Etude statique et dynamique de la colonne cervicale

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Mémoire Etude statique et dynamique de la colonne cervicale Application de la technique de Mestdagh à l'examen des nucalgies Ann. Kinésilhér., 1981,8,35-43 J.-Ph. DAVID', E. VIEL2 L'étude de la statique et de la dynamique de la colonne cervicale à partir de clichés radiographiques standards face profil et de clichés dynamiques flexion extension, montre qu'en l'absence de lésions structurales évidentes et en l'absence de signes d'arthrose, il peut exister des gênes articulaires susceptibles d'expliquer les douleurs décrites par les patients. INTRODUCTION La littérature nous apporte de nombreux exemples d'études du rachis cervical normal [1, 3, 11, 12, 13, 16, 17] et de ses perturbations importantes: fractures, luxations, entorses graves [9, 10, 14]. Par contre, nous n'avons trouvé que peu d'écrits sur les perturbations peu im- portantes statiques et cinétiques de cette région [3, 6, 7, 15]. En kinésithérapie nous sommes pourtant très souvent confrontés à des problèmes cervicaux ou à leurs conséquences. Nous avons voulu savoir si l'étude de la statique et de la cinétique de la colonne cervicale C2 à C7 pouvait nous donner un élément de réponse. La colonne cervicale est une lordose (du Grec = voûte) répondant en médecine à la définition: déviation de la colonne vertébrale à convexité antérieure. Ceci implique l'existence, entre chaque vertèbre, vue de profil, d'un angle ouvert en avant que Mestdagh chiffre en degrés, reprenant la technique de Bakke (fig. 1). 1. Stagiaire Moniteur, Ecole de Bois-Larris. 2. Directeur, Ecole de Cadres de Bois-Larris. Tirés à part: Service de documentation BLDOC, B.P. 12, 60260 Lamorlaye. 35

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Mémoire

Etude statique et dynamiquede la colonne cervicale

Application de la technique de Mestdaghà l'examen des nucalgies

Ann. Kinésilhér., 1981,8,35-43

J.-Ph. DAVID', E. VIEL2

L'étude de la statique et de la dynamique de la colonne cervicale àpartir de clichés radiographiques standards face profil et de clichésdynamiques flexion extension, montre qu'en l'absence de lésionsstructurales évidentes et en l'absence de signes d'arthrose, il peut existerdes gênes articulaires susceptibles d'expliquer les douleurs décrites par lespatients.

INTRODUCTION

La littérature nous apporte de nombreux exemples d'études du rachiscervical normal [1, 3, 11, 12, 13, 16, 17] et de ses perturbationsimportantes: fractures, luxations, entorses graves [9, 10, 14]. Parcontre, nous n'avons trouvé que peu d'écrits sur les perturbations peu im­portantes statiques et cinétiques de cette région [3, 6, 7, 15].

En kinésithérapie nous sommes pourtant très souvent confrontés àdes problèmes cervicaux ou à leurs conséquences. Nous avons voulusavoir si l'étude de la statique et de la cinétique de la colonne cervicale C2à C7 pouvait nous donner un élément de réponse.

La colonne cervicale est une lordose (du Grec = voûte) répondant enmédecine à la définition: déviation de la colonne vertébrale à convexitéantérieure. Ceci implique l'existence, entre chaque vertèbre, vue de profil,d'un angle ouvert en avant que Mestdagh chiffre en degrés, reprenant latechnique de Bakke (fig. 1).

1. Stagiaire Moniteur, Ecole de Bois-Larris.2. Directeur, Ecole de Cadres de Bois-Larris.

Tirés à part: Service de documentation BLDOC, B.P. 12, 60260 Lamorlaye.

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La projection dorsale du cou ouvre cet angle par le glissement desapophyses articulaires postérieures les unes sur les autres et par ladéformation du disque (fig. 2).

La projection ventrale inverse cet angle qui va s'ouvrir en arrière(fig. 3).

De face, les vertèbres cervicales C2 à C7 reposent les unes sur lesautres par cinq points: l'un antérieur, la colonne des corps; deuxpostérieurs, les colonnes articulaires; les deux derniers (médians) les« uncus ». Le tout forme un ensemble rectiligne (fig. 4).

Cette région répond à deux impératifs, mobilité et solidité, grâce à unsystème articulaire complexe, 10 surfaces articulaires par vertèbre, et unsystème ligamentaire tout aussi complexe, 16 ligaments par vertèbre.

MATÉRiEl ET MÉTHODE

Nous avons étudié 39 dossiers radiographiques où l'on trouve:

- 11 dossiers complets face profil, flexion, extension,- 11 dossiers complets face profil,

4 dossiers complets face profil, flexion, extension,- 13 dossiers complets face profil.

Les clichés nous ont été confiés par différents médecins rhumatologues et ont été prispar des radiologues différents. Les colonnes cervicales ne présentaient ni déformationstructurale, ni fracture, ni luxation, et appartenaient à des sujets jeunes ayant souffert deleur région cervicale.

a. Clichés en vue latérale

Chaque cliché a été reporté sur un papier calque. Nous marquons les bords supérieurset inférieurs des plateaux de chaque vertèbre, selon la méthode employée par Mestdagh(12) pour les clichés de profil, flexion, extension. Nous tracons une ligne joignant le bordantérieur et le bord postérieur du plateau inférieur.

Nous définissons ainsi, entre deux lignes, un angle. Pour le calcul de cet angle nousabaissons la parallèle à la ligne supérieure ce qui permet dans les angulations très petitesde ne pas avoir à tracer des droites infinies (fif:. 5). Le rapporteur nous permet lA lecture del'angle.

Nos hésitations concernant l'actualité d'une telle technique d'examen cinétique durachis ont été levées par la communication d'un groupe de biomécaniciens lyonnais (5) quiutilisent ce procédé; la lecture de leurs résultats est effectuée par un ordinateur, mais nousétions intéressés par la validité de la technique de traçage, et nous avons été confortés parcette concordance dans les manières de procéder.

b. Clichés en vue antérieure

De face nous avons utilisé la méthode de Toussaint Fabeck qui consiste à faire passerune ligne par le bord inférieur de chaque plateau vertébral. Le calque est ajusté sur l'undes bords du cliché de manière à obtenir un repère horizontal. Nous traçons ensuite à

l'aide d'une équerre l'angulation du plateau vertébral par rapport à l'horizontal ffig. 6).

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l

1

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FIG. 1.La lordoseimpliquel'existense d'un angleouvert en avant.

Profil Mestdagh

C2-C3

80

C3-C4

100 5

C4-C5

120 5

C5-C6

100 5

C6-C7

go

\1/2, \ff~~

(j(;:,w?-------~IQ r

FIG. 3 .. n ventrale (j~

rojectloLa p t angle.inverse ce

Flex.MestdaghBakké

C2-C3

60 560 5

C3-C4

70 5go

C4-C5

100 5110 5

C5-C6

110120

C6-C7

go100

Ext.MestdaghBakké

C2-C3

40 540 5

C3-C4

7060 5

C4-C5

70 570

C5-C6

80 570 5

C6-C7

7060 5

FIG. 2. - La projection dorsale ouvre cet angle,

FIG. 4. - De face la colonne cervicale est rectiligne.

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c

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FIG. 5. - Pour déterminer les angles,tracer une ligne joignant les bordsantérieurs et postérieurs du plateauinférieur (travail plein), et abaisser laparallèle à la ligne immédiatementsupérieure.

Cet exemple pathologique illustre lesanomalies d'ouverture de l'angle que l'onpeut noter grâce à cette techniqued'examen.

En a. sur le cliché standard de profil,noter .-

a.a. absence d'ouverture en avant del'angle entre C2 et C3;

a.b. ouverture de l'angle en arrièreentre C3 et C4;

a.c. absence d'ouverture en avant entreC5 et C6.

En b. sur le cliché dynamique enextension cervicale, les angles s'ouvrenten avant à tous les étages, rétablissant enpartie l'harmonie articulaire habituelle;cependant, certaines valeurs angulairessont objectivement anormales (compareraux valeurs habituelles pour sujets sainsdonnées par Mestdagh et Bakke (fig. 1 à3).

En c. sur le cliché dynamique en fle­xion cervicale les angles s'ouvrent versl'arrière.

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FIG. 6. - Pour déterminer lesangles, tracer la ligne repré­sentant le bord inférieur dechaque plateau vertébral (traitplein) et un repère représentantl'horizontal.

Dans /'idéal les deux tracésse recouvriraient. Dans l'exem­ple présenté, la bascule versla gauche des étages inférieursjusqu'à C4-C5 se trouve trèslégèrement compensée par uneinversion en C3-C4, mais C2sur C3 est de nouveau inclinévers la gauche. Il faut cepen­dant se garder de théoriser surces micro-bascules et d'en fairedes causes de douleur, ou dechercher à ((réharmoniser )).Cette analyse ne peut êtreconsidérée que comme une par­tie d'un tout. La recherche

d'une anomalie aux étages ver­tébraux sous-jacents doit éga­Iement être entreprise, ce quidéborde le cadre de notre tra­vail.

RÉSULTATS

Nous avons recherché les anomalies de position vertèbre par vertèbreen nous limitant à deux classes: 0 = normal, 1 = anormal. Ces résultatscollectés sur des tableaux monosémiques nous ont permis un traitementgraphique des données, dans le but d'augmenter le contraste afin de tenterune exploration épidémiologique.

Pour l'analyse des clichés de face (fig. 6) nous avons retenu le non­parallélisme des plateaux inférieurs, qui nous donne un angle ouvert vers ladroite ou vers la gauche, une combinaison des deux étant fréquente. Cesinclinaisons sont le plus souvent associées à une rotation que nous noussommes abstenus de mesurer car les causes d'erreur auraient été tropgrandes.

Chaque interligne « perturbé» est représenté par une case noire (fig.7). On peut noter un plus grand nombre d'anomalies à la partie basse de lacolonne vertébrale de nos sujets, à partir de l'interligne C4-C5.

Pour l'analyse des clichés standards de profil, nous avons retenul'angle nul ou l'inversion d'angle en tant que signal d'une anomalie (fig. 8).La prédominance des anomalies sur l'étage C4-C5 fournit des résultats àl'épidémiologie décrite classiquement.

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Pour l'analyse des clichés en flexion cervicale (fig. 9) nous avonsretenu comme anormaux les étages où la mobilité s'écarte (en plus ou enmoins) de 1 degré goniométrique de la valeur moyenne exprimée pour lessujets sains. La faible valeur de ce qui est physiologique, et de ce que l'onpeut considérer comme anormal, indique que le traçage et la technique demesures doivent être très soigneux.

Les mêmes critères ont été appliqués à l'analyse des clichés enextension cervicale (fig. 10).

L'analyse de ces deux derniers tableaux ne met pas en évidence de« symétrie cinétique}): certains étages d'une même colonne vertébralesont perturbés dans les deux mouvements, d'autres sur l'extension ou surla flexion seulement. Nous avons tenté un regroupement logique dont les« pavés)} auraient pu être révélateurs en augmentant les contrastes, maisles résultats sont peu cohésifs et démontrent plutôt l'originalité duretentissement des lésions, qui varient considérablement suivant lessujets. Ceci milite en faveur d'un traitement de kinésithérapie personnalisé.

DISCUSSION

La statique et la dynamique d'une colonne cervicale qui souffre setrouvent perturbées. Nous ne pensons pas qu'il s'agit là d'un accidenttransitoire car nous avons pu étudier plusieurs dossiers comportant desclichés pris à plusieurs mois ou années de distance et nous avons constatéles mêmes perturbations siégeant aux mêmes interlignes alors que cesclichés n'étaient pas du même radiologue.

Nous avons pu, dans un certain nombre de cas, faire une étudepalpatoire de la région cervicale après avoir étudié le dossier ra­diographique, la concordance entre le cliché de profil et le réveil de pointsdouloureux exquis dans les gouttières para-vertébrales ainsi que lesmodifications tissulaires du côté de la perturbation sont à mentionner.Nous avons aussi procédé de manière inverse en palpant avant d'étudierles clichés pour ne pas être influencé par la lecture radiographique. Noussommes arrivés aux mêmes conclusions.

La compréhension de la perturbation statique et cinétique permetégalement de mieux adapter les techniques kinésithérapiques en vue derestaurer une fonction, la meilleure possible, par des manœuvres simpleset douces.

Nous constatons que le cliché standard de profil est le plus parlant. Lecalque du cliché montre que l'angulation d'un interligne peut changer desens, entraînant sur le disque et tout le système capsulo-ligamentaire descontraintes anormales.

Nous constatons enfin, vu la dispersion des résultats, que chaquecolonne cervicale possède son histoire propre et ses perturbations propres,même si les clichés de profil montrent une prédominance de l'étage C4-C5.

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fACE 1 N ~ 22 )

PROFIL STANDARD ( N" 39)

~es

C2

CJ

FIG. 7. - Chaque case noirecorrespond à un interligne inclinésur l'horizontale. Verticalementchaque colonne correspond à undossier. Horizontalement chaqueligne correspond à un espaceintervétébral.

Cette analyse graphique faitressortir la prédominance dedistribution des anomalies surl'étage inférieur, en-dessous deC4.

Etaaes

14 C3

22 C4

16 C5

5 C6

FIG. 8. - Chaque case noire correspond à un angle égal à 00 ou inversé.La distribution la plus importante se fait sur l'étage moyen.

flEXION 1 N ~ 15 )

FIG. 9. - Chaque case noire correspond à uninterligne qui ne possède plus une mobiliténormale.

EXTENSION 1 N ~ 15 1

Etaaes

C2 CJ

7 CJ C4

7 C4 Cs

9 Cs C6

9 C6 Cl

FIG. 10. - Chaque case noire correspond à uninterligne qui ne possède plus une mobiliténormale.

Nous devons souligner que notre technique d'examen des ra­diographies (traçage des plateaux inférieurs des corps vertébraux, puisreport de chaque étage sur celui qui est immédiatement sous-jacent) estd'exécution simple mais permet de mettre en relief des détails d'attitudequi échappent à un examen traditionnel du cliché. Il s'agit d'un procédé quidemande un peu de temps et beaucoup de précision, mais l'orientationthérapeutique que l'on en peut tirer est non négligeable. Bien entendu, ilne s'agit que d'un élément d'examen qui vient seulement s'ajouter auxautres. Notons également que, dans la grande majorité des cas, le défautd'attitude remarqué au cours de l'analyse du cliché en position standard(fig. 5a) disparait complètement sur le cliché en extension (fig. 5b) ou setrouve au moins fortement masqué. Par contre, nous avons fréquemmentremarqué une attitude plus dysharmonique lorsque le cliché est pris enflexion.

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Le regroupement des données en analyse graphique ne nous a pasfourni les résultats escomptés, car nous espérions y trouver une cohérenceinterne qui ne s'est pas manifestée.

CONCLUSION

Cette étude statique et cinétique de la colonne cervicale est uneapproche possible de cette région, par une méthode simple qui permetensuite de mieux guider la main dans l'examen et dans le gestethérapeutique. Elle devrait nous permettre de mieux appréhender le coudouloureux et donc de mieux le soigner.

La technique d'analyse des clichés par report des tracés des plateauxinférieurs doit permettre une amélioration du « service rendu}) au patient,en précisant le site des limitations. Le thérapeute en tirera nombred'enseignements, à condition de ne pas vouloir faire reposer toutel'analyse des douleurs sur cet unique examen.

Nous n'omettons pas non plus de prendre en considération lesanomalies vertébrales éventuelles des étages sous-jacents, et le médecinjuge en dernier ressort de la part qu'il pourra donner à cette analysecinétique dans la compréhension globale de la cause présumée desdouleurs du consultant.

Apportons enfin une précision importante: cette technique n'est enaucune manière un examen de la radiographie tel qu'il est pratiqué par lerhumatologue; il s'agit d'une prise de mesure « a posteriori}) (aprèsinterprétation du cliché par le Radiologue et Rhumatologue) qui demeureune analyse cinétique d'un rachis cervical soit normal, soit suspect. Cetteanalyse est un élément d'information répercuté sur le médecin avec quitravaille le kinésithérapeute.

REMERCIEMENTS:

Ce travail a été possible grâce à la compréhension et à l'aide apportée par Messieurs les DrsCohen (Nantes). A. David (Nantes). P. David (Cholet). Evain (Nantes). Michaud (Cholet) et Sichère(Clinique Médico-Chirurgicale des Jockeys, Chantilly).

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Le mémoire de fin d'études sur lequel est basé cet article peut être consulté au Centre de Documentation BLDOC.

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