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Extrait de la publication

Table analytique \rdes Annonces .jr^(Les chiffres indiqués sont ceux des pages) ^iÉ^M

NOUVEAUTÉS

HENRI Michaux. Plume précédé de Lointain Intérieur 269ROMANS 1MARCEL ARLAND. Terre natale 255ROBERT BOURGET-PAILLERON. Conquête

de la Bourgogne. 259LÉo- PAUL DESROSIERS. Les Engagés du

Grand Porta2e ~<;4E. W. Irwin et IVAN Ggff. Adieu à l'In- 1nocence 269 jjROBERT FRANCIS. La jeune Fille secrète. 257 MSimenon. Le Suspect 261 tFrançois Vèrnet. Ce bon Temps. 2 k6 t

Dennis WHEATLEY. La Découverte de l'Atlantide 258

MÉMOIRES, SOUVENIRSLucîeDelaruè-Mardîius. Mes Mémoires. 263 M. Saint-Clair. Il y a quarante Ans. 262

HISTOIRE

Divers. Histoire des Révolutions 265MARÉCHAL et MADAME TCHANG KAi CHEK. Les Origines du Drame chinois 266

PROBLÈMES ET DOCUMENTS IN-OCTAVO

MAURICE LACHIN. La Chinecapitaliste. 267DOCUMENTS

Dr RENÉ ALLENDY. Rêves expliqués 268ACTUALITÉS

Centenaire de la Mort de Talleyrand. 264bibliothèque: DE LA pléiade

Historiens et Chroniqueurs du Moyen Age 2781 VERLAINE. Œuvres poétiques complètes. 279MUSÉE DE LA PLÉIADE

Giuseppe Fiocco. Mantegna 4e couvertureOpinions de la critiques sur cette collection 3» couverture

SOUSCRIPTIONS

MARCEL AYMÉ. Derrière chez Martin. 28I

MAuRicE BARING. Darby et joan 288N. BERDI~EFF. Les Sources et la Signi-

fication du Communisme ruSse. 295GEORGES BENOIT-GUYOD. Nouvelles his-

toires de Gendarmes. 290HENRY BlDou. Paris (illustré). 293LÉON BoPP. Liaisons du Monde. z8,;MARIE-ANNE COMNÈNE. Grazia. 282

RENÉ DAUMAL. La Grande Beuverie. 289LUCILE DECAUX. Louison. 290HANS FALLADA. Le Roman du Prisonnier. 288

JULIEN FRANÇON. L'Esprit des Abeilles. 292H.FiELDiNG.TomJones. 287DANIEL DE FOE. Robinson Crusoë. 287NICOLAS GOGOL. Nouvelles. 281

ELIE HALÉVY. L'Ere des Tyrannies. 295PIERRE HAMP. Perdu dans le gratte-ciel. 292STEPHENHUDSON.Myrte. 286MARCEL JOUHANDEAU. Chroniques mari-tales. 283

FRANZ KAFKA. Le Château. 286J. KESSEL. Mermoz. 291GEORGES LIMBOUR. Les Vanilliers. 282CHARLES MAUBAN. Le Pain des Larmes.. 284GEORGES MAGNANE. Portonero 284V. NABOKOFF. La Méprise 285PAUL NIZAN. La Conspiration. 284PAUL RIVAL. Marie Mancini. 291BERTRAND RussELL. Histoire des Idées

au XIX6 Siècle 295E. O'NEILL. L'Étrange Intermède. 286A.-M. SELINKO. J'étais une jeune Fillelaide. 285

M.-W. THACKERAY. La Foire aux Vanités 287VmLETTREFUStS.IIcourt.itcourt. 285UNGARETTI. Vie d'un Homme. 289SIMENON. Les Sœurs Lacroix. 246

PAUL VALÉRY. Degas Danse Dessin. 296PIERRE VIRÉ. Fortune de Mer. 21b

VOLTAIRE. Lettres d'Alsace. 294111 OPIVIONS DE LA CRITIQUE

EMtLio Cecchi. Giotto. 3e couvertures! Eve Curie. Madame Curie. 277

Etiemble. L'Enfant de chœur 274H GEORGES Friedmann. De la sainte Russie

M àl'U. R.S.S 275H Carlo GAMBA. Botuoelli 3* couverturejj Jules SUPERVIELLE .L'Arche de Noë

JEAN Liiermite. Les Mécanismes du Cer- 1veau 276 ))

HENRI Pourrat. Le Secret des Compa- Mgnons 270 M

A. Rolland DE Rehévtlle. L'Expérience Npoétique 271

280 t

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2. G. BERNANOS. Les grands cimetièressous la lune. 20 fr.

3. R. BOURGET-PAILLERON. Conquêtede la Bourgogne. 21fr.

4. R. BRASILLACH. Corneille. 20 fr.

5. BROGLIE. Mémoires du Duc de Broglie.I. 1825-1870. 45 fr.

6.1'CARCO.Avoixbasse. 18 fr.

7. II. CAROSSA. Journal de guerre, tra-duit de l'allemand. 15 fr.

8. J. CHENEVIÈRE. Valet, Dames, Roi.Prix. 18 fr.

9. G. CIŒRAU. Antée. i6,5o10. K. CLERMONT. Amour promis. 18 fr.11. A. CORTIIIS. Masques. 18 fr.12. G. DUHAMEL. Le dernier voyage deCandide. 40 fr.

13. I)ussntaE. Sophie Arnould. 12 fr.14. IL DUVERNOIS. Le vieux drame.

Prix. 16,5015. A. FEUGÈRE. Le mouvement religieux

dans la littérature duxvlle siècle.Prix. 18 fr.

16. R. FRANCIS. La jeune fille secrète.Prix. oo fr.

17. Y. GANDON. Le démon du style.Prix 18 fr.18. L. HEARN. Fantaisies créoles suivi deRêveries Floridiennes. Traduit de

l'anglais 15 fr.

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19. A. Hermant. La Castiglione, La Damedes Tuileries (1835-1899) 18 fr.

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21. G. DE LA Fouchardière. Histoire d'un

petit Juif •. i8_fr.22. R. DE LA TAILHEDE. Les poésies.

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23. P. DE LA TOUR DU PIN. La vie recluseen poésie suivi de présences en poésiepar Daniel Rops 16,5o

24. II. MALHERBE. Richard Wagner révo-lutionnaire 25fr.

25. A. Maurois. Conseilsà un jeune fran-çais partant pour l'Angleterre. 9 fr.

26. G. MEGRET. Ils sont déjà des hommes.Prix 18 fr.

27. I. NEMIROVSKY. La proie. 18 fr.28. J. Po'mmares. La mort à dix-huit ans.Prix' 15 fr.

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45. J. DORIOT. Refaire la France. 7,5046. R. GOUL. Les maîtres de la Tchéka.

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48. P. LAROQUE. Les rapports entre pa-trons et ouvriers. 30 fr.

49. LA VARENDE. Anne d'Autriche, femmede Louis XIII. 25fr.

50. P. MELON. Le général Hogendorp.Prix. 22 fr.

51. P. MORAND. Isabeau de Bavière,femme de Charles VI. 25fr.

52. B. NABONNE. La vie privée de Robes-pierre. 18 fr.

53. G. PIERRE. Le Vaucluse. MonographiePrix 15 fr.

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55. A. RIBARD. La France, histoire d'unpeuple. 2o fr.

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Hiy* VlENl DE PARAITRE.

LÊO-PAUL DESROSIERS

LES ENGAGÉSDU

GRAND PORTAGE

ROMAN

UN VOLUME IN-l6 DOUBLE-COURONNE 18 fr.

Ce roman canadien, écrit par un canadien, peint partouches larges et vraies la guerre des fourrures, telle qu'elleétait menée vers 1830, au grand dommage des Indiens Peaux-Rouges, entre les compagnies pelletières. Ni couleur locale, nigrandiloquence, ni fausse sensibilité. M. Léo-Paul Desrosiers,que l'on tient d'un commun accord pour le meilleur romanciercanadien d'aujourd'hui, conte, au plus simple, ce qu'il connaîtet ce qu'il imagine. Les aventures de Nicolas Moncontour, sonhéros, passionneront plus d'un lecteur.

Ajoutons que ce roman d'aventures peut être mis entretoutes les mains.

Notice biographique

Léo-Paul Desrosiers naquit à Berthier-en-haut, province de Québec, Canada, d'une vieillefamille de cultivateurs, occupant la même terre, depuis que leurs ancêtres jorésiens et normands,émigrèrent dans la Nouvelle France, vers 1635. 1.éo-Paul Desrosiers fit ses études primaires â Ber-thier, ses études secondaires au Collège de Joliette. Après ses trois années de Droit à l'Université,il entra comme correspondant parlementaire au Devoir, journal montréalais. En 1922, il épousaitMarie-Antoinette Tardif, connue dans le monde des lettres canadiennes sous le pseudonyme deMichelle Le Normand. Déjà à cette époque, des articles avaient signalé au public le talent de Léo-Paul Desrosiers. Dans l'automne 1922, il publiait son premier livre Ames et Paysages, recueilde longues nouvelles, qui obtint le prix d'Action Intellectuelle. En 1927, L.-P. Desrosiers aban-donna le journalisme, pour devenir sous-chef aux journaux français à la Chambre des Communes,Ottawa, poste qu'il occupe encore.

En 1931, il publiait son premier roman: Nord Sud, qui attira l'attention de M. Gallimard. Maissix ans devaient s'écouler avant que M. Desrosiers n'offrît à la N. R. F.sonnouveauroman: LesEngagés du Grand Portage.

A Montréal, M. Desrosiers a encore publié aux éditions du Devoir, un volume de nouvellesLe Livre des Mystères, 1936, et â l'automne, 1937, un volume: L'Accalmie.

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tlFf' VIENT DE PARAITRE

MARCEL ARLAND

TERRE NATALE

ROMAN

UN volume IN-I6 DOUBLE COURONNE. 21 fr.

20 exemplaires numérotés sur pur fil Lafuma Navarre 70 fr.35 exemplaires numérotés sur alfa supérieur 48 fr.

Ce livre retrace la vie commune d'un village et d'un enfant.

Ce n'est exactement ni un livre de souvenirs, ni un tableau de

la campagne, mais le récit d'une découverte la découverte

par cet enfant de ses appuis, de ses parentés, de ses alliances,

et, si l'on veut, de certaines valeurs que, vingt ou trente ans

plus tard, il reconnaîtra pour essentielles.

Je n'ai point voulu imposer à ce récit la forme habituelle du

roman, ne me fiant pas moins à la diversité des thèmes et des

épisodes qu'à leur accord profond pour donner à mon livre sa

figure.

· M. A.

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ETIENNE,roman 12 fr.r.

LA ROUTE OBSCURE 12 fr.

MONIQUE précédée de TERRES ÉTRANGÈRES, romans 12 fr.OU LE CŒUR SE PARTAGE 13.50

LES AMES EN PEINE, nouvelles 13.50

L'ORDRE roman (Prix Goncourt1929) 28 fr.Collection in-octavoàà la gerbe «2 v. surbruge. 70 fr.

2v.sur hollande 130 fr.

EDITH (avec un frontispice de Galanis) sur hollande, nouvelle 40 fr.ESSAIS CRITIQUES 15 fr.

CARNETS DE GILBERT (illustrés par Rouault) survélin 300 fr.ANTARES,roman 10.50LES VIVANTS, nouvelles 12 fr.

LA VIGIE.roman 15 fr.

LES PLUS BEAUX DE NOS JOURS, nouvelles. 15 fr.

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QJF ? VIENl DE PARAITRE

FRANÇOIS VERNET

CE BON TEMPS

ROMAN

UN volume in-i6 douple COURONNE. 20 fr.

Ce bon temps nous l'avons tous connu. Nous l'appelons ainsi

parce que nous avons oublié les angoisses qui l'ont peuplé.C'est le temps où l'on a encore peur de vivre, et où cette peur.fait souffrir autant que la vie même. Mais il nous paraît si dé-

licieux parce qu'il nous offre comme une esquisse de nous-mêmes que nous préférons au moi plus achevé dont nQus

faisons connaissance plus tard.

Ce bon temps n'est un temps ni de bonté, ni de joie, ni d'in-dulgence c'est une des époques les plus malheureuses de la viede l'homme.

François Vernet n'a pas essayé de peindre une jeunesse heu-

reuse et gaie comme nous la présente la légende il nous la montre

aux prises avec les mystères intérieurs et extérieurs qui troublent

si profondément nos dix-huit ans. Mais Ce bon temps n'est pasun roman psychologique. C'est plutôt une succession d'aven-

tures dans lesquelles la peur et l'audace qui sont sœursjettent quelques jeunes gens bien différents de caractère.

Tantôt triste, tantôt gai, mystérieux et ouvert ce livre nous

plonge dans la jeunesse jusqu'au cou.

Notice biographique

François Vernet est âgé de dix-neuf ans. C'est son premier livre.

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(H/' VIENT DE PARAITRE

ROBERT FRANCIS

LA JEUNE FILLE

SECRÈTEROMAN

UN VOLUME nsr-16 DOUBLE COURONNE. 18 fr.

12 exemplaires numérotés sur purfil. 60 fr.25 exemplaires numérotés sur alfa supérieur 35 fr.

Une• bandede jeunes gens dont plusieurs appartiennent par force à cette catégoriedechômeurs éternels» qui est apparue depuis quelques années se réunit chaque soirchez l'un d'eux, le plus âgé, le docteur Van Looten, médecin-assistant dans une cliniquede Neuilly.

La misere, le manque d'idéal propres à beaucoup de sa génération, une certaine veulerie,amènent l'un d'entre eux au point de commettre un crime sur la personne d'une de sesamies d'enfance, Béatrice, la« jeune fille secrète» qui, elle aussi, après un mariage mal-heureux« flotte dans la vie comme un lambeau d'étoffe sur le trottoir «. Assailli par la crainteet le remords, Fred se rend auprès de son père dans l'espoir d'y trouver un refuge contrelui-même mais il ne tarde pas à s'apercevoir que « les ponts sont coupésentre eux et

« qu'il n'a plus l'âge d'être un enfant ».Van Looten, le jeune médecin qui se sent à la fois chef et responsable de cette« bande»veut à tout prix empêcher ce crime qui doit s'accomplir le jour de Noël. Dans la nuit, il

s'efforce de pénétrer les mobiles et les éléments du drame qui se terminera à l'aube et,joignant Béatrice, lui propose un étrange pari qui, s'il le gagne, sauvera la jeune femme.Albert Thibaudet, dans ses« Réflexions sur le roman » distingue leroman passifquiépouse le cours d'une vie individuelle ou familiale duroman actif» qui expose en quelquespages les éléments d'un drame parvenu à son point culminant.

Cette fois, c'est bien un « roman actifqu'a voulu écrire Robert Francis, exposant etdénouant une intrigue en une seule nuit.

L'auteur souhaite avoir réussi à exprimer la valeur éternelle, presquemythique »,du caractère de cette « jeune fille secrète» que la douleur révèle à elle-même. Il souhaite

aussi qu'on y reconnaisse le portrait d'une partie de la jeunesse contemporaine qui, tropsouvent sevrée d'idéaux actifs, trop souvent corrompue par une atmosphère déprimante,lui semble à l'image de plusieurs de ses personnages.

DU MÊME AUTEUR

HISTOIRE D'UNE FAMILLE SOUS LA 111» RÉPUBLIQUE.LA GRANGE AUX TROIS BELLES,roman. 21 fr.

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Â'ik'rediefcKè^fel'Âtlklitidë.v.v. :.v:v;émules de William BeeDe et précurseurs duprofesseur Piçcard

•çte^ hardis 'e^ldratëUrs's'éhfôiicent au 'inoyén d'tlri'e 'batysplîèfe ¡'dans rôcêati Âtlâiitique à lk reciièrclie de l'Atlantideênglbutiè.%ràutè\it, d6m ;bh ^cdkiiaît raéjà îa magistrale iùià^&ttônfétqui 'jouit en Angleterre d'une renommée considérable, nous!enÇraîneâ iaîsûite'êls,és héros 'dans cette ^plongée ^ëriïgiiieUsë

1 au %tid 'de la rher. 'Il n'est :que "d'ouvrir le livre £pou"r "être saisi-par la même angoisse que celle qui etréint les notes de la batys- 1phère à mesure qu'ils Vèhfbhceiit "dàns'râbîmê/pbiir'faoùs'idëh-J>1?:). ~e~e.q~}r~ .~11£ot1ce;rt~1aJ:l~:1 f.)?1Í~\è"1>?~! h<:)~s :i1- Itifier à eux,pour ressentir les memefs craintes, éprouver les mêmes

^ëtclHrfëmén^^tjnBtfs &appfétér Wx fniêrrie^ Ûtté>,tUn excellent roman d 'aventures 'où Denhis Wheatley 'passe

sans cesse du terrain le plus solidement scientifique au fantas-tique le plus hallucinant.

On a retrouvé Atlantis, engloutie mais vivante, Xtlantishabitée par une -population d' « hômnies gris '» qiii Vivent 'selonla nature (mais non sans le concours de la' Chfisfidh' Science).

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UN volume in-i6 DOUBLE couronne 21 fr. 1Une vieille'dame meurt dans un petit village des environs de

Dijon. A la lecture du testament, ses neveux apprennent avecstupeur que sa fortune est partagée entre sa fille unique et unJ

jeune homme, présenté comme son pupille, dont personne de-la famille n'a jamais entendu parler. Révélation qui cause à l'hé-rritière directe une émotion encore plus vive qu'on n'eût pu le"supposer. En1 la vovant près de s'évanouir dans l'étude du no-

taire, ses cousins s'interrogent. Que sait-elle donc pour se mon-trer aussi bouleversée ?

;On la questionne et, peu à peu, elle livre une partie de la vé-rité, la seule qu'elle détienne. Un secret se révèle, enfoui depuisplus 'de- vingt ans, dans la maison familiale. La disparue, en

quittant ce monde, en a emporté la meiLeure part. Celle quireste s'acharneà la découvrir. Le dernier espoir de sa pauvre

J existence y 'demeure attaché. En face de ce garçon à l'identitéinconnue, « pupille » de sa mère, elle veut lutter encore contrele penchant qui l'incline à croire en une réalité selon le vœu de

"son cœur. 'Jusqu'aux dernières pages, le mystère subsistera. Ilsera dénoué de la' façon 1a" plus inattendue.

DU MÊME AUTEUR

CHAMPSECRET, iomin 16.50LE POUVOIR ABSOLU,roman15 fr.

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LES CLEFS DE LA CAISSE,romani 15 fr.

LA ROUTE DE BERLIN,roman 18 fr.

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(HjP VIEN1 DE PARAITRE

E.-W. IRWIN ET IVAN GOFF

ADIEU

A L91NNOCENCE

Traduit de l'anglais par G. DE TONNAC- VILLENEUVE

UN VOUJME IN-16 DOUBLE COURONNE 21 fr.

Adieu à l'Innocence raconte les pérégrinations véridiques de deux jeunes Aus-traliens qui, à 19 ans, quittèrent leur cité natale pour courir le monde. Riches dedeux mille francs environ et de magnifiques illusions, ils perdirent assez rapidementles uns et les autres mais, sans s'avouer vaincus, grâce à une endurance et à uneingéniosité remarquables, ils continuèrent leur voyage, sans argent et malgré lacrise, pour atteindre éventuellement Londres, but qu'ils s'étaient dès l'abordproposé. Que d'aventures et de détours entre temps, parmi les sauvages d'uneîle du Pacifique, les « stars » d'Hollywood, les gangsters américains, et j'en passe

Voici quelques confidences des auteurs qu'on ne trouvera pas dans le livre, maisdont l'objectivité cynique et gaie donne bien le ton dont il est écrit

« Une nuit, un contrebandier d'alcool rentra chez lui plus tôt qu'on ne l'attendaitet à l'aube suivante, nous nous mîmes en route pour New-York, à pied. (De Holly-<wood). Nous n'avions pas d'autre moyen de nous y rendre. Nous prîmes deschemins différents. Goff fit le voyage en neuf jours et trouva Irwin une semaineplus tard sur Broadway. Chacun avait eu un parcours mouvementé. Goff avaitcouvert 1708 milles en un jour dans une auto charitable et Irwin avait parcouruun mille sur 1708 véhicules divers. Cela vous donnera une idée du mode de trans-port. Parmi les incidents marquants, signalons un emprisonnement à Salt LakeCity et deux jours passés en compagnie des gardes du corps de Capone à Chicago. »

« Sur le cargo qui nous emmena de Boston à Londres, nous étions les seuls passa-gers. II perdit son gouvernail au milieu de l'Atlantique et le maître queux chinoisdevint fou et coupa avec son couperet la queue du chat du navire. Deux matelotsinsubordonnés furent mis hors de combat par le second, un vieux loup de mer. » <

« Débarquant à Londres avec cinq shillings en poche, une fortune bien supé-rieure à celle que nous possédions en arrivant dans les autres pays traversésnous passâmes notre première nuit sur les quais de la Tamise (à peu près commesous les ponts, à Paris). Nous y dormons encore de temps à autre »

Les voyages forment la jeunesse l'on n'en doute plus en lisant ces aventuresqui transformèrent Irwin et Goff, ces « innocents » en durs-à-cuire.

G. DE TONNAC-VlLLENEUVE.

i GïT ACHETEZ CHEZ VOTRE LIBRAIREN. R. F. Extrait de la publication

JWy VlENl DE PARAITRE

SIMENON

LE SUSPECT

ROMAN

UN VOLUME IN-16 DOUBLE-COURONNE 16. 50

2o exemplaires numérotés sur alfa supérieur 38 fr.

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LES

SIEURS LACROIXROMAN

En plus du tirage ordinaire, il sera tiré

20 exemplaires numérotés sur alfa supérieur 38 tr.

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Veuillez m'envoyer dès publication exemplaire des SŒURSLACROIX* sur alfa.

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HZ?' VIEN1 DE PARAITRE

M. SAINT-CLAIR

IL Y A

QUARANTE ANS

NOUVELLE ÉDITION

UN volume in-8° tellière 13.5020 exemplaires numérotés sur pulfil 35 fr.

<c Après quarante ans, une femme retrouve en, elle,,

dans, ses souvenirs, toute sa tendresse encore vivante,

tout son désespoir insatiable. Elle en fait le récit qui nous

est donné aujourd'hui. Je ne sais rien de ce récit, sinon

qu'il est sans doute vrai. On n'imite pas à ce point la

réalité. C'est une confession- si sincère, si poignante,

qu'on ne peut la lire soi-même sans émotion, tant, sous

la cendre des années, la premièr&impressmn de la narra-

trice est restée fraîche et la place de son déchirement

encore saignante. Je voudrais qu'on lise ce livre comme il

a été écrit, avec cette simplicité que l'on ressent quand

quelque chose de la vie vous est donné dans un état

presque de nudités »Edmond Jaloux.

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VIE-N.-7i'-BE P~R~/7'RE

5~4N~-MM9MS,

MES

1 IMÉMO-~][RES1

UN VOLUME IN-8° 50~It.velc.. exï, f~pntisp~~un portraitde l'auteur 28 fr.

20 exe~nptair~~umér~ su~atfa 52 fr.

Mme Lucie Delarue-Mardrus, la dernière des inoubliables,

inoubliées, SIX PETITES FILLES, nous donned nui, à lire ses souvenirs.Voici les quelques lignes qu'elle a écrites en guise d'introduc-

tion

« Quand la vie qu'on a vécue n'a pas été. quiconque, un mo-ment vient où, malgré soi, pour ainsi~ dire9 on se, ~oit forcéécrire. ses niemoires.«Ce moment arrive pour moi juste comme j'ai l'impressionde commencer le 'tome troisièmeet 'dernier dë :mori existel1te~'(Car.l'âge q-ue-'j"~Lii nonobstant des dehors assez jeunes, me;p1âcé:entre, peu. d'avenir et beaucoup de, passé. u `

cf Mon intention n'est pas de. raconter, par. lemenu. Ce que jeveux, c'est, dans'un océan "d'oubli, laisser émergerqîÏpts, c'est grouper cet archipel de souvenirs, ànn.'d'établir'm:~vérité, c'est' rester, une fois disparúè;"riÓ1i"pas éhÏièrë.'mais ës~sentielle. -0 °"

cé Il serait aussi ridicule qu,(~ déloyal de voul.oir. retoucher ces~t!~d~~â~r~~is~ ~e~' i~~t~~ï~J;e~e~W;;¿5'avec ai des mots, ces traîtres, d. exprimer ce sera parfoisinexprimable. qi; ,0 ~1; J~ ~}~«Des faits ? Des dates ? Plutôt des chocs, des charmes. Enun mot, des battements de coeur.' -t

« Les distances étant gardées entre une sainte e_~ une profane,ces souvenirs pourraient, comme le livre de la petite sœurThérèse de Lisieux, s'intituler, somme toute, Histoire d'une

~k me. ».L. D.-M.

Novembre 1936, Paris.

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RAPPEL

Centenaire de la Mort de

TALLEYRAND

AI,FRED FABRE-IvUCE

LA VIE DE

TALLEYRAND

UN VOLUME iN-i6 DOUBLE couronne, dans la collec-tion « VIES DES HOMMES ILLUSTRES » 18 fr.

Une biographie ? Un portrait plutôt, où il y a autant de psy-chologie que d'histoire.

Ce diplomate légendaire, profiteur, calculateur, faiseur debons mots, n'a-t-il pas eu une vie secrète, riche de sensibilité ?Alfred Fabre-I,uce le ramène à l'humain. En étudiant son action

politique, il se demande dans quelle mesure l'infidélité aux partisest une fidélité aux idées où est la limite, en matière interna-

tionale, entre l'opposition et la trahison si l'action politique estsusceptible de longs calculs. Et un parallèle avec Napoléon lui

donne l'occasion de rechercher les signes caractéristiques géné-raux du grand homme.

On pense bien que la politique actuelle ne saurait être complè-tement absente d'un livre de Fabre-I/Uce. Il étudie les variations

de l'art diplomatique depuis Talleyrand et se demande commentcelui-ci aurait joué son rôle en période démocratique. Il dégagel'enseignement de cette vie réconcilier la paix et la tradition,la patrie et l'Europe.

DU MÊME AUTEUR

LAVICTOIRE 15 fr.

CAILLAUX 15 fr.

INTERMÈDES 15 fr.

L'AMOUR ET L'ESCORIAL 15 fr.

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Wy* VENT DE PARAITRE

LOUIS MANDIN J. DURETGABRIEL PERREUX ALBERT CRÊMIEUX

LUCIEN DES CAVES VICTOR SERGE

A. ROSSI RENE LAURET JEAN CASSOU

HISTOIRE

DES RÉVOLUTIONS

DE CROMWELL A FRANCO

UN VOLUME IN-8° SOLEIL SOUS COUVERTURE illustrée 27 fr.

Le 6 février 1934 nous a appris qu'une émeute n'est pas si facile à prévoir nià expliquer. L'histoire nous avait laissé une autre impression nous n'y avions vuque des événements accompagnés de leurs causes (présumées) et des conséquencesqui leur sont attribuées nous avions volontiers, avec elle. accusé d'inertie lesGouvernements pour s'être laissé surprendre et vaincre par les révolutions. Aulendemain d'une secousse déjà révélatrice, rien n'était plus tentant que d'appeleren confrontation histoire et actualité, d'écouter, nous témoins d'une journée àcaractère révolutionnaire, le récit des révolutions modernes par des historiensayant autant que possible une expérience politique. De la Renaissanceà nosjours la matière est riche nous n'aurons rien omis d'essentiel, semble-t-il, enconcentrant notre attention sur Cromwell, les révolutions provoquées de 1789,18^0, 1848, la Commune, la révolution bolchevique d'octobre 1917, la marche surRome, le mouvement hitlérien, et le soulèvement nationaliste en Espagne. Latâche de nos collaborateurs était d'expliquer comment et pourquoi des forces deprotestation se groupent et réussissent à renverser un régime donné, carleur butest de nous préparer à mieux comprendre les événements auxquels nous avonsassisté. Aussi devaient-ils arrêter leur enquête au moment de la prise du pouvoir(ou d'un acte de même signification). Personne ainsi ne sera tenté de confondreles mouvements insurrectionnels eux-mêmes et les attitudes adoptées ensuitepar les nouveaux dirigeants.

TABLE DES MATIÈRES

LA RÉVOLUTION D'ANGLETERRE ET CROMWELL, par LOUIS SI ANDIN.LA PRISE DE LA BASTILLE, par J. DURET.LES TROIS GLORIEUSES, par GABRIEL PERREUX.LA RÉVOLUTION DE FÉVRIER 1848, par ALBERT Crêmieux.LES ORIGINES DE LA COMMUNE, par LUCIEN DESCAVES.LA RÉVOLUTION RUSSE,par. VICTOR Sekge.LA MARCHE SUR ROME, par A. Rossi.LA PRISE DU POUVOIR PAR LES NATIONAUX SOCIALISTES, par RENÉ LAUPET.LA RÉVOLUTION ESPAGNOLE,par. JEAN CaBSOU.

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Wrf VIENT DE PARAITRE

MARECHAL ET MADAME TCHANG KAI CHEK

LES ORIGINESDU

DRAME CHINOIS

Traduit de l'anglais par ROBERT DELLE DONNE

Préface de MAURICE PERNOT

UN VOLUME IN-I6 DOUBLE COURONNE, SOUS COUVER-TURE ILLUSTREE 18 fr.

Des centaines de milliers d'hommes voient en Tchang KaiChek « l'Homme de la Destinée » et le sauveur de la Chine.

^Tchang Kai Chek et sa femme, Mme Mayling Soong Tchang(qui a reçu aux Etats-Unis une éducation occidentale) ont tra-vaillé sans répit à la renaissance de la nation chinoise, et l'his-toire de leurs vies est aussi l'histoire de la Chine en cette der-nière décade.

Quand les manchettes des journaux apprirent au monde, ily a un an, que le général Tchang Kai Chek avait été fait pri-sonnier et mis au secret par les rebelles, tous les peuples s'émurent.Pendant deux semaines dramatiques, le sort de la Chine fut in-décis. Mme Tchang Kai Chek, sans la moindre crainte du danger,vola vers son mari et resta à ses côtés tout le temps des périlleusesnégociations. Le général Tchang Kai Chek a tenu le journal deces heures tragiques.

Il l'offre aujourd'hui au public, précédé d'une étude écritepar sa femme.

Voici un document historique d'un prix considérable livré danssa nudité et sa simplicité.

Ceux qui ont vécu ce drame avaient cru sauver en même tempsque leur vie, une des grandes nations du monde.

Aujourd'hui que tout est remis en question, on lira avecpassion le récit de ces événements extraordinaires et l'on appren-dra à mieux connaître la"Chine_surJeAtémoignage direct de ceuxqui ne vivent que pour elle. 4

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Extrait de la publication…famille de cultivateurs, occupant la même terre, depuis que leurs...

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