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Jusqu’où ira se nicher l’ubérisation ? Après avoir fragilisé le secteur des taxis, puis celui des locations, ce phénomène s’attaque aux guides conférenciers. Il consiste à faire éclater les réglementations des activités les mieux encadrées pour les confier à des « indépendants », en réalité très dépendants de plateformes numériques tentaculaires.

Avec une perversité redoutable, la recherche de profit transforme les potentialités offertes par les nouvelles technologies pour précariser et exploiter davantage.

Le travailleur, isolé dans cette société libérale qui brise tous les cadres collectifs, voit son travail aliéné par une forme d’auto-exploitation et de mise en concurrence féroce. Lorsqu’il proteste, il est renvoyé à son statut de consommateur responsable de ses choix. N’utilise-t-il pas le low cost ? Peut-il se permettre de louer un taxi ? Il faut sortir de cette logique qui oppose les uns aux autres et qui prospère même sur les contradictions en chacun d’entre nous.

En cela, l’initiative prise par les guides-conférenciers professionnels de la région est à saluer. En lançant leur propre plateforme où ils s’associent pour défendre leur métier, leur qualification et leur activité tout en tenant compte de l’évolution des habitudes de consommation toujours plus tournées vers le numérique, ils montrent qu’il est possible de riposter ensemble.

À leur échelle, ils défrichent un chemin original. Leur tentative mérite d’être connue dans un monde du travail de plus en plus confronté aux problématiques qu’ils soulèvent. En résumé, l’objectif est à la fois simple et grand : il s’agit de gagner la maîtrise de nos vies.

Ils sont 700 guide-conféren-ciers à travailler dans la Région Sud-Paca. Salariés

ou autoentrepreneurs, la majo-rité de la profession est sinis-trée depuis la crise du corona-virus. Et pour cause, lorsque l’employeur principal dans la région est l’industrie de la croi-sière. « Avec l’annulation des es-cales décidées par les compagnies, j’ai perdu 50 à 80 % de mon chif-fre d’affaires », déplore Cecyl Tarlier, secrétaire général des Guides conférenciers Sud-Provence, une association créée fin 2019. « Même avec les offices du tourisme qui représentent 20 à 30 % du chiffre d’affaires d’un

guide, nos groupes sont trop peu nombreux, ce qui provoque par-fois des annulations. » Par chance, il est également professeur d’his-toire-géographie, ce qui lui per-met de survivre à la crise. Pour les autres, si les guides indépen-dants peuvent bénéficier du Fonds de solidarité qui court jusqu’au 1er janvier, pour beau-coup de salariés, la situation est jugée « catastrophique », selon le récent communiqué des Guides Sud-Provence. Souvent par manque de contrats, « fin de droits et refus de certains em-ployeurs de mettre en place le chô-mage partiel, près d’un quart en-visage une reconversion profes-sionnelle », estime Cecyl Tarlier.

Car la crise de la Covid est un nouveau coup porté à la pro-fession. Avec la précarisation du métier où de plus en plus de salariés sont mis en concur-rence avec le statut d’autoen-trepreneur, les guides cartés souffrent également depuis plu-sieurs années de l’essor d’une concurrence jugée déloyale. Celle des plateformes free-tours qui ont fleuri sur internet, comme Freetours.com,

Guruwalk.com, ou Civitatis.com qui propose une offre sur Marseille.

Le principe ? Ces compagnies proposent des prestations « gra-tuites ». S’ils sont satisfaits, les visiteurs sont invités à payer le guide sous forme de pourboire. « Il n’y a pas de déclaration fis-cale, ni impôt. Par ailleurs, cer-tains de ces guides se retrouvent à accompagner des groupes dans des musées ou des monuments nationaux, alors qu’ils ne pos-sèdent pas de carte officielle de guide-conférencier » accuse Cecyl Tarlier. Des entorses à la légis-lation qui semblent légion. Pour Romain Bouchaud, guide-con-férencier, « pourquoi créer une li-cence professionnelle en 2013, pourquoi légiférer, si cette loi n’est pas respectée ? ».

Parmi les nouveaux venus, les Greeters ont aussi investi depuis quelques années le sec-teur du tourisme friendly. Venu des États-Unis, le concept se dé-veloppe désormais à Marseille. L’association Marseille Provence Greeters propose des balades menées par des Marseillais bé-névoles, étudiants, retraités ou jeunes actifs pour privilégier une expérience conviviale à par-

tager. À la fin de la visite, une demande de don est sollicitée, collectée par Greeters Europe. « Ce qui nous gêne, c’est que beau-coup d’offices du tourisme font la promotion des Greeters sur les réseaux sociaux, avec l’argent du contribuable. Il y a eu même des subventions publiques oc-troyées par la Ville de Paris. » Une promotion dont se défend l’office du tourisme de Marseille, qui affirme avec fermeté n’em-baucher que des guides profes-sionnels. « On emploie et on forme les guide-conférenciers toute l’an-née. Employer des guides non professionnels, ce serait galvau-der le diplôme. Les Greeters, c’est une belle idée, mais il y a des dé-rives. Certains se font payer ou se font dédommager », souligne Maxime Tissot, directeur géné-ral de l’office marseillais.

Faute de mesures sociales annoncées par le gouvernement, les membres de l’association des Guides Sud-Provence ont pris leur avenir en main. Leur plateforme associative, acces-sible sur internet, ne prélève aucune commission sur les ven-tes du guide, contrairement à Trip Advisor ou Air’B’n’B.

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La Marseillaise : Dans le cas des gui-des et de la concurrence des plate-formes rassemblant des non profes-sionnels, peut-on parler d’ubérisa-tion ? Lionel Maurel : L’ubérisation renvoie à plusieurs choses. Cela qualifie le fait de voir des acteurs traditionnels con-tournés par un nouvel arrivant qui joue un nouveau rôle d’intermédiaire qui met en relation une offre et une de-mande. Ce qui peut aussi avoir pour ef-fet de monétiser des pratiques qui étaient, jusque-là, dans le partage et de les faire basculer dans une forme d’échange marchand. Je pense à Blablacar. C’est aussi Uber ou Deliveroo qui recourent à un travail vraiment précarisé, obli-geant des gens qui travaillent à pren-dre des statuts d’autoentrepreneurs et attaquent directement les questions de protection sociale et de droit du Travail. On peut avoir aussi une utilisation du terme ubérisation qui ne me semble pas exacte. On a par exemple des photo-graphes qui parlent d’ubérisation de leur profession et s’en prennent à Wikipedia où les gens peuvent mettre des images et ont constitué un stock très important de photos libres de droit et gratuites. Certes, cela bouscule les pro-fessionnels mais ce n’est pas de l’ubé-risation. En fait, certaines personnes voient la gratuité comme un problème. Selon moi, la question est davantage de

voir comment on articule les sphères marchandes et non marchandes. Mais on ne peut pas condamner la gratuité. C’est un peu comme si les chauffeurs de taxi voulaient interdire le stop. Ce serait problématique. Pour le cas précis des guides, il me semble donc que la si-tuation est à nuancer. À Marseille, par exemple, existe une plateforme – Les oiseaux de passage – qui montre que l’on peut articuler intelligemment ama-teur et professionnel, payant et gratuit.

Pouvez-vous développer ? L.M.: Elle est née d’une association en-tre le projet Hôtel du nord et deux au-tres coopératives. Le projet est né en réaction à Airbnb et voulait permettre à des habitants de faire découvrir leur territoire. Les fondateurs ont d’emblée inclus la question des professionnels : sur leur plateforme, des prestations sont proposées, mais aussi des propo-sitions de visite à titre gratuite et ils es-sayent d’articuler tout cela.

Ils sont structurés en entreprise mais de l’économie sociale et solidaire. Il me semble que le vrai débat est plus là. Plutôt que de se situer d’un côté ou de l’autre, c’est plus de savoir comment on fait pour articuler les deux et faire en sorte de ne pas les opposer. Mais les plateformes, ce sont aussi Airbnb, Uber… Comment les cadrer ? L.M. : Dans les modèles type Airbnb ou Uber, je pense qu’il n’y a plus grand-chose à sauver. Ce type d’entreprise a adopté les comportements les plus pré-dateurs : évasion fiscale, contourne-ment du droit du travail… Elles sont ul-tra-financiarisées, ont des logiques mo-nopolistiques et font tout pour ne pas s’intégrer sur un territoire. Il me sem-ble aussi un peu illusoire de penser qu’on peut arriver à les réguler. Mais si les modèles historiques à la Uber ne sont pas réparables, il y a de la place pour essayer d’inventer autre chose. Des exemples le montrent. Comme « Coop cycle » qui essaye de pro-poser une alternative à Deliveroo. C’est une coopérative qui s’appuie sur des coopératives de livreurs qui sont sala-riés. Entre le gratuit et les entreprises type Uber, je pense qu’il y a une place pour des plateformes ancrées dans l’éco-nomie sociale et solidaire, avec une li-mitation intrinsèque du profit, qui se fixe une finalité sociale… Toute la pro-blématique est d’arriver à se rendre vi-sible et à exister dans un univers très concurrentiel et où il est difficile de grossir. Les pouvoirs publics ont ici un rôle majeur car ils ont la possibilité de limiter l’emprise des grandes platefor-mes et pourraient soutenir des alter-natives.

Sa pointe d’accent trahit une pratique quotidienne de qua-

tre langues. C’est depuis tou-jours que Romain Bouchaud éprouve cette appétence pour les langues étrangères. « J’ai toujours eu envie de communi-quer avec le monde entier », sou-ligne le guide de 37 ans qui s’est dirigé rapidement vers des étu-des de tourisme, pour entrer après un BTS « par la petite porte » dans la profession de guide, en 2005. « À l’époque, on pouvait encore obtenir une carte de guide interprète avant la fu-

sion de l’ensemble des cartes pro-fessionnelles qui existaient sur le territoire », rappelle Romain Bouchaud. Un « rêve de gosse » qui s’est concrétisé, nourri par sa passion pour les langues, et sans doute d’un choc esthéti-que. Celui d’une rencontre avec la peinture de Van Gogh, dès l’enfance. Une madeleine de Proust qui se conjugue avec son amour pour le pays d’Arles, les Baux ou le monastère Saint-Paul de Mausole à Saint-Rémy. « J’aime parcourir ces rues, ces lieux de Provence où l’on retrouve l’âme de mon peintre favori », dit-il.

Mais le « produit » que le guide vend le mieux, c’est le parcours « Marseille Aix Cassis ». « C’est un produit type croisiériste. Un client qui vient pour la première fois, qui veut faire et voir beau-coup en très peu de temps. » Une clientèle étrangère constituant l’essentiel de son activité pour

le guide trilingue anglais et es-pagnol, et parlant couramment le portugais. Américains, Canadiens, Mexicains, Argentins ou Colombiens : « plus on vient de loin, moins on connaît, plus on a besoin d’aide », concède Romain. Cet essor du tourisme de masse a également dévelop-pé l’offre de guidage. « Malgré un irrespect grandissant des agen-ces maritimes, la croisière fait manger beaucoup de monde » re-connaît le guide. « Les compa-gnies mettent de plus en plus en concurrence les guides profession-nels avec des guides improvisés », déplore-t-il. Pour lutter face à cette concurrence jugée « dé-loyale », l’autoentrepreneur en-tre en résistance. « Le cadre de notre association existe pour don-ner de la visibilité à des guides top niveau. Il faut affirmer nos compétences face à la com’ massive des free tours et des greeters. »

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La Marseillaise lance une série d’en-tretiens avec les maires de secteurs nouvellement élus. Sophie Camard

ouvre le bal dans le secteur du centre-ville dont elle a tenu, ce jeudi, son premier conseil d’arrondissements à l’issue du-quel elle s’est livrée. La Marseillaise : Votre liste a été la mieux élue de tous les secteurs de la ville (58,01 % dans un triangulaire). Qu’est-ce que cela révèle ? Sophie Camard : Traditionnellement, le 1er arrondissement est à gauche, ce qui nous a plus étonnés, encore que je l’avais détecté, c’est que le 7e était un secteur en transformation. Il y avait beaucoup de co-lère, de récrimination et d’indignation face au bilan de M. Gaudin. Dans le 1er, on entendait des thématiques sur l’aban-don, dans le 7e c’était « on a lu les livres de Philippe Pujol, on ne peut plus con-tinuer avec ce type de politique ». Je n’ai pas opposé les riches et les pauvres car j’ai vu que la volonté de changer dans ce secteur était partout. C’est le cœur bat-tant de la ville. On représente beaucoup de néo-Marseillais qui s’installent dans le centre-ville et qui découvrent les points forts et les catastrophes de Marseille. Ces personnes se sont engagées dans les municipales. Au sein du Printemps marseillais, vous êtes la seule tête de liste élue à être restée maire de secteur. Un choix assumé? S.C. : J’aurais pu être adjointe mais j’avais annoncé au premier tour vou-loir rester maire de secteur. Cela m’a paru évident surtout dans l’entre-deux tours. On était arrivé en tête au 1er tour, les gens nous attendaient. C’était assez émouvant, ils me parlaient de leurs pro-blématiques comme si j’étais déjà la fu-ture maire de secteur. On est au cœur du projet marseillais, avec de la proximi-té, une mairie de secteur est là pour créer du lien avec les habitants, ce sont les fondations de la nouvelle politique. Beaucoup de vos élus du 1-7 ont d’ailleurs des responsabilités importantes d’adjoints en mairie centrale... S.C. : Ce n’est pas le fruit du hasard, j’avais

prévu sur ma liste des candidats pouvant être adjoints en mairie centrale sur des thé-matiques fortes : le logement (Patrick Amico), l’urbanisme (Mathilde Chaboche), les affaires sociales (Audrey Garino), la transition écologique (Sébastien Barles) ou l’économie et l’emploi (Laurent Lhardit). Sur le logement, Patrick Amico, fera des permanences en mairie de secteur, il ne va pas nous laisser tomber c’est un atout énorme pour Noailles, Belsunce, la rue d’Aubagne… Ces adjoints seront mes relais en mairie centrale, car si je conçois une mairie de secteur comme une plateforme de réceptions des deman-des et de proximité, après il nous faut le pouvoir d’agir avec des adjoints en mai-rie centrale. Quels seront vos chantiers prioritaires, quels premiers signaux pouvez-vous envoyer aux habitants ? S.C. : Mon premier adjoint, Christian Pellicani (PCF), est en charge de la poli-tique de proximité et des budgets par-ticipatifs. C’est un gage pour la démo-cratie locale. On va remettre en place des conseils de la vie associative. Car

vous pouvez faire toutes les politiques que vous voulez, si vous n’avez pas le lien avec les habitants, cela ne fonc-tionne pas. Concernant le logement, le message, c’est « on prend les manettes ». Il y a l’adjoint au logement, je peux vous annoncer que je vais siéger pour la Ville à la SPLAIN [société d’aménagement chargé de la rénovation du centre-ville,

Ndlr]. M. Amico sera au bailleur Marseille Habitat, Mme Chaboche à la Soléam [aménageur de la Ville]. J’ai, bien sûr, vu les dernières propositions du Collectif du 5 novembre [notre édition de mercredi]. Ils feront partie de la con-certation qu’on va mettre en place, il y a un besoin qu’on leur redescende de l’information, on va le faire avec de la transparence de données, de la carto-graphie… Parler d’insécurité n’est pas non plus un tabou, ça fait partie de la plaie du quotidien. On n’est pas pour mettre des cars de CRS partout mais agir sur tous les niveaux de prévention, de médiation, qui mettent de la présence humaine sur le terrain. On va revisiter les Dimanches de la Canebière en gardant l’idée de dimanches piétons pour faire de l’événementiel. On va monter un groupe de travail dessus car je ne maî-trise pas le financement départemen-

tal des associations qui faisaient la par-tie artistique. Les Dimanches de la Canebière sont une initiative forte de votre prédécesseure, Sabine Bernasconi (LR). De quelle manière allez-vous marquer une rupture et où en est la plainte que vous aviez déposée contre elle et Martine Vassal pour détournement de fonds publics et utilisation à des fins de campagne des moyens des collectivités ? S.C. : La plainte suit son cours, je n’ai pas de retour dans l’immédiat. Pour le reste, je reçois les agents, j’envoie un message très clair de neutralité politique, je ne veux plus d’instrumentalisation à l’occasion de campagnes. Il y a des gens très professionnels que je peux gar-der, d’autres ont demandé leur mobili-té. On va réorganiser la mairie de secteur sur la base de la neutralité du service public à destination des habitants. Je compte faire de la politique au sens no-ble du terme. La mairie de secteur ne sera pas que de l’événementiel, on va toucher à tous les sujets. J’espère que les mairies de secteurs seront mieux considérées qu’elles ne l’ont été. On les a beaucoup rabaissées à de l’animation socioculturelle, je n’ai rien contre, mais vu la situation de la ville il faut revalo-riser leur rôle pour qu’au bout de six ans, on ne s’étonne plus qu’une tête de liste reste maire de secteur. Quel avenir pour le site de la Corderie ? S.C. : On va se pencher précisément sur les permis de construire et organiser une réunion. Je voudrais éviter l’en-fouissement des vestiges, il faut une po-sition de la Ville pour aller voir l’État et le maître d’œuvre. L’urgence, c’est le drainage pour évacuer l’eau, sinon les vestiges vont se désagréger. Il faut les protéger pour les valoriser et les ren-dre au public. Avec la Métropole restée à droite et un exécutif sans Printemps marseillais, ne craigniez-vous pas de ne pas avoir les moyens de vos ambitions politiques ? S.C. : Je ne pense pas que la guérilla po-litique soit durable tout le mandat. Je n’imagine pas le vice-président à l’ha-bitat indigne, le maire de Puyloubier [Frédéric Guinieri], ne pas se concerter avec M. Amico pour savoir ce qu’il faut faire à Marseille. La mairie de secteur va faire ses propres concertations, por-ter ses projets, on ne sera pas en réac-tion. Notre rôle est d’anticiper les choses, comme, par exemple, sur la ferronnerie Piana [à Endoume], préemptée par la Métropole qui souhaiterait en faire un parking. On peut aider à la concertation pour plutôt tendre vers un site multi-usages avec de la mobilité électrique. Avez-vous eu des nouvelles de Jean-Luc Mélenchon depuis votre élection ? S.C. : On a des rapports cordiaux, il me laisse prendre mon nouveau mandat, on était ensemble le 14 juillet, il reste dans sa fonction de député et moi de maire de secteur. On n’empiète pas sur le terrain de l’un ou l’autre.

Sophie Camard est née au Havre le 9 décembre 1972, où elle a grandi avant de partir à Paris pour ses études à Sciences Po, jusqu’à un doctorat en sciences politiques. En prise avec les luttes sociales et la défense de l’emploi, elle devient experte pour les comités d’entreprise et les comités d’hygiène sécurité et conditions de travail (CHSCT), fusionnés depuis les ordonnances Macron dans le comité social et économique. C’est en 2003 que son parcours professionnel la conduit à Marseille, où elle est recrutée par un cabinet d’audit et de conseil comme consultante pour les représentants du personnel. Un poste qu’elle est en train de quitter. « J’arrête mon travail pour être maire à plein temps, c’est impossible à cumuler », assume-t-elle. Amoureuse de Marseille, « une ville où l’on voyage sur place », Sophie Camard s’est engagée chez les Verts puis EELV pendant dix ans, où elle a été conseillère régionale entre 2010 et 2015 en charge de la commission économique. En 2015, elle a mené, en binôme avec Jean-Marc Coppola (PCF), une liste aux Régionales, avant, en 2017, de rejoindre la France insoumise et de devenir suppléante du député Jean-Luc Mélenchon.

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Un entre-deux. Crise sani-taire et report des élections

obligent, le budget voté lundi par le conseil municipal repren-dra en grande partie les lignes du budget primitif 2020. Joël Canicave, adjoint aux finan-ces, a rappelé que la nouvelle équipe avait pris connaissance du budget le 6 juillet et dispo-sait de deux semaines pour le transmettre aux conseillers municipaux. Plus de 600 pages, 1 300 en tenant compte des mai-ries de secteurs. « On aurait pu faire des choses de bric et de broc mais ce n’est pas notre façon de travailler », note Joël Canicave.

Le conseil municipal s’or-ganisera donc en deux séan-

ces. Une première (27 rapports) pour clore l’ancien budget, où « on votera ce que l’équipe sor-tante avait l’intention de voter » insiste ce dernier, ainsi qu’une décision modificative liée aux engagements financiers de la Ville durant la Covid. Avec 31 millions d’euros d’achats de masques, et de recette en moins, sur lesquels, la nouvelle équipe espère une aide de l’État.

Lors de la seconde séance, agrémentée de 75 rapports, une autre modification sera sou-mise. Elle permettra à la majo-rité de flécher un emprunt de 50 millions d’euros vers les écoles (30 millions) et l’habitat indigne (10 millions sur l’habitat privé, 10 millions sur le patrimoine municipal). Cet argent provient « d’un emprunt de 58 millions prévu par l’ancienne majorité pour tenir compte de la crise éco-nomique et sociale liée au Covid » reprend Canicave. Destiné à « des petites opérations », « nous avons décidé de le replacer sur les prio-rités du Printemps marseillais ».

Avec la nouvelle municipa-lité en place, la famille et les amis, ainsi que les

collectifs de lutte contre le ra-cisme ont enfin une chance de voir la mémoire d’Ibrahim Ali honorée. La demande, toujours refusée par la municipalité di-rigée par Jean-Claude Gaudin

(LR), et sans cesse réitérée, par les élus de la mairie de secteur, sera faite ce lundi en conseil municipal à la mairie de Marseille.

C’est cette question, dépo-sée par Samia Ghali, mais po-sée dès 1995 par le député-maire communiste Guy Hermier, qui a ouvert ce jeudi le premier con-

seil d’arrondissements du 8e sec-teur. Durant 25 ans, « la mairie de secteur a défendu cet engage-ment pris auprès de la popula-tion et de la famille d’Ibrahim Ali », rappelle Jean-Marc Coppola (PCF) longtemps élu du secteur et désormais adjoint à la Culture, « pour lutter contre la haine et toutes les discrimi-nations, et en symbole du res-pect d’autrui et de la différence ». Avec la nouvelle municipalité en place, et Michèle Rubirola (Printemps marseillais) à sa tête, l’occasion est venue de tourner une page de déni histo-rique et d’honorer la mémoire du jeune Marseillais ainsi que de donner à la mémoire collec-tive un symbole de refus du ra-cisme.

Le conseil d’arrondissements a donc demandé à la mairie de Marseille de « présenter à la pre-mière commission de dénomi-nation des noms de rue, la dé-nomination de la rue Ibrahim Ali », a précisé Nadia Boulainseur, maire du secteur.

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Il y a trois mois et demi, les élus du Département avaient tenu une séance en visiocon-

férence, en plein confinement, où la concorde avait dominé sur les mesures d’urgence liées à la crise sanitaire.

Ce vendredi matin, les 58 con-seillers départementaux se re-trouvent dans l’hémicycle pour à la fois débattre des orienta-tions budgétaires et voter le bud-get. Une longue séance s’annonce dans un contexte Covid où les collectivités payent un lourd tri-but, contraintes par une aug-mentation des dépenses et une baisse des recettes. Fin mai, l’État a dévoilé un plan global d’urgence pour les collectivités d’un montant de 4,5 milliards d’euros, dont 2,7 milliards d’eu-ros pour les Départements.

Une motion présentée par le groupe communiste devrait être soutenue par l’ensemble des élus. « On demande l’aide de l’État pour créer un fonds d’urgence national et qu’il renforce sa do-tation de fonctionnement aux Départements », fait valoir Claude Jorda, président du groupe. Pour l’heure, le Département n’a re-çu que 3,4 millions d’euros de la

part de l’État en remboursement d’achats de masques ou de pro-tections sanitaires sur les 13 mil-lions d’euros dépensés par la collectivité. Selon Didier Réault, vice-président LR en charge du budget, le Conseil départemen-tal a fait « des efforts phénomé-naux » imprévisibles pour ré-pondre à la crise.

« On a engagé 100 millions d’euros de dépenses réparties à 60 % dans le fonctionnement et 40 % dans l’investissement, l’État a accepté que des dépenses pas-sent en investissement ce qui nous permettra de lisser la dépense sur plusieurs années », chiffre Didier Réault. Le Département voit ses dépenses sociales augmenter

de 22 millions d’euros. « On a eu 10 % d’augmentation de deman-deurs du RSA, qui passent de 71 000 à presque 80 000 entre fé-vrier et mai », indique le vice-président délégué aux finances. Les dépenses sur la solidarité (+35 millions d’euros) ou la san-té (+11 millions d’euros) pèsent dans les finances, dont les recet-tes baissent : -2 % sur l’activité économique, ou -7 % (30 millions en moins) sur les droits de mu-tation (actes notariés).

Pour parvenir à l’équilibre, l’emprunt semble inéluctable car « nous souhaitons mainte-nir notre niveau d’investisse-ment à 550 millions d’euros », précise Didier Réault qui es-time les « besoins d’emprunts entre 250 et 300 millions d’euros ». La dette du Département de-

vrait donc passer de 1 milliard à 1,3 à la fin de l’année. « Les fi-nances n’ont plus le matelas lais-sé par la majorité précédente », constate Josette Sportiello, pré-sidente du groupe socialiste et écologiste. « La dette par habitant était de 112 euros en 2013, là elle est de 420 », complète Claude Jorda.

« On va mettre l’accent sur le fait que le Département doit se concentrer sur ses compétences prioritaires, comme les mineurs isolés dont nous refusons que la collectivité externalise la ges-tion », poursuit Claude Jorda. Le groupe socialiste et écolo-giste va, lui, demander le retour de la gratuité des transports pour les bénéficiaires du RSA et des chômeurs.

Elle-même cheffe d’entreprise, l’adjointe au maire Olivia Fortin a assisté, lundi soir, au conseil exécutif de l’UPE 13 (Medef local). Une présence saluée, sur les réseaux sociaux, par Philippe Korcia, président de l’UPE 13. Manière aussi pour la nouvelle majorité de prendre attache avec le milieu économique, qui a davantage l’habitude de discuter avec la droite.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, un groupe de militants contre le racisme du Collectif Lalla Fatma N’Soumer a débaptisé le rond-point Marcel-Bigeard d’Aix-En-Provence. Sous les panneaux de signalisation de l’édifice routier, sur les plaques mentionnant le nom du militaire ainsi que sur la stèle centrale, les militants ont collé des plaques alternatives pour rebaptiser du rond-point du nom de Djamilha Bouhired, résistante algérienne. Un « hommage à une femme incarnant les victimes de la répression menée par l’armée française, dont Marcel Bigeard fut l’un des architectes », explique le collectif. Et d’appeler les pouvoirs publics à « accompagner la société dans ce travail critique (...) sur l’histoire de l’esclavage, de la colonisation, des immigrations et de leurs conséquences sur le présent ».

À l’occasion du centième an-niversaire du Parti com-

muniste français (PCF), le Centre de recherches d’études et de documentation économi-ques sociales(Credes) et le ci-néma Le Méliès à Port-de-Bouc organisent ce vendredi une pro-jection en plein air* du film La vie est à nous de Jean Renoir. Celle-ci aura lieu à 22h.

Elle sera précédée d’un apé-ritif et d’un buffet à 20h30 où il sera question d’échanges avec

le public autour des 100 ans de la création du parti. La projec-tion de ce film n’est pas ano-dine.

La vie est à nous a été réali-sé en 1936 et n’a été autorisé à sortir officiellement qu’en 1969. Tourné à l’initiative du PCF pour la campagne électorale du Front populaire, il a été fi-nancé par des collectes effec-tuées au cours de meetings, et a bénéficié de la participation bénévole de techniciens et ar-tistes. Lors de sa sortie, il s’est vu refuser le visa permettant sa projection publique et n’a alors été diffusé que dans les cellules et meetings du parti, comme le 7 avril 1936 à La Bellevilloise dans la région parisienne.

Le film traite de faits (fic-

tifs et documentaires) relatant la vie quotidienne de la classe ouvrière, de la paysannerie et de la bourgeoisie. À la suite d’un licenciement massif, une grève est organisée, les tra-vailleurs obtiendront gain de cause. Un jeune chômeur qui n’a pas de quoi se nourrir est, lui, accueilli par des jeunes communistes.

Des événements se tiendront partout en France tout au long de l’année pour fêter le cente-naire du PCF, au travers no-tamment d’expositions, de dé-bats, et de films. À Port-de-Bouc, d’autres initiatives sont en préparation autour de l’his-toire qui lie la commune à celle du parti.

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Réagissant à l’article de La Marseillaise concer-nant la situation de la ré-

sidence Air Bel, Erilia, Logirem et Unicil, les trois bailleurs, ré-affirment les actions mises en

place contre le fléau des punai-ses de lit qui nuit à la qualité de vie des habitants. Les bailleurs assurent qu’ils font preuve de volontarisme sur la question d’abord en sensibili-sant les habitants dans des com-munications régulières, la der-nière datant de mai 2020. Mais aussi en engageant les frais né-cessaires à la désinsectisation. « Alors que cette dépense incombe normalement au locataire, à Air Bel, les bailleurs prennent en charge la totalité du coût des in-terventions réalisées par des prestataires experts, jusqu’à 1 000 euros par logement selon le

nombre de passage à effectuer et la surface à traiter », indi-quent-ils.

En 2020, sur les 1 200 loge-ments que compte la résidence, Erilia, Logirem et Unicil ont reçu « 15 signalements de loca-taires qui ont tous donné lieu à des interventions », affirment-ils tout en insistant : « pour la réussite de ces traitements, la coopération des habitants est essentielle. Préparation des lieux, autorisation d’accès à leur lo-gement pour la totalité du pro-cessus d’éradication (parfois jusqu’à 3 passages nécessaires), suivi des recommandations du

prestataire post-intervention… De la même manière, il leur est fortement déconseillé de récupé-rer tout meuble abandonné par d’autres locataires ».

Concernant le problème de légionelle dans les eaux de con-duite qui avait lui aussi consi-dérablement dégradé la quali-té de vie des habitants, Erilia, Logirem et Unicil soulignent que « les dernières séries d’ana-lyses sont toutes conformes. Par mesure de précaution, la sur-veillance accrue et l’entretien

des réseaux par un cabinet spé-cialisé mandaté par le syndic sont toujours de mise. Dans le cadre de cette vigilance sanitaire permanente, des mesures pré-ventives de chloration ponctuelle peuvent être réalisées et les ana-lyses régulières sont mainte-nues ».

Enfin, les bailleurs réaffir-ment leur volonté de coopérer avec l’association Il fait bon vi-vre dans ma cité, très active à Air Bel. « À ce titre, plusieurs réunions se tiennent au fil de l’année, la dernière ayant eu lieu le 26 juin », précisent-ils.

La Marseillaise : François Botton, architecte en chef des monuments historiques, doit vous remettre son étude sur les vestiges antiques de la Corderie. Comment arbitrer entre ces trois scénarios : remblaiement des vestiges, sélection de zones les plus intéressantes à laisser à l’air tout en les protégeant ou couverture aérienne de tous les vestiges ? Robert Jourdan : Aucune des trois so-lutions n’est évidente. Nous analyse-rons très sérieusement avec l’architecte des Bâtiments de France les points po-sitifs et négatifs de chaque proposition. Je n’ai personnellement pas d’avis au-torisé sur une des solutions. Il y a aus-si la vérité de l’objectif que l’on veut at-teindre, les réalités physiques et les en-gagements pris. Jusqu’où tient-on réel-lement à la bonne conservation de ces vestiges ? C’est aussi pour cela que M. Botton étudie les deux options qui sont le réenfouissement total ou bien partiel, c’est-à-dire laisser émergentes les parties hautes les moins exposées

aux eaux dans le sol et le sous-sol. Avec cette étude, on va enfin rentrer dans le concret. Comment concilier les enjeux de conservation à l’engagement minis-tériel fort pris en octobre 2017 par Françoise Nyssen, la ministre de la Culture d’alors, de mise en valeur du site ? R.J. : Le ministère m’a rappelé cet en-gagement que nul n’avait oublié. Un ré-enfouissement total donnerait la con-science tranquille, mais se heurterait à toute forme de sensibilité et d’engage-ment. D’autres paramètres sont évi-demment dans nos têtes, notamment la pression de différents groupes lo-caux, d’associations, d’universitaires aussi pour que ces vestiges soient va-lorisés. Qui décidera au final ? R.J. : Habituellement c’est moi, conser-vateur régional des Monuments histo-riques par délégation du préfet de Région, mais vu la nature de ce dossier, et quelle que soit l’option que nous serons en in-terne amenés à retenir après discussion au moins avec la copropriété, nous au-rons un échange avec le préfet et le mi-

nistère, avec les services du patrimoine et les nouveaux élus de Marseille. Nous ne déciderons pas dans notre petit coin. D’ici quelques semaines, nous aurons l’étude de François Botton qui aura ras-semblé tous les avis qui se sont expri-més émotionnellement, historiquement, archéologiquement, politiquement. Ce qui nous intéresse, c’est que François Botton aille le plus loin possible dans les éléments liés directement à la con-servation des vestiges. Nous avons encore attiré son attention sur les enjeux hy-drogéologiques majeurs du site. La cir-culation des eaux est une problémati-que dans cette cuvette. Dans les deux mois, nous consulterons l’Inspection générale des monuments historiques. Fort des avis internes, nous prendrons alors attache officiellement avec la copro-priété à qui appartiennent le sol et le sous-sol pour en discuter. La décision ne se prendra pas dans un entre-soi. La passion ne s’est pas éteinte, elle est tou-jours vive. Devant la sensibilité du sujet, il est évident que nous passerons par une campagne d’information pour expli-quer le choix qui sera pris. Dans quel état sont les vestiges qui ont baigné dans l’eau durant

le chantier dans un sol non drainé ? R.J. : Vous dire qu’il n’y a pas de dégra-dations serait nier la loi naturelle qui porte sur tout vestige archéologique mis au jour. Nous allons évaluer ces dé-gradations avec François Botton. Il est évident que l’on a des pertes, mais el-les sont relativement comparables aux pertes habituelles dès qu’on met au jour des vestiges. Ceux-ci sont très particu-liers. Ce sont des lambeaux de carrière abandonnée. La difficulté vient de leur nature qui fait partie du sol d’extrac-tion. Déjà en temps normal les vestiges archéologiques habituels, par exemple une villa gallo-romaine, se dégradent très rapidement. Exposer après deux millénaires des vestiges à l’air et aux intempéries, modifie leur conserva-tion. Tous les vestiges archéologiques mis au jour sont soumis à de nouvelles contraintes auxquelles ils n’étaient plus habitués. Que pensez-vous de la pose d’une couverture qui n’est pas forcément la plus coûteuse. R.J. : Tout dépend des couvertures. Une toiture de protection est étudiée comme d’autres sous-options. Mettre une crypte archéologique a ses limites, cela exige un contrôle permanent de l’eau, de la lumière et de l’air. L’État a-t-il envisagé d’acheter cette parcelle de 635 m2 pour simplifier au plan juridique les coresponsabilités ? R.J. : Manifestement pas. L’État a dé-jà mis en œuvre une disposition lé-gale nouvelle qui prescrit que les ves-tiges sont sa propriété, le sol et le sous-sol restant à la copropriété. La situa-tion est déjà singulière. Pour l’ins-tant, notre objectif c’est d’abord de bien analyser les trois propositions d’étude dans tous ses aspects, y com-pris politiques au beau sens du terme, de nous concentrer sur la topographie géologique et hydraulique de nos ves-tiges.

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Ce qui se passe est très inquié-tant, c’est la même chose que ce qui s’est produit pour

l’hôpital de Sisteron. Par man-que de médecins et de personnel, les urgentistes ne sont pas rem-placés, les services ferment et c’est tout le problème des déserts médi-caux qui refait surface », expli-que Virginie Gressin du syndi-cat CGT de l’hôpital d’Aix.

L’hôpital de Pertuis qui fait partie du Chiap (Centre hospita-lier d’Aix-Pertuis) régulière-ment déclaré en tension, c’est-à-dire en manque de lit, main-tiendra ouverts seulement 4 lits d’hospitalisation de courte du-rée et le Smur. Le problème, c’est que lorsque le Service mobile d’urgence est sur le terrain, il

n’y a plus personne pour s’oc-cuper des urgences. « Il y a 20 li-gnes médicales, (postes de méde-cins) qui ne peuvent pas être assu-rées. Un intérim, c’est 2 000 euros en moyenne. Pertuis n’a pas le budget pour assurer un mois d’in-térim médical et ça a des consé-quences », constate René Sale, du syndicat FO.

Ce jeudi après midi, les or-ganisations syndicales tenaient une conférence de presse de-vant le centre hospitalier. « La crise sanitaire a mis à jour ce que nous disions depuis des an-nées, mais on n’a pas arrêté de fermer des lits », ajoute René Sale dont le syndicat demande à l’État de réquisitionner des personnels. Tous ont en mé-

moire l’éviction du directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) du Grand Est, pour avoir évoqué le maintien du plan de restructuration du Centre hos-pitalier régional universitaire de Nancy. « Nous sommes d’au-tant plus inquiets que la ferme-ture des urgences de Pertuis fi-gurait dans le premier projet de fusion de l’hôpital d'Aix, empê-ché par la mobilisation des per-sonnels », affirme Virginie Gressin. Une fermeture même temporaire qui a fait réagir jus-qu’au maire de Pertuis. Roger Pellenc (DVD) s’inquiète pour la prise en charge des 140 pa-tients, qui, chaque jour, fréquen-tent les urgences de Pertuis, sans autre solution. Les syndi-cats appellent quant à eux à de nouvelles mobilisations.

C’est d’ores et déjà un constat que les médecins et les élus de

l’Union régionale des professionnels de santé de médecine libérale de Paca (URPSML), peuvent tirer du printemps 2020. Ils tirent des con-séquences de cet épisode d’épidémie et terminent leur réflexion par une liste de onze propositions.

« Le personnel hospitalier, tout particulièrement dans une crise sans précédent alors que ses ressour-ces de soins ont été très entamées ces dernières années, a fait face avec courage et dévouement », estiment les médecins dans ce livre, regret-tant toutefois que les profession-nels de la médecine de ville ont été

oubliés du Ségur de la santé. Ils en-tendent donc porter cette voix res-tée inaudible en restituant « la réa-lité de ce que nous, soignants de ter-rain en ville, avons vécu et ce que nous ne voulons plus vivre ».

Les fractures au sein du par-cours de soins sont rapidement ap-parus comme des freins à une coor-dination efficace. « Des choix ont

été faits, au national, et relayés par les Agences régionales de santé (ARS), d’orienter systématiquement les patients et les équipements vers l’hôpital », souligne le docteur Laurent Saccomano, président de l’URPSML Paca. Les kinés, dentis-tes et autres spécialistes ont dû stopper leur activité.

Pour éviter les engorgements aux portes des services hospita-liers, et un plus ample désastre dans les Ehpad, les libéraux, médecins et infirmières diplômées d’État (Idel), ainsi que pour la mise en place des centres Covid, ont été mis à contri-bution, sans aide matérielle. « La reconnaissance et la formalisation de ces structures a été difficile, et c’est sous la pression du terrain, en Paca et sur tout le territoire national, por-tée par les URPSML et Idel que la si-tuation a pu évoluer, les centres étant déjà organisés avant même d’avoir été déclarés et dès lors, potentielle-ment menacés d’interdictions admi-nistratives », dénoncent les méde-cins.

Les libéraux ont listé leurs pro-positions qui ont été remises à l’ARS.

Marseille Martigues Marchés publics : [email protected] [email protected] Vie des sociétés : [email protected]

LULONY SARL au capital de 10000 €

Siège social : ZAC La Duranne des Monges, 13100 Aix-en-Provence

838 700 425 RCS d’ Aix-en-Provence

L’assemblée générale du 30/06/2019 a décidé de ne pas dissoudre la Société bien que les capitaux propres soient inférieurs à la moitié du capital social. Modification au RCS d’ Aix-en-Provence N° 202001352

AVIS DE CONSTITUTION Par acte SSP, avis est donné de la constitution d’une société présen-tant les caractéristiques suivantes : Dénomination Social : ORSA BATIMENT Forme : SAS - Objet social : Maçonnerie générale Siège social : 55 Avenue Gabriel Péri 13400 AUBAGNE Capital : 1000€ Président : Monsieur ORHAN Huseyin demeurant 21 rue du Génie 13003 Marseille Directeur général : Madame BOUALLEG Siham demeurant 55 Ave-nue Gabriel Péri 13400 AUBAGNE Durée : 99 ans Immatriculation au : RCS de Marseille. Admission aux assemblées et participations aux décisions : tout associé peut participer aux décisions collectives Droit de vote une action donne droit à une voix Transmission d’actions à un tiers est soumise à l’agrément de la collectivité des associés N°202001400

EERRATUM Suite à l’annonce parue dans nos colonnes le 22/06/2020, concer-nant l’avis de constitution de la SASU DILA SECURITE PRIVEE il fallait lire : - OBJET : Activités de sécurité privée, entreprise de surveillance humaine ou de surveillance par des systèmes électroniques de sécu-rité ou de gardiennage N°202001403

Le Bataillon des marins-pom-piers de Marseille a été aler-

té d’une pollution au niveau de l’anse de l’Auguette. Quarante marins-pompiers et dix sapeurs-pompiers ont été mobilisés sur le site pétrochimique de Lavéra, qui ont confirmé la présence d’une nappe de chlorure ferri-que, issue de l’atelier de pro-duction de Kem One.

« Un épandage s’est produit vers le réseau d’égout pluvial, ayant entraîné un rejet liquide vers l’anse », a expliqué le groupe industriel. Ce produit haute-ment corrosif s’est transfor-mé en solution acide au con-tact de la mer, formant une nappe toxique. Le préfet mari-time de la Méditerranée a sé-curisé le plan d’eau et dépêché un bâtiment d’assistance de la Marine nationale pour évaluer le degré de dangerosité. Il a émis, en coordination avec la préfecture de la zone de Défense et de sécurité Sud, la préfec-ture des Bouches-du-Rhône et

la mairie de Martigues, un ar-rêté interdisant la navigation de plaisance, la pêche mari-time, la plongée sous-marine et la baignade dans la partie sud du golfe de Fos, de la plage de Ponteau au cap Couronne.

En octobre 2019, des habi-tants avaient attaqué en jus-tice les industriels du complexe industriel, l’un des plus gros d’Europe, pour les pollutions générées. Franck Ferraro, dé-légué CGT sur le site, qui se bat pour des investissements, rap-pelle : « le site est classé Seveso seuil haut et la suppression des CHSCT enlève des moyens d’améliorer les conditions de travail et la vigilance sur la sé-curité. Cet atelier était une Rolls il y a 40 ans. Là, c’est un tacot ».

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Var

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MAIRIE DE LA LONDE-LES-MAURES ARRÊTÉ N°23/2020

ARRÊTÉ

ARTICLE 1° : Il sera procédé à une enquête publique sur le projet de modification n°4 du Plan Local d’Urbanisme (P.L.U) de la commune de la Londe-les-Maures pour une durée de 35 jours, du 24/07/2020 à partir de 8h30 au 27/08/2020 inclus jusqu’à 17h00. Cette enquête a pour but notamment : - l’adaptation de certaines règles de hauteurs notamment en UA, UB, UC ; - l’adaptation des règles de stationnement notamment en UA, UB, UC ; - la suppression de l’obligation de l’avis de l’architecte conseil dans la zone 2AUG. ARTICLE 2° : Monsieur Bertrand NICOLAS a été désigné par M. RIFFARD, Magistrat délégué aux enquêtes publiques du Tribunal Administratif de Toulon, en qualité de Commissaire-Enquêteur. ARTICLE 3° : Le dossier d’enquête publique, déposé et consultable à la Mairie annexe de la Londe-les-Maures, Direction de l’Urbanis-me, du 24/07/2020 (à partir de 8h30) au 27/08/2020 inclus (jusqu’à 17h00) (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h00 ainsi que les mardis et les jeudis de 14h00 à 16h30), comporte notamment : 1. Une notice de présentation, le cas échéant complétée d’une éva-luation environnementale ; 2. Le règlement ainsi que les cartographies afférentes ; 3. Un dossier administratif comportant notamment : • La décision de nomination du Commissaire Enquêteur, par le Pré sident du Tribunal Administratif de Toulon ; • L’arrêté prescrivant l’enquête publique ; • La copie des publicités 15 jours au moins avant l’enquête publique ; • La copie des publicités réalisées dans les 8 jours du début de l’enquête publique ; • Les autres publicités, attestations, constats… ; • Un dossier comprenant un tableau récapitulatif des envois aux PPA, l’avis de l’autorité environnementale, ainsi que les éventuels réponses ou avis des PPA ; • Un registre d’enquête publique à feuilles non mobiles, côté et paraphé par le commissaire-enquêteur et un classeur regroupant et classant par ordre d’arrivée, les courriers et les mails. Le dossier d’enquête publique sera consultable et téléchargeable du 24/07/2020 (à partir de 8h30) au 27/08/2020 inclus (jusqu’à 17h00) sur le site de la ville : http://bit.ly/enquetepubliqueLaLonde Ce site internet peut être consulté sur demande et gratuitement sur l’ordinateur situé à l’accueil de la mairie principale (ouverture du lundi au vendredi de 8h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h00 et le same-di de 9h00 à 10h30). Par ailleurs, toute personne, sur demande et à ses frais, peut obtenir la communication du dossier d’enquête publi-que par courrier à M. le Maire de la Londe-les-Maures ou par mail auprès du directeur, M. HEDON ([email protected]). Chacun pourra prendre connaissance du dossier et consigner, éven-tuellement, ses observations et/ou propositions sur le registre d’enquête aux heures d’ouverture mentionnées ci-dessus et/ou par mail à l’adresse suivante : [email protected] A la suite d’un envoi par mail, un accusé réception du mail sera déli-vré sous 24h confirmant l’insertion du mail dans un classeur, en annexe du registre d’enquête. Dans l’hypothèse où cet accusé réception ne serait pas transmis sous 24h, il conviendra de contac-ter par mail la direction de l’urbanisme ([email protected]) pour le requérir. Les observations et/ou propositions pourront être également adressées, par écrit, à l’adresse suivante : Mairie de La Londe-les-Maures, Monsieur le Maire, Direction de l’Urbanisme A l’attention de M. le commissaire-enquêteur, Enquête publique – Modification n°4 du PLU Place du 11 novembre - B.P 62, 83250 LA LONDE-LES-MAURES

Pendant la durée de l’enquête, toutes informations relatives à l’enquête publique peuvent être sollicitées auprès de la direction de l’urbanisme du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h00, par téléphone au 04-94-01-55-49 aux mêmes horaires ou par mail ([email protected]). ARTICLE 4° : Monsieur le Commissaire-Enquêteur recevra le public en Mairie : -vendredi 24 juillet 2020, de 8h30 à 12h00 1er permanence -mercredi 29 juillet 2020, de 14h00 à 17h00 2ème permanence -lundi 03 août 2020, de 8h30 à 12h00 3ème permanence -mardi 11 août 2020 de 14h00 à 17h00 4ème permanence -vendredi 21 août de 8h30 à 12h00 5ème permanence -jeudi 27 août 2020 de 14h00 à 17h00 6ème permanence ARTICLE 5° : A l’expiration du délai de l’enquête prévu à l’article 1er, le registre sera clos par le Commissaire Enquêteur. Ce registre sera assorti, le cas échéant, des documents annexés par le public. Dans les huit jours suivant la remise des dossiers et des registres d’enquête, le commissaire enquêteur rencontre un représentant de la commune et lui communique les observations écrites et orales consignées dans un procès-verbal de synthèse. Le représentant de la commune dispose d’un délai de 15 jours pour produire auprès du commissaire enquêteur ses observations en retour sur le procès-verbal de synthèse et ses réponses aux demandes de compléments d’informations formulées par le public pendant l’enquête. Le Commissaire-Enquêteur disposera d’un délai d’un mois pour transmettre au Maire ou à l’adjoint à l’urbanisme de la Commune de la Londe-les-Maures, avec son rapport et dans un document sépa-ré, ses conclusions motivées. ARTICLE 6° : Une copie du rapport et des conclusions du Commis-saire-Enquêteur sera adressée à M. le Préfet du Département du Var par M. le Maire de la Londe-les-Maures et au Président du Tribunal Administratif par M. le Commissaire Enquêteur. Le public pourra consulter et télécharger le rapport et les conclu-sions du commissaire enquêteur sur le site internet de la ville http://bit.ly/enquetepubliqueLaLonde. Il sera consultable et commu-nicable sur demande à l’accueil, aux jours et heures habituels d’ouverture de la Direction de l’Urbanisme du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h00. Les personnes intéressées pourront en obtenir communication dans les conditions prévues au titre 1er de la Loi du 17 juillet 1978. ARTICLE 7° : A l’issue de l’enquête publique, le conseil municipal de la Londe-les-Maures décidera par voie délibérative de l’approba-tion de la modification n°4 du PLU éventuellement modifiée pour tenir compte des conclusions de l’enquête publique. ARTICLE 8° : Un avis au public faisant connaître l’ouverture de l’enquête sera publié quinze jours au moins avant le début de celle-ci, et rappelé dans les huit premiers jours de l’enquête, dans deux journaux régionaux ou locaux diffusés dans le Département. Cet avis sera publié via des affiches jaunes mesurant au moins 42x59,4cm (format A2) comportant en en-tête en caractère noir gras majuscules d’au moins 2cm de hauteur AVIS D’ENQUÊTE PUBLIQUE. Cet avis sera affiché à la Mairie principale et mairie annexe à la direction de l’urbanisme, ainsi qu’à Notre Dame des Maures, au rond-point de Valcros, à l’Argentière, au Port, à Saint Nicolas, à Val-rose, aux Bormettes, à la caserne des pompiers, au rond-point de la poste, au parking du casino et à l’entrée de la propriété du domaine des Bormettes. Il sera publié sur le site internet de la ville, sur les réseaux locaux, sur les panneaux d’information lumineux communaux, ainsi que par tout autre procédé en usage dans la Commune de la Londe-les-Maures. Une copie des avis publiés dans la presse sera annexée au dossier soumis à l’enquête, avant l’ouverture de l’enquête en ce qui concer-ne la première insertion et, au cours de l’enquête, pour la deuxième insertion. ARTICLE 9° : A l’issue de l’enquête publique, une copie du rapport et des conclusions du Commissaire-Enquêteur sera tenue à la dis-position du public pendant 1 an à compter de la date de clôture de l’enquête en Mairie de la Londe-les-Maures, et sur le site internet de la ville. ARTICLE 10° : Le présent arrêté sera transmis au Président du Tri-bunal Administratif de Toulon.

Fait à La Londe-les-Maures, le 24/06/2020

Le Maire, Président de Méditerranée Porte-des-Maures,

Conseiller Régional, François de CANSON

Le Maire certifie sous sa responsabilité le caractère exécutoire de cet acte. Informe qu’en vertu du décret n° 83.1025 du 28 novembre 1983 concernant les relations entre l’administration et les usagers (article 9. J.O. du 11 janvier 1956 relatif aux délais de recours contentieux en matière administrative (voir article 1 alinéa 6), le présent arrêté peut fait l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le Tribunal Administra-tif de Toulon – 5 rue racine dans un délai de DEUX MOIS à compter de la présente notification. Le tribunal administratif peut aussi être saisi par l’application informatique « Télérecours citoyens » accessible par le site Internet : www.telerecours.fr

N° 202001246

ARRÊTE PRESCRIVANT L’ENQUÊTE PUBLIQUE SUR LA MODIFICATION N°4 DU PLAN LOCAL D’URBANISME

DE LA COMMUNE DE LA LONDE-LES-MAURES

Bien connu des observateurs depuis 25 ans, Fluker, un rorqual, a été victime de deux accidents, résul-

tant d’activités humaines. Sa queue a été amputée. Selon le WWF (World Wildlife Fund), il est probable qu’un engin de pêche abandonné (filets, lignes appe-lées « filet fantôme ») en soit responsable. Privé de son moyen de propulsion, l’animal ne peut désormais plus plonger. Or, rappelle l’association, les baleines ont la particularité de se nourrir de petites crevettes à de grandes profondeurs. N’étant plus en capacité de s’ali-menter, il puise dans ses réserves depuis des mois et son état se dégrade de jour en jour. Lors d’une récente sortie en mer, les équipes du WWF ont pu attester de la détresse du mammifère, amaigri et affaibli.

Surpêche et pêche illégale, engins de pêche per-dus ou abandonnés, prises accessoires, augmenta-tion du trafic maritime et de ses impacts (collisions, pollution sonore sous-marine), pollution plastique et chimique, le WWF alerte sur les activités humai-nes qui menacent la vie des mammifères marins pré-sents en Méditerranée. Quelque 1 300 rorquals com-muns, espèce dont est issue Fluker, seraient présents dans le sanctuaire Pelagos, un espace maritime si-tué à quelques centaines de kilomètres des côtes fran-çaises. Et 8 à 40 d’entre eux seraient tués par des col-lisions chaque année.

L’organisation demande la mise en place de plu-sieurs mesures : la création d’une Zone maritime particulièrement vulnérable en Méditerranée nord-occidentale, qui permettrait de réduire la vitesse des navires dans les zones à risque, l’appui des pouvoirs publics pour le développement et le déploiement de systèmes anti-collision performants ou encore l’adop-tion d’un traité international pour lutter contre la pollution plastique à l’échelle mondiale.

Le WWF souligne également la nécessité d’un tra-vail de sensibilisation des professionnels de la pê-che afin d’optimiser la remontée d’informations con-cernant notamment les engins fantômes.

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Philippe Pastor présente au Musée Arts et Histoire de la ville de Bormes-Les-Mimosas. une exposition individuelle. Intitulée Est-ce que ce monde est sérieux ?, elle se tient jusqu’au 4 octobre. À voir, plusieurs séries de peintures et de sculptures emblématiques de cet artiste engagé pour la protection de la nature depuis de nombreuses années, de la bonne santé de la mer aux dégâts causés par les incendies. Dans ses œuvres par des pigments et matériaux organiques, il les laisse vivre et muter en réaction aux éléments naturels.

Retirer les zestes des citrons avec un éco-nome. Attention de ne pas prendre le blanc avec car cela donnerait un goût amer à vo-

tre citronnade. Il en faut environ 75g en mor-ceaux. Récupérer aussi le jus et la pulpe de citron (environ 250g).

Plongez les zestes dans une casserole d’eau froide et portez à ébullition pour les blanchir. Répétez l’opération trois fois en repartant à eau froide à chaque fois.

Égouttez les zestes et versez-les dans une cas-serole avec 250g d’eau minérale et 250g de sucre en poudre. Portez l’ensemble à ébullition quel-ques secondes.

Versez le mélange dans un saladier afin qu’il refroidisse.

C’est à cette étape qu’il faut ajouter la vanille ou la fleur d’oranger selon ses goûts.

Versez dans un blender les zestes, le sirop, le jus, la pulpe et 500 ml d’eau froide et mixez pen-dant 3 min. Laissez au frais toute la nuit (12 heu-res environ).

À déguster tout au long de la journée pour faire face aux températures caniculaires. Pour ceux qui ne sont pas adeptes des petits morceaux, on peut les filtrer avec un chinois très fin.

Cette citronnade peut aussi servir de base à un apéritif un peu plus corsé avec quelques cuillérées de rhum...

Pour un litre de citronnade environ : 5 citrons 250g de sucre 1 litre d’eau minérale On peut aussi ajouter de la vanille, de la menthe ou de la fleur d’oranger.

Présidée par Valérie Rousselle, propriétaire de Château Roubine et

créatrice de l’événement, Fabienne Joly, présidente de la Chambre d’agriculture du Var, et l’Organisation internatio-nale du rosé, association por-teuse de la manifestation, cette journée réunit déjà une cen-

taine d’acteurs et de partenai-res engagés dans la promotion et la réussite de cette journée qui attire des milliers de tou-ristes chaque année

Animations, concerts, per-formances… le départ de cette fête, qui offre une large palette de terroirs sur lesquels les plus beaux rosés sont produits, se fera depuis le village de Saint-Tropez, autour des vignerons provençaux, de la gastronomie et des artistes. La fête se décline à la citadelle de la ville, plus exactement.

En début de soirée, une vente aux enchères de vins d’excep-tion est organisée au profit d’une association œuvrant à

la préservation du patrimoine local.

Depuis 2018, l’événement porte haut les couleurs du rosé symbole de la région Paca. La Provence, leader mondial de ce produit, est la région où l’on trouve les meilleurs cépages pour la production de vins ro-sés. L’appellation Côtes de Provence comprend 90 % des rosés en France. Ce vin com-plexe exige un certain savoir-faire. Il s’obtient à partir de vins rouges dont on extrait le jus qui n’a eu que peu de contact avec la peau des raisins et qu’on laisse ensuite fermenter.

Dans le cadre du « Bel été Martégal », la Ville organise une visite commentée du Calen, ce grand filet de pêche tendu entre deux rives. Les guides présenteront l’aspect écologique et durable de ce système traditionnel de pêche mécanique.

Cette année le festival varois de courts-métrages « Courtscourts » met l’accent sur la jeunesse, en collaboration avec la bibliothèque municipale. Les enfants pourront visionner puis voter pour l’un des dix films sélectionnés diffusés ce vendredi et le lendemain. Le palmarès sera annoncé le samedi 25 juillet et suivi d’un apéro convivial.

Transat, une association de personnes trans, à visée militante et d’entraide, propose de boire un verre autour de sa nouvelle brochure de sensibilisation à la transphobie. Elle propose des pistes d’action pour adopter les bons réflexes au quotidien, qu’on soit médecin, personnel administratif...

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À La Ciotat, sur la plage Cyrnos, Léo Durnaian et ses collègues maîtres-nageurs sauveteurs

consacrent leur été à la surveillance et à la sécurité des vacanciers qui, parfois, n’ont pas conscience du dan-ger.

Ayant découvert ce métier à l’âge de 16 ans, le jeune homme se rend compte de l’importance de la présence d’un poste de secours sur les plages.

À 23 ans, c’est un nageur de longue date et il est entraîneur de natation à la piscine municipale du Charrel à Aubagne depuis ses 18 ans, ainsi que directeur de l’école de natation. Il y a quatre ans, il propose sa candidature à la mairie de La Ciotat pour devenir maître-nageur sauveteur saisonnier au poste de secours de la plage Cyrnos.

Épanoui dans ces deux professions proches et distinctes à la fois, et pos-sédant des « qualités aquatiques inté-ressantes », Léo souhaite se consacrer à travers son métier au service à la personne et à la sensibilisation des dangers de la mer et de la plage au-près du public.

Prêt à intervenir en mer comme sur le sable, Léo Durnaian donne l’exem-ple d’un accident basique survenu cet été : un pied de parasol qui peut s’envo-ler et heurter la tête de quelqu’un. Mais les interventions en mer sont quoti-diennes, ne serait-ce qu’à cause du « gros problème » que représentent les bouées utilisées par le public sur les plages pour les sauveteurs : « On a beau-coup d’interventions avec des enfants qui sont emportés par le vent sur leurs bouées », explique le maître-nageur.

Se décrivant lui et ses collègues comme des « intermédiaires entre ce qui se passe sur la plage et les pom-piers », lors d’une intervention en mer, sur cinq maîtres-nageurs sauveteurs présents au poste de secours, trois par-tent chercher la victime et deux restent pour appeler les pompiers et recevoir les informations de la rescue board, planche de paddle utilisé pour les sau-vetages.

Malgré la difficulté de ce métier et le sérieux qu’il demande, Léo Durnaian « ne prends pas ça pour du travail » ex-plique-t-il, « je le prends très au sérieux avec la surveillance de la zone de bai-gnade, la sensibilisation au soleil, à la chaleur… Mais je prends ça comme des vacances parce que ça n’a rien à voir avec ce que je fais toute l’année, rien que le cadre, c’est magnifique ». Amoureux de son environnement idyl-lique mais dangereux, Léo estime que son métier est avant tout une voca-tion.

Il a obtenu ses diplômes dès l’âge de 18 ans et connaît désormais tous les recoins dangereux de la plage Cyrnos. Mais s’il y a un aspect de son métier que Léo Durnaian préfère c’est

bien le contact avec les gens. « J’adore rendre service et le côté relationnel de ce métier », sourit le jeune homme qui avoue également détester « ne rien faire ».

Il explique d’ailleurs que le danger est parfois beaucoup plus près de la plage qu’on ne le pense. « Il y a deux jours, raconte le jeune sauveteur, « on a fait une patrouille avec un ami, et on voit une dame en panique à un mètre d’eau qui était allongée et qui n’arri-vait plus à se mettre debout. On l’a as-

sise et on a fait un bilan respiratoire pour voir si tout allait bien. »

Il renchérit : « C’est super impor-tant d’avoir des maîtres-nageurs qui font une patrouille et avant je n’en pre-nais pas conscience. »

La sensibilisation dont parlent Léo et ses collègues ne s’étend pas seule-ment au domaine de la sécurité, mais également à celui de la propreté.

Quand des groupes d’enfants ou des centres aérés se rendent à la plage, les maîtres-nageurs sauveteur parlent

de l’interdiction de jeter ses déchets dans l’eau ou sur la plage.

Pour cela, le centre de secours de Cyrnos a la particularité de travailler en association avec des CRS qui les ai-dent à maintenir l’ordre sur la plage. Pour ce qui concerne « les fumeurs et tout ce qui est vol », Léo estimant que « grâce aux CRS on est respecté ».

Tous les matins à 10h, accompagnés des CRS, les maîtres-nageurs sauve-teurs commencent leurs journées par un aller-retour à la nage jusqu’à la li-gne des 300 mètres.

Cependant, Léo souligne que lui et ses collègues trouvent que la mairie ou-vre le poste de secours beaucoup trop tard car il n’y a personne d’autre pour surveiller la plage hors les heures d’ouverture du poste.

« Il y a deux ans, on arrive sur la plage avec un collègue et on voit deux personnes allongées avec les draps blancs avec les pompiers », raconte le jeune sauveteur, le regard grave. « On en a parlé des années à la mairie mais ils maintiennent leurs horaires », dé-plore-t-il.

Ils nous permettent de pouvoir passer des vacances réussies et tranquilles... « La Marseillaise » est allée à la rencontre des travailleurs estivaux et leur dresse le portrait. Pour commencer cette série, nous avons voulu en savoir plus sur ceux qui surveillent nos plages, les maîtres-nageurs sauveteurs.

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C’est avec des pâtes que Lucile Espagne a séduit le jury,

mais pas n’importe lesquelles, des « ravioles de spiruline far-cie à la brousse citronnée, crème de tomate fumée et crumble de sardine ». Une recette que cette cheffe de 27 ans a concoctée spé-cialement pour la 18e édition du prix Goût et santé, et qui lui a va-lu d’être retenue dans la caté-gorie « salé », parmi 12 finalis-tes sur les 70 artisans de bou-che participant.

La première étape de sélec-tion s’est faite le 29 mai en li-gne, virus oblige, sur la base d’un questionnaire et d’une pho-to envoyée par mail. Selon elle, c’est, entre autres, l’aspect vi-suel qui a plu, grâce à la spiru-line en poudre intégrée dans la pâte à raviole. « C’est intéres-sant car on aura les bienfaits de la spiruline, la couleur mais pas le goût car gustativement ce n’est pas terrible », explique-t-elle. D’autres candidats ont utilisé cette cyanobactérie, populaire pour ses vertus nutritionnel-les, et cohérente avec le prin-cipe de la compétition : allier « plaisir gustatif et équilibre ali-mentaire ».

La recette gagnante de la cheffe a été pensée nutritionnellement : « On a une couche citronnée donc du calcium, des fibres avec la

tomate, des oléagineux avec les pignons et des oméga 3 dans la sardine », énumère-t-elle. Dans sa pratique, elle privilégie toujours le local, le bio, le sain. Passée par l’école de gastronomie Ferrandi, elle cuisine aujourd’hui pour des réceptions privées.

Habituée des concours, Lucile « aime le challenge ». Elle a déjà tenté sa chance l’an dernier.

À la clef, pour chacun des lau-réats des 4 catégories 5 000 euros, pour le grand lauréat, 10 000 eu-ros. Une somme que cette jeune femme entend investir dans un futur laboratoire, en cas de vic-toire. Prochaine étape, le 12 oc-tobre à Paris. Lucile cuisinera à nouveau sa recette pour 15 membres de jury, des profes-sionnels de la restauration et de la nutrition, dont le chef étoi-lé Thierry Marx, parrain de la compétition.

Le but était de donner aux enfants des centres so-ciaux et maisons de quar-

tier une autre image du musée : « l’objectif principal est de permet-tre à ces publics de se réappro-prier leur patrimoine », annonce Coriande Rastoin, animatrice dé-partementale des Francas, la fédération nationale qui agit pour l’accès de tous les enfants et les adolescents à des loisirs de qualité. « Ces journées sont construites sur-mesure pour les enfants, ce n’est pas de la simple médiation culturelle. » Pour in-téresser ces 8-12 ans aux collec-tions, les équipes du musée et celles des Francas organisent des jeux et des activités manuel-les afin de montrer le patrimoine sous un autre jour.

Le thème de cette édition 2020 était les ex-voto, des œuvres réa-lisées par des peintres ou des amateurs : « Ex-voto signifie “d’après le vœu” », explique l’ani-matrice. « Ce sont des remercie-ments à la Vierge Marie ou alors des souhaits. »

Les ex-voto n’existent pas uniquement en Provence et les animations jouent sur cette

particularité. Le matin, les enfants ont par-

ticipé à des jeux pour mieux ob-server les tableaux et pour cher-cher les origines d’autres ex-vo-to du monde entier, dessinés sur des cartes qu’ils devaient en-suite affilier au bon pays à l’aide d’indices. Ils ont aussi eu droit à un atelier artistique où ils de-vaient continuer à dessiner un ex-voto qui leur était donné, en essayant d’en insérer d’autres pour raconter une histoire.

L’après-midi, les enfants ont été interviewés par une inter-venante spécialisée dans le nu-mérique pour exprimer un sou-hait ou une reconnaissance.

Ils ont aussi découvert le praxinoscope, un jouet optique avec des miroirs qui donne vie à 18 cartes pour donner un mou-vement.

Cette année, à cause des res-trictions sanitaires, les grou-

pes étaient plus petits et les structures participantes moins nombreuses : « c’est très com-pliqué pour eux de venir », dé-plore Coriande Rastoin.

« Souvent, les directeurs ont décidé de ne pas se déplacer parce que c’était plus simple. »

Aurélien, médiateur du mu-sée participant au projet, pré-fère voir le bon côté des cho-ses : « Les petits groupes sont plus attentifs, plus curieux. Nous pouvons être plus à

l’écoute et ils le sont aussi. » L’opération veut aussi trans-

former les enfants en passeurs de culture : « ce qu’on recher-che et qui fonctionne, c’est un changement de regard sur l’ins-titution », explique Coriande Rastoin. « Mais on veut aussi que les enfants ouvrent les por-tes du musée à leur famille et leur entourage. »

À travers les livres d’or, on remarque que les enfants sont tous satisfaits de ces journées et que les retours sont posi-tifs. « Ce partenariat avec les Francas nous permet d’avoir un lien plus facile avec des pu-blics malheureusement éloi-gnés des musées et qui s’ima-ginent que ce ne sont pas des lieux faits pour eux », rajoute Aurélien.

Pour lui, la transmission est une mission essentielle : « Je pense que c’est bien de sen-sibiliser les enfants jeunes, ils n’auront pas forcément le goût des musées et de l’art, mais ce se-ra moins abstrait pour eux. »

C’est une question de curio-sité et de découverte person-nelle. « Chacun peut trouver sa place dans un musée, défend-il. La plus grosse démarche, c’est d’y mettre les pieds. Plus on observe, moins ça nous est étran-ger et c’est là qu’on forme son propre goût et sa propre opi-nion. » Les enfants ont donc pu découvrir le musée Ziem sous un angle différent durant ces journées rythmées et dy-namiques.

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Roselyne Bachelot s’est rendue jeudi 23 juillet en fin d’après-midi à

Avignon. Elle y a rencontré le directeur du Festival, Olivier Py, et le directeur délégué, Paul Rondin, dans la cour d’honneur où sont diffusées les grandes captations des éditions précé-

dentes, ainsi que Pierre Beffeyte, le président de l’as-sociation Avignon festival et compagnie, qui regroupe les compagnies et lieux du Off.

Dans la Cité des papes, un programme de visites culturel-les est enfin à l’étude, où une programmation culturelle a été organisée pour la saison es-tivale. Roselyne Bachelot a éga-lement annoncé la tenue d’états généraux de la culture « tout de suite après l’été. Ce sera à Avignon, c’est sûr » et confirmé la création d’un fonds d’urgence de 800 000 euros pour le Off.

Après la gestion de l’urgence, « maintenant, il faut se projeter dans un modèle viable de festival. Car il y a eu, bien sûr, un effet crise mais la crise a eu aussi pour conséquence de révéler un certain nombre de difficultés structurelles des festivals », a

expliqué la ministre. « Ces États généraux des festivals vont donc être l’occasion de se projeter dans l’avenir avec des ateliers qui se-ront là pour envisager aussi une meilleure coopération des terri-toires, comment les grandes ins-titutions festivalières peuvent irriguer davantage les territoi-res », a détaillé Mme Bachelot.

La situation sanitaire a coû-té 25 % de chiffre d’affaires au monde de la culture, touchant particulièrement le spectacle vivant (-72 %) et le patrimoine (-36 %). « Je veux irriguer aus-si des petites structures qui ont besoin de l’État pour vivre, en partenariat avec les régions. On ne peut pas non plus réclamer une intervention de l’État unique-ment en voulant la territoriali-

sation des politiques culturel-les », a-t-elle encore prévenu.

Aujourd’hui, après avoir pas-sé la matinée et le tout début d’après-midi à Avignon, elle est attendue à Arles où elle ren-contrera notamment le nou-veau maire et ancien patron de France Télévisions Patrick de Carolis et l’éditrice et ancienne ministre de la Culture, Françoise Nyssen, qu’elle dit « aimer beaucoup ».

Elle visitera les locaux d’Actes Sud avant de prendre la direction de la Tour Luma. Une réalisation confiée à Frank Ghery, dans laquelle Maja Hoffman, mécène et cohéritière des laboratoires pharmaceu-tiques Roche, a investi 150 mil-lions d’euros dans une friche industrielle de 11 hectares en lisière de la ville.

La Marseillaise : Dans quel cadre s’inscrit ce cycle « L’Estaque en ci-néma » organisé à l’Alhambra ? Robert Guédiguian : En général, l’Alhambra de mon ami Benedetto, est fer-mé en été. Vu la situation avec le Covid, il a décidé d’ouvrir avec des actions de proximité pour remettre en marche le cinéma en espérant qu’il fonctionne plein pot en septembre. Il voulait faire un petit truc, un cycle Robert et le quar-tier. C’est lui qui a choisi les films. La programmation et le nombre de films qui sortent ne sont pas énormes, il est donc parti sur des reprises. Je passerai le 28 juillet pour la diffusion de À la vie à la mort. Il y a aussi cette séance en plein air de L’argent fait le bonheur, que l’on a tourné à la cité du Plan d’Aou en 1992. Vous en gardez quel souvenir ? R.G. : En tant que citoyen car je ne peux pas le dire en tant que cinéaste, le film est hélas toujours d’une actualité brûlante. Il raconte la fin de la conscience de classe dans une cité où les gens se divisent en bandes rivales. Ils tracent une ligne jaune pour séparer la cité en deux. Plus personne n’ose la passer, pas même les cafards. Il y a d’ailleurs un plan ou un cafard est arrêté dans sa course. C’est une farce, un récit fantaisiste. Puis les parents, les plus anciens, décident de reprendre ça en main en leur disant : « ne vous battez pas entre vous, battez vous contre ceux qui vous exploitent ». Ils leur rappellent que « l’argent ne fait pas le bonheur » est un proverbe édicté par les riches à l’usage des pauvres.

Ce film a connu un beau succès. R.G. : C’est le seul film que j’ai fait pour la télé et il a eu une très belle histoire. Il a cartonné à sa sortie, un mercredi, puis il est sorti en salles. Pas en France, on ne pouvait pas, mais à l’étranger. Au Canada en particulier et ça a été un carton in-croyable. La presse a été dithyrambique, j’ai fait une tournée pour le présenter dans plusieurs villes du Québec. J’étais sur un petit nuage. J’avais déjà eu des pe-tits succès critiques mais de film d’au-teur. Ça suivait Dieu vomit les tièdes. La presse était très bonne mais il y avait eu, je crois, 20 000 entrées. La proximité, la rencontre avec le public, c’est d’important ? R.G. : Oui en plus ici à Marseille. J’ai fait beaucoup de films à l’Estaque et dans les quartiers Nord. Je croise sans arrêt des gens dans la rue qui ont tourné dedans. Pas dans des rôles importants mais comme fi-gurants souvent. Ils me disent : « Tu ne me reconnais pas ? Il y a 25 ans, cette scène, je faisais le petit qui courait au fond ». C’est très touchant. Et si on prend L’argent fait

le bonheur, il y avait dans les bandes des enfants de dix ans qui viennent au-jourd’hui voir le film avec leurs enfants. C’est émouvant. « Le Dernier été » fait partie de ce cycle. Cet été 2020 à Marseille est le premier du Printemps marseillais. Vous les avez soutenus, vous en attendez quoi ? R.G. : Déjà, c’est une victoire et donc une joie. Il faut savoir se réjouir, c’est comme ça que l’on continue d’avancer. On fait une pause, on boit un verre et on dit « on a gagné ! ». Ça, c’est fait. Maintenant, j’at-tends énormément. Mais je suis aussi dans une position, parce que je suis un militant, où je sais que, quoi qu’il arrive, la maire ne peut pas tout. Cela dépend des pouvoirs de la Métropole, de pouvoirs régionaux, voire nationaux et même in-ternationaux. Mais cette réunion des par-tis de gauche et des mouvements citoyens est une belle expérience qu’il faut absolu-ment réussir pour montrer que c’est pos-sible. Pour cela, il faut rester unis et avoir ensuite une pédagogie infernale en termes

de communication. Il faut que ça dure et que ça réussisse. Cela conditionnera des choses au niveau national. Jean-Marc Coppola, élu dans les 15-16, est le nouvel adjoint à la Culture avec une délégation élargie au sens populaire. C’est quoi pour vous ? R.G. : C’est ce que Vilar, avant Vitez je crois, appelait l’élitisme pour tous. C’est ce à quoi ont toujours tenu les grands metteurs en scène, les grands directeurs de théâtre et de manifestations. C’est ce que fait Benedetto. À l’Alhambra, j’ai as-sisté à des projections vraiment surpre-nantes. Je me souviens, un après-midi, il projetait La ville est tranquille devant 250 gamins de 4e et 3e. Je lui ai dit « tu es cinglé, ils vont partir en courant ». J’ai été sidéré. Personne n’a bougé et c’est un des plus beaux débats que j’ai fait de ma vie sur ce film. La fonction des politiques ce n’est pas forcément d’inventer des cho-ses mais d’accompagner ces initiatives. Ce n’est pas faire de la culture populaire, c’est rendre la culture populaire.

Parc Foresta - L’Argent fait le bonheur : 24/07 21h, projection plein air (gratuit) Cinéma l’Alhambra - À la vie à la mort : 28/07, 9h, soirée d’ouverture en présence du réalisateur et de sa troupe, suivi d’un concert karaoké live ; 30/07 16h30 - 01/08, 17h15. - Les neiges du Kilimandjaro : 06/08 20h - 07/08, 16h30 - 08/08 18h. - Marius et Jeannette : 13/08, 21h - 14/08, 16h45 - 15/08, 18h15 - Marie-Jo et ses deux amours : 20/08, 21h - 21/08, 16h15 - 22/08 19h. - Dernier été : 27/08, 20h15 (repas) - 29/08, 16h30 (débat).

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Quelque trois milliards de personnes, parmi les plus pauvres de la planète, devraient recevoir un revenu minimum provisoire pour ralentir la pandémie de coronavirus, a estimé le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud). Alors que l’épidémie s’aggrave dans les pays en voie de développement, l’adoption « immédiate » d’une telle mesure pour permettre aux personnes les plus pauvres de rester chez elles pourrait permettre de ralentir sa progression, affirme un rapport.

Des cavaliers déguisés en chevaliers médiévaux ont été enrôlés par les autorités d’une île suédoise pour faire respecter la distanciation sociale aux touristes. Revêtus de leur armure complète digne du XIIe siècle et portant une bannière sur laquelle est écrit « Ensemble nous prenons nos responsabilités », huit chevaliers vont veiller au respect des gestes barrières cet été par les touristes visitant l’île de Gotland, dans la Baltique.

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Christine l’Admirable, morte en 1244 en Belgique fut une mystique flamande au monastère Sainte-Catherine de Saint-Trond.

Le soleil se lève une minute plus tard à 06h16 et se couche une minute plus tôt à 21h38. LE DICTON : « Le jour de la Sainte-Christine a toujours bonne mine. »

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L’Ocean Viking est toujours retenu en Italie, plus de deux semaines après son

dernier sauvetage. Les garde-côtes italiens ont

immobilisé le navire humani-taire de SOS Méditerranée, dans la nuit de mercredi à jeu-di. Une inspection aurait révé-lé des « irrégularités techniques et opérationnelles », selon un communiqué des autorités. Ces manquements sont « de nature à compromettre non seulement la sécurité du navire et de l’équi-page mais aussi des personnes qui ont été et qui pourraient être récupérées à bord », selon les garde-côtes.

Le communiqué fait égale-ment état de « violations de la réglementation visant à protéger le milieu marin », et le navire fait l’objet depuis d’une mesure de « rétention administrative » jusqu’à correction des irrégu-larités. « Nous ne comprenons pas pourquoi des remarques mettant en cause la sécurité du navire sont faites maintenant », s’indigne l’ONG dans un com-muniqué.

« Alors que rien de tel n’a été notifié à ce sujet au cours de qua-tre inspections, dont deux récen-tes, effectuées par la même garde-côte italienne, et qu’il n’y a eu aucun changement dans les rè-glements de sécurité sur ce qui

est aujourd’hui mis en cause. »Le navire humanitaire Sea

Watch, a également été visé par une procédure similaire. « Ces trois derniers mois, le même ar-gument sur la sécurité a été uti-lisé par les autorités italiennes pour immobiliser quatre navi-res d’ONG », affirme Frédéric Penard, directeur des opéra-tions de SOS Méditerranée. Après une longue interruption due notamment à la pandémie de nouveau coronavirus, le re-tour en mer de l’Ocean Viking s’est fait dans un contexte de forte reprise des traversées de la Méditerranée centrale. Et

l’Italie craint de voir arriver le plus gros contingent de navi-res humanitaires.

Le 7 juillet, le navire huma-nitaire de SOS Méditerranée avait été autorisé à débarquer à Porto Empedocle, en Sicile, 180 migrants qu’il avait secou-rus en mer. La mise en lieu sûr des réfugiés a été effectué onze jours après le sauvetage et trois jours après que l’ONG a décré-té l’état d’urgence pour la pre-mière fois depuis le début de ses activités.

À bord entre les rescapés, la tension était palpable et cer-tains témoignaient de pensées

suicidaires. Après la visite de représentants de services de santé, ils ont été transférés sur un ferry pour y observer deux semaines de quarantaine avant leur accueil à terre.

Le bateau-ambulance a lui aussi été gardé à quai quatorze jours. La période d’observa-tion a pris fin mardi. L’Ocean Viking a été immobilisé le len-demain, alors même qu’il de-vait rejoindre son port d’atta-che de Marseille. « Il y a une tendance claire à exercer de ma-

nière excessive et abusive un harcèlement administratif con-tinu envers les ONG, dont le seul but est d’empêcher leurs activités de sauvetage qui com-blent le vide laissé par les États européens en la matière. Mais stopper l’ambulance n’empê-chera pas la blessure de sai-gner », martèle Frédéric Penard.

Le chef de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini, est at-tendu jeudi sur Lampedusa où plusieurs centaines de mi-grants sont arrivées ces der-nières semaines.

Le tribunal de commerce de Lille doit examiner deux offres de reprise pour Camaïeu. L’entreprise de prêt-à-porter, qui compte 4 000 salariés en Europe, a été placée en redressement judiciaire fin mai.

Le tribunal de Hambourg a condamné à 2 ans de prison avec sursis un ancien garde de camp de concentration de 93 ans pour complicité dans des milliers de meurtres perpétrés entre 1944 et 1945 en Pologne.

Londres et Bruxelles se sont quittés jeudi sur un nouvel échec à l’issue d’une session de négociations sur leur relation post-Brexit, faute d’avancées sur les principales pommes de discorde, tout en gardant l’espoir d’un accord.

Le Liban en crise doit enclencher dans l’urgence des réformes attendues « depuis trop longtemps », a martelé jeudi à Beyrouth le chef de la diplomatie française, lors d’une visite dans le pays en plein naufrage économique.

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Dans un texte approuvé par la plupart des groupes politiques, et adopté par 465 voix pour (150 contre et 67 abstentions), le Parlement européen « conteste » le budget de 1 074 milliards d’euros conclut lors du sommet des 27. Alors que la plupart des chefs d’État européens se félicitent d’un accord « historique », le Parlement a annoncé qu’il « ne cautionnera pas un fait accompli et est prêt à refuser de donner son approbation (...) jusqu’à ce qu’un accord satisfaisant soit trouvé ». En acceptant de signer l’accord, les pays dits « frugaux » (Pays-Bas, Autriche, Suède, Danemark, Finlande) ont réussi à obtenir des rabais sur leurs contributions. La présidente de la Commission européenne, Ursurla von der Leyen avait salué l’accord mais déploré un budget de l’UE « très maigre », « une pilule difficile à avaler ». Les eurodéputés devront se prononcer d’ici la fin de l’année sur le budget 2021-2027, sur lequel le plan de relance repose.

Avec l’arrivée de 750 000 jeunes sur un marché du travail en pleine crise,

la rentrée sera « compliquée », a prévenu le Premier ministre. Ce plan « un jeune, une solu-tion » de 6,5 milliards d’euros sur deux ans est « du jamais vu » pour le locataire de Matignon, qui en a détaillé les mesures ce jeudi.

Une prime va être mise en place pour inciter les entrepri-ses à embaucher des jeunes. Une « compensation de cotisa-

tions » de 1 000 euros chaque trimestre pendant un an maxi-mum, pour tout jeune de moins de 25 ans recruté entre août et janvier sur un contrat d’au moins trois mois jusqu’à deux Smic. Ceci s’ajoute aux aides déjà en vigueur depuis le

1er juillet concernant les jeunes en alternance d’ici fin février. Pour un apprenti ou un contrat de professionnalisation : 8 000 euros sont alloués pour un ma-jeur et 5 000 pour un jeune de moins de 18 ans.

Lors de son interview du 14 juillet, le président Emmanuel Macron avait indi-qué la création de 100 000 pla-ces supplémentaires en service civique sur six mois.

Ces places s’ajoutent aux 140 000 mises à disposition cha-que année. De plus, ce plan pré-voit 300 000 « parcours d’inser-tion » pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi et 200 000 places supplémentaires en for-mation.

« Il faut faire un effort de for-mation considérable pour sor-tir de la crise », a affirmé le Premier ministre. Au moins

100 000 formations qualifian-tes ou pré-qualifiantes seront proposées aux jeunes sans qua-lification ou en échec dans l’en-seignement supérieur. Les « mé-tiers d’avenir » des secteurs prioritaires du plan de relance sont concernés, à savoir : tran-sition écologique, santé et nu-mérique.

Ce plan marque le retour des « contrats aidés » dans le sec-teur marchand, supprimé par la nouvelle majorité en 2017. Les jeunes les plus éloignés de l’emploi seront ciblés par ce dispositif. 60 000 « contrats ini-tiative emploi » seront créés pour les jeunes qui ne réussis-sent pas à s’insérer dans le mode du travail.

En ce qui concerne le monde associatif, plus de 60 000 con-trats aidés « Parcours emplois compétences » seront mis en place d’ici 2021. Il en existait 94 000 en 2019.

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AUJOURD’HUI DEMAIN

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Beau temps peu nuageux. Vent modéré. Soleil le matin, ensoleillé malgré quelques nuages élevésl'après-midi. Pas de précipitations. Vent modéré.

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NÎMES

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2922

SAINT-GILLES,

PERPIGNAN

Le docteur Joël Van Den Broeck

Nathalie et Erika, ses filles, Pascal Carrano, son gendre,

parents et amis, ont la douelur de vous faire

par du décès de

Marie-Elisabeth Van Den Broeck

née Rey

survenu à l’âge de 71 ans. Un cérémonie religieuse sera célébrée le samedi 25 juillet 2020, à 9h30, en

l’abbatiale de Saint-Gilles.

P.F. Camargues Generac

04.66.01.81.94

CLARENS Jean-Jacques, 56 ans, funérarium municipal, 5e

PUIG Née REPOUX Marie, 93 ans, funérarium municipal, 5e

RAVANETTI Joëlle, 69 ans, dépositoire hôpital Timone, 5e

FRANCESCHINI René, 81 ans, funérarium municipal Saint-Pierre, 5e

BECQUET Xavier, 65 ans, crématorium Saint-Pierre, 5e

BEAUMERT-MATHIEU Denise Vve ESTIENNE, 88 ans, chapelle funérarium municipal Saint-Pierre, 5e

MATTEOLI née

BELLOTTI Danielle, 82 ans, chapelle funérarium munici-pal, 5e

0.800.130.000.

Le service des concessions de la mairie de Marseille assure une permanence tous les same-dis. Ces horaires sont mis en place afin de traiter prioritairement les formalités afférentes aux inhumations dont notamment les délivrances et renouvelle-ments de concessions.Service des concessions, 380, rue Saint-Pierre (5e).

Le service Allô Mairie est joig-nable sur un numéro d’appel gratuit, le 3013 du lundi au vendredi de 9h à 17h.

04.91.99.14.60.

04.88.15.19.26.

04.84.52.51.61.

15 17

18

04.91.59.28.40.

04.91.52.91.52.

04.91.75.25.25.

04.91.38.36.52 .

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Le manager Patrice Collazo et le deuxième ligne sud-africain Eben Etzebeth, deux figures de proue du RC Toulon, ont prolongé leur contrat et sont désormais liés au RCT jusqu’en 2025 et 2024 respectivement.

Le Tour 2021 doit normalement s’élancer de Copenhague. Mais avec le report des Jeux olympiques, dont l’épreuve cycliste est prévue le 24 juillet, veille de l’arrivée de la Grande boucle, les organisateurs réfléchissent à un plan B.

La finale de la coupe de France oppose le PSG à Saint-Étienne, ce soir à 21h10. Un duel au Stade de France, sous le signe du Covid-19, qui va se jouer devant une toute petite chambrée, puisque seules 5 000 personnes (joueurs et officiels compris) seront autorisées.

Marc Marquez, le sextuple champion du monde MotoGP et tenant du titre, opéré d’un bras mardi, a été déclaré apte à courir ce week-end au GP d’Andalousie, deuxième épreuve du championnat, a annoncé son écurie Honda. L’Espagnol ne participera pas aux essais libres.

Aujourd’hui, le véritable problème de ce club n’est pas la vente mais le dé-

part de Monsieur Eyraud. D’après mes échos, il a quand même un salaire de footballeur qui ne marque pas de but. » Mourad Boudjellal est remon-té contre la direction phocéenne et le fait savoir.

Jeudi, sur les ondes de RMC Sport, le candidat au rachat de l’OM a tenu des accusations lourdes à l’encontre de Jacques-Henri Eyraud. « L’OM est un club qui, depuis que Monsieur Eyraud est là, perd environ 100 millions d’euros par an et ça ne fait qu’augmenter. »

Il reproche même au prési-dent du club de vouloir brader des footballeurs olympiens. « Donc, M.Eyraud est simple-ment en train de préparer une vente massive de joueurs sur la-quelle il aura plus ou moins en-vie de nous faire porter le cha-peau. C’est inéluctable. »

« Les actifs et fonds propres sont en chute de 90 millions, c’est-à-dire qu’il doit les reconstituer », assure le chroniqueur des Grandes Gueules. « M. McCourt va mettre 20 millions, il en man-que 70. Ce que j’attends, c’est qu’il [Eyraud, Ndlr] explique comment il va mettre 70 millions à l’OM. Il ne va pas les mettre de sa poche, il ne peut pas. Aujourd’hui, ce club vit unique-

ment sur ses recettes futures, il vit à crédit. »

Au mois de juin, lui et son associé Mohamed Ayachi Ajroudi ont annoncé avoir dé-posé une offre de rachat de l’Olympique de Marseille, ac-tuellement en difficulté écono-mique.

Ce à quoi Frank McCourt a répondu quelques semaines plus tard : « Le club n’est pas à vendre ». Jeudi, justement, l’ac-tuel propriétaire du club a for-mellement rejeté l’offre de né-gociation de l’homme d’affai-res franco-tunisien Mohamed Ajroudi, selon un mail consul-té par l’AFP. C’est la première fois qu’une fin de non-recevoir est officiellement adressée à Mohamed Ajroudi.

L’Olympique de Marseille avait déjà adressé un message négatif au duo.

Mardi, il a notamment ou-vert un procès à l’encontre des deux hommes d’affaires, qu’il accuse de mener une « campa-

gne de déstabilisation du club » basée sur « des tromperies et des mensonges ». Boudjellal et Ajroudi encourent 500 000 euros d’amendes pour dommages et intérêts.

Le Franco-tunisien avait dé-jà réagi à cette saisie en justice, par l’intermédiaire de son avo-cat Me Olivier Pardo : « La di-rection actuelle de l’OM a lan-cé une campagne de presse dé-nigrante à l’encontre de Monsieur Mohamed Ayachi Ajroudi. Cette stratégie agres-sive fondée sur une assignation qui ne résiste pas à l’analyse et qui contient des contre-vérités ne doit tromper personne. »

Pour l’ancien président du RCT, c’est la goutte de trop. « Cette procédure médiatique ne tient juridiquement sur rien, si ce n’est peut-être essayer d’ex-pliquer à son supérieur, qui est M. McCourt, que les résultats

sur les abonnements et les par-tenariats sont liés à notre an-nonce », estime-t-il.

Selon lui, la réaction du club est « plutôt liée au Covid et à l’ambiance générale qui font qu’il y a un doute sur l’écono-mie du sport ».

Dans son invective, Boudjellal prend une fois de plus Eyraud pour cible. « C’est très bien joué parce que M. Eyraud n’est pas contre la vente de l’OM. Il est même favo-rable à ce que l’OM soit vendu si on le garde. Ce qui lui pose un problème, c’est qu’on a dit très vite qu’il n’était pas prévu de le conserver » considère-t-il.

Et d’ajouter « le problème au-jourd’hui, ce sont les fonds pro-pres de ce club. Ce que M. Eyraud endort à travers cet écran de fu-mée de procédure médiatique, c’est du pipi de chat, du Houdini des fonds propres, c’est que l’OM est dans une situation très com-pliquée à cause de lui ».

Vendre l’OM à Mohamed Ajroudi, c’est non !

Après s’être contenté de refuser par voie de presse l’offre de rachat que l’homme d’affaires porte avec Mourad Boudjellal, le patron du club marseillais a cette fois réagi officiellement.

C’est par courriel transmis à l’AFP que l’avocat de l’Américain, Olivier de Vilmorin, fait « part, de manière formelle et définitive, de la réponse de (son) client : le club n’est pas à vendre, Monsieur McCourt ne souhaite pas engager de discussions » avec Ajroudi et Boudjellal.

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Comme Marie Jacobé et Marie Salomé, elles sont arrivées par la mer.

Alexia Barrier sur un Zodiac, son Imoca 4 MyPlanet étant blo-qué par des vents contraires vers Planier, et Michèle Rubirola à bord du ferry-boat électrique. La navigatrice, en-gagée sur le prochain Vendée Globe, et la nouvelle maire de Marseille se sont retrouvées sur le ponton de la Société Nautique de Marseille, où Gilles Chavane les a chaleureusement accueillies.

« C’est un grand événement pour la Nautique, qui a connu

des navigateurs de renom comme Éric Tabarly, Alain Colas et, bien sûr Florence Artaud. Alexia se prépare pour une course my-thique, et elle nous fait l’hon-neur de s’arrêter chez nous. » Le vice-président de la SNM ne

cache pas son émotion au mo-ment de rencontrer Alexia, qui avoue « avoir toujours une pen-sée pour Florence Artaud. J’ai navigué avec elle, et elle est un peu à l’origine de mon engagement écologique. Nous étions amies,

et je sais qu’elle a toujours un regard sur moi ».

L’Azuréenne navigue depuis ses 3 ans. Se retrouver sur la li-gne de départ du Vendée globe, c’est l’occasion « de concrétiser un rêve fou que j’ai fait à l’âge de 12 ans, lorsque j’ai assisté au dé-part de la première édition. Je me suis promis qu’un jour, je se-rai dans cette flottille. » Le 8 no-vembre, ce sera le cas. Forte de ses 17 transats, elle est donc ro-dée à ces épreuves d’endurance. « Ce Vendée 2020, je n’y vais pas pour le gagner, je veux le finir. Ce sera une victoire symboli-que. » Michèle Rubirola, accom-pagnée de son adjoint en charge de la démocratie locale, a salué l’engagement de la navigatrice. « Grâce à votre talent de skip-per, à votre projet 4 MyPlanet, vous partagez la vie sur votre bateau avec le public et les en-fants qui vous suivent pour leur donner envie de se dépasser et préserver la planète. »

Alexia Barrier va courir son premier Vendée Globe sous les couleurs de 4 MyPlanet. La navigatrice azuréenne va relayer son combat pour la préservation des océans. Durant la compétition, elle fera des relevés sur les courants marins, étudiera l’impact de l’activité humaine sur les océans qu’elle va traverser. Et communiquera les résultats de ses recherches aux 5 000 enfants qui soutiennent son action dans le monde, jouant son rôle d’ambassadrice de SOS Méditerranée.

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Cette finale comme à l’ac-coutumée a attiré les fou-les. Lucas Lopez en tête

avant le début de la course sui-vi de près par Florentin Garcia ont vu leurs espoirs s’envoler. Un manque de chance et de té-nacité a permis la remontada du jeune Tom Charrade qui de part son envie survoltée, coiffe sur le poteau les deux jeunes raseteurs. On était vrai-ment dans la compétition voire un peu trop parfois. Côté tau-reaux, on a assisté à un très bon cru avec Artaban, Rigaù, Palun et Caberne, on aurait pu citer Origan aussi mais les hommes n’ont pas voulu le voir ce qui fut fort dommage.

1) Caberne (050) de Raynaud : il sort en râlant et nous gratifie d’un placement chirurgical. Il se munit d’un coup de revers qui pose pro-blème. Caberne accepte tout ce qu’on lui propose mais il reste tout de même sérieux et solide. Il termine plusieurs fois aux planches quand il sent l’homme à sa portée. Se défend très bien et rentre ses ficelles sans trembler. Cinq Carmen plus retour.

2) Mangin (920) du Joncas : il a du sang certes mais il a per-du quand même de sa superbe. Le taureau est de moins en moins craint mais il reste plai-sant avec ses ripostes franches et pleines de vivacité. Mangin ira au bout de ses actions lors-qu’on le titille. Une grosse sé-rie aura raison de lui au bout de 10 min. Deux Carmen plus retour.

3) Origan (168) de Lautier : ce n’est pas une mauvaise herbe loin de là, malgré un dé-but poussif avec des sauts in-utiles et un placement moyen. Par la suite, le menu proposé se-ra davantage aromatisé avec des échanges plus épicés. Aux ficelles, il fait le large et on le rasète on compte goutte et du coup le taureau naviguera en quête d’adversaires, mais en vain et là cette fois-ci il saute-ra par ennui. Sur les quelques rasets qu’il reçoit on peut en-trevoir ses capacités à se dé-doubler pour fermer la porte. Aujourd’hui il y avait Origan mais sans d’autres ingrédients. Rentre ses ficelles. Deux Carmen plus retour.

4) Artaban (172) de Fabre Mailhan : il manque le wagon d’entrée mais se remet vite sur les bons rails pour maîtriser parfaitement son sujet. Un gros placement et une belle antici-pation qui gêne les hommes dans leurs acheminements. Guerrero essaie à deux repri-ses mais échoue. Il rajoute en-core une difficulté à son pal-marès car sur le raset il se mu-nit d’un sévère coup de tête qui parfois pique. Très bonne pres-tation. Rentre ses 2 ficelles. Quatre Carmen plus retour.

5) Boucanier (258) de Guillierme : il ne représente aucune difficulté, les hommes en prennent vite la mesure et le taureau n’arrive pas se dé-fendre. Malgré de beaux ra-sets et des conclusions inté-ressantes, Boucanier est trop tendre et rentre au bout de 6 min. Quatre Carmen plus re-tour.

6) Rigaù (994) de Saumade : Lui aussi tarde à rentrer dans les rangs avec beaucoup de dis-

tractions. À force de l’attaquer, le taureau ira « à mas » et sa course deviendra à la fois plus barricadière que cocardière. Bien placé, il attend les hom-mes qui l’affrontent sans se poser de questions et derrière ça pétarade sèche. Il sélec-tionne certains rasets pour re-prendre son souffle mais la plupart du temps, il viendra avec beaucoup de force et con-clura brutalement derrière Fouque, Dunan et Bernard. Un scintillant quart d’heure. Rentre ses 2 ficelles. Six Carmen plus retour très for-tement applaudi.

7) Palun (255) de Méjanes : Lopez, Garcia et Charrade se tiennent à 6 points maximum . Le taureau prend la foudre, la bataille fait rage mais pas dans le respect du bioù. Il a un moral d’enfer et malgré les mauvais gestes, il s’envoie corps et âme dans le combat et même en nous gratifiant de maintes actions de pure beau-té. On ne sait pas encore com-ment il a su tenir le coup mais sa volonté est héroïque. Les hommes prennent tous les ris-ques et Palun vient encore plus fort derrière. Quel cœur ! mais quel cœur ! Rentre ses ficelles en héros. Dix Carmen plus re-tour avec d’immenses applau-dissements. Bravo taureau.

Que faut-il retenir de cette course devant une moitié

d’arène ? Une seconde partie avec des grands bannus et des jeunes taureaux intéressants. La relève est là dans certaines ma-nades, dont Quieto des Termes qui s’impose, dans une première partie rondement menée, la se-conde partie s’avérant plus spec-taculaire avec Nazaré, Malraux. Vasco sera intouchable et Venaco fera baisser les bras aux hommes, sauf à Michelier qui aura droit à une prime, accordée généreusement par la prési-dence, pour son superbe enga-gement à un taureau qui fera sa route. Le public est sorti sa-tisfait.

1) Merlin (318) de Cuillé : il se-ra le plus tendre et ne trouvera jamais sa place. En 7/minutes, il sera renvoyé dans les prés de Generac. 2 belles finitions sur Benhammou et Zekraoui pour 4 récompenses. Il devrait bien évoluer à l’avenir. 3 fois la mu-sique plus rentrée

2) Brantôme (159) de Nicollin : pure race et pleine peau, il se livre, un peu trop. Du placement et de la bravoure, et il raccompagne tout, mais à ce rythme, il doit subir, ce qui l’oblige à se garder. Il s’incline à la 11e. Quatre Carmen plus re-tour.

3) Quieto (381) des Termes : un jeunot qui sort avec de l’en-vie et qui va au fil du temps re-mettre de l’ordre. Même si au départ, il s’éloigne des barrica-des. Des réponses dangereuses sur Zekraoui, le styliste qui le met en valeur. Il sera le meilleur raseteur du jour. Benhammou, Katif et Meric vont le bonifier dans des longueurs. Un nom à suivre qui va rentrer ses ficel-

les et un 7e Carmen. 4) Malraux (047) de Paulin :

lui aussi il a l’œil à tout, avec un décalage des planches. Il est craint et il finit derrière Zekraoui. Il prend des séries et il pose des problèmes. Mais il n’a pas la pression escomptée. Idem les ficelles repartent. 3 carmen plus rentrée.

5) Nazaré (436) de Bon : ce grand bann, disciple du dieu des taureaux, va faire mieux que se défendre, malgré son jeune âge et une première à ce niveau. En 90 secondes, il laisse ses rubans,et à partir de là, il va se reprendre, mis en exer-gue par Zekraoui (3 fois) et Benhammou. Sur le gong, il laisse son second cordon. 4 fois les honneurs et retour.

6) Vasco (414) des Baumelles : il a tendance à prendre le milieu, semblant mal à l’aise dans cette piste. Mais ce grand et beau taureau ne se laisse pas manœuvrer. Derrière Zekraoui, il casse les planches après un superbe ra-set. La musique est en boucle. Il durcit le jeu mais rout va au bout. Katif, Meric, Benhammou ou Zekraoui le font briller. Les bobines aux Saintes. 10 musi-ques et la rentrée.

7) Venaco (488) de Méjanes : il alterne le terrain des plan-ches et le milieu. Ce grand tau-reau en impose car une flat-teuse réputation le poursuit. Il vole et s’envole. Certes des sauts à son passif par manque de travail. Puis c’est le show Michelier qui en 4, 5 rasets tous accompagnés au-delà des bois, à la limite des gradins. Une cocarde à 200 rentre au toril en fanfare déjà entendue 4 fois. Prometteur, il termine fort ce beau concours de mana-des.

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CE SOIR À CABOURG - QUINTÉ+ - RÉUNION I - 3e COURSEPRIX HENRI BALLIÈRE : Attelé - Course F - 6 à 10 ans inclus - 32 000 €2 750 m - 16 partants - Départ à 20 h 15N° CHEVAUX (DÉF.) PERFORMANCES S.R.A. DIST. DRIVERS ENTRAÎNEURS PROPRIÉTAIRES COTES GAINS1 DAHLIA BLANC D.4 1a 2a 2m Da 5m 6a 7m Da H b. 7 2750 J. Travers St. Provoost Ecurie Danover 40/1 92 1202 DROP DE SARDANE 0a Da Da 8a 4a Da 2a 9a H b. 7 2750 A. Lhérété A. Lhérété Ecurie des Dames 70/1 92 6103 ELFE ATOUT D.P 8a 7a 4a 3a 2a (19) 9a Da H b. 6 2750 Y. Lebourgeois A. Pereira P. Sitruk 13/1 95 1504 DAME DE LA COUDRE D.4 3a Da 9a (19) 0a 4a 5a 4a F al. 7 2750 F. Gence J.L. Forget J.L. Forget 14/1 95 2405 EVE DE GUERON D.4 1a 2a 2a 4a Aa 2a (19) 0a F al. 6 2750 A. Dollion A. Dollion A. Dollion 5/1 95 4106 DUANG TAA 4a 6a Dm 2a 2a 4m 8a 1a H b. 7 2750 D. Thomain Ch.-A. Mary B. Giraudon 12/1 96 3707 EXPERT DE LA CÔTE D.4 2a 1a 1a 9a 8a 8a (19) 0a H b. 6 2750 S. Ernault P. Terry J. Ferte 3/1 96 6808 BOTTICELLI DÉLO D.4 9m Da (19) 0a Da 0a 6a 8m H b. 9 2750 A. Le Courtois A. Le Courtois A. Le Courtois 30/1 96 7309 CYRUS D'ALCI D.P 6a 0a (19) 1a 4a 8a 9a 8a H b. 8 2750 G. Gelormini Ch. Douillet B. Deramecourt 18/1 96 90010 CASPER BASS D.P 3a Da 0a (19) Da 0a 2a 0a H b. 8 2750 P. Levesque F. Ledoux A. Taieb 12/1 97 11511 ESTA BUENO 1m 1m 0a 1m 0a 4m (19) 2m H b. 6 2775 F. Lagadeuc M. Mottier Ecurie La Casbah 85/1 155 32012 COBALT CHATHO D.4 9a (19) 5a 1a 4a 3a 3a 1a H al. 8 2775 T. Le Beller N. Catherine Mme N. Viel-Pierre 16/1 156 01013 APOLLON D'ILLE D.4 9m Dm 6a 0a (19) 0a 0a (18) H al. 10 2775 F. Desmigneux Océane Hue Océane Hue 90/1 161 78014 BERLIOZ DELO 8m 7a Da Da 0a 4a 0a 0a H b. 9 2775 F. Lecanu Ch. Petrement Ecurie Peloski 80/1 169 13015 DUC DE CHRISTAL D.4 3a 4a 1a 3a 0a Da Da (19) H b. 7 2775 F. Nivard G. Houel Ch. Berquier 6/1 169 13016 ESTEBANE SACHA D.4 6a 0a (19) 0a 1a 5m 3a 8a F b. 6 2775 F. Anne F. Anne Ch. Mottier 15/1 170 840

(E) Ecuries - Intentions de déferrer : D.4 : pieds - D.A : antérieurs - D.P : postérieurs

1 DAHLIA BLANC : Il remonte sérieuse-ment de catégorie puisqu’il vient de s’impo-ser sur ce tracé en Amateurs et en 1’18’’1. Samarge est faible. Pas évident.

2 DROP DE SARDANE : Il va avant toutavoir besoin de rassurer d’autant qu’il varester ferré pour l’occasion. Sur sa méformedu moment, il demeure barré dans cette ca-tégorie.

3 ELFE ATOUT : 8e sur ce parcours le 3 juil-let, il a les moyens d’améliorer ce classe-ment d’autant qu’il se voit cette fois confiéà Y. Lebourgeois. On lui fait confiance.

4 DAME DE LA COUDRE : Elle vient d’affi-cher un très net regain de forme sur les 2725 mde Lisieux et aura son mot à dire pour au moinsles places en évoluant déferrée des 4.

5 EVE DE GUERON : Elle est aussi à l’aiseà droite qu’à gauche et l’été dernier, elleavait aligné 2 victoires consécutives surcette piste et ce parcours. Elle a sa chance.

6 DUANG TAA : Il s’affiche sur la montantecomme l’atteste sa dernière sortie où il ter-

minait 4e derrière Expert de la Côte. D. Tho-main le reprend et il devrait confirmer.

7 EXPERT DE LA CÔTE : Il reste sur unsuccès et deux secondes places autant àdroite qu’à gauche et se retrouve idéale-ment engagé en tête. Il est incontournable.Attention !

8 BOTTICELLI DÉLO : Il vient de recourirsur l’herbe de Bréhal mais il semble s’atta-quer à forte partie dans ce Quinté pour sonretour à Cabourg. On l’oublie.

9 CYRUS D'ALCI : Il se voit présenté cettefois déferré des postérieurs et associé à unpilote. Déjà lauréat par le passé sur ce par-cours en 1’14’’5, il reste à surveiller.

10 CASPER BASS : Spécialiste de cettepiste et de ce parcours et il vient de pleine-ment rassurer sur son retour à Graignes. As-socié à P. Levesque, il espère répéter.

11 ESTA BUENO : C’est surtout dans la dis-cipline du trot monté qu’il a réalisé ses meil-leures performances. Il se retrouve malengagé dans cette rencontre et reste ferré.

12 COBALT CHATHO : Il est présenté sansses fers cette fois et avec T. Le Beller mais ilreste mal engagé avec ses 25m de handicapet peut encore manquer.

13 APOLLON D'ILLE : Il paraît complète-ment surclassé dans cette rencontre face àses cadets surtout avec en plus 25m de handicap. On peut faire l’impasse sur seschances.

14 BERLIOZ DELO : Il a beaucoup déçu de-puis la reprise et il a bien du mal à recouvrerla forme. Ferré cette fois et avec ses 25m dehandicap, il est surclassé.

15 DUC DE CHRISTAL : Régulier depuis la reprise, il s’est toujours très bien entenduavec F. Nivard. Malgré la présence des 6 ans et son handicap de 25m, il s’annonce compétitif.

16 ESTEBANE SACHA : Elle a déjà réusside bonnes performances sur cette piste et ce parcours. Bien engagée aux gainsmais devant rendre 25 m, elle peut viser une place.

NOTRE SELECTION7 - 5 - 15 - 6 - 4 - 10 - 3 - 16

TICKET JACKPOT15 - 7 - 5 - 6 - 16 - 4 - 12 - 9

GAËTAN PRAT7 - 5 - 3 - 10 - 16 - 15 - 6 - 12

GÉGUEL7 - 10 - 15 - 16 - 11 - 9 - 5 - 3

Direction Cabourg ce vendredi pourun Quinté disputé en nocturne surle parcours des 2750 m. Ils sontseize trotteurs au départ de six à dixans dont dix à s’élancer du premieréchelon. Or il n’est jamais simple derendre la distance sur cet anneaucabourgeois. La tâche s’annoncecompliquée pour les chevaux des 25

m qui vont devoir contourner un pe-loton très fourni en tête. On iradonc chercher le futur lauréat aupremier poteau et notammentparmi les six ans, idéalement enga-gés. A commencer par Expert de laCôte, en plein boum depuis la re-prise et qui ne peut qu’une nouvellefois confirmer dans ce Quinté.

TIERCÉ (Pour 1,00 euro)13 - 10 - 14Ordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .343,70Désordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57,10

QUARTÉ+ (Pour 1,30 euro)13 - 10 - 14 - 6Ordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 824,81Désordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .141,31Bonus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13,26

QUINTÉ+ (Pour 2,00 euros)13 - 10 - 14 - 6 - 3Ordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .29 759,20Désordre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .401,60Bonus 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24,20Bonus 3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6,80

HIER À PARISLONGCHAMP

Expert de la Côte sur sa lancée !

Le Dauphiné Libéré 7 15 10 16 3 4 5 6La Provence 15 16 7 4 5 9 3 10Paris Normandie 10 6 4 3 16 7 5 15L'indépendant 7 6 10 16 3 4 5 15Républicain Lorrain 15 7 6 5 16 4 3 10

Ouest-France 7 15 5 6 4 9 16 10Midi-Libre 7 10 15 16 4 9 3 11Europe 1 7 5 15 10 4 3 6 11Nice Matin 5 3 15 6 10 7 12 4Le Parisien 7 15 16 5 3 10 4 6

LE CHOIX DE NOS CONFRÈRES

1 PRIX DES LYCOPODES (19H00)Attelé - Course D - Mâles - 6 et 7 ans22 000 € - 2 750 m - 15 partantsCOUPLÉS - TRIO - MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Drivers Perf.1 Drakkar du Relais (D.4) P. Geray 0a 2a 4a2 Donovan Dark Y. Dousset 0a 9a 0a3 Esquilin P. Levesque 6a 2a 3a4 El Paco (D.4) G. Gelormini 4a 4a 7a5 Don Diego Paris (D.4) G. Jouve 1a 4a 5a6 Emir Petteviniere (D.4) J.-F. Senet 5a 0a 7a7 Excelebration (D.4) B. Michardière 4a 8a 2a8 Editeur la Ravelle (D.4) T. Le Beller 2a 5a 8a9 Emir Picard (D.4) F. Nivard 1a 2a 2a10 Epsilon Jiel (D.4) D. Thomain 4a 6a 0a11 Desperado Passion Ch. Cuiller 7a 7a Dm12 Denfert du Relais (D.4) F. Lecanu 6a 6a 1a

Suivants à 2775 mètres13 Eawy d'Eole A. Lhérété Da 2a 1a14 Easy Maza S. Ernault 9a 0a (19)15 Express de l'Iton (D.2P) F. Lagadeuc 7a 2a 3aA retenir : 9 - 8 - 7 - 4 - 5 - 3 - 6

2 PRIX MICHEL D'ORNANO (19H33)Attelé - Course D - Départ à l'autostart - Mâles - 5 et 6 ans22 000 € - 2 050 m - 13 partantsCOUPLÉS - TRIO - MINI MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Drivers Perf.1 Emir du Pressoir (D.4) J. Travers Da 2a 1a2 El Popof (D.4) L. Abrivard 6a 2a Da3 Eldorado Castelets (D.2P) Ch. Cuiller 1a 0a Da4 Fairplay Forever (D.4) F. Lecanu Da 4a 0a5 Fakir des Manis F. Blandin 0m 6m Dm6 Eandel Smiling (D.4) B. Marie 7a 9a 3a7 Falco Somolli Y. Lebourgeois 6a 2a Da8 Eldorado de Ver (D.4) F. Lagadeuc Da 1a 3a9 Fantastic Charm (D.2P) F. Nivard Da 2a (19)10 Fashionable Quick D. Thomain Da 0a 0a11 Flocon Digeo (D.2P) P. Houel Da 3a 0a12 Feeling Paco S. Ernault 1a Da 4a13 Fatrik des Romains P. Freret Ra 5a DaEcurie JPB Building BVBA : 7 - 9A retenir : 3 - 2 - 7 - 8 - 9 - 1

4 PRIX DES BUSSEROLES (GR A) (20H45)Attelé - Course F - Femelles - 5 ans16 000 € - 2 750 m - 14 partantsCOUPLÉS - TRIO - MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Drivers Perf.1 Feoktista Grammont (D.4) Y. Lebourgeois 8m Da 7a2 Falbala d'Echal J.F. Roulleau 5a 4a Da3 Fleur Suedoise (D.2P) S. Ernault Da 0a Da4 France d'Occagnes (D.4) F. Nivard 2a 4a 8a5 Fayama Chatho (D.4) T. Le Beller Da 9a 8a6 Fine Melodie (D.4) B. Groult 7a 3a 3a7 Feerie Winner (D.4) J. Raffestin 3a 6m 0a8 Fantine Paulo (D.4) A.-A. Barassin 4a 5a 5a9 Fee Bianca (D.4) B. Le Beller 0a 7a 9a10 Fleur des Tours (D.4) D. Thomain 8a 1a 3a11 Folia du Glanon F. Anne 1a 6a 4a12 Falina des Hayes (D.2A) M.-G. Baron 4a 3a Da

Suivants à 2775 mètres13 France Madrik (D.4) St. Meunier Da 4a 2a14 Franceville (D.4) G. Gelormini Dm 9a 0aA retenir : 4 - 5 - 7 - 8 - 11 - 12 - 10

5 PRIX DES BUSSEROLES (GR B) (21H15)Attelé - Course F - Femelles - 5 ans16 000 € - 2 750 m - 14 partantsCOUPLÉS - TRIO - MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Drivers Perf.1 Faune Mijack (D.4) J.-F. Senet 0a 6a 4a2 Folie de Jafa (D.4) G. Jouve 6a Da Da3 Forever Javanaise (D.4) Y. Lebourgeois 3a 5a Da4 Feline Roussac (D.4) L. Abrivard 6a 6a 0a5 Four Roses (D.4) D. Thomain Da Da Da6 French Way of Life (D.2P) P. Houel 2a 7a 1a7 Federovka (D.2P) Ph. Daugeard 9a Da Da8 Fanny de Fouque (D.4) F. Lecanu 6a 6a 0a9 Falbala d'Escrit (D.2P) A. Randon 1a Dm Da10 Foxy Lady Yankee (D.2A) F. Lagadeuc 7a Am 2a11 Faenza Cartery Ch. Corbineau 8a 9a 1a

Suivants à 2775 mètres12 Fantasia Love S. Ernault 0a (19) 0a13 Fusion de Grez (D.4) F. Nivard 6a 6a 3a

14 Funky Town (D.2A) P. Levesque Da 2a 1aA retenir : 3 - 4 - 6 - 7 - 9 - 11 - 2

6 PRIX DU CONSEILRÉGIONAL DE NORMANDIE (21H45)Attelé - Course E - Mâles - 4 ans17 000 € - 2 750 m - 16 partantsCOUPLÉS - TRIO - MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Drivers Perf.1 Giant Quick F. Nivard 0a Da Da2 Give Me C. Raimbaud 6a (19) 1a3 Gormann de Blary (D.4) T. Le Beller Da 4a Da4 Getehi du Noyer M. Verva 0a 6a 1a5 Gavroche Paulo A.-A. Barassin 4a 0a 4a6 Gospel Vet (D.4) B. Le Beller 3a 9a 2a7 Gold Peji M. Lemercier 5a Da 7a8 Goal Star (D.2P) D. Locqueneux 2a 2a (19)9 Go Quickly (D.4) J. A. H.-Navarro 1a 3a 2a10 General de Loiron (D.4) G. Gelormini 3a 3a Da11 Gamely (D.4) J.-F. Senet 5a 3a Da12 Gamin de Mahey (D.4) Y. Lebourgeois 2a 4a 0a13 Granit du Mont (D.2P) F. Lecanu 5a 5a 5a14 Gavroche de l'Iton (D.4) F. Lagadeuc 1a 9a 4a15 Gagnant Rush G. Donio 5a 5a 1a16 Gilgamesh de Babel J.-B. Lemoine (19) 8a 7aA retenir : 12 - 14 - 13 - 6 - 2 - 3 - 8

7 PRIX AFASEC DE GRAIGNES (22H15)Monté - Course F - EuropéenneApprentis et Lads-jockeys - Femelles - 6, 7 et 8 ans21 000 € - 2 750 m - 12 partantsCOUPLÉS - TRIO - MINI MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Jockeys Perf.1 Mad Diva K. Petitjean Da 4a (19)2 Delle du Luot (D.4) Mlle M. Asseline 0m 6m Da3 Dona de Beylev (D.4) J. Condette 0a 0a Da4 Dune du Poret Ch. Manegat Dm Dm Da5 Etonnante Nonna P. Thieulent 0m 8a 3m6 Etincelle de Rocha A. Gervais Da Dm 5m7 Ecosse Bleue (D.4) Mlle Thiph. Levesque 3m 3m 4m8 Ekla Way A. Andre 0m 7a Da9 Exquise Dancer (D.4) Ch. Callico Da Da 8m10 Cannelle d'As (D.2P) Mlle N. Hardy 0a 0a Da11 Venere Breed M. Grumetz 8m Da 4a12 Enola du Dorat Cl. Chabrun 8m 6m 8aA retenir : 7 - 9 - 6 - 1 - 2 - 5

8 PRIX DES ERINES (22H40)Attelé - Course D - Départ à l'autostart - Mâles - 3 ans20 000 € - 2 050 m - 11 partantsCOUPLÉS - TRIO - MINI MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Drivers Perf.1 Hardwell J.-F. Van Dooyeweerd Da 7a Da2 Hashtag de Tagor N. Martineau 2a 2a 3a3 Hed P. Houel 0a Da 2a4 Hello John J.W. Hallais 4a 3a 2a5 Heros de Connee D. Thomain 9a 4a 3a6 Heagle Cash F. Lagadeuc Da Da Da7 Hartefax S. Ernault 1a 7a 4a8 Hey Quick F. Nivard 5a 2a 1a9 Herick de la Potel V. Hebert Da Da Da10 Hermes d'Ecroville B. Marie 7a 3a Da11 Harry de l'Ormerie A.-A. Barassin 7a 1a 4aA retenir : 6 - 8 - 1 - 2 - 7 - 4

9 PRIX DU CONSEIL DES CHEVAUX DE NORMANDIE (23H05)Monté - Course E - Femelles - 3 ans17 000 € - 2 750 m - 13 partantsCOUPLÉS - TRIO - MINI MULTI - 2 SUR 4N°Chevaux (Déf.) Jockeys Perf.1 Hair de Chahains J.-Y. Ricart Dm Dm Dm2 History Majyc P. Geray 8m 8m Da3 Hulka des Champs J. Vanmeerbeck Da Da4 Historia de Forgan D. Thomain Dm Dm 6m5 Hera Dairpet E. Desmigneux 7a 5a 5a6 Harmonie de Bez J. Balu Dm 2m 7a7 Havana de Nilrem F. Lagadeuc Dm Dm 3m8 Hawai d'Oyse L. Abrivard Dm 9m 4m9 Hermione du Leard E. Dessartre 1m Dm 4m10 Havane d'Avril Y. Lebourgeois 5a 3a 6a11 Hermine d'Oliverie S.-E. Pasquier 1m 3m Da12 Haveze des Epines G. Monnier 3m 1m13 Hastoria Bleue F. Desmigneux 7a 6a 6mA retenir : 11 - 10 - 12 - 13 - 9 - 8

LES AUTRES COURSES RÉUNION I

8 PRIX EDMOND MAUPOIL (17H50)Plat - Classe 3 - Handicap divisé - 1re ép. - 4 ans et plus17 000 € - 2 000 m - 18 partantsCOUPLÉS - TRIO - MULTI - 2 SUR 4 - PICK5N°Chevaux (Œil.) Jockeys Pds. Cde. Perf.1 Picnic Royal (Œil.) Mlle M. Michel 61,5 17 0p 2p (19)2 Lili Blue A. Bernard 60,5 5 1p 1p 9p3 Lor Blanc M. Grandin 59,5 2 3p 3p 6p4 Nosdargent E. Hardouin 59,5 15 0p 0p 5p5 Fort Templier F. Veron 59,5 1 0p 5p (19)6 The Last Spirit G. Millet 59 3 0p 7p 9p7 Sa Sal J. Claudic 58,5 6 7p 3p 8p

8 Colours V. Cheminaud 58,5 10 6p 2p 9p9 Puff Dakota (Œil.) A. Crastus 58 12 6p 1p 3p10 Aerion A. Chesneau 57,5 14 0p 1p (19)11 Global Passion G. Legras 54,5 18 4p 3p 6p12 Elypson G. Congiu 57 16 1p 4p 7p13 Land of Mind (Œil.) M. Barzalona 57 11 6p 8p 0p14 Fox Tin (Œil.) H. Besnier 55 4 0p 6p 9p15 Rosny A. Pouchin 56,5 9 4p 8p 7p16 Gimme Joy P.-C. Boudot 56 8 5p 3p 2p17 Fiona F. Blondel 56 13 2p 8p 0p18 Azachop (Œil.) Mlle M. Velon 54 7 7p 0p 2pA retenir : 16 - 17 - 13 - 12 - 11 - 9 - 8 - 3

CET APRÈS-MIDI À VICHY RÉUNION V

QUINTÉ+ DEMAIN À ENGHIEN R. I - C. 3PRIX DU FAUBOURG MONTMARTRE : Attelé - Course B - 4 ans - 37 000 €2 875 m - 16 partants - Départ à 15 h 15

N° CHEVAUX (DÉF.) S.R.A. DIST. DRIVERS1 GENNY MAUVAISVILLE D.4 F b. 4 2875 D. Lecroq2 GOULETTE D.P F n.p. 4 2875 F. Nivard3 GALA DE CRENNES D.A M b. 4 2875 M. Mottier4 GAZELLE DU RIVE F b. 4 2875 D. Bonne5 GOLFE JUAN M al. 4 2875 H. Schwarma6 GAMAY DE L'ITON D.P M n.p. 4 2875 F. Lagadeuc7 GOODMAN TURGOT D.4 H b. 4 2875 D. Thomain8 GOLDEN VISAIS M b. 4 2875 F. Ouvrie9 GILMOUR M b. 4 2875 E. Raffin10 GALAXIE DU GOUTIER D.P F al. 4 2875 Cl. Duvaldestin11 GO ALONG D.4 F b. 4 2875 A. Barrier12 GREYLINE F b. 4 2875 J. Dubois13 GONDOLE JENILOU D.P F b. 4 2875 L. Baudron14 GET HAPPY M b. 4 2875 M. Abrivard15 GLORISSIMA D.P F b. 4 2875 E. Dubois16 GAMIN DES PERDRIX D.P M al.cr. 4 2875 A. Abrivard

1) PRIX DES GRANDES CARRIÈRES (SUPER 4)7 partants - Tous partants1. 6 Lagoken (R. Mangione) G. 7,70 ; P. 2,702. 1 Miss Louna (T. Trullier) P. 2,403. 5 Feelie Win (Mlle C. Miette) 4. 3 Longny (H. Besnier) Couplé Ordre : 22,70 - Trio Ordre : 6-1-5 34,50Super 4 : 108,10

2) PRIX DE THIBERVILLE (SUPER 4)8 partants - Tous partants1. 1 Valia (G. Mossé) G. 4,60 ; P. 1,702. 8 Wonderful Tonight (T. Piccone) P. 3,103. 4 Padovana (P.-C. Boudot) P. 1,804. 2 Queen Daenerys (M. Guyon) Couplé : 1-8 G. 34,50 - P. 8,70 - 1-4 P. 4,40 - 8-4 P. 7,40Trio : 1-8-4 46,00 - Super 4 : 1 118,90

3) PRIX DE LA VÉNUS DE PARIS - GRAND PRIX DESFEMMES JOCKEYS (QUINTÉ +)16 partants - Non-partant : 81. 13 Plantlove (Mlle A. Nicco) G. 9,90 ; P. 3,302. 10 Kaiserperle (Mlle L. Bails) P. 2,703. 14 Astrologia (Mlle C. Pacaut) P. 3,004. 6 Rousse (Mlle L. Grosso) 5. 3 La Poutanesca (Mlle A. Duporte) Couplé : 13-10 G. 21,40 - P. 9,50 - 13-14 P. 11,40 - 10-14 P. 9,50 Multi en 4 : 1 008,00 - Multi en 5 : 201,60 - Multi en 6 : 67,20 Multi en 7 : 28,80 - 2 sur 4 : 20,40

4) PRIX DES JEUXDIS (MINI MULTI)10 partants - Tous partants1. 10 Anfrati (Mlle A. Duporte) G. 14,40 ; P. 2,802. 8 Elwind (A. Pouchin) P. 3,203. 7 Mowaeva (Mlle C. Miette) P. 1,904. 9 Lady of Devil (G. Benoist) Couplé : 10-8 G. 61,30 - P. 14,60 - 10-7 P. 8,50 - 8-7 P. 8,60Trio : 10-8-7 75,80 - Mini Multi en 4 : 787,50 - Mini Multi en 5: 157,50 - Mini Multi en 6 : 52,50 - 2 sur 4 : 30,00

5) PRIX DE L'ENTREPÔT (SUPER 4)9 partants - Tous partants1. 9 Diva du Dancing (Mlle M. Velon) G. 6,50 ; P. 2,102. 7 Crush On Me (F. Veron) P. 2,703. 6 Karioitahi (A. Pouchin) P. 3,204. 5 Forever Coco (Mlle A. Duporte)

Couplé : 9-7 G. 25,20 - P. 8,70 - 9-6 P. 10,10 - 7-6 P. 11,60Trio : 9-7-6 68,30 - Super 4 : 1 468,40

6) PRIX D'IVRY (MULTI)18 partants - Tous partants1. 11 Treguiss (C. Grosbois) G. 4,70 ; P. 2,202. 17 The Donald (Mlle S. Vogt) P. 5,703. 18 Quiz Evolution (R. Mangione) P. 24,004. 1 Rochenka (F. Veron) Couplé : 11-17 G. 46,90 - P. 29,20 - 11-18 P. 87,40 - 17-18 P.150,00 - Trio : 11-17-18 1 947,70 - Multi en 4 : 14 521,50Multi en 5 : Néant - Multi en 6 : 968,10 - Multi en 7 : 414,902 sur 4 : 56,70

7) PRIX DE CHARENTON (MULTI)18 partants - Tous partants1. 1 Saphirside (Mlle M. Peslier) G. 9,30 ; P. 3,802. 3 Geesala Brave (Mlle L. Bails) P. 5,50

3. 17 True Reflection (J. Claudic) P. 7,904. 13 Mathix (H. Mouesan) Couplé : 1-3 G. 56,10 - P. 24,10 - 1-17 P. 37,10 - 3-17 P. 40,10Trio : 1-3-17 1 094,00 - Multi en 4 : 4 945,50 - Multi en 5 :989,10 - Multi en 6 : 329,70 - Multi en 7 : 141,302 sur 4 : 50,40

8) PRIX DE LA ROUTE DES DAMES (MULTI)18 partants - Tous partants1. 3 Toronada (Mlle S. Vogt) G. 7,60 ; P. 3,002. 17 Zawadi (Mlle L. Grosso) P. 5,603. 10 Marobob (Mlle A. Merou) P. 14,204. 13 Heywa (Mlle L. Foulard) Couplé : 3-17 G. 64,10 - P. 31,60 - 3-10 P. 56,30 - 17-10 P. 62,80Trio : 3-17-10 859,00 - Multi en 4 : Néant - Multi en 5 : Néant Multi en 6 : 2 946,30 - Multi en 7 : 1 262,702 sur 4 : 117,60

Page 22: -FT QFUJUFT NBJOT /PT QBHFT EÉUFOUF DVMUVSF …€¦ · risation. En fait, certaines personnes voient la gratuité comme un problème. Selon moi, la question est davantage de voir

MOTS FLÉCHÉS MAÎTRE MOT MOTS CROISÉS

MOTS COUPÉS

MOT MYSTÈRE

HorizontalementI. Point important. II. Versions originales. III. Fait le grand ménage.S’ouvrit en éclatant. IV. Prématuré. Habitant. V. Été joyeux. D’une certaineétendue. Note. VI. Blonde de pub. Vallées noyées. VII. Graines enfouies.VIII. Doit toujours être accessible. Elleprend en charges nos maux. IX. Coif-fures d’apparat. Blase. X. Prophète hébreu. Ligne d’intersection.

VerticalementA. Est grise comme du charbon. B. Matière calcaire. Argile. C. Fichu. Ouvrage de réflexion. D. Manifestationde facultés. Passe à Chartres. E. Personnel réfléchi. Bien organisée.F. Sert de contenant. Dément. Société.G. Violentes perturbations. H. Questionde test. Querelle de ménage. I. Es-sayiste français. Quote-part. J. Agencespatiale. Accepte consciemment.

SUDOKU

Moyen

Supérieur

QUIZ MOT CARRÉ

SOLUTIONS DU JOUR

HORIZONTALEMENTI. ACCESSOIRE. II. NOUVEAUTÉS. III. TRIE. CREVA. IV. HÂTIF.ÂME. V. RI. LONG. LA. VI. ALE. RIAS. VII. SEMENCES. VIII. ISSUE. SÉCU. IX. TIARES. NOM. X. ÉLIE. ARÊTE.

VERTICALEMENTA. ANTHRACITE. B. CORAIL. SIL. C. CUIT. ESSAI. D. ÉVEIL.EURE. E. SE. FORMÉE. F. SAC. NIE. SA. G. OURAGANS. H. ITEM. SCÈNE. I. REVEL. ÉCOT. J. ESA. ASSUME.

CEPPCUPORQUEROLLESROUTIEREMU

IDEENETTOIEISRAELOPEL

PATRELAPATLIERRESTTC

DESOUTAREEMESTERNED

HEPATITESPENASALEELAN

STRATESSAUT

A B C D E F G H I J

I

II

III

IV

V

VI

VII

VIII

IX

X

Découvrez un mot de 5 lettres àl’aide des mots de la grille. Le chif-fre placé à côté des mots indiquele nombre de lettres qui occupentla même place dans le maître motà trouver.

E N N U IE C R I TE F F E TL I M O NE Q U I NS Q U A TR E F U S

2221301

ENNUIECRITEFFETLIMONEQUINSQUATREFUS

2221301

ENFIN

Rayez dans la grille les mots de la liste pour dé-couvrir le MOT MYSTÈRE dont voici la définition : « C'EST UN CHEVAL OU UN CHATON »Le mot à trouver est : ...............

ACIDEACUPUNC-TUREANANASAPNÉEBISCUITBLANDICEBOURSECADETTECAOUT-CHOUCCAROTTE

CHÈVRECHOUCASCONTRATCÔTELETTECOURGETTECRESSONÉBÈNEESPACEEXCÈSFLAGELLA-TIONGÉANT

GRAISSEKLEENEXMARTEAUMOUCHEMYRTILLEPIAFPLASTIQUESÉANCETAÏGATARTRETRAITEMENTYAOURT

M U K L E E N E X S E C X EF A S A C U O H C T U O A CL E L L I T R Y M O U C H EA T E P L A S T I Q U E R OG R N N C O T E L E T T E EE A C U P U N C T U R E E DL M C T Y A E S P A C E T IL E R I A G M A T G C S T CA C E U O R E N R I A R E AT N S C U P T A D A R U G DI A S S R T I N N T O O R EO E O I T S A A O T T B U TN S N B S L R U F C T R O TE E N E B E T E R V E H C E

MOT MYSTÈRE : MONTURE

1 – Qu’est-ce qu’un triskell ?A. Un navire grec à trois rangées de ramesB. Une sorte de moustique non dangereuxC. Un motif décoratif celtiqueD. Un gâteau breton

2 – Qui était César Cui ?A. Un sculpteur françaisB. Un musicien russeC. Un écrivain belgeD. Un peintre espagnol

3 – De quand date la fondation de Rome ?A. Environ 1 150 av. J.-C.B. Environ 950 av. J.-C.C. Environ 750 av. J.-C.D. Environ 550 av. J.-C.

4 – Que sont les cirrus ?A. Des nuages d’altitude allongésB. Des nuages gris et basC. Des nuages blancs concentrésD. Un voile blanchâtre de haute altitude qui recouvre totalement ou partiellement le ciel

1. Réponse - C :Un triskell est un motif décoratif celtique à trois branches courbes reliées au centre de la figure. 2. Réponse - B :César Cui (1835-1918) était un compositeur russe. Il fit partie du « Groupe des Cinq ». 3. Réponse - C :Romefut fondée en 753 av. J.-C. par Romulus qui devint le premier roi de la ville et fut ensuite déifié sous le nom de Quirinus. 4. Réponse - A :Les cirrus sont des nuages d’altitude très allongés, en filaments isolés, qui annoncent l’arrivée d’une dépression.

Les quatorze mots de la liste ci-dessous ont été découpés entrois morceaux et sont cachésdans cette grille. Une fois tous lesmots trouvés, il vous restera unquinzième mot à découvrir.

4 93 1 7

7 8 9 1 45 3 7 2 9

12 7 4 8 1 35 3 9 8 7 68 6 5

6 3 2

3 5 9 7 88 7 21 8 3 9

7 2 4 1 8

5 8 1 9 49 2 6 4

2 9 65 4 7 2

Complétez ces deux grilles avec des chif-fres de 1 à 9 de sorte qu’ils n’apparaissentqu’une seule fois dans chaque ligne, colonne et carré.

UNIVERSAL JEUX 04 91 27 01 16

312874965456391782789526134531762498864913257927458613245139876178645329693287541

MOTS COUPÉS: PLAISANCE

moyen

423569781859174632617823495732945168946718523581632974198256347274391856365487219

supérieur

Chaque ligne, colonne et carré doitcontenir les 9 lettres de la grille.

- Recherchez d’abord les 9 lettres.- Cherchez logiquement l’emplace-ment de chaque lettre.Vous verrez apparaître dans lescases grisées un MOT MYSTÈRE.

Ce mot correspond à la définitionsuivante :

CÔTEAUX

E G B L O

O S N G

N V E I

L G

V N B S

B E O V

I V N O G

EGNIBVSLO

BSVOGLNIE

LOISENVGB

NLOVSEGBI

SEBLIGONV

VIGNOBLES

GBSELOIVN

ONEGVIBSL

IVLBNSEOG

1 CORDELIER

2 DÉMAILLER

3 DESSERVIR

4 DICTATEUR

5 DIFFUSEUR

6 EMBOBINER

7 ESQUISSER

8 FRICASSÉE

9 GRATIFIER

10 INSPECTER

11 LABOUREUR

12 MORALISER

13 PLANIFIER

14 RUISSELET

Le mot découvert est : .....................

NCE MOR EUR FUS SER

OUR DES SSE SER DIC

EUR PLA IER IER FRI

TAT EUR NIF LAB PLA

DIF TIF ESQ RUI AIL

VIR DEL UIS LET TER

PEC SER INS OBI EMB

SÉE COR CAS LER IER

ALI ISA GRA DÉM NER

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DIVERTISSEMENT

08.30 Téléshopping 09.20 Petits secrets en famille 10.25 Demain nous appar-tient 11.00 Les feux de l’amour 12.00 Les douze coups de midi 13.55 À bout de souffle, téléfilm 15.35 Le lycée de la honte, téléfilm 17.15 Familles nombreuses : la vie en XXL 18.10 Les plus belles vacances, jeu 19.10 Demain nous appar-tient 20.00 Le journal 20.35 My Million, jeu 20.55 Nos chers voisins, série

08.20 Mais vous êtes fous, film 09.50 Le cercle 10.40 Blanche comme neige, film 12.35 La Gaule d’Antoine, doc. 13.05 Boîte noire 13.20 Cardinal, série 14.45 Ren-contres de cinéma 15.00 Searching - Portée disparue, film 16.40 Duelles, film 18.15 L’hebd’Hollywood 18.25 The Tonight Show Starring Jimmy Fallon 19.15 L’info du vrai 19.40 La Gaule d’Antoine 20.20 Groland le zapoï

FILM

09.30 Amour, gloire et beauté 09.55 Les cahiers de vacances Lumni 10.45 Tout le monde a son mot à dire 11.20 Les Z’Amours 11.55 Tout le monde veut prendre sa place 13.00 Journal de 13 h 00 13.50 Ça commence aujourd’hui 15.25 Ça com-mence aujourd’hui, des nou-velles de nos invités 16.20 Affaire conclue 18.05 Tout le monde a son mot à dire 18.40 N’oubliez pas les pa-roles 20.00 Journal 20 h 00

SPORT TÉLÉFILM

08.30 Vacances Okoo 10.35 Les carnets de Julie 11.35 L’info Outre-mer, mag. 11.50 Le 12/13 13.00 Météo à la carte, mag. 13.45 Rex, série 16.10 Des chif-fres et des lettres, jeu 16.40 Personne n’y avait pensé !, jeu 17.20 Slam, jeu 18.00 Questions pour un cham-pion, jeu 18.50 Le 19/20 20.00 Vu, mag. 20.20 Plus belle la vie 20.45 Jouons à la maison, jeu 20.55 Météo, Météo des plages

TÉLÉFILM SÉRIE

07.05 Reign : le destin d’une reine, série 08.45 M6 Boutique 10.00 Once Upon a Time, série 12.45 Le 12.45 13.30 Météo 13.35 Scènes de ménages, série 13.50 Le secret de la mariée, téléfilm 15.45 Incroyables transfor-mations 16.35 Les reines du shopping, jeu 17.35 Les reines du shopping, jeu 18.40 Chasseurs d’appart’ : qui peut battre Stéphane Plaza ?, jeu 19.45 Le 19.45 20.25 En famille, série

09.50 Vues d’en haut, doc. 10.25 La maison France 5 12.00 Les lémuriens de Ma-dagascar, doc. 13.10 L’aven-turier du goût en Afrique, doc. 13.40 Les docs du ma-gazine de la santé 14.40 Les 100 lieux qu’il faut voir, doc. 15.45 Quand la nostalgie fait recette, doc. 16.40 Des trains pas comme les autres, doc. 17.45 C dans l’air 19.00 Silence, ça pousse ! 20.00 La grande barrière de corail, doc.

DOCUMENTAIRE

09.25 1980, accident nu-cléaire en Arkansas, doc. 10.55 Embargo sur l’Iran, doc. 12.15 Les loups, nos voisins, doc. 12.50 ARTE Journal 13.00 Un billet pour le Balkan express, doc. 13.35 Paris brûle-t-il ?, film 16.15 Invitation au voyage, mag. 17.15 Jardins d’ici et d’ailleurs, doc. 18.15 Des in-sectes au menu, doc. 19.00 Étrange Tasmanie, doc. 19.45 ARTE Journal 20.05 28 minutes, mag.

21.05 Les Touristes « Les Touristes, mission pompiers » Présenté par Arthur Immersion chez les sapeurs-pompiers des Bouches- du-Rhône pour nos six « touristes » : Camille Lel-louche, Camille Cerf, Artus, Booder, Jarry et Cartman !

20.55 Football : PSG / ASSE « Coupe de France. Finale » L’AS Saint-Etienne tom-beur du Stade Rennais (te-nant du titre) lors des demi-finales (2-1), tentera de réitérer l’exploit afin de remporter ce trophée qui lui échappe depuis 1977.

21.05 Meurtres à Sarlat Téléfilm Avec Cécile Bois, Thierry Godard Histoire : Sarlat. Cette commune du sud-ouest de la France fut le théâtre de violentes révoltes pay-sannes au XVIIe siècle, les Jacqueries de Croquants.

23.10 Les Touristes « Les Touristes, mission pompiers - La suite » Divertissement présenté par Arthur 00.40 Euro Millions, jeu 00.45 Programmes de nuit

23.30 Teddy Documentaire 00.25 Cherif, série 01.15 Cherif, série 02.05 Cherif, série 03.00 Cherif, série 03.55 Affaire conclue, mag.

22.40 C dans l’air Magazine 23.45 Stonewall - Aux ori-gines de la Gay Pride, doc. 00.40 Vu sur terre, doc. 01.30 La France face aux repentis du Djihad, doc.

22.40 Meurtres à Rocamadour Téléfilm de Lionel Bailliu Avec Clémentine Célarié, Grégori Derangère 00.20 Libre court 01.20 M. Eddy et sa tribu, doc.

22.25 Simon & Garfunkel « L’autre rêve américain » Documentaire The Concert in Central Park 00.50 Zapped, doc. 01.55 Tracks, mag.

22.45 Hawaii 5-0 « Ke Ku ‘Ana » Série avec Alex O'Loughlin Pe’epe’e Kanaka Makani ‘Olu a Holo Malie O ka Pili’Ohana ka ‘Oi A’ohe kahi e pe’e ai

21.05 Les tubes de l’été Divertissement De La Lambada à La Socca Dance, de La Macarena à Saga Africa… tous ces tubes ont en commun d’avoir trusté les premières places des Charts des semaines et des mois durant. 22.35 Les 40 ans de Star-mania, div. 01.55 Fort Boyard

SÉRIE

08.45 Les mystères de l’amour, série 09.50 Drop Dead Diva, série 12.30 Drop Dead Diva, série 13.30 Miss Marple, série 17.20 Miss Marple, série 19.25 Quotidien, première partie, mag. 20.10 Quoti-dien, mag. 21.00 Petits plats en équilibre été

21.05 Castle « Dans l’antre du jeu » Série avec Nathan Fillion, Stana Katic Histoire : L’équipe enquête sur le meurtre du proprié-taire d’un casino à Atlantic City et des pistes émergent sur place et à New York. Course contre la mort 22.45 Castle, série 23.35 Castle, série

TÉLÉ-RÉALITÉ

08.45 Les infos 08.50 Une nounou d’enfer, série 12.05 Une nounou d’enfer, série 13.35 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, série 15.15 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, série 16.05 Friends, série 18.05 Mamans & célèbres 20.05 Mamans & célèbres

21.05 Familles nombreuses : la vie en XXL Pendant plusieurs mois et aux quatre coins de la France, partez à la décou-verte de la vie quotidienne hors du commun de sept familles nombreuses. 22.45 Familles nombreuses : la vie en XXL

SÉRIE

09.35 FBI : Portés disparus, série 10.30 Crimes & faits divers - La quotidienne, mag. 12.15 Si près de chez vous 15.35 Les Anges : Asian Dream 17.30 Les Anges : Asian Dream 18.25 Les Anges : Asian Dream 19.20 Doctor Who, série 20.10 Doctor Who, série

21.05 Profilage « De l’autre côté du miroir » Série Avec Odile Vuillemin Histoire : Le corps d’une femme, étranglée à mains nues, est découvert un matin dans un parc. La vic-time portait une perruque et des lentilles de couleur. 22.05 Profilage, série 23.10 Profilage, série

MAGAZINE

06.00 Gym direct, mag. 07.00 Télé achat 08.45 Le mystère d’Oak Island, doc. 11.45 Le mystère d’Oak Island, doc. 13.05 Maigret, série 15.00 Maigret, série 17.00 Maigret, série 18.45 Kiffons l’été : Darka 19.35 Kiffons l’été : 1re partie 20.15 Kiffons l’été !

21.15 Enquête sous haute tension : Spéciale urgences « Épisode 2 - Alcool, féria et blessés graves : 100 jours avec le SAMU de Nîmes » Magazine 23.00 Enquête sous haute tension : Spéciale urgences, mag.

DOCUMENTAIRE

21.10 Douane sous haute surveillance Cette série documentaire suit le travail des douaniers et permet de découvrir l’en-vers du décor de la lutte contre l’immigration clan-destine, mais aussi les tra-fics en tout genre. 22.30 Douane sous haute surveillance (suite), doc.

21.05 Reef Break « Un trésor au paradis » Série Histoire : Cat agit pour son propre compte lorsqu’elle apprend qu’un général eu-ropéen détient une collec-tion d’objets d’art et de bijoux volés... Le creux de la vague

20.50 Les routes de l’impossible « Bolivie : les yungas, au-delà des nuages » Dans la Cordillère des Andes bolivienne, deux mères “courage” parcou-rent les routes les plus dangereuses du pays. Birmanie, trompe-la-peur

20.55 Mon oncle Archimède Téléfilm de George Agathonikiadis Avec Ondrej Vetchy, Miroslav Donutil Histoire : Quand la guerre civile a éclaté en Grèce, Archimède s’est battu aux côtés des communistes.

21.00 Papillon Film de Michael Noer Avec Charlie Hunnam, Rami Malek Histoire : Paris 1930, Henri Charrière, dit «Papillon», est condamné à la prison à vie pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Il est en-voyé au bagne de Cayenne.

10.35 Masha et Michka 11.00 Les cahiers de va-cances Lumni 11.55 Ana-tole Latuile 13.10 Il était une fois... la vie 13.35 Le jeu Lumni, jeu 14.00 Oscar et Malika 14.45 Angelo la dé-brouille 15.25 Team Dronix 16.30 Les Minikeums 20.05 Une saison au zoo 10

DIVERTISSEMENT

06.00 Top clip 12.35 Top clip 16.55 Top 90 17.55 Pawn stars : Royaume-Uni 18.20 Pawn Stars : les rois des enchères 19.40 Top streaming - Le classement officiel des titres les plus écoutés sur les plateformes de streaming. 20.10 Top al-bums 20.45 Pawn Stars, doc.

23.00 Rambo : last blood Film de Adrian Grunberg Avec Sylvester Stallone, Paz Vega 00.40 Domino, film 02.05 Surprises 02.40 Canal Sports Club, mag.

Demain soir 21.05 Film : Tom et Jerry : mission espionnage

21.00 Dinotopia « L’élixir de jouvence » Série Avec Michael Brandon 22.35 Dinotopia, série 00.10 Corneil et Bernie

13.15 Les Thunderman, série 13.45 Enchantimals : les contes du paradis sau-vage 13.55 Polly Pocket 14.45 Alvinnn !!! et les Chipmunks 15.40 Totally Spies ! 16.30 Gulligood 19.00 Opération Casse-noi-sette 2, film 20.45 Euro-pean Fraich’fantasy

Demain soir 21.00 Jeunesse : Dra-gons : par-delà les rives

20.55 Frankie Drake Mysteries « Épisodes 1, 2 & 3 » Série Avec Lauren Lee Smith 23.00 Shades of Blue, série

15.25 Bleu Océan, mag. 15.55 Brooklyn Nine-Nine, série 17.00 Love Divina, série 18.30 Infô soir 18.45 Page 19, mag. 19.00 Un si grand soleil, série 19.25 Voyages et délices by chef Kelly, mag. 19.50 Passion Outremer, doc. 20.50 Villa Karayib, série

Demain soir 20.55 Série : Dancing On The Edge

21.00 3 filles en cavale Téléfilm de Didier Albert Avec Mimie Mathy, Michèle Bernier 22.50 À 10 minutes de la plage, téléfilm

08.50 Au nom de la vérité, série 12.05 Au nom de la vérité, série 13.50 Castle 15.35 Castle 17.15 Castle, série 18.05 Londres Police Judiciaire, série 19.00 Lon-dres Police Judiciaire, série 20.00 Londres Police Judi-ciaire, série 20.55 Petits plats en équilibre été

Demain soir 21.00 Série : Clem

21.05 Les Simpson « Éolienne et cétacé / L’œil sur la ville / Élémentaire, mon cher Simpson / Baiser volé » - Jeunesse 22.45 Les Simpson

07.15 Les Mamans, mag. 09.20 Les Mamans, mag. 11.30 Les Mamans, mag. 13.00 Charmed, série 13.55 Charmed, série 14.45 Char-med, série 15.40 Charmed, série 16.30 Charmed, série 17.25 Charmed, série 18.15 Charmed, série 19.10 Char-med, série 20.00 Charmed

Demain soir 21.05 Div. : Storage Wars France : enchères surprises

21.05 Enquête prioritaire « Les détectives privés » Magazine 22.45 Enquête prioritaire, mag.

09.00 Les grandes gueules 12.10 Hors de contrôle, doc. 14.25 Le crime parfait n’existe pas, doc. 16.15 Por-traits de criminels, doc. 18.10 New York, police ju-diciaire, série 19.10 New York, police judiciaire, série 20.10 New York, police ju-diciaire, série

Demain soir 21.05 Documentaire : Sauveteurs en mer

21.10 Récit d’une catas-trophe : Pompéi Documentaire de Nicolas Breneol, Julien Adam 22.10 La face cachée de Pompéi, doc.

08.35 Les maîtres de la construction, doc. 10.15 Chercheurs d’opale 12.55 Chercheurs d’opale 13.50 Enchères à tout prix spécial British 15.20 Enchères à tout prix spécial British, doc. 16.25 Pêche XXL, doc. 20.10 Hippisme : Direct Quinté 20.20 Pêche XXL

Demain soir 21.05 Documentaire : Instinct primaire XXL

21.05 Héritages « Spéciale Raymond Devos » Magazine 22.50 Héritages, mag.

08.55 Le jour où tout a bas-culé 12.20 Le jour où tout a basculé, mag. 14.45 Snap-ped : les couples tueurs, mag. 16.35 Crimes & faits divers - La quotidienne, mag. 18.20 Scott & Bailey : affaires criminelles, série 20.15 Scott & Bailey : af-faires criminelles, série

Demain soir 21.05 Série : Indian Summers

Demain soir 21.05 Série : Columbo

Demain soir 21.05 Magazine : Chroniques criminelles

Demain soir 21.05 Série : Superstore

Demain soir 21.05 Série : Les munici-paux - Le prime

MAGAZINE

08.00 W9 Hits 10.30 W9 Hits Gold 11.35 W9 Hits 12.40 Ma famille d’abord, série 14.05 Ma famille d’abord, série 15.20 Ma fa-mille d’abord, série 16.40 Ma famille d’abord, série 17.55 Ma famille d’abord, série 18.40 Un dîner presque parfait, jeu

21.05 Enquête d’action « Riviera belge : un été mouvementé » Magazine présenté par Marie-Ange Casalta Enquête d’Action prend ce soir la direction du Nord et pose ses caméras sur le littoral Belge. 23.00 Enquête d’action, mag. 00.00 Enquête d’ac-tion, mag.

Demain soir 21.05 Doc. : Les 20 chansons préférées des Français

Demain soir 21.00 Doc. : S.O.S. la maison est hantée !

Demain soir 21.05 Divertissement : Fort Boyard

Demain soir 21.05 Série : Commissaire Magellan

Demain soir 21.00 Football : Match amical

Demain soir 20.50 Doc. : Trois villes à la conquête du monde

Demain soir 20.50 Magazine : Échappées belles

Demain soir 21.05 Film : Nos jours heureux

Demain soir 21.05 Divertissement : 100 plus grands

TÉLÉPROGRAM

MES : 04 91 27 01 16

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