bac + 5

ÉTUDIANTS EN 2013

160 en formation initiale et

80 en formation supérieure

INTERVENANTS

6 cadres permanents et

140 universitaires et intervenantsde terrain

RÉSULTATS

80% de réussite aux examens

Page 38: Guide apprentissage 2015

Un versement obligatoire qUi peUt devenir

une action de santé publiqueLaformations’inscritdansunedynamiquereposantsurdeséchangesréciproquesentre formateur

et apprenant ainsi que sur une pédagogie visant à rendre l’étudiant acteur de sa formation

taxe d’apprentissage 2015

nos formations

CNIT 3 - 2 place de la Défense 92 800 PUTEAUX Tel: 01 41 45 66 01

votre soUtien noUs est indispensable,

nous comptons sur vous !

Infirmiers/ères Aides-soignants/tes Auxiliaires de puériculture

Page 39: Guide apprentissage 2015

I F S I

INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS

COMMUNIQUÉ

L’Institut de Formation en SoinsInfirmiers de l’Institut HospitalierFranco-britannique a été créé en1959. Installé d’abord à LEVALLOIS-PERRET il a déménagé en août 2014 auCNIT 3 à la Défense dans des locaux spa-cieux et modernes situés dans un envi-ronnement prestigieux.

L’IFSI comprend deux départementsde formation :• Un département de formation initiale ;• Un département de formation continue.

Le département de formationinitiale dispense les formationssuivantes :• Diplôme d’Etat d’infirmier/ère :90 étudiants par promotion, 3 années deformation. Rentrée en septembre.

• Diplôme d’Etat d’aide-soignant/te :60 élèves par promotion, 1 année deformation. Rentrée en janvier.

• Diplôme d’Etat d’auxiliaire de puériculture :45 élèves par promotion, 1 année deformation. Rentrée en septembre.

• Diplôme d’Etat d’infirmier/ère pour lesmédecins titulaires d’un doctorat enmédecine obtenu hors de la CommunautéEuropéenne.

Le département de formationcontinue assure les formationssuivantes :• VAE (Validation des Acquis de l’Expé-rience) pour les aides-soignants/tesles auxiliaires de puériculture.

• Formation à l’AFGSU (Attestationde Formation aux Gestes et Soinsd’Urgence).

• Format ions d’approfondissementdestinées aux infirmiers/ères (tutorat,analyse des pratiques professionnelles…).

• Préparation aux concours d’entrée enformation infirmière, aide-soignante etauxiliaire de puériculture.

Résolument tourné vers l’avenir l’IFSI asigné la Charte ERASMUS et crée un parte-nariat avec différents pays européens, il estaussi engagé dans une charte qualité.L’évolution des techniques nous oblige àdévelopper en permanence nos outils deformation et à actualiser les connaissances,la taxe d’apprentissage constitue donc unepartie importante de nos ressources.Elle nous permet notamment d’acquérir lematériel informatique, multimédia et pratiquenécessaire à la formation de professionnelscompétents répondant aux besoins de santédes populations de notre bassin d’emploi.

Un versement obligatoire qui peut devenir une action de santé publique.

Votre soutien nous est donc indispensable nous comptons sur vous !

NOTRE IFSI DIPLÔME CHAQUEANNÉE 90 INFIRMIERS/ÈRES,60 AIDES-SOIGNANTS/TES,45 AUXILIAIRES DE PUÉRICULTURE.GRÂCE À VOTRE SOUTIEN LESÉTUDIANTS POURRONT BÉNÉFICIERD’UN ÉQUIPEMENT INFORMATIQUE,MULTIMÉDIA ET PRATIQUE QUICONTRIBUERA À LA QUALITÉ DELA FORMATION DISPENSÉE.

INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERSINSTITUT HOSPITALIER FRANCO-BRITANNIQUECNIT 3 - 2 place de la Défense - 92800 PUTEAUXTél. 01 41 45 66 01 - www.ifsi-ihfb92.fr

Page 40: Guide apprentissage 2015

VERSEZ VOTRE TAXED’APPRENTISSAGE À L’INFA

UN INVESTISSEMENT POUR VOTRE ENTREPRISEUN SOUTIEN À NOTRE ACTION

XEA TTREO VVERSEZAINF’ L ÀGEAPPRENTISSA’D

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Emmanuelle ROISIN ROGIETél. : 01 45 14 64 63

Mail : [email protected]

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70 ans d’expérienceau service de la qualification professionnelle de vos salariés• Une offre de formation adaptée en permanence à vos besoins et à l’évolution des métiers,

• Un champ d’intervention complet : orientation, aide à la construction de projet professionnel, bilan decompétences, accompagnement démarche de validation des acquis de l’expérience (V.A.E.), Formation Ouverte etADistance (FOAD), formationprofessionnelle qualifiante, formation continue surmesure (intra ou interentreprises),formation en alternance (contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation).

Une offre de formationmulti-filières :Tourismede loisirs et d’affaires

Hôtellerie - Restauration

Social -Médico-social - Animation

Commerce -Vente -Téléservices

Audiovisuel -Multimédia

Métiers d’art et du spectacle

40 lieux de formation en France

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Page 41: Guide apprentissage 2015

C FA M U LT I M É T I E R S E N Î L E D E F R A N C E

INSTITUT NATIONAL DE FORMATION ET D’APPLICATION

COMMUNIQUÉ

L ’INFA (Institut National de Formation et d’Application) est une association à but non lucratifissue du Centre de Culture Ouvrière, créé en 1945, qui oriente, accompagne et forme avecpassion, chaque année, au travers de ses différentes composantes, des milliers de jeunes et

d’adultes en vue de favoriser leur réussite par la qualification professionnelle.Dans un contexte de chômage élevé, l’ambition de l’INFA est de contribuer à faciliter l’accès ou leretour à l’emploi, la reconversion et la mobilité professionnelle ou la promotion des jeunes etadultes accueillis chaque année dans ses centres, par une offre de formation répondant auxbesoins des entreprises et grâce à un travail pédagogique élaboré, héritage d’une longue pratiquede la formation professionnelle qualifiante des adultes.

La taxe d’apprentissage :un soutien indispensable pour mener à bien nos projetsLes premières formations technologiques etprofessionnelles ainsi que l’apprentissage, quisont financées en partie par cette taxe, consti-tuent des voies d’avenir pour les jeunes quenous accueillons en formation. L’INFA et le CFAde l’INFA ont besoin de votre contribution pour :• Continuer à améliorer la communicationauprès des jeunes et attirer plus de jeunesvers les métiers préparés par la voie de l’ap-prentissage.

• Poursuivre l’introduction de la formationouverte et à distance (FOAD) dans toutes nos

formations au travers de la plate-forme d’en-seignement à distance « INFA Chorus ».

• Renforcer la relation terrain professionnel /centre de formation, afin d’optimiser la pro-fessionnalisation

• Maintenir à niveau notre matériel pédago-gique afin que les jeunes soient formés auplus près de la réalité des environnements detravail des entreprises.

• Développer l’apprentissage en ouvrant denouvelles formations répondant aux besoinsd’emploi et de qualification des entreprises.

L’INFA, UNE AMBITION.

FACILITER L’ACCÈS OU LE RETOURÀ L’EMPLOI, LA RECONVERSIONET LA MOBILITÉ PROFESSIONNELLE OULA PROMOTION DES JEUNES ET ADULTESACCUEILLIS CHAQUE ANNÉE DANSSES CENTRES, PAR UNE OFFRE DEFORMATION RÉPONDANT AUX BESOINSDES ENTREPRISES.

INFA - Siège social et centre de formation Île de France5-9, rue Anquetil - 94130 NOGENT SUR MARNEwww.infa-formation.comwww.facebook.com/INFA.FORMATION - Twitter @infaformation

SECTEURS

6 filières de formation

150 cycles de formation

préparant à plus de50 métiers

CHIFFRES

20000personnes formées par an

40 lieux de formation en France

Page 42: Guide apprentissage 2015

Le traitement d’avenir contre Les maLadies est entre vosmainsMaladies infectieuses, cancers, maladies du cerveau… En versant votre taxe d’apprentissage2015 au Centre d’enseignement de l’Institut Pasteur, vous serez à l’origine des grandesdécouvertes à venir.

Centre d’enseignementde l’Institut Pasteur :➜ 500 nouveaux chercheurs

formés chaque année.➜ 500 nouveaux espoirs

de découvertes.

taXe d’aPPrentissaGe 2015

Pour toute question sur la Taxe d’apprentissage :01 45 68 81 11 - [email protected]

25-28, rue du Docteur Roux -75724 Paris Cedex 15 - www.pasteur.fr

©Max

yma-mas

terfile

Page 43: Guide apprentissage 2015

R e c h e R c h e b i o m é d i c a l e

Centre d’enseignement de l’institut Pasteur

COmmuniQuÉ

Depuis la création en 1889 du premiercours de microbiologie au monde,l’enseignement constitue une des

missions de l’Institut Pasteur, avec larecherche et la santé publique.

Formation reconnue au niveau international, leCentre d’Enseignement de l’Institut Pasteuroffre un dispositif exceptionnel : situé aucœur d’un campus où sont implantés noslaboratoires et nos plateformes technologiques,il accueille tout à la fois étudiants,scientifiques, médecins, pharmaciens,ingénieurs et vétérinaires.

Fidèles à la tradition pasteurienne, les courss’organisent en 3 pôles thématiques : Biologiedes microorganismes (Centré sur l’étude desmicroorganismes pathogènes, bactéries,champignons et virus), Epidémiologie etsanté publique (Consacré à l’épidémiologie età la santé publique dans le domaine des

maladies infectieuses et tropicales) etMécanismes du vivant (Dédié auxmécanismes fondamentaux du vivant, de lamolécule à la cellule et à l’organisme)Assurés par des scientifiques de hautniveau, les cours mettent l’accent sur lesinteractions entre les intervenants et lesparticipants, ainsi que sur l’expérience acquiselors des travaux pratiques et des discussions.

En partenariat avec les universités d’Ile-de-France et le Cnam, de nombreux cours sontaccrédités dans des cursus universitaires demasters 2 (M2), de formations doctorales etdu mastère spécialisé en santé publique, oupeuvent donner lieu à l’obtention de diplômesd’université (DU).

Demain, ces nouveaux chercheurs mettrontleurs connaissances et leur curiosité auservice de la lutte contre les maladies duXXIe siècle.

Centre de QualitÉ reCOnnuau niveau internatiOnal, leCentre d’enseignement del’institut Pasteur fOrmeles meilleurs CherCheursPOur vainCre les maladies.

500 nOuveaux CherCheurssOnt fOrmÉs ChaQue annÉe,Ce sOnt 500 nOuveauxesPOirs de dÉCOuvertes…

Diplômes

30 formations diplômantes deniveau de 2nd cycle universitaire

1 programme doctoral international«Pasteur-Paris University internationaldoctoral program»

500nouveaux chercheurs formés chaqueannée

750conférenciers français et étrangers

30formations diplômantes

27cours proposés

60nationalités représentées

Centre d’enseignement de l’institut Pasteur25-28 rue du docteur roux75724 Paris Cedex 15

www.pasteur.fr/enseignement

Page 44: Guide apprentissage 2015

5, Terrasses de l’Agora • 91034 EVRY CEDEXTél. : 01 60 79 47 47 • Fax : 01 60 79 34 39www.irfase.com • Email : [email protected]

Nous situer : face à la Poste principaleGare routière et RER DEvry Courcouronnes Centre

TAXE D’APPRENTISSAGE année 2015

AVEC VOTRE SOUTIEN,CONSTRUISONS ENSEMBLELES COMPÉTENCES DE DEMAIN.

IRFASE, l’Institut de Rechercheet de Formation à l’Action Socialede l’Essonne.

Page 45: Guide apprentissage 2015

IRFASEInst i tut de Recherche et de Formation à l ’Action Sociale de l ’Essonne

COMMUNIQUÉ

L’IRFASE a pour vocation de travailleren étroite collaboration avec lesprofessionnels des secteurs sanitaire,

social et médico social, la recherche et lespouvoirs publics.

Son projet s’articule autour des axes suivants :

- Autonomie et nouvelles technologies

- Inscription du parcours de vie des usagerset intelligence de territoire

- Innovation des pratiques professionnelles ;citoyenneté, interculturalité et accès auxdroits pour tous

- Art, culture et médias pour la rencontre

Ces principaux axes sont déclinés tout au longdu parcours de formation et abordés selondifférentes approches disciplinaires. Il s’agit,pour l’IRFASE, de contribuer avec l’ensembledes acteurs aux débats du secteur.

En nous soutenant dans nos projets, vousdeviendrez partenaires à part entière de laformation des futurs travailleurs sociaux quiconstruiront la solidarité de demain.

LA TAXE D’APPRENTISSAGEEST OBLIGATOIRE ET VISEÀ SOUTENIR LES FORMATIONSINITIALES. CHAQUE ENTREPRISEPEUT CHOISIR L’ÉTABLISSEMENTQUI EN SERA LE BÉNÉFICIAIRE.

EN LA VERSANT À L’IRFASE,VOUS CONTRIBUEREZ À LAFORMATION DE + DE 800ÉTUDIANTS.

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≥ STATUTCentre de formation agréeinitiale et continue

+20 ans d’expérience

≥ DIPLÔMES

7 diplômes d’État

2 certificats de qualification

≥ DIPLÔMÉS

96% de réussite(Moyenne sur plusieurs années)

≥ ÉTABLISSEMENTS D’ACCUEIL

3500 Ets pour nos stagiaires

≥ ÉQUIPE ENCADRANTE

40 enseignants permanents

110 intervenants extérieurs

20 administratifs

Page 46: Guide apprentissage 2015

SUR 130 AUCLASSEMENT GÉNÉRAL

ÉCOLE FRANÇAISEDU NUMÉRIQUE

Avec l’ISEP,Investissez dans les Ingénieurs du Numérique

TAXE D’APPRENTISSAGE 2015SUR LES SALAIRES 2014

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Pour nouscontacter

ÉlectroniqueInformatiqueTélécommunicationsMultimédia

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École d’Ingénieursdu Numérique

Page 47: Guide apprentissage 2015

É C O L E D ’ I N G É N I E U R

ISEP

COMMUNIQUÉ

Entretien avec Michel Ciazynski,Directeur Général de l’ISEPet Dieudonné Abboud, Directeur del’Enseignement.

POUVEZ-VOUS NOUS DIRE EN QUOI CONSISTE« L’APPROCHE MÉTIERS » ?D. Abboud : Partant du postulat que l’entrepriserecherche des diplômés opérationnels, l’apprentis-sage par projet introduit à l’ISEP se révèle trèsefficace et garantit l’adéquation entre la formationet les réalités du monde économique. Les élèvestravaillent en petites équipes sur des projets inspi-rés de la réalité professionnelle et acquièrent ainsiune très grande autonomie.M. Ciazynski : À cet apprentissage s’ajoute unetrès forte implication des entreprises : coaching,tutorat, simulation d’entretiens ou participation d’in-tervenants professionnels, à l’instar de Capgeminidans le parcours « systèmes d’information &Finances» ou General Electrics dans le tout nou-veau parcours «numérique et santé». Tout celafavorise l’émergence d’un projet professionnelpersonnalisé.

QU’ENTENDEZ-VOUS PAR « CURSUS À LA CARTE » ?D. Abboud : Après la première année de tronccommun, la formation se décline en «parcours»librement choisis. Les possibilités sont aussi nom-breuses que passionnantes : des parcours abou-tissent à une double compétence dans un domaineparticulier comme la Finance ou la Santé, d’autresparticipent à la personnalisation du cursus : stagedans les laboratoires de recherche de l’universitéStanford aux États-Unis, double diplôme « ingé-

nieur manager » en partenariat avec AudenciaNantes, «ingénieur-chercheur» avec Supelec…Certains élèves choisissent aussi de compléter leurformation à l’ISEP par un Mastère Spécialisé àl’ESSEC ou HEC par exemple.

COMMENT SE TRADUIT LA DIMENSIONMANAGÉRIALE DANS L’ENSEIGNEMENT ?D. Abboud :Manager une équipe, un projet ou unbudget ne s’improvise pas et les élèves bénéficientà l’ISEP d’une formation managériale complète.Dès le début du cycle ingénieur des cours demanagement et de finances sont dispensés et denombreux autres cours tels que «macroéconomie»,«marketing» ou «stratégie» sont proposés pourconstruire un socle de compétences solide. Lesisépiens peuvent aussi se former à l’entrepreneu-riat, comme Gabriel Jarrosson qui a suivi l’Electif«création d’entreprise». Gabriel a d’ailleurs reçu leprix de la meilleure start-up numérique en 2013 !Citons aussi comme autre point fort du dispositif,le partenariat avec l’incubateur d’Arts et MétiersParisTech et l’association ISEP Business Angels.

QUE DIRE DE LA JUNIOR ENTREPRISE DE L’ISEP ?M. Ciazynski : Junior ISEP est certainement lameilleure Junior Entreprise Ingénieur française surces 10 dernières années, avec notamment deux Prixd’Excellence, devant les meilleures grandes écoleset, au niveau européen, un remarquable «ExcellentAward» en 2013 et le «label ingénieur» en 2014 !S’impliquer dans une telle association est unemanière moins académique de renforcer ses com-pétences managériales. De façon générale, la vieassociative est fortement encouragée à l’école.

À L’ISEP, PÉDAGOGIE INNOVANTE, EXPERTISE TECHNIQUEET FORMATIONMANAGÉRIALE SE CONJUGUENT POURFONDER UN PROFIL D’INGÉNIEUR DU NUMÉRIQUE TRÈSRECHERCHÉ DES ENTREPRISES. UNE FORTE OUVERTUREINTERNATIONALE ET DES MODULES À LA CARTE(MANAGEMENT, RECHERCHE, CRÉATION D’ENTREPRISE,ETC.) PERMETTENT AUX ÉLÈVES DE CONSTRUIRE LEURPROPRE PARCOURS PROFESSIONNEL.

CAMPUS DE PARIS :28, rue Notre Dame des Champs75006 Paris

CAMPUS D’ISSY-LES-MOULINEAUX :10, rue de Vanves92130 Issy-les-Moulineaux

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LES CHIFFRES

100%taux net d’emploi

39200€salaire d’embauche moyen

14eécole d’ingénieur de France

(Usine Nouvelle)

2eécole du numérique de France

(Usine Nouvelle)

103 universités partenairesdans le monde entier

1 semestre académique à l’étrangerobligatoire

3eannée du cycle ingénieur,

tous les cours sont en anglais

Le service emploide l’école reçoit prèsde 3000 offres par an !

Page 48: Guide apprentissage 2015
Page 49: Guide apprentissage 2015

U n i v e r s i t é

FACULTÉ DE PHARMACIE - UNIVERSITÉ PARIS-SUD

COMMUNIQUÉ

La Faculté de Pharmacie forme chaqueannée près de 270 pharmaciensdiplômés à des métiers multiples dans de

nombreux domaines (hospitalier, industriel,officine, la recherche). Leur préparation à lav ie act ive doi t être de plus en plusadaptée aux exigences des métiers de lapharmacie et les moyens accordés à l’Univer-sité par l’Etat ne sont pas toujours à la hauteurde nos ambitions pédagogiques. Aussi, la taxed’apprentissage est un complément financiercapital pour maintenir nos formations auniveau d’excellence qu’elles se doiventd’atteindre.

Nous verser la taxe, c’est participer àl’amélioration et à la valorisation du cursuspédagogique de nos futurs docteurs enpharmacie et diplômés en master, servi par uncorps professoral de qualité. Elle permetégalement d’investir dans des équipementsTICE et professionnels spécifiques pour

l’aménagement de salles spécialisées (labora-toires de langues/de travaux pratiques).

Un gage pour l’avenirLa faculté se caractérise par un choix étendude formations, où une place prépondérante estattribuée à la recherche et à l’apprentissage enentreprise. Ainsi, elle offre un excellent taux deplacement de nos diplômés.Notre établissement bénéficie également derelations privilégiées avec les industrielspharmaceutiques, les organismes de santéainsi que les pharmaciens d’officine. Véritableatout, ces échanges permettent aux étudiantsde bénéficier d’un réseau de professionnelssolide et de s’adapter à un secteur enperpétuelle évolution.

En versant la taxe d’apprentissage à notreétablissement, vous soutenez directementl’insertion professionnelle de nos étudiants, quiseront demain nos futurs experts de la santé.

DEPUIS PLUS DE 40 ANS,LA FACULTÉ DE PHARMACIEFORME NOS FUTURSPROFESSIONNELS DE LA SANTÉ,QUI EXERCERONT LEURSACTIVITÉS AUSSI BIEN ENOFFICINE QUE DANS LE MILIEUHOSPITALIER OU INDUSTRIEL.

ELLE JOUE AINSI UN RÔLEMAJEUR DANS LE MONDEPHARMACEUTIQUE.

5 rue Jean-Baptiste Clément92296 Châtenay-Malabry Cedex - FranceTél + 33 (0)1 46 83 53 33 - Fax +33 (0)1 46 83 57 35www.pharmacie.u-psud.fr

≥ STATUTComposante de l’Université Paris-Sud

≥DIPLÔMEDiplôme de Docteur en Pharmacie,Diplôme Master Professionnel etRecherche

≥CAMPUS

9 hectares et 8 tours de recherches

≥ ÉTUDIANTS

3 250≥DIPLÔMÉS

270 Docteurs en Pharmacie

270 Diplômés en Master

≥ CORPS PROFESSORAL

210 enseignants-chercheurs

©J-RLecompt

/Université

Paris

-Sud

Page 50: Guide apprentissage 2015
Page 51: Guide apprentissage 2015

U n i v e r s i t é P a r i s - s U d

UFR ScienceS et techniqUe deS APS

COMMUNIQUÉ

L’UFR STAPS propose :• 4 spécialités de Licence comprenant 5parcours et 2 licences professionnelles

• 8 spécialités de Master réparties en 3masters recherche et 5 masters profes-sionnels

• 3 DU (prévention des blessures, de ladouleur et du dopage)

dans les domaines de management du sport,entraînement sportif, activités physiquesadaptées, remise en forme, animation et poli-tique de la ville, enseignement physique etsportif ou de recherche en sciences du sportet du sport humainElle est également le sceau principal de l’EcoleDoctorale « Sciences de la Motricité, du Mou-vement Humain »

L’évolution de l’offre de formation de l’UFRSTAPS de l’Université Paris Sud s’inscrit dansle cadre de la création de l’Université ParisSaclay où elle aura une place majeure dans laSchool « Sciences du Sport et du MouvementHumain » qui ouvrira ses premières forma-tions en septembre 2015.

La Taxe d’apprentissage pour quoi faire ?L’UFR STAPS est l’une des pionnières sur lesquestions d’insertion et de professionnalisa-tion des étudiants. Pour répondre à laconstante évolution de leurs demandes etcelles des entreprises, l’établissement doit êtreen mesure de maintenir et développer la qua-lité de ses formations en étant force de propo-sition. Cela passe par des investissementsimportants en équipements sportifs, informa-tiques, vidéo-multimédias … grâce à la contri-bution des partenaires économiques etsociaux.

Donnez un sens à votre taxeEn choisissant de nous verser cette dernière,vous apportez un soutien précieux à notreUFR. Votre entreprise aura la possibilité deconfier à certains de nos étudiants une mis-sion dans le cadre de projets tuteurés, de nousenvoyer vos collaborateurs en formation conti-nue ou devenir intervenants auprès de notrepublic.

GrâCe à sON Offre de fOrMatIONINItIale et CONtINUe de la lICeNCe aUdOCtOrat, l’Ufr staPs PrÉPare ÉtU-dIaNts et PrOfessIONNels aUx MÉtIersde l’eNseIGNeMeNt, dU haNdICaP, del’eNtraîNeMeNt sPOrtIf et dU MaNaGe-MeNt dU sPOrt.

Ufr staPs - UNIversItÉ ParIs-sUdBât. 335 - rue Pierre de Coubertin - 91405 Orsay Cedextél + 33 (0)1 69 15 30 79www.staps.u-psud.fr

Æ étudiants

1360équipe pédagogiqueÆ enseignants

71Æ professionnelset vacataires

247Æ administratifs

37taux de réussiteÆ licences

70%Æ licences profession-nelles et masters

92%taux d’insertionprofessionnelleÆ toutes formations

95%

Page 52: Guide apprentissage 2015

52

©VENTDU

SUD

Page 53: Guide apprentissage 2015

CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S

En routevers le big data

Terre riche de formations de haut niveau, la

région Rhône-Alpes est reconnue pour ses

pôles d’excellence en ingénierie, micro et

nanotechnologies, santé, chimie, logiciels, énergies

renouvelables et développement durable. Dans le

domaine de la santé, deux grands projets sont d’ail-

leurs actuellement en travaux : le pôle Ecotox de

Rovaltain, structure de recherche qui va se consacrer

à l’étude d’impact des substances chimiques sur l’en-

vironnement et la santé ; et l’école de cancérologie

Rhône-Alpes-Auvergne, un réseau de recherche des

doctorants pour faciliter l’échange et la mobilité

des chercheurs de Clermont-Ferrand, Lyon, Saint-

Étienne et Grenoble. La plateforme de recherche en

écotoxicologie et en toxicologie aura pour vocation

d’évaluer et de prévoir les risques sur la santé et sur

Au deuxième rang desrégions françaises enmatière d’enseignementsupérieur et derecherche, la régionRhône-Alpes proposeune offre de formationlarge et innovante.Cette année, l’accentest mis sur les nouveauxsecteurs porteurs :le big data et les Moocs.

RHÔNE-A

LPES La région innove

en répondant

aux nouveaux

besoins de la

société.

PAR ROZENN GOURVENNEC

53

©GettyIm

ages/iSto

ckphoto

Page 54: Guide apprentissage 2015

l’environnement d’agents potentiellement toxiques.

Un équipement qui non seulement répond à la

demande de la recherche publique, mais aussi à celle

des communautés industrielles qui souhaitent faire

des études et de la R&D. La Région Rhône-Alpes

est en effet particulièrement active en matière de

R&D puisqu’elle figure parmi les régions de l’Union

européenne qui consacrent plus de 2% de leur PIB

à cette filière.

Le big data, secteur d’avenirToujours à la pointe de l’innovation, la région a choisi

cette année de se positionner sur un marché en pleine

croissance : le big data. À Lyon, l’école d’informatique

EPSI et l’école supérieure de commerce IDRAC offrent

depuis la rentrée 2014 aux étudiants titulaires d’un bac

+4 un MBA en Management stratégique de l’analyse

de données marketing. De leur côté, à Grenoble,

l’école de management EMSI et l’école d’ingénieurs

ENSIMAG se sont associées autour d’un master spé-

cialisé «Big data, management et valorisation respon-

sable». «Il existe une très forte attente des entreprisesen data scientists, affirme François Trouillet, directeur

de l’EMSI Grenoble. On estime à 4,4 millions le nombrede demandes de compétences dans ce domaine en

2015 dans le monde. Il n’y a pas un secteur qui estépargné par le phénomène du big data. Toutes lesentreprises sont confrontées à une immense masse dedonnées (texte, vidéos, images, commentaires sur lesréseaux sociaux, etc) qui nécessite gestion et analyse.Notre formation est différente des autres, dans le sensoù elle permet d’appréhender la réalité du big data parla double compétence technique et business, à l’imagedu data scientist qui est hybride. Il nécessite à la foisdes compétences mathématiques, informatiques etstatistiques mais aussi des capacités d’analyses dedonnées, de création de valeurs, de business modèles.Nos deux écoles sont garantes de ces aspects scienti-fiques et business éthique ».

Le sport à l ’ internat ionalDans un tout autre domaine, l’IUT d’Annecy a lancé en

septembre 2014 une licence professionnelle axée sur

la commercialisation des produits sportifs, intitulée

«International sales specialists in sports». Comme son

nom l’indique, cette enseignement est dispensé entiè-

rement en anglais et forme des commerciaux destinés

à travailler dans le monde du sport à l’international.

«Nous avons co-construit le programme de cette for-mation avec l’association Outdoor Sport Vallée qui a

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– R H Ô N E - A L P E S –

R É G I O N S

54

TÉMOIGNAGE

Maël le Al la inDIRECTRICE RELATIONS DONATEURS & PARTENAIRES,

À L’ECAM, ÉCOLE D’INGÉNIEUR DE LYON

«École de statut associatif, l’ECAM ne perçoit qu’une faible subvention

de l’État et doit assumer son autofinancement. Sa pérennité est donc

largement tributaire du versement de la taxe d’apprentissage.

En 2014, elle représentait 830000 euros. 15 % du coût de formation d’un

ingénieur est pris en charge par cette taxe. Elle nous permet également

de concrétiser des projets pédagogiques. En 2014, 250000 euros ont

ainsi été affectés à la construction d’un amphithéâtre. La réforme de la

taxe d’apprentissage modifie considérablement la répartition de la taxe.

Notre école va être durement touchée puisque le volume récolté va

diminuer de moitié. Nous allons donc jouer la prudence pour les projets

2015 et nous focaliser sur le maintien des frais de scolarité modérés

pour les familles.»

La réformede la taxed’apprentissageva toucherdurement notreécole puisquele volume récoltéva diminuerdemoitié.

EN CHIFFRES

255 130étudiants, soit

10% du nombre

d’étudiants

en France

métropolitaine

8 387étudiants

en CPGE

17 811étudiants

ingénieurs

Source : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014.

Page 55: Guide apprentissage 2015

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91% 56%

formations

apprentis formésdepuis 1995

d’apprentis satisfaitsou très satisfaits dela formation suivie

des apprentis trouventun emploi 6 mois aprèsla fin de leur formation

de réussiteaux examens

des apprentis sontembauchés par leurentreprise d’accueil

Verser le quota de votre taxe d’apprentissageau CFA FormaSup Ain-Rhône-Loire.

Page 56: Guide apprentissage 2015

TÉMOIGNAGE

Véronique Jai l letDIRECTRICE DES RESSOURCES HUMAINES,

SANOFI PASTEUR

«Sanofi Pasteur recrute plus de 250 alternants

par an dans tous les domaines d’activité (R&D,

production, fonctions supports, opérations

commerciales), de bac à bac +5 et plus.

L’engagement de Sanofi Pasteur, dont l’activité

est dédiée à la R&D et à la production de

vaccins, est prioritairement orienté vers des

écoles, universités ou instituts de recherche

dont les programmes sont axés autour de nos

domaines de spécialités et avec lesquels nous

avons établi des liens de coopération. Dans le

cadre de notre politique de développement

durable et notre responsabilité sociale, nous

nous engageons à promouvoir la diversité en

soutenant des organismes spécialisés dans la

formation des personnes handicapées, des

établissements situés en zone sensible, ainsi

qu’un tissu d’écoles locales.»

Dans le cadre denotre politiquede développementdurable et notreresponsabilité sociale,nous nous engageonsà promouvoirla diversité.

sondé les entreprises sportives pour connaître leursbesoins, explique Catherine Puthod, responsable de la

formation. Le bassin annecien accueille énormémentde sièges sociaux d’entreprises du monde de l’out-door, comme Salomon, Adidas, Fusalp, Millet ou Pata-gonia. Plus de 250 entreprises de cette industrie sontprésentes dans la région Rhône-Alpes».

Des managers opérat ionnelsAutre diplôme recherché par les sociétés internatio-

nales, le Bachelor in Business Administration a fait

son apparition dans le programme de l’École de

management de Lyon en sep-

tembre dernier. «L’objectif estde former des jeunes managersopérationnels dans les affairesinternationales, qui ont les com-pétences techniques, qui saventtravailler en mode projets et quisont flexibles, car c’est ce querecherchent les entreprises,souligne Jean-Charles Clément,

responsable du programme.

Nous formons des baroudeurs,qui sont capables aussi bien de travailler dans lemarketing en Amérique du Sud que sur un nouveauprojet en Asie, ou en tant que contrôleur de gestionen Amérique du Nord. Ils possèdent des capacitésd’adaptation importantes».

La tendance des MOOCSEntre l’université Lyon1, l’EM Lyon, l’ENS Lyon, Lyon3,

Grenoble Ecole de management ou l’INP Grenoble,

on ne compte plus le nombre d’établissements d’en-

seignement supérieur rhônalpins qui surfent sur la

vague des MOOCS (Massive online open course). Ces

cours gratuits en ligne, ouverts à tous, attirent une

population très disparate et internationale. Une

enquête IFOP/le Figaro Etudiant auprès des étu-

diants et Lycéens a d'ailleurs révélé en 2014 que 50%

d'entre eux ont déjà entendu parler de ces Moocs et

que 88% pensent que c'est un bon moyen pour favo-

riser leur réussite. Si l’assiduité à un cours et la réus-

site aux épreuves sont généralement récompensées

par un certificat, Lyon 1 envisage de délivrer un

diplôme officiel. La révolution de l’enseignement ?

«Il existe une très forteattente des entreprisesen data scientists.On estime à 4,4millionsle nombre de demandesde compétences dansce domaine en 2015dans le monde».

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– R H Ô N E - A L P E S –

R É G I O N S

56

30 000 chercheurs

43 000 jeunes formésdans les CFA en 2013

37 grandes écoles dont21 écoles d’ingénieurs

60 CFA

12 pôles decompétitivité

87,4% de taux deréussite au bac (2012)

EN CHIFFRES

Sources : Guide de l’apprentissage Rhône-Alpes édition 2014-2015.INSEE, juillet 2012. CCI. Région Rhône-Alpes. DEPP 2012.

Page 57: Guide apprentissage 2015

d’apprentissageTAXE

2015

81%d’insertion

professionnelleen 2013

83%de réussite

aux examens en 2013

26Diplômes

900Jeunes formés

par an

Investissez dans les formationsdu CFA IFIR ARL pour assurerles compétences de vos futurscollaborateurs !Un réel investissementVous contribuez à l’optimisation de l’apprentissage enrégion Rhône-Alpes :• Propositions de nouvelles formations aux 16-25 ans,adaptées au marché de l’emploi, pour une insertionprofessionnelle réussie• Mise en place d’outils de suivi, de management etd’améliorations des compétences pour les employeurs(formation des Maîtres d’Apprentissage), pour lesenseignants (pédagogies innovantes) et pour les apprentis(livret d’apprentissage électronique, certificat voltaire…)• Développement de projets afin d’améliorer l’employabilitédes apprentis (intégration des apprentis handicapés,mobilité européenne, sécurité routière …)

Le CFA IFIR ARL, l’apprentissage d’un métier dans les domaines suivants

Vous employez des apprentis

Pour financer la formation vous devez vous acquitter d’unmontant fixé par la Préfecture de Région (publication avant le31/12), ce montant est prélevé sur le quota, si ce dernier n’estpas suffisant complétez avec le hors quota A et B.

Vous n’employez pas d’apprenti cette année

Pour participer au financement des formations dans vosmétiers demandez à votre octa d’affecter votre quotaau CFA IFIR ARL.

• Commerce - Vente - Management• Gestion des Entreprises• Sanitaire - Social• Sécurité• Métier du Pressing• Optique - Lunetterie• Métiers de la Piscine

• Prothésiste Dentaire• Vente en Parfumerieet Cosmétique• Professions Immobilières• Assurances• Intérim, Métiers de l’Emploi• Restauration

CONTACT au cfa ifir arl :66 av Jean Mermoz 69008 Lyon04 78 77 05 56 - www.ifir.fr

interlocuteurs financiers :Monique Silvestre - 04 78 77 05 58 - [email protected]ébastien Debese - 04 78 77 83 13 - [email protected]

Page 58: Guide apprentissage 2015

e s pa c ep r o

T A X ED ’ A P P R E N T I S S A G E

2015

SOUTENEZ VOS COLLABORATEURS DE DEMAIN À LYON 2

DONNONS ENSEMBLE DES PERSPECTIVESÀ VOS FUTURS COLLABORATEURS

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UNE GRANDEUNIVERSITÉ EUROPÉENNEDANS 4 DOMAINES DE FORMATIONSCIENCES HUMAINES ET SOCIALESARTS, LETTRES, LANGUESDROIT, ÉCONOMIE, GESTIONSCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTÉ

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Page 59: Guide apprentissage 2015

UNIVERSITÉ FRANÇAISE EN LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES

UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2

COMMUNIQUÉ

À QUOI SERT LA TAXE D’APPRENTISSAGE ?Réalisations 2014• Interventions de professionnels au seindes diplômes ;

• Actions en faveur de l’insertionprofessionnelle des étudiants :organisation de journées métiers,«Semaine premier emploi» : ateliers derecherche de stages et emplois, simulationd’entretien de recrutement, conférences ;

• Achats d’ouvrages et abonnements ;• Informatique et audiovisuel : e-learning,acquisition de matériel informatique ;

• Aménagement des salles de cours.

Projets 2015• Insertion professionnelle : développementde nouvelles formations professionnalisantes,du réseau des anciens ;

• Développement de projets pédagogiquesinnovants : préparation aux concoursd’entrée aux écoles supérieures decommerce et aux concours administratifs,

jeux d’entreprises et serious games,création d’un DU entrepreneuriat,développement de MOOCs ;

• Documentation : développement de l’accèsà des bases de données numériques ;

• Internationalisation : soutien des parcoursinternationaux existants et développementde nouveaux accords avec les Universitésétrangères.

Devenir notre partenaire, c’est :• Participez à nos enseignements ;• Formez vos collaborateurs dans le cadrede notre offre formation continue ;

• Encadrez avec nous nos stagiaires etétudiants en apprentissage ;

• Organisez des manifestations thématiquesdans nos locaux ;

• Présentez votre activité et vos métiersà nos étudiants ;

• Développer les chaires et projets derecherche avec nos laboratoires.

CRÉÉE EN 1973, L’UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2 ESTCONSIDÉRÉE COMME LA DEUXIÈME UNIVERSITÉFRANÇAISE EN LETTRES, LANGUES, SCIENCESHUMAINES ET SOCIALES. L’UNIVERSITÉ ACCUEILLESUR 2 CAMPUS PRÈS DE 28000 ÉTUDIANTS, DE LALICENCE AU DOCTORAT.

PROCHAINS RENDEZ-VOUS :- Salon de l’Étudiant du 16 au 18 janvier 2015- Journées portes ouvertes (JES) le 28 et 29 janvier 2015

- Salon des masters le 28 mars 2015

CHIFFRES CLÉS

28680 étudiants

6 facultés et6 instituts

37 équipes et laboratoiresde recherche

5209 stages réalisés

4742 étudiants internationauxinscrits

1500 personnesen formation continue

88% taux d’insertionprofessionnel(Licence et Master pro)

L’Université Lumière Lyon 2 compte 13 entités de formation réparties dans4 domaines de formation et de recherche :

Université Lumière Lyon 2Retrouvez toutes les informations et la liste des formations habilitées à percevoir la taxed’apprentissage sur notre site internet :www.univ-lyon2.fr

• Arts, lettres, langues• Droit, économie, gestion

• Sciences humaines et sociales• Sciences, technologie, santé

Une grande Université Européenne

Page 60: Guide apprentissage 2015

60

©ISSOCK-O

TCN

Page 61: Guide apprentissage 2015

CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S

Des experts auxcursus internationaux

Avec onze millions de visiteurs dont la moitié

d’étrangers, la Côte d’Azur est la deuxième

destination touristique en France. Et pour-

tant, il existe très peu de formations dédiées à ce

secteur dans la région PACA, en dehors des BTS.

C’est pourquoi l’IEFT, École supérieure de tourisme,

a ouvert en septembre dernier, en plus de Lyon

et Paris, un troisième campus à Sophia Antipolis

avec une vingtaine d’étudiants en bac +3. « Il s’agitd’une formation ouverte en alternance, axée surle e-tourisme qui a particulièrement le vent en poupeaujourd’hui, précise le directeur Eric Anton. Les étu-diants travaillent sur la gestion des agences devoyage en ligne. Ils font du comparatif de voyagesclés en main, de la gestion en ligne pour de grandsgroupes prestataires». Les débouchés sont nombreux

De Nice à Montpellier,la région Sud-Estcomprend de nombreuxpôles d’enseignementssupérieurs qui la placentparmi les premièresde France en nombred’étudiants.De nouvelles formationssont venues renouvelerl’offre à la rentrée 2014.

SUD-E

ST Des formations

d’excellence,

de réputation

nationale voire

internationale,

sont dispensées

dans la région.

PAR ROZENN GOURVENNEC

61

©GettyIm

ages/iSto

ckphoto

Page 62: Guide apprentissage 2015

dans la région mais aussi en France et en télétravail.

«Des opportunités existent dans de grandes agencesen ligne, chez les croisiéristes de la Côte d’Azur oudans le tourisme d’affaires ou industriel. Nous travail-lons avec des syndicats professionnels qui nous fontpart de leurs besoins en compétences et adaptonsnos formations en ce sens. Nous sommes ainsi qua-si-assurés de pouvoir placer nos étudiants à la sortiede l’école ». En 2015, l’IEFT élargira son offre aux

Master 1 et Master 2, avec des spécialisations en

phase avec les besoins locaux. La région compte par

exemple de nombreux parcs régionaux et nationaux

qui nécessitent des profils experts en écotourisme

pour désenclaver certains sites, dans le haut-pays

notamment.

Retour à la mineÀ Alès, l’École des Mines forme dans son Centre

d’études supérieures pour la sécurité et l’environne-

ment miniers (CESSEM), des experts reconnus dans le

domaine. Le programme a été modifié en 2014 et

accrédité au niveau «Master spécialisé». Ce nouveau

cursus intitulé « Exploitation et environnement

miniers » forme en un an des ingénieurs spécialisés

pour les besoins de l’industrie extractive. Une activité

qui renaît grâce aux besoins croissants en matières

premières des pays émergents et à la sécurisation de

l’approvisionnement en métaux stratégiques des pays

développés.

« Une reprise des activités minières ne peut êtreenvisagée sans prendre en compte le traitementdes impacts environnementaux des exploitations,garant de son acceptation sociétale, souligne Hossein

Ahmadzadeh, directeur du CESSEM. La formation descadres miniers des pays producteurs et exportateursde matières premières est donc devenue stratégique.Ce cursus de perfectionnement à finalité profession-nelle accueille essentiellement des élèves internatio-naux et fait une large part aux travaux dirigés, auxexercices de mise en situation et aux visites tech-niques en France et à l’étranger. La moitié de cesenseignements sont dispensés par des professionnelsdu secteur de l’environnement minier et de l’industrieextractive ».Les diplômés trouveront des débouchés dans des

bureaux d’études spécialisés en environnement dans

le domaine des mines et carrières ou dans l’industrie

extractive. Ils exerceront le plus souvent des métiers

de responsables d’unité d’exploitation (REX) et de

responsables/consultants dans des bureaux d'études

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - E S T –

R É G I O N S

62

TÉMOIGNAGE

Hélène DominguezDIRECTRICE DE L’IUT D’AVIGNON

«Notre IUT comprend quatre départements : technique de

commercialisation, génie biologique, packaging et statistique et

informatique décisionnelle. La contribution des entreprises nous aide

à financer les consommables utiles aux travaux pratiques, le matériel

de laboratoire et à renouveler l’équipement informatique. Au cours de

ces dernières années, la taxe d’apprentissage a permis par exemple

d’acheter une appareil de chromatographie liquide à haute pression,

des équipements audiovisuels, de nouveaux serveurs et réseaux,

d’assurer la mise en sécurité des machines haute technologie et de

financer des travaux pratiques sur sites spécifiques extérieurs à l’IUT.

Les entreprises donatrices collaborent avec nous sur les projets tutorés,

les stages et l’apprentissage».

La contributiondes entreprisesnous aide àfinancer lesconsommablesutiles aux travauxpratiques et àrenouvelerl’équipementinformatique.

EN CHIFFRES

254 809étudiants

53 sitesd’enseignement

supérieur

34 700apprentis enLanguedoc-Roussillon

et PACA

Sources : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014, pour les deuxrégions Languedoc-Roussillon et Paca.RERS 2014.

Page 63: Guide apprentissage 2015

TÉMOIGNAGE

Constancede MontmarinDIRECTRICE DÉVELOPPEMENT RH CHEZ KONE

«Nous versons notre taxe d’apprentissage,

d’un montant de 400000 euros, auprès de nos

écoles partenaires pour l’accompagnement des

jeunes, que ce soit dans les métiers techniques

(Mention complémentaires ascensoristes),

du commerce (écoles de commerce) ou

d’ingénierie (écoles d’ingénieurs). Nous

travaillons également avec des universités et

des écoles qui disposent d’un projet handicap,

sujet sur lequel nous sommes extrêmement

sensibles. Le versement de la taxe

d’apprentissage, au même titre que notre

participation aux évènements étudiants et

l’accueil d’alternants et de stagiaires, s’inscrit

dans notre engagement auprès des écoles pour

préparer les étudiants à intégrer le monde de

l’entreprise. Ces structures constituent pour

nous une pépinière de futurs collaborateurs».

Le versement de la taxed’apprentissage s’inscritdans notre engagementauprès des écoles pourpréparer les étudiants àintégrer le monde del’entreprise.

spécialisés. Les ministères des principaux produc-

teurs et exportateurs des ressources minérales se

sont déjà montrés intéressés par le recrutement des

élèves issus de cette formation.

Le double cursus, la voie royaleL’IPAG de Nice mise elle aussi sur l’international et sur

les doubles cursus. En collaboration avec le Poli-

tecnico de Turin, elle propose le double diplôme

«Management en ingénierie», qui permet de maîtri-

ser en cinq ans des compétences complémentaires

en business et en management des opérations.

«C’est un profil qui va s’arracher !, assure Hélène

Guidicelli, directeur-adjoint des rela-

tions extérieures du groupe IPAG. Lesétudiants sortent avec deux diplômes :un Master of Science de la meilleureécole d’ingénieur d’Italie et un Masterde management de l’IPAG. C’est laseule formation de ce genre proposéesur cinq ans en France. Cette doublecompétence permet de mieux appré-hender un marché et d’être beaucoupplus performant à l’international. Parexemple, une personne pourra lancerun produit avec toute la technique du marketing, touten connaissant parfaitement la partie industrielle.Un acheteur sera à même d’acheter à l’internationaldes produits techniques. Il connaîtra le vocabulairepour mieux négocier son achat. Ce profil est particu-lièrement recherché par les entreprises françaiseset internationales. Nous prévoyons d’ailleurs dedévelopper ce cursus avec l’Allemagne ou un paysanglo-saxon ».Pour aider ses diplômés à conquérir les marchés

internationaux, l’IPAG Business School a également

lancé les Track Pays, une option destinée à mieux

appréhender la culture et la langue d’un pays. Après

l’anglais, la Chine, le Brésil et la Russie, le Track Alle-

magne sera proposé aux étudiants dès la rentrée

2015. «Se familiariser avec l’esprit du pays, son éco-nomie, sa politique et y passer un an complet en uni-versité partenaire est un plus pour pouvoir ensuite ytravailler, mieux comprendre la façon de penser descollaborateurs étrangers et mieux négocier», conclutHélène Guidicelli.

«La doublecompétencepermet de mieuxappréhender unmarché et d’êtrebeaucoup plusperformant àl’international».

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - E S T –

R É G I O N S

63

8 240 étudiantsen CPGE

7 920 étudiantsingénieurs

93 CFA

83,9% de taux deréussite au bac enLanguedoc-Roussillonet PACA (2012)

EN CHIFFRES

Sources : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014,pour les deux régions Languedoc-Roussillon et Paca. DEPP 2012.

Page 64: Guide apprentissage 2015

64

©DR

Page 65: Guide apprentissage 2015

CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S

Artisans ettechniciens recherchés

Le luxe ne connaît pas la crise. Pour preuve, les

entreprises de la chaussure, de la sellerie et de

la maroquinerie - dont Repetto, Hermès et

Weston - rencontrent des difficultés de recrutement

du fait du manque d’artisans qualifiés. Pour répondre

à cette attente, les régions Aquitaine, Limousin et

Poitou-Charentes se sont unies pour créer le Pôle

d’excellence aquitain des métiers du cuir et du luxe.

Ouvert en septembre 2014 à Thiviers en Dordogne,

il forme des demandeurs d’emploi à ces métiers

particulièrement prisés.

«La création de ce pôle correspond à une volonté dela région de structurer des pôles de formation d’excel-lence sur l’ensemble des filières jugées stratégiques,

Les spécialités du Sud-Ouestne sont pas que dansl’assiette ! Aéronautique,optique, industrie etagroalimentaire représententles filières d’excellence dela région. Les nouvellesformations répondent auxattentes des entrepriseset du marché de l’emploi.

SUD-O

UEST La formation

est un outil

de premier

plan pour le

développement

du territoire.

PAR ROZENN GOURVENNEC

65

©GettyIm

ages/iSto

ckphoto

Page 66: Guide apprentissage 2015

déclare Alain Rousset, président de la Région Aqui-

taine. Nous avons investi 1,5 millions d’euros dans ceprojet. Le résultat, c’est un espace de formation uniquedans lequel 500m2 d’équipements pédagogiques sontmis à la disposition des 103 entreprises potentiellementconcernées en Aquitaine, en Limousin et en Poi-tou-Charentes. On estime à environ 330 personnes surtrois ans le besoin en formation avant recrutement, et à270 personnes sur trois ans celui en formation dessalariés. Notre objectif, dans un premier temps, est deformer plus de cent personnes par an».Le panel de formations du Pôle cuir et luxe pourrait

ensuite évoluer pour porter sur l’aménagement de

cabines d’avions ou de bateaux, en mixant les com-

pétences « cuir » aux compétences « bois » présentes

depuis 2012 dans cet établissement de Thiviers.

En 2011, la région Aquitaine avait déjà créé Aérocam-

pus Aquitaine, dédié à la formation aux métiers

de la maintenance aéronautique, et en 2013 un pôle

d’excellence consacré aux métiers du bois. Objectif

de ces formations enseignées au lycée Haroun-

Tazieff de Saint-Paul-lès-Dax dans les Landes :

promouvoir et développer les emplois de la filière

bois, former des personnels qualifiés et initier les

élèves aux techniques du futur, liées notamment à

l’éco-conception, au BIM (Building Information

Modeling) et à la réalité augmentée.

Pénurie de cadres intermédiairesÀ Bordeaux, l’École nationale supérieure des Arts et

Métiers (ENSAM) s’intéresse aux filières technolo-

giques qui font face elles aussi à une pénurie de main

d’œuvre. C’est pourquoi elle a ouvert en septembre

dernier une formation accessible dès le bac. Le

Bachelor de technologie s’adresse aux bacheliers

STID2, pour qui l’entrée en BTS, en prépa ou à l’uni-

versité n’est pas toujours assurée. « La voie technolo-gique n’est pas valorisée et souvent choisie pardéfaut, déplore Laurent Carraro, directeur général

d’Arts et Métiers. Notre école veut participer à lareconstruction de cette filière en France et proposerune formation supérieure complète, du bac à bac +5.Les jeunes peuvent s’arrêter au bout de trois avec lediplôme de Bachelor de technologie pour être assis-tants ingénieurs ou cadres de maîtrise ou poursuivreleurs études pour devenir ingénieurs ou doctorants

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - O U E S T –

R É G I O N S

66

TÉMOIGNAGE

Hervé BlanchardDRH DU GROUPE LATÉCOÈRE

«Dans nos activités Aérostructure, notre politique est de reverser

une partie de la taxe directement aux CFA avec lesquels nous signons

un contrat d’apprentissage. Nous accueillons autant de jeunes apprentis

compagnons que des techniciens de niveau bac +2 ou des ingénieurs.

Latécoère s’engage sur l’alternance. En 2013, les effectifs de la branche

Aérostructure comprenaient 5,5% d’apprentis, un taux en légère hausse

par rapport aux années précédentes. La partie barème est affectée de

façon homogène à une liste d’établissements classés par catégorie,

A, B ou C, selon le niveau d’études. Cela comprend aussi bien des

écoles locales que nationales. Nous menons également des actions

avec l’École régionale de la deuxième chance et La Cadène – Les

Apprentis d’Auteuil ».

Latécoère s’engagesur l’alternance. En2013, les effectifsde la brancheAérostructurecomprenaient 5,5%d’apprentis, untaux en hausse parrapport aux annéesprécédentes.

EN CHIFFRES

233 494étudiants

148 063étudiants

en universités

37 500apprentisen 2013

Sources : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014, pour les deux régionsAquitaine et Midi-Pyrénées.

Page 67: Guide apprentissage 2015

TÉMOIGNAGE

Anne Mol in iéRESPONSABLE RELATIONS ENTREPRISESÀ L’ENSAT, TOULOUSE

«La taxe d’apprentissage représente 37% de

notre budget de formation. Nos entreprises

partenaires sont très diversifiées : ce sont aussi

bien des PME-TPE que des grands groupes.

Leurs contributions nous permettent de

renouveler les équipements, d’améliorer les

dispositifs pédagogiques, de développer

des projets de formations. Nous mettons

par exemple en place un learning center,une nouvelle conception de bibliothèque qui

favorise la pédagogie active et l’autonomie des

étudiants avec un mode de travail en gestion

de projets. Nous avons également ouvert

l’année dernière le diplôme national

d’œnologue en alternance. En 2015, nous allons

poursuivre le déploiement de formations par

apprentissage et la mise en place du statut

d’étudiant entrepreneur».

Les contributionsdes entreprisesnous permettent derenouveler les équipe-ments, d’améliorerles dispositifs pédago-giques, de développerdes projets deformations.

dans l’industrie ». Un statut de cadre intermédiaire

particulièrement recherché par les entreprises. «Lesconstructeurs aéronautiques sont obligés d’utiliserdes ingénieurs pour piloter une ligne de production.Cela leur coûte plus cher et les ingénieurs se sententsous-employés. Il y a donc un vrai besoin en cadresintermédiaires dans l’industrie ». L’ENSAM réfléchit

maintenant à exporter ce cursus en Malaisie et au

Mexique, à la demande des industriels français instal-

lés sur place et qui manquent de main d’œuvre locale

qualifiée.

La domotique, secteur en progressionAvec des diplômes de plus en plus élevés et pointus,

les artisans aussi s’organisent pour accompagner les

mutations de leur secteur. Dans le Tarn, la Chambre

de métiers et de l’artisanat propose

depuis la rentrée 2013 un BTS Fluides

Énergies Domotique, pour concevoir

des solutions techniques destinées à la

«maison intelligente». «La domotiqueest un secteur en constante progres-sion, analyse Valérie Gallerand, conseil-

lère en formations à l’Université régio-

nale des métiers et de l’artisanat du

Tarn. Utilisée au début par une clientèled’entreprise, elle touche désormais lesparticuliers pour programmer à dis-tance le chauffage, l’éclairage, l’alarme,les vidéos de surveillance, mais aussipour maintenir les personnes âgéesà domicile. C’est donc une filière d’ave-nir qui manque encore de formations.Il existe à peine une dizaine de BTSDomotique en France, dont seulementdeux en région Midi-Pyrénées ». Ce BTS dit «option C»

forme des spécialistes en organisation des systèmes

automatisés du cadre de vie, pour les logements indi-

viduels, et des spécialistes bâtiments tertiaires intelli-

gents. «Ce qui fait la différence de notre BTS, c’est lecursus en alternance, un type de formation privilégiépar les étudiants et les entreprises. Nos apprentisviennent de toute la région». Preuve que l’artisanat

a encore de belles cartes à jouer dans l’économie de

demain.

«La filièretechnologiquen’est pasvalorisée etsouvent choisiepar défaut. (…)Pourtant, il y aun vrai besoinen cadresintermédiairesdans l’industrie»,affirme LaurentCarraro, directeurgénéral d’Arts etMétiers.

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - O U E S T –

R É G I O N S

67

6 902 étudiantsen CPGE

13 993 étudiantsingénieurs

130 CFA en 2013

86,8% en Aquitaineet 86,9% enMidi-Pyrénées (2012)

EN CHIFFRES

Sources : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014,pour les deux régions Aquitaine et Midi-Pyrénées. DEPP 2012.

Page 68: Guide apprentissage 2015

carton

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CSToulou

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1-Ph

otos

:Corbis,Getty

Imag

es.

www.midi-pyrenees.cci.fr

> Agnès HAREL> Tél. : 05 62 74 20 03> email : [email protected]

Faites votre déclaration en ligne sur le site internet :

CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE MIDI-PYRÉNÉES5, rue Dieudonné Costes - BP 80032 - 31 701 BLAGNAC Cedex

www.midi-pyrenees.cci.fr

Versez lanouvelle Taxe

d’Apprentissageà votre CCI avant

le 28 février 2015Pour répondre à toutes vos questions,

vos conseillers « taxe d’apprentissage »sont à votre disposition

Page 69: Guide apprentissage 2015

C C I

LES FORMATIONS DES CHAMBRES DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE

COMMUNIQUÉ

Chaque année, les écoles des Chambres de commerce etd’industrie (CCI) de Midi-Pyrénées accueillent plus 5000étudiants, tandis que 1 300 jeunes passent par la voie de

l’apprentissage et 900 recourent aux contrats de professionnali-sations. Des effectifs en croissance régulière. En matière de résul-tats, les CCI enregistrent des taux d’insertion professionnelle supé-rieurs à la moyenne des autres organismes de formation (84%).Une réussite qui s’explique notamment par l’adaptation de leuroffre aux besoins des chefs d’entreprises.En matière de recrutement de personnels opérationnels, d’accom-pagnement de l’employabilité de leurs salariés, mais aussi d’acqui-sition de compétences spécifiques à leur métier de dirigeant.

Des formations en prise directe avec le terrainAu niveau Bac +2, la priorité est ainsi donnée à la « professionna-lisation » avec des formations orientées vers le tertiaire, la filièrela plus demandée. Toutes les CCI de la région proposent à ce stadedes offres comparables tournant autour des métiers de la vente,du commerce et de la gestion, sans oublier la spécificité du«e-commerce», qui peuvent être suivies en formation initiale oupar l’alternance. Elles sont déployées dans le cadre de BTS, duréseau Négoventis et d’une Ecole de Gestion et de Commerce(EGC) sur 3 sites : Montauban, Rodez et Tarbes, qui délivre desdiplômes reconnus par l’Etat. Cette EGC dispense le programmeBachelor qui tend essentiellement à former aux fonctions commer-ciales, de marketing, de gestion et d’assistance à l’export. Un cur-sus qui s’étend sur trois semestres, soit 15 mois répartis à 75%en entreprise et 25% en cours (1 à 2 jours en moyenne parsemaine). 93% des jeunes diplômés de ce Bachelor obtiennentun emploi dans les six mois. Preuve qu’en formant des managersintermédiaires, proches du terrain et multi-compétents, les EGCrépondent là encore efficacement aux besoins des entreprises.Le réseau des CCI crée, en outre, pour les licences profession-nelles et les diplômes universitaires, des partenariats étroits avecles universités toulousaines : l’IAE (Toulouse 1 Capitole), le Mirail

ou Paul Sabatier. Dispensées au cœur des départements, cesdiplômes sont créés avec l’Université pour répondre aux besoinsspécifiques d’un territoire. Ainsi, nous avons développé une filièreautomobile dans le Tarn, hôtellerie-restauration dans lesHautes-Pyrénées, ou achats et logistique dans le Tarn-et-Garonne.Le titulaire d’un tel diplôme se donne toutes les chances de trouverun emploi dans la région.Les grandes écoles sont enfin la figure de proue de l’enseigne-ment consulaire. Citons à titre d’exemples, l’école d’audioprothé-sistes de Cahors, l’Institut de Promotion Industrielle dans le Tarn,la très réputée Ecole des managers, destinés à former les futursdirigeants d’entreprises dans l’Aveyron et le Tarn ou encore l’écoled’Ingénieurs Informatiques 3IL de Rodez. Il faut également souli-gner que la plupart de ces diplômes sont également ouverts àl’alternance.Enfin, triplement accréditée au plan international, présente surToulouse, Barcelone, Casablanca et Paris, Toulouse BusinessSchool propose une offre complète de formations au managementtant en formation initiale que pour des cadres plus expérimentésau travers de ses programmes Bachelor (Bac +3), ProgrammeGrande Ecole (Bac+5, Grade de Master), Mastères Spécialisés etDoctorat (Ecole Doctorale de l’Université de Toulouse), ExecutiveMBA, Advanced Management Program (CPA), DBA (Doctorateof Business Administration) et ses programmes de formationcontinue (Executive Education).

DEUXIÈME FORMATEUR APRÈS L’EDUCATIONNATIONALE, LES CHAMBRES DE COMMERCEET D’INDUSTRIE (CCI) DISPOSENT D’UNEOFFRE DE FORMATION DIVERSIFIÉE DUBAC +2 AU MASTER QUI S’ADAPTE AU PLUSPRÈS DES BESOINS DES ENTREPRISES.

Renseignements :http://formation.midi-pyrenees.cci.fr

Philippe Poulain,Directeur Emploi-Formation-Apprentissage-Alternanceà la CCI Midi-Pyrénées.

Page 70: Guide apprentissage 2015
Page 71: Guide apprentissage 2015

É C O L E D E C O M M E R C E

TOULOUSE BUSINESS SCHOOL

COMMUNIQUÉ

ACCOMPAGNER L’ÉVOLUTION DES BESOINSEN COMPÉTENCES DES ENTREPRISESEST L’UNE DE NOS MISSIONS MAJEURES.NOUS Y ŒUVRONS QUOTIDIENNEMENTEN ASSURANT LA PRÉPARATION ETLA FORMATION DE LEURS FUTURSCOLLABORATEURS ET MANAGERS AINSIQUE DE LEURS CADRES ET DIRIGEANTS,SELON DES STANDARDS DE QUALITÉRECONNUS INTERNATIONALEMENT.

TOULOUSE BUSINESS SCHOOL20, bd Lascrosses - BP 7010 - 31068 Toulouse Cedex 7Tél. 05 61 29 49 49 - www.tbs-education.fr

STATUTÉcole reconnue par l’Etat

DIPLÔMESDiplômes Grande Écolevisé, grade de MasterBachelor en Managementvisé, certifié niveau II

30000 diplômésen France et à l’étranger

CAMPUS

3 campus (Toulouse,Barcelone, Casablanca)+ 1 antenne à Paris

ÉTUDIANTS

4300

MÉTIERS

92 professeurspermanents

Un atout pourles carrières professionnellesDe la préparation du projet professionnel jusqu’audéveloppement de carrière, les entreprises ont de mul-tiples occasions de rencontrer les jeunes talents deTBS. Citons en particulier :• La participation aux forums stages-emploi TBS,outils privilégiés pour identifier et recruter lesstagiaires ou futurs collaborateurs :- Forum Mastèr(e)s «Talents et Avenir»- Forum Bachelor «Good Job Good Life»- Forum Mastèr(e)s «Perspectives Métiers»- Journée «Entreprises» du campusde Barcelone

• L’accueil de stagiaires, élément essentiel de la profes-sionnalisation des étudiants : les stages permettent eneffet de confronter acquis pédagogiques et réalité del’entreprise, de mieux affiner son orientation et d’ac-quérir progressivement des responsabilités.

• L’accueil d’apprentis, via le Centre de Formation desApprentis (CFA) créé par TBS en 2003. Une relationécole/entreprise particulièrement étroite, la pédagogiede l’alternance exigeant une forte coopération entrel’organisme de formation et l’entreprise d’accueil.

• L’appui au dispositif d’accompagnement vers l’emploides étudiants - le Career Stater® : entreprises et/oucabinets RH sont ici associés aux actions de coachingou de speed-coaching des étudiants, aux ateliersmétiers ou présentations d’employeurs.

Un site web «stage/emploi » (www.stage-emploi.tbs-education.fr) permet à l’entreprise de proposer àtout moment des offres de stage ou d’emploi, d’appren-tissage ou de contrats de professionnalisation à nosétudiants et diplômés… pour mieux les recruter !

Une relation gagnant-gagnantL’engagement des entreprises auprès de TBS constitueun levier déterminant des projets de développement duGroupe. TBS tisse donc des partenariats étroits avecles entreprises sur la base d’engagements réciproquesfondés sur des objectifs convergents et concrets.En versant leur taxe d’apprentissage à TBS, les entre-prises contribuent non seulement à l’évolution de notreCentre de Formation des Apprentis, mais également audéveloppement de nouveaux programmes et à l’inter-nationalisation du corps professoral.

Par ailleurs, la Fondation de TBS bénéficie depuis sacréation d’un soutien fort des entreprises. Cela lui per-met de déployer des actions concrètes en faveur de ladiversité (au travers d’un programme de boursessociales), et de développer des pôles d’expertise (via lesChaires d’entreprises). Qu’elles soient partenaires,clientes de nos programmes de Formation Continue –Executive Education -, participantes à nos forums derecrutement, ou parties prenantes de nos évènements,les entreprises bénéficient d’une relation privilégiée avecTBS, ses équipes, ses professeurs et ses étudiants.

Page 72: Guide apprentissage 2015

©FOTOLIA

72

Page 73: Guide apprentissage 2015

CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S

Cap sur lesmétiers d’avenir

Croiser les savoir-faire, les cursus et les cultures

pour mieux répondre aux attentes des entreprises.

C’est tout l’enjeu des formations d’aujourd’hui qui

doivent s’adapter aux évolutions de la société et anticiper

les nouveaux besoins. À Polytech Nantes, le nouveau D.U.

Dessiin ouvert à la rentrée 2014 fait rencontrer deux corps

de métier, le designer et l’ingénieur, dans une dynamique

de complémentarité et de transdisciplinarité. «C’est uneformation consacrée aux objets connectés (téléphones,montres, vêtements, capteurs), explique Patrick Le Callet,

coresponsable de la formation. Ils sont imaginés par desdesigners et conçus par des ingénieurs informaticiens ouélectroniciens, deux professions qui devront collaborerdans l’entreprise mais qui n’ont pas développé une culturecommune de travail. Dans ce cursus, ils travaillent enbinômes. Ainsi, les jeunes diplômés arriveront sur le mar-ché de l’emploi en ayant déjà vécu cette expérience croi-sée. Cette formation fait écho à un réel besoin des entre-prises, notamment celles des villes labellisées French Techou de la plateforme Design’In Pays de la Loire dédiée àl’innovation par le design».

Véritable puissanceagricole et maritime,la région Grand Ouesta naturellementdéveloppé ces filièresancrées dans le paysageéconomique tout en sepositionnant parmi lesterritoires français lesplus actifs en matièred’innovation.

GRAND

OUEST Toujours à

la pointe de

l’innovation,

la région adapte

ses formations

aux enjeux

de demain.

PAR ROZENN GOURVENNEC

73

©GettyIm

ages/iSto

ckphoto

Page 74: Guide apprentissage 2015

Des ingénieurs es systèmes embarqués à CaenÀ Caen aussi, l’école d’ingénieur ESIX se positionne sur

les métiers d’avenir avec la nouvelle spécialité « Ingé-nieur en mécatronique et système nomade». Elle forme

en trois ans des ingénieurs capables de faire de la

recherche-développement-exploita-

tion de systèmes embarqués pour les

voitures, l’aéronautique ou les télé-

phones mobiles. « Ce secteur sedéveloppe de plus en plus et lesbesoins en la matière sont impor-tants, affirme David Houivet, direc-

teur de l’école. Dans la région, leséquipementiers automobiles tels queValéo, Bosch ou Faurécia sont inté-ressés par ce type de compétences,tout comme les entreprises du Pôle de compétitivitéautomobile Mov’éo ou du Pôle d’excellence NormandieAeroEspace qui soutiennent la formation».

Laval, championne de la réalité virtuelleCapitale européenne de la réalité virtuelle, Laval devrait

accueillir à l’automne 2015 la Cité de la réalité virtuelle,

un équipement unique en Europe qui sera à la fois

show-room, lieu de conférences et d’expérimentations

et pépinière d’une trentaine de start-ups. C’est pour

contribuer à ce projet ambitieux que la société califor-

nienne Eon Reality, leader mondial de la réalité virtuelle

et augmentée, a décidé d’installer sa filiale française à

Laval. Et pour trouver les compétences qu’elle

recherche, elle s’est alliée à l’Institut

d’informatique appliquée (IIA) pour

créer une formation « Concep-teur-développeur en réalité virtuelleet augmentée». «C’est un domaineencore peu enseigné, si ce n’est surun niveau plus élevé, à bac+5, indiqueAlexia Lavelle, responsable forma-

tions à l’IIA. Or, Eon Reality rechercheplutôt des techniciens supérieurs, àbac+2 ou +3. C’est pourquoi nous

avons ouvert ce cursus, qui comprend 18 étudiants cetteannée, dont une bonne partie sera recrutée par Eon à lasortie. Nous devrions en admettre le double à la rentrée2015». Une formation en un an dispensée en majorité en

anglais pour permettre aux étudiants de travailler par la

suite à l’international. «Le métier de concepteur-déve-loppeur en réalité virtuelle est un métier d’avenir, quisera amené à se développer considérablement dans lesprochaines années», assure Alexia Lavelle.

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– G R A N D O U E S T –

R É G I O N S

74

TÉMOIGNAGE

Erwann Créac ’hDIRECTEUR D’A L’AISE BREIZH

« Nous reversons l’ensemble de notre taxe d’apprentissage

aux écoles dans lesquelles nous trouvons des apprentis.

Ce sont des centres de formations et écoles de ventes situés

à Quimper, Brest et Saint-Malo. L’apprentissage fait partie

de notre méthode de recrutement. Plus de la moitié de nos

responsables de magasins et de nos vendeurs sont d’anciens

apprentis. Nous les prenons pour une période d’un à trois

ans, ce qui nous laisse le temps de bien les former à notre

technique de vente et à notre manière de gérer les magasins,

mais aussi de mieux les connaître et de voir s’ils peuvent

convenir à un poste. Nous plaçons un apprenti par magasin

et dès qu’une nouvelle boutique ouvre, si la personne est

opérationnelle, elle devient responsable de magasin ».

L’apprentissagefait partie de notreméthode derecrutement. Plusde la moitié de nosresponsables demagasins et denos vendeurs sontd’anciens apprentis.

EN CHIFFRES

271 000 étudiants

Environ 160 000étudiants en université

17 804 étudiants

ingénieurs

9096 étudiants en CPGE

57617 apprentis

131 CFA

Sources : Atlas régional effectifsd’étudiants en 2012-2013, éditionavril 2014. Régions Bretagne, Paysde Loire et Basse-Normandie.

« Lemétier de concepteur-développeur devrait sedévelopper considérablementdans les prochaines années »,note Alexia Lavelle, responsableformations à l’Institutd’informatique appliquée.

Page 75: Guide apprentissage 2015

Boostez leurscarrières !

Depuis 19196000 diplômés

580 étudiants

École d’ingénieurs en agriculture

L’Esitpa est habilitée à percevoir la taxe d’apprentissage dans la catégorie B du Hors quota.Merci de préciser sur le bordereau de l’OCTA : Esitpa, école d’ingénieurs en agriculture - Contact : [email protected]

Nos engagements :

> Soutenir financièrement les étudiants en difficultés> Développer nos partenariats entreprises> Renforcer les équipements informatiques

agriculture et territoires - agroalimentaire - agri-business - agroécologie

Page 76: Guide apprentissage 2015

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au 02 31 56 65 15 / [email protected]

www.iae.unicaen.fr#WeAreIAECaen

Page 77: Guide apprentissage 2015

É C O L E U N I V E R S I TA I R E D E M A N A G E M E N T

IAE CAEN

COMMUNIQUÉ

L ’IAE Caen, l’école de management del’Université de Caen, compte chaqueannée 2 000 étudiants répartis en 3

pôles : Management, Finance et SocialSanté. L’école a depuis toujours cherché àmixer les profils de ses étudiants et accueilleaussi bien les jeunes en formation initiale queles actifs en formation continue au sein de ses9 licences et 17 masters.

Depuis sa création en 1956, l’IAE Caen atoujours eu pour mission de rapprocher lemonde de l’entreprise et celui de l’enseigne-ment supérieur public. Avec bientôt 60 ansd’expertise en gestion et de collaborationsavec les entreprises de notre territoire,l’IAE Caen est capable de comprendre et derépondre au plus près des attentes desemployeurs en termes de formation.

Nous avons depuis longtemps pris conscienceque les savoirs théoriques ne faisaient pastout et qu’une entreprise attendait surtout deses collaborateurs qu’ils soient capables de

faire preuve d’initiative, de polyvalenceet d’efficacité lorsqu’il s’agit de travailleren équipe. C’est avec ces objectifs et valeursen tête que nous construisons nos pro-grammes de formation et que nous remettonssans cesse en question nos pratiques péda-gogiques afin de préparer nos étudiants auxréalités du monde de l’entreprise.

C’est la taxe d’apprentissage dont vous vousacquittez et que vous avez l’occasion deflécher vers l’IAE Caen qui nous permet detoujours innover pédagogiquement, de donneraccès à des outils de formation performants,de sortir les étudiants des salles de cours, deles faire penser différemment et librement, oud’équiper l’école d’un FabLab (espace de pro-totypage où futurs managers et ingénieurspartageront leurs compétences pour dévelop-per une vision plus globale de la résolutionde problème). En versant votre taxe d’appren-tissage à l’IAE Caen, vous permettez à l’écolede répondre à ces objectifs et de mettre enœuvre de nouveaux projets.

DEPUIS TOUJOURS CENTRÉSUR L’ENTREPRISE, L’IAE CAENS’EFFORCE, DANS UN MONDEDE PLUS EN PLUS COMPÉTITIF,DE RÉPONDRE AU PLUS PRÈSDES BESOINS DES ENTREPRISES.LA TAXE D’APPRENTISSAGE,RESSOURCE CRUCIALE POURL’ÉCOLE, PERMET NOTAMMENTDE FINANCER SES INNOVATIONSPÉDAGOGIQUES.

IAE CAEN3 Rue Claude Bloch, CS 25160, 14075 Caen Cedex 5Tél. 02 31 56 65 [email protected] - www.iae.unicaen.fr

STATUT

École reconnue par l’État

ÉTUDIANTS

2000• 1000 en formation initiale

dont 300 en apprentissage

• 1 000 en formation continue

dont 500 en eLearning

DIPLÔMÉS

25000

INSERTION

82% à 6 mois

Page 78: Guide apprentissage 2015

©OTCLLILLELAURENTGHESQUIERE

78

Page 79: Guide apprentissage 2015

Le numérique,un secteur qui recrute

Si les jeunes de toute la France et des pays limi-

trophes viennent étudier dans le Nord-Pas-de-Ca-

lais, ce n’est pas que pour le légendaire accueil des

Ch’tis. L’offre de formation y est particulièrement large et

son économie très dynamique, grâce à de nombreuses

implantations et créations d’entreprises.

Parmi les nouveaux cursus de la rentrée 2014, on note

l’arrivée de WIS (Web International School), une école qui

forme aux métiers du web. «Le besoin des entreprisesdans ce domaine est énorme, souligne Laurent Espine,

directeur national du réseau WIS. Or, il existait jusqu’alorspeu d’écoles en province, la plupart étant essentiellementsituées en région parisienne. Avec le label French Tech,beaucoup de villes en régions ont développé de nouveauxsecteurs économiques dans le domaine du web. Nousavons donc décidé d’ouvrir cinq écoles WIS en septembre

Textile, métallurgie, automobile, agroalimentaire et ferroviairefigurent parmi les pôles d’excellence de la région, qui s’ouvreégalement aux métiers de demain.

PAR ROZENN GOURVENNEC

NORD La région attire

7% des étudiants

français grâce à

un large panel

de formations.

2014 à Lille, Amiens, Lyon, Nantes et Bordeaux. Une pro-chaine ouverture est prévue en 2015 à Montpellier ».

Le web, un tremplin pour l'internationalCréée par l’association de quatre écoles (l’EPSI, l’IDRAC,

l’IFAG et SUP DE COM), WIS regroupe des champs d’exper-

tise complémentaires : développement web, e-commerce,

start-up et communication. Elle est accessible post-bacmais

aussi en alternance dès la deuxième année ou avec un bac+2

après une remise à niveau. «Les débouchés sont nombreuxet variés : community manager, responsable marketingdigital, chef de projet e-commerce, business developper...Ce sont des métiers d’avenir qui intéressent les TPE-PME,bien installées sur leur territoire économique et qui cherchentà se développer à l’international. Celles qui ont opéré ce choixont vu leur chiffre d’affaires bondir de plus de 20% en un an».

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– N O R D –

R É G I O N S

79

TÉMOIGNAGE

Benoit PacceuRESPONSABLE DÉVELOPPEMENT RH KILOUTOU

«Nous reversons notre taxe d’apprentissage à des écoles de

commerce et à des filières techniques, comme les BTS électro-

techniques, BTS électromécaniques, bac pro maintenance industrielle.

Ce sont des structures qui vont du bac pro au bac +5. Nous

définissons le montant des enveloppes en fonction des niveaux de

formation. Nos recrutements en alternance et en CDI se font

essentiellement sur des métiers de conseiller technico-commercial en

agence ou de technicien de maintenance. Nous prenons une centaine

de jeunes en contrat d’alternance, notre objectif étant de faire de nos

alternants d’aujourd’hui nos CDI de demain. Nous avons également

développé avec un institut spécialisé une école qualifiante dans le but

de former nos techniciens de maintenance».

En prenant desjeunes en contratd’alternance, notreobjectif est de fairede nos alternantsd’aujourd’hui nosCDI de demain.

EN CHIFFRES

163 561 étudiants

9780 étudiants en CPGE

9780 étudiants

en écoles d’ingénieur

26 sites d’enseignement

supérieur

83,5% Taux de réussite

au bac (2012)

Sources : Atlas régional effectifsd’étudiants en 2012-2013, édition avril2014. DEPP 2012.

Page 80: Guide apprentissage 2015

Les chiffres clés19 unités de formations par apprentissage35 formations de la classe de DIMA à BAC+5

6 secteurs d’activités représentés450 formateurs au service du CF3A

plus de80% de réussite aux examens

ContactOlivier PRUVOST - Coordonnateur administratif et financier

20 bd d’Alsace Lorraine - 80063 Amiens cedex 9Tél. : 03 22 82 37 09 - Fax : 03 22 82 69 56

Courriel : [email protected] - Site: www.cf3a.ac-amiens.fr

SIRET : 198 011 942 00028 - RNE : 0802084F

CENTRE DE FORMATIOND’APPRENTISDE L’ACADEMIE D’AMIENS

Participez à la formation de vos futurscollaborateurs, versez votre taxe

d’apprentissage au CF3A

Page 81: Guide apprentissage 2015

C E N T R E D E F O R M A T I O N D ’ A P P R E N T I S

CFA DE L’ACADEMIE D’AMIENS

COMMUNIQUÉ

Depuis la rentrée 2005, l’académied’Amiens s’est attachée à organiserun réseau d’établissements offrant

des formations par apprentissage sous laforme d’un CFA académique (CF3A) auquelsont rattachés des établissements adhérentssous la forme d’UFA (Unité de Formation parApprentissage).

Depuis cette création plus de 3000 appren-tis ont été accueillis dans les unités de for-mations en EPLE. Le CF3A est aujourd’huicomposé de 19 Unités de Formations parApprentissage qui proposent 35 formationsdu DIMA (Dispositif d’Initiation aux Métierspar Alternance) au bac + 5.Le CF3A représente 5,75 % de l’apprentis-sage régional avec une forte augmentationdes niveaux BTS. (59% des apprentis duCF3A).

Les apprentis ont à leur disposition l’en-semble des équipements professionnels desétablissements (salles spécialisées,

machines outils, informatique...) ainsi quetous les services des structures scolaires :centre de documentation et d’information,restauration, internat, salle de sport …

La taxe d’apprentissage pour leCF3ALa taxe d’apprentissage est l’une des prin-cipales sources de financement du CF3A,elle contribue à son fonctionnement et à sondéveloppement qualitatif. Elle est, de plus,nécessaire à l’acquisition et au renouvelle-ment des équipements indispensables à laformation, que les jeunes retrouveront chezleurs futurs employeurs.

Seul impôt libre d’attribution, la taxe d’ap-prentissage vous permet d’agir en faveurdes formations préparant aux métiers devotre secteur d’activité et de collaborer à lamise en œuvre d’enseignements adaptés àvos besoins. C’est dans vos entreprises queles jeunes formés au CF3A apporteront leursavoir-faire.

LE CF3A FORME DES JEUNESPAR LA VOIE DE L’APPRENTIS-SAGE DANS LES LYCEES PUBLICSDE L’ACADEMIE D’AMIENS.

LES 19 UNITES DE FORMATIONPAR APPRENTISSAGE PRO-POSENT DES FORMATIONS DUCAP AU NIVEAU BAC +5.

20, bd d’Alsace Lorraine80063 Amiens Cedex 9 - FranceTél + 33 (0)3 22 82 37 09 - Fax +33 (0)3 22 82 69 56Courriel : [email protected]

≥ STATUTCentre de Formation d’Apprentis

≥DIPLÔMESCAP, Bac Pro, BTS, diplômes Bac +3et Bac +5

≥ FORMATIONS

35 Formations dans 6 secteursd’activité différents

≥UNITES DE FORMATION

19 Unités de Formation parApprentissage réparties dans leslycées publics de l’Académie d’Amiens

≥ 650 APPRENTIS

≥DIPLÔMÉS

+ de 2500 depuis sacréation en 2005

≥450 FORMATEURS

Page 82: Guide apprentissage 2015

©PACKSHOT

82

Page 83: Guide apprentissage 2015

L’apprentissagedépasse les frontières

Avec 47 diplômes franco-allemands dans tous les

domaines de formation, l’Université de Lorraine

s’est donnée pour objectifs de répondre aux

besoins du milieu économique lorrain et allemand et d’of-

frir à ses étudiants des perspectives de carrière à l’interna-

tional intéressantes. L’Alsace mise elle aussi sur la coopéra-

tion franco-allemande en permettant aux apprentis de

réaliser une partie de leur formation de l’autre côté de la

frontière. 30000 élèves sont engagés dans un cursus

bilingue, de la maternelle à la terminale, nombre que la

région Alsace souhaiterait doubler d’ici quelques années.

Un centre unique en EuropeAutre projet d’envergure pour la région : la création d’une

usine-école dans le domaine de la santé, qui ouvrira ses

portes en 2016 sur le campus d’Illkirch à Strasbourg. Pen-

sée par et pour les industriels, EASE offrira un large éven-

La région exploite sa dimension transfrontalière en développantla coopération avec l’Allemagne. Elle déploie également une usine-école dans le domaine de la santé attendue pour 2016.

PAR ROZENN GOURVENNEC

GRAND

EST

Bilinguisme et

transfrontalité

sont les

principaux

atouts de

la région.

tail de formations, prioritairement en alternance, de

l’agent de nettoyage au pharmacien industriel, avec une

capacité d’accueil de plus de 4000 apprenants par an.

«Ce nouveau centre facilitera la formation de main-d’œuvre qualifiée à de nombreux industriels qui trouve-ront en Alsace, souvent à proximité de leurs sites de pro-duction, toute une infrastructure de formation au plusprès du réel, souligne Jean-Yves Bonnefoy, président du

Pôle de compétitivité Alsace BioValley, qui porte le projet

avec l’Université de Strasbourg. C’est un vrai gage decompétitivité, notamment pour l’industrie pharmaceu-tique fortement représentée dans notre région. EASEconstitue en ce sens une formidable opportunité pourl’Alsace d’accompagner la mutation industrielle de sonterritoire en soutenant le développement de ses entre-prises et en permettant à de nouvelles entreprises des’implanter dans les meilleures conditions».

CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– G R A N D E S T –

R É G I O N S

83

TÉMOIGNAGE

Valér ie Tr iv iDIRECTRICE DES RESSOURCES HUMAINES CHEZ WELEDA

«Nous rencontrons des difficultés de recrutement dans les fonctions

communication, marketing et chef de produit en raison de la

localisation de notre siège social à 1 km de la Suisse où les salaires

sont plus attractifs et à 3 km de l’Allemagne. De plus, les candidats

préfèrent souvent travailler à Paris ou Lyon qu’en Alsace. Nous avons

donc misé sur l’accueil d’apprentis à différents niveaux de

qualification (CAP/BEP/Bac +2/Master) afin de nous assurer de leur

parfaite intégration à la culture de l’entreprise et à nos méthodes

de travail. L’objectif est d’intégrer rapidement le collaborateur et de

l’embaucher en CDI. Nous travaillons en majorité avec le CFA

universitaire d’Alsace qui répond tout à fait à nos besoins. C’est un

investissement gagnant-gagnant».

L’apprentissage estun investissementgagnant-gagnant.L’objectif pour nousest d’embaucher lecollaborateur en CDI.

EN CHIFFRES

145 625 étudiants

31 696 apprentis

51 sites d’enseignement

supérieur

87 CFA en Alsace-Lorraine

82,9% en Lorraine,

87,9% en Alsace

Taux de réussite au bac (2012)

Sources : Atlas régional effectifsd’étudiants en 2012-2013, édition avril2014 pour les régions Alsace et Lorraine

Page 84: Guide apprentissage 2015

Sources:Xiti,Cadremploi

Page 85: Guide apprentissage 2015

SélectionNos partenaires se présentent et vous font découvrir

leurs rôles et leurs projets pour développer l'apprentissage

85

Page 86: Guide apprentissage 2015

O R G A N I S M E C O L L E C T E U R D E L A T A X E D ’ A P P R E N T I S S A G E

AGIRES DEVELOPPEMENT

COMMUNIQUÉ

Àl’heure ou une réforme majeure dela taxe d’apprentissage intervient,AGIRES est aux côtés des entre-

prises pour les renseigner sur la nouvelleréglementation et leur apporter un conseilsur mesure. Confier le traitement de sataxe d’apprentissage à AGIRES DEVELOP-PEMENT, c’est la garantie de choisir unprestataire bénéficiant d’un solide savoir-faire, préservant à la fois les intérêts desentreprises et des écoles.

Dans cette démarche, AGIRES engage satotale responsabilité sur les élémentsqu’elle contrôle, sur les reversements auxécoles et se charge de l’intégralité du suiviadministratif des dossiers :• Gestion optimisée des exonérationset des reversements obligatoires.

• Pré-calcul des montants à verserdécomposés par catégorie.

• Gestion spécifique pour les groupes.• Vérification des habilitationsdes établissements à subventionner.

• Possibilité d’effectuer les règlements enligne (carte bancaire ou télépaiementsécurisé).

• Accès sécurisé à l’intégralité du dossieret à son historique.

• Frais de gestion limités.

Nous laissons une liberté totale de choix desécoles et/ou universités à subventionnersans minimum de reversement et transmet-tons systématiquement un état de réparti-tion clair pour accord avant l’envoi desrèglements aux établissements choisis.

Enfin, si l’entreprise souhaite mettre enavant ses dotations de taxe d’apprentis-sage, AGIRES propose des reversementspersonnalisés vers les écoles/universitéspartenaires pour le 30 juin au plus tard.

ASSOCIATION (LOI 1901) CRÉÉEEN 1991 POUR DÉVELOPPERLES RESSOURCES DEL’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR,NOTAMMENT AU TRAVERSDE LA COLLECTE DE LA TAXED’APPRENTISSAGE, C’ESTAUJOURD’HUI LE SEUL OCTAPORTÉ PAR 80 ÉTABLISSE-MENTS DE L’ENSEIGNEMENTSUPÉRIEUR QUI PROPOSE DESSERVICES À VRAIE VALEURAJOUTÉE ET QUI ACCOM-PAGNE LES ENTREPRISESDANS UNE DÉMARCHEGLOBALE DE TAXED’APPRENTISSAGE.

S!ÈGE SOCIAL :2, avenue Hoche - 75008 ParisTél. 01 46 22 18 35

CENTRE DE TRAITEMENT :BP7 - 78184 St-Quentin-en-Yvelines cedexTél. 01 30 23 22 95 / Fax : 01 30 23 22 96

HABILITATIONOrganisme collecteur de la Taxed’apprentissage National etinterprofessionnel(J.O. du 27 février 2004).

RÉSEAU

80 grandes écoles et universitésreprésentant plus de

180000 étudiants.

AGIRES C’EST AUSSI...

Plus de60 «Vendredi d’AGIRES»,manifestations visant à rapprocherles acteurs économiques etéducatifs.

Page 87: Guide apprentissage 2015

C E N T R E D E F O R M A T I O N P R O F E S S I O N N E L L E

CAMPUS DES MÉTIERS ET DE L’ENTREPRISE

COMMUNIQUÉ

Véritable accélérateur de talents, leCampus des Métiers et de l’Entrepriseest le premier pôle régional de forma-

tion professionnelle en Ile-de-France.Construit et géré par la Chambre de Métiers etde l’Artisanat de la Seine-Saint-Denis, en par-tenariat avec le Conseil régional d’Ile-de-France et le fond de développement Européen(FEDER), le Campus permet chaque année àprès de 2000 apprentis de suivre une forma-tion diplômante dans l’un des 20 métiers pro-posés (boulangerie-pâtisserie, beauté, com-merce, cordonnerie, électricité, fibre optique,gestion des déchets, mécanique, photogra-phie, plomberie, prothèse dentaire, sécurité,service à la personne, soudure…).Exigence pédagogique, audace dans le choixdes nouvelles formations…, pour maintenir ceniveau d’excellence et assurer l’avenir desmétiers en Ile-de-France, nous avons besoinde votre soutien.

Donnez de l’élan à nos projets !En reversant votre taxe d’apprentissage auCampus des Métiers et de l’Entreprise, vouscontribuerez au développement de nouvellesformations innovantes, offrant aux entreprisesfranciliennes un personnel qualifié, anticipantles modifications du marché de l’emploi.Vous aiderez à financer l’excellence et la créa-tivité d’équipes éducatives qui œuvrent au quo-tidien avec énergie et optimisme pour l’avenirde nombreux jeunes professionnels, futurscréateurs d’entreprises et indispensables ani-mateurs du tissu économique local.Investir pour le Campus, c’est aussi investirpour la pérennité des entreprises franci-liennes en mettant à leur disposition un outilde formation unique, qui permet auxemployeurs comme aux salariés de se for-mer et de développer leurs compétencespour s’adapter aux nouvelles caractéristiquesdu marché.

OUVERT EN SEPTEMBRE 2009,LE CAMPUS DES MÉTIERSET DE L’ENTREPRISE EST À CEJOUR UN DES PLUS GRANDSPÔLES DE FORMATIONPROFESSIONNELLE DEFRANCE ET FORME CHAQUEANNÉE QUELQUES2000 APPRENTIS DE TOUSÂGES DANS PLUS DE20 MÉTIERS DIFFÉRENTS.

CAMPUS DES MÉTIERS ET DE L’ENTREPRISE91-129 rue Edouard Renard - 93013 BOBIGNYTél. 01 41 83 38 38www.campus93.fr

CONTACT :René CUFFELTél. 01 41 83 38 [email protected]

STATUTCentre de formation professionnellede la Chambre de Métierset de l’Artisanat du 93

RÉSULTATS

83% de réussite aux examens

CAPACITÉ

3000 places

CURSUS

40 formations diplômantes

MÉTIERS

11 secteurs d’activité différents

CAPACITÉ

3000 apprenants

Page 88: Guide apprentissage 2015

C E N T R E D E F O R M AT I O N D ’ A P P R E N T I S I N T E R P R O F E S S I O N N E L

CFA INTERPRO28 - 0280738A

COMMUNIQUÉ

La réforme de la taxe d’apprentissage apour objectif majeur le développementde l’alternance.

Si vous êtes convaincus que la compétences’exprime et s’épanouit sur le terrain, orientezvotre taxe d’apprentissage vers un lieu de forma-tion en… APPRENTISSAGE : le CFA Interpro28qui forme aujourd’hui près de 1200 jeunes auxmétiers de la boulangerie, pâtisserie, chocolate-rie, boucherie, charcuterie traiteur, de la cuisine,du restaurant, de la coiffure, de l’automobile(maintenance, réparation des carrosseries etpeinture), du commerce, de la vente… du CAPjusqu’au Bac +2 dans certaines sections. Depuisplus de 30 ans, notre CFA a ainsi formé plus de20000 salariés. Les taux de réussite aux exa-mens ont dépassé 86% en 2014.Cette année encore, nous souhaitons pour-suivre notre développement. La réussite desapprentis sera aussi la vôtre, avec la satisfactiond’avoir contribué à la formation de futurs profes-sionnels capables d’assurer demain, dans unenvironnement économique en mutation, leurmission dans vos entreprises.

La taxe, ressource vitale pour le CFA repré-sente près de 20% des recettes et autoriseingénierie pédagogique reconnue, accompagne-ment et suivi personnalisés…, aussi nous avonsbesoin de votre soutien pour poursuivre l’objectifd’excellence et de réussite que nous noussommes fixé, en s’attachant à la construction del’employabilité des apprentis.

Flécher votre taxe, c’est lui donner un sens.Pourquoi vers ce CFA ? Parce que son coûtapprenti est modéré et maîtrisé.En reversant votre taxe d’apprentissage au CFAInterpro 28, vous contribuerez :• à l’acquisition et au renouvellementd’équipements professionnels,

• au développement de méthodespédagogiques innovantes,

• aux accompagnements individualisés,• aux projets éducatifs et à une mobilitétransnationale,

• à une formation opérationnelle et adaptéeaux besoins des entreprises.

OUVERT EN 1976, LE CFAINTERPRO28 PROPOSE26 FORMATIONS EN ALTERNANCEPOUR 1200 APPRENTIS, SALARIÉSCONFIÉS PAR DES ENTREPRISESSIGNATRICES DE CONTRATSD’APPRENTISSAGE. SEPT PÔLESDE COMPÉTENCES PRÉPARENT,DU CAP AU BAC +2, À UNEINSERTION PROFESSIONNELLEET CITOYENNE RÉUSSIE.

CFA INTERPRO28Rue Charles Isidore Douin - CS 3081928008 CHARTRES cedexTél. 02 37 91 66 66www.cfainterpro-28.fr

CONTACT TAXE D’APPRENTISSAGE :Jean BATELLIERTél. 02 37 91 66 [email protected]

STATUTCentre de Formation d’ApprentisInterprofessionnel d’Eure-et-Loir(Association Loi 1901)

RÉSULTATS

86% de réussite aux examenset en progression sensible

CAPACITÉ

1350 places

CURSUS

26 formations diplômantes

MÉTIERS

7 secteurs d’activité différents

ACTIONDemande de reversement auCFA Interpro 28 – 0280738A

Page 89: Guide apprentissage 2015

EDC PARIS BUSINESS SCHOOL

COMMUNIQUÉ /

Depuis 1950, EDC Paris forme desmanagers de haut niveau et descréateurs d’entreprise en France

comme à l’international. Devenue, en 1995,propriété de ses anciens élèves, tous chefsd’entreprise, l’École possède un savoir-faireunique, pour ajouter à l’excellence acadé-mique de son programme Grande École, desexpertises pédagogiques innovantes, trèsproches des entreprises et de leurs probléma-tiques. Les étudiants EDC Paris ont ainsi laréputation d’être responsables, créatifs et trèsopérationnels. Ils ont en commun un fortattachement à leur école et des valeurs indis-pensables dans le monde des affaires : ambi-tion et respect, éthique et solidarité.

Le programme Grande École EDC Paris,qui débouche sur un diplôme Bac+5conférant le Grade de Master, offre de

multiples ressources et opportunités d’appren-tissage à travers les stages, les missions deconsulting, la diversité des cours.

Pour soutenir les jeunes dans la créa-tion d’entreprise, de nombreux dispo-sitifs ont été mis en place comme le

Parcours Elève-Entrepreneur, créé parEDC Paris qui permet de concilier cours, exa-mens et obligations de « chef d’entreprise ».

En devenant partenaire et en versantvotre Taxe d’apprentissage à EDCParis Business School :

.Vous permettez à EDC Paris de financer desbourses d’études aux étudiants méritants etdes échanges académiques en relation avec nospartenaires internationaux

.Vous soutenez la recherche en lien avec lesbesoins de l’entreprise et le développement desinnovations pédagogiques.

.Vous soutenez l’Esprit d’entreprendre, notreADN, au cœur du programme pédagogique.

EDC - Isabelle Fontanella70 galerie des Damiers - Paris La Défense 192415 Courbevoie cedexTél. +33 (0)1 46 93 02 73 - [email protected]

# STATUTÉcole reconnue par l’État

# DIPLÔMEDiplôme Grande Ecole visé,BAC +5 / grade de master

# ÉTUDIANTS

1 350# OFFRES D’EMPLOI

2 500# DIPLÔMÉS

14 000# CRÉATEURS D’ENTREPRISEPAR PROMOTION

20 %# INSERTIONPROFESSIONNELLE

93 % dans les 2 mois après lediplôme

ÉCOLE DE COMMERCE

EDC Paris est une grande école decommerce indépendante, unique depar son appartenance à des chefsd’entreprise, anciens élèves, qui ontvoulu faire de «l’esprit d’entreprendre»le cœur du projet pédagogique.

EDC Paris Business School

Des valeurs fortes et partagéesavec les entreprises quel quesoit le contexte culturel et éco-nomique et quels que soient leschallenges !

‘‘

Page 90: Guide apprentissage 2015

É C O L E D E C O M M E R C E

EM NORMANDIE

COMMUNIQUÉ

La reconnaissance :N°1 des écoles de commerce post-bac encinq ans (Palmarès Challenges 2014).

L’excellence :Accréditée, pour 5 ans, par deux labelsinternationaux d’excellence : AACSBet EPAS (Programme Grande Ecole enformation initiale).

L’attractivité :Record historique d’intégration avec plusde 900 nouveaux apprenants à la rentrée2014 : une croissance de 11% par rapportà l’an passé.

La croissance :Boom de la filière alternance. 320 alter-nants en contrat de professionnalisationet d’apprentissage soit une progression de+20% vs 2013-2014.

Le conseil :Plus de 400missions de conseil en entrepriseréalisées chaque année, à 85% dans des PME.

L’innovation :Développement de La SmartEcole®, unepédagogie multimodale participative uniqueen son genre pour former les managers dedemain.

NOS RÉUSSITES...

…SONT LES VÔTRES,ensemble poursuivons sur la voie du succès !

JEAN-GUY BERNARD,Directeur Général EM Normandie

«Face à un environnement économique enperpétuel mouvement, les attentes des recruteurs évoluent. Au servicedes entreprises et du territoire, l’EM Normandie relève, jour aprèsjour, le défi d’accompagner ces changements. Elle développe pour celades programmes pédagogiques de pointe destinés à former vos futurscollaborateurs.Cette quête du perfectionnement impose d’importants moyens techniques et humains qui nepourraient être mobilisés sans ressources financières externes. La taxe d’apprentissage est,dans ce sens, un levier de croissance considérable. Mais sa réforme impliquera mécanique-ment, en 2015, un déficit très important que vous pouvez nous aider à limiter en fléchant cetimpôt vers l’EM Normandie.Aujourd’hui, encore plus qu’hier, nous avons besoin de votre soutien pour assurer la pérennitéde ce schéma d’excellence et bâtir ensemble un avenir prometteur.»

SOUTENIR L’EM NORMANDIE,TOUT LE MONDE Y GAGNE !

EM Normandie30, rue de Richelieu76 087 Le Havre Cedexwww.em-normandie.fr

Votre interlocuteur : Mathilde BROSSIER,Directrice Adjointe Marketing et Relations EntreprisesTél. 02 31 46 94 [email protected]

2800 étudiants

et professionnels en formation

64 professeurs permanents

576 intervenants professionnels

12000 diplômés

5 campus (Caen, Deauville, Le Havre,

Paris, Oxford)

20 programmes de formation

initiale et continue

200 universités partenaires

dans 50 pays

5000 entreprises associées

95% des diplômés en activité

6 mois après leur sortie

ceviserAu uent. voléurs recrutedes attentes les uvement, motuel éperp

©Jean Richard De Vesvrotte

Page 91: Guide apprentissage 2015

COMMUNIQUÉ

ÉCOLE SUPÉRIEURE DE GESTION ET D’EXPERTISE COMPTABLE

ENGDE

EN NOUS VERSANTLA TAXE D’APPRENTISSAGE,PARTICIPEZ ACTIVEMENTÀ LA FORMATION DE CEUXQUI SERONT LES FORCES VIVESDE VOTRE ENTREPRISE ETDE VOTRE RÉGION.

8-14 passage de la Main d’Or75011 PARISTél. 01 42 74 54 84www.engde.fr

ENGDE est depuis 50 ans au servicede la formation des Experts comp-tables, de leurs collaborateurs, des

cadres supérieurs de la gestion...Spécialistes de la préparation desdiplômes supérieurs, nous formons deBac +2 à Bac +5 sous statut étudiantmais aussi en alternance en contrat deprofessionnalisation. Nous proposonsdes actions de formation professionnellecontinue permettant aux collaborateursde compléter le Master ou de préparerles diplômes en CIF ou en période deprofessionnalisation.

Optimisez nos formations !En choisissant de nous aider, par le ver-sement de la taxe d’apprentissage, vousnous permettez de disposer des moyensfinanciers nécessaires afin de mieuxaccompagner dans leurs formations lesprofessionnels de demain.

Nous concentrons nos efforts sur les troisdiplômes d’État du cursus de l’expertisecomptable :• BTS CGO Bac+2Il permet aux jeunes de débuter en alter-nance des études post Bac en intégrantles services comptables des entreprisesou les cabinets d’expertise comptable...• DCG Bac+3 - LicenceIl prépare aux métiers de collaborateursen cabinet à comptables, contrôleurs degestion en entreprises, Il est proposé enalternance 2 jours école/3 jours entre-prise.• DSCG Bac+5 - Master 2Permet l’accès aux métiers à haute res-ponsabilité des directions financières,contrôleur de gestion, consolideur ainsiqu’en cabinet. C’est le sésame pourl’accès au stage du DEC. Cette forma-tion est aussi dispensée en alternance2 jours/3 jours.

STATUTÉtablissement d’enseignementsupérieur privé

DIPLÔMES D’ÉTATBac+2 à Bac+5

CAMPUSParis XIe

ÉTUDIANTS

400STAGES

400PROFESSIONNELS FORMÉS

+12000EXPERTS COMPTABLES FORMÉS

+2500

Page 92: Guide apprentissage 2015

É C O L E S U P É R I E U R E D E C O M M E R C E

ESCP EUROPE

COMMUNIQUÉ

La filière apprentissage :un laboratoire pédagogiquepour ESCP EuropeConstruire une formation en alternance devraitnormalement conduire à repenser la pédago-gie. Or, le plus souvent l’alternance s’arrête à laporte des salles de cours, une remise en ques-tion est pourtant nécessaire. À ESCP Europe,nous avons atteint ce but grâce à l’implicationdes professeurs dans un dispositif centréautour du trinôme apprenti, professeur-tuteuret maître d’apprentissage. Le suivi des appren-tis par un expert de notre institution (seuls lesprofesseurs permanents peuvent assurer cesuivi) permet des échanges particulièrementfructueux et constitue un réel apport aux deuxinstitutions partenaires.

La filière apprentissage est devenue un labora-toire pédagogique au sein de ESCP Europe,inspiré du modèle de l’alternance conçu parGeay*, décliné dans le cadre de l’enseignementsupérieur au management. Ce laboratoire nouspermet d’expérimenter des dispositifs visant àaccompagner la construction des compétencesprofessionnelles de nos étudiants et à renforcerles liens avec les entreprises qui nous fontconfiance depuis maintenant 12 ans.Grâce à cette implication nous avons développédes cours électifs spécifiques, implémenté desméthodes d’enseignement différentes etconstruit des séminaires d’accompagnementautour des trois dimensions de la formation aumanagement : métier, organisation, personne.

Être partenaire d’ESCP Europe c’est construire des coopérations fructueusesÉcole-Entreprises afin de mieux intégrer la stratégie et les enjeux de chacun pourformer les talents de demain.

ESCP Europe :79 avenue de la République75543 Paris cedex 11Tél : 01 49 23 20 00www.escpeurope.eu

Échanger sur un partenariat : Michèle Dain - [email protected] sur la Taxe : Bénédicte Gosselin - [email protected]époser une offre d’apprentissage : Charlotte Gueury - [email protected]

ÉTUDIANTS

4000de90 nationalitésdifférentes

DIPLÔMÉS

45000 dans + de 100 pays

STAGES

20000 offres de stages

3 600 stages effectués

PROFESSEURS

+de130 permanents

CAMPUS

5 - Paris - Londres - Berlin -Madrid - Turin

EN SOUTENANT LE DÉVELOPPEMENT DE NOTRE ÉCOLE, VOUS FAITESLE CHOIX D’INVESTIR DANS LES TALENTS QUI INTÈGRERONT DEMAINVOTRE ENTREPRISE. NOTRE OBJECTIF EST DONC COMMUN : PRÉPARERENSEMBLE LES GÉNÉRATIONS FUTURES À RELEVER LE DÉFI DESTRANSFORMATIONS DU MONDE ÉCONOMIQUE.

*Hahn, Alexandre-Bailly, Geay et Vignon, Former les managers, quand l’alternance s’invite dans le débat, Vuibert.

Page 93: Guide apprentissage 2015

É C O L E D ’ E X P E R T I S E C O M P T A B L E

APEP SUP - PARIS

COMMUNIQUÉ

APEP SUP est un institut de formationen initiale situé au coeur de Paris.Spécial isé dans les formations

supérieurs diplomantes et fort de plusieursannées d’expérience.

Notre centre de formation accueille chaqueannée un maximum de 400 élèves ce quipermet une réel le proximité entre lesétudiants, le service administratif et lesformateurs.

Pour optimiser les chances de réussite àl’examen, l’école met à la disposition desélèves :• Un corps enseignant fortement impliquédans le respect des programmes.• Une équipe pédagogique de qualitécomposée à la fo is de prat ic iens etd’enseignants qualifiés membres du jury auxexamens pour la plupart d’entre eux.• Des contrôles continus (examens blancs) et

audit régulier sur l’état d’avancement duprogramme avec cours de soutien sinécessaire.• Un équipement informatique à la pointe dela technologie.• Une aide au placement en entreprise dansle cadre du stage de fin d’année (UE13relations professionnelles), notre centre deformation dispose d’un réseau d’entreprisespartenaires composé de PME/PMI mais ausside très grands groupes internationaux, dansdes secteurs d’activité variés.

Chaque élève est suivi individuellementpendant toute sa formation par un conseillerformation.

Comment verser votre taxe :APEP au titre du hors quota catégorie Bn°établissement : 0755775V 7 rue de la véga75012 PARIS. COURRIEL : [email protected]

LA TAXE D’APPRENTISSAGE :

«FAITES DE VOTRE IMPÔT UNINVESTISSEMENT POUR VOTREENTREPRISE» EN VERSANTVOTRE TAXE À L’APEP SUP,VOUS CONTRIBUEZ FORCÉ-MENT AU DÉVELOPPEMENT DEVOTRE ENTREPRISE CAR VOUSCHOISISSEZ UNE ÉCOLE POURVOS FUTURS GESTIONNAIRESET EXPERTS.

7, rue de la Véga 75012 Paris - FranceMétro Michel Bizot ou Porte Dorée - Ligne 8Tél + 33 (0)1 48 05 77 55 - Mail [email protected]

FORMATIONSBac +3 (DCG) à bac+5 (DSCG)

DIPLÔMESNationaux de licence et master

DÉBOUCHÉSL’APEP SUP forme aux métiers del’expertise comptable, de gestion-naire financier/comptable oucréateur d’entreprise dans tous lesdomaines d’activités à l’issue ducursus.

Page 94: Guide apprentissage 2015

É C O L E S U P É R I E U R E D E S M É T I E R S D U S P O R T

ILEPS

COMMUNIQUÉ

École fondée en 1944, l’ILEPS, l’EcoleSupérieure des Métiers du Sport pré-pare et présente ses étudiants aux

diplômes nationaux de Licence et Masters.Ces diplômes sont accessibles en formationinitiale ou continue.

La formation et l’emploi des jeunessont un challenge pour l’avenir du pays.Nous réussirons ensemble en nous inscrivantdans une logique partenariale, la seule qui,aujourd’hui, a fait ses preuves.

Il s’agit de former des professionnels :• Audacieux, réalistes, conscients desexigences du monde du travail,

• Performants et humains, respectueuxd’eux-mêmes et respectueux des autres,

• Prêts à s’engager dans leur métier, dansleur vie et dans la société.

Croiser les valeurs du sport avec le sens del’engagement et nos convictions humanistesest l’un de nos objectifs majeurs. C’est le butdes «Missions de l’ILEPS» :- Une action conduite en équipe…au service des autres… bénévolement…

- Pour apprendre à s’engager,se professionnaliser

- Comprendre que le bénévolat ne repose pasque sur la bonne volonté mais appelle autantde rigueur et de professionnalisme que lapratique d’un métier.

72 missions en 5 ans,277 jeunes engagés.

Quelques exemples :• Organisation de sorties culturelles pourpersonnes handicapées

• Aide aux devoirs pour les jeunes de la citéen difficulté de la cité

• Animations en maisons de retraite• Collectes de matériels scolaires pour unorphelinat au Congo

• Collecte de vêtements et remise en étatpour EMMAÜS

• Maraudes nocturnes SDF avec La Croix deMalte

Acteur du monde économique, votre verse-ment de taxe d’apprentissage contribuera à laformation de vos collaborateurs de demaindans cet état d’esprit.

Pour réussir l’emploi des jeunes, soyons danscet état d’esprit.

PRÉPARER AUX MÉTIERS DU SPORT, FORMER DESHOMMES ET DES FEMMES ENGAGÉS, PERFORMANTS,AUDACIEUX, DANS UNE TRADITION HUMANISTEET PROFESSIONNELLE, TELLE EST L’AMBITIONDE L’ILEPS, STRUCTURE ORIGINALE QUI ALLIELA QUALITÉ D’APPORTS UNIVERSITAIRES AUXCARACTÉRISTIQUES D’UNE ÉCOLE.

ILEPS13 bd de l’Hautil - 95092 CERGY-PONTOISE cedexTél. 01 30 75 60 [email protected] - www.ileps.org

STATUTLoi Association 1901

DIPLÔMES• Licence STAPS

- Spécialité Education et Motricité- Spécialité Management du Sport

• Master Economie-Gestion - Sciencesdu Management et Métiers du Sport

• Master des Métiers del’Enseignement, de l’Educationet de la Formation

CHIFFRES• Licence

82% des étudiants ont obtenula licence en 3 ans.

15% en 4 ans.

• Master Economie-Gestion

70% d’étudiants sont insérésprofessionnellement moins de6 mois après être diplômé.

60% des étudiants ont suivi laformation en apprentissage.

• Master des Métiers de l’EnseignementDepuis la nouvelle réforme

82% ont validé leurmaster.

Page 95: Guide apprentissage 2015

Sources:MédiamétrieNetRatings,XITI

Page 96: Guide apprentissage 2015

INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE

IUT DE NANTES

COMMUNIQUÉ

Ses 7 DUT permettent d’atteindre un premierniveau de compétences dans ces domaines :Energie / Mécanique, productique etlogistique / Matériaux / Informatique,numérique, réseaux et communication /Gestion, commerce et organisation

Dans la continuité de ces domaines,ses 14 Licences Professionnellespermettent d’obtenir une :• double compétence• spécialisation en lien avec le territoireéconomique ou des activités émergentes

Les métiers préparés à l’IUT de NantesSon offre de formation couvre l’ensemble desétapes de fabrication d’un produit ou d’unservice, des métiers industriels aux fonctionssupports :• Métiers de l’industrie : études et conception /méthodes et production / maintenance

• Fonctions transverses : logistique / Gestion desstocks / qualité

• Fonctions supports : informatique / RH / achats,ventes et marketing / gestion et comptabilité

Les publicsL’établissement accompagne les étudiants enformation initiale et aussi les :• demandeurs d’emploi et personnes en reconver-sion souhaitant se former à un nouveau métier

• salariés souhaitant élargir leurs champs decompétences ou compléter leur formation initiale

• professionnels des RH cherchant des solutionsde formation adaptée pour accompagner lesévolutions économiques, sociales et technolo-giques de leurs entreprises

Des formations professionnelles• Alternance ou 2 mois de stage professionnel• Répartition des enseignements :50% Travaux Pratiques – 30% Projets etstages – 20% cours magistraux

• Pédagogie par projet• Modules d’enseignement organisés parcompétences et intervenants issus desentreprises

• Halle dotée d’équipements industriels récentspermettant un apprentissage en condition réelle

• Esprit d’innovation :près de 80 enseignants-chercheurs

800 DIPLÔMÉS PAR AN, À FORTPOTENTIEL TECHNIQUE ET MANAGÉRIALGRÂCE À :• DES EXIGENCES UNIVERSITAIRESALLIÉES À UNE SÉLECTIVITÉ DESFILIÈRES,

• DES APPRENTISSAGES PARL’EXPÉRIENCE, ANCRÉS DANSLA VIE DE L’ENTREPRISE,

• DES FORMATIONS FAVORISANT L’ESPRITD’INNOVATION.

LA FEURIAYE : 2 avenue du Pr Jean Rouxel - BP539 - 44475 Carquefou cedexCENTRE-VILLE : 3 rue du Maréchal Joffre - BP34103 - 44041 Nantes cedex 1Tél. +33(0)2 28 09 20 00 - Fax. +33 (0)2 28 09 21 99 - www.iutnantes.univ-nantes.fr

STATUTUniversité

DIPLÔME

21DUT etLicences Professionnelles,

19 en alternance

ÉTUDIANTS

1900ENSEIGNANTS

130ALTERNANCE

350 alternants et auditeursformation continue

DIPLÔMÉS

20000

Page 97: Guide apprentissage 2015

INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE

IUT SÉNART-FONTAINEBLEAU

COMMUNIQUÉ

Chaque année, l’IUT Sénart-Fontaine-bleau forme 2 500 étudiants. Pour quenos formations restent en totale adé-

quation à la fois avec la réalité économiquetant locale que nationale et vos besoins, il estessentiel que l’IUT renouvelle régulièrementson matériel (informatique, machine infrarouge, oscilloscopes, bancs de travauxd’études...), ce qui nécessite des moyensimportants. Ces investissements lourds nepouvant être entièrement financés par lessubventions de l’État et des collectivités,le versement de votre taxe d’apprentissageest essentiel pour la formation de vos futurscollaborateurs.

Nos étudiants,vos futurs collaborateurs !Nous verser la taxe, c’est participer au finance-ment de la formation de nos étudiants et nouspermettre d’adapter encore davantage nosmoyens pédagogiques à vos besoins réels.

5de nos formations se maintiennent dansle classement SMBG des meilleureslicences, depuis 2010, date de leur inté-

gration, dont notamment 2 d’entre elles seclassant dans le trio de tête.

En outre, ces partenariats nous permettentégalement de mettre à votre disposition deséquipes travaillant sur des projets tutorés,pour répondre à vos besoins ponctuels au tra-vers d’études pluridisciplinaires encadrées parnos enseignants. En choisissant de vous allierà l’IUT Sénart-Fontainebleau, vous financezdonc des équipements de pointe et une péda-gogie innovante et professionnalisante, com-binant approche universitaire et mises ensituations professionnelles, tout en nous per-mettant de développer davantage cette culturede partenariats qui nous lient à vous.

DEPUIS PLUS DE 20 ANS,L’IUT S-F JOUE UN RÔLE MAJEURDANS LA FORMATION DESTECHNICIENS ET CADRESINTERMÉDIAIRES D’ÎLE DEFRANCE, NOTAMMENT EN SEINEET MARNE SUD. ORIENTÉ SUR4 PÔLES DE COMPÉTENCES,C’EST UN DES ÉTABLISSEMENTSFRANÇAIS LES PLUS ACTIFS DEL’APPRENTISSAGE.

IUT SÉNART-FONTAINEBLEAU36, rue Georges Charpak - 77567 Lieusaint CedexTél. : +33 (0)1 64 13 44 77 - Fax : +33 (0)1 64 13 45 05www.iutsf.com

AXES PÉDAGOGIQUESAlternance, FI, VAE, FC

FORMATIONS

6DUT &20 Licences Pro

CAMPUS

2 Sénart - Fontainebleau

ÉTUDIANTS

2500DIPLÔMÉS

20000ENSEIGNANTS

+500 intervenants professionnels& enseignants permanents

PROFESSIONNALISATION

environ900 intervenants

+1000 stagiaires

Page 98: Guide apprentissage 2015

U N I V E R S I T E P A R I S - E S T C R E T E I L V A L D E M A R N E

FACULTÉ DES SCIENCES ET TECHNOLOGIE

COMMUNIQUÉ

Pluridisciplinaire , la faculté dessciences et technologie propose descursus en lien avec les réalités éco-

nomiques de son territoire et ouverts auxéchanges internationaux. Fortement pro-fessionnalisée, elle délivre des diplômes dela licence au master comprenant obligatoi-rement un stage de fin d’études.En proposant une formation par larecherche, appuyée sur l’activité de ses 9laboratoires, la faculté garantit la pertinencescientifique de ses enseignements. Lescours sont assurés par des enseignants etdes enseignants-chercheurs reconnus dansleur domaine au niveau national et interna-tional et par de nombreux professionnelsissus du monde de l’entreprise. Cet ensei-gnement de qualité laisse une large place àl’expérimentation scientifique grâce à desplateaux techniques possédant un équipe-ment professionnel. De fait, dès la licence,les TP (travaux pratiques) complètent les

cours magistraux. Ouverte sur l’extérieur, lafaculté des sciences et technologie a pourambition de promouvoir la culture scienti-fique et technique, de transmettre auxjeunes le goût de la découverte, de la tech-nologie et de l’innovation, de leur ouvrir lespossibles et les intéresser aux métiersd’avenir.En devenant notre partenaire, vous nouspermettez de maintenir notre qualité péda-gogique, poursuivre notre investissementdans la professionnalisation des formationset affirmer notre engagement à répondreaux besoins de la société. Nous vous propo-sons également de participer à notre ForumEntreprises, de collaborer aux conseils deperfectionnement des formations, d’agir ànos côtés sur la connaissance des métierset l’insertion professionnelle par le biais devisites d’entreprises et de laboratoires, deconférences et interviews métiers, de coa-ching et de projets tutorés.

INFORMATIQUE, SCIENCES DEL’INGÉNIEUR, RÉSEAUX, CHIMIE,BIOTECHNOLOGIES, HYGIÈNESÉCURITÉ ENVIRONNEMENT :DES FORMATIONSPROFESSIONNALISANTES ENSCIENCES ET TECHNOLOGIERÉPONDANT AUX BESOINS DESENTREPRISES ET AXÉES SURL’INNOVATIONTECHNOLOGIQUE.

UPEC - Faculté des sciences et technologie61, avenue du Général de Gaulle 94010 Créteil cedex - FranceTél + 33 (0)1 45 17 13 36 - [email protected]://sciences-tech.u-pec.fr/

≥ ÉTUDIANTS

3000 en formation initiale,continue et en apprentissage

≥ STAGES

500≥ ENSEIGNANTS ETENSEIGNANTS-CHERCHEURS

250≥ AUTRES INTERVENANTS

100 (de plus de 60 entreprises)

≥ UNIVERSITÉS PARTENAIRES

52 dans le monde

≥ LABORATOIRES DERECHERCHE

9

©UP

EC/N

icolas

Darphin

Page 99: Guide apprentissage 2015

lllllllll CFA DUCRETET Ile-De-FranceCLICHY

llllll CFA DUCRETET Rhône-AlpesLYON

lll CFA DUCRETET AquitaineBORDEAUX

llll Faculté des Métiers - CMARENNES

lll ACTIF CNT - CFA ADEFAVALENCIENNES

l Installateur de Réseaux Câblés de Communicationl Technicien de Réseaux Câblés de Communicationl Technicien Services en Multimédial Technicien Services en Audiovisuel et Électrodomestiquel Conseiller Services en Électrodomestique et Multimédial Vendeur de l’Électrodomestique et du Multimédial BTS MUC Management Unités Commercialesl BTS NRC Négociation Relations Clientsl Licence Professionnelle Management de projet tertiaire

Un réseau national de CFA spécialisés proche des entreprises

www.ducretet.net

Réseaux THD, Smart Home, Objets Connectés,…Investissez dans l’avenir en versant votre taxe d’apprentissage

aux CFA du Réseau DUCRETETPartenaires de la performance des entreprises depuis 22 ans, les CFA du Réseau DUCRETET développent une pépinièrenationale de jeunes professionnels, directement employables et évolutifs. Ainsi, ce sont plus de 6500 apprentis spécialisésqui ont été formés avec succès aux métiers des Réseaux THD et de la Maison Communicante : monteurs-raccordeurs, techni-ciens, conseillers services, vendeurs B to C et commerciaux B to B.

Le Réseau DUCRETET au cœur de la"Convergence Numérique"Le Réseau DUCRETET propose des solutions dedéveloppement de compétences pour releverles nouveaux défis du Très Haut Débit, duSmart Home et des objets connectés.

Ethique et Qualité, les valeurs historiques duRéseau DUCRETETLes professionnels et les équipes du RéseauDUCRETET, association à but non lucratif,partagent tous les mêmes valeurs pour servirles intérêts des jeunes et des entreprises. UneCharte Qualité unit tous les partenaires quivisent l’excellence de la formation et de sesrésultats avec 90% d’insertion professionnelle.

Performance et efficacitéPour répondre aux besoins des entreprises, le Réseau DUCRETET est doté de moyens adaptés :humains, matériels et immatériels. Sa performance et son efficacité avérés reposent sur de fortesexigences en termes de compétences et d’expertise reconnue.

Une offre de formationde BAC+1 à BAC+3

CFA DUCRETET 84 rue Villeneuve - 92110 CLICHYContact : Denise GOMBERCourriel : [email protected] • Tél : 01 47 30 74 55

Salle de cours "Maison Communicante"Salle de cours "Maison Communicante"

INFORMATIONS ET FORMULAIRE EN LIGNEFORMULAIRE

Valenciennes

RennesClichy

BordeauxLyon

Page 100: Guide apprentissage 2015

Direction du développement et dumécénat : 01 58 51 10 01

[email protected]

Cité de l’architecture & du patrimoinePalais de Chaillot - 1 place du Trocadéro

75116 Paris - M° Trocadéro

ET CONTRIBUEZ À LA FORMATIONDES ARCHITECTES DU PATRIMOINE

TAXE D’APPRENTISSAGE / INFORMATIONS

L’École de Chaillot, Départementformation de la Cité de l’architec-ture, propose aux architectesdiplômés de se spécialiser dansla conservation et la restaurationdu patrimoine bâti.