La participation scientifique a-t-elle BtB importante ? Les industriels Btaient-ils pr&ents ?

tion industrielle : 66 exposants 6 caractke industriel et commercial - en grande majoritk du domaine de la phy-

Les organisateurs - partiellement aides en cela par le sique mkdicale - reprksentaient, avec leurs invites, ministgre de l’gducation nationale, de la recherche et de la quelque 600 personnes supplkmentaires ! technologie, et par Air France - ont effectuk un effort C’est done pour les organisateurs une certaine forme de important en faveur des rkpubliques d/Europe de 1’Est et des pays en kmergence, ainsi que pour les htudiants. Ce sont au total environ 2 500 participants, de 66 nationalit& diffkrentes, qui se sont retrouvks du 14 au 19 septembre dernier au Pkais des congrks de Nice-Acropolis-pour ce congrils. 11 faut kgalement prendre en compte la participa-

succPs, et nous vous donnons rendez-vous pour Chicago’2000 !

PROPOS RECUEILLIS PAR D PINAUDEAU

lngknieur biom&dical, Hospices civils de Lyon

Fks DE BI~T~URI ELECTRIOUE

la suite d’interf&ences constatt!es sur des respirateurs lors d’inter- ventions chirurgicales avec utili-

sation de bistouris Clectriques, le contr6le des fils de bistouris a de’montre’ que leur remplacement au-deld d’une re’sistance donnie supprime to&es les interfe’rences.

Christophe ROBERT Responsable biom&dical, polyclinique d’Angers

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Analyse de la situation

En 1995, les anesthbsistes de la clinique se plaignent de perturbations au niveau de I’affichage de la spirometrie des respira- teurs lorsque le chirurgien utilise le bistouri Blectrique. Les investigations ont cornmen& par la recherche de perturbations au niveau des courants secteur des differentes machines

en cause. Ensuite, nous avons pro&d@ ti 1’6loignement du bistouri et du respirateur, aucune am6lioration n’est intervenue (pro- bl6me intermittent). Enfin la derni&e solution a 13~2 de contrBler les fils de bistouris Blectriques B I’aide d’un ohmm8tre. Le resultat de ce contr6le a montr6 la cou- pure de certains fils ou une rkistance supbrieure au kilo-ohm. Tous les fils avec une resistance superieure au kilo-ohm sont supprim&. Les perturbations cessent. Au bout de six mois, nous effectuons un nou- veau contrBle en raison de nouvelles per- turbations : 14 % des fils sont supprim&.

Constat Les constructeurs de fils de bistouris Blec- triques indiquent le nombre de st6rilisations maximales pour leurs fils, mais il n’y a pas de num&o de s&ie sur ces csbles, ni de moyens de verifier le nombre de stkilisa- tions effect&es.

annee 1997(l) nbres 61 roptws 9 >kohms 3 >Mohms 0

Mise en place d’un protocole Nous instaurons un contrBle tous les six

mois de tous les fils de bistouris, un num&o inscrit au feutre indGbile permet de valider ce contrBle et I’emploi du fil pen- dant six mois. Tout &ble neuf subit lui-m&me un contrBle et un marquage avant mise en service.

Conclusion

Un systhme de contrBle des cibles de bis- touris Blectriques peut 6tre mis en place par le bloc opbratoire et ses utilisateurs. Les constructeurs proposent des testeurs

de fils qu’ils pourraient modifier en incluant la resistance admissible pour Bviter les per- turbations. Ces contrBles feraient baisser d’une faGon significative les perturbations Blectroma- gnktiques dans les blocs opkatoires.

1 anntk 1997(2) nbrss 58 rtlpbm? I > kobms 5 z Mohms 90%

Contrcle blstouns 1997

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