Fessée Inoubliable
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Fessée Inoubliable
Je n’ai reçu qu’une fessée dans ma vie, il y a plus de dix ans de cela mais je m’en souviens
comme si c’était hier.
C’était l’été de mes quatorze ans et j’étais invitée chez une amie dont les parents
possédaient une très belle propriété dans la Sarthe. C’était un superbe manoir, presque un
château au milieu d’un parc immense. Il y avait un tennis, une piscine, des chevaux… J’étais
folle de joie, persuadée que j’allais passer un séjour inoubliable. Et de fait il l’a été très au-
delà de ce que j’imaginais.
En plus de mon amie Nathalie, il y avait ses frères et sœurs et ses cousins, en tout une
joyeuse bande d’une quinzaine d’enfants, de cinq à dix-huit ans.
J’avais été frappée de voir à quel point le père de mon amie se faisait obéir vite et bien
par ses enfants et ce sans jamais avoir à élever la voix. Un jour ou j’en faisais la remarque à
Nathalie elle m’a dit que cela valait mieux car sinon ils étaient fessés. Quand je lui ai
demandé si ça lui arrivais à elle aussi, elle a acquiescé avec une grimace puis a changé de
sujet de conversation.
Nathalie et moi faisions souvent de longues promenades dans les forêts et la campagne
environnantes. Un jour nous sommes passés à côté d’une maisonnette manifestement à
l’abandon dont la moitié du toit était effondré. Nous y sommes rentrées par une des
fenêtres brisées et après avoir exploré la maison totalement vide nous nous sommes
amusées à faire tomber les tuiles de la partie de toit encore intact. Aujourd’hui encore je ne
comprends toujours pas quelle mouche nous a piqué toutes les deux de nous livrer ainsi à ce
vandalisme digne de voyous de dix ans.
Nous avions complètement oublié l’incident quand nous vîmes le surlendemain deux
gendarmes sonner à la porte en tenant à la main plusieurs curieux paquets. Ces objets je l’ai
su après étaient les moulages en plâtre des traces de nos chaussures. Le père de Nathalie les
reçut une dizaine de minutes, puis ils repartirent. Peu de temps après il nous appela et nous
demanda sans détours si c’était nous qui avions saccagés une centaine de tuiles dans une
certaine maison inoccupée. Comprenant brusquement la raison de la venue des gendarmes,
Nathalie devint toute pâle mais avouât la vérité en plaidant que nous n’y avions pas vu de
mal étant donné que la maison était totalement à l’abandon et à moitié démolie. Son père
lui rétorquât sèchement que ce n’était pas une raison pour saccager le bien d’autrui. Puis il
lui dit d’un ton sans réplique de filer dans sa chambre, qu’il était inutile qu’elle se présente à
table, mais qu’on l’attendrait dans le grand salon juste après le déjeuner, et elle savait
pourquoi, n’est-ce pas ? Nathalie, blanche comme un drap acquiesça sans mot dire tandis
que se tournant vers moi, son père me dit qu’il ne pouvait pas me punir de la même façon
que sa fille mais que j’aille faire mes valises tout de suite car il allait me renvoyer chez moi
par le train après avoir prévenu mes parents.
Prise d’une brutale impulsion je luis répondis d’une voix mal assurée que j’étais autant
responsable que Nathalie et que je devais être punie de la même manière. Qu’est-ce qui m’a
pris de dire une chose pareille ? Je ne sais pas au juste. J’ai sans doute voulu éviter de me
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faire chasser honteusement de ce qui me paraissait être le Paradis sur terre. Ça a marché,
d’ailleurs car je suis restée. De plus j’ai toujours eu un profond sentiment d’équité et je
tenais à rester solidaire de mon amie. Et puis au fond je n’y croyais pas vraiment : nous
étions des adolescentes de quatorze ans, presque des femmes, on ne pouvait plus nous
fesser comme des gamines de dix ans… Son père a eu l’air surpris, puis il a eu un bref sourire
et m’a demandé d’un ton ironique si j’étais bien sure de savoir à quoi je m’engageais. J’avais
les jambes qui flageolaient un peu mais je l’ai regardé dans les yeux et j’ai dit oui.
Je dois dire que mon assurance a nettement faibli quand je me suis retrouvée avec
Nathalie dans notre chambre à attendre qu’on nous appelle pendant que toute la maison
allait déjeuner. Déjeuner qui ne m’a pas beaucoup manqué, d’ailleurs : j’avais l’estomac
tellement noué que je ne crois pas que j’aurai pu manger grand-chose. Nathalie ne m’a rien
dit mais je crois qu’elle m’a été reconnaissante de mon geste de solidarité. Geste que je
regrettais de plus en plus au fur et à mesure que le temps passait. Nous restions silencieuses
toutes les deux, j’aurais voulu demander à Nathalie comment les choses allaient se passer,
mais je n’arrivais pas à articuler un son. En plus de mes tripes nouées par l’angoisse, je
sentais monter de mon bas-ventre ces sensations diffuses qui marquaient l’éveil de ma
sexualité. Je sentais mon intimité ruisseler et mouiller ma culotte. Pas désagréable, mais un
peu incongru en un tel moment. Puis au bout d’une heure un brouhaha dans la maison nous
a appris que le déjeuner était fini : les plus jeunes partaient jouer dehors avec force cris,
tandis que les plus grands se dirigeaient vers le grand salon pour y prendre le café. Enfin
d’habitude c’était pour ça…
Puis il y a eu un bruit de pas dans le couloir et un des jeunes frères de Nathalie est venu
nous dire « qu’on » nous attendait dans le salon. Nathalie qui était assise sur son lit est
devenue encore plus pâle, s’est levée sans mot dire et a quitté la chambre. Comme une
automate, je l’ai suivie jusqu’au grand salon. Il y avait là outre les parents de Nathalie deux
de ses oncles et leurs épouses ainsi que les plus grands des enfants, en tout une dizaine de
personnes. Tous devaient savoir pourquoi nous étions là car les conversations s’arrêtèrent
net à notre entrée.
Le père de Nathalie saisit alors un petit tabouret placé devant le piano, le mis un peu
théâtralement au beau milieu de la pièce, s’y assit et fit signe à Nathalie d’approcher. Le
scénario devait être bien rodé, car il n’y eut pas un mot d’échangé. Très pâle et sans
regarder personne, Nathalie dégrafa sa courte jupe et la laissa glisser à terre puis après une
seconde d’hésitation elle saisit sa culotte et la baissa lentement dévoilant ses fesses aux
assistants qui n’en perdaient pas une miette. Ses longues jambes, ses fesses rebondies et sa
toison bouclée fascinaient toute l’assistance, moi y compris je l’avoue. Puis avec une
résignation de martyre elle avança d’un pas pour s’allonger sur les genoux de son père qui
attendit sadiquement quelques instants avant de commencer.
Puis les claques se sont abattues avec régularité sur les fesses offertes. Elles sonnaient
avec un bruit clair sur les fesses nues de mon amie qui tressautaient et rougissaient à vue
d’œil. J’étais absolument fascinée, je n’arrivais pas à détacher mes yeux du spectacle que
nous offrait, bien à contrecœur, mon amie. L’idée d’être humiliée en public m’horrifiait tout
en m’excitant de manière incompréhensible ; je me sentais mouiller comme une folle. J’étais
tellement captivée qu’en vérité j’étais presque impatiente d’être à sa place dans quelques
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minutes. Vers la fin le rythme et l’intensité de la fessée ont brusquement augmentés.
Nathalie qui était resté stoïque jusque-là n’a plus pu retenir des gémissements déchirants.
Elle n’a pas pu non plus retenir les mouvements spasmodiques de ses jambes qui se sont
mises à ruer, s’écarter, s’ouvrir sur ses cuisses rondes… et sur tout le reste de son intimité
ouverte comme une fleur pour la plus grande joie je suppose des spectateurs masculins.
Puis son père a enfin cessé alors que les fesses de mon amie étaient d’un rouge
impressionnant. Avec une douceur étonnante il l’a aidée à se relever et Nathalie est allée
d’elle-même et sans regarder personne vers le mur du fond de la pièce, abandonnant sa jupe
et sa culotte par terre. Là elle s’est mise à genoux face au mur, les mains sur la tête,
exposant ses fesses martyrisées. Un grand silence s’est fait et je réalisais brusquement que
tout le monde me regardait : c’était mon tour !
Quand le père de Nathalie m’a fait le même signe qu’à sa fille quelques minutes plus tôt,
j’ai cru que mes jambes allaient cesser de me porter. Puis comme je ne bougeais pas plus
qu’une statue, il a refait le même signe, d’une manière plus impérative. Comme dans un
rêve, je me suis avancée vers lui, exactement à la même place que Nathalie. Je suis restée
devant lui, un peu stupide, les bras ballants. Après quelques secondes il a eu un regard
significatif vers la ceinture de ma jupe d’été avec un mouvement impératif du menton. Mes
mains tremblaient tellement d’excitation que je mis près d’une minute à en défaire la boucle.
Quand ma jupe est tombée en corolle autour de mes chevilles je n’ai plus pu faire un geste
de plus tant j’étais paralysée par la honte. A quatorze ans j’étais là, debout en petite culotte
trempée, devant un aréopage d’inconnus qui attendaient d’en voir plus avec une lueur
d’impatience dans les yeux. Je sentais à quelque chose d’indéfinissable dans leur attitude
que le spectacle dont j’allais être la vedette les émoustillait encore d’avantage que celui
offert par Nathalie, car mes fesses à moi ils ne les avaient encore jamais vues, elles étaient
vierges, en quelque sorte…
Me voyant incapable de faire un geste le père de Nathalie me pris la main et me couchât
sur ses genoux, avec la même douceur surprenante que celle dont il avait fait preuve pour
relever sa fille. Juste au moment où je me disais avec déception qu’en tant qu’invitée il
m’épargnait le déculottage complet, je sentis avec ravissement une main décidée saisir
l’élastique de ma petite culotte et la faire glisser fermement le long de mes jambes jusqu’à
l’ôter complètement. De toute ma vie je n’avais connu une telle sensation de honte, et cela
m’excitait au plus haut. L’odeur forte de mon excitation montait de mon entrejambe et
j’étais sure que le père de Nathalie pouvait également la sentir.
Avant même la première gifle, j’éclatais en sanglots. Puis les claques sont arrivées enfin,
avec la même terrible régularité que pour Nathalie. Mon dieu ce que ça pouvait faire mal !
Une brûlure intense, totale, irradiante… Et une étrange jouissance en même temps
envahissait mon bas-ventre au gré du rythme des claques. Me souvenant du spectacle que
Nathalie avait offert malgré elle, je faisais semblant d’essayer de garder mes jambes serrées
et au fur et à mesure que la douleur s’accentuait je laissais mes jambes ruer et s’ouvrir pour
accentuer mon humiliation. Je leur offrais une vue imprenable sur ma jeune intimité. Je
dévoilais largement les secrets de ma petite fente qui vibrait sporadiquement au rythme
imposé par la main de mon fesseur. Je sentais honteusement ma jeune fleur totalement
ouverte et ruisselante sur mes cuisses. Ils ont bien dû se rincer l’œil ces salauds-là !
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Puis au bout d’un temps que je ne saurai évaluer cela s’arrêta alors que j’étais au bord de
l’orgasme. Après m’avoir aidé à me relever, mon bourreau me fit signe d’aller rejoindre sa
fille toujours à genoux face au mur. Je continuais à sangloter doucement, le bas-ventre agité
de convulsions. Comme une somnambule flottant sur les nuages de ma jouissance, j’ai
traversé ce salon, nue jusqu’à la taille, pour m’agenouiller à coté de Nathalie. J’étais
tellement excitée que ma cyprine s’écoulait lentement sur mes cuisses. Les conversations
ont repris dans le salon, mais pendant le quart d’heure qu’a duré notre mise au piquet fesses
nues et mains sur la tête, j’ai véritablement senti les regards gluants comme des limaces de
certains convives sur nos fesses exposées. Mon clitoris me faisait mal tellement il était tendu.
Je sentais mon bas-ventre vibrer d’excitation et me cambrais pour m’exhiber le plus possible.
Puis ce fut la dernière humiliation, sur l’ordre du père de Nathalie, quand nous nous sommes
relevées toutes les deux et que nous avons dû aller au milieu du salon pour récupérer nos
jupes et nos culottes et les remettre sous les yeux amusés de tous.
C’est un peu plus tard sous les draps que j’ai pu enfin assouvir ma tension en me
caressant jusqu’à l’extase. Je passais doucement l’index dans ma fente poisseuse.
Ressentant une excitation croissante je frottais de plus en plus vite. Mon bouton était
devenu tout dur et ma respiration devenait de plus en plus haletante. Je sentais mon pouls
qui battait de plus en plus fort. Ma tête s’agitait dans tous les sens. Je poussais des petits
gémissements de plaisirs. Quand, tout à coup, je sentis comme une énorme secousse qui me
traversa depuis la pointe des pieds jusqu’au sommet du crâne. Un plaisir énorme m’envahit.
Des gouttes sueur perlèrent sur mon front et je ressentis un violent tremblement dans tout
le corps. Après cela je me sentis soudain très détendue, comme portée par un petit nuage.
J’ai été surprise par la quantité de cyprine que j’ai déversée dans les draps. Je ne sais pas si
Nathalie a pris mes gémissements pour des sanglots ni si elle a accepté mon histoire de pipi
au lit.
Voilà le récit de ma fessée. La mémoire de cet événement reste mon scénario favori de
masturbation et m’amène des orgasmes fulgurants. Je n’ai malheureusement jamais connu
d’autre fessées, mais je me souviendrai de celle-là jusqu’à mon dernier jour.
Après cette aventure, non seulement je n’ai pas détesté le père de Nathalie, mais j’ai
même été amoureuse de lui, d’un amour platonique et secret comme les jeunes filles
peuvent en avoir à cet âge.
Caroline