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NOTRE SUPPLEMENT L'eau sous pression ehci. vous grâc à L'ÉLECTRO-POMPE 1RUM — L'électro-pompe domestique — BIRUM d'un encombrement réduit permet d'-voir partout l'eau sous pression : dans la maison, au jardin au garage ftc , etc. . IL FONCTIONNE , . SUR iOUSLESCOURANTs USUELS alternatifs ou co tmus. SUA TOUS LES COMPTEURS D'ECLAIRAGE: même les plus petits. SANS BRUITH, ANS ENTRETIEN ET =.ANS SURVEILLANCE. lies Etablissements LUTRA, qui onstruisent à la fois le moteur et la pompe livrent l'ÉLECTRO-POMPE 'BIRUM" avec GARANTIE D'UN AN. Adresser les demandes à _ _ .esté -n- îrTmim m Service Pompe, PARIS-IX, 19, R. de Londres «> JL> U JL Jt< A SI VOUS NE CRAIGNEZ PAS DE CONNAITRE LA VERITE... LAISSEZ-MOI VOUS LA DIRE Certains faits de votre existence passée ou future, la situation que vous aurez, d'autres renseignements confidentiels, vous seront révélés par l'astro logie, la science la plus ancienne. Vous connaîtrez votre avenir, vos amis, vos ennemis, le succès et le bonheur qui vous attendent dan.9 le mariage, les spé- culations, les héritages que vous réaliserez. Laissez-moi vo«e donner gratuitement ces rensei- gnement qui vous étonneront et qui modifieront com- plètement votre genre d« vie, vous apporteront le suc- càc, le bonheur et la prospérité, au lieu du désespoir et de l'insuccès qui vous menacent peut-être en ce moment L'interprétation astrologique de votre des- tinée vous sera donnée en un langage clair et simple, et ne comprendra pas moins de deux pages. Pour cela, envoyez seulement votre date de nais- sance, avec votre nom et votre adresse écrits distinc- tement de votre propre main et il vous sera répondu immédiatement. Si vouf le roulez, vous pouvez joindre 2 fr. en timbres pour les frais de correspondance (Ne pas mettre de pièces de monnaie dans les lettres.) Profkez de cette offre qui ne vous aéra peut-être pas renouvelée. S'adresser : ROXROY, Dépt 2440 A, Emmastraat, 42, LA HAYE (Hollande). Affranchir le* lettres à 1 fr. 50. CONCOURS •— Ce Superbe COFFRET est à vousl Pour faire rapidement I connaître noire marque, nous distribuerons gratis et i franco, sous forme de Concours. 5OOO de ces Jolis ] COFFRETS contenant de beaux COUVERTS a r g e n t é s . Ces cadeaux seront remis parmi les Lecteurs qui, en rem- plaçant les traits pardes lettres,indiqueront le titredune fable I L,- L,-t>-ur--r et s-s E-f-nt-^ Rien d payer pour participer d notre Concours. Répondez W enjoignant une enveloppe portant votre adresseau CONCOURS r de la MANUFACTURE, Rayon 40, rue Malebianche, Paru • AMI TUMEUR > votre pipe iule 7 Or seule la PIPE-AUTO « DUTILLE » Breveté, S. G. D: G. en bruyère choisie, est PRATIQUEMENT INJUTABLE. Et, si votre Fournisseur habituel ne peut vous livrer au prix de 30 frs, LA LUXE B, nous* vous adresserons ' franco. 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BILLY. 8, rue des Carmes, Paris. A i u lundée en 1808. CE LIVRE TRES INTÉRESSANT H IMITER LES MALADIES PUR LE8 PLANTES Sa plaça eat daaa toatei Ut FunlUt I. ii Mnefatr i» UMftlTOBU 8», Bd Uhutopol - PARIS (M "* v«a« "111 Ntm— R« Omm*. •a i—D»lilrt da VIRtT IOREJ 11 •MM 1 XU-I l'IBBE Ht r Imp. du Moniteur. Le Gérant : A. Verrely Le voyage dans la Lune Les séances de l'Académie des Sciences sont solennelles. Toutefois M. Eugène Fichot vient d'y donner un divertissement. Il a présenté à ces doc- tes savants le livre de M. Esnault Pel- trie : l'Astronautique. C'est un ex- posé scientifique du moyen d'envoyer un projectile dans la Lune. Voilà une traversée qui pourrait tenter Costes et Bellonte et peut-être l'auteur qui est aussi grand sportif qu'homme de sciences. Mais les astronomes préten- dent qu'une grande déception attend ces intrépides voyageurs transplané- taires en supposant qu'ils arrivent sains et saufs dans la Lune. Ce se- rait un désert glacé sans habitant, sans végétation, sans vie... Et les pau- vres rêveurs n'auraient plus la ressour- ce d'aller se réfugier dans la Lune, dernière illusion perdue d'un pays en- chanté. La Lune échapperait aux poè- tes mais le cinéma y gagnerait sûre- ment un film sensationnel. La procession traditionnelle à tra- vers les principales artères de la Cité de Londres, à l'occasion de l'entrée en fonctions du nouveau lord-maire, a été l'occasion d'une singulière manifesta- tion. Pour corser le défilé, on avait eu l'ingénieuse idée d'intercaler quatre éléphants dans le cortège, pour repré- senter un tableau allégorique de l'In- de. Ces animaux peu habitués aux mu- siques militaires se montrèrent récalci- trants. Passant sur le quai de la Tamise, le cortège croisa un groupe d'étudiants brandissant un magnifique lion rouge en carton et criant sur l'air des lam- pions : «Nous voulons des éléphants!» Il n'en fallut pas davantage pour que les pachydermes se précipitent sur les malheureux curieux dont beaucoup fu- rent piétines. Pour cet hiver C'est un grand magasin qui expose en ce moment ses articles d'hiver. Les fourrures, on le pense bien, occupent toute une vitrine. Opposums, petit- gris, astrakans et visons voisinent avec de plus modestes poils réservés à la doublure des vêtements chauds. Et l'écriteau qui se balance annonce ainsi. cette vente de circonstance : Fourrures et fourrages pour fem- mes et enfants. » Un curieux procès Un pâtissier du quartier de l'église Saint-Vincent-de-Paul engage envers son propriétaire un bien curieux pro- cès. Ce propriétaire fait restaurer la façade de sa maison. Pour cela, des échafaudages sont posés depuis plu- sieurs semaines. Jusque là, rien que de normal. Mais, ces travaux exigent aussi la présence d'une échelle. Cette échelle n'obstrue pas l'entrée de la pâtisserie, mais... pour entrer chez le pâtissier il faut passer sous l'échelle. Et vous devinez la suite. Les friands et friandes de gâteaux sont-ils parti- culièrement sujets à la superstition ? Je l'ignore. Le certain est que le pâ- tissier se plaint que le passage sous l'échelle a diminué le nombre de ses clientes et clients de désolante maniè- re... Le propriétaire objecte que passer sous une échelle n'a jamais fait de mal à personne. — Si ! à moi, à mon commerce ré- pond le pâtissier. Il sera amusant de voir quels té- moins de « moralité » l'un et l'autre vont faire citer à l'appui de leur thè- se.., Marseille et ses histoires à la Chambre M. Toussaint Ambrosini, le nouveau député socialiste de Marseille,- faisait cercle, hier après midi, dans le fu- moir de.la Chambre. Petit, corpulent, jovial, un mou- choir de soie bleue à la pochette de son veston, il disait sa joie de siéger à la Chambre. — Le jour de mon élection a été le plus beau jour de ma vie ! confessait- il à ses collègues. Avec un accent inimitable, Toussaint racontait aussi sa campagne électora- le. — Dans une réunion, disait-il, un perturbateur rne criait : « II faut nous parler de Paul-Boncour. » De Paul- Boncour, que je lui répondis, je peux te parler, parce que je le connais. Mais je vais te parler de ta soeur ! Car ta soeur, je la connais aussi ! Du coup, le perturbateur ne dit plus mot. Et Toussaint ajouta modestement : — Le plus curieux, c'est que c'é- tait exact. Sa soeur, je la connaissais! Un jugement littéraire de Clemen- ceau : — Je n'ai pas une très grande ad- miration pour Gérard de Nerval. C'est un homme qui a noirci beaucoup de papier pour ne pas dire grand'chose, au fond. Et comme M. Martet ajoute : — Il s'est pendu. Clemenceau conclut, féroce : —• II a bien fait ça ! *** Clemenceau aimait les artistes qui se donnent tout entier à leur oeuvre. Il racontait cette histoire sur Pade- rewski : « Un jour, j'étais à New-York ; il vient me voir. Je lui dis : « — Ecoutez, je ne vous ai jamais entendu jouer ; je voudrais bien vous entendre. « — C'est facile. « Nous descendîmes au salon de l'hôtel. 11 s'assied, se met à jouer, — tout ce qui lui passe par la tête. Au bout d'un moment, il s'arrête, se lève: « — Sapristi ! J'ai oublié ma fem- me dans le fiacre ! » Et Clemenceau de conclure : « Voilà comment il faut être. Il faut de temps en temps oublier sa femme dans le fiacre. » . • Le tuyau . X... avait un voisin qu'il connaissait depuis longtemps pour un original, bien qu'il n'eût jamais eu l'occasion de le tenir pour vraiment désiquilibré. Mais, dernièrement, il le vit repeindre la carrosserie de son automobile et ne douta plus, pour le coup, que le mal- heureux ne fût fou : il avait, en effet repeint sa voiture en rouge d'un côté, et en vert de l'autre... Avec toute la prudence imposée par la situation, X... s'approcha pour en avoir le coeur net : - Ca, au moins, s'écria-t-il, c'est ori- ginal ! Peindre sa voiture en deux cou- leurs différentes, je trouve que c'est une idée épatante ! — Savez-vous au moins pourquoi je le fais ? demanda le voisin d'un ton froid. — Ma foi non ! avoua X... Alors l'autre : — Je vais vous donner un bon tu- yau, dit-il. Dans la vie, n'est-ce pas, on ne sait jamais ce qui peut arriver : alors, en suivant mon exemple, on est sûr que les récits des témoins se con- trediront... ON DEMANDE A ACHETER Propriétés — Fonds de Commerce Industries. Ecrire à LA RÉALISATION 16, rue Chauveau Lagarde Paris (8°) Vu're destin dsvonê pai ia ceiêbu Voyante connue, tnvoytr votre cUt ae naissa'io. d un ttanc en u.TK>r* e Madain- - mha lioite Postais .'JI Recette r*r n; pale. Paris. Bas , Chaussettes , Ccandaiis, Echarpes., Oilel.s . Lainages , Tous ARTICLES d'HIVER pour Merciers et Forains Demandez le Catalogue Hiver Iranco. lENTRALISATiON DU BAS, 4 7 , rue de Cléry.rarls 2' ETABLI DE MENAGE Indispensable à tous — Très Prati- que. Remplace établi et étau pour tous travaux de menuiserie, serru- rerie, etc. S'adapte et se case par- tout Emploie tous les outils. ONIGKEIT. Notice N° 1.050 à Romans (Drôme) ATÏTIEIEIÉCUHE. >• prix d» U auin-dV lh***r.J.VICTOR r CONNAISSEZ-VOUS CES NOUVEAUX PARFUMS qui parfument et qui tiennent infiniment mieux parce qu'ils sont beaucoup plus concentrés ? 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NOTRE SUPPLEMENT
L'eau sous pression ehci. vous grâc à
L'ÉLECTRO-POMPE
1RUM— L'électro-pompe domestique —BIRUM d'un encombrement réduitpermet d'-voir partout l'eau souspression : dans la maison, au jardinau garage ftc , etc.
. IL FONCTIONNE , .SUR iOUSLESCOURANTs USUELSalternatifs ou co tmus.SUA TOUS LES COMPTEURSD'ECLAIRAGE: même les plus petits.SANS BRUITH, ANS ENTRETIENET =.ANS SURVEILLANCE.
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INJUTABLE.Et, si votre Fournisseur habituel ne peut vous livrer
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estindispensable en Automobile, à la Chasse, tous les Sports,Catalogue franco, PIPOTO, fabr. Vaux-s-Seine (S. et O.)
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^mm 200 ans de succès ™™CONTRE TOUTES LES MALADIES DES
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Envoi franco contre 10 francs aM. REJOU, phârmacian de première«lasse a Thlviers (Dordogne). —Brochure et renseignements gratuitssur demande.
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L'ENNUI C'EST LA MORT !
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VIRtT IOREJ 11
•MM 1 XU-I
l'IBBE Ht
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Imp. du Moniteur. Le Gérant : A. Verrely
Le voyage dans la LuneLes séances de l'Académie des
Sciences sont solennelles. ToutefoisM. Eugène Fichot vient d'y donner undivertissement. Il a présenté à ces doc-tes savants le livre de M. Esnault Pel-trie : l'Astronautique. C'est un ex-posé scientifique du moyen d'envoyerun projectile dans la Lune. Voilà unetraversée qui pourrait tenter Costeset Bellonte et peut-être l'auteur quiest aussi grand sportif qu'homme desciences. Mais les astronomes préten-dent qu'une grande déception attendces intrépides voyageurs transplané-taires en supposant qu'ils arriventsains et saufs dans la Lune. Ce se-rait un désert glacé sans habitant,sans végétation, sans vie... Et les pau-vres rêveurs n'auraient plus la ressour-ce d'aller se réfugier dans la Lune,dernière illusion perdue d'un pays en-chanté. La Lune échapperait aux poè-tes mais le cinéma y gagnerait sûre-ment un film sensationnel.
La procession traditionnelle à tra-vers les principales artères de la Citéde Londres, à l'occasion de l'entrée enfonctions du nouveau lord-maire, a étél'occasion d'une singulière manifesta-tion.
Pour corser le défilé, on avait eul'ingénieuse idée d'intercaler quatreéléphants dans le cortège, pour repré-senter un tableau allégorique de l'In-de. Ces animaux peu habitués aux mu-siques militaires se montrèrent récalci-trants.
Passant sur le quai de la Tamise, lecortège croisa un groupe d'étudiantsbrandissant un magnifique lion rougeen carton et criant sur l'air des lam-pions : «Nous voulons des éléphants!»Il n'en fallut pas davantage pour queles pachydermes se précipitent sur lesmalheureux curieux dont beaucoup fu-rent piétines.
Pour cet hiverC'est un grand magasin qui expose
en ce moment ses articles d'hiver. Lesfourrures, on le pense bien, occupenttoute une vitrine. Opposums, petit-gris, astrakans et visons voisinentavec de plus modestes poils réservésà la doublure des vêtements chauds.Et l'écriteau qui se balance annonceainsi. cette vente de circonstance :
Fourrures et fourrages pour fem-mes et enfants. »
Un curieux procès
Un pâtissier du quartier de l'égliseSaint-Vincent-de-Paul engage enversson propriétaire un bien curieux pro-cès.
Ce propriétaire fait restaurer lafaçade de sa maison. Pour cela, deséchafaudages sont posés depuis plu-sieurs semaines. Jusque là, rien que denormal.
Mais, ces travaux exigent aussila présence d'une échelle. Cette échellen'obstrue pas l'entrée de la pâtisserie,mais... pour entrer chez le pâtissieril faut passer sous l'échelle.
Et vous devinez la suite. Les friandset friandes de gâteaux sont-ils parti-culièrement sujets à la superstition ?Je l'ignore. Le certain est que le pâ-tissier se plaint que le passage sousl'échelle a diminué le nombre de sesclientes et clients de désolante maniè-re...
Le propriétaire objecte que passersous une échelle n'a jamais fait demal à personne.
— Si ! à moi, à mon commerce ré-pond le pâtissier.
Il sera amusant de voir quels té-moins de « moralité » l'un et l'autrevont faire citer à l'appui de leur thè-se..,
Marseille et ses histoires à laChambre
M. Toussaint Ambrosini, le nouveaudéputé socialiste de Marseille,- faisaitcercle, hier après midi, dans le fu-moir de.la Chambre.
Petit, corpulent, jovial, un mou-choir de soie bleue à la pochette deson veston, il disait sa joie de siégerà la Chambre.
— Le jour de mon élection a été leplus beau jour de ma vie ! confessait-il à ses collègues.
Avec un accent inimitable, Toussaintracontait aussi sa campagne électora-le.
— Dans une réunion, disait-il, unperturbateur rne criait : « II faut nousparler de Paul-Boncour. » De Paul-Boncour, que je lui répondis, je peuxte parler, parce que je le connais. Maisje vais te parler de ta sœur ! Car tasœur, je la connais aussi ! Du coup,le perturbateur ne dit plus mot.
Et Toussaint ajouta modestement :— Le plus curieux, c'est que c'é-
tait exact. Sa sœur, je la connaissais!
Un jugement littéraire de Clemen-ceau :— Je n'ai pas une très grande ad-
miration pour Gérard de Nerval. C'estun homme qui a noirci beaucoup depapier pour ne pas dire grand'chose,au fond.
Et comme M. Martet ajoute :— Il s'est pendu.Clemenceau conclut, féroce :—• II a bien fait ça !
***Clemenceau aimait les artistes qui
se donnent tout entier à leur oeuvre.Il racontait cette histoire sur Pade-rewski :
« Un jour, j'étais à New-York ;il vient me voir. Je lui dis :
« — Ecoutez, je ne vous ai jamaisentendu jouer ; je voudrais bien vousentendre.
« — C'est facile.« Nous descendîmes au salon de
l'hôtel. 11 s'assied, se met à jouer, —tout ce qui lui passe par la tête. Aubout d'un moment, il s'arrête, se lève:
« — Sapristi ! J'ai oublié ma fem-me dans le fiacre ! »
Et Clemenceau de conclure :« Voilà comment il faut être. Il
faut de temps en temps oublier safemme dans le fiacre. » . •
Le tuyau .X... avait un voisin qu'il connaissait
depuis longtemps pour un original,bien qu'il n'eût jamais eu l'occasionde le tenir pour vraiment désiquilibré.Mais, dernièrement, il le vit repeindrela carrosserie de son automobile et nedouta plus, pour le coup, que le mal-heureux ne fût fou : il avait, en effetrepeint sa voiture en rouge d'un côté,et en vert de l'autre...
Avec toute la prudence imposée parla situation, X... s'approcha pour enavoir le cœur net :
- Ca, au moins, s'écria-t-il, c'est ori-ginal ! Peindre sa voiture en deux cou-leurs différentes, je trouve que c'estune idée épatante !
— Savez-vous au moins pourquoije le fais ? demanda le voisin d'un tonfroid.
— Ma foi non ! avoua X...Alors l'autre :— Je vais vous donner un bon tu-
yau, dit-il. Dans la vie, n'est-ce pas, onne sait jamais ce qui peut arriver :alors, en suivant mon exemple, on estsûr que les récits des témoins se con-trediront...
ON DEMANDE A ACHETERPropriétés — Fonds de Commerce
Industries. Ecrire à
LA RÉALISATION16, rue Chauveau Lagarde
Paris (8°)
Vu're destin dsvonê pai ia ceiêbuVoyante connue, tnvoytr votre cUtae naissa'io. d un ttanc en u.TK>r*e Madain- - m h a lioite Postais .'JIRecette r*r n; pale. Paris.
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ONIGKEIT.Notice N° 1.050 à Romans (Drôme)
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monde), 200 gr. pa^es, ISOf gr.coniiaucîFarca ti AUrapti diiopilanltt, Cbanumstl\tonoL. l'reslidigUalwn. Llf'liJiS g ait tt'hifs.Danttt, Hypnotisme, HUMtgUiiÛ.
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