Fêter les saints patrons de nos églises et de nos paroisses · La célébration des saints....

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Fêter les saints patrons de nos églises et de nos paroisses Comment l’Eglise nous donne-t-elle des directions pour bien connaître les saints ? Qu’appelle-t-on le culte des Saints ? Quels sont les saints patrons de notre diocèse ? Voici bien des questions que nous vous proposons de découvrir… Que nous dit le concile Vatican II sur les fêtes des saints ? « Les fêtes des saints » Chap V, Parg 111, de la sainte Liturgie Selon la Tradition, les saints sont l’objet d’un culte dans l’Eglise, et l’on y vénère leurs reliques authentiques et leurs images. Les fêtes des saints proclament les merveilles du Christ chez ses serviteurs et offrent aux fidèles des exemples opportuns à imiter. Pour que les fêtes des saints ne l’emportent pas sur les fêtes qui célèbrent les mystères sauveurs en eux-mêmes, le plus grand nombre d’entre elles seront laissées à la célébration de chaque Eglise (diocésaine), nation ou famille religieuse particulière ; on n’étendra à l’Eglise universelle que les fêtes commémorant des saints qui présentent véritablement une importance universelle. Le culte des saints C’est à partir du culte des défunts que s’est organisé le culte des saints. L’anniversaire de la mort des martyrs, leur dies natalis, jour de naissance au ciel, a ouvert la voie à l’organisation de la dévotion. Le culte rendu au défunt, en l’occurrence au martyr, se démarque du culte familial en devenant un culte officiel de l’Église locale. En ce jour anniversaire, la communauté rassemblée auprès de sa tombe – tout au moins au début – proposait son exemple à la vénération commune, puis se confiait à son intercession. Ainsi chaque Église locale tenait-elle un registre des confesseurs de la foi, prémices, dès le III e siècle, des premiers calendriers chrétiens. L’élargissement de la notion de sainteté n’a pas changé la manière de rendre un culte aux saints, mais le culte, d’abord local, s’est répandu, chaque Église honorant certains saints d’une autre Église dans une communion plus étroite. Par ailleurs ce qui caractérise le culte des saints, c’est la fête, c’est-à- dire la joie et l’allégresse, qui est le pendant de l’action de grâce. Par Bénédicte Ducatel, Collaboratrice à Magnificat Article sur le site internet du SNPLS Le culte des saints et des bienheureux, dans le directoire sur la piété populaire et la liturgie… 226. Les influences réciproques de la liturgie et de la piété populaire sont particulièrement importantes dans le domaine spécifique du culte des saints et des bienheureux. Il paraît opportun de rappeler brièvement les principales formes de vénération prévues dans la liturgie de l'Église : ces diverses dispositions sont destinées à éclairer et à guider les expressions de la piété populaire.

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Fêter les saints patrons

de nos églises et de nos paroisses

Comment l’Eglise nous donne-t-elle des directions pour bien connaître les saints ?

Qu’appelle-t-on le culte des Saints ?

Quels sont les saints patrons de notre diocèse ?

Voici bien des questions que nous vous proposons de découvrir…

Que nous dit le concile Vatican II sur les fêtes des saints ?

« Les fêtes des saints » Chap V, Parg 111, de la sainte Liturgie

Selon la Tradition, les saints sont l’objet d’un culte dans l’Eglise, et l’on y vénère leurs reliques

authentiques et leurs images. Les fêtes des saints proclament les merveilles du Christ chez ses

serviteurs et offrent aux fidèles des exemples opportuns à imiter.

Pour que les fêtes des saints ne l’emportent pas sur les fêtes qui célèbrent les mystères

sauveurs en eux-mêmes, le plus grand nombre d’entre elles seront laissées à la célébration de

chaque Eglise (diocésaine), nation ou famille religieuse particulière ; on n’étendra à l’Eglise

universelle que les fêtes commémorant des saints qui présentent véritablement une

importance universelle.

Le culte des saints

C’est à partir du culte des défunts que s’est organisé le culte des saints. L’anniversaire de la mort des

martyrs, leur dies natalis, jour de naissance au ciel, a ouvert la voie à l’organisation de la dévotion.

Le culte rendu au défunt, en l’occurrence au martyr, se démarque

du culte familial en devenant un culte officiel de l’Église locale. En ce

jour anniversaire, la communauté rassemblée auprès de sa tombe

– tout au moins au début – proposait son exemple à la vénération

commune, puis se confiait à son intercession. Ainsi chaque Église

locale tenait-elle un registre des confesseurs de la foi, prémices, dès

le IIIe siècle, des premiers calendriers chrétiens.

L’élargissement de la notion de sainteté n’a pas changé la manière de rendre un culte aux saints, mais

le culte, d’abord local, s’est répandu, chaque Église honorant certains saints d’une autre Église dans

une communion plus étroite. Par ailleurs ce qui caractérise le culte des saints, c’est la fête, c’est-à-

dire la joie et l’allégresse, qui est le pendant de l’action de grâce.

Par Bénédicte Ducatel, Collaboratrice à Magnificat Article sur le site internet du SNPLS

Le culte des saints et des bienheureux, dans le directoire sur la piété populaire et la liturgie…

226. Les influences réciproques de la liturgie et de la piété populaire sont particulièrement

importantes dans le domaine spécifique du culte des saints et des bienheureux. Il paraît

opportun de rappeler brièvement les principales formes de vénération prévues dans la

liturgie de l'Église : ces diverses dispositions sont destinées à éclairer et à guider les

expressions de la piété populaire.

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La célébration des saints.

227. La célébration d'une fête en l'honneur d'un

saint — et cela vaut aussi à leur niveau pour les

bienheureux — est sans aucun doute une expression

éminente du culte de la communauté ecclésiale : elle

inclut très souvent la célébration de l'Eucharistie. La

détermination du « jour de fête » du saint est une

décision très importante sur le plan cultuel, mais

elle est souvent complexe, parce qu'elle dépend de

nombreux facteurs d'ordre historique, liturgique et

culturel, qui ne sont pas faciles à harmoniser.

Dans l'Église de Rome et dans d'autres Églises

locales, la célébration la plus ancienne fut celle de la

mémoire des martyrs, le jour anniversaire de leur

passion, (c’est-à-dire de leur mort) qui marquait à la

fois leur suprême identification au Christ et leur

naissance au ciel ; elle fut suivie par la célébration du

conditor Ecclesiae, des évêques qui avaient dirigé

ces Églises et des autres confesseurs de la foi, ainsi

que de la commémoration annuelle de la dédicace

de l'église cathédrale. La multiplication de ces diverses

célébrations rendirent nécessaire la constitution

progressive des calendriers liturgiques locaux, où

furent mentionnés la date et le lieu de la mort de

chacun des saints ou groupe de saints.

Ces calendriers particuliers permirent d'élaborer

des calendriers généraux, dont les plus célèbres sont

le martyrologe syriaque (Ve siècle), le

Martyrologium Hieronimianum (VIe siècle), celui de

saint Bède (VIIIe siècle), de Lyon (IXe siècle), de

Usardo (IXe siècle) et d' Adone (IXe siècle).

Le 14 janvier 1584, Grégoire XIII promulgua l'édition

typique du Martyrologium Romanum, destiné à

l'usage liturgique. Jean-Paul II a promulgué la

première édition typique du martyrologe romain

qui a été révisé à la suite du concile Vatican II ; tout

en se référant à la tradition romaine et en

incorporant les données des différents martyrologes

anciens les plus importants, cette édition typique

rassemble les noms de très nombreux saints et

bienheureux, et il constitue un témoignage

extrêmement riche des multiples formes de

sainteté que l'Esprit du Seigneur suscite dans

l'Église à toutes les époques et en tous lieux.

228. Le calendrier romain est intimement lié à

l'histoire du martyrologe ; il a pour objet de

mentionner le jour et le degré des célébrations en

l'honneur des saints. Conformément à la disposition

du concile Vatican II, le calendrier romain général

comprend seulement les mémoires des « saints qui

présentent véritablement une importance

universelle », en laissant aux calendriers particuliers,

qu'ils soient nationaux, régionaux, diocésains ou des

familles religieuses, le soin d'indiquer les mémoires

des autres saints.

Il est opportun de rappeler la raison pour laquelle le

nombre des célébrations des saints a été réduit, ainsi

que la nécessité d'en tenir compte sur le plan pastoral :

cette décision a été prise pour que « les fêtes des saints

ne l'emportent pas sur les fêtes qui célèbrent les

mystères du salut eux-mêmes ». Au cours des siècles,

en effet, « la multiplication des fêtes, des vigiles et des

octaves, ainsi que la complication progressive des

diverses parties de l'année liturgique » avaient

«souvent poussé les fidèles aux dévotions

particulières, de telle sorte que leurs esprits ont été

quelque peu détournés des mystères fondamentaux

de notre rédemption ».

229. À partir de la réflexion sur l'origine, le

développement et les différentes révisions du

calendrier romain général, il est possible de

présenter les quelques orientations pastorales

suivantes :

- il est nécessaire d'instruire les fidèles sur le lien

existant entre les fêtes des saints et la célébration

du mystère du Christ. En effet, la raison d'être des

fêtes des saints est de mettre en lumière les

réalisations concrètes du dessein salvifique de Dieu,

et de « proclamer les merveilles du Christ chez ses

serviteurs » ; les fêtes des membres de l'Église que

sont les saints sont en réalité aussi des fêtes de la

Tête de cette même Église c'est-à-dire des fêtes du

Christ ;

- il convient d'habituer

les fidèles à discerner la

valeur et la signification

véritable des fêtes de ces

saints et de ces saintes,

dont la mission

particulière a marqué

l'histoire du salut, et qui ont vécu dans une relation

étroite avec le Seigneur Jésus :

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On peut citer, en particulier, saint Jean Baptiste (24

juin), saint Joseph (19 mars), les

saints Pierre et Paul (29 juin), les

autres apôtres et saint évangé-

listes, sainte Marie Madeleine (22

juillet) et sainte Marthe de

Béthanie (29 juillet), enfin saint

Étienne (26 décembre) ;

il convient d'encourager les

fidèles à célébrer en priorité les

saints qui, dans l'Église particulière, sont considérés

comme les plus importants : par exemple, les

patrons ou ceux qui, les premiers, ont annoncé la

Bonne Nouvelle à la communauté des origines ;

— enfin, il est utile d'enseigner aux fidèles le critère

d'« universalité », qui caractérise les saints du

calendrier général, ainsi que le sens du degré de

leur célébration liturgique : solennité, fête et

mémoire (obligatoire ou facultative).

Le jour de la fête.

231. Il faut que la fête du saint soit préparée, puis

célébrée avec beaucoup de soin, tant du point de

vue liturgique que pastoral.

Ce qui exige avant tout une présentation adaptée de

la finalité pastorale du culte des saints, totalement

destiné à célébrer la gloire de Dieu, « admirable dans

ses saints », et aussi à encourager les fidèles à

conformer leur vie à l'enseignement et à l'exemple

du Christ, en imitant les saints, qui sont les

membres éminents de son Corps mystique.

De plus, il faut que la figure du saint soit présentée

d'une manière appropriée. Selon la conception très

juste de notre époque, il convient qu'une telle

présentation se base moins sur des faits légendaires,

qui entourent parfois la vie du saint, ou sur ses

qualités de thaumaturge, que sur la valeur de sa

personnalité chrétienne, la grandeur de sa sainteté

et l'efficacité de son témoignage évangélique, ainsi

que sur le charisme personnel grâce auquel il a

enrichi la vie de l'Église.

232. Le « jour du saint » a aussi une grande valeur

anthropologique : c’est un jour de fête. Et il est

notoire que la fête réponde à une nécessité vitale de

l'homme, et qu'elle se fonde ultimement sur son

aspiration à la transcendance. Par ses

manifestations de joie et de gaieté, la fête affirme

la valeur de la vie et de la création. En rompant avec

la monotonie quotidienne et avec certaines formes

de vie trop conventionnelles, en libérant aussi

momentanément les fidèles de leur dépendance aux

trop nombreuses contraintes matérielles, la fête

exprime à la fois la recherche d'une liberté sans

entraves, l'aspiration à un bonheur parfait et

l'exaltation de la pure gratuité. Sur le plan culturel,

la fête met en évidence le génie particulier d'un

peuple, c'est-à-dire les valeurs qui le caractérisent et

le distinguent des autres

peuples, et les expressions les

plus réussies de sa propre

culture, y compris de son

folklore. La fête est aussi un

moyen de socialisation qui

permet d'étendre le cercle de

ses amis, et d'ouvrir ses

relations de voisinage à de

nouveaux membres de la

communauté.

233. Divers facteurs menacent la qualité de la « fête

du saint » tant du point de vue religieux

qu'anthropologique :

Du point de vue religieux, il peut arriver que la « fête

du saint », appelée « fête patronale » dans le cadre

de la paroisse, soit progressivement vidée du

contenu spécifiquement chrétien qui était le sien à

l'origine et qui consistait à honorer le Christ dans y

l'un de ses membres, et qu'elle devienne surtout une

manifestation sociale ou folklorique, et, dans le

meilleur des cas, une occasion privilégiée de

rencontre et de dialogue entre les membres d'une

même communauté.

Du point de vue anthropologique, il n'est pas rare

que des groupes ou des personnes, en croyant «faire

la fête », se détachent en réalité du véritable sens

de cette expression par leurs comportements. En

effet, la fête est la participation de l'homme à la

domination de Dieu sur la création et à son « repos »

actif, qui est tout autre chose qu'une oisiveté stérile ;

elle est aussi la manifestation d'une joie simple et

communicative, et non la soif démesurée d'un

plaisir égoïste ; …

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Fêtes, solennités, mémoires … les degrés des célébrations liturgiques

Par Paul De Clerck, Curé d’une paroisse bruxelloise, professeur honoraire de l’Institut Catholique de Paris.

Les jours liturgiques

« Chaque jour est sanctifié par les célébrations liturgiques du Peuple de Dieu. Le premier

jour de la semaine, ou Jour du Seigneur, …l’Église célèbre le mystère pascal » (Normes, n° 4).

Les autres célébrations se divisent, selon leur importance, en solennités, fêtes et mémoires,

auxquelles s’ajoutent les féries.

Les solennités, comme Noël, Épiphanie, Annonciation, Pâques..., commencent la veille avec

les premières vêpres, parfois avec une messe propre de vigile.

Les fêtes qualifient les jours comme la Présentation du Seigneur au Temple, les fêtes

d’Apôtres ou la Nativité de Marie, etc.

Les mémoires, obligatoires ou facultatives, honorent des saints considérés comme plus

importants, tels Basile ou Thérèse d’Avila.

Les féries correspondent aux autres jours, sans particularité.

Calendrier de l’Eglise de Coutances et Avranches

Le calendrier de l'Église de Coutances ajoute au Calendrier romain général et à celui des

fêtes propres à la France les célébrations suivantes :

Janvier

17 Notre-Dame de Pontmain Mémoire

30 Saint Gaud, évêque Mémoire facultative

Février

28 Bienheureux Auguste Chapdelaine, prêtre et martyr Mémoire

Mars

1 Saint Léon de Carentan, évêque et martyr Mémoire facultative

4 Bienheureux Placide Viel, vierge Mémoire facultative

18 Bienheureux Marthe Le Bouteiller, vierge Mémoire facultative

Avril

16 Saint Pair, évêque d'Avranches, et Saint Scubillion, abbé Mémoire

24 Saint Guillaume Firmat, abbé Mémoire facultative

28 Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, prêtre Mémoire facultative

29 Bienheureux Achard, évêque d'Avranches Mémoire facultative

Mai

4 Saint Marcouf, abbé Mémoire

6 Saint Germain de la Mer, évêque et martyr Mémoire facultative

8 Bienheureux Marie-Catherine de Saint Augustin, Vierge Mémoire facultative

21 Saint Ortaire, abbé Mémoire facultative

Saint Léon de Carentan

Saint Marcouf

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Juillet

6 Saint Sever, évêque d'Avranches Mémoire facultative

7 Saint Thomas Becket, évêque et martyr Mémoire facultative

12 DÉDICACE DE LA CATHÉDRALE DE COUTANCES (à la cathédrale) Fête

16 Saint Hélier, martyr Mémoire facultative

17 Sainte Marie-Madeleine Postel, vierge Mémoire

18 Saint Clair, prêtre et martyr Mémoire facultative

Août

19 Saint Jean Eudes, prêtre Mémoire

Septembre

2 Bienheureux François Lefranc et les martyrs de la Révolution Mémoire

9 Saint Omer, évêque Mémoire facultative

10 Saint Aubert, évêque d'Avranches Mémoire facultative

17 Saint Floscel, martyr Mémoire facultative

18 Saint Senier, évêque d'Avranches Mémoire facultative

19 Saint Vital, abbé de Savigny Mémoire

22 SAINT-LO, EVEQUE DE COUTANCES, PATRON DU DIOCESE Fête

(à Coutances et Saint-Lô) Solennité

25 Saint Jean de Brébeuf et ses compagnons, martyrs Mémoire

Octobre

12 Les Saints Évêques de Coutances et Avranches Mémoire

13 Bienheureux Pierre Adrien Toulorge Mémoire facultative

16 Dédicace de la basilique du Mont Saint-Michel Mémoire

19 Bienheureux Thomas Hélye, prêtre Mémoire

La mémoire de saint Jean de Brébeuf et de ses compagnons est transférée

du 19 octobre au 25 septembre.

20 Sainte Adeline et les saints de Savigny Mémoire facultative

25 Saint Magloire, moine Mémoire facultative

26 Saint Fromond, évêque de Coutances Mémoire

Novembre

8 Tous les saints de Coutances et Avranches Mémoire

19 Saint Romphaire, évêque de Coutances Mémoire

La mémoire de Saint Thomas Becket est transférée du 29 décembre au 7 juillet

Sainte Marie-Madeleine Postel

Bienheureux Thomas Hélye

Saint Laud

Saint Germain Saint Romphaire Saint Clair

Saint Aubert

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Un peu d'histoire .... le diocèse aujourd'hui …

L'actuel diocèse de Coutances et Avranches faisant partie de la Province Ecclésiastique de Normandie résulte de la fusion, opérée par le concordat de 1801, des deux diocèses de Coutances et Avranches déjà réunis de fait, en 1791, par la constitution civile du clergé.

Constitué, semble-t-il assez tardivement par des apôtres venus d'outre-Manche, le diocèse de Coutances eut pour évêque Saint Laud (première moitié du 6ème siècle), devenu le patron secondaire du diocèse.

Celui d'Avranches, évangélisé sans doute un peu plus tôt, par des apôtres venus plutôt du sud, eut pour premier évêque Népus présent en 511 au 1er Concile d'Orléans.

Le diocèse compte 58 paroisses, avec 3 archidiaconés, 8 doyennés.

L'église-Cathédrale est placée sous le vocable et le patronage de la Très Sainte Vierge, sa dédicace est fêtée chaque 12 juillet.

Paroisses de l’Archidiaconé Nord

Paroisse Saint-Jean-XXIII de Cherbourg-La Glacerie

Paroisse Bienheureux-Thomas-Hélye de la Hague

Paroisse Saint-Clair de Les Pieux

Paroisse Sainte-Marie-du-Cotentin d'Equeurdreville-Hainneville

Paroisse Saint-Gabriel de Tourlaville

Paroisse Saint-Sauveur de Cherbourg-Octeville

Paroisse Sainte-Bernadette de Martinvast

Paroisse Saint-Malo de Valognes

Paroisse Notre-Dame-des-Isles de Barneville-Carteret

Paroisse Notre-Dame-du-Val-de-Saire de Saint-Pierre-Eglise

Paroisse Saint-Jacques de Montebourg

Paroisse Julie-Postel-du-Val-de-Saire de Barfleur

Paroisse Sainte-Anne de Bricquebec

Paroisse Sainte-Marie-Madeleine-Postel de Saint-Sauveur-le-Vicomte

Paroisse Sainte-Thérèse-du-Val-de-Saire de Quettehou

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Paroisses de l’Archidiaconé Centre

Paroisse Saint-Léon de Carentan

Paroisse Notre-Dame-de-la-Paix de Sainte-Mère-Eglise

Paroisse Saint-Benoît de Lessay

Paroisse Saint-François et Sainte-Claire-d'Assise de Périers

Paroisse Saint-Jean de Créances

Paroisse Bienheureux-Marcel-Callo de La Haye-du-Puits

Paroisse Sainte-Jeanne-d'Arc de Picauville

Paroisse Notre-Dame de Coutances

Paroisse Saint-François-d'Assise de Cerisy-la-Salle

Paroisse Saint-Jean-Eudes de Saint-Sauveur-Lendelin

Paroisse Saint-Paul d'Agon-Coutainville

Paroisse Saint-Vincent-de-Paul de Montmartin-sur-mer

Paroisse Saint-Jean-Baptiste d'Agneaux

Paroisse Saint-Jean-de-Brébeuf de Torigni-sur-Vire

Paroisse Saint-Jean-Eudes de Saint-Lô

Paroisse Saint-Laud de Saint-Lô

Paroisse Saint-Pierre et Saint-Paul de Tessy-sur-Vire

Paroisse Saint-Vincent-de-Paul de Marigny

Paroisse Sainte-Famille de Daye-Pont-Hébert

Paroisse Sainte-Marie de Canisy

Paroisse Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus de Saint-Clair-sur-l'Elle

Paroisses de l’Archidiaconé Sud

Paroisse Saint-Pierre et Saint-Paul de La Haye-Pesnel

Paroisse Notre-Dame-de-l'Espérance de Bréhal

Paroisse Notre-Dame-de-la-Baie de Saint-Pair-sur-Mer

Paroisse Saint-Auguste-Chapdelaine de Sartilly

Paroisse Saint-Clément de Granville

Paroisse Bienheureuse-Soeur-Marthe de Percy

Paroisse Sainte-Bernadette de Villedieu-les-Poêles

Paroisse Sainte-Trinité de Gavray-Hambye

Paroisse Saint-Aubert d'Avranches

Paroisse Notre-Dame-de-la-Paix de Pontorson

Paroisse Saint-Jacques de Saint-James

Paroisse Saint-Martin de Brécey

Paroisse Saint-Michel de Ducey

Paroisse Saint-Evroult de Mortain

Paroisse Notre-Dame-de-l'Assomption de Barenton

Paroisse Notre-Dame-de-l'Assomption de Sourdeval

Paroisse Saint-Clément de Saint-Pois

Paroisse Notre-Dame de Juvigny-le-Tertre

Paroisse Saint-Hilaire de Saint-Hilaire-du-Harcouët

Paroisse Saint-Martin d'Isigny-le-Buat

Paroisse Saint-Martin de Saint-Martin-de-Landelles

Paroisse Saint-Patrice de Le Teilleul