ESL 2015 - Ecoulements GV

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  • CHAPITRE V : Etude prliminaire des courants graduellement varis (GV)

    Ecoulements surface libre, 2015

    Yannick MELINGE

    Universit de Cergy Pontoise L2MGC EA 4114, France

  • V.2.3. Signe de dE/dh dans un canal gomtriquement uniforme

    hc

    h

    E

    dE/dh = 0 : Rgime critique

    dE/dh > 0 : Rgime fluvial

    dE/dh < 0 : Rgime torrentiel

    Q = Qi

  • V.2.4. Signe de dE/dL le long dun courant uniforme ou graduellement vari

    Ltude raliste de la variation dnergie est ralise en introduisant les termes de dissipation. Tant que la surface libre ne subit pas de rupture (continuit) le long du courant,

    lapplication du thorme de Bernoulli reste possible entre deux sections du courant.

    Soit une section dun courant dans laquelle E est lnergie spcifique, I la pente du canal et J le terme global de perte de charge.

    Entre deux sections, dindice 1 et 2, spares par une distance DL suffisamment petite pour que lon puisse admettre quentre 1 et 2, I et J sont constantes.

    A la surface libre, on peut crire : E1 + z1 = E2 + z2 + J.DL

    Radier

    Surface libre ???

    L

    z

    S1

    z1

    h1

    V12/(2g)

    S2

    z2

    h2

    V22/(2g)

    J.DL

    Ligne dnergie

  • V.2.4. Signe de dE/dL le long dun courant uniforme ou graduellement vari

    On pose E1 E2 = DE et z1 z2 = I.DL Et le bilan peut encore scrire : DE = (I J). DL Et, la limite (Dl 0) on peut crire : dE/dL = I J

    J.DL est la hauteur reprsentative de lnergie perdue par unit de poids de liquide sous leffet des actions visqueuses, de la turbulence, I.DL est la hauteur reprsentative du travail fourni par la pesanteur ce mme fluide.

    La variation dnergie spcifique apparat donc comme la diffrence entre le travail fourni par la pesanteur et la dissipation dnergie dans le liquide.

    Le travail des pertes est toujours > 0 et irrcuprable,

    Le travail li la pesanteur diffre selon le signe de I.

    Radier

    Surface libre ???

    L

    z

    S1

    z1

    h1

    V12/(2g)

    S2

    z2

    h2

    V22/(2g)

    J.DL

    Ligne dnergie

  • Pour rsumer :

    I > 0 : canal descendant I = 0 : canal horizontal I < 0 : canal ascendant

    Mvt Uniforme

    h = hn

    I = J

    E1 = E2 et dE/dL = 0

    Les pertes sont compenses

    par la pesanteur

    Nexiste pas hn Et J est ncessairement > 0

    (E)

    8

    Impossible

    Et J est ncessairement > 0

    Mvt GV

    SL

    S1 S2

    L dn.

    1er CAS : h > hn ; J < I

    E2 > E1 ; dE/dL > 0

    Lnergie spcifique saccrot de la diffrence :

    (Pesanteur P2Charge)

    h > hn (!!!)

    IMPOSSIBLE

    (E)

    h > hn ; J < I

    (E)

    2er CAS : h < hn ; J > I

    E2 < E1 ; dE/dL < 0

    Lnergie spcifique diminue de la diffrence :

    (-Pesanteur + P2Charge)

    h < hn ; J > I

    E2 < E1 ; dE/dL < 0

    Lnergie spcifique diminue du terme de P2Charge

    h < hn ; J > I

    E2 < E1 ; dE/dL < 0

    Lnergie spcifique diminue pour compenser la fois :

    Pesanteur et P2Charge

  • V.2.5. Variation de la profondeur le long du courant (I > 0) Signe de dh/dL

    Dans les courants GV, on vient dtablir : dE/dL = I J. Par ailleurs, dE/dL = ( E/ h).dh/dL (avec h = f(L))

    La connaissance du comportement de dE/dL associe ltude de la courbe E = f(h) permet dtablir les conclusions suivantes pour I > 0 :

    Rgion 1 : h > hc

    h > hn, le mouvement est toujours fluvial (Fr < 1) et dh/dL > 0.

    Le long du courant, h est toujours croissante : COURANT RETARDE

    h

    E

    Q = Qi

  • V.2.5. Variation de la profondeur le long du courant (I > 0) Signe de dh/dL

    Dans les courants GV, on vient dtablir : dE/dL = I J. Par ailleurs, dE/dL = ( E/ h).dh/dL (avec h = f(L))

    La connaissance du comportement de dE/dL associe ltude de la courbe E = f(h) permet dtablir les conclusions suivantes pour I > 0 :

    Rgion 1 : h > hc

    h > hn, le mouvement est toujours fluvial (Fr < 1) et dh/dL > 0.

    Le long du courant, h est toujours croissante : COURANT RETARDE

    Rgion 2 :

    - soit hn > h > hc et le mouvement est fluvial (Fr < 1)

    h

    E

    Q = Qi

    hn

    hc

    Radier

  • V.2.5. Variation de la profondeur le long du courant (I > 0) Signe de dh/dL

    Dans les courants GV, on vient dtablir : dE/dL = I J. Par ailleurs, dE/dL = ( E/ h).dh/dL (avec h = f(L))

    La connaissance du comportement de dE/dL associe ltude de la courbe E = f(h) permet dtablir les conclusions suivantes pour I > 0 :

    Rgion 1 : h > hc

    h > hn, le mouvement est toujours fluvial (Fr < 1) et dh/dL > 0.

    Le long du courant, h est toujours croissante : COURANT RETARDE

    Rgion 2 :

    - soit hn > h > hc et le mouvement est fluvial (Fr < 1)

    - soit hc > h > hn et le mouvement est torrentiel (Fr > 1)

    dh/dL < 0. Le long du courant, h est toujours dcroissante : COURANT ACCELERE

    h

    E

    Q = Qi

    hn

    hc

    Radier

    hc

    hn

    Radier

  • V.2.5. Variation de la profondeur le long du courant (I > 0) Signe de dh/dL

    Dans les courants GV, on vient dtablir : dE/dL = I J. Par ailleurs, dE/dL = ( E/ h).dh/dL (avec h = f(L))

    La connaissance du comportement de dE/dL associe ltude de la courbe E = f(h) permet dtablir les conclusions suivantes pour I > 0 :

    Rgion 1 : h > hc

    h > hn, le mouvement est toujours fluvial (Fr < 1) et dh/dL > 0.

    Le long du courant, h est toujours croissante : COURANT RETARDE

    Rgion 2 :

    - soit hn > h > hc et le mouvement est fluvial (Fr < 1)

    - soit hc > h > hn et le mouvement est torrentiel (Fr > 1)

    dh/dL < 0. Le long du courant, h est toujours dcroissante : COURANT ACCELERE

    Rgion 3 :

    h < hc

    h < hn, le mouvement est toujours torrentiel (Fr > 1) et dh/dL > 0.

    Le long du courant, h est toujours croissante : COURANT RETARDE

    h

    E

    Q = Qi

    hn

    hc

    Radier

    hc

    hn

    Radier

  • CHAPITRE VI : Ecoulements graduellement varis (GV) en canaux uniformes

    Ecoulements surface libre, 2015

    Yannick MELINGE

    Universit de Cergy Pontoise L2MGC EA 4114, France

  • VI.1 Gnralits

    Le mouvement GV est obtenu lorsque dans un coulement permanent les caractristiques gomtriques

    du canal ou les paramtres hydrauliques varient graduellement le long du courant et sans discontinuit notable.

    Pour une section donne, en prsence dune condition de dbit, le remous (la SL) est reprsent par la diffrence entre la profondeur du courant, h, et la profondeur normale, hn, (reprsentative du rgime uniforme).

    Dans le cas dun canal gomtriquement uniforme et de grande largeur, le mouvement est uniforme et la SL occupe le niveau normal. La prsence dune singularit rompt luniformit de lcoulement et produit aux alentours un caractre BV (fonction du type de singularit). Au-del de cette brusque variation, il stablit sur une certaine longueur du canal le rgime GV.

  • VI.1 Gnralits

    Le mouvement GV est obtenu lorsque dans un coulement permanent les caractristiques gomtriques

    du canal ou les paramtres hydrauliques varient graduellement le long du courant et sans discontinuit notable.

    Pour une section donne, en prsence dune condition de dbit, le remous (la SL) est reprsent par la diffrence entre la profondeur du courant, h, et la profondeur normale, hn, (reprsentative du rgime uniforme).

    Dans le cas dun canal gomtriquement uniforme et de grande largeur, le mouvement est uniforme et la SL occupe le niveau normal. La prsence dune singularit rompt luniformit de lcoulement et produit aux alentours un caractre BV (fonction du type de singularit). Au-del de cette brusque variation, il stablit sur une certaine longueur du canal le rgime GV.

    La modlisation de ce type dcoulement peut tre ralise en considrant les hypothses simplificatrices suivantes :

    - Dans le canal, le courant est rectiligne. Seules la composante longitudinale du vecteur vitesse est considre.

    Les composantes transversales sont par hypothse ngligeables.

    - Les formules de type Chzy, valables en toute rigueur quen rgime uniforme, seront appliques au rgime GV. En effet, le calcul des pertes de charge liniques sera effectu comme en rgime uniforme.

    - La pente, I, du radier reste suffisamment faible pour admettre que cos(q) = 1.

  • VI.2 Equation diffrentielle du mouvement GV permanent

    Considrons un tube de courant de longueur dL dont les molcules ont la vitesse V.

    Le dbit volumique est tel que dQ = V.dS,

    J est la ligne dnergie (linaire), P/(rg) est la pression qui sapplique sur la section dS du tube de courant.

    Radier

    SL

    L dn.

    z

    Tube de courant de surface : dS

    dL

  • VI.2 Equation diffrentielle du mouvement GV permanent

    Considrons un tube de courant de longueur dL dont les molcules ont la vitesse V.

    Le dbit volumique est tel que dQ = V.dS,

    J est la ligne dnergie (linaire), P/(rg) est la pression qui sapplique sur la section dS du tube de courant.

    dZ + dP/rg + dV2/2g + J.dL = 0

    Soit encore : dQ [dZ + dP/rg + dV2/2g + J.dL] = 0

    Cette quation est valable pour tous les tubes de courant formant la portion dcoulement de longueur dL. Si on tend ce bilan la section complte du canal (qui introduit, par ailleurs, un concept de moyenne)),

    on obtient :

    1/Q d(Z + P/rg).VdS + 1/Q V.(dV2/2.g).dS + J.dL/Q V.dS = 0 (avec Q = V.dS = V.S

    Radier

    SL

    L dn.

    z

    Tube de courant de surface : dS

    dL

    s s s s

  • VI.2 Equation diffrentielle du mouvement GV permanent

    Dans le cas gnral, la distribution de la vitesse nest pas homogne et la distribution de pression en subit les effets. On introduit alors un coefficient dnergie cintique, a, et un coefficient de pression, b, comme termes de corrections. Mais dans la plupart des cas, on peut admettre que a = b = 1 :

  • VI.2 Equation diffrentielle du mouvement GV permanent

    Dans le cas gnral, la distribution de la vitesse nest pas homogne et la distribution de pression en subit les effets. On introduit alors un coefficient dnergie cintique, a, et un coefficient de pression, b, comme termes de corrections. Mais dans la plupart des cas, on peut admettre que a = b = 1 :

    aV2/2g = V2/2g

    et b(P/rg) = b.h = h

    Dans le cas gnral, le bilan devient : -I.dL + d(b.h) + d(a.V2/2g) + J.dL = 0

  • VI.2 Equation diffrentielle du mouvement GV permanent

    Dans le cas gnral, la distribution de la vitesse nest pas homogne et la distribution de pression en subit les effets. On introduit alors un coefficient dnergie cintique, a, et un coefficient de pression, b, comme termes de corrections. Mais dans la plupart des cas, on peut admettre que a = b = 1 :

    aV2/2g = V2/2g

    et b(P/rg) = b.h = h

    Dans le cas gnral, le bilan devient : -I.dL + d(b.h) + d(a.V2/2g) + J.dL = 0

    Dans lintervalle dL, a et b sont constants et dQ = 0. Et par consquent : b.dh a(Q2/S3).dS/g (I J).dL =0.

    Dans le cas gnral o le lit voit sa forme varier le long du courant : dS = ( S/ h).dh + ( S/ L).dL.

    On pose B = ( S/ h)

    Et finalement, lquation diffrentielle gnrale rgissant les proprits de lcoulement en rgime GV permanent et Q = Cte, scrit :

    3

    2

    3

    2

    .

    .

    Sg

    BQ

    L

    S

    Sg

    QJI

    dl

    dh

    ab

    a

  • VI.2 Equation diffrentielle du mouvement GV permanent

    Dans le cas gnral, la distribution de la vitesse nest pas homogne et la distribution de pression en subit les effets. On introduit alors un coefficient dnergie cintique, a, et un coefficient de pression, b, comme termes de corrections. Mais dans la plupart des cas, on peut admettre que a = b = 1 :

    aV2/2g = V2/2g

    et b(P/rg) = b.h = h

    Dans le cas gnral, le bilan devient : -I.dL + d(b.h) + d(a.V2/2g) + J.dL = 0

    Dans lintervalle dL, a et b sont constants et dQ = 0. Et par consquent : b.dh a(Q2/S3).dS/g (I J).dL =0.

    Dans le cas gnral o le lit voit sa forme varier le long du courant : dS = ( S/ h).dh + ( S/ L).dL.

    On pose B = ( S/ h)

    Et finalement, lquation diffrentielle gnrale rgissant les proprits de lcoulement en rgime GV permanent et Q = Cte, scrit :

    Dans le cas dune installation gomtriquement uniforme, lexpression peut tre simplifie :

    3

    2

    3

    2

    .

    .

    Sg

    BQ

    L

    S

    Sg

    QJI

    dl

    dh

    ab

    a

    3

    2

    3

    2

    .1

    . Sg

    BQ

    JI

    Sg

    BQ

    JI

    dl

    dh

    ab

  • VI.3 Etude des formes et des proprits gnrales des courbes intgrales

    VI.3.1 Conditions aux limites

    Ce point est crucial pour pouvoir prciser comment les courbes intgrales (qui reprsentes la SL) vont se

    raccorder aux deux lignes particulires dfinies jusqu prsent :

    - Le niveau normal : Nn,

    - Le niveau critique : Nc.

    Attention : Les courbes de remous relles ne sont reprsentes que par une portion des courbes intgrales.

    Chaque branche de ces courbes traduit un cas de courbes de remous.

  • VI.3 Etude des formes et des proprits gnrales des courbes intgrales

    VI.3.1 Conditions aux limites

    Ce point est crucial pour pouvoir prciser comment les courbes intgrales (qui reprsentes le SL) vont se

    raccorder aux deux lignes particulires dfinies jusqu prsent :

    - Le niveau normal : Nn,

    - Le niveau critique : Nc.

    Attention : Les courbes de remous relles ne sont reprsentes que par une portion des courbes intgrales.

    Chaque branche de ces courbes traduit un cas de courbes de remous.

    Raccordement avec le niveau normal : Nn

    Dans ce cas, la condition I = J annule dh/dL et dL/dh

    Thoriquement, toutes les branches se raccordent asymptotiquement au niveau normal. De faon pratique,

    on accepte que la hauteur normale pour la condition :

    (h-hn)/hn voisin de 2%

    Suivant le type de Mvt (Classe, rgion), on distingue quatre possibilits de raccordement avec le niveau normal :

    8

    Radier

    Nn

  • Raccordement avec le niveau critique : Nc

    Dans ce cas, la condition implique que dh/dL et dL/dh = 0

    Les courbes intgrales rencontrent le niveau critique suivant une tangente verticale.

    8 1

    . 3

    2

    Sg

    BQ

  • Raccordement avec le niveau critique : Nc

    Dans ce cas, la condition implique que dh/dL et dL/dh = 0

    Les courbes intgrales rencontrent le niveau critique suivant une tangente verticale.

    ATTENTION : Ces portions de SL nont pas de significations physiques puisquune des hypothses de dpart nest plus respecte ce niveau. En effet, compte tenu du caractre instable du rgime critique, les composantes transversales du vecteur vitesse ne sont plus forcment ngligeables.

    Note : le raisonnement prcdent nest pas exact pour la condition : h = hn = hc. I = J et

    Dans ce cas, le problme est diffrent car les branches considres se confondent en partie avec la ligne

    uniforme critique.

    Suivant le type de Mvt (Classe, rgion), on distingue quatre possibilits de raccordement avec le niveau normal :

    8

    Radier

    Nc

    1. 3

    2

    Sg

    BQ

    1. 3

    2

    Sg

    BQ

  • Raccordement avec le radier

    De faon pratique, le SL est arrte au dessus du radier. Cependant, au moyen dordre de grandeur, on peut dterminer la pente de dh/dL quand h 0.

    Pour effectuer ce calcul de tendance, il faut tenir compte de la forme de la section du canal et de la valeur

    de la pente. Mais dans tous les cas, pour la condition h = 0, dh/dL > 0.

    Les courbes intgrales coupent thoriquement le radier du canal avec une pente non nulle.

    Toutefois comme dans le cas du raccordement avec Nc, ces portions de courbes ne sont pas physiquement

    acceptables car les composantes transversales du vecteur vitesse ne sont plus ngligeables.

    8

    Radier

  • VI.3.2 Canal horizontal I = 0

    Dans le cas dun canal pente nulle, hn

    La perte dnergie imputable au mouvement ne peut tre compense que par la pesanteur et le rgime uniforme nest jamais ralis.

    On distingue seulement deux rgions dont la frontire est le niveau critique, Nc.

    La rsolution de lquation diffrentielle du mouvement GV permet de mettre en vidence une courbe dallure parabolique comportant deux branches notes H2 et H3.

    Ces deux branches coupent Nc suivant une tangente verticale. La rgion 1 a disparu puisque hn nexiste pas.

    Schmatiquement, on observe :

    8

    Radier I = 0

    Nc

    Mvt Acclr Fr < 1

    Courbe intgrale H2

  • VI.3.2 Canal horizontal I = 0

    Dans le cas dun canal pente nulle, hn

    La perte dnergie imputable au mouvement ne peut tre compense que par la pesanteur et le rgime uniforme nest jamais ralis.

    On distingue seulement deux rgions dont la frontire est le niveau critique, Nc.

    La rsolution de lquation diffrentielle du mouvement GV permet de mettre en vidence une courbe dallure parabolique comportant deux branches notes H2 et H3.

    Ces deux branches coupent Nc suivant une tangente verticale. La rgion 1 a disparu puisque hn nexiste pas.

    Schmatiquement, on observe :

    8

    Radier I = 0

    Nc

    Mvt Acclr Fr < 1

    Mvt Retard Fr > 1

    Courbe intgrale H2

    Courbe intgrale H3

  • VI.3.3 Canal faible pente I < Ic

    Dans le cas dun canal faible pente, hn > hc et on distingue trois rgions. Schmatiquement, on peut observer :

    Radier I < Ic

    Nc

    Mvt Retard Fr < 1

    Nn

    Courbe intgrale F1

  • VI.3.3 Canal faible pente I < Ic

    Dans le cas dun canal faible pente, hn > hc et on distingue trois rgions. Schmatiquement, on peut observer :

    Radier I < Ic

    Nc

    Mvt Acclr Fr < 1

    Courbe intgrale F2

    Courbe intgrale F1

    Mvt Retard Fr < 1

    Nn

  • VI.3.3 Canal faible pente I < Ic

    Dans le cas dun canal faible pente, hn > hc et on distingue trois rgions. Schmatiquement, on peut observer :

    Radier I < Ic

    Nc

    Mvt Acclr Fr < 1

    Mvt Retard Fr > 1

    Courbe intgrale F2

    Courbe intgrale F3

    Courbe intgrale F1

    Mvt Retard Fr < 1

    Nn

  • VI.3.4 Canal forte pente I > Ic

    Dans le cas dun canal forte pente, hn < hc et on distingue trois rgions. Schmatiquement, on peut observer :

    Radier I > Ic

    Nn

    Mvt Acclr Fr > 1

    Mvt Retard Fr > 1

    Courbe intgrale T2

    Courbe intgrale T3

    Courbe intgrale T1

    Mvt Retard Fr < 1

    Nc