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POUR L’ENVIRONNEMENT GÉOBIOLOGIE

Pour mieux comprendre le sujet :

Bousset disait que la pire aberration de l’esprit humain est de voir les choses comme on souhaite

qu’elles soient et non comme elles se présentent.

Nous sommes en face d’une civilisation en crise et nous commençons seulement à réaliser que la

science crée le plus souvent un monde inadapté à la vie. Médecins et architectes sont partie de cette

science et ils ont leur part de responsabilité dans le déséquilibre actuel. Il faut toujours garder

présent à l’esprit que l’homme est un TOUT. Sa santé physique, morale et sociale dépend d’un

ensemble de facteurs qu’il est désormais nécessaire d’étudier, non plus avec les œillères d’un

dogmatisme périmé, mais à la lumière des découvertes que font les chercheurs publics et privés en

tous domaines. La vie est énergie et subit les lois éternelles de transformation, d’adaptation, de

transmutation qui ne sauraient être confinées dans l’orthodoxie des textes officiels.

Hippocrate, le père de la médecine, disait que pour bien rédiger un traitement, il fallait être instruit

de la nature de l’homme dans sa totalité. Il faut savoir proportionner la quantité d’aliments à la

force du travail exécuté et aussi à la nature de l’individu, aux différents âges, aux différentes saisons

de l’année, aux changements de temps, à la situation géographique du pays où l’on vit et à la

constitution du sol. Il faut aussi savoir lire les variations de l’air et celles de tout l’univers. Si

depuis des années on s’intéresse, de plus en plus à l’environnement, on dénonce les pollutions de

l’eau, de l’air, des aliments, la nocivité des produits chimiques et, si l’on définit mieux l’influence

des climats, des variations de température, on passe encore sous silence cette pollution sournoise

qu’est la pollution électro -magnétique….

Or nous vivons dans un immense champ électromagnétique qui résulte d’échanges permanents

entre la terre et le cosmos. L’homme, l’animal et la plante c'est-à-dire tout être vivant, est une

« machine » électromagnétique, un récepteur, un condensateur, un transformateur et un émetteur

sensible aux harmonies du cosmos. Si nous prenons conscience de notre état d’homme ainsi défini,

nous pouvons juger de l’importance de notre comportement vis-à-vis des êtres et des choses qui

nous entourent, c'est-à-dire notre milieu ambiant.

Je dois avouer qu’il m’a fallu une dizaine d’années de pratique médicale pour prendre vraiment

conscience de l’intérêt majeur de l’étude du milieu ambiant dans lequel vivaient mes patients. Fidèle

disciple de Claude Bernard, l’observation était pour moi la base essentielle de toute étude médicale

valable. Je me suis aperçu que la maladie de mes patients était, la plupart du temps, en rapport

direct avec leur milieu ambiant et plus particulièrement en rapport avec leur lieu de travail,

d’habitation ou de repos. Des études statistiques me démontraient qu’il existait des zones

géographiques où la proportion des maladies graves était surprenante. Ce fut le point de départ de

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Dans la figure sont représentés schématiquement les types de radiation qui sont responsables des modifications et des rapports entre nous et l’environnement. Les radiations doivent donc avoir la capacité de transporter d’un point à l’autre : matière, énergie et information. C’est l’information qui « module » et « modèle » l’énergie et la matière. A – Radiations ionisantes (matière et mouvement) Ces radiations ont une composante corpusculaire qui, dans le dessin est représentée par des points noirs. Ces radiations sont d’ailleurs représentables même en forme ondulatoire. C’est la signification de la queue serpentine qui accompagne les corpuscules. La partie corpusculaire d’une radiation ionisante peut être un électron (rayon beta) ou un proton (rayon alfa). Ces radiations sont dites « ionisantes » parce que si, sur leur chemin, elles rencontrent d’autres atomes, leur partie matérielle se comporte comme une boule de bowling avec les quilles. L’atome, à l’origine neutre, vient se transformer en un ion (fragment) positif ou négatif selon la quille (particule) qu’il va toucher et éloigner. Les radiations ionisantes sont habituellement provoquées naturellement par la radioactivité . La radioactivité peut être imaginée comme une sorte d’évaporation de la matière solide, une désintégration d’une partie de ses atomes qui, une fois explosés, sortent du « corps » et se propagent dans l’espace. B – Radiations électromagnétiques (énergie en mouvement) Ce type de radiation n’a pas de composante corpusculaire et se propage à la vitesse de la lumière. La grandeur qui identifie d’une manière univoque une radiation électromagnétique est sa fréquence. Schématiquement dans le dessin (b) nous avons représenté les différentes fréquences par des formes géométriques différentes. L’idée de représenter une fréquence par des formes n’est pas tellement bizarre. On pense qu’à l’intérieur d’une onde, en changeant la fréquence, on change même la configuration du champ associé à la fréquence. Les

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Dans le désert à la pêche aux éléphants…. La matière et l’énergie « cachent » l’information. L’information n’est donc pas un troisième élément visible et mesurable, mais représente la modalité des rapports entre matière et énergie. Les fumées des Indiens d’Amérique sont un premier exemple de transformation de matière et énergie en information. Mais pour les comprendre on a besoin de savoir que ce qui se voit à l’horizon n’est pas seulement des nuages, mais contient des informations. Reconnaître l’information à l’intérieur de la matière n’est pas chose facile : cela demande de l’intelligence. Supposons avoir à mesurer un livre : si je vous en indique le poids, la quantité d’encre

utilisée, le nombre de pages et le nombre de lettres qu’il contient … vous ai-je donné

d’informations utiles pour la compréhension de ce livre ? Avec ces quelques informations,

vous n’arriverez pas à distinguer un annuaire téléphonique d’une Bible ! Les radiations,

étant elles -mêmes porteuses d’énergie, elles véhiculent des informations exactement

comme les fumées des Indiens.

Les appareils scientifiques d’aujourd’hui ne réussissent pas à extraire toutes les

informations de la matière, parce que la matière se souvient et porte en elle-même les

souvenirs : même l’eau à une mémoire.

Avec les instruments technologiques scientifiques d’aujourd’hui nous pouvons constater

dans les fumées des Indiens seulement la fumée, mais pas le « message »….. Ainsi nous

risquons d’être tués par l’ennemi à cause de l’incompréhension du message !!! Donc mal

interpréter le message, les informations, est une très mauvaise affaire.

Nos cellules ont bien compris comment lire le message caché dans les radiations : les

cellules peuvent percevoir musique et bruit. Avec la musique elles travaillent bien, avec le

bruit non … elles s’énervent.

Conclusion : faisons-les bien vivre nos cellules, faisons les vivre dans une ambiance

électromagnétique harmonieuse.

Radiations cosmo-telluriques

Il existe un échange permanent de radiations entre le ciel et la Terre. Ne pas oublier que

l’homme vit en permanence dans cet échange.

Voilà une illustration schématique des radiations cosmiques et telluriques.

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Comme vous pouvez le remarquer, les radiations telluriques sont essentiellement de deux types :

1- Radiations engendrées dans le sous-sol 2- Radiations engendrées par la réfraction des rayons cosmiques

La présence de failles d’eaux, gisements minéraux ou radioactifs engendrent des ondes portantes du type électromagnétique ou ionisant. La réfraction des rayons cosmiques causée par la présence de stratifications imperméables (par exemple argile) engendre des radiations de « rebondissement » habituellement nocives. Dans la figure, les radiations ionisantes ont été mises en évidence par des points noirs sous forme géométrique, pendant que les différentes fréquences ont été représentées par des formes géométriques diverses. Selon la structure biochimique du terrain (présence de bactéries ou autres microorganismes parasitaires, agents chimiques polluants, herbicides, fosses septiques, etc…), les radiations portantes transportent en elles-mêmes les informations « ramassées » dans leur voyage à travers le terrain. Ces informations véhiculées par des radiations électromagnétiques ou ionisantes frappent le corps humain engendrant d’abord des « sensations » de malaise et, après un temps plus ou moins long, de vrais malaises physiques. Plus les radiations sont physiquement intenses, plus les informations sont nocives et déstabilisantes, plus l’organisme dépérira rapidement.

Témoignage du Docteur Aveline (Le célèbre médecin microbiologiste qui devint actif collaborateur de Turenne dans l’études des ondes infectieuses qui montent du sous-sol. Il raconte ici le motif qui lui fit rencontrer la première fois l’ Ing. Louis Turenne. Extrait de sa conférence du 30 Avril 1935 à Paris.)

En octobre 1930 je prenais, rue Blanche, au deuxième étage d’un immeuble, un appartement de quatre pièces toutes sur la rue ou sur la place, appartement bien éclairé, bien disposé, uniquement professionnel, où je ne couche ni ne prends mes repas. Une infirmière vient du matin au soir, une femme de chambre y habite constamment, avec une jeune chienne.

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Je succédais à trois médecins, morts sur place en une quinzaine d’années : le premier et sa femme, avec des troubles mentaux semblables (ce qui n’est pas courant) ; le second d’épuisement, sans cause bien déterminée ; le troisième de fausse angine de poitrine. Ces différentes maladies m’apparurent sans lien commun dans l’état actuel de nos connaissances et mon esprit n’en fut pas alerté. Or, très rapidement, je constatais un affaiblissement progressif et considérable de mes forces physiques ; j’en arrivais à ne plus pouvoir faire cent mètres à pied ; trente Kilomètres en voiture me semblaient un course long ; par moment j’ai dû cesser de conduire ma voiture. Diminution de mon rendement intellectuel, travail pénible, sommeil agité, tout effort impossible, bref, un épuisement tel que je me sentais à la merci de la plus légère indisposition. Modification du caractère (irritabilité excessive et sans motif),vertiges, enfin palpitations et sensations d’angoisse cardiaque telle que je devais porter la main à la poitrine … tous ces phénomènes exagérés par temps clair et soleil lumineux… J’éliminais toutes les causes possibles en commençant par les plus courantes : je m’organisais avec plus de repos, un régime aussi éclectique que possible, je fis mille kilomètres sur l’Atlantique…. Evidemment j’ai eu une amélioration, mais huit jours après la situation était redevenue la même. La cause m’échappait, je pensais être aux prises avec un ennemi vivant. Je recherchais les parasites intestinaux classiques , sans succès, les parasites microscopiques type amibes, sans plus de résultats. Par contre le PH sanguin pour le moindre motif se déviait en alcalose. Je constatais donc chez moi des signes qui, à un degré plus accusé, avaient emporté mes prédécesseurs… Entre temps, j’avais appris que plusieurs locataires de l’immeuble souffraient d’affections diverses, mais conservant entre elles des traits communs : congestion du foie et des voies biliaires chez l’un, chez l’autre pyélonéphrite et cystite avec sang et pus dans les urines, mais toujours aucun micro-organisme à l’examen, à la culture ou à l’inoculation. La nouvelle concierge maigrissait de 5Kg en deux mois et disait se sentir devenir folle… Ma jeune chienne avait des troubles vertigineux, dépérissait, perdait son poil…. Je vis deux membres de l’Académie de médecine parmi les plus réputés pour le tube digestif : tous mes organes leur apparurent normaux ; le laboratoire était muet ; pour un peu j’eusse passé pour un malade imaginaire et d’excellents amis médecins l’ont pensé. Rien donc parmi les affections classées et dans les notions connues, n’expliquait les troubles que je constatais sur moi ou sur d’autres. Mais il n’est tout de même pas de pareils effets sans cause, surtout lorsqu’ils sont aussi graves et multiples. C’est ainsi que j’en arrivais, par le raisonnement, à déduire qu’il devait exister une cause physique à l’origine de tous ces maux : les radiations. Grâce à des amis j’ai connus Monsieur Lesourd pharmacien radiesthésiste, il voulu bien venir chez moi. Des radiations nocives existaient en effet, il me guida de ses conseils, différents dispositifs de protection furent essayés qui s’avérèrent successivement insuffisants. La locataire du cinquième étage, même appartement , mourait avec des signes de fausse angine de poitrine…. Comme j’en avais. Je crus que le mieux était de recourir , sans plus tarder, à M. l’Abbé Mermet. Vous tous connaissez sa réputation, ses dons très remarquables. Sa réponse arriva non sans attente. La voici :

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« Monsieur le docteur de l’examen que j’ai fait des pièces envoyées (plan, photo et gant) il résulte, sans aucun doute possible, que la presque totalité de votre appartement est exposée à des fortes radiations nocives. Répondant à vos questions, je vous dirai que je ne crois pas qu’il soit possible de protéger efficacement et complètement votre appartement contre ces radiations, la zone exposée à ces dernières étant trop considérable. A’ la longue elles produiront chez vous un épuisement tel que votre organisme ne pourra résister à aucune maladie. Veuillez agréer Monsieur mes salutations respectueuses. » Aucune des explications que j’attendais et pas un mot de son appareil pour les neutraliser ni d’aucun autre. Très déçu, je fis part de cette lettre à Madame Loyonnet, la femme de Paul Loyonnet le pianiste célèbre. Radiesthésiste distinguée, elle voulut bien, avec moi, étudier le plan de l’arrondissement et reconnut, venant du cimetière de Batignolles, passant sous le cimetière Montmartre, où il se polluait effroyablement et continuant sous mon immeuble, un cours d’eau souterrain. Monsieur Bovis de Nice partageait cet avis. C’est alors que Madame Loyonnet me conseilla de voir Monsieur Turenne. Je lui rendis visite, sans grande conviction – je l’avoue - davantage par esprit de méthode, pour épuiser la question, que dans l’attente d’un secours bien efficace. La question étudiée, au lieu du flou, du vague et de l’imprécis dans lequel je nageais jusque-là, je connus une opinion nette et ferme : un courant d’eau polluée venait bien de la direction indiquée. Dans le faisceau de ses ondes, on retrouvait celle de huit microbes (streptocoques, staphylocoques, colibacilles, bacilles de Koch, etc), bref, les plus antipathiques. Ces ondes étaient la cause de tout le mal ! M. Turenne pouvait établir un dispositif de protection, breveté depuis des années )il en garantissait l’efficacité) : les ondes déviées le long du mur, l’appartement serait isolé comme dans une cage de Faraday et cesserait d’être dangereux…. Mais presque toujours le sous-sol envoie en surface aussi des ondes dangereuses d'autre nature. Ces ondes, dans leur poursuite vers le ciel, traversent les habitations et aussi les personnes qui séjournent sur l'endroit.

Les radiations telluriques provenant des dépôts radioactif (a), des failles d’eaux (b) des couches superposées de minéraux de différentes polarités (c) engendrent des ondes

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portantes ionisantes ou électromagnétiques. Durant le passage des couches du sous-sol ces radiations sont modulées par la présence d’agents bactériologiques ou chimiques polluants. Le « message » est transporté à l’intérieur de l’habitation et là il commencera à agir sur les êtres. Outre les ondes telluriques, dans une maison, il faut prendre en considération les ondes de forme engendrées par les tirants des antennes de télévision sur les toits, particulièrement dangereuses parce que émettrices de l’onde du vert négatif.

Le dessin représente la perspective d’une maison polluée par différents types de radiations : une partie est d’origine tellurique et provient de conditions morphologiques particulières du sous-sol, une autre est d’origine magnétique comme, par exemple, prises fils et câbles électriques, fours, lignes téléphoniques, etc….. D’autres nocivités sont constituées par des radiations ionisantes (télé, ordinateur, décodeur, etc) ou par des matériaux constituant la construction. D’autres encore sont des ondes de forme engendrées par des tableaux, meubles, objets, masques, statues, etc…. et de la forme même de la maison et de son orientation.

Bien autre chose que le crachat d’une pauvre femme … Dans le but de sensibiliser le lecteur à une problématique concernant les techniques de recherche propres à la Méthode Turenne, et surtout leur utilité, nous reportons ici une anecdote de la vie de l’ingénieur Turenne, racontée par lui-même lors d’une de ses conférences : Un jour, j’ai rencontré un cas dans une ferme. Le fermier m’a dit : « Ma ferme est contaminée, toutes mes vaches sont malades ! Et cela depuis le jour où j’ai refusé de donner du lait à une gitane de passage. De colère, elle a craché à mes pieds, et depuis lors, toutes mes vaches sont tombées malades ! » Je lui ai répondu : « Bon, allons voir ». J’ai pris toutes les mesures, j’ai tout vérifié, et j’ai constaté que dans tout le sous-sol de l’étable, il y avait de l’eau contaminée. Clairement, quelqu’un l’avait

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polluée en amont, ou peut-être étaient-ce les animaux eux-mêmes, ou alors la décomposition d’animaux morts dans le filon d’eau souterraine. Ces substances émettent des ondes nocives. Je vous rappelle, à vous comme à tous, que les ondes se propagent du bas vers le haut, donc les ondes provenant du sous-sol vont vers le ciel en traversant tout ce qu’elles rencontrent. Sur le sol, dans l’air de l’étable et sur les vaches, j’ai relevé des ondes de tuberculose. Ces ondes-là aussi se propagent verticalement, et les animaux affaiblis ont fait induction tout simplement avec ce type d’onde, et sont tombés malades ! Alors qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai placé quatre Catalyseurs de protection aux quatre coins de l’étable, pour créer une cage d’ondes, une véritable cage de Faraday d’ondes neutralisantes pour annuler celles de la tuberculose, qui étaient partout. J’ai ensuite contrôlé que ces ondes nocives avaient toutes disparu grâce à l’action de mes appareils de protection, et c’était le cas. En peu de temps, les vaches ont récupéré. Ils en ont sauvé 40 sur 42. La quarante-et-unième souffrait d’une mastite, ils n’ont pas voulu prendre de risques et l’ont envoyée à l’abattoir. Quant à la quarante-deuxième - incroyable ! – elle avait dans le ventre un petit momifié. Ils l’ont extrait puis ont vendu la vache. Ils en ont donc sauvé 40 ! On était bien loin du crachat de cette pauvre femme ! Bonification et protection de l’environnement Il est fondamental d’éliminer toute source de dérangements électromagnétiques à l’intérieur des habitations, ainsi que dans tout lieu où l’on séjourne. Dans les maisons modernes, au-delà de la possibilité d’ondes nocives de nature tellurique, ou provenant d’eaux souterraines, il existe sans nul doute une saturation d’ondes électriques (très dangereuses) parce qu’il y a des fils dans tous les murs, des téléviseurs, des ordinateurs, des antennes sur les toits, etc. Il faut protéger toutes ces sources à l’aide d’émetteurs d’ondes neutralisantes d’une nature particulière à très basse énergie (les Momos Catalysts Turenne Protecteurs de l’environnement). Les radiations et les informations, de nature calculée, générées par ces Catalyseurs, viennent s’ajouter à celles présentes dans l’environnement, et en changent la fréquence pour l’amener à des valeurs de résonnance harmonique en syntonie avec le plasma cellulaire sain.

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Les Catalyseurs neutralisateurs Turenne neutralisent le “bruit de fond”, modifient ou effacent l’information transportée par les ondes portantes (dans le dessin ont disparu les points noirs à l'intérieur des petits triangles et carrés), sans obligatoirement intervenir sur l’onde portante, laquelle, si elle est de faible intensité et à la fréquence harmonique n’est plus nocive.

La maison a été protégée et maintenant elle est saine !