Factiva RTF Display Format - Autisme 13 / Arco Iris · moi, paru aux éditions L'Iconoclaste, est...
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Actualités francophones :
• L’école renvoie leur fils autiste, les parents portent plainte
• Hugo Horiot, un enfant autiste devenu acteur
• L'incroyable talent du Niortais Julien Auclair, 15 ans
• Du brocoli contre l’autisme et le vieillissement
• Eurecah : des stagiaires du Bafa ont encadré des jeunes en situation de
handicap
• Un colloque international sur l’autisme à Rennes 2
• L’autisme à l’ère numérique
• Son atelier boutique accueille les autistes et leurs familles
• Docteur en philosophie et autiste
• Grâce à la BD, les collégiens expriment leurs émotions
• Publication de la première "carte de l'épigénome" humain
• Rencontre autisme sur le thème de l'accompagnement
• « Pour notre enfant, l'IME a été une évidence »
• Paternité plus risquée chez les adolescents (étude)
• À l'aube de son premier anniversaire, le SESSAD Odyssée combat l’autisme au
numérique
• Une maison douce qui apaise les autistes
Actualités scientifiques Internationales:
• Spatial navigation in autism spectrum disorders: a critical review. Frontiers in
Psychology
• Hyperprolactinemia in Thai children and adolescents with autism spectrum
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17 23 février 2015
disorder treated with risperidone. Neuropsychiatric Disease and Treatment
• Effects of a Modified Power Card Strategy on Turn Taking and Social Commenting
of Children with Autism Spectrum Disorder Playing Board Games. Journal of
Developmental and Physical Disabilities
• Metacognition of agency and theory of mind in adults with high functioning autism.
Consciousness and Cognition
• Organization Of The Human Superior Olivary Complex In 15q Duplication
Syndromes And Autism Spectrum Disorders. Neuroscience
• Patterns of autism spectrum symptomatology in individuals with Down syndrome
without comorbid autism spectrum disorder. Journal of Neurodevelopmental Disorders
• Ankrd11 Is a Chromatin Regulator Involved in Autism that Is Essential for Neural
Development. Developmental Cell
• Complex phenotype with social communication disorder caused by mosaic
supernumerary ring chromosome 19p. BMC Medical Genetics
• The developmental pattern of the RAS/RAF/Erk1/2 pathway in the BTBR autism
mouse model. International Journal of Developmental Neuroscience
• Activitydependent neuroprotective protein (ADNP) exhibits striking sexual
dichotomy impacting on autistic and Alzheimer’s pathologies. Translational Psychiatry
• Transcriptome analysis reveals dysregulation of innate immune response genes
and neuronal activitydependent genes in autism. Nature Communications
• Visualization of NMDA receptor–dependent AMPA receptor synaptic plasticity in
vivo. Nature Neuroscience
• Interest towards human, animal and object in children with autism spectrum
disorders: an ethological approach at home. European Child & Adolescent Psychiatry
• Spatiotemporal 16p11.2 Protein Network Implicates Cortical Late MidFetal Brain
Development and KCTD13Cul3RhoA Pathway in Psychiatric Diseases. Neuron
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• A Pilot Proteomic Analysis of Salivary Biomarkers in Autism Spectrum Disorder.
Autism Research
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L’école renvoie leur fils autiste, les parents portent plainte
Cécile Bouanchaud avec Arthur Helmbacher et AFP 626 mots23 février 2015Europe1.frCopyright 2015 Europe1 All Rights Reserved
"On nous accuse d'être des fouteurs de merde". Maria Stachura, mère d’un enfant autiste, se bat pourtant seulement pour que son enfant soit scolarisé dans de bonnes conditions. Récemment, Lucas a été exclu de son établissement privé catholique de Remiremont, dans les Vosges. Il aurait été jugé "trop turbulent" et "ingérable" par la direction de l’école. Mais ses parents avancent une toute autre version : celle de deux agressions dont a été victime leur fils. Ils ont donc décidé de porter plainte contre l’établissement devant le tribunal administratif de Nancy. L’audience s’est achevée lundi mais aucune décision n’est attendue avant mardi.>> LIRE AUSSI Les effets de l'hypertension artérielle sur l'autismeScolarisé dans une Clis. Cela faisait moins d’un an que le jeune garçon était scolarisé dans une classe pour l'inclusion scolaire (Clis) de l'établissement privé.
Il avait été placé dans cette classe permettant d’aménager son emploi du temps pour recevoir des soins sur décision du Tribunal du contentieux de l'incapacité de Nancy."Mais, début février, le directeur de l'établissement a unilatéralement pris l'initiative de résilier le contrat permettant la scolarisation de l'enfant", a déploré l'avocat des parents, Me David Collot, qui a évoqué "des difficultés relationnelles entre l'établissement et les parents".>> LIRE AUSSI Autisme : les causes génétiques sont surévaluées"Mon fils s'est fait agresser deux fois". La mère du jeune Lucas, qui souhaite que son enfant reste scolarisé dans l’école privée, détaille les raisons de cette querelle avec l’établissement. "Mon fils s'est fait agresser deux fois. Quatre gamins l'ont plaqué contre un mur. Lui, il est autiste, il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il se retrouve en souffrance devant le regard de deux enseignants qui n'ont même pas bougé. C'est moi qui ait dû faire marchearrière et rentrer dans l'établissement pour stopper ça. Je suis une maman, je demande des explications. Ces enfants là ne sont pas inquiétés, mais mon fils, on le déscolarise", fustigetelle.Une école publique proposée à la place. Maria Stachura a donc décidé de saisir le tribunal administratif pour régler la situation. Mais à l’audience de lundi, où ni l'école ni le diocèse n’étaient présents, la question était surtout de savoir si le tribunal administratif était compétent pour se prononcer sur cette décision, l'exclusion du petit ayant été
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prise par un établissement privé. La réponse sera tranchée mardi. Le recteur de l'académie de NancyMetz, prévenu de la situation, a d’ores et déjà décidé de réaffecter l'enfant dans une école publique de Remiremont. Mais les parents refusent d'y laisser Lucas, l'encadrement médical et pédagogique n'étant pas suffisant. Selon les parents, l'établissement catholique est le seul qui permette de respecter le programme mis en place par la Maison départementale des personnes handicapées des Vosges pour leur fils.Un risque de situations "anxiogènes" pour Lucas.
Par ailleurs, le rapport d'un pédopsychiatre avait mis en évidence "l'évolution favorable" du jeune autiste depuis qu'il était scolarisé dans l'établissement, en complément de l'hôpital de jour. Tout changement d’établissement risque donc de freiner les progrès du jeune garçon."Lucas devrait alors affronter des situations profondément anxiogènes induites par le changement d'établissement. Il n'est par ailleurs pas établi, en l'état, que les soins qu'il suit actuellement pourront être poursuivis", a fustigé Me Collot, qui demande aux magistrats administratifs d'annuler la décision de résiliation de contrat et celle de réaffectation.
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Hugo Horiot, un enfant autiste devenu acteur
380 mots23 février 2015Ouest FranceSt Lô Coutances© Ouest France 2015.
Le Trident accueille trois représentations de L'Empereur, c'est moi, d'Hugo Horiot, du 24 au 28 février au Vox. Dans une mise en scène de Vincent Poirier.
Petit, Hugo s'appelait Julien. Un jour, vers 6 ans, il dit à sa mère : « J'ai tué Julien. Il est enterré dans la terre noire, avant d'ajouter : Je veux un autre nom ». Ceci est une histoire vraie. Sa mère, l'écrivain Françoise Lefèvre, lui propose alors le prénom de Hugo ; il accepte : ce baptême improvisé le soulagera peutêtre un peu de son enfermement, il le délivrera peutêtre un peu de son mal, le syndrome d'Asperger.
Le Petit prince cannibale
Sa mère écrira l'histoire de ce fils, prisonnier de son propre univers, dans Le Petit prince cannibale (Actes sud), qui obtiendra le Goncourt des Lycéens en 1990. Elle sera présente avec son fils à la librairie Ryst le jeudi 26 janvier pour une rencontre. Adulte, Hugo aussi écrira sur son étrange pathologie. Son roman, L'Empereur, c'est moi, paru aux éditions L'Iconoclaste, est devenu une pièce de théâtre grâce à l'adaptation de Nicolas Rivals et la mise en scène de Vincent Poirier, de la compagnie coutançaise Dodeka. « C'est un roman magnifique, écrit par un acteur », s'enthousiasme celuici. Hugo et lui se connaissent de longue date et ces deux hommes de théâtre travaillent ce texte comme un autre : « J'essaie d'y mettre ma patte, comme pour un texte classique », explique Vincent Poirier. « Sois agressif quand tu t'adresses à ta mère, conseilletil à Hugo. Prends un ton plus léger. À ce momentlà, tout va bien, tu n'es pas encore à l'école ».
Hugo rejoue sa propre enfance et suit une à une les didascalies de Vincent, époustouflé par « la justesse » du comédien lorsqu'il sollicite ses souvenirs et revit sur scène un moment fort. Comme son premier mot, sorti de sa bouche à un âge où les autres enfants parlent depuis longtemps...
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Mardi 24 février, à 19 h, vendredi 27 février, à 20 h 30, samedi 28 février, à 19 h 30, au Vox, avenue de Paris, tarifs de 7,50 € à 21 €, tél. 02 33 88 55 55.
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L'incroyable talent du Niortais Julien Auclair, 15 ans
322 mots23 février 2015Le Courrier de l'OuestDeuxSèvres© Copyright 2015 Ouest France.
L'exposition « Vent de bulles » se tient jusqu'au 23 mars au rectorat à Poitiers. L'invité vedette est Julien Auclair, élève de 3e au sein de l'Unité locale d'inclusion scolaire du collège GérardPhilipe, à Niort.
Julien Auclair n'a que 15 ans mais accumule déjà prix et distinctions. Le collégien de l'ULIS de GérardPhilipe, à Niort, était reçu le 9 février par Jacques Moret, dans les locaux du rectorat de Poitiers où ses planches de bande dessinée seront exposées jusqu'au 23 mars.
Professeurs, parents et camarades se sont réunis pour rendre un hommage particulier au jeune garçon, récemment honoré du premier prix national du concours « À l'école de la BD » et d'un Hippocampe d'or au concours de la BD d'Angoulême. Le recteur a tenu à saluer « le travail formidable de Julien qui prouve que des choses brillantes et toutes simples se font dans les établissements. Cet exemple fait partie de la face émergée de l'iceberg. Nous nous devions de le mettre en avant pour montrer la richesse de notre académie ».
Les parents de Julien, visiblement émus et fiers, se félicitent de « l'incroyable talent de dessinateur » de leur enfant. « C'est une vraie porte de sortie vers son avenir. Pour un enfant autiste, il est toujours difficile d'imaginer le futur. Il a trouvé sa voie, son univers, qui lui permet en outre de s'épanouir et de retranscrire ses émotions ».
L'intéressé, qui affichait un large sourire au moment de l'inauguration de son exposition, s'est dit, quant à lui, « surpris du résultat des concours ». Avec, en plus, une sincère modestie : « Je pensais que les autres étaient meilleurs que moi ».
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Celui qui avait dessiné la carte de voeux 2015 de l'académie de Poitiers n'en est, à première vue, qu'aux balbutiements d'une longue carrière de dessinateur.
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Du brocoli contre l'autisme et le vieillissement \ L'ingrédient actif du brocoli, le sulforaphane, est reconnu comme étant une des molécules végétales qui possède la plus forte action anticancéreuse.
Richard Béliveau 808 mots23 février 2015Le Journal de Montréal2015 Sun Media Corporation
Des publications récentes de revues prestigieuses indiquent que le sulforaphane exerce aussi des effets positifs inattendus chez les enfants autistes et peut également corriger un défaut génétique responsable de la progéria, une maladie très grave.
Le brocoli n'est vraiment pas un légume comme les autres!
LA STAR DES CRUCIFÈRES
Une myriade d'études ont clairement établi que les légumes crucifères (famille du chou) sont parmi les végétaux les plus importants pour la prévention du cancer. Cette propriété découle de leur contenu élevé en glucosinolates, un groupe de molécules qui sont transformées en isothiocyanates (ITC) à la suite de leur mastication. Les ITC sont des composés très réactifs, qui modulent plusieurs phénomènes impliqués dans la formation et la progression des cellules cancéreuses, et c'est pour cette raison que la consommation régulière de crucifères est associée à une baisse marquée du risque de plusieurs types de cancers.
Le sulforaphane est un des ITC qui a retenu le plus l'attention au cours des dernières années. Principalement retrouvée dans le brocoli, cette molécule a la propriété d'éliminer les substances cancérigènes et de stimuler les défenses naturelles du corps contre le stress oxydatif, l'inflammation, les dommages à l'ADN ainsi que le stress causé par les températures élevées (une fièvre, par exemple). Le sulforaphane est également capable de tuer directement les cellules cancéreuses de la prostate, du sein, de l'ovaire, du côlon et du pancréas, illustrant à quel point cette molécule est indispensable à la prévention du cancer.
SYMPTÔMES DE L'AUTISME
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Une équipe de chercheurs américains a récemment eu l'idée de tester si le sulforaphane pourrait également exercer un effet positif sur les symptômes qui affectent les enfants atteints d'autisme. Cette hypothèse est basée sur l'observation qu'un grand nombre de ces enfants voient leur état s'améliorer considérablement lorsqu'ils sont touchés par une fièvre: comme le sulforaphane et la fièvre activent le même système de défense contre le stress imposé par les hautes températures (ce qu'on appelle heatshock response), il est donc possible que la molécule du brocoli puisse aussi provoquer un allègement des symptômes de ces enfants.
Et c'est exactement ce que les scientifiques ont observé: l'administration quotidienne de sulforaphane à des jeunes hommes autistes pendant 18 semaines était associée à une amélioration notable des symptômes, avec notamment une meilleure interactivité sociale, une diminution des comportements atypiques et une amélioration de la communication verbale( 1). Tous ces effets ne sont pas observés chez les patients traités par un placebo et ils disparaissent complètement après l'arrêt du traitement, suggérant qu'ils sont directement causés par l'ingestion de sulforaphane.
Selon les auteurs, il est trop tôt pour estimer quelles quantités de brocoli une personne devrait manger pour obtenir ces bienfaits. Il existe des variations considérables dans le contenu en sulforaphane selon le type de brocoli et le mode de cuisson, sans compter que chaque personne métabolise différemment la molécule. Mais quoi qu'il en soit, il s'agit d'une découverte majeure qui pourrait permettre le développement de nouveaux médicaments pour le traitement de cette maladie.
VIEILLISSEMENT PRÉMATURÉ
Un autre effet tout à fait inattendu du sulforaphane est sa possible utilisation pour le traitement de la progéria (syndrome de HutchinsonGilford). Cette maladie génétique très rare (1 cas sur 8 millions de naissances) se caractérise par un vieillissement accéléré des personnes atteintes, qui présentent à un très jeune âge des caractéristiques normalement retrouvées chez les vieillards (rides, athérosclérose, dégénérescence musculaire, articulations rigides, etc.). Cette maladie est la conséquence d'un malfonctionnement d'un système responsable de l'élimination des déchets cellulaires, ce qui mène à l'accumulation d'une protéine (la progérine) dans le noyau des cellules. Il n'y a aucun remède connu contre cette maladie et les personnes qui en sont atteintes décèdent généralement avant l'âge de 13 ans.
Comme le sulforaphane est connu pour accélérer la dégradation de protéines lors de stress cellulaire, des scientifiques ont testé si la molécule pouvait diminuer
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l'accumulation de progérine dans les cellules touchées par le défaut génétique. Et ça marche! L'addition de sulforaphane diminue considérablement le taux de la protéine et inverse les principaux changements morphologiques touchant les noyaux des cellules anormales(2).
Comme pour l'autisme, le sulforaphane pourrait donc représenter une avenue très intéressante pour le développement de traitements contre cette maladie génétique.
(1) Singh K et coll. Sulforaphane treatment of autism spectrum disorder (ASD). Proc Natl Acad Sci U S A, 2014; 111:155505.
(2) Gabriel D et coll. Sulforaphane enhances progerin clearance in HutchinsonGilford progeria fibroblasts. Aging Cell, publié en ligne le 16 décembre 2014.
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SaintChamondvilleEurecah : des stagiaires du Bafa ont encadré des jeunes en situation de handicap
279 mots21 février 2015Le Progrès© 2015 Le Progrès.
Le centre de loisirs Eurecah a accueilli plus de 25 jeunes en situation de handicap, chaque jour durant les vacances.
Vendredi aprèsmidi, ils étaient 26 à s’être rassemblés dans les locaux et encadrés durant deux heures par une dizaine de jeunes inscrits à l’Afocal (Assocation pour la formation des cadres de l’animation et des loisirs) dans le cadre du passage de leur Bafa (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur).
Le directeur régional de l’association, Christophe Limousin, a expliqué la démarche de cette découverte de l’intérieur de la structure couramiaude : « C’est une volonté de proposer aux stagiaires une immersion dans ce type d’établissement pour les sensibiliser concrètement à la prise en charge du handicap. C’est une expérience riche pour eux puisqu’ils se rendent compte de l’animation possible avec un public spécifique ».
Les stagiaires avaient en charge de proposer aux jeunes handicapés trois activités adaptées à leur handicap. Les éducateurs du centre les ont accompagnés et conseillés dans les différentes activités : « Trois groupes ont été formés pour que chacun participe soit à une animation musicale, soit à des activités manuelles ou à un jeu en extérieur. Cela permet aux jeunes dont nous avons la charge de les ouvrir à d’autres intervenants qu’ils ne connaissent pas », a précisé Julie Jourjon, codirectrice du centre.
Pour les intervenants du jour, ce rendezvous leur a permis de mieux comprendre toutes les spécificités liées notamment à l’autisme et de comprendre le travail effectué par Eurecah au quotidien auprès des gens en situation de handicap.
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Un colloque international sur l’autisme à Rennes 2
151 mots21 février 2015Ouest FranceRennes Centre© Ouest France 2015.
Le laboratoire de recherches en psychopathologie et le Groupe recherche autisme (GRA) de l'université Rennes 2 organisent un colloque international intitulé Affinity Therapy, recherches et pratiques contemporaines sur l'autisme, les 5 et 6 mars, sur le campus de Villejean.
Ron Suskind, invité d'honneur, est journaliste politique du New York Times et lauréat du prix Pulitzer. Il témoignera de sa méthode pour sortir son fils de son repli autistique, grâce à son « affinity » : les films Disney ! Son livre, Life Animated (2014), connaît un succès considérable aux ÉtatsUnis et dans les pays anglosaxons et conduit les spécialistes de l'autisme à reconsidérer leurs conceptions du traitement.
Cet événement scientifique se déroulera en quatre demijournées. Familles, associations, professionnels de tous horizons seront présents.
Jeudi 5 et vendredi 6 mars, à l'université Rennes 2. Inscription sur affinitytherapy.sciencesconf.org/
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Rouen MétropoleL’autisme à l’ère numérique
387 mots20 février 2015Paris NormandieGrand RouenCopyright 2015 Paris Normandie All Rights Reserved
Rouen. L’autisme à l’ère numérique
Les enfants autistes de l’association médico psycho éducative de l’arrondissement de Rouen (Amper) poursuivent leur découverte des écrans. La fondation Orange a financé mercredi l’achat de tablettes numériques supplémentaires grâce à un chèque de 3 907 euros.
Pour l’association rouennaise, qui gère à la fois le centre médicopsychopédagogique AlfredBinet (CMPP) et l’institut de jour AlfredBinet (IJAB), ce don représente une avancée considérable dans l’amélioration du quotidien des enfants.
« Les enfants autistes sont très visuels. Naturellement, ils sont très réceptifs au numérique qui fonctionne beaucoup par l’image. Mais les ordinateurs étaient peu adaptés et nous avions beaucoup de casse. Le problème a disparu avec les tablettes. À mon avis, cela est dû au fait que l’on peut se déplacer avec et donc l’utiliser n’importe où »,explique Thomas Lerat, directeur de l’institut de jour.
Pour l’apprentissage et les loisirs
Dans les deux établissements, l’usage de cet outil numérique s’adapte à chaque enfant individuellement.« Par exemple, un de nos enfants est passionné par les comptines. La tablette lui permet d’aller sur YouTube très facilement. »Il n’est pas seulement question de se détendre mais aussi d’apprendre grâce à des applications spécialisées. Le site applicationautisme.com recense toutes les applications sur tablette spécialisées pour les autistes.« Nous pouvons expérimenter les applications avant de les acheter. C’est un grand avantage. De plus, chacun peut donner son avis permettant de faire un tri plus facilement »,apprécie Thomas Lerat.
Pour Gérard Roudergues, directeur du CMPP, cet usage n’est pas une révolution mais plutôt une évolution vers laquelle il faut tendre sans oublier l’apprentissage
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traditionnel.« Se servir de tablettes est une bonne chose, uniquement si un intermédiaire reste présent pour déterminer comment l’enfant s’en sert et ne pas créer de frustration »,conclutil.
En mars 2014, l’association Amper avait déjà reçu cinq tablettes numériques par la fondation Orange. Cette deuxième donation permettra d’en acquérir six de plus.
Cyrielle Cabot
redaction.rouen@pressenormande.com
HautsdeSeineSon atelier boutique accueille les autistes et leurs familles
Pascale Autran 557 mots19 février 2015Le ParisienAujourd'hui en FranceCopyright 2015 Le Parisien. All Rights Reserved.
SCEAUX
Cache au fond d'un petit passage parisien, l'endroit est lumineux et chaleureux, comme sa fondatrice, Laurence Rigault. Cette habitante de Sceaux vient d'être primée au concours CréaRif « Entreprendre autrement » qui récompense les projets d'économie sociale et solidaire innovants pour les Franciliens. Pour Action Autismes, sa petite entreprise ouverte en septembre : « Un lieu ressources pour les personnes autistes et leurs familles », explique Laurence, épaulée dans l'aventure par sa fille Elise, par Sabri, l'animateur, sans oublier Isengrine, l'affectueuse petite chienne schipperke.
Sa méthode racontée dans un livre
L'autisme, qui toucherait plus de 150 000 personnes en IledeFrance, est encore mal connu, et le manque de structures laisse souvent les parents démunis. Pour soutenir les familles, Action Autismes propose des formations ouvertes aussi aux professionnels et une aide administrative pour trouver financements et spécialistes
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adaptés. Ainsi qu'une petite boutique où dénicher livres spécialisés et jeux éducatifs, instruments de musique et gadgets astucieux. Pour les autistes, des séances de développement individuel sont organisées le samedi matin. On y travaille la parole, les bases scolaires, la socialisation. Ouverte, elle, toute la semaine, l'Ecole de professionnalisation les prépare au rythme du monde du travail.
Ce mardi aprèsmidi, dans l'atelier d'insertion, deux « écoliers » sont là. Benjamin peaufine les couleurs d'un dessin au motif exotique. « Un perroquet », montre le jeune homme de 26 ans, tout fier de son talent. « Il était dans un ESAT (NDLR : structure de travail protégé) mais a dû le quitter, et ses parents ont cherché des solutions pendant deux ans, explique Laurence. Ici, on reprend tous ses acquis, il a fait beaucoup de progrès, surtout en habileté manuelle et en concentration ». Des apprentissages « à son rythme », souligne Sabri. L'animateur a aussi une formation de musicothérapeute. Ça tombe bien : « La musique, c'est ce que je préfère ! » sourit A., 22 ans et fan de guitare, qui avant de venir ici, ne sortait plus de sa chambre. « Pour les parents, on est un peu l'opération de la dernière chance », souligne Laurence, qui va bientôt accueillir un troisième élève.
Inspirée de sa propre expérience, elle a fondé une méthode, ASIR, qu'elle explique dans un livre qui va bientôt paraître, « A la recherche du bon sens ». L'histoire d'un parcours engagé, de rencontres bouleversantes qui l'ont poussée, après des études de psychologie et une parenthèse le temps d'une carrière dans le cinéma, à se lancer. Laurence a ellemême grandi auprès de proches atteints du syndrome d'Asperger, une forme d'autisme. « Mais à l'époque, on ne le savait pas », souffle celle qui a enchaîné les formations pour comprendre et aider famille et amis. Jusqu'à ce lieu plein de rires et de sourires, comme celui de Benjamin le gourmand qui vient de grimper dans la petite cuisine à l'étage se chercher un goûter. « Je suis contente, je voulais qu'on se sente ici comme à la maison », sourit Laurence.
Action Autismes, 218 bis, rue SaintDenis à Paris. Renseignements tél. 09.83.69.37.01 et www.action\b autismes\b0 .fr.
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SociétéDocteur en philosophie et autiste
Christine Mateus 669 mots
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18 février 2015Le ParisienAujourd'hui en FranceCopyright 2015 Le Parisien. All Rights Reserved.
SYNDROME D’ASPERGER. Josef Schovanec, 33 ans, est atteint de ce trouble autistique. Chroniqueur — entre autres — sur Europe 1, il nous décrypte avec humour cette maladie trop méconnue. En balayant les préjugés.
CHAQUE 2 AVRIL A LIEU la Journée mondiale de l’autisme, laquelle donne un coup de projecteur bienvenu sur cette pathologie neurodéveloppementale. Mais souvent est laissée dans l’ombre une catégorie pourtant concernée par les troubles autistiques : les personnes atteintes du syndrome d’Asperger, un autisme dit aussi de « haut niveau ». Qu’à cela ne tienne, Asperger a désormais sa propre journée et c’est aujourd’hui la seconde édition. L’occasion de communiquer sur ce trouble encore mal connu qui véhicule beaucoup de fantasmes, réduisant les Asperger à des personnes surdouées dans un domaine spécifique et en particulier les mathématiques. C’est parfois le cas, mais pas toujours. Le vrai problème : leurs difficultés à intégrer les règles sociales. Un nouvel outil déboule le 19 mars en librairie pour pallier ce manque d’information. Le livre « Comprendre l’autisme pour les nuls »* vient s’ajouter à la célèbre collection grand public avec tout un chapitre sur le syndrome d’Asperger.
Et, derrière la traduction de l’ouvrage américain, se cache l’adaptation d’un certain Josef Schovanec. Trentetrois ans, un humour ravageur, diplômé de Sciencespo et docteur en philosophie, chroniqueur sur Europe 1, l’homme est luimême atteint du syndrome d’Asperger et se décrit comme « un saltimbanque de l’autisme », pour résumer ses actions tous azimuts pour mettre en avant les difficultés et les besoins des personnes touchées. « Et il y a du boulot pour faire comprendre l’idée que l’on peut être différent, tout en n’étant pas plus bête qu’un autre. Nous rencontrons un retard terrifiant en France à ce sujet. » Il évoque pour cela l’écrasante majorité des sanstravail (« on ne rentre pas dans les grilles de Pôle emploi »), le faible taux d’enfants autistes scolarisés (20 %)… « J’aime le terme d’accessibilité, mais je parle ici d’accessibilité de la société au sens large pour ces handicapés invisibles. Nous ne demandons pas aux gens d’être des spécialistes. Mais, en se formant à quelques trucs de base, oui, les enseignants peuvent gérer une classe avec un ou deux élèves autistes. Il faudrait former les médecins aussi. Savezvous que beaucoup de dentistes refusent de soigner les autistes ? » Son syndrome, il le dépeint en interpellant directement son interlocuteur. Ces fameuses règles sociales à suivre avec lesquelles il
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a eu tant de difficultés. « Chez vous, c’est inné. Les autistes ne voient pas le monde comme vous, pas avec les mêmes couleurs. Un bébé non autiste, lorsque vous lui souriez, il sourit. Un bébé autiste, lui, devra l’apprendre. » Que diraitil d’ailleurs à un père et à une mère dont le diagnostic de l’enfant vient de tomber ? « Félicitations, vous êtes parents d’un enfant différent ! Ce sera un défi, et une aventure qui vous attend. Une belle leçon. Etre face à une personne différente donne à réfléchir. Le monde serait triste si nous étions tous pareils. C’est ainsi que nous sommes complémentaires. Vous savez faire des choses que je ne sais pas faire, et réciproquement. Moi, par exemple, impossible de conduire une voiture ou de faire un nœud de cravate… » Un enthousiasme débordant comme pour exorciser une inquiétude qu’il évoque tout de même : une société qui tend à l’homogénéité. Mais, très vite, il se rassure : « Il aura fallu plus de trois ans pour convaincre un éditeur de publier Comprendre l’autisme pour les nuls. J’ai même eu des réponses très dures. Aujourd’hui, il est là. C’est la preuve qu’il y a une évolution dans les mentalités, non ? »
Josef Schovanec, 33 ans, est diplômé de Sciencespo. Luimême atteint du syndrome d’Asperger, il se bat pour faire changer le regard de la société sur l’autisme. (@BrunoKlein.)
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Deux SevresGrâce à la BD, les collégiens expriment leurs émotions
Philippe MICARD 550 mots18 février 2015La Nouvelle République du Centre OuestCopyright 2015. La Nouvelle République du Centre Ouest. All Rights Reserved.
Double succès pour la classe d’inclusion d’enfants sujets à des troubles autistiques de GérardPhilipe. Ils ont été primés collectivement et individuellement.
Les cinq élèves, avec l’aide de l’équipe pédagogique de la classe, ont uni leurs efforts durant plusieurs semaines pour réaliser deux planches gagnantes au concours de BD.
(Photo rectorat de Poitiers)
Julien Auclair a enrichi sa collection de prix d’un Hyppocampe d’or.
C’est l’histoire d’un roi qui se fait voler son épée… Le 29 janvier au festival de la bande dessinée à Angoulême, cinq élèves de l’Ulis (unité localisée pour l’inclusion scolaire d’enfants sujets à des troubles envahissants du développement) du collège GérardPhilipe ont été reçus au festival de la bande dessinée, en présence de Franck Margerin (le dessinateur de Lucien le rocker) pour y recevoir leur prix Hyppocampe. Ils
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l’ont emporté dans la catégorie des 1320 ans, devançant quelque 700 concurrents. L’un d’entre eux, Julien Auclair, 16 ans, déjà lauréat de plusieurs prix nationaux de bande dessinée, a aussi gagné à titre individuel un Hyppocampe d’or ! Cette double récompense a valu à la classe d’être reçue par le recteur d’académie la semaine dernière et de voir ses planches de BD exposées au rectorat de Poitiers. Lequel a également choisi un dessin de Julien Auclair comme carte de vœux. Dont une a été adressée à l’Elysée !
L’aboutissement d’un travail mené en équipe
Faire travailler des enfants sujets à des troubles autistiques sur un projet commun, est un véritable défi. Qu’ils donnent à leurs personnages des expressions en est un autre. C’est pourtant ce qu’ont réussi Guillaume Guérin, le professeur spécialisé, les éducateurs du Sessad (service d’éducation spéciale) et l’AVS qui travaillent dans cette classe de six élèves. « Cela a été un travail de longue haleine, commencée par mes prédécesseurs, souligne Guillaume Guérin, à la tête de la classe depuis la rentrée. L’idée en participant à ce concours de BD était bien de fédérer des enfants qui ont des difficultés relationnelles, mais aussi de favoriser la relation avec les autres élèves du collège. » Chacun en fonction de ses goûts et ses facultés, a apporté sa touche au dessin, aux couleurs, à l’écriture, ou aux jeux de mots puisque la classe a choisi de traiter le thème imposé – la surprise – par une œuvre humoristique.
Quant à Julien Auclair, dont la maman explique « que le dessin lui permet d’évacuer les émotions qui le dérangent, et d’exprimer tout ce qu’il n’arrive pas à faire ou à dire », il a démontré une fois encore ses aptitudes exceptionnelles au dessin et à la BD : « Il dessine ses planches directement au stylo. Il ne donne donc pas de place à l’erreur, mais ses dessins sont justes. Et ses personnages expriment des émotions beaucoup mieux que luimême », assure son professeur. « J’aime que les personnages que j’ai créés, Tom le chien et Robin le lapin, fassent des bêtises. Pour faire rire ceux qui regardent », assure le jeune auteur. Il n’imagine pas une vie sans dessins, tableaux et même des maquettes.
Ph. Micard
nr.niortAnrco.fr
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Publication de la première "carte de l'épigénome" humain
480 mots18 février 2015Agence France Presse
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Un groupe de scientifiques a publié mercredi les données les plus complètes disponibles à ce jour sur l'épigénome humain, l'ensemble des modifications qui interviennent dans la régulation des gènes et qui jouent un rôle important dans le développement et dans l'apparition des maladies.
Présentées comme la "première carte exhaustive de l'épigénome d'un grand nombre de cellules humaines", les données figurent dans une vingtaine d'études publiées simultanément dans la revue scientifique Nature par des chercheurs participant au vaste programme Epigenomics.
Ce programme a été lancé en 2006 par les instituts nationaux de santé américains.
Après avoir séquencé le génome de l'homme qui reste globalement identique tout au long de la vie , les scientifiques ont voulu comprendre comment l'activation des gènes pouvait être influencée par notre régime alimentaire ou notre environnement.
Le mécanisme passe par l'épigénétique : certaines régions de l'ADN sont prises pour cibles, notamment par le biais d'un processus appelé "méthylation" qui aboutit à diminuer voire à éteindre l'expression d'un gène.
De nombreuses incertitudes subsistent toutefois autour des processus impliqués, mais les chercheurs sont de plus en plus persuadés qu'ils jouent un rôle important dans des pathologies comme le cancer, l'autisme ou la maladie d'Alzheimer ou dans le vieillissement.
Les études publiées mercredi ont notamment décrit l'épigénome de 111 types de cellules cardiaques, musculaires, hépatiques, dermatologiques et foetales.
Les gènes représentent à peine 1,5% du génome humain. Le reste a longtemps été considéré comme de l'ADN non codant, mais des découvertes récentes ont permis de montrer que cet ADN hâtivement qualifié "d'ADN poubelle" pouvait en réalité jouer un rôle essentiel dans la régulation de l'activité des gènes.
"Il s'agit d'un progrès majeur dans les efforts en cours pour comprendre comment les trois milliards de lettres figurant dans le livre de l'ADN d'un individu peuvent entrainer
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des activités moléculaires très diverses" relève Francis Collins, chef de l'Institut national de santé américain (NIH) qui participe au programme Epigenomics.
Des chercheurs de la Harvard Medical School du Massachusetts ont pour leur part montré que la signature génétique unique d'une cellule cancéreuse pouvait être utilisée pour identifier la cellule d'origine d'une tumeur.
D'autres chercheurs ont pour leur part exploré la piste épigénétique dans la maladie d'Alzheimer chez des souris tandis que des chercheurs de l'Imperial College de Londres ont identifié 34 gènes jouant un rôle dans l'asthme et dans les allergies.
"Il n'y a pas que le code génétique qui puisse influencer la maladie" souligne William Cockson, un professeur de l'Imperial College de Londres qui estime que "la manière dont les gènes sont lus" pourrait jouer un rôle "encore bien plus important".
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Rencontre autisme sur le thème de l'accompagnement
246 mots18 février 2015Ouest FranceLorient© Ouest France 2015.
L'antenne Asperansa Lorient organise une rencontre, gratuite et ouverte à tous, avec Farideh Farmani, samedi 28 février, à 14 h 30, à la salle des Saisies.
La rencontre aura pour thème : « Accompagnement et soutien dans différents aspects de la vie ». « L'évolution des concepts de l'autisme et du syndrome d'Asperger et les connaissances sur les besoins de ces personnes, la nécessité de mettre en oeuvre une intégration scolaire, sociale et professionnelle imposent aux praticiens de toutes disciplines de reconsidérer leurs compétences et leurs exercices, comme de s'engager dans des actions innovantes, explique Claudine Cavalan, la présidente d'Asperansa. Ces actions pourraient avoir pour perspective la qualité de vie de la personne avec l'idée fondamentale que c'est en s'orientant vers l'acquisition progressive de l'autonomie que l'on va vers l'intégration dans la société. Il s'agit de se mettre au service des personnes autistes, d'évaluer leurs besoins, pour y répondre en termes de prestations et de services avec un suivi de qualité tout au long de sa vie. » Claudine Cavalan rappelle deux rendezvous d'importance : le 18 février, pour la journée nationale Asperger et le 7 mars, pour une rencontre entre familles, cité Allende à Lorient, de 10 h à 12 h.
Contact : antenne[email protected]. Tél. 02 97 65 59 94.
Samedi 28 février, à 14 h 30, salle des Saisies, rue Caillebotte.
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« Pour notre enfant, l'IME a été une évidence »
MarieNoëlle PERIDY. 663 mots18 février 2015Ouest FranceCholet© Ouest France 2015.
L'institut médicoéducatif la Rivière organisait ses portes ouvertes jeudi. Il accueille 67 enfants déficients intellectuels, souffrant de troubles associés, handicap psychique ou troubles envahissants du comportement.
L'institut médicoéducatif (IME) la Rivière a organisé ses portes ouvertes en lien avec l'inauguration de son nouvel internat qui s'est ouvert à la rentrée. Une occasion pour les parents de (re)découvrir les locaux et rencontrer les équipes. « Nous avions le choix entre la classe pour l'inclusion scolaire et l'IME. L'IME a été une évidence pour nous. A l'école, notre fille était en souffrance, ici elle est épanouie et elle progresse », témoigne Virginie Loiseau. Maman d'Auriane, 12 ans et demi, elle a pris la fonction de présidente du conseil de vie sociale en tant que représentante des parents à l'IME. Auriane a intégré l'établissement il y a 6 ans. « Elle fait l'objet d'un retard psychomoteur avec une mauvaise compréhension de son corps et avec en plus un symptôme autistique léger. » Auriane a suivi un cursus scolaire classique jusqu'à 6 ans et demi. « Lorsqu'on accepte le handicap, l'enfant ressent moins de pression et se libère beaucoup plus. »
Céline Racionero, Choletaise depuis peu, est venue visiter l'établissement dans le but d'inscrire son fils Matéo, 9 ans, scolarisé actuellement dans un IME en région parisienne. « Depuis deux ans, il n'a pas fait de progrès. Il sait juste écrire son prénom. » Elle juge sa rencontre avec l'équipe positive. « Je me sens plus à l'aise ici. Le discours est plus approprié. Je pense qu'il sera mieux suivi. »
Cassiline, une fillette de 8 ans, est atteinte de leucodystrophie, une maladie dégénérative et génétique qui s'attaque au cerveau. Ses parents, Nicolas et Christelle Delcroix, sont prêts à franchir le cap. Ils ont bon espoir que leur dossier soit accepté
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car l'IME serait une véritable alternative pour leur petite fille. Elle ne peut plus suivre un cursus scolaire, même adapté.
Fondé en 1964, l'IME a constitué l'une des premières structures dédiées aux enfants déficients intellectuels créée dans le département. L'établissement regroupe deux unités. La première, la section d'éducation et d'enseignement spécialisé, réunit 57 enfants de 6 à 14 ans avec au programme des temps éducatifs, un accompagnement individuel et de groupe. La seconde unité concerne plus spécifiquement les enfants de 4 à 12 ans « en plus grande difficulté, autistes principalement ».
« Réconcilier les enfants avec l'envie d'apprendre »
L'institut médicoéducatif prend en compte la charge éducative, pédagogique avec la participation des enseignants, des thérapeutes, psychologue et psychomotricienne. « Le temps pédagogique s'étale sur un maximum de 10 h de classe. Audelà, les enfants effectuent leur scolarité à l'extérieur dans une Clis pour le primaire ou dans une Ulis (1) pour les collèges, lycées, précise le directeuradjoint, Benoît Hérault. Les enfants ont tous un cursus scolaire. Ils arrivent à la fin de la maternelle parce que la vie à l'école est trop difficile pour eux. »
Un effectif de 56 personnes, l'équivalent de 46 temps plein, se consacre aux enfants, entre les enseignants, les éducateurs y compris le service administratif et la direction. « Ici, les enfants ont plus de chances pour réussir car nous disposons d'autres moyens. L'IME c'est le chemin vers l'autonomie. Ils ont besoin de bénéficier d'un accompagnement spécialisé, poursuit Catherine Viéban, chef de service. Il faut les réconcilier avec l'envie d'apprendre. »
De nombreuses activités éducatives sont mises en place : atelier cuisine, bricolage, jardin, sport, musique, théâtre... « Cela consiste à mettre du sens sur des apprentissages, à déployer de la pédagogie avec des supports concrets. Les enfants ont du mal à mettre en mots leur ressenti. Nous devons déployer une stratégie pour développer leur éveil. »
(1) Classes pour l'inclusion scolaire et Unités localisées pour l'inclusion scolaire.
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Paternité plus risquée chez les adolescents (étude)
403 mots18 février 2015Agence France PresseCopyright Agence FrancePresse, 2015 All reproduction and presentation rights reserved.
Les très jeunes pères ont plus de risques d'avoir des enfants souffrant de problèmes de santé, en raison d'un plus grand nombre de mutations génétiques observées dans leur sperme, selon une étude publiée mercredi.
Pour tenter de comprendre pourquoi les adolescents étaient, comme les pères les plus âgés, plus susceptibles d'engendrer des enfants atteints d'autisme, de schizophrénie ou de spina bifida (un développement incomplet de la colonne vertébrale), des chercheurs britanniques ont étudié l'ADN de plus de 24.000 parents et leurs enfants originaires d'Allemagne, d'Autriche, du MoyenOrient et d'Afrique.
La mère la plus jeune avait près de 11 ans et la plus âgée 52 ans alors que le père le plus jeune avait 12 ans et le plus âgé 70.
Les chercheurs dirigés par Peter Forster, de l'Université de Cambridge, ont découvert que les pères adolescents présentaient 30% de mutations génétiques supplémentaires dans leur sperme par rapport à celui des pères âgés de 20 ans.
Aucune explication scientifique n'a pu être fournie par les auteurs de l'étude qui avancent plusieurs hypothèses.
Selon M. Forster, une des raisons pourrait être que le mécanisme de copie de l'ADN est "plus sujet à l'erreur" au début de la puberté masculine.
Pour autant, ajoutetil, les jeunes pères ne doivent pas "paniquer" dans la mesure où seulement 1,5% des nouveauxnés présentent des anomalies et qu'une hausse de 30% des mutations génétiques fait passer ce taux à 2%.
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D'autres études publiées ces dernières années avaient surtout insisté sur la mauvaise qualité du sperme chez les pères âgés de plus de 45 ans.
Dans une étude parue en février 2014 dans la revue américaine Jama Psychiatry, des chercheurs avaient montré que les enfants de pères âgés de plus de 45 ans avaient 3,5 fois plus de risque de souffrir d'autisme et 25 fois plus d'être bipolaires que les enfants nés quand leur père avait entre 20 et 25 ans.
Ils avaient également un risque 2,5 fois plus élevé d'avoir un comportement suicidaire et des problèmes de drogue.
M. Forster note pour sa part que les pères âgés ont "une augmentation modeste du risque" et ajoute que la meilleure période pour être père "est entre 20 et 35 ans".
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À l'aube de son premier anniversaire, le SESSAD Odyssée combat l’autisme au numérique
396 mots17 février 2015La Voix du NordCopyright 2015 La Voix du Nord, tous droits réservés.
FOURMIES. «Les enfants autistes ont beaucoup de mal à accéder à leurs souvenirs. Les photos qui apparaissent en quelques clics sur une tablette sont un très bon outil», révèle Christelle Calleja, coordinatrice au sein du SESSAD Odyssée à Fourmies. Nationalement, AFG autisme a soufflé ses dix ans d'existence, ce mercredi 11 février. Cette association gère partout en France 20 établissements spécialisés d'éducation et de soins, d'hébergement, de soutien et d'aide par le travail, dont le SESSAD Odyssée à Fourmies. AFG Autisme a pour mission de promouvoir la qualité de vie, l'autonomie et l'intégration, l'éducation, le respect et l'adaptation à la personne et la valorisation, la cohérence et la pérennisation de la prise en charge. Localement, le SESSAD Odyssée et le futur IME souffleront une première bougie, le 10 mars.
Une création d'établissement qui doit beaucoup aux efforts consentis par une autre association, Univers Inverse, qui a alerté les pouvoirs publics sur les carences en matière de prise en charge des enfants et adolescents autistes.
Des solutions adaptées et pertinentes
«Le travail des deux associations permet, sur un secteur pourtant défavorisé, d'apporter aux familles et aux enfants autistes des solutions adaptées et pertinentes», ajoute Christelle Calleja. Le Sessad Odyssée accompagne seize enfants avec troubles du spectre autistique âgés de deux à 20 ans, avec douze salariés. En 2014, le SESSAD a initié le projet «L'Odyssée du numérique», soutenu financièrement par la fondation Orange afin de permettre aux enfants et adolescents accueillis d'utiliser l'outil numérique, via des Ipads et leur application LearnEnjoy, guidés par l'équipe d'éducateurs spécialisés. Les bénéfices pédagogiques de cet outil de communication moderne, très cher, ont fait l'unanimité. Il a également été adopté par Univers Inverse, convaincue de l'intérêt d'équiper les enfants de l'association. «Grâce au soutien de la
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CAF, mais aussi de partenaires locaux, il a été possible d'acheter 20 Ipads et de les proposer en prêt aux familles afin d'en faire profiter les enfants», précise la coordinatrice du SESSAD. G. B. (CLP) Exemples des outils disponibles sur l'Ipad: emploi du temps virtuel, réalisation de scénarios sociaux, banque de pictogrammes, jeux d'éveil, logiciels d'apprentissage de base ou spécifiques, clavier tactile, mémoire numérique audio/photos/vidéos...
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Une maison douce qui apaise les autistes
Gilles Kerdreux. 868 mots17 février 2015Ouest France© Ouest France 2015.
Les formes, les couleurs, les matériaux, l'environnement sonore... Tout a été pensé pour que ce centre de vie et de soins pour autistes ne soit pas anxiogène. Une expérience unique en France, tapie à Champcevrais, un petit village de l'Yonne. Ça n'a pas coûté une fortune et ça semble fonctionner.
Dans sa chambre avec salle de bain en rezdejardin, Dominique frétille tout sourire : « Je ne démonte plus rien. C'est un miracle dans ma tête. Je suis apaisé dans mon coeur . » Un soulagement pour cet autiste de 52 ans. Mais aussi pour l'équipe de L'éveil du Scarabée. L'obsession de Dominique décortiquer tous les mécanismes avait plusieurs fois failli provoquer des catastrophes dans les anciens locaux de ce centre de vie et de soins pour adultes autistes. Surtout quand il s'en prenait aux prises électriques...
Il n'est pas le seul à aller mieux. Depuis l'emménagement dans la nouvelle maison, le 20 novembre, Régine n'a plus eu une seule de ses anciennes crises quotidiennes et une autre jeune, parmi les seize habitants du Scarabée (20 places à terme), a, pour la première fois depuis quatorze ans, préféré rester là pour Noël plutôt que d'aller dans sa famille.
Ce bienêtre devra être vérifié dans le temps, mais ces premières réactions semblent valider le pari de départ : imaginer un bâtiment qui n'exacerbe pas l'hypersensibilité et les angoisses des résidents. « Chaque autiste est différent, explique l'architecte Emmanuel Negroni. Mais on a voulu qu'en termes de matériaux, de lumière, d'environnement sonore, de couleurs... tout soit apaisant ».
En pénétrant sous la voûte protectrice du Scarabée, les mots se concrétisent. Au sol, un chemin de vie en bois invite à progresser vers un faux arbre qui, avec son tronc
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d'olivier, ses branches de charme et ses feuilles de chêne, donne des allures de place du village au coeur de la maison. En dessous de moucharabiehs, de grandes chaises longues invitent à une position foetale. Elles reposent contre une pièce aux rondeurs dignes de Gaudi. Elles contrastent avec les arêtes franches des murs de la partie administrative. « Pour faire facilement la différence. »
De petits réverbères posés sur un toit et des LED diffusent une douce lumière qui évolue au fil de la luminosité extérieure, plus dynamique la journée, plus tamisée le soir. Les tons sont pastel, des pièges à sons sont cachés, il n'y a pas d'étroits couloirs et, comme l'excellence se cache parfois dans les détails, un fil chauffant traverse les miroirs des salles de bain pour que l'image qu'ils renvoient aux habitants ne soit jamais troublante.
« Penser différemment »
Bref, cet équipement a dû coûter une fortune... « Absolument pas, conteste Emmanuel Negroni. Davantage qu'au départ mais, finalement, 2 000 € du mètre carré, soit 3 millions d'euros pour 1 500 m2 (4,1 millions TTC avec le mobilier des chambres). Les logements sociaux reviennent en moyenne à 1 800 € du m2 en province ».
Ce qui veut dire qu'il a fallu faire preuve de beaucoup d'imagination. Par exemple, les pièces sur mesure, comme les chaises longues en bois massif, ont été réalisées par une machine numérique cinq axes (l'ancêtre de l'imprimante 3D). Ceci dit, le bâtiment tend vers la basse consommation d'énergie. Il est chauffé par géothermie et l'eau est chaude grâce à des panneaux solaires.
L'ensemble a été financé par le conseil général de l'Yonne (600 000 €), autant de fonds propres de l'EPHAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) et un emprunt de près de 3 millions cautionné par le département. Pour être complet, une salle multisensorielle avec baignoire hightech, diffuseur d'arômes et musique douce a été offerte par les pièces jaunes de la Fondation des hôpitaux de Paris. Et le Rotary a financé le terrain de sport. Le coût par habitant est resté à 205 € par jour.
La naissance de ce Scarabée n'a toutefois pas été un long fleuve tranquille. Il a fallu sept ans (dont huit mois d'arrêt à cause de dissensions politiques au conseil général). Et toute l'énergie d'un duo formé d'un architecte qui s'est passionné pour ce projet et l'engagement du directeur du centre, JeanPierre Sanchis : « On s'est autorisé à penser différemment. »
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Un troisième homme a accompagné l'aventure, Pierre Denis, président de l'EPHAD et maire du village de 345 habitants. « On a vu partir La Poste, la gendarmerie, la perception. Et là, entre la maison de retraite, la cuisine centrale, l'unité Alzheimer et L'éveil du Scarabée, on a plus de cent emplois ».
Fiers de leur bébé, les géniteurs pensent déjà aux améliorations. Il s'agirait par exemple de connecter les télés des chambres afin qu'elles permettent aux habitants de communiquer avec leur famille. Mais surtout, ils aimeraient que leur réalisation fasse école. « Pas pour la reproduire, assure l'architecte. Mais pour reprendre la philosophie, critiquer et améliorer. » En attendant, Dominique continue à jouer le guide : « Vous avez vu le plafond de la salle de bain ? On peut avoir un ciel étoilé ».
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Neurology; Reports from University of Nottingham Describe Recent Advances in Autism
305 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest A new study on Neurology is now available. According to news reporting originating in Nottingham, United Kingdom, by NewsRx editors, the research stated, "On the basis of relative strengths that have been attributed to the autistic cognitive profile, it has been suggested by a number of theorists that people with autism spectrum disorders (ASD) excel at spatial navigational tasks."
The news reporters obtained a quote from the research from the University of Nottingham, "However, many of these claims have been made in the absence of a close inspection of extant data in the scientific literature, let alone anecdotal reports of daily navigational experiences. The present review gathers together published studies that have attempted to explicitly address functional components of navigation in ASD populations, including assays of wayfinding, largescale search, and path integration."
According to the news reporters, the research concluded: "This inspection reveals a pattern of apparent strengths and weaknesses in navigational abilities, thus illustrating the necessity for a more measured and comprehensive approach to the understanding of spatial behavior in ASD."
For more information on this research see: Spatial navigation in autism spectrum disorders: a critical review. Frontiers in Psychology, 2015;6():18.
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Pituitary Gland Diseases and Conditions; Recent Findings from Mahidol University Provides New Insights into Hyperprolactinemia
456 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest A new study on Pituitary Gland Diseases and Conditions is now available. According to news reporting out of Bangkok, Thailand, by NewsRx editors, research stated, "Hyperprolactinemia is a common adverse effect observed in children with autism spectrum disorder (ASD) during pharmacotherapy with risperidone. The main aim of this study was to investigate important clinical factors influencing the prolactin response in risperidonetreated Thai ASD."
Our news journalists obtained a quote from the research from Mahidol University, "A total of 147 children and adolescents (127 males and 20 females) aged 319 years with ASD received risperidone treatment (0.106.00 mg/day) for up to 158 weeks. Prolactin levels were measured by chemiluminescence immunoassay. The clinical data of patients collected from medical records age, weight, height, body mass index, dose of risperidone, duration of treatment, and druguse pattern were recorded. Hyperprolactinemia was observed in 66 of 147 (44.90%) subjects. Median prolactin level at the high doses (24.00, interquartile range [IQR] 14.3029.20) of risperidone was significantly found to be higher than at the recommended (16.20, IQR 10.6522.30) and low (11.70, IQR 7.5116.50) doses of risperidone. There was no relationship between prolactin levels and duration of risperidone treatment. Dosedependence is identified as a main factor associated with hyperprolactinemia in Thai children and adolescents with ASD treated with risperidone."
According to the news editors, the research concluded: "This study suggests that risperidone treatment causes prolactin elevations and the effects of risperidone on prolactin are probably doserelated in pediatric patients."
For more information on this research see: Hyperprolactinemia in Thai children and adolescents with autism spectrum disorder treated with risperidone. Neuropsychiatric Disease and Treatment, 2015;11():191196.
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Neurology; New Autism Study Results Reported from Temple University
377 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest Fresh data on Neurology are presented in a new report. According to news reporting from Philadelphia, Pennsylvania, by NewsRx journalists, research stated, "Children with autism spectrum disorder (ASD) often have very narrow and special interests, and are less likely to engage in sociallybased recreational activities than typically developing children. Few studies have examined strategies for teaching children with ASD to engage in social games with their peers."
The news correspondents obtained a quote from the research from Temple University, "The Power Card strategy is a social narrative technique that capitalizes on a child's special interest to teach appropriate engagement in routines, social interaction, and communicative behaviors. In this study, a modified Power Card strategy was used to teach two boys with ASD appropriate turn taking and social commenting while playing board games. Participants' appropriate initiating a turn and relinquishing a turn increased with intervention; however, consistent increases in participants' appropriate commenting were not observed. Students and parents favorably rated the Power Card Strategy following intervention."
According to the news reporters, the research concluded: "Results are discussed in relation to limitations and future research."
For more information on this research see: Effects of a Modified Power Card Strategy on Turn Taking and Social Commenting of Children with Autism Spectrum Disorder Playing Board Games. Journal of Developmental and Physical Disabilities, 2015;27(1):93110.
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Neurology; New Autism Study Findings Have Been Reported by Investigators at Columbia University
378 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest Research findings on Neurology are discussed in a new report. According to news originating from New York City, New York, by NewsRx correspondents, research stated, "We investigated metacognition of agency in adults with high functioning autism or Asperger Syndrome (HFA/AS) using a computer task in which participants moved the mouse to get the cursor to touch the downward moving X's and avoid the O's. They were then asked to make judgments of performance and judgments of agency."
Our news journalists obtained a quote from the research from Columbia University, "Objective control was either undistorted, or distorted by adding turbulence (i.e., random noise) or a time Lag between the mouse and cursor movements. Participants with HFA/AS used sensorimotor cues available in the turbulence and lag conditions to a lesser extent than control participants in making their judgments of agency. Furthermore, the failure to use these internal diagnostic cues to their own agency was correlated with decrements in a theory of mind task."
According to the news editors, the research concluded: "These findings suggest that a reduced sensitivity to veridical internal cues about the sense of agency is related to mentalizing impairments in autism."
For more information on this research see: Metacognition of agency and theory of mind in adults with high functioning autism. Consciousness and Cognition, 2015;31():126138.
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Neurology; Investigators at Lake Erie College Report Findings in Autism
405 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest Research findings on Neurology are discussed in a new report. According to news reporting originating in Erie, Pennsylvania, by NewsRx journalists, research stated, "Autism spectrum disorder (ASD) is a neurodevelopmental disorder characterized by a number of behavioral and social features. Although the etiology of most cases of ASD is idiopathic, a significant number of cases can be attributed to genetic causes, such as chromosome 15q duplications [dup(15q)]."
The news reporters obtained a quote from the research from Lake Erie College, "Recent neuropathological investigations have provided evidence for distinct patterns of heterotopias and dysplasias in ASD and subjects with both ASD and dup(15q). Individuals with ASD characteristically have hearing difficulties and we have previously demonstrated significant and consistent hypoplasia in a number of auditory brainstem nuclei in subjects with ASD. Herein, we compare results from a morphometric investigation of auditory brainstem nuclei in subjects with ASD, dup(15q) and controls. Our observations in subjects with ASD support our previous reports. However, in subjects with dup(15q), we find significantly fewer neurons and in many nuclei, neurons were significantly smaller than in ASD subjects. Finally, we find a notably higher incidence of ectopic neurons in dup(15q)."
According to the news reporters, the research concluded: "These results suggest that in the brainstem, these neuropathological conditions may evolve from some of the same developmental errors but are distinguished on microscopic features."
For more information on this research see: Organization Of The Human Superior Olivary Complex In 15q Duplication Syndromes And Autism Spectrum Disorders. Neuroscience, 2015;286():216230.
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Genetic Diseases and Disorders; Data on Down Syndrome Detailed by Researchers at University of North Carolina
515 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest A new study on Genetic Diseases and Disorders is now available. According to news reporting out of Chapel Hill, North Carolina, by NewsRx editors, research stated, "Prevalence estimates of autism spectrum disorder (ASD) in Down syndrome (DS) are highly varied. This variation is partly due to the difficulty of screening for and diagnosing comorbid ASD in individuals with a syndrome that carries its own set of social communicative and behavioral difficulties that are not well documented."
Our news journalists obtained a quote from the research from the University of North Carolina, "The aim of this study was to identify the typical range of social communicative impairments observed in children, adolescents, and young adults with DS who do not have comorbid ASD. We examined patterns of scores from the five subscales of the Social Responsiveness Scale (SRS) in 46 individuals with DS (ages 1021 years) without comorbid ASD relative to the published normative sample. We also explored the correlations between SRS symptomatology and age, nonverbal cognition, and receptive language. SRS scores were elevated (i.e., more ASD symptoms endorsed), with mean scores falling into the clinically significant range. Analysis by subscale revealed a specific pattern, with Autistic Mannerisms and Social Cognition scores significantly more elevated than Social Communication scores, which were significantly more elevated than Social Awareness and Social Motivation scores. Correlations between SRS scores and the other measures varied by subscale. General elevated ASD symptomatology on the SRS indicates the need for developing populationbased norms specific to DS."
According to the news editors, the research concluded: "The pattern of scores across subscales should inform clinicians of the typical range of behaviors observed in DS so that individuals with atypical patterns of behavior can be more easily identified and considered for a full ASD evaluation."
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For more information on this research see: Patterns of autism spectrum symptomatology in individuals with Down syndrome without comorbid autism spectrum disorder. Journal of Neurodevelopmental Disorders, 2015;7():19.
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Neurology; New Findings on Autism Described by Investigators at University of Toronto
401 mots23 février 2015Mental Health Weekly Digest© Copyright 2015 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2015 FEB 23 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Mental Health Weekly Digest Investigators publish new report on Neurology. According to news reporting out of Toronto, Canada, by NewsRx editors, research stated, "Ankrd11 is a potential chromatin regulator implicated in neural development and autism spectrum disorder (ASD) with no known function in the brain. Here, we show that knockdown of Ankrd11 in developing murine or human cortical neural precursors caused decreased proliferation, reduced neurogenesis, and aberrant neuronal positioning."
Our news journalists obtained a quote from the research from the University of Toronto, "Similar cellular phenotypes and aberrant ASDlike behaviors were observed in Yoda mice carrying a point mutation in the Ankrd11 HDACbinding domain. Consistent with a role for Ankrd11 in histone acetylation, Ankrd11 was associated with chromatin and colocalized with HDAC3, and expression and histone acetylation of Ankrd11 target genes were altered in Yoda neural precursors. Moreover, the Ankrd11 knockdownmediated decrease in precursor proliferation was rescued by inhibiting histone acetyltransferase activity or expressing HDAC3."
According to the news editors, the research concluded: "Thus, Ankrd11 is a crucial chromatin regulator that controls histone acetylation and gene expression during neural development, thereby providing a likely explanation for its association with cognitive dysfunction and ASD."
For more information on this research see: Ankrd11 Is a Chromatin Regulator Involved in Autism that Is Essential for Neural Development. Developmental Cell, 2015;32(1):3142.
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Genetics; Study Findings from Hospices civils de Lyon Broaden Understanding of Medical Genetics
420 mots21 février 2015Obesity, Fitness & Wellness Week© Copyright 2015 Obesity, Fitness & Wellness Week via NewsRx.com
2015 FEB 21 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Obesity, Fitness & Wellness Week Current study results on Genetics have been published. According to news reporting originating from Lyon, France, by NewsRx correspondents, research stated, "Deletions or duplications of chromosome 19 are rare and there is no previous report in the literature of a ring chromosome derived from proximal 19p. Copy Number Variants (CNVs) responsible for complex phenotypes with Social Communication Disorder (SCD), may contribute to improve knowledge about the distinction between intellectual deficiency and autism spectrum disorders."
Our news editors obtained a quote from the research from Hospices civils de Lyon, "Case presentation: We report the clinical and cytogenetic characterization of a patient (male, 33 yearsold, first child of healthy Portuguese nonconsanguineous parents) presenting with a complex phenotype including SCD without intellectual deficiency and carrying a mosaic supernumerary ring chromosome 19p. MicroarrayBased Comparative Genomic Hybridization and Fluorescence in situ Hybridization were performed. Genetic analysis showed a large mosaic interstitial duplication 19p13.12p12 of the short arm of chromosome 19, spanning 8.35 Mb. Our data suggested a putative association between psychosocial dysfunction and mosaic pure trisomy 19p13.2p12. This clinical report demonstrated the need to analyze more discreet traitbased subsets of complex phenotypes to improve the ability to detect genetic effects."
According to the news editors, the research concluded: "To address this question and the broader issue of deciphering the yet unknown genetic contributors to complex phenotype with SCD, we suggest performing systematic psychological and psychiatric assessments in patients with chromosomal abnormalities."
For more information on this research see: Complex phenotype with social communication disorder caused by mosaic supernumerary ring chromosome 19p. BMC Medical Genetics, 2014;15():15.
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Neurology; Study Data from City University of New York Provide New Insights into Autism
483 mots21 février 2015Obesity, Fitness & Wellness Week© Copyright 2015 Obesity, Fitness & Wellness Week via NewsRx.com
2015 FEB 21 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Obesity, Fitness & Wellness Week Researchers detail new data in Neurology. According to news reporting originating from New York City, New York, by NewsRx correspondents, research stated, "BTBR mice exhibit several autisticlike behaviors and are currently used as a model for understanding mechanisms that may be responsible for the pathogenesis of autism. Ras/Raf/ERK1/2 signaling has been suggested to play an important role in neural development, learning, memory, and cognition."
Our news editors obtained a quote from the research from the City University of New York, "Two studies reported that a deletion of a locus on chromosome 16 containing the mitogenactivated protein kinase 3 (MAPK3) gene, which encodes ERK1, is associated with autism. In the present study, Ras/Raf/ERK1/2 signaling was found to be upregulated in BTBR mice relative to matched control B6 mice, to further suggest involvement in the pathogenesis of autism. To further characterize the developmental pattern of Ras/Raf/ERK1/2 signaling, varying stages during development were sampled to reveal an upregulation in newborn and 2week old BTBR mice relative to agematched B6 mice. By the age of 3week, Ras/Raf/ERK1/2 signaling in the brain of BTBR mice was unaltered relative to B6 mice, with this trend maintained in 6week samples. These results suggest that the alteration of Ras/Raf/ERK signaling in the early developmental stages in mice could contribute to the noted autistic phenotype."
According to the news editors, the research concluded: "Furthermore, these findings support the value of BTBR mice to serve as a human analog for autistic etiological research and aid in a better understanding of the developmental mechanisms of autism."
For more information on this research see: The developmental pattern of the RAS/RAF/Erk1/2 pathway in the BTBR autism mouse model. International Journal of Developmental Neuroscience, 2014;39():28.
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Alzheimer Disease; Protective brain protein reveals gender implications for autism
659 mots20 février 2015Health & Medicine Week© Copyright 2015 Health & Medicine Week via NewsRx.com
2015 FEB 20 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Health & Medicine Week For parents of children struggling with autism, the dearth of information is heartbreaking. Medical professionals are hard put to answer the primary questions: Who is autistic? What causes autism? What treatments are available? The situation is similar for Alzheimer's patients and relatives, who are helpless before the aggressive disease devouring a sufferer's identity.
A new study by Tel Aviv University's Prof. Illana Gozes, published in Translational Psychiatry, may offer insight into the pathology of both autism and Alzheimer's by revealing that different activities of certain proteins in males and females cause genderspecific tendencies toward these diseases. While the threetoone ratio of autism in boys to girls is well known, as is the greater number of female Alzheimer's patients, the reasons for these phenomena are less clear.
According to Prof. Gozes, "If we understand how ADNP, an activityrelated neuroprotective protein which is a major regulatory gene, acts differently in males and females, we can try to optimize drugs for potential future therapeutics to treat both autism and Alzheimer's disease."
Prof. Gozes is the incumbent of the Lily and Avraham Gildor Chair for the Investigation of Growth Factors, Head of the Elton Laboratory for Molecular Neuroendocrinology at TAU's Sackler Faculty of Medicine, a member of TAU's Adams Super Center for Brain Studies and the Sagol School of Neuroscience. Research for the study was conducted by graduate students Anna Malishkevich, Noy Amram and Gal HacohenKleiman, in collaboration with postdoctoral fellow Dr. Iddo Magen, and staff scientist Dr. Eliezer Giladi, all of TAU.
For the purpose of the new study, Prof. Gozes and her team examined the behavioral response of male and female mice, both ADNPaltered and normal, to different cognitive challenges and social situations. To do so, they removed one copy of the ADNP gene which regulates over 400 proteins involved in development from some
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mice, and then examined their respective responses to unfamiliar objects, odors, and other mice.
Their results revealed sexspecific learning and memory differences in the mice, reflecting hippocampal expression changes in ADNP, resulting in ADNPcontrolled autism and in genes which indicate a risk for Alzheimer's disease. For example, ADNPdeficient male mice exhibited deficiencies in object recognition and social memory, whereas ADNPaltered female mice were more socially deficient compared to the nonaltered females.
"ADNP may be new to the world of autism, but I have been studying it for 15 years," said Prof. Gozes. "Its genderdependent expression changes male and female chemical tendencies toward different neurological disorders. Male and female mice may look the same and their brains may look the same, but they are not. When the expression of ADNP is different, it may cause different behaviors and different cognitive abilities.
"This study emphasizes the need to analyze men and women separately in clinical trials to find cures for diseases because they may respond differently," she concludes.
Prof. Gozes hopes the new study will prompt further research into the drug Davunetide (NAP) as a means of treating social and cognitive deficits with special attention to gender differences. Prof. Gozes discovered Davunetide (NAP), a snippet of ADNP, by looking at the nerve cell protective activity of ADNP fragments. Proofofconcept clinical studies performed in adults have shown that Davunetide protects memory in patients suffering from the mild cognitive impairment that precedes Alzheimer's disease as well as functional activity in schizophrenia patients.
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Science; Reports Summarize General Science Study Results from University of Alabama
344 mots20 février 2015Science Letter© Copyright 2015 Science Letter via NewsRx.com
2015 FEB 20 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Science Letter Investigators discuss new findings in Science. According to news originating from Birmingham, Alabama, by NewsRx correspondents, research stated, "Recent studies of genomic variation associated with autism have suggested the existence of extreme heterogeneity. Largescale transcriptomics should complement these results to identify core molecular pathways underlying autism."
Our news journalists obtained a quote from the research from the University of Alabama, "Here we report results from a largescale RNA sequencing effort, utilizing regionmatched autism and control brains to identify neuronal and microglial genes robustly dysregulated in autism cortical brain. Remarkably, we note that a gene expression module corresponding to M2activation states in microglia is negatively correlated with a differentially expressed neuronal module, implicating dysregulated microglial responses in concert with altered neuronal activitydependent genes in autism brains."
According to the news editors, the research concluded: "These observations provide pathways and candidate genes that highlight the interplay between innate immunity and neuronal activity in the aetiology of autism."
For more information on this research see: Transcriptome analysis reveals dysregulation of innate immune response genes and neuronal activitydependent genes in autism. Nature Communications, 2014;5():5360.
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Glutamate Receptors; Scientists view effect of whisker tickling on mouse brains
590 mots20 février 2015Health & Medicine Week© Copyright 2015 Health & Medicine Week via NewsRx.com
2015 FEB 20 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Health & Medicine Week Researchers at The Johns Hopkins University have succeeded in peering into the brains of live mice with such precision that they were able to see how the position of specific proteins changed as memories were forged. The technique has broad applications for future studies on learning and on what goes wrong in disorders like autism, Alzheimer's disease and schizophrenia.
A report on the research will be published Feb. 2 in the journal Nature Neuroscience.
"As far as we know, no one has ever been able to look at receptor proteins in live animals before," says Richard Huganir, Ph.D., professor and director of the Department of Neuroscience at the Johns Hopkins University School of Medicine. "This allows us to get a more accurate picture of what's really happening as the brain processes experiences into memories."
At the heart of the story are AMPA receptors, which are proteins that live on the outside of nerve cells andreceive signals in the form of the molecule glutamate. AMPA receptors play an important role in strengthening and weakening synapses, or the connections between nerve cells that form memories. Up until now, scientists were limited to studying AMPA receptors in nerve cells grown in the laboratory or in tissue samples, but neither of those methods could preserve the complex circuitry, hormones and neurochemicals of a living brain.
To solve that problem, Huganir's team, led by postdoctoral fellow Yong Zhang, Ph.D., created mice whose AMPA receptors would glow under the light of a special microscope. Because the microscope can focus at a depth of 0.5 millimeters, it can peer into the outer layer of the brain, called the cortex. There, thousands of nerve cells carry information from every part of the body, and each whisker has a whole group of dedicated nerve cells called barrel fields.
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The team imaged the mice immediately before and after they tickled a single whisker on each mouse for an hour. What they saw surprised them: Tickling alone was sufficient to increase the number of AMPA receptors in and strengthen the synapses of the barrel fields of the tickled whiskers. Checking back over the next few days, the researchers found that the AMPA receptor levels remained high, suggesting that the whiskertickling experience had a longterm effect on the mice's memories.
"The mysteries are the purpose that is served by strengthening these synapses, and whether more AMPA receptors are being made or if they are moving in from somewhere else," says Zhang. "Future studies will address those questions."
Huganir says: "This technique opens up many more possibilities, like visualizing learning at the molecular level as it is happening in the intact brain in healthy mice and in mouse models of brain disorders."
The group first plans to apply the new technique to see what happens as mice learn a complex motor task. With better optics, they also hope to one day be able to go deeper into the brain to areas like the hippocampus, which has a crucial role in memory formation and has been implicated in neurological disorders like autism, Alzheimer's disease and schizophrenia.
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Pediatric Psychology and Psychiatry; Researchers at University of Rennes Target Pediatric Psychology and Psychiatry
521 mots20 février 2015Health & Medicine Week© Copyright 2015 Health & Medicine Week via NewsRx.com
2015 FEB 20 (NewsRx) By a News ReporterStaff News Editor at Health & Medicine Week Data detailed on Pediatric Psychology and Psychiatry have been presented. According to news reporting originating in Rennes, France, by NewsRx journalists, research stated, "Autistic spectrum disorders (ASD) are characterised by attention deficits in communication and social interactions and a lack of interest in people. Data are mostly based on clinical situations."
The news reporters obtained a quote from the research from the University of Rennes, "However, recent studies have shown a more mixed situation where children with ASD (ASD children) displayed interest towards humans, in both experimental and natural settings. The aim of this study was to assess the interest of ASD children in a natural standardised home setting. Here, we hypothesised that ASD children would display more interest towards animate stimulihuman and petwhen in the child's home than in the lab experimental setting. We used an ethological approach involving observations, a methodological alternative to lab static techniques, to investigate the behaviour of ninety 6 to 12yearold ASD and typical development (TD) children. Our results were consistent with those of the literature revealing that the ASD children displayed interest towards animate stimuli as did children with TD children. Interestingly, while the ASD children showed higher interest towards humans, e.g. their parent, than the TD children did, they showed less interest towards pet compared to the TD children. Our results suggested that animals are not inherently easy to decode for ASD children, in contrast with previous experiences where a pet was regarded as a more attractive partner, easier to be understood. At last, the ASD children changed more frequently their focus point than the TD children did. These differences may be explained by the reduced attention skills in ASD or the study's context."
According to the news reporters, the research concluded: "To conclude, larger exploratory studies in natural settings conducted beyond ordinary human to human interactions are crucial for better understanding of the underlying mechanisms involved in social interactions in ASD."
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For more information on this research see: Interest towards human, animal and object in children with autism spectrum disorders: an ethological approach at home. European Child & Adolescent Psychiatry, 2015;24(1):8393.
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Autism Genes Activate During Fetal Brain Development
513 mots18 février 2015US Fed NewsCopyright 2015. HT Media Limited. All rights reserved.
LA JOLLA, Calif., Feb. 18 The University of California at San Diego issued the following press release:
Scientists at the University of California, San Diego School of Medicine have found that mutations that cause autism in children are connected to a pathway that regulates brain development. The research, led by Lilia Iakoucheva, PhD, assistant professor in the Department of Psychiatry, is published in the February 18 issue of Neuron.
The researchers studied a set of wellknown autism mutations called copy number variants or CNVs. They investigated when and where the genes were expressed during brain development. "One surprising thing that we immediately observed was that different CNVs seemed to be turned on in different developmental periods," said Iakoucheva.
Specifically, the scientists noted that one CNV located in a region of the genome known as 16p11.2, contained genes active during the late midfetal period. Ultimately, they identified a network of genes that showed a similar pattern of activation including KCTD13 within 16p11.2 and CUL3, a gene from a different chromosome that is also mutated in children with autism.
"The most exciting moment for us was when we realized that the proteins encoded by these genes form a complex that regulates the levels of a third protein, RhoA," said Iakoucheva. Rho proteins play critical roles in neuronal migration and brain morphogenesis at early stages of brain development. "Suddenly, everything came together and made sense."
Further experiments confirmed that CUL3 mutations disrupt interaction with KCTD13, suggesting that 16p11.2 CNV and CUL3 may act via the same RhoA pathway. RhoA levels influence head and body size in zebrafish, a model organism used by geneticists
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to investigate gene functions. Children with 16p11.2 CNV also have enlarged or decreased head sizes and suffer from obesity or are underweight. "Our model fits perfectly with what we observe in the patients," said Guan Ning Lin, PhD, a fellow in Iakoucheva's laboratory and cofirst author with Roser Corominas, PhD.
Interestingly, the RhoA pathway has recently been implicated in a rare form of autism called Timothy syndrome, which is caused by the mutation in a completely different gene. "The fact that three different types of mutations may act via the same pathway is remarkable," said Iakoucheva. "My hope is that we would be able to target it therapeutically."
Iakoucheva and colleagues are planning to test RhoA pathway inhibitors using a stem cell model of autism. "If we can discover the precise mechanism and develop targeted treatments for a handful of children, or even for a single child with autism, I would be happy," she said.
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Study: Saliva Test Could Help Diagnose Children with Autism
Jessica Berman 418 mots18 février 2015Voice of America Press Releases and DocumentsCY Copyright (c) 2015 Federal Information & News Dispatch, Inc.
Study: Saliva Test Could Help Diagnose Children with Autism
Jessica Berman
February 18, 2015 3:35 PM
A spit test may someday be used to help diagnose children with autism. Children with the complex neurodevelopmental disorder often have trouble communicating, and a saliva test which detects the levels of various proteins could offer an objective way to identify youngsters with autism.
Children with autism spectrum disorder have differences in protein levels, compared to those who do not have autism, and those differences may be detected in their saliva.
Researchers at Clarkson University and the State University of New York at Plattsburgh found that nine proteins were elevated in the saliva of the six autistic children who were studied, and three proteins were lower or even absent.
Alisa Woods of the SUNY Plattsburgh Center for Neurobehavioral Health helped lead the study (https://www.researchgate.net/publication/269396345_A_Pilot_Proteomic_Analysis_of_Salivary_Biomarkers_in_Autism_Spectrum_Disorder). She says youngsters suspected of having the disorder which is marked by interpersonal communication difficulties and repetitive behaviors are currently diagnosed after being observed by psychologists.
"They rely on behavior, they are complicated, there might be some subjectivity to them. Even though they are very, very good, [a saliva test] could be simpler; it might be a simple screening method and a more objective one," says Woods.
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An estimated one in every 68 children in the United States has autism spectrum disorder and experts say that number is growing. Similar prevalences are likely around the world.
Woods says one of the dozen proteins that is altered in autistic children is linked to gastrointestinal problems.
"Because gastrointestinal distress is so common in people with autism, maybe this could be a biomarker for people with that problem. People with autism sometimes have difficulties communicating their symptoms because it's a social communication disorder. So, this biomarker could be useful for seeing if people have this type of problem... and it might direct treatment," says Woods.
Another protein in the complex involves immune function.
Woods says researchers gravitated toward a saliva test because it is quick and easy to perform. It could identify the disorder earlier than waiting for behaviors to develop, so treatment could begin sooner.
She says the results of study published in the journal Autism Research need to be repeated by scientists, in larger groups of children, to determine whether a saliva test for autism could become a reality.
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