Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs...

22

Transcript of Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs...

Page 1: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 2: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

Paramount Pictures

présenteune production Platinum Dunes

Gama Entertainment / Mednick Productions / Heavy Metal Production

Un � lm de Jonathan Liebesman

DistributionMegan Fox, Will Arnett, William Fichtner, K. Todd Freeman, Danny Woodburn,

Noel Fisher, Jeremy Howard, Pete Ploszek, Alan Ritchson, Minae Noji

Producteurs exécutifs Denis L. Stewart, Eric Crown, Napoleon Smith III, Jason T. Reed

Produit par Michael Bay, Andrew Form, Brad Fuller, Galen Walker, Scott Mednick, Ian Bryce

D’après les personnages des Tortues Ninja créés par Peter Laird et Kevin Eastman

Scénario de Josh Appelbaum & AndrE Nemec et Evan Daugherty

Réalisé par Jonathan Liebesman

SORTIE LE 15 OCTOBRE 2014

VOST – 2D – Durée : 1h40

Photos disponibles sur www.image.net

DISTRIBUTION PRESSE

Paramount Pictures France Muriel Kintziger / Claire Zambaux

20/24, rue Jacques Ibert [email protected] Levallois-Perret [email protected]él. : 01 40 87 47 00 Tél. : 01 40 87 47 57/58

ninjaturtles-lefilm.fr

/NinjaTurtles.FR

Pour toute information sur les � lms distribués par Paramount Pictures France

connectez-vous sur

www.paramountpictures.fr

#NinjaTurtles

@PARAMOUNTFR

MP02 NINJA TURTLES.indd 3 28/08/2014 17:05

Page 3: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 4 -

SYNOPSIS

Tenez-vous prêts : quatre héros de légende

vont bientôt faire parler d’eux à New York…

Leonardo, le leader, Michelangelo, le beau

gosse, Raphael, le rebelle et Donatello, le

cerveau, vont tout faire pour défendre la ville

de New York,

prise entre les griffes de Shredder. Entre deux

dégustations de pizzas (sans anchois, bien sûr)

et un entraînement intense aux arts martiaux,

prodigué par leur maître Splinter,

ils vont accomplir leur destin, aidés par la

courageuse reporter, April O’Neil.

Accrochez-vous…les Ninja Turtles arrivent le

15 octobre au cinéma !

Page 4: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 5: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 6: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 7: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 8: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 9: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 10: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 11: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal
Page 12: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 5 -

NOTES DE PRODUCTION

« Vous vivez, vous mourrez, vous vous battez… comme des frères. Rappelez-vous, rien n’est plus solide qu’une famille »

(Maître Splinter)

Alors que New York est plongé dans les ténèbres,

la population a toujours plus que besoin de héros

— et elle va en avoir pour son argent, avec le retour

des plus improbables défenseurs de la veuve et de

l’orphelin que l’humanité ait jamais connus : une force

implacable autant que reptilienne connue sous le

nom de Tortues Ninja. Extrêmement populaires, ces

personnages de comics aussi tenaces qu’hilarants,

créés par Kevin Eastman et Peter Laid, font ainsi

leur entrée fracassante dans le 21ème siècle, après

avoir captivé plusieurs générations de lecteurs et de

spectateurs pendant des décennies.

La criminalité et la peur se répandent dans les

rues de la ville, depuis que Shredder et son clan des

Foot ont fait fléchir d’une poigne de fer tout ce que

New York pouvait compter de résistance, de la police

aux hommes politiques. De fait, l’avenir de la grosse

pomme paraît bien funeste, mais c’est sans compter

sur nos quatre frères, survivants d’une expérience

scientifique ratée, qui sortent des égouts pour prendre

le destin de leurs compatriotes en main, sous la forme

des célèbres membres du groupe d’autodéfense

masqué. Pour affronter Shredder et contrer son plan

diabolique de domination, les Tortues Ninja vont

s’allier à la journaliste sans peur April O’Neil (Megan

Fox) et à son caméraman à l’humour bien trempé

Vern Fenwick (Will Arnett), avec pour seul objectif

de sauver les citoyens de New York.

Paramount Pictures et Nickelodeon Movies présentent

une production Platinum Dunes, en association avec

Gama Entertainment/ Mednick Productions/Heavy

Metal Production : NINJA TURTLES. Le film est réalisé

par Jonathan Liebesman (LA COLÈRE DES TITANS),

d’après un scénario écrit par Josh Appelbaum et André

Nemec (MISSION  : IMPOSSIBLE  -  PROTOCOLE

FANTÔME) et Evan Daugherty et produit par Michael

Bay (la franchise TRANSFORMERS), avec comme

acteurs principaux Megan Fox, Will Arnett, William

Fichtner, Danny Woodburn, Abby Elliott, Noel Fisher,

Jeremy Howard, Peter Ploszek, Alan Ritchson et

Minae Noji.

TURTLE POWER – REBOOTED!Les héros uniques à la demi-carapace sont de retour et

c’est une nouvelle génération de Tortues Ninja qui éclôt

des égouts de New York. Cette nouvelle incarnation, toute

en fraîcheur, allie les origines souterraines et graveleuses

de la Tortue avec cet irrésistible attrait pour la baston

et cette gaieté communicative qui en ont fait les idoles

du cinéma d’action les plus sympathiques qui soient…

et c’est ainsi que retentit leur fameux cri de guerre,

« Cowabunga !  », dans ce film live qui mixe habilement

bastons de haute voltige et effets spéciaux de pointe.

Ce reboot plein d’action et de rebondissements raconte

comment les Tortues Ninja sont nées en laboratoire, pour

devenir immédiatement des frères indissolublement

loyaux, le tout sous la houlette du producteur Michael

Bay, connu pour transformer en or tout ce qu’il touche et

bien entendu particulièrement pour avoir métamorphosé

des jouets pour enfants, les Transformers, en franchise

générant plusieurs milliards de recette. En partant des

séries animées populaires produites par Nickelodeon,

Bay s’est associé à ses partenaires chez Platinum Dunes,

Andrew Form et Brad Fuller, pour donner vie à une

version ultra-modernisée des célèbres reptiliens masqués.

Ensemble, ils ont monté une incroyable équipe de

jeunes acteurs et de brillants créatifs, notamment plus

de 400 artistes numériques, tous déterminés à fusionner

acteurs de chair et d’os et séquences hypnotisantes

mêlant fantaisie, bons mots et combats de haute voltige,

pour ces tortues adolescentes désireuses de sauver leur

ville.

Les origines des Tortues Ninja remontent à 1983, année

où les auteurs de comics Peter Laird et Kevin Eastman

ont imaginé quelques courtes histoires originales mettant

en exergue ces tortues peu communes, portant des

masques et utilisant d’antiques armes ninja ! Au début,

cela ne devait être qu’une parenthèse et il s’agissait avant

tout de parodier les superhéros plus classiques, mais les

personnages étaient si vifs et amusants par rapport aux

habituels héros tourmentés, que Laird et Eastman se sont

pris au jeu et n’ont pas pu leur résister.

Rapidement, personne n’a d’ailleurs pu leur résister !

Et c’est ainsi que sous l’intriguant sobriquet de TEENAGE

MUTANT NINJA TURTLES et en portant séparément des

noms d’artistes de la Renaissance (Leonardo, Raphael,

Donatello et Michelangelo) est paru un premier album.

Laird et Eastman ont dû emprunter de l’argent pour

MP02 NINJA TURTLES.indd 5 28/08/2014 17:05

Page 13: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 6 -

imprimer les 3000 premiers exemplaires, mais dès le

volume 2 ils avaient reçu plus de 15000 souscriptions, et

les chiffres n’ont fait que grossir irrémédiablement.

La bande dessinée originelle présentait un monde

noir assiégé par le mal. Mais rapidement, les Tortues ont

effectué un virage important quand elles ont engendré

une série animée pour enfants ultra-populaire, en 1988,

suivie de près par un premier long-métrage au cinéma,

en 1990. C’est à ce moment que les personnages se sont

développés, devenant notamment d’inconditionnels

mangeurs de pizza aux attitudes de plus en plus

irrévérencieuses… et soudain le monde fut pris dans une

tornade de Tortues-Ninja-Mania… Les enfants de tous les

âges et de toutes les origines en voulaient toujours plus

et les étagères des chambres se sont remplies de jeux

vidéo ou encore de figurines.

Quand il fut décidé de moderniser la franchise, l’on

partit sur une combinaison des deux fils historiques :

l’action et le rythme des origines, avec la comédie et la

camaraderie à toute épreuve développées un peu plus

tard.

Brad Fuller raconte : «  Avec ce projet, nous avons

recherché à satisfaire des générations entières de fans,

sans toutefois fermer la porte à un nouveau public. Il y a

un côté sombre qu’on n’avait pas vu auparavant avec les

précédents films ou séries, mais on a bien fait attention

à garder tout le côté fun et divertissant des personnages,

parce que c’est vraiment la base des Tortues Ninja. »

Les dernières avancées techniques en matière de

motion capture ont permis aux Ninja Turtles de se

mouvoir sur l’écran avec un réalisme stupéfiant —ou

en tout cas avec le réalisme maximal auquel on peut

s’attendre lorsqu’il s’agit de faire déambuler des reptiles

d’une demi-tonne dans les rues de New York ! Au-delà

de ces prouesses techniques, le plus grand soin a été

accordé à l’élaboration des personnalités de chaque

personnage.

Andrew Form précise : « Dès le début, nous avons senti

que la vérité de ce film se jouerait principalement autour

de ce qu’on raconterait sur ces personnages. On savait

que la technologie nous permettrait de faire des choses

incroyables, qu’on n’aurait même pas pu imaginer il y a

20 ans. Il nous fallait alors nous focaliser sur ce que sont

vraiment les Tortues, afin d’apporter une vraie fraîcheur.

En fin de compte, c’est d’abord l’histoire de quatre frères

très unis et de comment s’est construite cette famille hors

du commun. »

Pour trouver ce parfait équilibre entre récit, techno-

logie et la mise en avant des personnages, les producteurs

ont porté leur choix sur Jonathan Liebesman, un jeune

réalisateur à la pointe de l’innovation connu pour styliser

au mieux les scènes d’action, comme on a pu le remarquer

dans WORLD INVASION : BATTLE LOS ANGELES,

LA COLÈRE DES TITANS ou encore MASSACRE À LA

TRONÇONNEUSE : LE COMMENCEMENT.

«  Jonathan a une grande expérience des effets

spéciaux numériques et, surtout, il a déjà montré sa

grande capacité à rendre réel ce qui ne l’est pas » nous

dit Fuller. «  Les scènes d’action qu’il a imaginées pour

WORLD INVASION : BATTLE LOS ANGELES étaient

vraiment fantastiques, et nous espérions qu’il apporte la

même sensation de réalisme aux Ninja Turtles. »

Liebesman a été ravi de pouvoir emmener les Tortues

vers une alchimie inédite entre prouesses digitales et

action live. « J’ai moi aussi grandi avec les Tortues Ninja

et j’adorais leur humour » se souvient-il. « Mais ce qui m’a

excité le plus est qu’avec les technologies récentes l’on soit

capable de leur faire passer un réel cap au niveau des

chorégraphies et des combats. On a essayé de conserver

tout ce qui faisait leur charme, notamment l’humour

donc, tout en s’autorisant de grosses scènes de combat

épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment

en voir. »

Le réalisateur poursuit : «  Je crois que le principal

facteur est que les Tortues Ninja sont fun. C’est vraiment

leur attribut numéro un. En second, il y a le fait que

ce sont des mutants et çà, j’ai toujours rêvé de savoir

comment ça s’était produit ! Enfin, en troisième position,

il y a le spectacle représenté par de gros et solides reptiliens

capables d’être des superhéros pratiquant le Ninjustu.

Et ça, c’est encore quelque chose qu’on a eu la chance

de pouvoir montrer pour la toute première fois, avec ce

film. »

Il a commencé par croquer chaque personnage avec

en ligne de mire une icône de la pop culture comme

référence. Ainsi, Leonardo a été associé au Tom Hanks

leader déterminé d’IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN,

Raphael au Clint Eastwood des westerns spaghetti de

Sergio Leone, Michelangelo au comique laconique de Bill

Murray dans SOS FANTÔMES et Donatello au Spock tout

en pragmatisme de STAR TREK.

Liebesman précise : « En réinventant les Tortues Ninja,

on voulait que les gens se focalisent un peu plus sur leurs

personnalités, tout en les rendant encore plus ‘larger

than life’, avec même un aspect un peu plus sombre. En

fait, on cherchait à les rendre aussi fun que dur à cuire. »

Pour arriver à ses fins, le réalisateur a dû diriger

une équipe vraiment imposante, mais comme il le

dit lui-même, cela valait le coup : «  C’est incroyable le

nombre de personnes qu’il faut impliquer pour donner

la vie à un seul de ces personnages ! Acteurs, animateurs,

bidouilleurs numériques, etc. Mais c’est ce qu’il faut si

l’on veut que le résultat soit crédible et réaliste. »

Le résultat escompté par Liebesman était au-delà

de l’obtention d’effets à couper le souffle. Il voulait

souligner les liens incassables qui font des Ninja Turtles

de vrais héros luttant pour leur ville, comme le raconte

Will Arnett, qui joue le cameraman Vern Fenwick : « Ces

Tortues ont des personnalités bien palpables et qui vont

parler aux adolescents. En même temps, ce que j’aime

MP02 NINJA TURTLES.indd 6 28/08/2014 17:05

Page 14: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 7 -

le plus dans le film, c’est qu’il s’agit d’un conte éternel

racontant comme une famille perdue arrive à ses fins en

étant solidaire et bienveillante. »

DERRIÈRE LES MASQUES : À LA RENCONTRE

DE LA FAMILLE NINJADès le début, le moment clef dans l’élaboration des

nouvelles Tortues Ninja a été de les réinventer. Il était

essentiel que le charisme et l’aspect comique de nos

Ninja Turtles brillent d’un nouveau feu, forgeant ainsi

une nouvelle mythologie mutante surmultipliée par les

possibilités d’un film tourné au 21ème siècle. De fait,

chaque membre de la famille Ninja se caractérise par une

attitude et des compétences uniques.

Leonardo :

Appelé ainsi d’après le peintre et inventeur Leonardo

Da Vinci, Leonardo est le plus calme et cool des Tortues,

un maître du zen qui prend très à cœur la responsabilité

d’être l’aîné de la fratrie. Par chance, Leo est immense

et, muni de ses katanas, il excelle avec une exactitude

mortelle.

Bien que Leonardo ait toujours été le plus sérieux et

le plus discipliné des quatre frères, et ce depuis la toute

première bande dessinée, ce Leo-là incarne à la perfection

un « battant » avec une mission que la grande majorité des

adolescents d’aujourd’hui ne connaissent pas : sauver le

monde tout en gardant ses petits frères en sécurité ! En

prenant les choses là où Maître Splinter les a laissées, il

sert de père de substitution à sa famille. Et pour ce qui est

de la partie ninja de leur héritage, personne ne s’entraîne

aussi durement que Leo, ce qui fait de lui un adversaire

redoutable pour qui menacerait leur fraternité.

Raphael :

L’homonyme du peintre de fresques connu comme le

père du style Renaissance est tout sauf le premier venu.

C’est le rebelle et le ‘bad boy’ des quatre frangins, connu

non seulement pour son masque rouge à l’aspect féroce,

son parfait maniement de deux saïs toujours parfaitement

aiguisés, mais aussi pour ses opinions bien tranchées.

Surnommé ‘Raph’, Raphael est sans contestation possible

celui des quatre qui agit le plus spontanément sans se

poser de questions ensuite. Cependant cette personnalité

orageuse, il est aussi loyal à l’égard de ses frères qu’eux

le sont avec lui.

Si l’on se réfère aux premiers Comics, Raphael était

toujours le plus impétueux, mais il a évolué et est devenu

le petit malin chouchou du quartet. Et comme jamais, ses

compétences aux combats et son intrépidité continuent

de donner aux Ninja Turtles un sérieux avantage lorsqu’il

s’agit de combattre les forces du mal.

Michelangelo :

Le peintre et sculpteur italien Michel-Ange, aussi

inimitable que perspicace, prête son nom au plus jeune

des frères. Grand fan de glisse (surf et skateboard

confondus), ‘Mikey’ revêt un masque orange et fait

tourbillonner son nunchaku, tout en ayant toujours le

jargon juste, le tout entre deux bouchées de pizza.

Parce qu’il est celui qui ressemble le plus au dessin originel

de Kevin Eastman, certains considèrent Michelangelo comme

le tout premier Tortue Ninja. Depuis lors, au travers de leurs

nombreuses aventures, en BD, à la télévision ou au cinéma,

Michelangelo incarne le cœur des frères et est l’auteur de

nombreuses punchlines, comme par exemple leur célèbre

« Cowabunga ! ». Peu importe la tension de la situation dans

laquelle les Ninja Turtles sont empêtrées, Mikey ne perd

jamais rien de sa verve, humour et intrépidité étant ses deux

traits de caractère les plus remarquables.

Donatello :

Avec son nom inspiré du peintre et sculpteur florentin,

qui a laissé une trace indélébile dans le monde de l’art,

Donatello est le cerveau du quatuor, celui qui est le plus

à l’aise avec les nouvelles technologies. C’est aussi le plus

grand des frères qui, derrière son masque violet, préfère

utiliser la parole que son bô pour régler les conflits, même

s’il n’hésite pas à allier l’acte à la parole en cas de besoin.

Depuis les tout premiers Comics, Donatello est décrit

comme le plus malin des Tortues Ninja. Dans le film NINJA

TURTLES, il est à nouveau dépeint comme un inventeur

hors pair : celui qui met au point tous les gadgets les

plus fabuleux utilisés par les quatre frères. En imitant

les geeks cools et ultra-doués qui révolutionnent notre

quotidien, Donatello est tout à fait capable de pirater une

caméra de vidéosurveillance, avec la même dextérité que

celle qu’il emploie au maniement de son bô.

MaI^tre Splinter :

Parfois simplement appelé Splinter, c’est un rat mutant

et il est la figure paternelle des Ninja Turtles. C’est aussi

lui qui les instruit aux techniques et à l’état d’esprit ninja,

il est leur maître de Ninjutsu.

Partie intégrante de l’univers des Tortues Ninja depuis

la toute première bande dessinée, le rongeur âgé pourrait

paraître minuscule dans sa stature, mais il compense sa petite

taille avec sa nature énorme et omnisciente. Et quand les

choses tournent mal, Splinter est toujours prêt à se sacrifier.

AMIS DES TORTUES ET ENNEMIS DES NINJAS

Alors que les Ninja Turtles errent secrètement dans les

égouts, deux personnes les découvrent ; ils deviendront

ensuite des personnages-clé dans leur tentative de libérer

la ville de la poigne de Shredder : la reporter April O’Neil

et son acolyte cameraman Vern.

MP02 NINJA TURTLES.indd 7 28/08/2014 17:05

Page 15: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 8 -

«  Nous sommes partis de l’archétype d’April O’Neil,

à savoir une jeune femme en détresse, puis l’avons

modelé spécifiquement à Megan [Fox], qui apporte sa

personnalité et sa formidable détermination au rôle.  »

raconte Liebesman. « C’est un personnage qui a beaucoup

à prouver. Elle est magnifique, mais tout le monde doute

d’elle, et c’est pourquoi il nous fallait une actrice qui nous

donne plus que simplement de la beauté à regarder. En

définitive, elle devient presque un nouveau membre de la

famille et une véritable héroïne pour les Ninja Turtles. »

Comme tant de personnes de sa génération, Megan

Fox a grandi avec les Tortues Ninja et elle était très

impatiente de les voir ainsi renaître. «  Je suis une

grande fan et j’avais vraiment très envie que ce projet

se concrétise » se souvient-elle, « Je n’ai jamais été aussi

enthousiaste à l’idée de participer à un film, que pour

NINJA TURTLES ».

Une partie de cet enthousiasme est liée au fait que les

Tortues Ninja ont marqué les mômes, tous âges et toutes

origines confondus. «  J’aime l’idée que chaque Tortue

reflète différents traits de caractère bien spécifiques. Je

crois qu’une des raisons pour lesquelles les mômes adorent

les Tortues Ninja est qu’on a chacun notre préférée — et

en général, c’est parce que c’est celle qui reflète le plus

notre propre personnalité. »

Quand April découvre l’existence des Ninja Turtles,

elle croit tout d’abord tenir un super-scoop et finalement

se retrouve rapidement embarquée dans leurs plans

pour venir en aide aux citoyens de New York. Megan

Fox adore le sens de justice du personnage. « Dans mon

esprit, c’est une espèce de Jeanne d’Arc, à sa manière —

quelqu’un capable d’accomplir les choses les plus folles

pour une cause qui lui paraît juste. » précise l’actrice.

L’on retrouve aux côtés de Megan Fox, dans le

rôle du cameraman digne de confiance, Will Arnett, la

star canadienne de la comédie, vu à la télévision avec

LES MILLER ou 30 ROCK, entendu dans LA GRANDE

AVENTURE LEGO (il est Batman) ou MOI, MOCHE ET

MÉCHANT (il est Perkins) ; remarqué, enfin, dans MEN IN

BLACK 3 ou encore JONAH HEX. Arnett dit de Vern, son

personnage : « C’est un survivant, à sa manière. Il a tout

vu, il a été au cœur de l’action et aujourd’hui il est prêt

à passer lui-même à l’action. Quand April court après

son scoop, il est un peu blasé et ne pense presque qu’à son

chèque. Cependant, dès qu’April se montre solidaire des 4

frères, il n’a plus qu’une idée : l’aider au mieux. »

En tant que père de deux jeunes enfants, eux-mêmes

d’ardents fans des récentes séries animées, Arnett était

particulièrement impatient d’être partie prenante de l’univers

des Ninja Turtles — et accessoirement d’endosser son

premier grand rôle ‘live’. « Je crois que j’avais probablement

sous-estimé à quel point le film serait exigeant physiquement

parlant, mais c’est aussi ce qui est éclatant quand on

participe à un film d’action » admet-il. « J’ai fait des choses

que je n’imaginais jamais pouvoir faire, comme de sauter

sur des morceaux de décor ou me jeter par terre, le tout sous

les coups de feu, voire les explosions ! Il y a franchement des

façons plus ennuyeuses de passer une journée. »

Et travailler en tandem avec Megan Fox n’en est pas

une non plus. « Megan paraît tellement naturelle dans

ce genre de gros blockbusters d’action. Elle a ça dans le

sang. Elle peut se retrouver dans un monde sens dessus

dessous, avec tout qui s’écroule autour d’elle, qui explose

ou tombe en morceaux, à la vitesse de l’éclair, sans

qu’elle perde une once de son charme et de son allure

incroyable » observe l’acteur.

Liebesman a été ravie par l’alchimie entre les deux.

« On a vraiment eu de la chance d’avoir Will Arnett, qui

est un acteur formidable, impliqué dans le projet. Il est

d’un naturel si drôle. Je laissais simplement les caméras

tourner et ensuite on avait vraiment l’embarras du choix

devant la richesse répétée de ses prestations. »

Tout aussi vital que pour trouver leurs alliés, a été le

casting de la parfaite incarnation du mal : le milliardaire

Eric Sacks et son alter ego seigneur du crime Shredder.

Pour donner corps aux zébrures de ce bandit complexe

et moderne, les producteurs ont été chercher William

Fichtner, un acteur polyvalent qui compte dans sa

filmographie l’épopée de science-fiction ELYSIUM de

Neill Blomkamp, la comédie CRAZY NIGHT de Shawn

Levy ou encore PEARL HARBOR et ARMAGEDDON, tous

deux signés Michael Bay.

« Will est génial mais c’est aussi un acteur très sérieux »

raconte Bradley Fuller. « Plutôt que d’en faire trop et de

péter un câble avec ce personnage, Will a fait le choix

d’une approche beaucoup plus réaliste, beaucoup plus

intrigante. Franchement, le Eric Sacks qu’il a personnifié

ressemble vraiment à la perfection à certaines grandes

personnalités médiatiques qui vivent à New York. »

Comme beaucoup, Fichtner a ses propres liens avec

les Tortues Ninja. Il se souvient que son fils avait des

figurines de la série et quand il a dit à son neveu qu’il

pensait jouer dans le nouveau film de la franchise, le

garçon lui a très sérieusement prodigué ce conseil :

« Oncle Bill, tu dois le faire ! ».

Une fois rattaché au projet, il a immédiatement été

inspiré par Sacks et sa double personnalité. « Eric Sacks

est un individu complexe.  » nous dit l’acteur. «  Et la

façon dont sa vie croise celle d’April crée des perspectives

fascinantes. Au cours du film, on découvre d’où vient

Sacks et pourquoi il est devenu ainsi. »

En plus d’April, des Ninja Turtles, de Splinter et

de Shredder, les fans les plus assidus de la franchise

reconnaîtront d’autres personnages originaux —  pour

beaucoup montrés sous un nouveau jour. Comme par

exemple Karai, bras droit de Shredder joué par l’actrice

américano-japonaise Minae Noji (HOPITAL CENTRAL), ou

le rédacteur fort en gueule Burne Thompson, réincarné

en Bernadette Thompson sous les traits de la toujours

facétieuse Whoopi Goldberg.

MP02 NINJA TURTLES.indd 8 28/08/2014 17:05

Page 16: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 9 -

Goldberg était plus qu’heureuse de se retrouver sur le

projet. « J’ai voulu travailler avec les Tortues Ninja depuis

que ma fille est toute petite. Elle ne désirait rien de plus

au monde que de me voir dans le tout premier film de la

franchise. Presque 25 ans plus tard, ma fille est grand-

mère, mais on est toutes les deux excitées comme des

puces à l’idée que je fasse enfin partie de la distribution

d’un film sur les Tortues Ninja. »

UN TERREAUSUPERPUISSANT :

LES AVANCÉES EN MOTION CAPTURE

Une fois les acteurs associés au projet, la production

avait fait un grand pas vers la réinvention des Ninja Turtles.

L’étape suivante serait la plus périlleuse : mélanger de tels

performers, aux personnalités fortes et vibrantes, avec

les dernières prouesses technologiques en matière de

Motion Capture. Pour se faire, les producteurs utilisèrent

les techniques déjà rudement mises à l’épreuve pour

TRANSFORMERS.

« Une chose que j’admire dans les films de Michael

Bay, et tout spécialement les TRANSFORMERS, est qu’il

repousse sans cesse les limites du possible. Je pense que

la meilleure façon de faire des effets numériques et

d’avoir le plus de choses réelles possibles, dans le cadre. »

explique Liebesman. « C’est pourquoi il était important

d’avoir toujours des acteurs rasés dans le cadre pour

jouer les Ninja Turtles, mais aussi des cascadeurs pour

les scènes de combats et d’arts martiaux, parce qu’il est

toujours plus facile pour les animateurs de remplacer

quelque chose de réel par quelque chose d’imaginaire

plutôt que de simplement l’imaginer. »

La barre fut placée immédiatement très haut avec

le recrutement de Pablo Helman, d’Industrial Light &

Magic, pour superviser l’ensemble des effets spéciaux

numériques —  et surveiller la bonne mise en œuvre

du système de motion capture de quatrième génération

d’ILM, le plus récent et le plus performant en matière de

photo réalisme, poussant la qualité à des niveaux sans

précédent. «  Les tout nouveaux costumes de tracking

imaginés par ILM et la technologie associée nous ont

permis de traduire les performances produites en

animation d’un réalisme jamais atteint auparavant  »,

précise Liebesman.

Helman a été on ne peut plus satisfait d’être choisi

comme berger pour introduire les Ninja Turtles au cœur

de notre ère de haute technologie. « C’est un challenge

que je ne pouvais refuser.  » explique-t-il. « Le film est le

mariage parfait entre des images générées par ordinateur

et de vraies performances d’acteurs —un mariage entre

la science et la fibre artistique. »

Dès le début, Helman savait quelle réaction il

recherchait. « On voulait que le public voit les Tortues et

se demande ‘mais comment ont-ils bien pu réaliser ça ?’ »

avoue-t-il. « Une des choses sur lesquelles on s’est concentré,

a été de capturer au mieux la moindre subtilité, la

moindre nuance, des émotions parfois à peine palpables

mais qui forgent pourtant des liens invisibles forts entre

les personnages et les spectateurs. »

Pour capturer l’essence même de ces nuances, Helman

a immergé son équipe dans l’univers détaillé du visage

humain — et en fin de compte du visage des Tortues.

Cela impliquait de nouvelles innovations, comme ces

caméras HD ultra-réduites apposées sur le casque des

acteurs et qui enregistraient les moindres mouvements

des yeux ou du faciès. Mouvements traduits en téraoctets

d’informations codées avec lesquelles les animateurs

pouvaient ensuite s’amuser.

Pour que les personnages donnent encore plus

l’impression d’être de chair et de sang, les acteurs ont

revêtu les tout nouveaux costumes de motion capture,

beaucoup moins importuns et qui permettent des

mouvements plus naturels et fluides que les versions

précédentes. Plusieurs mois de préparation ont été

nécessaires, à l’adaptation de ces costumes et casques

faits sur mesure.

Plus tard, sur le plateau, les quatre acteurs qui jouent

les Tortues avaient le droit à leur session quotidienne de

deux heures où on leur appliquait une poudre faciale

blanche ainsi que différents capteurs, pour mieux

traquer encore leurs expressions. Et avant de tourner

pour de bons, ils enfilaient leur costume, leur casque,

mais aussi une coquille de tortue assez légère, afin que

leurs mouvements soient les plus réalistes possible,

notamment au niveau de la répartition des poids.

Les acteurs dans leur globalité ont tout simplement

adoré pouvoir interagir avec d’autres acteurs, par

comparaison à beaucoup d’autres films avec beaucoup

d’effets numériques où il s’agit parfois de parler… à des

balles de tennis qui servent de repère ! Megan Fox : « C’est

une vraie différence, et pas qu’un simple confort dans

le jeu, d’avoir de vrais acteurs à qui donner le change.

Alan, Pete, Noel et Jeremy étaient merveilleux ensemble

et c’était vraiment appréciable d’avoir de véritables

réactions humaines, parce que c’est toujours comme ça,

dans l’instant, que les acteurs trouvent les meilleures

idées. »

Le producteur Andrew Form ajoute : «  Le système

que nous avons utilisé avait d’énormes avantages

pour tout le monde. Le plus important est que nous

avons pu tourner dans de vrais décors et avoir une

vraie connexion, au sens physique du terme, entre

tous les personnages en présence. Megan, par exemple,

pouvait regarder Leo dans les yeux et lui répondre

spontanément —mais tout en sachant qu’il allait plus

tard être transformé en tortue géante. »

MP02 NINJA TURTLES.indd 9 28/08/2014 17:05

Page 17: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 10 -

Pour Tim Harrington, superviseur de l’animation

pour ILM, et qui a travaillé sur des productions allant de

STAR WARS à AVENGERS, l’opportunité de mélanger des

environnements réels et des personnages numériques

était stimulante. Il a abordé ce travail titanesque avec

60 animateurs tous plus doués les uns que les autres.

«  Le truc vraiment cool sur ce projet est que les Ninja

Turtles sont vraiment très ancrées dans la réalité.  »

dit-il. «  Une fois le tournage terminé avec les acteurs,

nous avons pu accélérer leurs coups de poing, rendre

leurs tournoiements deux ou trois fois plus rapides,

faire que leurs coups de pied soient encore plus hauts

dans les airs : en somme, leur donner un vrai impact de

superhéros. »

Harrington a alors adoré être témoin de l’alchimie en

devenir. « C’est un processus assez étonnant » continue-t-

il. « Les acteurs nous ont fourni l’ADN des personnages,

leur cœur et leur âme, après quoi notre armée d’artistes

et d’animateurs est arrivée et a peaufiné tout ça pour

faire en sorte que ces tortues à taille humaine deviennent

séduisantes et parfaitement crédibles. »

Plus que tout, Harrington fut estomaqué par les

résultats du nouveau système de capture faciale, qui a

fourni le matériau idéal pour quelque 750 plans où les

Tortues parlent. «  Je pense que les gens ne vont pas en

croire leurs yeux  » conclut-il. « La qualité du rendu est

totalement incroyable et ces tortues ont vraiment l’air

réelles ! Les fans vont adorer. »

En plus des tortues, la création de Splinter était

une tâche tout aussi époustouflante. «  plinter était un

personnage très difficile à créer parce qu’il est vraiment

petit comparé aux tortues. Il y a aussi sa gueule, qui

est vraiment vraiment très longue, et qui rend encore

plus difficile la bonne articulation des mots.  » explique

Helman. « On voulait vraiment qu’il soit perçu comme un

vrai maître, mais aussi que les gens puissent s’identifier

— ce qui avec un rat n’est pas des plus évidents ! Il y a

une raison qui explique pourquoi on ne sait jamais trop

ce que pense un rat. Ils n’ont pas de pupilles, aussi est-il

très difficile de savoir ce qu’ils regardent vraiment. Nous

avons alors utilisé le mouvement de ses favoris et de son

nez pour lui donner plus d’expression. »

Helman et son équipe ont par ailleurs imaginé

plusieurs environnements numériques, notamment la

cachette de Shredder, un labyrinthe sur plusieurs niveaux

et le dojo, où une épreuve de force a lieu.

Pour Harrington, un des plus gros défis était la

chorégraphie du combat dans le dojo. « Les scènes d’arts

martiaux sont très élaborées et complexes. » indique-t-il.

« Il nous fallait être capable de contrôler la caméra. On

ne se contentait donc pas d’animer les personnages, il

fallait aussi assurer l’animation des caméras dans le

respect du design prévu pour la prise en question. »

Helman affirme que le plus grand succès techno-

logique a finalement été de réussir à rendre palpable

la camaraderie entre les Ninja Turtles. «  Mes moments

préférés dans le film sont les plus personnels, ceux où on

apprend vraiment à mieux les connaître.  » précise-t-il.

«  J’adore la scène où les 4 frères reviennent dans leur

tanière après une nuit d’aventure et où l’on voit comment

ils s’entendent bien… ou ne s’entendent pas, d’ailleurs,

comme tout frères qui se respectent ! C’est une scène qui

montre à la fois la mythologie et l’humanité des Tortues. »

NINJA ACTION, TURTLE STYLE

Pendant que Pablo Helman se concentrait sur tout

l’aspect technologique, les producteurs mettaient tout

autant l’accent sur l’ensemble des actions physiques et

viscérales, afin que chaque mouvement de tortue soit

palpitant.

L’armement était une clé. «  Raph a ses saïs, Leo ses

ninjatos, Mikey ses nunchakus et Donny son Bo-. » explique

Jonathan Liebesman. « Après, vous avez les membres du

Clan des Foot avec tous ces super-gadgets super cools

capables de mettre une Ninja Turtle K.O. Quant au

costume de Shredder, il est également truffé de gadgets

incroyables. C’est un Maître du Ninjutsu, bien sûr, mais

nous l’avons également muni d’un costume blindé, avec

des lames électromagnétiques qu’il peut balancer et qui

se rétractent. »

Avec l’ensemble de ces accessoires en tête, le

coordinateur de cascades et réalisateur de seconde

équipe David Leitch (TRON : L’HÉRITAGE ou le très

attendu JUPITER ASCENDING) et le coordinateur de

combats Jonathan Eusébio (AVENGERS, WOLVERINE)

ont collaboré pour imaginer des séquences de combats

et d’arts martiaux défiant les lois de la gravité.

Leitch raconte : « La chose la plus importante était

que l’action puisse aussi aider à mieux cerner les

personnages. Ainsi, Donatello utilise son armement

en fonction de sa personnalité, Michelangelo met

toute sa folie et sa sauvagerie dans l’utilisation de

ses nunchakus, Raphael comme un grand malabar

mais avec une attitude, et Leo est le combattant le

plus discipliné, avec un code personnel très limpide.

Ces attributs orientent les mouvements spécifiques de

chacun et sont reflétés pendant chaque seconde de la

chorégraphie de combat. »

Eusébio, qui a grandi en lisant les comics et en

regardant les séries animées des Tortues Ninja, s’est

attaché à incorporer d’authentiques et véritables

traditions Ninja. « La façon de combattre de chaque Tortue

demeure fidèle aux origines japonaises, mais on a aussi

mixé cela avec des techniques plus modernes, comme le

MMA (Mixed Martial Arts).» explique-t-il. « Tout comme le

film, les chorégraphies se veulent modernisées autant que

MP02 NINJA TURTLES.indd 10 28/08/2014 17:05

Page 18: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 11 -

faire se peut, tout en gardant un œil dans le rétroviseur,

avec ce qui faisait l’essence des premiers Comics. »

Pendant ce temps, les acteurs ont quitté leur

vie ordinaire et se sont retrouvés dans un camp

d’entraînement Ninja où ils sont restés 24h/24, 7j/7, afin

d’aiguiser leurs compétences dans le maniement d’armes

et d’apprendre à adhérer au code du Ninja.

Alan Ritchson, qui joue Raphael, se souvient avoir été

abasourdi par la vitesse à laquelle ils ont développé leurs

capacités de Ninja. « Nous avions les meilleurs performers

en arts martiaux au monde pour nous montrer nos

mouvements. Au début, on se disait tous la même chose :

‘jamais je ne serai capable de faire ça, là je suis juste

découragé par avance’. Mais au fur et à mesure que les

mois s’égrainaient, nous sommes devenus de plus en plus

compétents et, surtout, de plus en plus confiants. Soudain,

on en était arrivé à pouvoir réaliser des mouvements

vraiment cool sans même savoir comment cela nous était

arrivé. Partager cet apprentissage nous a par ailleurs

permis de nous sentir vraiment comme une famille. »

Quand est arrivé le moment de chorégraphier l’épreuve

de force finale entre Splinter et Shredder, Eusébio a tout

particulièrement pris en considération l’aspect physique

de Splinter. Il a imprégné les 120 centimètres du rongeur

—  qui est aussi et surtout un Maître Ninja  — de son

style de combat et de ses spécificités animalières. «  Il

fallait qu’à un moment Splinter nous en mette plein les

yeux  » s’exclame Brad Fuller, «  et nos as en animation

l’ont fait ! »

Megan Fox a aussi eu droit à son petit moment de

gloire côté baston, puisqu’après un entraînement auprès

d’Eusébio et de son équipe, elle a appris à enchaîner

quelques mouvements de kickboxing de haut vol, pour

une des scènes clés du film.

Parmi les scènes d’action les plus bluffantes du film

se trouve une course-poursuite dans la neige, entre les

acolytes de Shredder, April, Vern et les garçons… Pour

mener à bien cette séquence, il a fallu faire appel à une

unité ‘spéciale neige’, composée de Dan Bradley, un

metteur en scène spécialisé dans l’action pure, à qui l’on

doit par exemple les scènes les plus ébouriffantes de la

franchise JASON BOURNE, ainsi que de Scott Rogers,

un coordinateur de cascades réputé, sans oublier Burt

Dalton, un superviseur d’effets spéciaux déjà couronné

d’un Oscar® pour L’ÉTRANGE HISTOIRE DE BENJAMIN

BUTTON.

Cette unité spéciale est descendue sur le lac Tupper,

dans l’Adirondacks, et a passé trois jours entiers à filmer

des purs joyaux de pyrotechnie le long des routes de

montagne sinueuses. Un domaine skiable fermé a servi

de décor pour une course de camions et 4X4, qui dévalent

la montagne à fond la caisse pendant que des grenades

autopropulsées explosent autour d’eux. «  La poursuite

dans la neige était un véritable défi », admet Fuller. « ll

était assez difficile de croire qu’on allait vraiment créer

une Tortue volant dans un Hummer, mais à accomplir,

ça a réellement été le pied total ! »

LE REPAIRE DES TORTUES ET LE NEW YORK D’UN NINJA

Bien que les Tortues vivent sous terre, dans des

souterrains semblables à un labyrinthe, NINJA TURTLES

est aussi un film sur New York, qui nous conduit d’un

coin de rue de Manhattan à Chinatown, du port de South

Street à l’Upper Eastside. Tout ceci a été mis en boite

grâce à la prise de vue dynamique du chef opérateur

Lula Carvalho, dont on a pu admirer récemment le travail

sur le remake de ROBOCOP.

Le décorateur et concepteur Neil Spisak, connu pour

son travail sur la franchise SPIDER-MAN, a rejoint l’équipe

afin de créer les décors nécessaires pour toutes les prises

de vue réelles. La pièce maîtresse de Spisak a été la

tanière cachée des Tortues —qui est à la fois leur maison

et leur centre de commandes. Il a ainsi monté de toutes

pièces près de 1000 mètres carré avec des chambres

constellées de graffitis, de meubles en boîtes de pizza,

une rampe de planche à roulettes, une pièce pour la

méditation, un mur de radiocassettes et un endroit pour

accueillir la console avec laquelle Donatello contrôle la

ville. Fidèle à l’esthétique des Tortues Ninja, l’ensemble

mixe des matériaux de récupération, de gadgets de haute

technologie et des éléments de dojo japonais, le tout dans

un désordre non feint qui par certains aspects rappellent

les chambres des adolescents d’aujourd’hui.

« i vous aviez quatre adolescents vivant dans un égout,

voilà très certainement à quoi cela pourrait ressembler »

s’amuse Liebesman. « Neil a créé un univers qui est un

peu leur bunker privé. Si le monde devait exploser, vous

pourriez y vivre aussi longtemps que vous voudrez — et

il y a plein de pizzas ! » Andrew Form confirme : « C’est un

environnement fabuleux, fun et hautement créatif, où les

Ninja Turtles peuvent à la fois s’entraîner et s’amuser. »

C’est la décoratrice de plateau Debra Schutt

(BOARDWALK EMPIRE) qui s’est chargée des aspects

esthétiques du repaire des Tortues, en s’approvisionnant

au marché aux puces par exemple, ou encore en

customisant certains meubles pour donner l’impression

qu’ils viennent tout juste d’être ramenés d’une déchetterie.

Les boîtes à pizza sont devenues des canapés et des jeux

de cour de récréation ont été transformés en lits.

Chaque centimètre de la tanière de la fratrie fit

grande impression sur l’ensemble des acteurs. Megan

Fox se souvient : «  Le design était hallucinant, avec de

nombreuses références, des années 80 à aujourd’hui.

C’était un lieu tellement fun que cela nous a énormément

inspiré dans notre travail, au sens très positif du terme,

bien entendu. » Et Will Arnett d’ajouter : « J’étais stupéfait

par le souci du détail et l’application dont avaient fait

MP02 NINJA TURTLES.indd 11 28/08/2014 17:05

Page 19: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 12 -

preuve les équipes de décoration. Surtout que ça n’était

pas une façade, mais un endroit pleinement opérationnel

où les gens pouvaient vraiment jouer et recevoir une

formation. Trop cool !… »

L’ensemble des détails du monde des Ninja Turtles,

tant ceux méticuleusement construits au sens physique

du terme que ceux créés sur ordinateur, sont allés dans la

direction qui était celle voulue par les producteurs dès le

lancement du projet : une légère torsion de la réalité. Plus

que tout, Liebesman désirait que les Tortues puissent

toucher les gens, c’était son but principal.

« Ce dont je suis le plus fier, c’est la chaleur et le charme

qui se dégagent des Tortues, ce sens de la fraternité et

de la famille qui est plus fort que tout et qui les unit.  »

résume-t-il. « Les scènes d’action produites sont purement

incroyables, mais si on se soucie autant des personnages,

c’est grâce au travail précieux des acteurs, mais aussi

au niveau atteint par les équipes d’effets spéciaux d’ILM.

Quand on voit le résultat final sur écran, franchement,

on jurerait que ces Tortues étaient vraiment sur le plateau

et que tout ceci est bien réel. »

MP02 NINJA TURTLES.indd 12 28/08/2014 17:05

Page 20: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 13 -

DEVANT ET DERRIERE

LA CAMERA

KEVIN EASTMAN ————————————————————

—————————————————— Créateur des TORTUES NINJA

Né à Portland, dans le Maine, en mai 1962, Kevin

Eastman est dessinateur de Comics, scénariste/écrivain,

mais aussi rédacteur et éditeur du magazine Heavy Metal.

Tout petit déjà, il dessine, copiant les livres pour enfants

et autres bandes dessinées de superhéros, en particulier

celles imaginées par Jack Kirby, son idole.

Après des études sans souci, mais sans relief particulier

non plus, il travaille dans un restaurant où il fait la

rencontre d’une serveuse, qu’il suit jusqu’à Northampton,

dans le Massachussetts. Là, à la recherche d’un quotidien

local —ou même de fanzines — où publier ses dessins,

il rencontre Peter Laird, avec qui il réfléchit à plusieurs

idées et projets de comics.

Un soir de brainstorming, les deux larrons imaginent

une courte histoire de tortues mutantes. L’idée leur plaît

et ils décident de la développer. Utilisant l’argent d’un

crédit d’impôts remboursé et empruntant le reste à l’oncle

d’Eastman, la paire publie un one-shot des Tortues Ninja

parodiant quatre Comics parmi les plus populaires du début

des années 80 : Daredevil, New Mutants, Cerebus et Ronin

de Frank Miller. Le succès est immédiat et phénoménal et,

comme le disent les Américains : ‘the rest is history’.

MICHAEL BAY ——————————————— Producteur

Michael Benjamin Bay est né en février 1965, à Los

Angeles, où il a grandi auprès de parents adoptifs.

Une enfance sans problème et des études dans la très

huppée Crossroads School de Santa Monica, où le tout

Hollywood envoie ses enfants. L’intérêt de Bay pour

le cinéma d’action remonte d’ailleurs à sa plus tendre

enfance, plus précisément à ce jour où il eut la bonne

idée d’attacher de gros pétards à un train électrique, et

de filmer fièrement le déraillement occasionné, avec la

caméra 8 mm de sa mère, déraillement qui finit par se

transformer en désastre pétaradant et mit carrément le

feu à la pièce ! Sa voie était toute tracée.

Plus tard, alors qu’il a quinze ans et qu’il est stagiaire

auprès de George Lucas, sur LES AVENTURIERS DE

L’ARCHE PERDUE, on lui confie le classement des

nombreux story-boards du film. À leur lecture, il se dit

que le film sera catastrophique, puis lorsqu’il le découvre

en salles, il est tellement subjugué par le boulot accompli,

que non seulement son opinion change du tout au tout,

mais qu’il décide qu’il veut en être lui aussi et que

réalisateur sera son métier.

Diplômé de l’Art Center College of Design de

Pasadena, où il a étudié le cinéma, il fait ses débuts dans

le vidéo clip (Meat Loaf, Tina Turner, Lionel Richie…),

puis dans la publicité (Nike, Reebok, Budweiser), milieu

grâce auquel il remporte en 1992 le prestigieux Clio

Award de la meilleure vidéo publicitaire.

Pratiquement au même moment, les producteurs Jerry

Bruckheimer et Don Simpson découvrent son talent, à

travers ses différentes vidéos, et décident de parier sur

lui, en produisant son premier long-métrage, BAD BOYS,

qu’il tourne à Miami et qui permet aussi à un certain Will

Smith de se faire remarquer.

La suite : on la connaît. Des gros budgets, d’énormes

succès, des polémiques parfois, comme avec PEARL

HARBOR, puis la franchise TRANSFORMERS. Un cinéma

toujours plus fou, toujours plus grandiose, toujours plus

impressionnant. Et toujours le bon choix, en tant que

réalisateur, mais aussi, comme ici, en tant que ‘simple’

producteur.

JONATHAN LIEBESMAN ——— Réalisateur

Jonathan Liebesman est né à Johannesburg, en

Afrique du Sud, en septembre 1976. C’est ce qu’on

appelle un surdoué, et précoce qui plus est. Il étudie

le cinéma en Afrique du Sud, puis à la prestigieuse

Tisch School of the Arts, l’une des quinze écoles de

l’Université de New York, situé au cœur de Manhattan.

C’est là qu’il coécrit et réalise un premier court-métrage

de huit minutes, GENESIS AND CATASTROPHE, adapté

d’une nouvelle de Roald Dahl. Le film a les honneurs

de festivals divers et variés dans le monde entier, et

remporte le prix du meilleur court-métrage au Austin

Film Festival, en 2000. La même année, le Hollywood

Film Festival décerne à Liebesman le ‘Hollywood Young

Filmmaker Award’.

Les choses s’enchaînent rapidement et en 2002, alors

qu’il n’a que 26 ans, Liebesman réalise son premier long-

métrage, un film d’horreur : NUITS DE TERREUR. Il poursuit

naturellement dans une même veine avec MASSACRE

À LA TRONÇONNEUSE : LE COMMENCEMENT (2006),

avant de se faire une spécialité dans une gestion réussie

d’effets de Motion Capture au sein de films d’action ultra-

boostés. Sortent alors coup sur coup WORLD INVASION :

BATTLE LOS ANGELES et LA COLÈRE DES TITANS, qui

laissent penser aux producteurs des NINJA TURTLES

qu’il est le candidat idéal pour en assurer la réalisation.

Dont acte.

MP02 NINJA TURTLES.indd 13 28/08/2014 17:05

Page 21: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

- 14 -

MEGAN FOX ————————————————— April O’NeilMegan Fox est une actrice et mannequin née dans

le Tennessee, en mai 1986. À l’âge de 15 ans à peine,

elle débute sa carrière d’actrice dans divers téléfilms

et séries télévisées de seconde catégorie, interprétant

notamment un rôle récurrent dans la sitcom LA STAR DE

LA FAMILLE, de 2004 à 2006 inclus. Mais c’est l’année

suivante que le monde la découvre dans le rôle de Mikaela

Banes, la petite amie de Shia LaBeouf, dans le premier

TRANSFORMERS. Elle explose littéralement à l’écran

et explose d’ailleurs tout court, devenant du jour au

lendemain un sex-symbol, et apparaissant fréquemment

dans des magazines masculins comme FHM ou Maxim.

Depuis lors, on a pu la voir notamment dans

UN ANGLAIS À NEW YORK, TRANSFORMERS : LA

REVANCHE bien sûr, JONAH HEX ou encore 40 ANS :

MODE D’EMPLOI. NINJA TURTLES marque son grand

retour à l’écran, après deux ans d’absence (et deux

jeunes enfants, ceci expliquant cela).

WILL ARNETT ————————————— Vern FenwickWill Arnett est un comique canadien né en mai 1970

à Toronto. Après avoir bouclé ses études dans différentes

écoles françaises de Toronto, en terminant rarement l’année

scolaire là où il l’avait débutée (quand il n’est pas renvoyé

pour mettre la pagaille, c’est lui qui claque la porte !).

Turbulent, il choisit de suivre des cours de théâtre, afin

de canaliser son énergie, c’est la révélation. Il excelle sur

les planches et on le retrouve rapidement au générique

de diverses séries TV : SEX & THE CITY, LES SOPRANO,

30 ROCK mais aussi ARRESTED DEVELOPMENT, pour

un rôle qui lui permet d’être nommé aux Emmy Awards.

Au cinéma, pendant longtemps, il est surtout une voix.

Une voix en or que les producteurs et réalisateurs de

films d’animation s’arrachent. C’est ainsi qu’il participe

à L’ÂGE DE GLACE 2, HORTON, MONSTRES CONTRE

ALIENS, MOI MOCHE ET MÉCHANT ou encore LA

GRANDE AVENTURE LEGO où il n’incarne pas moins

que Batman himself.

NINJA TURTLES est donc son premier grand rôle

‘physique’ au cinéma, après des participations remarquées

dans JONAH HEX, MEN IN BLACK 3 ou encore LES

MILLER : UNE FAMILLE EN HERBE.

WILLIAM FICHTNER —————————Eric SacksD’origine allemande, William Fichtner est né sur la

base de l’Air Force de Long Island, en novembre 1956.

Ses études l’amènent jusqu’à un master en sciences

criminelles, mais il décide contre toute attente (et contre

l’avis de ses parents !) de poursuivre avec des études

artistiques, dans le cadre de l’Académie d’Art Dramatique

de New York.

Il débute sa carrière d’acteur assez tardivement, à 30

ans passés et multiplie rapidement les petits rôles dans de

grands films. Citons notamment MALCOLM X (1992), HEAT

(1995), ARMAGEDDON (1998), LA CHUTE DU FAUCON

NOIR (2001) ou THE DARK KNIGHT (2008). Fichtner est

ce qu’on appelle communément une gueule, mais c’est

aussi et surtout un sacré acteur. Petit à petit les décideurs

d’Hollywood s’en aperçoivent et depuis deux ans il multiplie

les rôles plus importants. On l’a vu récemment dans LONE

RANGER, ELYSIUM, mais aussi THE HOMESMAN, le dernier

film réalisé par Tommy Lee Jones.

ALAN RITCHSON ————————————— Raphael

Alan Michael Richson, né en novembre 1984, est

acteur, mannequin et chanteur. C’est avec sa carrière de

mannequin (stoppée en 2009) qu’il se fait remarquer

en premier, notamment dans le catalogue Abercrombie

& Fitch. Au cinéma, après des débuts mitigés en 2006

dans THE BUTCHER, il prête son physique et son image

faciale au personnage principal de BEOWULF de Robert

Zemeckis. Il a aussi interprété le personnage récurrent

d’Aquaman dans la série SMALLVILLE et on l’a vu dans la

peau de Gloss, dans le second volet d’HUNGER GAMES.

NOEL FISHER ————————————— Michelangelo

Noel Roeim Fisher est un acteur canadien né à

Vancouver en mars 1984. Bien que son visage ne soit pas

encore familier, c’est un acteur touche à tout qui travaille

énormément et qui a déjà à son compte une quarantaine

de films, téléfilms ou séries télévisées.

À la télévision, il a été vu notamment dans HATFIELDS

& McCOYS, SHAMELESS, BONES, COLD CASE ou THE

MENTALIST ; et au cinéma dans AGENT CODY BANKS,

WORLD INVASION : BATTLE LOS ANGELES et TWILIGHT

CHAPITRES IV ET V : RÉVÉLATION.

PETE PLOSZEK —————————————— Leonardo

Pete Ploszek est le petit nouveau de la bande. Diplômé

de l’Université de Princeton où il jouait au football (!), il

bifurque rapidement vers une école de théâtre d’où il

ressort également avec un diplôme en poche, en 2012.

Au théâtre, on l’a récemment vu dans le rôle de

Stefano, dans LA TEMPÊTE de Shakespeare ou encore

dans celui de Trofimov dans LA CERISAIE de Tchekhov.

NINJA TURTLES est son premier rôle au cinéma.

JEREMY HOWARD ——————————— Donatello

Fils de l’acteur Joe Howard (un habitué des séries TV

depuis le début des années 80), Jeremy est né en mai 81

à Burbank, en Californie.

Il débute à la télévision très jeune, à 11 ans à peine,

puis rapidement au cinéma. On a pu le voir notamment

dans LE GRINCH, MEN IN BLACK II et ARRÊTE-MOI

SI TU PEUX de Spielberg. Plus récemment on a pu

l’apercevoir dans BREAKING BAD (il joue un drogué) et

à la télévision dans UNE STAR POUR NOËL.

NINJA TURTLES est son premier rôle important, au

cinéma.

MP02 NINJA TURTLES.indd 14 28/08/2014 17:05

Page 22: Gama Entertainment - Paramount Pictures France Sarl...épiques telles que les spectateurs d’aujourd’hui aiment en voir. » Le réalisateur poursuit: « Je crois que le principal

#NinjaTurtles

@PARAMOUNTFR

ninjaturtles-lefilm.fr

/NinjaTurtles.FR EN 3D DISPONIBLE EN 2D