Gandhi est l'hôte respecté de l'An- SOCIALISTE...

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Lee négMlations de MM. Laval et /Briand aveo MM. Bruning et Curling sont terminées. Ce matin, les minis- kes franêais quittent Berlin par le train de 8 heures. Quels sont les résultats pratiques I' cette visite historique f II est dit- licite de le dire. Le communiqué ri- cal est assez laconique. Il ne fait d'ailleurs que confirmer les informa_ it°. que nous avons publiées hier. Ln création d'une commission fran- M-allemande est décidée. Celle-oi aura pour tâche « l'examen de tous las problèmes économiques Inter.- ant les de. nations, sans perdre de xne des intérêts des tiers et la na- essité de la collaboration interna- tionale On conviendra que foot cela cet assez vague. Les négociateurs ont 'peut-être pouesê leurs pourparlers plus loin mes vouloir le préciser dans le document officiel. C'est pos. ible. Mais pour le moment, ils ont pintât manifesté leurs bonnes Mten- tjons que répondu aux questions an- goissantes que se posent les Peuples. Il, ont admis le principe de la coo- pération économique. Ils ont promis de rechereher les moyens de réaliser ce principe. Néanmoins, il faut ealiérer qu'ifs Ont d'ores et déjà tracé h la future commission un programme de ba- a., qu'ils ont donné une inch.- MOS permettant à la nouvelle inatt- ention d'aboutir rapidement li quel- ques conclusions pratiques, suscep- tibles de retnédier à la situatiOn tique de..l'heure. Si les quatre mi- nistres ne l'ont pas fait, si la d..- .fission. qui se réunira on ne sait SIS ANNE1E, N. 11.235 ABONNEMENTS I il mole. 22 Ira 0 male. as Il.. II ta La visite des ministres français à Berlin est terminée LE COMMUNIQUE FINAL, TRE>S VAGUE, ANNONCE LA CREATION D'UNE COMMISSION FRANCO-ALLEMANDE CHARGEE D'ETUDIER LES RAPPORTS ECONOMIQUES DES DEUX PAYS LE VOYAGE DES MINISTRES FRANÇAIS A BERLIN MM: LAVAL et BRIAND eu halé. de l'Hétel Adlon. Photo Wide-Vorld. lattil quand, se met seulement à étu- dier les anales problèmes qu'il y a lisu de résoudre, la visite à Berlin des représentants n'aura eu qu'un effet psychologique mais éphémère. . Car les événement, n'attendent bas. Le fenian est passé où les Pa- Colas de paix et de concorde pou- Raient être un Pisteur de la récon- teilietion des peuples. Le monde est Iliep bouleverué maintenant par une arise terrible pour Mes nallué par des phrams. Il lui faut des antre. al lui faut des remèdes. Il demande liel solutions. O. ROSENFELD. SOCIALISTE ------ Rédaction et Adustolstrutlan 1 38, Rue %t'adobe, Toulouse Tél. 0-43 C. C. PosSaux s 5.277 BURFAUX A PARIS e 5, Rue St-Aussuatto (29 Téléphones s Gutemberss 70.58 61.21, Louvre 47218 misleaelsema! Les ministres français regOillent les journalistes dans leur appartemens LE COMMUNIQUE FINAL tant la me., de plus de trente pays Berlin, Pt septembre. Les miette. il;:isrsIeVeagoer e'letres%';rtt:71'''al Motion de la résidu/Ion suivante Le président an Conseil et le minis- tre des affaires étrange. de France sont venus rendre Berlin ta visite e.0 re,l..".treo pères d'Allemagne. En même temps, us ont voulu donner une conclusion plan. Les représentants des deus poujerne, q7u'edreurelsuPt"esc:e'sitreit erj réeli; entre trei pays dru relations suivies ce poil!leur a paru que la crise qui sérit aujourd'hui u frarerg te monde leur fitO sait un isndsérieux devoir d'associer avant tom leurs efforts drues ce dom.' éconmngue en vue d'arriver d des solutions propres d atténuer le malaise universel. Ils ont reconnu m'il malt nécessaire de constituer un oryenione special et de donner d cet organisme une Méthode de travail assee s'are pour aboutir d dee réent., none.. A cet effet, ils sont convenus de créer une francouneinende com- joints des représentants des diverses Lions intéressées, auxquels seront ad- joints dee représentants des diversrs branches de l'activité économique, ainsi que des représentants du trayait. Les travaux de la commission seront dirigés par des membres des deux gon. cernent.. La commission sera assistée par un semétarise pendrai permanent ; et. sié- gera, suivant les besoins, dam un pays ou dan, l'autre. Elle commencera ses Pevano dand te p/us bref délai. La commission aura pour tâche de procéder u reramen de tous les rode. mesMommiques intéressant les deux nations, sans perdre de me les intéréts des tiers et la nécessité de le collabora- ton n ena te d e. Elle étudiera notamment les moyens de fortifier et de délie/imperd'autres, les criera', 011 e tes existantes d'en créer et, a lieu, sur des types différents. Elle examinera l'état actuel des MM. yes COMMgretaux entre les deus paya avec le désir de refiler de l'exPérimee mou se dsnnlr 0 enlre en vigueur du Malté de commerce de 1927. Elle mettra d l'étude la recherche en commun de nouveaux débouches. n a été entendu que cette énuméra fion ne serait pas limitative Les représentants des deux donner. «mente ont tem d bien marquer que Mur MilMtive n'était dirigée contre reemende ealtenn autre pays. Ils dl' Marent m'ils repoussent toute idée de trouver ta mildiou des problèmes po. rie devant la en/nrniSMOn dam une augmentation concertée des droits de douane. En se inaMtenant sur le plan de re 1021 générai pour bitter contre la crise économique, t, feront appel d la colla boration des autres nations aussi som vent inc rosies considéré le comporte en. C'est ainsi, .r exemple, que pour. rant foin étUdiérd den formules d'or corda mtornaiionmis en mattere de na. vigation et d'aviation m'immolai.. Les repréSentants des gouverneniente allemand et français guiper., «mir ainsi jete tes bases d'une env. cone tractive ouverte d tous, première êtape d'une uvre d'ensemble et répondant eux néCerrité, de PMU, La lecture da communiqaé Perim, 28 septembre Idem, Ramis). chur mnis icurcalistes irepresen- accompancé de M. F. Poneet, Ministre dxF,anssecmecr5. mon,. mir le tombée« de M. Stresse... Photo Wide,Vorld, grand, salons de Menet Adlon, lore que MM. Lava/ et Briand y tirent leur entre, à 19 heur., pour rendre public communiqué qui fixe les résultats de la conférence de Berlin. Le président du Conseil et M. Aria- itets2.,.rima.teurent t'omet truite ovation M. Francots-Poncet donna lecture du communique qui provoqua encore de nombreux applaudissements. Aucun commentaire ne fut Monté à I Br%ir'éttnar'entd:a= et'elue ' 'v nena'ilneus. tee pour poser l'an à cote qde'lautre raflant les lr.el'..r....21.d.l.fe..;.,.g.:: M. Laval prononça c. mroles Ou travaillant t l'accord entre no. deux Pa.. noue avons travailla pour la Omis. a tes de. hommes d'intat turent alors l'objet d'une nouvelle ovation. AU Laval et Briand ont quitté Berlin PROMENADE MATINALE Berlin, 29 septembre. Dee 7 heu- res, ce matin, M. Pierre Laval lit une promenade. Le temps était beau, mais frais. Le président 1.11 quelques pas avec son ami, M. Albert Buisson, sur l'avenue Unter-der-Unden. Ce fut le cléaarroi Pour les schupos qui arri- vaient pour le service d'ordre et ne savaient pas s'ils devaient couper la circulation, se mettre seulement au e garde à vouu e ou ne pas rmonnm- t Inc le président. 1 A ce moment, arriva un cinéaste 1 français, qui put' tourner la terne Poar montrer aux foules M. Pierre Laval en promenade dans Berlin, sans gardes, ni chef de mbinet, ni parde.us. VERS LA GARE Ce fut, pen après, le départ vers la gare. On retrouva à la Friedrich- str.se le chancelier Brüning et le ministre L'urdus, M. von Schou el toutes les personnalités déjà notees dimanche matin. Dans le'mlon d. Princes, il y eut une dernière conversation à quatre autour d'une petite table isolée. Enfin, à 7 h. Il, te chef de gare vint dire qu'il fallait monter sur le quai. Ce furent, alors des adieux mandes mais qui parurent cordtaux. Le chan- celier, puis le ministre des affames étrangères, serrèrent les mains de MM. Laval el Briand. Cela dura j.qu'int moment où le train s'ébranla. Alors, M. Brüning dit à l'ambassadeur de France à Ber- lin 1 e Merci, ce fut partait ainsi. Nom allons continuer ce trayait. e M. François Ponce( s'incana. Avant de prendre place dans le ra- pide, M. Laval déclare aux journalis- tes a Dites que je suis très satisfait de l'accueil qui nous fut fait, 855. Briand et t moi, qui représentions la France, tant par la population que O. te gouvernement du Reich. La commis- sion que nous avons créée dimanche et hier facilitera, je l'espère de tout cur, le rapprochement désirabie entre les deux peuples. s Le ministre des affaires étrange, ers, pour sa part, Confirma nette bonne impression. a Quelque chose a Peut être changé e, dit doucement M. Briand 55. Laval grimpa dans son compar- timent et les deux ministres vinreni In fenêtre. les photographes et les cinéastes guettaient cet instant mais, Inexorable comme le temps. /e con- voi se mit en route lourdement, sous te soleil d'automne, vers les plaines prussiennes. M. BRUNING DECLARE De son cédé, M. Brüning a déclaré a Le docteur Curtius et moi avons trouvé chez les ministres français une bonne volonté et un esprit de conciliation qui nous ont profondé- ment touchés. Il faut souhaiter que cette conversation rapide soit le Pré- lude, d'autres entretiens plus Imper- M. Herriot reprendrait la présidence du parti radical Au coure des tètes end ont marqué. ti Lyon, le viaechtoulême .nivenseire du mandat municipal de M. Edouard Herriot. Il eemble que /es chefs du Parti radicateociatiste se soient mie d'accord Pour offrir à l'ancien pelai. dent du Conseil la dirmtion effective du parti. Le congréa radical-socialiste doit Annie à Paris dans I. premiem joues de novembre. M. Daladier, réélu k la présidence Si Paoi tut congrès Reime malts, arr ive e t'expiration da son maadat Pour re0001a...m.1On Ilavait Md question de M. Chautemps_ Male di. manche, au banquet de Lyon. aux alu plaudiesements de raseistance, le alma. té de Ploie a demandé à M. Herriot de reprendre « la direction totale et et. fautive du parti radical à ia veille dem élections régidatives de 1932 ». Il semble donc que M. Herriot sera seul cmdidat â la présidence efe ton parti tants susceptibinx de créer une ère nouvelle daas les rapporLs franco- ademands, c'est la hase de la Paix eurupéenne. « Je considère quo crs deux jour- nées auront pl. titis pour la cauer du rapprochement que des mois de négociations entre chancelleries. t Je résume d'ailleurs toute mon impr.sion dans ces deux mots t J'ai confiance en l'avenir. LE COMTE FRANCO-ALLEMAND C'est après son retour de Berlin Une si petite chose, mon cher Cons- que M. Pierre Laval procédera 1 la tem fouie une longue vie consacrée au ilerteioler errouetonaior prolétariat et au socialisme En soi, que franco-allemand dont la tonna- en effet, ce n'est peut-être pas exmaordi.. tien s été décidée hier, à Berlin, mire, c'est n'avoir fait que son dervir Un travail préparatoire a déjà été eprg, mais tant d'autres ne le font effectué à ce sujet par les soins du p.. do p.à tplètpt, sous-secrétariat d'Etat à l'économie Une liste a été remise au président 'tien. "de fidélité et mee e'bn6P- nationale. du conseil, qui s'est contenté de 'Quelle leçon pour les jeunes, pour l'examiner et s'est réservé le soin de cris epp., fouie muant, procéder ultérieurement et person- , . , , Bellement aux nominations detiniti- 1, dan lllln."3`3'. k" Ce comité aura vraisemblablement ofre foins ocre, 71' Ci ol e u nsfansPi' donnd quelque ampleur puisqu'il doit se 000r, st, diviser en sous-cemmission groupant les représentants des industri. si- dé. milaires. pute depuis un mari de siècle. Il a fait P raieanr pOleeréesPen'ereee qui s rtiede or des o ded : don E t ils e :n comité, ott parle de MM. Buisson, président du Tribunal de commerce .3.11e . Posiiclue. ss 111es de Paris, qui a d'ailleurs accomPa- donsleeermemloninar fortmodcdenad gué fel. Pierre Laval h Berlin, Fou- mil du temps qu'il était petit emeoPé gère et, dit-on, Lucien Rom., Il dajomoïs es g, LA PRESSE ALLEMANDE c'était que la vanité el l'ambition. Sa LeI worwa.erta ale déclare eeue, simeciié et sa bonté n'enta aucun mo- tels d'une participation des milieus ment été altérées, ouvriers sua MAMIE, de la commis- Et inéeri, ses lippes sur lui, ma sion franco-allemande. Le Parti socialiste allemand, dit le P:tcb!,"df s7 raid,,,e,n7hse.7C journal, approuve /es résultats des . . ry entretiens de Berlin, sang peur con vanet, ancien acaule ils quatre-vingts ans, mais il est là pour cé- lébrer la fidélité des anciens au Parti. Quand il ne f plus député, reprit sins piment sa place dans la section de son village. 50 il Palle régulièrement ces m- asa/ions et dorme à ses camarades les bons conseils de son expérience. Et le père Cheminot. de la section de Montluçon t Celtd-là ne fut P. dépoté et rte songea jamais à le devenir. Mois il a servi dam le rang avec la mime fi- délité et le même dévouement que Paul Constans ou SauvaneL Il a quatre-vine Lu doctrine qui suscite tant de foi et de fidélité, c'est la nôtre. Le Parti qui conserve de tels hom- mes, qui ne connurent ni découragement, ni défaillance, c'est le nôtre. Quand on se met bien ça en tête, on supporte allègrement ciPrée /es Minces des imbéciles et des coquins. On q le cur solide pour toujours. PAUL FAURE Cpos Le président SMArerirrg se sOlidariser avec le gouvernement actuel. U estime cependant que la Iset itedeeZn'trr onI dtee':i anale lltigne ochasj- gement de personnm ne doit pas être accompagne d'une modification de Porentation. La s ilion Ggerre's"'psio?:ts"'O'Ciitcii- mande ne sont dirigés contre per- sonne, notamment pas contre l'An- gleterre. a Ce ,ont, du rest.v%plt-rli,,A7 trnWornie jt un 'entente avec Paris. La presse nationaliste, elle, set' IliuortUndce derenptZtirecÎe tecireic Le a Lobai Anzeiger a parle d'un bien maigre résultat. Quant à la c Deutsche Toges Zei- tung s, elle écrit I « Dans le mdre international, les Français ont réussi it,,,cerêlear uc...n.ornrgassoioisre2oupe,e%esntereilt Genève. Nous sommes senla en face des Français, qui pourront exercer leur influence sans craindre l'interv vention de l'Angleterre ou d'un autre MemgEneein p ocuvrerc ait el reg. ftia uvcorrnaehe ml tooje.teetZlrente'dds'ii7sieissrcédZii'e'.n; Le Docteur Laget est gracié paris, 29 septembre. Le prési- dent de la République a togne la ece de Lee, condamne â mort par leu Assises de l'Hérault, pour empoisonnements. La peine de Mort est Commuée en travaux fopCé à perpétuité. LA LEÇON DES ANCIENS N.. avons véc à Monda on des heures réconf ;tantes. L'homma- ge d'affection et de recon aissan- ce offert à Paul Co clans par deux mil. le militants, venus d tous les c àts de l'Allier el des départ Ment, voisins, mil quelque chose de pa ticulièrement émeu' Mais plus émou10 t encore fut le mo- ment où nous allâmes mec quelques amis saluer le vieux lutteur aurore lit de malade. L'ordre formel du médecin et l'éner- gie de ses enfants avaient meule one da Paul Consterna de se lever. Il enra- guai. Mais il avait quand même enten- du les discours et pu y réPondre ee à tme ingénieuse disposition de micros. 'L'affection et le respect qu'il avait senti monter vers lui l'avaient profondé- ment touché. C'est trop..., disait-il d'une voix tremblante, c'est trop... pour une si pe- . CUMUL PEU BANAL Au petit sakis., de Murale (Puu-de-Ddmet Mme folio.1 tient a la foà l'emploi de fmnire et de... herhier I vomi Mme Mine pisane to borde a l'un de ms clients, Photo Wide-Vina 25 CEA Gandhi est l'hôte respecté de l'An- gleterre. En ferions-nous autant pour BR agi tateur annamite ? Génàrailtà eulviafe Gandhi vomi de Mrmlner da MAM 00,0 /e Laseashire, M la Casse cm miéne a été si douloureusement gprO urge d /a Mus du boneoa des mar- Candis. anglaises qmp avait pro vogué dam les Indes. Traversant le Po. des cotonneries, Cazed n'a pourtant rencontré chez Ma tram. leurs que curiosité, mmprehension et sollicitude. Le vol. acclamé par les ouvriers d'une min., Le Nouveau Dada On sent Papproehe dus élections aux bobards, menmnges, erreurs cal. culées, déformations et camoufla.ges auxquels se livrent I. journaux de tout. couleurs ; mais qui puisent aux mêmes sources. Ilaro sur le Socialisme I piaillent ils tous. Le Socialisme est je pelé, le Miene dont vient tout te nud. Mais paron que pelé et galeux m bougre de Socialistee à le via dure et plus ses adveraaires et ils sont nombreux et variée bêchent, le saJissent, le déforment, le calomnient mieux il se porte et plue loin et plus profondément il pénètre dant tee masses. Il a pansé les plaies de La scission. Tl a repris toute. vigueur, Il a un jou rnal quotidien qui se pose u u n pe la.Des journaux hebdomadairm qui véhiculent sa pensée et son program- me dans tous les villages. Dans chaque élection partielle on voit ap- paraître cepelé, ce galeux ; il parle et son chiffre de voix augm... Le n couteau entre les dents r est ébréché. Le « Socialisme partageter o est devenu la rigolade des pay.ns. Heureusement que la crite mon- diale, qui a mis a mal toue 1m bud- gets nationaux, a permis au « Chris- tianisme d. banquiere » de refaire In miracle de la Mère malade pour accuser le travaillisme une«, de tontes les ruines. Le dd dl p ei g électorale était trouvé. Le pelé, as galeux est, encore unelois, ohargé de tons les maux que répand le régime oapitaliate. Les oies du Capitediame .emplis.nt I eurs journaux de leurs cris. Il une « L'Eeho de Paris,, qui se donna une importance estran, dinaire et dont los cris se répètent dans toutes les feuilles de province. Elle est emore plus sotte que les au- tres, mais cette sottise satisfait je.. temout ceux qui ne savent plue pan. agin Et tout. ces oies vont en troupeau criant I, Voyez se que le Socialisme es fait dg l'Angleterre 51os adversaires pensent avoir trott- ai. la une bonne planche de salut élec- toral. Si none étions aussi bêtes qu'eux. Mais nous ne so.nes pae aussi bê- tes qu'eux. Et après avoir expliqué et prouvé ce qui n'eut pas difficile rom. ment les emarp. de la Haute Ban que font le coup du père ',ranois un gouvernement qui n'a ossu leur faire le coup dur, noue deenan. doue â nos advessaires « «Et voua de l'Union Nationale, qu'avez-vons fait de la tirelire à Chiron, et des milliards de plus.vac dure, malgré I. treize milliards que vous grugez en pl,un chaque année depuis 1927 7 » Comment êtee-vous arrivés à un déficit de deux milliards cette an- née et est-ce vrai qu'il manquera six milliards l'an prochain 7 » Et où est le plan d'équipement national ? » A propos, qu'aveovous fait de votre bonne humeur 7 » Qu'est devenue la Prospérité 7 » Dites -noua aussi pourquoi vos journaux font courir 1¢ bruit qui sa répand et s'enfle,que votre budget serait si malade qu'il faudra le pren dre par la main pour le reconduire jusque fin 1932, la plaie na pouvant être découverte qu'après les élections; I. électeurs,que voua prenez I our des imbéciles, bons tout au plus à payer leurs impôts, n'ayant pas lin. soin de savoir que la caisse est vide et leurs sous ailapidés 7 » Je soi', la réponae est déjà, prêts « La Chambre n'aura pas le temps d'examiner sérieusement le budget Elle ne pourra le voter li temps Elle devra se séparer le 15 Mar au plus tard pour que les députes sortants puissent retourner dans leur circons cription et faire leur campagne élee. torale ». Noue répondons que ça c'est encore /a faute à Tardieu qui a trouvé et applique cette idée phénoménale de reporter l'année budgétaire au ler Avril ayant oublié sans doute que toua1ies quatre arec les dic- e Ire:. IfietZ."'"termt la paEet reteite.e.r.trz.r.rn Parrirement à l'ex.% du budget dès /e ler Octobre I. parlementaires slaiolittilo 39 SEPTEXIIEZE Pitt UtitS00estOOM.44 étant en vacances depuis le début de Juillet, ils doivent Pire frais et dis. pos pole prouver, au moins une fois en quatre ana, qu'ils savent tris veiller et réalIser quelque Mose. Mais il y a ante chose, le défil et comme co 1932 le Bloc Nation aujourd'hui PUnion Nationale n'a étaler aes comptes et signer son bi- lan de faillite. C'est cette faillite que nous dénon- cotons au pays et nous montrerons que partout en France comme en Angleterre, aux EtateUnis comme en Italie, en Belgique comme en Hon- crie, les Etats sont pauvr., Inc peu- pl. écrasés, parce qu'il y a db ri- ches qui sont trop niches et que las gouvernants ne savent pas leur faire rendre gorge. Parce que le Capitalisme porte es lui le ruine et la guerre et sème /a ramera et In mort. Les électeurs auront à choisir entre' le CAPITALISME clin SOCIALISs ME. CONSEIL des MINISTRES dePsariIniest7reeP.sterr'éus7rl'e Zinng mutin. b he eltaoeduell: Pool (hoamor. Au coure de cette délibération, M, Pierre Laval et M. Aristide Briand rendront compte du voyage qu'ils viennent d'effectuer à Berlin. POIGNÉE CE SOUVENIRS Marius André par René CABANNES VII Vous l'avez connu, vous les anciens, cet hoinme d'une activité débord.t, Fonctionmire t la direction de la Con. pagaie P. L .M., il menait aux côtés de sa lemme charmante une existenee idéale. Un jour, la grève générale des cheml note éclate. La C.A.P. du Para publie un manifeste de solidarité signé de to. ses membre.. André, qui on tait partie, se trouve, de par l'ordre alphabétique, en tête des signataires. Vingt-quatre Feus ers après, il est révoque de ses Fonctions. Quelqu, jours passent et la joie red vient s'installer au sein de oette nature optimiste. On ne sait trop comment, imia il a trouvé des capiteux pour fonder un quotidien socialiste à Marseille. C'est le Pactole. Tout le clan guesdiste dms l'allégresse la plus toile. Immédias g',;11';`' int7c,"e,21,2,"'ernc`à `:)"'" champs, Cambier anse femme sont fie I' expédition Enfin, le journat sort. Il est M. fait et il se lit Il y a surtout au rex-de-chaus- sée de la seconde page . feuilleton que Méric, revenu à Paris, rédige chaque soir S la Chope de la lierpc et qui dé. passe Mut ce que l'on peut imaginer. C'est un roman d'aventures abaca.» brames au murs desquelles les haro. meurent et ressuscitent dans un imbroglio, ahurissant. Les Mermillais qui le lisent avec ferveur trouvent maigre tout qua le feu des personnages manque de mou- vement. Néanmoins ils font in succès inespéré 1 05 100m du OmMethiflae au. toue de la Cer des Der. André habitait dans le quartier Sainte Chartes. Des terrains vagues, des bâti. ses en mnstruction servant de cadre à cette époque f ce coin de Marseille. La maison de noue ami étalt spmie. se et Planquée d'un jardin pomger nul taisait ses délices. C'est lui-même qul le travaillait, et sa fierté n'était pas min» ce lorsqu'il pouvait saluer par des cl. meurs enthousiaste, la naissance d'un chou ou dMne vulgaire salade, j'ai gardé dans la mémoire le sono. sic des précis des heures rote l'ai vécnos1 dans cette maison Os Saint-Chorlem he. ces de repos, de rêverie, d'oubli. Lorsqu0 mue étions réunis. André sans qu'os l'en prilt se mettait au piano et de sa voix fausse, mais empreinte de mélenco- tiques accents chantait du Verlaine dont Il avait mis en musique otniques post Men. L. SAF1. a.,. léfag. 4 Mes mals. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Lee négMlations de MM. Laval et/Briand aveo MM. Bruning et Curlingsont terminées. Ce matin, les minis-kes franêais quittent Berlin par letrain de 8 heures.

Quels sont les résultats pratiquesI' cette visite historique f II est dit-licite de le dire. Le communiqué ri-cal est assez laconique. Il ne faitd'ailleurs que confirmer les informa_it°. que nous avons publiées hier.Ln création d'une commission fran-M-allemande est décidée. Celle-oi

aura pour tâche « l'examen de touslas problèmes économiques Inter.-ant les de. nations, sans perdre de

xne des intérêts des tiers et la na-essité de la collaboration interna-

tionaleOn conviendra que foot cela cet

assez vague. Les négociateurs ont'peut-être pouesê leurs pourparlersplus loin mes vouloir le préciserdans le document officiel. C'est pos.ible. Mais pour le moment, ils ontpintât manifesté leurs bonnes Mten-tjons que répondu aux questions an-goissantes que se posent les Peuples.Il, ont admis le principe de la coo-pération économique. Ils ont promisde rechereher les moyens de réaliserce principe.

Néanmoins, il faut ealiérer qu'ifsOnt d'ores et déjà tracé h la futurecommission un programme de ba-a., qu'ils ont donné une inch.-MOS permettant à la nouvelle inatt-ention d'aboutir rapidement li quel-ques conclusions pratiques, suscep-tibles de retnédier à la situatiOntique de..l'heure. Si les quatre mi-nistres ne l'ont pas fait, si la d..-.fission. qui se réunira on ne sait

SISANNE1E, N. 11.235

ABONNEMENTS I

il mole. 22 Ira 0 male. as Il.. II ta

La visite des ministres français à Berlin est terminée

LE COMMUNIQUE FINAL, TRE>S VAGUE, ANNONCE LA CREATION

D'UNE COMMISSION FRANCO-ALLEMANDE CHARGEE D'ETUDIER

LES RAPPORTS ECONOMIQUES DES DEUX PAYS

LE VOYAGEDES MINISTRES FRANÇAIS A BERLIN

MM: LAVAL et BRIAND eu halé.de l'Hétel Adlon.

Photo Wide-Vorld.

lattil quand, se met seulement à étu-dier les anales problèmes qu'il y alisu de résoudre, la visite à Berlindes représentants n'aura eu qu'uneffet psychologique mais éphémère.

. Car les événement, n'attendentbas. Le fenian est passé où les Pa-Colas de paix et de concorde pou-Raient être un Pisteur de la récon-teilietion des peuples. Le monde estIliep bouleverué maintenant par unearise terrible pour Mes nallué pardes phrams. Il lui faut des antre.al lui faut des remèdes. Il demandeliel solutions.

O. ROSENFELD.

SOCIALISTE ------Rédaction et Adustolstrutlan 1 38, Rue %t'adobe, Toulouse Tél. 0-43 C. C. PosSaux s 5.277

BURFAUX A PARIS e 5, Rue St-Aussuatto (29 Téléphones s Gutemberss 70.58 61.21, Louvre 47218misleaelsema!

Les ministres français regOillent les journalistes dans leur appartemens

LE COMMUNIQUE FINAL tant la me., de plus de trente pays

Berlin, Pt septembre. Les miette.

il;:isrsIeVeagoer e'letres%';rtt:71'''alMotion de la résidu/Ion suivante

Le président an Conseil et le minis-tre des affaires étrange. de Francesont venus rendre Berlin ta visite

e.0 re,l..".treopères d'Allemagne. En même temps, usont voulu donner une conclusion plan.

Les représentants des deus poujerne,

q7u'edreurelsuPt"esc:e'sitreit erj réeli;entre trei pays dru relations suiviesce

poil!leur a paru que la crise qui séritaujourd'hui u frarerg te monde leur fitOsait un isndsérieux devoir d'associeravant tom leurs efforts drues ce dom.'

éconmngue en vue d'arriver d dessolutions propres d atténuer le malaiseuniversel.

Ils ont reconnu m'il malt nécessairede constituer un oryenione special etde donner d cet organisme une Méthodede travail assee s'are pour aboutir ddee réent., none..

A cet effet, ils sont convenus de créerune francouneinende com-joints des représentants des diversesLions intéressées, auxquels seront ad-joints dee représentants des diversrsbranches de l'activité économique,ainsi que des représentants du trayait.

Les travaux de la commission serontdirigés par des membres des deux gon.cernent..

La commission sera assistée par unsemétarise pendrai permanent ; et. sié-gera, suivant les besoins, dam un paysou dan, l'autre. Elle commencera sesPevano dand te p/us bref délai.

La commission aura pour tâche deprocéder u reramen de tous les rode.mesMommiques intéressant les deuxnations, sans perdre de me les intérétsdes tiers et la nécessité de le collabora-ton n ena te d e.Elle étudiera notamment les moyens

de fortifier et de délie/imperd'autres,lescriera',

011 etes existantes d'en créer et,

a lieu, sur des types différents.Elle examinera l'état actuel des MM.yes COMMgretaux entre les deus payaavec le désir de refiler de l'exPérimeemou se dsnnlr 0 enlre en vigueur duMalté de commerce de 1927.

Elle mettra d l'étude la rechercheen commun de nouveaux débouches.

n a été entendu que cette énumérafion ne serait pas limitative

Les représentants des deux donner.«mente ont tem d bien marquer queMur MilMtive n'était dirigée contrereemende ealtenn autre pays. Ils dl'Marent m'ils repoussent toute idée detrouver ta mildiou des problèmes po.rie devant la en/nrniSMOn dam uneaugmentation concertée des droits dedouane.

En se inaMtenant sur le plan de re1021 générai pour bitter contre la criseéconomique, t, feront appel d la collaboration des autres nations aussi somvent inc rosies considéré le comporteen. C'est ainsi, .r exemple, que pour.rant foin étUdiérd den formules d'orcorda mtornaiionmis en mattere de na.vigation et d'aviation m'immolai..

Les repréSentants des gouvernenienteallemand et français guiper., «mirainsi jete tes bases d'une env. conetractive ouverte d tous, première êtaped'une uvre d'ensemble et répondanteux néCerrité, de PMU,

La lecture da communiqaéPerim, 28 septembre Idem, Ramis).

chur mnis icurcalistes irepresen-

accompancé de M. F. Poneet, Ministre dxF,anssecmecr5.mon,. mir le tombée« de M. Stresse... Photo Wide,Vorld,

grand, salons de Menet Adlon, loreque MM. Lava/ et Briand y tirent leurentre, à 19 heur., pour rendre public

communiqué qui fixe les résultatsde la conférence de Berlin.

Le président du Conseil et M. Aria-itets2.,.rima.teurent t'omet truite ovation

M. Francots-Poncet donna lecturedu communique qui provoqua encorede nombreux applaudissements.

Aucun commentaire ne fut Monté à

I Br%ir'éttnar'entd:a= et'elue ' 'vnena'ilneus.tee pour poser l'an à cote qde'lautreraflant les

lr.el'..r....21.d.l.fe..;.,.g.::M. Laval prononça c. mroles Ou

travaillant t l'accord entre no. deuxPa.. noue avons travailla pour laOmis. a

tes de. hommes d'intat turent alorsl'objet d'une nouvelle ovation.

AU Laval et Briand

ont quitté Berlin

PROMENADE MATINALE

Berlin, 29 septembre. Dee 7 heu-res, ce matin, M. Pierre Laval lit unepromenade. Le temps était beau, maisfrais. Le président 1.11 quelques pasavec son ami, M. Albert Buisson, surl'avenue Unter-der-Unden. Ce fut lecléaarroi Pour les schupos qui arri-vaient pour le service d'ordre et nesavaient pas s'ils devaient couper lacirculation, se mettre seulement aue garde à vouu e ou ne pas rmonnm-

t Inc le président.1 A ce moment, arriva un cinéaste

1

français, qui put' tourner la ternePoar montrer aux foules M. PierreLaval en promenade dans Berlin,sans gardes, ni chef de mbinet, niparde.us.

VERS LA GARE

Ce fut, pen après, le départ vers lagare. On retrouva à la Friedrich-str.se le chancelier Brüning et leministre L'urdus, M. von Schou eltoutes les personnalités déjà noteesdimanche matin.

Dans le'mlon d. Princes, il y eutune dernière conversation à quatreautour d'une petite table isolée.

Enfin, à 7 h. Il, te chef de gare vintdire qu'il fallait monter sur le quai.Ce furent, alors des adieux mandesmais qui parurent cordtaux. Le chan-celier, puis le ministre des affamesétrangères, serrèrent les mains deMM. Laval el Briand.

Cela dura j.qu'int moment où letrain s'ébranla. Alors, M. Brüningdit à l'ambassadeur de France à Ber-lin 1 e Merci, ce fut partait ainsi.Nom allons continuer ce trayait. e

M. François Ponce( s'incana.Avant de prendre place dans le ra-

pide, M. Laval déclare aux journalis-tes

a Dites que je suis très satisfait del'accueil qui nous fut fait, 855. Briandet t moi, qui représentions la France,tant par la population que O. tegouvernement du Reich. La commis-sion que nous avons créée dimancheet hier facilitera, je l'espère de toutcur, le rapprochement désirabieentre les deux peuples. s

Le ministre des affaires étrange,ers, pour sa part, Confirma nettebonne impression.

a Quelque chose a Peut êtrechangé e, dit doucement M. Briand

55. Laval grimpa dans son compar-timent et les deux ministres vinreni

In fenêtre. les photographes et lescinéastes guettaient cet instant mais,Inexorable comme le temps. /e con-voi se mit en route lourdement, souste soleil d'automne, vers les plainesprussiennes.

M. BRUNING DECLARE

De son cédé, M. Brüning a déclaréa Le docteur Curtius et moi avons

trouvé chez les ministres françaisune bonne volonté et un esprit deconciliation qui nous ont profondé-ment touchés. Il faut souhaiter quecette conversation rapide soit le Pré-lude, d'autres entretiens plus Imper-

M. Herriot reprendrait

la présidence du parti radical

Au coure des tètes end ont marqué. tiLyon, le viaechtoulême .nivenseiredu mandat municipal de M. EdouardHerriot. Il eemble que /es chefs duParti radicateociatiste se soient mied'accord Pour offrir à l'ancien pelai.dent du Conseil la dirmtion effectivedu parti.

Le congréa radical-socialiste doitAnnie à Paris dans I. premiem jouesde novembre.

M. Daladier, réélu k la présidence SiPaoi tut congrès Reime malts,arr ive e t'expiration da son maadat

Pour re0001a...m.1On IlavaitMd question de M. Chautemps_ Male di.manche, au banquet de Lyon. aux aluplaudiesements de raseistance, le alma.té de Ploie a demandé à M. Herriot dereprendre « la direction totale et et.fautive du parti radical à ia veille demélections régidatives de 1932 ».

Il semble donc que M. Herriot seraseul cmdidat â la présidence efe tonparti

tants susceptibinx de créer une èrenouvelle daas les rapporLs franco-ademands, c'est la hase de la Paixeurupéenne.

« Je considère quo crs deux jour-nées auront pl. titis pour la cauerdu rapprochement que des mois denégociations entre chancelleries.

t Je résume d'ailleurs toute monimpr.sion dans ces deux mots tJ'ai confiance en l'avenir.

LE COMTE FRANCO-ALLEMANDC'est après son retour de Berlin Une si petite chose, mon cher Cons-

que M. Pierre Laval procédera 1 la tem fouie une longue vie consacrée auilerteioler errouetonaior prolétariat et au socialisme En soi,

que franco-allemand dont la tonna- en effet, ce n'est peut-être pas exmaordi..

tien s été décidée hier, à Berlin, mire, c'est n'avoir fait que son dervirUn travail préparatoire a déjà été eprg, mais tant d'autres ne le font

effectué à ce sujet par les soins du p.. do p.à tplètpt,sous-secrétariat d'Etat à l'économie

Une liste a été remise au président 'tien."de fidélité et mee e'bn6P-nationale.

du conseil, qui s'est contenté de 'Quelle leçon pour les jeunes, pourl'examiner et s'est réservé le soin de cris epp., fouie muant,procéder ultérieurement et person- , . , ,Bellement aux nominations detiniti- 1, dan lllln."3`3'.

k"Ce comité aura vraisemblablement ofrefoins ocre,

71' Ci ol e unsfansPi'donnd

quelque ampleur puisqu'il doit se 000r, st,diviser en sous-cemmission groupantles représentants des industri. si- dé.milaires. pute depuis un mari de siècle. Il a fait

Praieanr pOleeréesPen'ereee qui srtiede or deso ded: donE t ils e:n

comité, ott parle de MM. Buisson,président du Tribunal de commerce .3.11e . Posiiclue. ss 111esde Paris, qui a d'ailleurs accomPa- donsleeermemloninar fortmodcdenadgué fel. Pierre Laval h Berlin, Fou- mil du temps qu'il était petit emeoPégère et, dit-on, Lucien Rom., Il dajomoïs es g,

LA PRESSE ALLEMANDE c'était que la vanité el l'ambition. Sa

LeI worwa.erta ale déclare eeue, simeciié et sa bonté n'enta aucun mo-

tels d'une participation des milieus ment été altérées,ouvriers sua MAMIE, de la commis- Et inéeri, ses lippes sur lui, masion franco-allemande.

Le Parti socialiste allemand, dit le P:tcb!,"df s7 raid,,,e,n7hse.7Cjournal, approuve /es résultats des . . ry

entretiens de Berlin, sang peur con vanet, ancien acaule ilsquatre-vingts ans, mais il est là pour cé-lébrer la fidélité des anciens au Parti.

Quand il ne f plus député, reprit sinspiment sa place dans la section de son

village. 50 il Palle régulièrement ces m-asa/ions et dorme à ses camarades les

bons conseils de son expérience.Et le père Cheminot. de la section de

Montluçon t Celtd-là ne fut P. dépotéet rte songea jamais à le devenir. Moisil a servi dam le rang avec la mime fi-délité et le même dévouement que PaulConstans ou SauvaneL Il a quatre-vine

Lu doctrine qui suscite tant de foi etde fidélité, c'est la nôtre.

Le Parti qui conserve de tels hom-mes, qui ne connurent ni découragement,ni défaillance, c'est le nôtre.

Quand on se met bien ça en tête, onsupporte allègrement ciPrée /es Mincesdes imbéciles et des coquins. On q lecur solide pour toujours.

PAUL FAURECpos

Le président SMArerirrg

se sOlidariser avec le gouvernementactuel. U estime cependant que la

IsetitedeeZn'trronI dtee':i

analelltigne ochasj-

gement de personnm ne doit pas êtreaccompagne d'une modification dePorentation.

La silion Ggerre's"'psio?:ts"'O'Ciitcii-mande ne sont dirigés contre per-sonne, notamment pas contre l'An-gleterre. a Ce ,ont, du rest.v%plt-rli,,A7

trnWornie jtun'entente avecParis.

La presse nationaliste, elle, set'

IliuortUndce derenptZtirecÎe tecireicLe a Lobai Anzeiger a parle d'un

bien maigre résultat.Quant à la c Deutsche Toges Zei-

tung s, elle écrit I « Dans le mdreinternational, les Français ont réussiit,,,cerêlear uc...n.ornrgassoioisre2oupe,e%esntereilt

Genève. Nous sommes senla en facedes Français, qui pourront exercerleur influence sans craindre l'intervvention de l'Angleterre ou d'un autreMemgEneein p ocuvrerc ait el reg. ftiauvcorrnaeheml

tooje.teetZlrente'dds'ii7sieissrcédZii'e'.n;

Le Docteur Laget est gracié

paris, 29 septembre. Le prési-dent de la République a togne laece de Lee, condamne â mortpar leu Assises de l'Hérault, pourempoisonnements.

La peine de Mort est Commuée entravaux fopCé à perpétuité.

LA LEÇON

DES ANCIENS

N.. avons véc à Monda on desheures réconf ;tantes. L'homma-ge d'affection et de recon aissan-

ce offert à Paul Co clans par deux mil.le militants, venus d tous les c àts del'Allier el des départ Ment, voisins, milquelque chose de pa ticulièrement émeu'

Mais plus émou10 t encore fut le mo-ment où nous allâmes mec quelquesamis saluer le vieux lutteur aurore litde malade.

L'ordre formel du médecin et l'éner-gie de ses enfants avaient meule oneda Paul Consterna de se lever. Il enra-guai. Mais il avait quand même enten-du les discours et pu y réPondre eeà tme ingénieuse disposition de micros.

'L'affection et le respect qu'il avaitsenti monter vers lui l'avaient profondé-

ment touché.C'est trop..., disait-il d'une voix

tremblante, c'est trop... pour une si pe-.

CUMUL PEU BANAL

Au petit sakis., de Murale (Puu-de-DdmetMme folio.1 tient a la foà l'emploi defmnire et de... herhier I

vomi Mme Mine pisane to borde a l'unde ms clients,

Photo Wide-Vina

25 CEA

Gandhi est l'hôte respecté de l'An-gleterre.

En ferions-nous autant pour BR agitateur annamite ?

Génàrailtà eulviafe

Gandhi vomi de Mrmlner da MAM 00,0 /e Laseashire, M la Casse cmmiéne a été si douloureusement gprO urge d /a Mus du boneoa des mar-Candis. anglaises qmp avait pro vogué dam les Indes. Traversant lePo. des cotonneries, Cazed n'a pourtant rencontré chez Ma tram.leurs que curiosité, mmprehension et sollicitude. Le vol. acclamé par

les ouvriers d'une min.,

Le Nouveau DadaOn sent Papproehe dus élections

aux bobards, menmnges, erreurs cal.culées, déformations et camoufla.gesauxquels se livrent I. journaux detout. couleurs ; mais qui puisentaux mêmes sources.

Ilaro sur le Socialisme I piaillentils tous.

Le Socialisme est je pelé, le Mienedont vient tout te nud.

Mais paron que pelé et galeux mbougre de Socialistee à le via dureet plus ses adveraaires et ils sontnombreux et variée bêchent, lesaJissent, le déforment, le calomnientmieux il se porte et plue loin et plusprofondément il pénètre dant teemasses.

Il a pansé les plaies de La scission.Tl a repris toute. vigueur, Il a un

journal quotidien qui se pose u un pe

la.Des journaux hebdomadairm quivéhiculent sa pensée et son program-me dans tous les villages. Danschaque élection partielle on voit ap-paraître cepelé, ce galeux ; il parleet son chiffre de voix augm...

Le n couteau entre les dents r estébréché.

Le « Socialisme partageter o estdevenu la rigolade des pay.ns.

Heureusement que la crite mon-diale, qui a mis a mal toue 1m bud-gets nationaux, a permis au « Chris-tianisme d. banquiere » de refaireIn miracle de la Mère malade pouraccuser le travaillisme une«, detontes les ruines.Le dd dl p ei gélectorale était trouvé. Le pelé, asgaleux est, encore unelois, ohargé detons les maux que répand le régimeoapitaliate.

Les oies du Capitediame .emplis.ntI eurs journaux de leurs cris.

Il une « L'Eeho de Paris,,qui se donna une importance estran,dinaire et dont los cris se répètentdans toutes les feuilles de province.Elle est emore plus sotte que les au-tres, mais cette sottise satisfait je..temout ceux qui ne savent plue pan.

aginEt tout. ces oies vont en troupeau

criant I, Voyez se que le Socialismees fait dg l'Angleterre

51os adversaires pensent avoir trott-ai. la une bonne planche de salut élec-toral.

Si none étions aussi bêtes qu'eux.Mais nous ne so.nes pae aussi bê-

tes qu'eux.Et après avoir expliqué et prouvéce qui n'eut pas difficile rom.

ment les emarp. de la Haute Banque font le coup du père ',ranois

un gouvernement qui n'a ossuleur faire le coup dur, noue deenan.doue â nos advessaires

« «Et voua de l'Union Nationale,qu'avez-vons fait de la tirelire àChiron, et des milliards de plus.vac

dure, malgré I. treize milliards quevous grugez en pl,un chaque annéedepuis 1927 7

» Comment êtee-vous arrivés à undéficit de deux milliards cette an-née et est-ce vrai qu'il manquera sixmilliards l'an prochain 7

» Et où est le plan d'équipementnational ?

» A propos, qu'aveovous fait devotre bonne humeur 7

» Qu'est devenue la Prospérité 7

» Dites -noua aussi pourquoi vosjournaux font courir 1¢ bruit qui sarépand et s'enfle,que votre budgetserait si malade qu'il faudra le prendre par la main pour le reconduirejusque fin 1932, la plaie na pouvantêtre découverte qu'après les élections;I. électeurs,que voua prenez I ourdes imbéciles, bons tout au plus àpayer leurs impôts, n'ayant pas lin.soin de savoir que la caisse est videet leurs sous ailapidés 7 »

Je soi', la réponae est déjà, prêts« La Chambre n'aura pas le tempsd'examiner sérieusement le budgetElle ne pourra le voter li temps Elledevra se séparer le 15 Mar au plustard pour que les députes sortantspuissent retourner dans leur circonscription et faire leur campagne élee.torale ».

Noue répondons que ça c'est encore/a faute à Tardieu qui a trouvé etapplique cette idée phénoménale dereporter l'année budgétaire au lerAvril ayant oublié sans doute quetoua1ies quatre arec les dic-e

Ire:. IfietZ."'"termt la

paEet reteite.e.r.trz.r.rnParrirement à l'ex.% du budget dès/e ler Octobre I. parlementaires

slaiolittilo 39 SEPTEXIIEZE Pitt

UtitS00estOOM.44

étant en vacances depuis le début deJuillet, ils doivent Pire frais et dis.pos pole prouver, au moins unefois en quatre ana, qu'ils savent trisveiller et réalIser quelque Mose.

Mais il y a ante chose, le défilet comme co 1932 le Bloc Nationaujourd'hui PUnion Nationale n'aétaler aes comptes et signer son bi-

lan de faillite.C'est cette faillite que nous dénon-

cotons au pays et nous montreronsque partout en France comme enAngleterre, aux EtateUnis comme enItalie, en Belgique comme en Hon-crie, les Etats sont pauvr., Inc peu-pl. écrasés, parce qu'il y a db ri-ches qui sont trop niches et que lasgouvernants ne savent pas leur fairerendre gorge.

Parce que le Capitalisme porte eslui le ruine et la guerre et sème /aramera et In mort.

Les électeurs auront à choisir entre'le CAPITALISME clin SOCIALISsME.

CONSEIL des MINISTRES

dePsariIniest7reeP.sterr'éus7rl'e Zinngmutin.

b heeltaoeduell: Pool (hoamor.Au coure de cette délibération, M,

Pierre Laval et M. Aristide Briandrendront compte du voyage qu'ilsviennent d'effectuer à Berlin.

POIGNÉE CE SOUVENIRS

Marius Andrépar René CABANNES

VII

Vous l'avez connu, vous les anciens,cet hoinme d'une activité débord.t,Fonctionmire t la direction de la Con.pagaie P. L .M., il menait aux côtés desa lemme charmante une existeneeidéale.

Un jour, la grève générale des chemlnote éclate. La C.A.P. du Para publieun manifeste de solidarité signé de to.ses membre.. André, qui on tait partie,se trouve, de par l'ordre alphabétique, entête des signataires. Vingt-quatre Feusers après, il est révoque de ses Fonctions.

Quelqu, jours passent et la joie redvient s'installer au sein de oette natureoptimiste. On ne sait trop comment, imiail a trouvé des capiteux pour fonderun quotidien socialiste à Marseille. C'estle Pactole. Tout le clan guesdistedms l'allégresse la plus toile. Immédias

g',;11';`' int7c,"e,21,2,"'ernc`à `:)"'"champs, Cambier anse femme sont fieI' expédition

Enfin, le journat sort. Il est M. faitet il se lit Il y a surtout au rex-de-chaus-sée de la seconde page . feuilleton queMéric, revenu à Paris, rédige chaquesoir S la Chope de la lierpc et qui dé.passe Mut ce que l'on peut imaginer.C'est un roman d'aventures abaca.»brames au murs desquelles les haro.meurent et ressuscitent dans un imbroglio,ahurissant. Les Mermillais qui le lisentavec ferveur trouvent maigre tout quale feu des personnages manque de mou-vement. Néanmoins ils font in succèsinespéré 1 05 100m du OmMethiflae au.toue de la Cer des Der.

André habitait dans le quartier SainteChartes. Des terrains vagues, des bâti.ses en mnstruction servant de cadre àcette époque f ce coin de Marseille. Lamaison de noue ami étalt spmie.se et Planquée d'un jardin pomger nultaisait ses délices. C'est lui-même qulle travaillait, et sa fierté n'était pas min»ce lorsqu'il pouvait saluer par des cl.meurs enthousiaste, la naissance d'unchou ou dMne vulgaire salade,

j'ai gardé dans la mémoire le sono.sic des précis des heures rote l'ai vécnos1dans cette maison Os Saint-Chorlem he.ces de repos, de rêverie, d'oubli. Lorsqu0mue étions réunis. André sans qu'osl'en prilt se mettait au piano et de savoix fausse, mais empreinte de mélenco-tiques accents chantait du Verlaine dontIl avait mis en musique otniques postMen.

L. SAF1. a.,. léfag. 4 Mes mals.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 3: Gandhi est l'hôte respecté de l'An- SOCIALISTE ------images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1931/B315556101_MIDSOC_1931... · I' cette visite historique f II est dit-licite de le

ete.147.Neetaa

L'exemple de Toulouse. .

commence à 'Me suivi

Nana liAone sormes titre duneAuto et Sparts noua rocherandiecanttrePeisUdads ne Meade:dOr, ce projet se heurte atm mêmeslesteras liguas que nous avons vu

,'assembler é Bordeeme et fairepont contre les memeteere de notrePare dot Searle lege le trop-rent.L'01 repique de Marante notameMent a peur que le nouvel établis-sement porte ombrage à son StadeFernand-Bouisson.Guet bien toujours la même /as-tasie, data notre beau ' pays deFrmee, les novateure jamais coin-prie, vont

liguer Coutres'u?cote et voient 4boe mterela neje asiMs.

Marseillais, rime amis, laissez °m-ares ests paix vos novateurs. Lorequerétablissement nécessaire e touteFende ville qu'ils ont en vue desous doter sera construit, voue ver-rez ses adverseires les plus achar-nés se disputer entre eus pour

iode Bordelais l'au-rent, aone les yeux lorsque leur Parcdes Sports fut édifiés comme ils pu-rent msej juger QUI] ne portest pantort aux Stades particuliers des so-ciétés, bien au matraque

Cl en est de même â Monteuse,l'init(ative de la municipalité peutcontribuer, dans nec large mesure,mc développeMeat du sport local.

Rappelons que la ville de Dijonvient de voter un projet analogue,et que l'on annonce de Perpignan

Dijon: ville réactionnaire dirigéeun ppar no ministre. Perpignan, villeadministrée par des radicaux et desréactionnaires, rassemblés ( commeici du temps de Feuga-Béluel-Tho-mee-Parant); Marseille ville admi-nistrée par un maire modéré, voilàtrois grandes Cités à l'administra-lion ana socialiste et qui suiventl'exMeple de Toulouse.

Et toue les journauX félicitent cm- municipe/a. I

Qui en baveC

Mises au pointY- -Une note publiée Par un de ses

embrèves informait que le lundi 28«Membre devait avoir lieu, terep.tt0000llémunt, au Coté Rivtirliou,pli. du Capitole, une réunion desznembr. du Parti Derme:Re Po-pulaire.

Le propriétaire du Café Richelieunoue prie d'indiquer que celte in-formation-était erronnée. /I n'a ja-mais reçu de demande de talle et sin'y a jamais eu de réunion de seParti dans son Card.

Nous avons relaté hier un accidenteurvenu sur la route de Fronton.

Des renseignements complemen-(aires que 0000 avons recueillie, ilparaît résulter que c'est en se Pen-chant en arrière, alors qu'il était as-ais sur la Maine de sûreté du tram-way, que ?d. Soubie, voyageur decommerce, a heurté de la tete unpylône de l'axial.

Le blessé a reçu tous les soiesque nécessitait mn était chas M.Bordes, employé â la T. G. R. T.,route de Fronton.

Ses blessures ne Mettent pae sesaoure en danger.

ent

Avis important11 est rappelé aux contribuables

retardataires qu'a compter du teroctobre, par application du décretdu 4 septembre 1931, toutes sommesrestant à payer sur lev impôts, con-tributions et taxes établis pour teesoupes 030 et antérieures et com-pris dans les raies mis en recouvre.Ment avant le ter avril 1931, serontmajorées de dix pour cent. -

Nous ne SaUriOtts trop enaager lesdébiteurs d'impôts et fractions d'in,pôts qui vont devenir majorables, àce libérer le 30 septembre eu plustard, de leurs obligatione envers teTrésor, afin d'éviter une lourde pé-nalité qui ne les mettra pas d'ail-

leu. b l'abri des poursuites dedroit.

r

Dans l'Enseignement

MOUVEMENTDANS LE PERSONNEL

Mt L'ENSEIGNEMENT PRIMA/BE

Mlle Calas, r à Centaine, est nom.niés! à Villeneuve'.

Mlle Alternant, T â Saint-Gaudens(Serre de >Mérous) est nommée auCollige de Saint-Gaudena

Mlle Ferrand, T à Sa. et laiton.aède est nommée mi Saint-Gaudens(Serre de Menus) A

Mine Veidennet, T. adjointe à Au-àti.làville (g.) est nommée uchm-ville Id

Mme Oulanier T. adloiate à Au-(f.) est nommée e Assum-ai.

Béer': Inj::neleeere' k h cinio'nP)"..tu.Ai.,,ii,,eszlleiTilod.êtmae: l'Ist

toiMlle Série

osts

'e, T. de t'Ariège, ,:fen1A-niée Mentheraud.

1111P141111EARLES, VF7'EMENTS DEEUH ou caoutchoutas, gabardines,oat pour Dames, Mese:misnts t Avant de fixer votre

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des prix qui mus 'nieras-oit emertarlidnement. Ouvert le dl.

et

ét

A Arnaud BernantLe grande galle de Fantasia-Cinéma

était trop petite hier au soir, pourmate., les 1.210 personnes, qui sepreasalent, des 21 hem«, pour enten-dre les déléguée du Parti soda/sale.

A l'heure exacte, Fons, conseillermunicipal, prend la Préeldeeee,assisté des cit... Massé et Corbie-reS.

C'est notre ami Hillieres, maire deToulouse, qui le premier prend /aPeton

11 fixe aussiten l'attention de raudi-tare par sa samare celtique du sys-Mme cannelle., qui domine le monde

Billlires expose les raisons pro-foudes de le crise qui ebraele, ence moment, la vieille organisationéconomique, basée eue le profit et quiest ineapable de se sauver elle-même.

Seule l'organisation nouvelle, à la-quelle, depuis longtemps, se préparele socialisme, petit Préserver lemonde du trama du cercle de Mi.aère gai Se resserre de Pis. en

BIllieresdl.

est fréquemment applau-

Après lui, notre vaillant ami Ber-lia, légereMent fatigue par l'ardentecampagne qu'il mène depuis dixjours prend la parole. Son apparie(Ion b la Osborne est sainee par devigoureux applaudissements.

Berlia énumère tout l'abord letravail accompli par les /socialistesau sein de l'aessemblee départemen-tale pour la protection de l'agricul-ture, le travail, ra.istance, les mu-tilés, les al:cations Ma réservistes,

Ensuite, H démontre le caractère

exiliruetiordnere.,s,otd7-Il s'amuse que M. Hoquet, qui a

falt am:sucer ea candidature daneLa Dépêche n depuis te 22 juin

dernier, et dans La Petite Giron-de s depuis le 19 septembre, riaitpas encore osé aborder la tribunepublique.

Cent sans doute mal attend, avantde taire appel aux sufframs radi-caux d'avoir reçu Paseurance desconcours qu'il escompte de la partdes adversaires déterminés de lasamorratie.

Dees que M. Bessel aura signe sonabdimtuns entre les naains des con-servateurs qui, déjà trompés par lui,exigent ente fois dus garantiet sé-rieuses, il osera peuliêtre venir qué.

linsmander les suffrage radicaux.

eseaurs connameent leur de-voir et donneront. le 18 octobre, le

'Le citoyen Ginottet vient ensuiteparler dueraduzdud du P.C.l

etden'a ple de peine à 'refuter ecskàleee'

En vair le président appelle laeontradschon radscale, personne nerépond

Cet appel provoque l'hilarité desnombreux auditeurs qui constatent,une fois de plue, /a carence du futurex-dépoté de la Se clicanscript(on

fflxezeeeefeeeeeeeeeRéunions publiqueset contradictoires

CANTON NORDLe Parti socialiste organise ce soir

e 21 heures,AUX SEPT-DENIERS

(Café Remange)une grande réunion publique etcontradictoire.

OrateursGRaNIDR, coneeiller munietpai IBERLIA, conseiller sérierai, edjoint

eu maire.

CANTON CENTRELe Parti socialiste donnera jeudi

ler octobre, b 21 heures, une granderéunion publique et OrnittrudiOtolle

CAPE COUDERC(Barrière de Negreneye)

OrateursJean MIEUX, conseiller général, ad-

joint au maire ;

POULARD, conseiller d'arrendisse-ment, adjoint au maire ;

DONNEZ, conseiller municipalLINIERES, conseiller municipal.O. OS &DOS

Une bonne nouvelle pourles consommateurs :

LES COMPTOIRS DE

7, Place Ilsejnei

LA WHouvriront SAMEDI 3 OCTOBRE

leur troisième' sueCursatodans te

Quartier Saint-Cyprien

Les ménagères soucieusesde leur santé et de moreintérêts y trouveront en

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JEUNES FILLES 11-E TOULOUSEL'Association des Parr^. Télèv.

Lycées de Garçons et de Jeunes Filles deouse a honneur d Informer res fe-

le, eTVs intéressé. que le service d'échange

(,!;v cri t.,'r,e.'e,e7 -8cui deAvis important. Ne seront accent&

ECOLE NORMALED'INSTITUTEURS LIE TOULOUSE

1-es travaux d'agrandissement et damé.nagement n'étant pas complètement termi-né, la rentrée des élèves internes an,'portée au dimanche 11 «sobre; les classésreprendronLpoa; Mus les élèves, le lundi

m. 12 io bLa rem, de l'Ecole amesse resoe figea

au vendredi 2 octobre.

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80 kilos; Avoine, 40 5 42 ban. les 100kilos: Ferisse, 227 francs les 100 kilos)Rems., 60 fee 150 kilos; Son, 50hm. le 100 kilos.

ECOLE MUNICIPALE DE MUSIQUE(Instruments à vent)

Les élèves faisant partie de cetteécole sont informée eue les coursreprendront le vendredi 2 octobre,à 25 h

Les 11011VPRUX adhérents qui dém,semaient suivre ces cours et se pré-parer à l'obtention du brevet peurles musiques militaires sont Pries dees faire inserire ail Service de Ihne-trimasse Publique. an Capitole, à

partir du 10 octobreAre minimum r 12 asse ; maximum

18 ans.

AUX MUTILES DU TRAVAILNom rappelons une fois de plus

à nos camarades Mutilés et invalide,du travail que l'inauguration de laMaison du Mutilé aura lien dim.-

?Instsede élnese'I'esIenhoj55

sont priés d'assister à nette mani-festation. Raesemblement h la Ma-san du Mutile, rue Atexandre-Four-

tag!snerni IesLet lins ce niparticiper an dejeunee fraternner ;niaura lieu à risme rie la cérémonie,sent priés de se faire Inscrire luis.qu'eu 00 septembre inclus et d'enans-natter te mentant.

Avis à retenir. A partir de sa-medi 3 minime, la permanenee seratransférée à la Mame/ du Mutilé,51, rue Alexandre-Feurtanier.

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DES COQUILLAGES A L'OEILHier matin, vers 8 h. 45, Mme Ma-

thilde Bouteille, née Segonne, demeu-cent rue de la Briquetterle, senne.-talé que le kiosque qu'elle liens panela vente des huiltres, au compte deM. Esmieu, ouais été fracturé et qu'ons'était emparé pour environ GO free.de coquillages.

Sur plainte, une enquête est ouverteau ler arrondissement

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Hier matin, vers 10 h, 30, M. lecommissaire de police du 3e amen-di.ement a .été informé m'un occi-dent d'Automobile vennit de se pro-duire et que le blessé venait d'aire

LnanserneeenidedHe-ir Phnmn"in nie teL'automobile conduite par M. Mar-

ter iroedenze el(:;zel.renversé, dans In commune de Fe-nouiltet te Imre André Sa/les, kade 8 ans, domicilié chez ses perse.,dans ladite erimmune.

Cet entent, atteint de diverses bles-sures. dont une fracture dus crâne, amea leu premiers mine de M. le Me-teor Berme cul e ordonné gon trans-1pet immediat à l'Hatel-Dieu.

Son état est grave. 1

Le parquet et la gendarmerie ontété emsee nar les seins de M. le com-m.:mire de police du 3e arrondisse-ment.

L'AUTO ET LE TRIPORTEURAvant-hier, vers 17 h. 40, une ma-

mbos sens modeste, rue de la Co/ora-l:sate, mitre ratssse conduite par M.Gril, rue Masa Na. 551e triporteur

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aPPartenant à M. Lem, me de la RETRAITES DE GENDARMERIEColombeite, 8, qui Maternisait devant eeeeéuniou gdnénule meeeeeneson magasin. devait avoir lieu dsmanche 4 octobre

TmouvAIELEs est reportée an dimanche la octobreprochain à 2 h. 30 du soit

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an. clé;Sr. Renda-vous musiciem jeudi a 21petit chien; to mEie c" hur. Mises esté Delmas ante deerneetAuebrdepri,dré: mderilledmiiaLelymoLM,te B

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30 septembre 1931. h 9 heures précises dasoir, à la mairie de Toulouse, salle de /a

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leur pèse, beaseeere, eland-sière. onc/e,cousin, parent et allié, pieusement décédélà raz. de 88 me ei vous miens de vouloulbien assister O ses obsèques qui auront lieu Iaujourd'hui, meresedi 30 septembre 1931,à 14 heures, en rée, de l'Issenacelée.1Coneeption (Faubourg Bonnefoy).

O. se réunira à la maison mortualrel62, route de Laveur Sans barrière). I

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LE REVEIL DE BONNEFOYCe soir mercredi et vendredi, ré-

pétition au siège. Présence de ri-gueur; graves décisions, à prendre.

CLUn DU .1.,,,,,,6reeaTGITED00Le soondtnie,

prie les membres actife du Club du

eLnisteenguttnar dn na réuein pen ente7ebleliende d'as.-is-trée, qui aura lieu as liège, quai dela Daurade e, le jeudi ler oetobrecourant à 21 heures Mas précises.

A l'ordre du jonc oea000isueino

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me/wu "nrGAPONNEElections cantonales

CANTON DE SAINT-LYSNotre camarade Ernest Esparbee,

candidat â l'élection du conseil gé-néral donnera des réunions publi-ques et contredictoires dans tentesles communes du canton, les jourssuivants sSAINT-THOMAS, dimanche 4 octo-

bre h /4 heuresEIIPEAUX, dimanche 4 octobre à

20 heures ;

SAINT-LYS, Mardi 8 octobre h 14heures, avec le °encoure de notreami Vincent meulant qui présenteinIn candidat aux éleeteurs du can-ton

CANWENA111,1, mercredi 7 octobre à19 heures ;

Seetion PARATRE, mercredi 7 octo-bre to 2/ heures',

SAIGUEDE, jeudi 8 à 20 heures;LAMASQUERE, saMedi 10 à 20 heu-

resFONTESILLES, dimanche 11 à 14

heuresFONSO BONREPOS, lundi 12 à 20

heures ;

FONSORBES, mardi 13 à 20 heures;BRAGAYBAC, mercredi 14 à 20 heu-

reS ;Ste-FOY.DE-PEIROLIERES, jeudi

15 â 20 heuresSA/NT-LYS, eamedi 17 à 20 heures.

Des affiches seront apposées pourfaire °annate° le lieu me aura lieula réunion.

REVELCONCOURS AGRICOLE I)E RE-

VEI« Dimanme 27 courant, leSyndicat d'initiative de Revel quiavait pris une plie très importantedane l'organisation da concoure agri-cole de lemme ...sait à l'Hôtel de/a Loue en un banquet, diverses Per-sonmlites du monde agronome el po-litique.

A la table d'honneur que présidenotre ami Ausiouy, maire de Revel,nous avons remarque la présence deMM. Malin., Duchein, SavIgnol, sé-nateurs; Henri Auriol, débuté, Dutpouy, conseiller de préfecture, re-présentant le Préfet, César-Bru,ce-praident du conseil général,doyen de la Faculté de Droit, Rouet,président de INCE. agamie, 13astie,13erzeille, conseillers generaux, Con'einet président de la Chambre d'A-griculture, Maunoury, adjoint eu mai-re de Revel, ainsi que certaine con-seillers municipaux, Castex, arec-mur dee Serviecn egricoles de la lime.f S pf à la Fa-culté des Smenees, Leygnes, Prof.-eeur d'agriculture, Meylin, professeurd'arboriculture, Derroy et Vives, di-recteurs des Compagnies de Cheminsde fer des V. F. D. M. et du Su -Ouest, Campaing, attaché au serviceagricole de la Compagnie du Matale commissaire de police de Revel,M. Claude elarty, président de PUnion d. Syndicats d'Initiative, et lebrave M. Piquemet président du Syn-dicat d'Initiative de Revel.

Au champagne, M. Fiqormol remercis tous ceux qui ont rependu ârappel du syndicat d'initiative, et in-dique que celui-ci sera touioam à latête des manifestations de Revel.

M Cousinet entretient l'auditoiredes belles bètes, dcs beaux fruits etdes belles fleurs qu'il a vus au coursde sa visite au Concoum agrieele; ilmontre le progrès constants de l'a-griculture française', il demande auxagriculteurs do s'unir en vue de fairetriompher leurs aspeetsons,

SI. Duchein parle lui aussi des be-muss de I agriceltu e, notamment de1 exode des habitants des campagnevers la ville; il préconise certainsmoyens pour l'arreter, et là, notresénateur n'est pas d'ereord ame H.Auriol, deputé de Villefranche-de-Laure:rais, qui le lui a fait remarquer

M. Henri Auriol dénence lui aussirabandon des campagnes pour laMlle et envisage ce qus pourreit etrePoil pour résoudre ce problème.

Prennent emuite In peole MM.Boume, César-000, qui, lui, préconisela fréquentation rigoureuse de rée°.le par les enfants des campagnes.

M. Claude Marty parle au nom desSyndicats d'initiative, Mus meais àl'agriculture.

M. Dupa., conseiller sle Prgfem

louoW'sseuxne2dUte. de la'Béeeliqua.Notre ami Audouy. Maire de Re-

vel remercie les oreanisateare dela fête, et parle des d iffleult4squ'éprouvent eerta. habitantsd'une section de Revel pour avoirde l'eau potable. Cette question esttrês lengue à se solutionner, enraison de la dualité, entre Msnistèrede raerieulture, et celui des Tra-vaux Publics.

Notre rédacteur E. Fabas clôt lasérie des discours en portant ms

tett Lnatour du C011000TS Agricolcoucousgènes pu Animai, la haantil desbêtes, légumes, fruits, et fleurs ex-poséed.

E. TUBAS.

Montesquieu-VolvestreNOS ECOLES. Nos écoles cette

année changent presque Rus leursmaitres, sauf e1. Couzinet, utileGoma/ et Mile Fabre. Nom regret-tons le départ de M. Prévost quIprend sa retraite, nous lui devons Incréation de rinterpat et la réussite

des nombreux élèves qui se sont suc-1cédés sur Ion ban05 du cours com-1plêmentaire. /I reste notre voisinimmédiat et- ses contais seront toua)jours lis bien venus pour la eonti-Inuation de Pieuvre laïque qu'il acréée.

Mme et M. 011é, pourquoi faut-if 1qu'ils aient eu h noue quitter, nosregrets égalent les leurs et noussouhaitons qu'ils trouvent dam leurnouveau poste la sympathie et leu.time qu'ils avaient ici.

Mlle Simarre si aimée de ses gos-ses et si exigeante avec raison .poureux,

M. Riyals qui nous serait resté, sisa vie de garçon n'avait été inter-rompue par tes doux liens qu'il s'estcréés.

Nous souhaitons la bienvenue àeeux qui vont /es romp/atm, ilstrouveront chez nous raide moraleet matérielle qui fait olifant end'antres régions, pour l'instructionet l'éducation des jeuees, /a com-mune de Montesquieu fidèle à satradition fera tout ce qu'il est pos-sible de faire Nous sommes sûrsqu'ils répondront h notre idéel bi-que et humanitaire.

Que Mme et M. Auleenque, MllesBellières, Dediee et M. Bentajou, sa-chent qu'ils viennent dans sm paysqui ne leur managera pee le, encou-ragements.

RENTREE DES CLASSES. ---Avant la rentrée qui est fixée ahvendredi 2 otcabre, lunnoounsu didrecteur de racole de garenne et ducours complémentaire, se tient touales jours à la disposition des limiteles pour rinseription des éleves.

/I rappelle que l'internat conti-nuera à fonctionner ; les enfants ytrouveront, comme par le passe, debons seine et de la sollicitude. L'en-seignement au cumins complémentai-re sera donné par deux matireu sué-cialssés qm prépareront aux diffeerents examens et concasses de Pen-elimement primaire (brevet, étolenormale, postes, commis du Teesor,Moles ménager.. etc...).

CASTIES-LABRANDENEUROLOGIE, C'est avec tris-

tesse que nous apprenons le malheurqui fraPPe dam sa plur tendre affec-tion notre camarade Latrille, par laperte cruelle qu'Il Vieht d'éprouverlep/Ir:0%7%e .17e

septembre,pèrre. d ed e d a

An nom de se Section somaliste,esoya adressons à la famitli éploréenos bien sinearro condolemc., ersLe eeerétaire, Jean Viviès,

Montaigut-sur-SaveAVANCEMENT. C'est avec oui

vif plaisir, mêle de regrets pour sondépart, que noue avons appris l'avan-cement snérité de notre jeune lestas,triee, Mme Aubrespie, nommée àToulouse acole des Fontaines).

Pendant les cinq années d'ensei-gnement dans notre chère clinmene,tous les ans aneseure éleves ant eteprésentes aux concours pour l'obten-tion du certificat d'études ou debourses pour rEcole mPériemestoujours sans menne exception ontoie reçus dans les prenne. numéros.

Aussi, malgré le plaisir éprouvepour votre avancement, c'est avec

'ic`fLirde'reelae,ieeoosvoient Partita

Que nos meilleurs souhaits de mntéet de bonheur vous a0e0mP0Eneat àvotre nouveau Polie.

A Mme Bourdelle, notre nouvelleinstitutrice, nous mu/lestons une cor-diale bienveme et lui réservons lemeilleur accued.

Le souci de votre santédoii vous y décier

G,...pe De,bale

Les malaises que vose eprouvez esprésagent rien de bon. Si ces ma)ai-ses persis.nte la maladie ne tardera

cous us dée>ninnilerU 'taire sas% retn ead a,p-pel aux Pila,. Pink, afin de prmetrer à votre arganseme affaibli unsang plue via:arma, plus vivifiant,plus riche en globe]. rouges et enéléments nutritifs.

C'est, en effet, parce que la ri-Mem de votre sang set amoindrie,

Cn oue sentes fatigué, débi-, 'Liers neutre. coque vom souf-

frez as seaux d eeboame. de maux dateta de pointede el., d'op-pr.sioli Ayezdonc remetsa u u PilulesPink; voue Be-r. eurpris - dubien - être am. médicamentveus procurera-

Voici ee quedit des PaulaPink Mme Lus

esse Tavenas,Mme Leile 'Lasses, rué Anatold

ICI fend.) France, à Vil,lcurbanne (Rhône) s

ss Ayant été opérée, j'étaie rat(5Iris affaiblie -- déclare Mme Tay,me. Je ne mangeais presque pas, volI e n'avais prie dpétit, j'erouvaisIds ;I,: pesai Isdoe 12,6 ed,'apeis:iadt.i

podndd.

esourdissernente, des bourdonnementedans Ise areillis et je souffrais lim-er., do pointe de côté. Les Piaule%Pink mers researesraMement réussieEn tr", 'iii de kerma j'ai reprisben appétit et mes forms n'ont pastede h se retabsi-. Aujourd'hui,grâce aux Pilules Pink, je Buis trèsbien portante. e

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"..__Beffl

THEATRE C CINEMAQuelques films français

, Faubourg Montmartre est un romanplein d'observation, de douceur, et pitié,reg. de son auteur, M. Henri Buter'anis, et qui, en outre, des caractèrespeut-étre plus accentués que d'autresouvrages du même écrivain. Le cinémase devait de s'en emparer. Il le lit na-guère avec un bonheur bien minime.M. Raymond Bernard vient, à son tour,de traduire Faubourg Montmartre enfilm, mais parlant, - perlant beaucoup.Il n'en a pas moins fait preuve de que-

Mue Crau MOULUT'dans Faubourg-Montmartre

s, d'abord d'une probité incontestafflen ne trahissant rien de l'original, Puisn ne cherchant osai supprimer des U-

t ils qui importent, et c'est, comme 00111n gros morceau. On y aurait souhaité

moins de texte. Choit difficile? Sansente.La plus grande partie du 111m se di-

t oie faubourg Montmartre, comme il sedoit et surtout chez les deux filles dupère Gentilhomme, un vieux voyageurde commerce. L'une, Chine, s'adonneà la cocaïne et est l'amie d'un souteneurqui veut lancer dans la galanterie l'autrefille, Gine., laquelle finit par MiOrnphordes embûches et de la maladie grâce àl'aide de Frédéric, un provincial char-mant et sensible qui na moment a étéfa dupe d'une artiste de music-hal/.

Au moment où l'on croit la comédiecouinée, elle rebondit, dramatique encoreCéline est folle, M. Gentilhomme estmort. Civette est rejointe, dans le paysoù elle habite mes de son ami Frédéric,par le voyou qui fut l'ami de Céline.

-Celui-ci, congédie par Frédéric, contraux habitants du pays que Gine-te est

du faubourg Montmartre ». Un chariva-ri s'ensuit, que déplorent bientôt les res-pensables, car il rend plus malade lapauvre Ginetm... dont nous espérons laguérison,

L'interprétation est du premier ordreavec Mmes Gain Morley, Line Nom,Pauline Carton, Flore°, MM, CharfesVanel, Pierre Bertin, André bubons.

000La troupe qui joue le Juif Foloneiv

n'a pas, à part le remarquable M. HanyBaur, la valeur de cet ensenible. Cerf.Chacun loue avec soin, intelligemmentmême, mais personne ne donne l'illusionde 10 0011116 absoiue si l'on excepte leprotagoniste, tout O Mit digne du rôledifficile de ce Matbis, bourgmestre alsa-cien, miellé et est rongé perla peurplus encore que Par les regrets.

L'IDOLE

FEUILLETON DU « MIDI s

Atout... cur) est une comédie gaietirée par M. Henry-Roussell d'une pièCede M. Félix Gander. C'eut, même, plu'la un vaudeville fabriqué, calculé, oùand tombe mathématiquement. Il estbien loué et, pour an elle, remarquable-ment. Na contons pas les détails de cet-te histoire d'us monsieur marié sans le

Mora que ses Paniers ont servi àun voleur et qui finit par etre henteterde °fennecru sa lemme, laquelle ne s'enréjouit pas moins. L'aventure d'une pe-tite provinciale, très rota« d'une h"...chi. qui désarme vient corser l'intrigueprincipale. Et les arrimeurs du genre s'a-museront. MaH ne parlons pas do arts.Mlles Alice Cocés, Jane LourviAngelo, Mareel Lévesque. Saturnin Fa-bre jouent avec raient ce Mn/ té MlleMore/le est fort diverdssante.

0 0 0Mam'zelle Nitouche n'a pas quitté le

répertoire des théâtres d'opérette et destournées. Voilà sans doute un événementqui va leur causer du tort, car la POnsest portée au cinema de tacon à amuser,et, de surcroît, lui donne une interpréta.don hors ligne surtout avec Raimu, d'uneampleur bouffonne, excellent dans le cé-lèbre rôle de Célestin Floridor, l'orga-niste compositeur d'airs légers qui, encela. ressemble à Hervé, Fauteur de lamusique.

Pourtant, 11 ne faut pas chercher degénie cinématographique dans ce filmet la parole ne ces. guère. Aloutonsque l'Ingénue est représentée avec gentil-lesse par faine Marêse, la leunemuse quiqui lut tuée cet été dans un acci-dent d'automobile il SairiPMaxime.

Il n'est pas utile de résumer le su-jet, bon eniant.et trop connu, de KM,telle Nitouche, mais vaut-il m...s con-ter l'histoire de Rien que la vérité, vau-deville français fabriqué d'après une PH-ce améocatne 510e y avait tiré tomesHs conséquences de la franchim dans unteilles do mensonges, nous aPPleudirieas.mais ce n'est qu'un farce bien montée,qui ne Surprend personne, et qui sautspublic - fort Indulgent et bielle 0amu-

000Entre autres films, nous commenterons

la semaine prochaine la Chien« etAprès l'amour, le premier Malaire Parle roman de M G. de La Fouchardière,et qui mérite une vive estime; le se-cond, plus théàtre » plus plein deconcessions au succès Hl,

Charles JOUET.

100,1 uUcTn'uu'lotie le 000ulaur du M00000

LA MUSIQUE- Den. musiciens étrauxers qui vé-

curent Mngtemps en France on im fi-rent leurs études, viennent d'obtenir dansleur pays de flatteuses d.tinctions.s'aga de 11.1.1en Casella, qui a été nom-mé commandeur de la Couronne, et deM. Mach. Turina, QUO la non.> Ré-Publlque espagnole vient de nommerPro.sseur au conservatoire de Eadcid.

Plusieurs instruments nouveaux ontété présentés au Congrès de musique mé-canique a muni. Parmi ma P.. 5.-hem on menale le Menertion, qui futentendu M pour da première L'oc-tave de cet instrument . divise en dixdegré. ce qui donne une parnme étrangeformée d'intervalles tout fait incon-nues. Lai présentation du biellertion futaccueil/. par une réact.n violente MtPubac. mi-enthousiasme mi-indigné de-vant ces wnorités invraisemblables.

Les concerts du GewaMheus.hen.. Célébeey en Allemane et dans hemondo entier fêteront, le 25 novembre,leur Cent cinquantième anniversaire. M.Bruno Walter, qui est d la tète do cetteorganisation, sa Prouvant en Amérique.sera remnimee par m. CC/flirter le JourOu Jubilé. Il partexeru .tls année ladirection de Yorchestre avec mm. Earlstraube, Edwin risoher et Abeedroth.Le saison comprendra seize grands con-certs et eera princtpalement consacréeaux compeetteurs altemands. Elle se temminera. suivant la tradition par l'exé-cution de la Nein...« suninhonle,

AUX MAINS BLANCHES [Par André LORNEAU

Le personnel du palais devait avoir la galerie, derrière une statue de.tendu 1m échos de la scène tragh porphyre,

Comme une nuée de moineaux, desOn allait accourir... Par où nous serviteurs a demi-vêtus, apparurent

échapper 1 au .uil de leur dortoir, sous les pot-Une idée merveilleuse germa dans tiques qui entouraient le jardin.

mon esprit agité. En que/ ues secondes, les allées fil-Me montrant sur la terras. air la rent remplies d'une foule de gens

fenêtre d la vitre brmee, que Oakooe alarmée : gard., nègres, fellahs,avait utilisée après moi, je me mie jeunea esolav., palefreniers... qaivociférer t montèrent à l'assaut de la bâtis. parA pnide A l'awasin h.. les acabiers extérieurs et Be voltent

Non, nous iiecrouphnos msuite sur vers les appartements du prince.

f'er en'rel"e`eroge,?ei:e.R. gLeZe.

L'étourdissant jongleur Rastelli, quiétonna tant leS PdrefenS ait WUes de

reiaon derniére, vient de faire sarentrée ou Cirque Merano. Chaquesoir. si remporte un Pereitabir triomphe.Pus ne acnnatt paa Restent ignore dquel are peut atteindre la tongteMe !Et avec cela. guelte vie, quelle vivacité r,Benet court en tous sens, saute, ges-Zieute et rit sana jamais ce,ser de Ion-e«, 11 donne rimpreasion 5005 ccloue ibie Pria de l'équilibra 10 sembleout ereace Une arma aon surna a-selle sur nes bannis et les ekas menmanipule. C'est no jongleur Melle..et MégraM, 00 travaille arec ses main,ses pieds. son cou. avec son corps tontentter. R'est soue nu tonne,c d'apsta.

R.I.STELLIdiesements qu'il danse en Jonglant avecdes torches «lamées et Ordil les Mnieensuite taon'su toit dans ta salon obs.pure, en un vaiatable feu d'artifice.

Restent est vraiment rasta Ses Plu,grands «list« de ta piste conteniporai.ne et son numéro test comme te sontces. dora Mme, d'He Chaslle Rivasou d'un Grock. dons des antres dB«,rent. est littera/entent sensataninel.

ira c/mens Vieira, Porto et Carle-«, figurent no 'terme prograatme. Leurmec., s'il ne lait pas «Mer celuisue remportent deeent le rine'« publluleurs e co/Htmes s Antonet et BebY,n'en ut pas moins três flancs,

Le Congrès National

du cinéma éducatifLe congres du cinéma éducatif, u-

vre si intéressante pour le sentier..art, aura lieu au 28 au 30 septem-bre, au siège de la Oinématheque dela Ville de Paris et du sous-secréta-riat de l'Enseignement technique,rue Rebert-Estienne.

Le 28 septembre, la séance plénièresera nrésidée par notre ami le sena.teur BreMer. devant les rente-sentantsofficiels dos Pouvoirs publics, des lot'verses Chambres syndicales de l'indus-trie cinématographique, d. syndicatsd'instituteurs et de professeurs et desdirecteurs d'offices

mm.gionaux,départe-

mentaux et counaux du cinémaéducateur, du cinéma agricoie etrientation prePesslonnelle.

A l'heure on les cath.iques font ungros effort eu faveur du cinéma - etquel cinéma! - 11 est indispensabled'accorder l'importance qu'elle mériteà cette manifestation éducative.

Salt-on que le chanoine PerinundObtenu du Syndleat let grands réseaule bénéfice du demi-tarlf pour ges ad-hérents même faVeur a été re.finsde aux deeguês du cinéma éduca-tif. Et, pourtant, denx ...tètes pa-tronnent leur congrès!

Re.715 COmmentair, - L.

On frôla la statue, sana se doutere outre pelc000t,Quand cette horde mugissante eut

pénétrée dans le palais, nous sortî-mes de notre cachette et courûmesvers le pare.

ous arrivâmca devant le premierpylône.

Le lourd panneau de bronze étaitentre-baillé. Des domestiqua venaientde passer par là.

Nous courûmes d travers la coursablée. Les portes d'entrée étaientcloses. Mai ale trousseau de Beksosdevait nous être précieux

A /a troisième tentative, une clefs'adapta à la délicate serrure.

Rapidement, nous Minee bore del'enceinte abhorrée.

- Jacques, articulai-je, esoufff.Nous voilà /

Il agita son bras...Il avait déjà conduit les chevaux

d côté de la muraille.Je grimpai sur une monture. Mon

ami aida Ginette à se hisser contre

ro

setocmceit4«,

es'épis.tases ses-à.

11,2 KID/ SOCIALISTE

La brillaMe troupe varsovienne daMme Haminalca a donne avant-hier,laps la magnifique nouveBe salle de laMutuanté une représentation parties.lièrement réussie de Notre-Deme dePar«, de Victor Hugo.

L'assisMnce enthousiaste a longue.ment applaudi les artistes, qui ont Jouéen yddish, avec un remarquante brio, lechef-d'uvre du grand poêle /tançais.

M. Parlers fut merveilleos de réa.lisme poignant dans le rôle de Quasi-modo, et M. Isaac Grudberg rmonstitueun Frollo ténébreux et atroce Saoulait,ni rant aussi signaler Vartiste de grandtalent qu'est Mme. Bout-stern, qui Ira-dniedt avec émotion le rôle Cc la méredamera/da.

Bien entendu, celle-of -1x001010 parMme Kaminska elle.même -1000 avecfougue, Heine de sensibilité, d'esprit etde (Marine. 011e fut acclamée. Il fautencore mentionner 91. Cros, dans lerôle du chevalier Phbne, ainsi que1I01. Berger, Friedrichs, Sehit fmer, etMme Traumann, dans les 101m detruands, truande, capitaine des gardes,

Le Théâtre juif, que MM. Hosenreldet Lachtiger dirigent avec talent, a faitréellomem d'heureux dams a Pariset démontré, une fois de plus, les qua-lités dramatiques et scéniques de la raceIsraélite.

Jean' LONGUET.- Dimanche prochain, les mu-

rate artistes interpréteront la clé. in-titulée Le Conerdleur.

LE TOURDU MONDEM. Einth. Voit/minez, dans Cine.s.

pa,ne, oubli,. ces observations:nutes tes foules sone sensibles

aux atones effets, abaissent Pace.,ment aun mimes sa/licitations et separtagent fraternel/entent un petit ca.

osem restreint, a./amour et di.rouie. Il est estrionement more«t'intéresser tout t'univers d une000e si si On la maintient dans les li-mites de ce « domaine publie s.

a Et c'est ce qui explique /a médio-crité actuel/e du Wei trop system«.quonent internationalisé. Lu peur desortir de ce pauvre domaine coolieparalyse les auteurs et les condamneei /a plus nacrante pusillanimité in.«Un:luette.

. Er noyer yas les bona amines qatnoue affirment qu'il est très difficile

Pe,":."00C.1e,k,f.:17;:e"=::beweoup trop aiso'r tatoua. s'enOtell é 45 routM commerfi,aledee:o,gie

'indruisfon e MtetteimeltoseesOO

et de créer da ceeivres infernalienaleade oyant&

a L'e n'etc pas impossible. On noue010m P0 encore en nous affirment vuetee peuples ne ltr07re vit aux

-es

cors quotidiens, d /W15 habitudes de

C'est jar«.1 Ln foules «ne tolvjours heure«. faire le tourmenue da. un faut.. dseteheefre,Ir pêne... dans des intérieurs in,soupçonnas, d'obSereer des façons Ire.ere inédites, de «atter d« villes in-connues. (1000 une joie pour un ci-toyen d'Innsbriick de voir commenton evrt une consommation dans uncafé de Lisbonne et ta menavere sms-se inventorie avee la ptus vive mino-rité le mobitier et les suintait« decuisine tgunc famille caucasienne. a

moi, VuiuounpaH la fatigue, ma 0h10eise'leenulsanteemesbrcs.

Je n'eus qu'a toucher la bride, moucheval .2 mit à trotter av. 1.211-tann.

J'eentendais l'autre animal qui sui.vait fidMement.

Au palais, aucun appel, aucun Va-Parme.

-- Vous êtes lasse, mon ange, de-mandai-je en' embrassant 1m jou.froides de Oinette... Sur. heureuse.Nous sommes libres et, dans une heu-re, noua .rons miro de ce pays.

- Ob I Etienne, murmura-t-elleon ouvrant scs beaux yeux rulgu-rente, comme je suis bleu serrée survotre cur L.. J'ai tellement souhai.té as revoir depuis deux deux semai.nos, Je nie demande si c'est vrai I

- Oui, no. sorrunes réunis aprèsles torturantes éprenves. Je voue abme- Ne songez pIn ou passé. C'estune nouvelle vie qui contra.. ceboire

JaCallio. était près de no. A tout

L'UNITE SYNDICALEEST EN MARCHE

n peut dire que le Congrès de de la résolution confère é ,rturdla C.G.T. si vient de se ter-miner, a ltd dominé Oui en-tier par la question de l'Une.té Syndicale. C'est anse tint

satisfaction profonde gu'i' faut orregistrer les résultats obtenus.

Je redoutais un peu, je l'avoue,qu'au cours des débats ne surgissentdes polémiques violentes et dans ledeinier terticle consacré d ce sujet,j'exprimais l'espoir que les discus-sions seraient conduites de Partd'autre avec ta volonté de ne paxtroubler l'atmosphère de

fraternitéprolétariennenécessaire a la recona-traction de l'Unité Syndicale.

Cet espoir n'a pas été déçu,contraire. Quoique ne figurant pasexpressément dans l'ordre du jour,le problème de l'Unité a. été posé detelle manière qu'il fallut lut fairela plus large place.

L'id 4e-force d'Unité planait surtous les délégués et les animait puis-samment.

Et d aucun moment. le débat n'agon. de ers violences. de ces « mou-vements nuisent el qui lais-sent des rancunes indélébiles.

Donc progrès, progréa magnifiquede l'esprit d'Unité, tel me paraît leearactere qui se dégage de ce Con-grès.

On me permettra de dire que l'ac-Siun du mouvement dit des « 22

me semble pus étrangère d ce pro-grès que je souligne. J'ajoute queDigat, un des a 22 », parlant aunom de ceux qui. au sein du Con-grès, avaient défendu celte conven-tion, a eu raison de rie F05 50g.poser à la résolution fin«e surl'Unité qui, ainsi, a pu réunir laquasi-unanitnité do Congrès.

Certes, la déclaration de Jolthauxa grandenient facilité cet accord etOr secrétaire général de la C.G.T. afait preuve en la circonstance d'unvéritable esprit d'unité et d'unecompréhension large et haute, desévénements qui gaussent irrésisti-blement d 00 formation d'un bluecampo« el cohérent de tous les tra-vailleurs.

Elle donne son véritable sena d larésolution volée et elle. la marreprofondém d.ent d'une volonté a.d'unité.

La thèse des 522,, n'a pas triom-phé mais il serait très injuste dedire que l'Unité Syndicale oété ré-pudiée.

Soulignons dora La résolutionadoptée, qu'aucune condition ne doitétre mise à la rentrée au nein dela C.G.T. Voita un point foottant, et qui s suscité beaucoup decontroverses, élucidé et réglé.

Soultynons aussi, que des assem-biles de fusion, des. organisationsde Pool, sont préronmnis

Burin.jg zeitstdère Die Cet alinéa

RADIO-TOULOUSE/2 h. 45. - Concert CHir matin (Jean

Jean). . Le Carillon de la Forêt Noir.(Dopier). « Le Perce-Neige a: . Adagiode la sixième sonate (Bocchérmil.

13 heures. - Orchestra symphonique me-denei . Val. du Pus dus Flems (Deli-h.). . Mariage en Orient 1Pfiefivsteli.

Douce caresse s. valse (Gille): s Amotsdimret I IRuscli s Les 12i,llurs de(Guertero); o, Ralrens . tGoerrercd,de Madrid (Guerterol; s Lasmiemaa(Guerrero)

13 h. 30. - Informations.17h. 30. - Premier bulletin crinforma

tiens.17 h. 45. - Chansonnettes.18 heur.. - jazz./8 h 15 - Chants

russes..18 h. M. - De.sième bulle. .d'ictus.mations.

18 ,45 - Ordhestre symphonique etmusique t

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vue d'Assouan. Tout va bien.Nous atteignitnes lea carrières loi

dominent /a ville, Les maisons bas.ssurgirent dans le cadre verdoyant despalmiers

bu route descendit. Bientôt nousfûmes dans 115 rues déserte... Alorsnous ralentira. notre allure.

Poussons jusqu'à R gare, dévia'rai-je à Jacques. Vous ramènerezensuite les chevaux.

L'écurie du loueur sera ferméemaintenant, répliqua-t.il.

Vous attacherez les bêtes devantpouvla porte. Nous ne ons pas les

mebarquer pour le Caire.a 1. huit o livr. if de Deni.donné. en garantie

- F,Iles seront perdus. Tant n'A.Notre sécurité avant tout.

J'avais résumé â Ginette, durantIn trajet, les péripéti. de mon odysSée depuis mon départ de Beaulieu

une signif ication partscultèreLe Gonerès croit devoir Indiquer

qu'une camaraderie constante pra-' affiliés à

legt.r.lriellétgraarr diesurgavaieursdes autres groupements syndicaux.produirait d'vxcellents pesullalà,profitables au succés des revendica-tions de notre Gonfédéreflon et amè-nerait entre militants des différent«orenisations syndicales Paname-ment tant désiré.

Bien entendu, je pense que cet ap-pel sera entendu et que de Pmr1 etd'autre, cette camaraderie sera pra-tiquée. Mais ce passage est enter.-sari parce qu'il s'inspire de cettenotion d'unité de elasse qui consti-tue le levier le plus pniscant en fa-veur de l'Unité Syndicate.

Le Populaire, qui s'est toujoursmis au service de la cause de l'UnitéOuvrière, ne peut donc que se «loua,pleinement de l'issue de ce Congrèsgut sera une date dans l'histoirede la C.G.A.

gean ZYROMSKL

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réponse Ecrire DIRECTION, Fg. SaintsDavis, 23. PARIS (Xe).

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mations19h 45. - Tire ton soufflet (Paola Cl.

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instant, il se retournait pour txami- et je lui avais parié, bien entendu, - Hâtez-vous.ner lachnaussée. t-disaii1. Nous sommes en g e m. émotion.

de m. deux amis qui avaient parta- «Mette avait Une allure excentcl;Mie avec son peignoir juttio auElle parut contramiée en apprenant chevilles ses pieds nus dans riesque Denise m'avait accompagné. bouettes 'et sa capo trop courte.

j'51ese.nrontotns mldani

le trêin qui est déjà formé. VoUSehn s ou Ce MM vous Convient.

Je les htissai filer par Inc Fele.Porte et j'attendis JacqUen dans le

Il reparut promptement.Nous passâmes sur le quai.Les deux jeun. filles venaient

Devant la station, Denise. .ucieu- Oinette avait enfilé une robe dase, faisait les .nt pas... Elle penses ,erge bleue, des bas et des sonlie.une mmlamation joyeuse en nous de Denise. Elle avait coiffé une te.apervevant. Inc de feutre gris.

Ginette glissa d terre. Les detist Nous hi f. s dâmeS de na cOlfIeeljeunes filles tombèrent dans lea brasl'une de l'autre. - lus trnin devrait partir,tiPllFr,A mon tour, je sauta de cheval et nonoa-t-elle. Je crains tor. "-je passai la bride de ma monture à voir bondir un domestique d'Ali BelfJacques, en conseillant

- Vous pensez encore à la ba.illede fleurs de Luchon I hasardai-je,C'est vieux et bien oublié

I Deni.

qui sait gi je se.is parti, qui saitsurtout si je serais arrivé f G'eutelle qui a contribue pour beaucoupd votre délivrance.

2e vouloir venir avec moi. Sans elle,ueyroix... Elle a été bien bbnne

IIIAIMIMAIIMM31111ftgimisennstumnanulmeemenumuseei

Pour les E_IectionsCaulonalet

L'AFFICHE-MANIFESTIOU PARTI

La C.A.P. a décidé d'éditsenaffiches format colombier h

Manifeste lancé par le Partià l'occasion des élections caste.

'Ce. ".affiches Seront expédiée.sas Secrétaire. et Trésorier.des Comités cantonaux au prixde 0 fr. 20 franco l'exemptais.,

Adreseet tee commanda secompentee de cor montant asDirecteur de l'imprimerie Pasva, 9, pH. Fontaine-des.Berres, I Limoges (flusteglenne).Moue postas Limoges 107,

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mine; s Le Barbier de Séville s (Rossini)Aie de Ru,ii,a . Sophie Amoult v (Pie>nél J'H dia moutons.

H h. 45 .- Guitare hawaïenne.22 heures. - Concert Radio-Disques.22 h 33. - Quatrième bulletin d'inf.-

Mono22 h. 45. - Mélodi..23 heures. - Heure de, auditeurs.23 . 15. - Cinquième laullain

matrone23Or. 30. -- Suite de Meure des midi,

murs.23h 30. --24 hem.. - Bulletin météorologique.

TOULOUSE-PYRENEES12h, 15. - Le demi-heure llinaphona12 L. 45. - Concert symphonique Pro

gramme Belle de Chicago g marcheDépéch.e Télégraphique v. valse:

mont ouverture: s Lulu s. fantaisie.« Paula v, fox . Les Huguenots mandesélection, « Passionnément v, fantaisie;« Idylle passionnelle gr Adieu mon molofficiel ..

17 heure.. - Concert de musique entea,

10h, 15, - Relais do gEcole Super.escodas P. T. T. . Radio-Journal de Frao

20 heures. - Emission du Journal Haitde Huit Heure. do Soit, présenté par NtLOI. Lestais,

20 b 30. - Cours de comptabilité.20h. 40. -Relais de l'Ecole Supérie0

me des P. T. T. de Parie, retrammissiondc Berlin. Concerto grosm en soi minets11-feendelit d-archet., Affemoso: Allegroman., troppo, Muset., Allegro r ; Can-cer. pour violon en re majeur IBretho.vent: Allegro no non troppo,rondo. Variations et Fugues. Pots efii'he.Ore mn un thème de Mozart (Reser), Orcheetre symphonique der Berbner Fenhe,.chester, mus la direction de Fritz Busch.chef d'orchestre Adolf Busch.

Informations de la dernière heure Ellesique de danse transmise du Coli... ilsPari. jusqu'à 24 hemes.

FAITES DES ABONNES AU « MIDI

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RoNEet faites !marin y'r R NE fait paeticipar sa

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cietzt. Carnet de Com

RASTELLI LE THEATRE JUIF

auCirque&drallo à la "Mutualité"

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