Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

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Mars - Avril 2015 | N°2 | 3,90 e Entretien avec SOPHIE JOVILLARD www.focus-bien-etre.fr DOSSIER Demain, tous BIO ? Beauté CHEVEUX FINS : nos astuces ! Déco : JE POSITIVE ! Méthode Vivre PLEINEMENT l’instant présent

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Le magazine des produits et solutions pour votre bien-être : générateur d'envies et facilitateur du quotidien.

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Mars - Avril 2015 | N°2 | 3,90 e

Entretien avec

SOPHIE JOVILLARDwww.focus-bien-etre.fr

DOSSIERDemain, tous BIO ?

BeautéCHEVEUX FINS : nos astuces !

Déco : JE POSITIVE !

MéthodeVivre PLEINEMENT l’instant présent

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Edito

Faites-vous du bien !

Voici notre troisième numéro ! Si vous ne le connaissez pas encore, Focus Bien-être est un magazine destiné à toute la famille et en particulier aux femmes qui souhaitent

allier travail, maternité, vie personnelle et plaisirs. Spécialisé en parapharmacie, produits et solutions de bien-être, Focus Bien-être est disponible chez votre pharmacien. Un sacré pari compte tenu du contexte actuel, où les grands titres existants laissent peu de place aux nouveaux arrivants et où chacun cherche son modèle économique. Mais nous croyons dur comme fer que la pluralité de la presse fait partie de notre patrimoine, au même titre que la gastronomie. La presse contribue à la liberté d’expression, confronte les points de vue, met en avant les initiatives, les hommes et femmes qui se distinguent par leur réussite, les entreprises, les produits, les nouveautés, les évènements, la culture... A Focus Bien-être, nous sommes une petite équipe disséminée sur toute la France. Ayant travaillé pendant 10 ans dans l’édition, j’avais très envie de lancer ce projet car le bien-être est lié à un état d’esprit et conditionne notre rapport aux autres. Nous avons la volonté de vous faire du bien sans prétention et sommes ravis de vous présenter ce nouveau numéro pour accompagner l’arrivée du printemps. Au fait, si vous mettiez un peu d’ordre chez vous ? C’est peut-être aussi le moment de réfléchir à votre mode de consommation : bio ou pas ? Et puis, la lumineuse animatrice Sophie Jovillard vous donnera peut-être envie de voyager en prenant soin de vous…Vous aimez Focus Bien-être ? Présentez-le à vos amis, collègues, collaborateurs… Nous avons besoin de vous pour grandir !

Bonne lecture !

Gaëlle ALLAINDirectrice de la publication

Focus Bien-être31 rue Lann Moine 56 860 SENE

Tél. 02 97 43 16 70

Directrice de la publicationGaëlle Allain

[email protected]

Secrétaire de rédaction, rédactriceAurélie Thépaut

[email protected]

Ont également participé à ce numéro :Manuelle Tilly, Jessica Xavier

Mise en page et réalisation graphiqueEmilie Le Coz La Petite Graphisteemilielecoz lapetitegraphiste.com

www.lapetitegraphiste.com

ImpressionCalligraphy-PrintZA La Gaultière

35220 CHATEAUBOURG

Publicité et [email protected]

Abonnement et vente au numé[email protected]

Focus Bien-être est édité par JPEGA Editions

SASU au capital de 30 000 €47300 Villeneuve-sur-Lot, France

RCS AGEN 795 093 152Numéro de TVA intracommunautaire : FR95

093 152

Toute reproduction est interdite sans l’autorisation expresse de l’éditeur et des auteurs.

Numéro ISSN : 2418-0343Dépôt légal : Mars 2015

Crédits photographiques : En couverture, Sophie Jovillard photographiée

par Nathalie Guyon/France TélévisionAgence bio : pp.23, 25

Mathieu César : p.9 basGermain Coussin : p.31

CRTB/Emmanuel Berthier : p.7 bas, cahier encarté page gauche haut

Espace Pain Information : pp.5 bas, 20, 21Fotolia : pp. 16, 18, 25, 27 haut, 28, 29,

Green Bear Coffee : p.24Good Goût : pp.32, 33

Hema : p.27 basNathalie Guyon/France Télévision : pp.12,13

La Ruche qui dit oui : p.26 gaucheEva/F. Lefloch : p.19 haut

Thomas Louapre/La Ruche qui dit oui : pp.22, 26 droite

Saint-Algue : pp.5 haut, 14Studio Jolis Mômes : P.30

Insertion d’un encart broché pour la région Bretagne.

10-31-1614

Votre magazine est disponible chez votre pharmacien tous les 2 mois ; vous pouvez également vous abonner pour le recevoir directement chez vous.

Cachet

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Sommaire

L’AIR DU TEMPSActu

CultureEvénements

CONFIDENCESEntretien avec Sophie Jovillard

PRENDRE SOIN DE SOIBeauté

Cheveux fins : mode d’emploi !Des vernis plus sains

FormeLa pratique du running

AlimentationLe pain

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DOSSIERDemain… Tous bio ?

ÊTREBonne résolutionJe mets de l’ordre !MéthodeMieux vivre l’instant présent

VIVREDécorationPlace à la positive déco ! InitiativesDes petits plats de rois

FOCUSToilette bébé

Edition mars - avril 2015

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L’AIR DU TEMPS ACTU

La marque lyonnaise de make-up bio et naturel bo.ho lance trois eaux de toilette « 100% naturelles et 100% françaises » : Iles éoliennes, Goa et Corsica. Ces eaux

qui fleurent bon la liberté respectent les principes de la marque (production française, composition naturelle de ses produits, engagement en faveur de l’environnement…). Elles conviennent parfaitement aux working girls qui aiment se parfumer tous les jours en laissant une fragrance discrète derrière elles, aux éternelles voyageuses en quête de découvertes ou encore à celles qui aiment que leur parfum n’efface pas leur odeur (les jeunes mamans, par exemple…).

Eau de parfum bo.ho, 50 ml, 19,90 € en pharmacie et parapharmacie.

Non, ce n’est pas encore l’heure de mettre nos gambettes à l’air, mais pour être fin prêtes au moment

venu, pourquoi ne pas s’entraîner dès maintenant ? Spécialiste de l’épilation bio, Acorelle propose une séance d’épilation en 4 étapes : gommage, épilation, soin apaisant, lait hydratant anti-repousse. Pour le gommage, Acorelle propose un gel exfoliant et dynamisant à l’extrait de citron et au noyau d’abricot. Pour l’épilation, on opte pour les bandes de cire froide à la cire d’abeille bio et à l’Aloe Vera bio. Ensuite, la nouvelle huile SOS aide à éliminer les derniers résidus de cire et apaise l’épiderme fragilisé grâce à son complexe d’huiles végétales bio multi-actions. Enfin, on hydrate régulièrement la peau avec le lait minimiseur de repousse. Good bye les poils !

Gommage stimulant, 13 € le tube de 200 ml; bandes de cires froides corps, 8,80 € la boîte de 20 bandes; huile SOS, 13 € le flacon pompe de 50 ml; lait hydratant minimiseur de repousse, 31,50 € le tube de 75 ml. Tous ces produits sont disponibles en pharmacies, parapharmacies et magasins bio.

Fragrances légères

Pour une épilation parfaite A quelques mois de l’été, il est encore temps

de s’attaquer à ces quelques kilos en trop… et de se mettre au sport ! Et pour ne

pas y déroger, pourquoi ne pas se faire aider par un coach ? Facile grâce à 1sport1coach.com, une plateforme communautaire permettant de trouver un coach personnel afin de pratiquer le sport de son choix. Les 600 coachs inscrits proposent leurs services partout en France. Il ne reste plus qu’à choisir son activité parmi les 150 sports proposés !

Objectif 2015 :

perdre du poids !

Selon une étude réalisée début 2015 par Lineavi et eDarling, la santé et le bien-être font partie des principales résolutions

des Français pour cette année, juste derrière leur vie sentimentale. Mais l’étude montre que l’un ne va pas sans l’autre, puisque 97% d e s personnes interrogées pensent qu’il est primordial de se sentir bien dans son corps pour pouvoir s’ouvrir à l’autre et trouver l’amour. Or, plus d’un tiers d’entre eux admettent ne pas être satisfaits de leur apparence et désirent perdre leurs kilos superficiels. Pourtant, cette résolution s’avère difficile à tenir. En effet, en 2014, la résolution de perdre du poids se situait déjà en 2e position, or seulement un quart des personnes interrogées ont réussi à atteindre leur objectif. Manque de volonté, manque de temps ou manque d’organisation figurent parmi les principales excuses invoquées… Par conséquent, plus d’un tiers des sondés souhaitent faire appel à un expert qui les aiderait à tenir leurs objectifs pour 2015.

Pour plus d’infos sur cette étude : www.lineavi.fr

Choisir son

coach sportif

Nouveautés produits

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L’AIR DU TEMPS ACTU

D ifficile de rater, à Montpellier, ce lieu à l’architecture avant-gardiste qui se veut respirant comme un corps humain. Ouvert

depuis septembre 2014, R-Révolution Santé est le premier centre d’optimisation de la santé en France. Lancé par le groupe Fontalvie, il permet d’évaluer avec précision les cinq domaines essentiels du mode de vie que sont la mémoire, les émotions, l’activité physique, la nutrition et le sommeil. A partir de cette évaluation, un plan d’action santé personnalisé est proposé au patient, invité à optimiser son mode de vie. Une approche globale de la santé qui vise à rendre les patients pleinement acteurs et responsables de leur santé. Autre nouveauté non loin de Montpellier : le nouvel établissement thermal de Balaruc-Les-Bains, en forme de coque de bateau, qui ouvre ses portes ce mois-ci. Il comprend cinq bassins de soins collectifs en rhumatologie et phlébologie ainsi que des secteurs de soins d’hydrothérapie, dont certains dédiés à l’application de la fameuse boue thermale. Avec cette nouvelle structure, Balaruc-Les-Bains devient le plus grand centre thermal de France.

D epuis janvier 2015, la thalassothérapie s’est dotée d’une norme volontaire afin de limiter la multiplication d’établissements revendiquant de manière abusive des activités de thalassothérapie. Soins proposés, hygiène, sécurité des installations… La norme volontaire XP X50-844 définit le concept de la thalassothérapie

et des critères essentiels à respecter. La création de cette norme est à l’initiative du syndicat national de la thalassothérapie, France Thalasso, qui avait sollicité AFNOR fin 2013. La norme XP X50-844 implique « l’utilisation combinée des bienfaits du milieu marin, qui comprend le climat marin, l’eau de mer, les boues marines, les algues, les sables et autres substances extraites de la mer ».Et au-delà de ça, la norme volontaire liste une série de critères à respecter. Par exemple, un centre de thalasso doit proposer à minima des soins individuels, ainsi que des soins collectifs en bassin et/ou piscine. Parmi les nombreux aspects relatifs à l’hygiène, la norme propose que les baignoires soient vidangées, nettoyées et désinfectées après chaque client. Concernant la sécurité des installations techniques et des locaux, les exigences de la réglementation sont rappelées. Des points précisent aussi des règles élémentaires, tels que l’équipement des sols des zones humides intérieures en antidérapants. Les compétences minimales du personnel du centre de thalasso sont également précisées, avec le rappel des métiers existants tels que ceux d’hydrothérapeute, d’esthéticienne, d’hydro-esthéticien(ne) et de masseur-kinésithérapeute.

Une norme AFNOR pour la thalassothérapie

pour révolutionner la santé à MontpellierDeux pôles

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L’AIR DU TEMPS CULTURE

Objectif : 0 toxine !On le sait, l’alimentation est le premier facteur pour préserver notre santé. Dans ce guide, l’auteur met

en avant tous les aliments à privilégier pour « dépolluer » notre corps. Que l’on se lance dans une cure detox de printemps, que l’on élise un jour par semaine pour se purifier ou que l’on veille juste à consommer régulièrement des aliments sains, ce guide donne plein d’idées de recettes à tester à tout repas. Et permet de modifier quelques habitudes… Pourquoi ne pas, par exemple, remplacer de temps en temps le sel par du tamari (sauce soja de qualité) ? Ou encore, troquer la farine de blé contre de la

farine de pois chiche ? On peut même tester l’apéro détox en proposant des bâtonnets de légumes crus (radis, carottes, céleri, chou-fleur…) accompagnés d’une mayonnaise à la noix de cajou ou des petites graines croquantes laquées aux épices. Un guide à garder sous la main dans un coin de la cuisine !

Détox gourmande, Eva-Claire Pasquier, Guy Trédaniel Editeur, février 2015.

La bible du jardinier urbainPour célébrer l’arrivée du printemps, quoi de mieux que de refaire la déco du balcon ? La culture en pots est « une bonne façon de mettre les mains dans la terre quand on a peu de temps et encore moins d’espace », soulignent d’emblée les auteurs de cet ouvrage indis-pensable aux apprentis jardiniers urbains. « Quelques potées assemblées sur un balcon, un arrangement de grands bacs sur une terrasse ou dans une cour suf-fisent à apporter la chlorophylle indispensable à tout être humain. » Aromatiques, légumes, vivaces, arbustes et graminées offrent ainsi de multiples possibilités pour agrémenter les extérieurs. Et pour les contenants, faites appel à votre créa-tivité ! Pots en terre cuite, en bois, vieux chaudrons, bacs de pierre… Cha-cun ses qualités. L’ouvrage regorge d’informations sur les étapes de la plantation, l’entre-tien des plantes et propose un focus sur les plantes les mieux adaptées à ce type de culture.

Je réussis toutes mes cultures en pot !, Brigitte Lapouge-Déjean, Serge Lapouge, Terre vivante, février 2015.

CINÉMAL’esprit d’une époquePour ceux qui veulent découvrir ou redécouvrir le cinéma Nouvelle Vague, Amour 65, du réalisateur suédois Bo Widerberg, est un vrai petit bijou. Dans une villa perchée sur les collines dominant la mer, Keve, un réalisateur en panne d’inspiration, réunit un groupe d’amis. Entre deux séances de cerf-volant et des jeux érotiques avec Evabritt, la femme de son ami, Keve réfléchit à son film. Amour 65 est le troisième film de Bo Widerberg. Très autobiographique (portrait de l’égoïsme du cinéaste qui néglige sa femme et sa petite fille, interprétée par la propre fille de Widerberg), ce film qui regorge de sensualité et de liberté jusque dans sa structure est un hommage à John Cassavettes (Shadows). A voir et revoir !

Amour 65, Bo Widerberg, drame suédois, au cinéma à partir du 18 mars.

LIVRES

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L’AIR DU TEMPS CULTURE

Louane, étoile montanteCésar du Meilleur espoir féminin grâce à sa performance lumineuse dans La Famille du Bélier, d’Eric Lartigau, Louane Emera, de son vrai nom Anne Peichert, a fait un sacré bout de chemin depuis sa participation à « The Voice », en 2013. Et si son personnage dans le film lui a permis de chanter de nombreux titres de la bande-originale – dont la reprise « Je vole », de Michel Sardou, devenue un tube - Louane n’en oublie pas ses propres titres pour autant. Car avant de faire du cinéma, c’est bien à la chanson que la jeune fille de 18 ans était promise. Ce printemps, elle sort donc Chambre 12, opus de onze chansons personnelles et deux reprises (« Je vole » et « La mère à Titi », une reprise de Renaud). Si les arrangements ne sont pas tout à fait au goût du jour, la voix de Louane est prometteuse, nous évoquant une Cœur de Pirate adolescente.

Louane, Chambre 12, sortie le 2 mars.

La nouvelle Yael NaimSept ans après « New Soul », la chanson qui a lancé Yael Naim, la Franco-israélienne revient nous charmer avec Older. En sept ans, Yael Naim a vécu beaucoup de choses, enregistré un album (She was a boy) et fait un enfant. Older comprend onze chansons composées et produites avec David Donatien, son partenaire musical depuis le premier album. Ce nouvel opus est porté par le titre « Coward », magnifique cantate sur le thème de l’angoisse. Sur les autres titres, la chanteuse pop-folk n’hésite pas à varier les registres, passant de la pop (« Make a child » et « She said ») au blues (« Trapped »), sans oublier le folk. Avec une voix qui nous rappellerait presque une Amy Winehouse.

Yael Naim, Older, sortie le 16 mars.

TÉLÉVISIONLe rendez-vous ethno du week-end

Nouveau rendez-vous de France 5 depuis le 1er février, l’émission « Humanités », diffusée le dimanche à 14h40, pose un regard ethnologique sur les peuples du monde. Ces films d’auteurs-réalisateurs impliqués et engagés dans leur environnement offrent une vision de l’intérieur de ces communautés qui tentent de survivre à la mondialisation. Le premier documentaire, Taïga, était consacré à un peuple d’éleveurs nomades mongols. Purevjav lutte pour conserver son mode de vie et le transmettre à ses enfants et petits-enfants, malgré l’attirance de ces derniers pour la vie urbaine. Prochains rendez-vous le 8 mars avec Les femmes des sables, de Nathalie Borgers - un film sur le périple de femmes

nomades à travers le Sahara pour participer à la récolte de dattes - et le 15 mars, avec L’homme qui voulait déplacer la montagne, de Jean-François Delassus. Un rendez-vous télé qui fait du bien aux yeux (les images sont splendides) et qui résonne à l’intérieur de nous-mêmes, l’humain étant au centre du propos.

Humanités, le dimanche à 14 :40 sur France 5.

MUSIQUE

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L’AIR DU TEMPS ÉVÈNEMENTS

Basse-Normandie

GaranceDu 22 au 24 mai, Centre de congrès, CaenNouvelle création de Caen Event, Garance est le salon dédié à toutes les filles : l’urbaine, la glamour, la curieuse la baroudeuse, chacune y trouvera son compte ! Beauté, décoration, évasion, bien-être, création, tous les centres d’intérêt des filles sont représentés ! www.caenevent.fr

Ile-de-France

Salon Mondial Body FitnessDu 20 au 22 mars, Porte de Versailles, ParisTrois jours pour découvrir le matériel de remise en forme, musculation, cardio-training, essayer les nouvelles tenues sportives, rencontrer les professionnels, s’informer sur les compléments alimentaires, participer aux conférences Fit’PRO, découvrir les équipements de détente (hammams, spas, saunas…), regarder les cours fitness et danse…www.vivelaforme.com

Salon Vivre autrementDu 20 au 23 mars, Parc Floral, ParisCe salon privilégie l’éthique et le lien social pour se nourrir, s’évader, grandir, se faire du bien, s’habiller, penser,

habiter... autrement. Marché bio et gourmand, le salon Vivre autrement permet aux visiteurs de rencontrer les 430 exposants, producteurs et créateurs venus des quatre coins de la France pour partager leur savoir-faire et leur passion. www.salon-vivreautrement.com

Salon du RunningDu 9 au 11 avril, Porte de Versailles, ParisRunning Expo devient le Salon du Running. Tout l’univers de la course à pied est rassemblé durant ces trois jours dans un même espace. Avec une ambition : proposer des offres adaptées aux coureurs de tous niveaux. A découvrir : une piste d’athlétisme pour tester les chaussures, un espace femmes et une zone bien-être.www.salondurunning.fr

Languedoc-Roussillon

Salon SésameDu 6 au 9 mars, Parc des expositions, NîmesD’abord axé sur les médecines alternatives et le mieux-vivre, Sésame a intégré les produits bio afin de garantir suivi et qualité au public. Un contrôle est effectué tous les ans

par Ecocert. Pour découvrir les solutions alternatives d’aujourd’hui...www.salon-sesame.com

Salon du bien-êtreLes 21 et 22 mars, Parc des expositions, PerpignanUne opportunité de rencontres et d’échanges autour du bien-être, de la santé au naturel, des thérapies alternatives et du développement personnel.www.salonlamagys.com

Lorraine

Salon Bio à 100%Du 17 au 19 avril, Parc des expositions, MetzUn salon entièrement consacré au bio, avec plusieurs espaces dédiés à la gastronomie bio, au bien-être et à la beauté, aux vêtements et autres produits bio... Plus de 100 exposants nationaux et régionaux.www.salonbioeco.com

Pays de la Loire

Salon Respirez la vieDu 6 au 8 mars, Parc des Expositions, Le MansUn salon dédié à la gastronomie et vins bio, au tourisme vert et solidaire, à l’habitat et énergies renouvelables, à l’artisanat. Avec également un pôle orienté vers le bien-être présentant des produits et des techniques alternatives pour la santé, la beauté et l’entretien du corps.www.respirezlavie.com

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Abonnez-vous à

Pour TOUTE LA FAMILLEPour PRENDRE SOIN DE SOI,

Pour S’INFORMER sur les méthodes, produits et acteurs du secteur qui ont fait leurs preuvesPour ÊTRE BIEN avec vous-même, en famille,

au travail. Pour vous DIVERTIR !

1 AN (6 numéros) comprend :

L’AIR DU TEMPS (actualités, nouveautés),

CONFIDENCES(interview d’une personnalité),

PRENDRE SOIN DE SOI(beauté, soin, hygiène, fome, alimentation),

DOSSIER , REPORTAGE , ÊTRE (soi, en famille, au travail), VIVRE (déco, initiatives, évasions), FOCUS (produits, prestations)

VOTRE BULLETIN D’ABONNEMENT

OUI je m’abonne à Focus Bien-être 1 an (6 Numéros) pour 23,40 € soit 3.90 € le numéro.

Mme, Melle, M. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prénom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Code postal : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ville : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Date de naissance : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Téléphone : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

e-mail : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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CONFIDENCES

Que faites-vous pour vous sentir bien ?Il y a quelques années, j’ai com-mencé à m’offrir quelques jours en thalasso. Et maintenant, je me dis que c’est un luxe à s’offrir de temps en temps, quand survient le coup de pompe de l’année. J’ai découvert les centres de thalasso d’Arcachon, de Saint-Malo et de Biarritz. De ma-nière plus quotidienne, comme je voyage beaucoup, je subis les dé-calages horaires. Mon secret est de respecter le plus possible les cycles de sommeil et de prendre le moins de médicaments possible.

A quel moment vous sentez-vous belle, bien dans votre peau ?Je me sens détendue après m’être offert une journée de pause et un massage… Je pioche certains rituels à l’étranger, que j’essaye en-suite de retrouver à Paris. Au retour d’un voyage, je m’accorde une ou deux heures en institut. J’ai récem-ment découvert l’institut Nuxe, à Paris, un endroit très agréable.

Quelle est la tenue dans laquelle vous êtes le plus vous-même ?Sur le terrain, je suis plutôt en mode baroudeuse, mais malgré tout, je suis assez urbaine. Je me sens bien dans ces deux tenues et quand je prépare mon sac, je switch entre les deux.

Quels sont les trois produits beauté dont vous ne pourriez plus vous passer ?Je dépense beaucoup d’argent en parapharmacie ! J’ai la peau très ré-active et sensible et comme je passe beaucoup de temps à l’extérieur, j’ai toujours des crèmes avec moi. Mes produits phares sont la solution micellaire Bioderma, un incontour-nable qui vaut aussi bien pour le démaquillage que pour nettoyer la

SophieJovillard

SA BIO EXPRESS

07|1973 Naissance à Lille.

2006Création d’Echappées belles, qu’elle présente seule pendant cinq ans, avant de partager l’animation de l’émission avec Jérôme Pitorin et Raphaël de Casabianca.

05|2014Publication des Carnets de Sophie en France aux éditions du Chêne.

Depuis presque 10 ans, chaque

samedi soir, Sophie Jovillard

nous fait voyager avec

l’émission Echappées belles,

sur France 5.

Un métier de rêve, mais qui

nécessite d’être toujours

au top. Avant de prendre

un avion pour l’Uruguay,

l’infatigable globetrotteuse

nous confie ses astuces pour

garder la forme.

Par Aurélie Thépaut

« J’essaye d’avoir une hygiène de vie la plus saine possible »

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peau, ainsi que le dermo-nettoyant et les monodoses Toleriane de La Roche-Posay – ces dernières sont très pratiques quand on est en voyage, elles servent à la fois de dé-maquillant et de lotion. J’aime aussi l’huile prodigieuse de Nuxe pour le corps et les cheveux. Et enfin, la BB crème de Garnier. Lorsque que je suis sur le terrain, je n’ai pas de ma-quilleuse. Cette crème est un peu couvrante, elle sert de base de ma-quillage et cache les imperfections.

Quel est votre truc pour garder la forme ?A cause de mon métier, j’ai beau-coup de mal à avoir une pratique de sport régulière. Pendant long-temps, j’ai réussi à pratiquer le yoga en bas de chez moi, mais le cours n’existe plus. La solution que j’ai trouvée, c’est de prendre un coach. Elle s’appelle Gaëlle Amand, c’est une fille géniale, elle s’est adaptée à ma condition physique. Partir courir avec elle pendant deux heures me vide la tête et me fait un bien fou, c’est une remise en forme sans contraintes et sans jugement, cela me ressource vraiment.

Comment décririez-vous votre régime alimentaire ?Mon rythme alimentaire est perturbé par les voyages. J’essaye d’avoir une hygiène de vie la plus saine possible. Pourtant, je suis un peu épicurienne : j’aime retrouver mes amis autour d’une bonne table. Je mange de moins en moins de viande car je n’en ai plus tellement envie. Et je ne me lance dans aucune expérience culinaire pour ne pas prendre de risques ! Quand je voyage, je mange le plus basique possible.

Quel est votre plat préféré ?C’est dur… ! J’ai une vraie appé-tence pour la cuisine japonaise, ainsi que la cuisine familiale ita-lienne. J’aime aussi la fraîcheur de la cuisine grecque en été, en particulier les mezzés. Etant issue d’une famille nombreuse, j’aime les grandes tablées, les pots au feu en famille… Et le flan aux œufs de ma maman.

Quel est votre anti-stress ?La lecture de romans. Là, j’emporte avec moi le dernier Sylvain Tesson. Les livres me permettent de faire passer le temps dans les avions, de m’évader.

Quel est votre dernier souvenir professionnel joyeux ?Le fait de se dire, en début d’an-née, que je prends plaisir à incarner une émission diffusée en prime time sur France 5 depuis presque 10 ans ! Nous touchons en moyenne 1 million de téléspectateurs ; c’est une fierté et un vrai bonheur pro-fessionnel. Même si je ne fais pas partie des stars du PAF, ce n’est pas grave.

Et en famille ?Pendant les fêtes de fin d’année, nous nous sommes retrouvés toutes générations confondues et on a ri, on a fait des jeux, c’était très festif et joyeux, c’est chouette de se dire qu’on a le droit d’avoir encore 10 ans quand on franchit la porte de chez ses parents.

Quel est, selon vous, le secret pour être épanouie en couple ?Si je le connaissais, celui-là… ! Etre loyal et honnête l’un envers l’autre,

se faire mutuellement confiance et savoir qu’on peut partager des choses ensemble.

Quel est votre type de séjour ou de vacances préféré ?Comme j’ai la bougeotte depuis longtemps, je n’ai plus envie de par-tir très loin. J’aime les vacances en famille, plutôt en France. J’aime re-tourner dans les lieux où j’ai passé du temps, comme à Marseille, dans le bassin d’Arcachon ou encore dans la campagne lyonnaise, où vivent mes parents.

Quelle est la pièce où vous vous sentez le mieux chez vous ?Ma « cabane », comme je l’appelle. C’est une chambre sous les toits où j’aime écouter la radio, des livres et des magazines trônent sur le lit… C’est mon cocon.

Quel est votre objet fétiche ?Mon passeport. Je l’ai toujours avec moi, il passe de sac en sac. Si un jour, l’envie me prend d’aller à l’aé-roport, je sais que je peux partir où je veux !

Quelle est votre petite phrase totem ?« Faites de beaux voyages… » C’est la phrase que je dis systématique-ment à la fin d’une émission.

Son actualité

Entre deux voyages au bout du monde ou en France, Sophie Jovillard rédige des chroniques pour le magazine Lonely Planet. Ce qui ne l’em-pêche pas d’avoir des projets plein la tête  : «  Je nourris l’espoir depuis longtemps de monter une émission de radio sur le voyage et la découverte… », souffle-t-elle.

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14 • Mars - Avril 2015

PRENDRE SOIN DE SOI BEAUTÉ

en matière. » Pour offrir aux cheveux un terrain de pousse favorable, il faut assainir le cuir chevelu et stimuler la microcirculation en pratiquant des automassages doux avec la pulpe des doigts.

Astuces coiffure Une coupe courte est idéale

quand on a les cheveux fins. « Elle permet de dynamiser la chevelure et de lui donner du volume », explique Emma Guerri, directrice de formation Saint-Algue. Un carré droit, un carré plongeant, une frange, une mèche sont autant d’options possibles. Le dégradé ? Oui, mais légèrement. « Juste ce qu’il faut pour donner une sensation de masse. »

La finesse des cheveux provient de multiples facteurs : d’abord, la génétique et l’âge. Mais

l’application de soins non adaptés, des mèches ou des colorations trop agressives, l’utilisation excessive du sèche-cheveux et des fers à lisser peuvent également affaiblir et affiner la fibre capillaire. Résultat : les cheveux fragilisés poussent moins bien et s’affinent sur les longueurs. Plus paradoxal, un cuir chevelu gras est souvent à l’origine de cheveux fins : « Tout passe par le cuir chevelu, explique Catherine Chauvin, directrice de l’Institut René Furterer, à Paris. Si le cheveu pousse dans de mauvaises conditions, il va perdre en densité et

Quand on a les cheveux fins, les longues chevelures sont plutôt à oublier. En effet, « naturellement les cheveux fins poussent mal ou s’affinent sur les pointes », poursuit Emma Guerri. Il est donc compliqué d’avoir de beaux cheveux longs lorsqu’ils sont fins. « La bonne longueur est jusqu’aux épaules maximum », précise l’experte.

Les mèches et colorations sont d’excellentes alliées des cheveux fins. Elles créent de la profondeur au niveau des racines. Foncer légèrement la couleur permettra également de donner une impression de masse. « Si la cliente préfère rester blonde, on jouera avec les racines », explique Emma Guerri.

Cheveux fins, mous, raplapla…

Pas évident de bien se coiffer

quand nos cheveux n’en font

qu’à leur tête. Nos astuces

pour booster le volume des

cheveux fins et leur redonner

un peu de matière.

Par Jessica Xavier

Cheveux fins :

mode d’emploi !

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aint

Alg

ue 2

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Mars - Avril 2015 • 15

PRENDRE SOIN DE SOI BEAUTÉ

Les ondulations sont également parfaites pour donner une illusion de volume. Les cheveux devront alors être toujours protégés à l’aide d’un soin thermo-lissant avant l’utilisation du fer et l’opération ne devra pas être répétée trop souvent au risque de fragiliser d’avantage la fibre. Le crêpage, oui, mais avec parcimonie car il risque lui aussi de sensibiliser le cheveu.

Les bons soinsLe cheveu fin est fragile et cassant. Il doit donc être traité avec des soins adaptés qui vont le nourrir et le fortifier d’une part, lui redonner de la densité d’autre part.

Le shampoing. Pour chouchouter ses cheveux fins, il convient d’alterner shampoings traitants pour cheveux fins qui vont nourrir et densifier la fibre et shampoings volumateurs à action gainante. Le bon rythme ? Un shampoing traitant en cure de trois mois, une à deux fois par semaine que l’on associe à un shampoing volumateur. Mais attention, le shampoing seul ne suffit pas. Il doit s’inscrire dans une routine intégrant d’autres soins, dont notamment un masque volumateur appliqué une fois par semaine sur les longueurs pour un effet « tuteur ». Enfin, le rinçage est primordial. « Les cheveux doivent crisser sous l’eau », rappelle Catherine Chauvin. Sinon, les résidus de produits risquent d’alourdir la chevelure.

Les produits coiffants. Pour redonner du volume à des cheveux fins, la laque est une bonne option. On la vaporise la tête en bas, on repasse au sèche-cheveu et le tour est joué !

Complexe 5, René Furterer, 26,20 € les 50 ml. Mousse Amplifiante - Volumea, René Furterer, 13,80 € les 200 ml.

Shopping

Baume Kératine forte, Biocyte, 29 € les 100 ml.

Masque volumateur, L’Occitane, 25 € les 250 ml.

Shampoing redensifiant, Vichy, 11,70 € les 200 ml.

Shampoing sec, Klorane, 9,40 € les 150 ml.

Cheveux et ongles, Nature Active, 16 € les 45 capsules.

Le shampoing sec est bien sûr un incontournable pour redonner de la vie à la matière et il est bien pratique pour la rafraîchir entre deux shampoings. Enfin, les sprays volume et mousses de coiffage avant brushing redonneront aussi du corps et du volume aux chevelures raplapla.

L’astuce en plus ? Opter pour une brosse à poils naturels. Les brosses en plastique ou en métal rendent les cheveux électriques et surtout, elles cassent la fibre déjà fragile.

Quid des compléments alimentaires ?Il est tout à fait possible de fortifier ses cheveux de l’intérieur. Pour cela, des compléments alimentaires, en cure de trois mois peuvent être un bon coup de pouce. « La vitamine C, le sélénium, la vitamine B8, la manganèse forment un cocktail vitalité qui va booster la densité des cheveux », affirme Catherine Chauvin. On peut aussi adapter son alimentation en mettant au menu des aliments riches en vitamines et en protéines !

AIR DU TEMPS CONFIDENCES ETRE VIVREZOOM SUR OPPORTUNITÉS

focus-bien-etre.fr

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visible sur pc, tablette et mobile

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Page 16: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

16 • Mars - Avril 2015

PRENDRE SOIN DE SOI BEAUTÉ

DESVERNIS PLUS

sains

Le vernis s’est imposé

comme une vraie star ces

dernières années. Pourtant,

sa composition prête à

discuter. Depuis quelque

temps, les vernis dits « 3/4/5

free » s’imposent comme une

alternative plus saine.

Par Jessica Xavier

Les vernis contiennent de nombreux produits chimiques nécessaires à

leur tenue, à leur brillance et à leurs effets : nitrocellulose, résines, agents plastifiants, solvants, pigments. Or nombre de ces actifs sont suspectés d’être nocifs pour la santé. Selon les dermatologues, ils seraient à l’origine d’allergies cutanées et de problèmes de sensibilité oculaire. Malgré des réglementations très strictes en Europe, en Amérique du Nord, au Japon, on peut encore trouver sur le marché des vernis contenant des ingrédients interdits. Pour plus de transparence, de nouveaux produits font leur apparition sur le marché : les vernis 3/4/5 free.Un vernis 3-free, 4-free ou 5-free est un vernis dont 3, 4 ou 5 ingrédients toxiques ont été retirés de sa composition. En clair, un vernis 3-free ne contient ni formaldéhyde, ni toluène, ni phtalate de dibutyle (DBP), appelés les « Big 3 ». Un vernis 4-free ne contient ni les Big

3, ni camphre synthétique. Et un vernis 5-free ne contient ni les Big 3, ni camphre synthétique, ni xylène.

Des actifs sous surveillance« Le formaldéhyde est un durcisseur d’ongles efficace, mais il nécessite des précautions d’emploi particulières, c’est pourquoi nous ne l’utilisons pas dans nos vernis », explique Solange Momo, marketing manager chez Mavala. Par ailleurs, il s’agit d’un cancérigène avéré, pointé du doigt par l’OMS. Le dibutylphtalate (DBP) est un possible perturbateur endocrinien. Quant au toluène, « bien qu’autorisé en Europe dans les produits pour les ongles jusqu’à 25%, il est suspecté d’être toxique pour la reproduction », prévient la directrice marketing. La colophane et le camphre présentent un risque d’allergies cutanées pour les consommatrices. Tout comme le diméthylbenzène, un solvant volatil pouvant entrainer des irritations cutanées. Par principe de précaution,

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Mars - Avril 2015 • 17

Shopping

Jelly Effect, Mavala, 5,40 € les 5 ml. 4-free : ni formaldéhyde, ni toluène, ni phtalates de dibutyle, ni camphre, ni colophane et sans nickel ajouté.

Vernis, T.LeClerc, 10 € les 8 ml. 4-free : ni formaldéhyde, ni toluène, ni phtalates de dibutyle, ni camphre, ni parabènes, ni phénoxyethanol.

Soin des ongles, Ecrinal, 4 € les 6 ml. 4-free : ni

formaldéhyde, ni toluène, ni phtalates

de dibutyle, ni camphre, ni parabènes.

Vernis haute tolérance, Innoxa, 5,50 € les 4,8 ml. 4-free :

ni formaldéhyde, ni toluène, ni phtalates de dibutyle, ni

camphre, ni parabènes, ni phénoxyéthanol.

Silicium vernis fortifiant protecteur,

rose lavande, La Roche-Posay, 10 € les 6 ml. Sans formol, sans

colophane, sans toluène, sans parabènes.

il est donc préférable d’éviter ces substances toxiques vivement déconseillées aux populations à risques : femmes enceintes, enfants, personnes souffrant d’allergies. Et Solange Momo d’ajouter : « Il est très important de bien ventiler la pièce lorsque des produits de manucure contenant des solvants sont utilisés ».

Les atouts des vernis sainsPlusieurs marques comme Mavala, Innoxa, T-Leclerc, La Roche-Posay, Une, Kure Bazaar ont décidé de ne pas utiliser ces allergènes dans leurs vernis. A la place, elles utilisent

des formules qui veillent à réduire les substances chimiques. Sans être parfaits (ils contiennent tous de la nitrocellulose, par exemple), ces vernis contiennent moins d’actifs toxiques et sont plus hypoallergéniques, plus hydratants pour l’ongle et diminuent les risques de toxicité. Enfin, côté rendu, les résultats sont plutôt probants. La palette de couleurs est suffisamment riche pour répondre à toutes les envies. Les laques sèchent rapidement et leur tenue, sous peine d’apposer un top-coat, peut durer jusqu’à une semaine. Optons sans hésiter pour des griffes plus naturelles !

MAI/JUIN

Préparer sa peau

JUILLET/AOÛT

Epilation

SEPTEMBRE/OCTOBRE

Quelle coloration

pour vos cheveux ?

LES prochains

SUJETS beauté

Page 18: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

18 • Mars - Avril 2015

PRENDRE SOIN DE SOI FORME

Cependant, les quelques chiffres suivants en disent long sur l’engoue-ment des Français pour le running. La Fédération française d’athlétisme (FFA) dénombre 8,5 millions de coureurs, soit 16% des femmes et 22% des hommes ! Ceux-ci ont un profil plutôt jeune (les 15-24 ans représentent 41% du nombre de coureurs). Toujours selon la FFA, 11% des Français courent au moins une fois par semaine et 77% d’entre eux courent seuls. La nature est le lieu privilégié pour 44% des cou-reurs. Les courses ont fleuri partout en France : 800 sont labellisées par la FFA. En 2014, le marathon de Paris a accueilli 50 000 participants, qui n’ont pas reculé devant le coût

Ce qui surprend les non-prati-quants, c’est l’engouement pour ce sport qui peut pa-

raître ingrat. Pourtant, nombreux sont les adeptes qui le pratiquent plusieurs fois par semaine, voire même chaque jour… ! Simplicité, faible coût, challenge personnel, plaisir de courir sur un chemin qui surplombe la mer ou dans une fo-rêt, sentiment de liberté, mais aussi émulation collective des coureurs… Nombreux sont les atouts pointés par les adeptes de la course à pied.

La mode des marathonsDifficile de déterminer précisément le nombre de runners en France tant la pratique de ce sport est libre.

d’acquisition exorbitant du dossard (entre 75 et 109 €). Mais c’est le marathon de New York qui reste la course la plus plébiscitée.

Courir pour la formeL’engouement pour la course à pied date d’une dizaine d’années. « Il y a plus de coureurs, mais le niveau de performance n’a pas augmenté », observe Gilles Dorval, coach expert en course à pied (lire l’interview). En effet, la plupart des coureurs recherche autre chose que la perfor-mance. « Il y a trois sortes de profils, précise le coach. Ceux qui veulent retrouver la forme en pratiquant une activité physique facile à mettre en place ; ceux qui courent par passion et sont en recherche de résultats, notamment dans les courses, et ceux qui font une autre activité et veulent participer à une course. » Nacima (43 ans) et Emmanuelle

LA

DU runningpratique

Courir est une évidence pour certains, un calvaire pour d’autres.

Entre les deux, un fossé qui semble impossible à franchir.

Et pourtant… Par Aurélie Thépaut

Page 19: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

Mars - Avril 2015 • 19

PRENDRE SOIN DE SOI FORME

(34 ans) courent toutes les deux pour retrouver la ligne. La première n’avait jamais couru et affirme qu’elle détes-tait ça, la seconde a toujours couru depuis l’adolescence – « c’est mon sport de base », dit-elle - mais s’y est remise plus intensément après son premier accouchement, avec l’inten-tion, pour se motiver, de préparer un semi-marathon avec son conjoint. Le couple s’équipe donc d’une pous-sette trois roues Hight Trek Bébé Confort. « C’est un bon compromis, ça permet de faire du sport avec un bébé, s’enthousiasme Emmanuelle. Et puis, on faisait double effort ! » Quant à Nacima, elle s’est adonnée

au running pendant un an et demi de manière intense avec une partenaire. « Je me levais à 5h30, j’allais courir de 6 à 7 et après, on nageait dans l’eau glacée… » Bientôt, elle court 5 à 6 fois par semaine. Au bout d’un an d’exercice, elle perd 10 kilos et prend du muscle. « Ça affine et toni-fie », certifie-t-elle. Mais ce n’est pas tout : peu à peu, elle prend vraiment goût à l’exercice. Aujourd’hui, si elle ne coure plus depuis 6 mois, faute de partenaire, elle affirme avoir tou-jours « très envie de courir ». « J’étais mieux dans ma tête », assure-t-elle. Un sentiment de bien-êtreCar l’une des particularités du running, c’est aussi le plaisir que l’activité procure. Benjamin (40 ans)

est un coureur régulier - il a réalisé quatre semi-marathons ces der-nières années. Même s’il aime courir, il admet que c’est difficile de commencer. « C’est dur les 20-25 premières minutes, poursuit-il. Mais après, on a une sensation d’ivresse. Ça devient vite une drogue ! » En ef-fet, pendant la pratique de la course à pied, le cerveau libère des endor-phines, sorte d’anti-stress naturel qui devient vite addictif. « Quand je suis à fond, je suis obligé de me freiner car j’ai peur de me faire mal », renchérit Benjamin. Nacima évoque elle aussi cet « état d’euphorie » qui l’envahissait après une heure de foo-ting et durait « toute la matinée ». On comprend mieux la persévérance des coureurs !

Les prochains rendez-vous

Somad (course nature à obstacles), le 22 mars, Bois de Vincennes, Paris.

Marathon de Paris, le 12 avril, Paris.

La Parisienne (une course 100% femmes), du 11 au 13 septembre, Pont d’Iena, Paris.

Marathon de New York, le 1er novembre, New York.

Quels sont les avantages de la course à pied ?Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ça ne fait pas maigrir, sauf si le volume des séances est très consé-quent ou que la pratique s’accompagne d’une hygiène alimentaire particulière. Courir permet d’entretenir l’appareil cardio-vasculaire et de solidifier les os et c’est un anti-stress naturel qui procure du bien-être.

Faut-il avoir des prédispositions particulières pour courir ?Non, l’être humain est fait pour ça. On a endormi cette fonction mais regardez les gamins dans une cour de récréation : ça court dans tous les sens. Si on a entre-tenu cela, il n’y a pas de soucis. 90% des gens sont en mesure de courir.

Quels sont les risques liés à la pratique de ce sport ?On peut se blesser lorsque l’entraînement est mal adapté. Dans ce cas, il y a des risques de tendinites,

d’élongations musculaires, de contractures… Mais sinon, il n’y a pas de risque particulier. A partir de 35-40 ans, il faut seulement faire un bilan de santé régulier chez le médecin.

Quelles sont les parties du corps sollicitées ?Essentiellement le bas du corps, mais également l’ap-pareil cardio-vasculaire et la ceinture abdominale.

Quel est le matériel indispensable à la pratique du running?Une bonne paire de chaussures (compter 100  €), un short, un tee-shirt et éventuellement un cardiofréquencemètre.

Pour plus d’infos : www.conseils-courseapied.com

INTERVIEW Gilles Dorval, coach expert en course à pied et créateur de conseils-courseapied.com

Page 20: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

20 • Mars - Avril 2015

PRENDRE SOIN DE SOI ALIMENTATION

Au fil du temps, les habitudes ont changé. Les Français consomment aujourd’hui

moins de pain qu’il y a 30 ans. « De 325 grammes par personne et par jour en 1980 on est passé à 120 grammes », affirme Valérie Mousques-Cami, la secrétaire générale de l’Observatoire du pain. Les raisons de ce changement ? « L’offre alimentaire est devenue riche et importante. Désormais nous sommes des petits consommateurs de chaque aliment. »

Du pain, oui, mais du bon !La qualité du pain est probablement un autre facteur pouvant expliquer ce ralentissement de la consommation. Dans les années 1990, les boulangeries françaises se contentaient bien souvent de produire la fameuse baguette, quand ses voisins européens (Allemagne, Royaume-Uni) proposaient déjà une variété considérable de pains. Mais aujourd’hui, « les enquêtes montrent que le goût du bon pain a été retrouvé », souligne Valérie Mousques-Cami. La diversité de l’offre y contribue. Pour relancer la consommation, en 2014, l’Observatoire du pain et l’association Tous à table ont lancé une vaste

campagne de promotion du pain*. Car si près de 98% des Français en consomment, certains en mangent moins fréquemment que d’autres. La campagne « Coucou ! le pain » invite donc les Français à manger du pain à chaque repas. La baguette reste le pain le plus consommé : il s’en vend 10 milliards par an ! Son index glycémique ayant récemment été réévalué à la baisse, on peut la consommer à chaque repas.

Un champion nutritifSelon l’Observatoire du pain, le pain est recommandé dans le cadre d’une alimentation équilibrée. Source de glucides complexes, de protéines végétales et de fibres, il participe également aux apports en vitamines du groupe B (B1 et B6) et en minéraux (magnésium, phosphore et potassium). Si la plupart des pains ont une faible teneur en lipides (de 1 à 1,8%), les plus « gras » sont ceux qui sont enrichis aux noix, lardons, fromage, olives ou encore les pains de mie, viennois ou pains au lait. Quant aux viennoiseries (croissants, brioches, pains aux chocolats, pains aux raisins…), elles peuvent comporter jusqu’à 20 fois plus de lipides que la baguette ! Autant dire qu’il vaut

mieux privilégier le pain au petit-déjeuner et garder les viennoiseries pour certaines occasions (petit-déjeuner en famille le week-end, séjour à l’hôtel en amoureux…) ! Si tous les pains apportent des fibres - y compris la baguette classique, qui apporte plus de 3 grammes de fibres pour 100 grammes de pain -, le pain complet est le plus riche. Enfin, « le pain est un aliment qui éveille les cinq sens », rappelle Valérie Mousques-Cami. Quoi de mieux pour réveiller l’appétit ?

* Pour plus d’infos : www.tuasprislepain.fr

LEpain

Nutritif et convivial, le pain est un aliment phare de la culture

française. Dans le cadre d’une alimentation équilibrée, il est

recommandé d’en consommer à chaque repas. Dès lors, pourquoi

ne pas varier les plaisirs… ? Par Aurélie Thépaut

A CHAQUE REPAS SON TYPE DE PAIN !Baguette, boule, fougasse, pain complet, demi-complet, sésame, céréales… Le choix est souvent vaste ! Quelques idées pour varier les plaisirs.

Petit-déjeuner : baguette ou boule céréales.

Déjeuner : boule pour faire des tartines ou en accom-pagnement d’une soupe ; baguette pour les sandwiches ; pain de seigle pour accompa-gner des fruits de mer ou du poisson…

Goûter : boule aux raisins ; baguette viennoise.

Dîner : Pain aux graines en accompagnement de viande ma-rinée ou de poisson fumé, boule aux noix ou pain au son avec un bon morceau de fromage.

Page 21: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

Mars - Avril 2015 • 21

PRENDRE SOIN DE SOI ALIMENTATION

Les déjeuners apéritifs entre amis ne sont pas à supprimer pour des raisons de diététique : ils peuvent être préparés en intégrant les règles de l’équilibre alimentaire.

Facile et abordable 4 personnes

15 minutes

Ingrédients• 8 petits pains• 150 g de tapenade• 200 g de fromage frais• 200 g de tarama• 8 tomates confites• Quelques lamelles d’aubergine grillée, de jambon cru et de saumon fumé• Quelques tranches de concombre

Tranchez les petits pains. Passez le pain au grill pour plus de

croquant. Tartinez les tranches de tapenade et de

tomate confite, le tarama et le concombre, le fromage et le saumon fumé, l’aubergine et le jambon.

Astuce : Plus vous mixerez les ingrédients, mieux le plat sera réussi (et joli à regarder) !

Le problème du petit-déjeuner des enfants, c’est qu’il est souvent difficile de les motiver pour manger à la fois un aliment céréalier et un fruit. Voici une recette pratique et équilibrée pour éviter ces négociations diététiques matinales… !

Facile à faire avec des enfants et économique 2 personnes

10 minutes

Ingrédients• Une baguette de tradition française (grillée ou non) coupée en tartines• 40 g de beurre • Une barquette de fraises ou de framboises (selon la saison)• 2 pommes• 1 citron• 2 poires• 4 cuillères à soupe de confiture

Lavez les fruits et coupez la poire et la pomme en fines lamelles. Prenez soin de citronner les lamelles de pomme pour ne pas qu’elles noircissent.

Coupez la baguette et grillez les tartines. Beurrez-les légèrement et recouvrez-les

avec les fruits préparés au préalable. Servez avec un peu de confiture. Astuce : Pour un petit déjeuner équilibré,

vous pouvez accompagner vos tartines fruitées d’un yaourt (pour l’apport en calcium) avec une cuillerée de miel (pour les glucides simples et le réveil dynamique), d’un jus de fruits pressé maison (pour éviter l’ajout de sucres des boissons toutes prêtes) et d’une boisson chaude (thé, chocolat au lait…) pour hydrater le corps, qui en a bien besoin après une nuit de jeûne.

Fournée apéritive

Tartines fruitées

Page 22: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

22 • Mars - Avril 2015

DO

SS

IER

Le bio, aujourd’hui, tout le monde connaît. Certains le défendent, d’autres

s’en méfient encore. Trop cher, réservé aux bobos ou aux néo-hippies, sectaire… Pourtant, selon les derniers chiffres publiés par l’Agence bio, un tiers des Français consomment des produits bio régulièrement (tous les jours ou au moins une fois par semaine) et plus de la moitié de la population (6 Français sur 10) en consomme au moins une fois par mois, soit une progression de 13% par rapport aux chiffres de 2013. A noter aussi que sur ces derniers, 28% consomment des produits bio depuis moins de deux ans. De plus, plus de 4 Français sur 5 veulent du bio à l’école. Les régions les plus consommatrices sont la Bretagne et toute la moitié sud de la France. Les trois régions du Nord ainsi que la Lorraine et l’Ile-de-France sont celles où le taux de vente par habitant est le plus faible. C’est également dans ces régions que la part des surfaces bio dans le territoire agricole est la plus basse, tandis que la moitié des surfaces bio se trouve dans cinq régions :

Midi-Pyrénées, Pays de la Loire, Languedoc-Roussillon, Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côtes-d’Azur.

Une offre diversifiéeQuoiqu’il en soit, en matière de production, la France est parvenue à rattraper son retard car aujourd’hui, 75% des produits bio consommés en France proviennent de notre pays. Il se situe en 3e position à quasi-égalité avec l’Allemagne (10% de la SAU bio de l’UE), derrière l’Espagne (16%) et l’Italie (14%). Côté consommation, la France représente le 2e marché derrière l’Allemagne (20% de la consommation de l’UE). Le marché bio français se caractérise par la grande diversité de la production (fruits et légumes, viande, poisson, huile, produits laitiers, vins…) ainsi que des circuits de distribution (Grandes et moyennes surfaces (GMS), magasins spécialisés bio, artisans, vente directe, épiceries..). Cela dit, les GMS et les magasins bio se partagent la grande majorité des parts de marché : 45% des ventes de produits bio se font en GMS

DEMAIN…

TousBIO?

Tandis que le Salon de

l’Agriculture vient de

fermer ses portes, où en

est l’agriculture biologique

aujourd’hui ? Consommerons-

nous tous bio demain ? S’il est

encore trop tôt pour le dire,

les chiffres, en progression

constante, témoignent d’une

tendance de fond.

Par Aurélie Thépaut

Page 23: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

Mars - Avril 2015 • 23

DO

SS

IER

Aujourd’hui, l’offre française est-elle suffisante pour répondre à la demande ?Dans certains secteurs, elle se développe au rythme de la demande. C’est le cas pour le vin et l’élevage terrestre (bovin, ovin, porcin, volaille). La France vend aussi à l’extérieur du fromage, des produits laitiers, des spécialités de terroirs (comme les pâtés végétaux), des produits élaborés (comme les biscuits). Concernant les fruits et légumes, on achète et on vend à l’extérieur selon un principe de complémentarité. Ainsi, une partie du chou-fleur et du chou de Bretagne est consommée en Europe du Nord.

En quoi les produits bio se distinguent-ils des autres ? Ils sont innovants. Les producteurs bio intègrent les préoccupations santé des consommateurs. Ils proposent des confitures sans sucre ajouté, des fruits séchés, des huiles qui n’existent pas par ailleurs. Pendant longtemps, le quinoa n’existait qu’en bio. Les produits à base d’épeautre sont avant tout issus de la bio. De même, les produits sans gluten se trouvent avant tout en bio.

Peut-on rêver d’un monde où on consommerait tous bio ?Il est nécessaire de rêver, cela canalise les énergies. Nous suivons un programme mis en place par le gouvernement, Ambition bio 2017, qui encourage le développement de l’agriculture biologique. L’offre va donc encore se développer. Le consommateur est roi et demande de l’innovation, du choix et de la transparence.

Quelle est votre première réaction concernant les chiffres de 2014 ?L’intérêt pour les produits bio se confirme et les ventes augmentent. C’est une tendance structurelle. Année après année, l’intérêt pour les produits bio est croissant, y compris venant des consommateurs occasionnels. On constate une augmentation de la fréquence d’achat de produits bio et un élargissement du panier.

Quels sont les produits bio les plus consommés ?Il y a une prédominance des produits frais  : les fruits et légumes et la crémerie (lait, œufs…). Mais d’autres secteurs comme le pain ou la viande suivent le mouvement général. En ce qui concerne le vin, la production a beaucoup évolué et les consommateurs s’approvisionnent de plus en plus facilement. La vigne bio représente aujourd’hui plus de 8% du vignoble national.

Quelle est l’évolution des ventes selon les circuits de distribution ?La diversité des circuits de distribution demeure. Sur plus de dix ans, les GMS représentent de 45 à 49% des parts de marché, la distribution spécialisée plus du tiers (de 36 à 39%), la vente directe 10% et les artisans de 4 à 5%. Ce qui est remarquable, c’est que les ventes ont augmenté dans tous les circuits de distribution. Suivant les familles de produits, la part peut varier de manière significative. Ainsi pour les fruits et légumes, les magasins spécialisés raflent 42% des parts de marché en 2013, devant les GMS (32%) et la vente directe (25%).

et 35% en magasins spécialisés. En apparence, le marché est dual au sens où ces deux circuits de distribution ne présentent pas la même offre. « Les GMS proposent une offre mass market avec peu de références - de 300 à 3000, alors que les magasins spécialisés en ont entre 5000 et 10 000 », précise Cécile Schoenberg, auteure d’une étude sur la distribution de produits biologiques à l’horizon

2018*. De plus, les références ne sont pas les mêmes, même si les produits viennent du même producteur, et il y a une différence de prix. « Les GMS ont réussi le pari de mettre le bio au niveau des grandes marques conventionnelles, remarque Cécile Schoenberg. Elle constitue une porte d’entrée vers le marché du bio. Elle s’adresse à des néophytes qui constituent un potentiel de consommateurs bio. Au

contraire, les magasins spécialisés s’adressent aux consommateurs convaincus prêts à payer plus cher des produits qu’ils considèrent plus sains et plus qualitatifs. »

L’arbitrage des consommateursEn réalité, les marchés ne sont pas aussi cloisonnés. Car les consommateurs ne fréquentent pas un seul endroit ; ils arbitrent en

« L’intérêt pour les produits

bio est croissant »

INTERVIEW Elisabeth Mercier, directrice de l’Agence bio

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fonction des produits. C’est le cas de Sandrine, 33 ans, convaincue depuis l’adolescence des vertus du bio. Installée à Paris et mère de deux enfants, elle alterne entre le bio de grande distribution et les magasins bio (Bio c’ Bon, Naturalia). « Je cible les produits et fais mon arbitrage en fonction des prix », concède-t-elle. D’autant que selon les postes alimentaires, certains produits coûtent plus cher en GMS que dans d’autres circuits de distribution. Par exemple, pour les fruits et légumes, « l’offre est très compétitive dans les magasins bio », souligne Cécile Schoenberg. La vente directe propose également des prix plus attractifs. Sébastien, 40 ans, adhère aux Paniers marseillais. Chaque semaine, son panier de légumes pour 2-3 personnes lui revient à 14€. Un seuil vite atteint lorsqu’on achète des légumes bio en supermarché.

Le succès de la vente directeCe dernier circuit de distribution est en très forte augmentation. En effet, en 2013, la vente directe représente 13% des ventes de produits bio. Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) ont essaimé en France depuis une dizaine d’années. Partenariat entre des consommateurs et un (des) agriculteur(s) de proximité, l’Amap se formalise par un contrat dans lequel chaque consommateur achète une part de la production qui lui est livrée périodiquement à un coût constant. De son côté, le producteur s’engage à fournir des produits de qualité issus de l’agro-écologie dans le respect de la charte des Amap. Pour le consommateur, s’engager avec ce type d’association évite de se poser la question : « bio ou local » ? « On est limités par la

production saisonnière, parfois on reçoit une tonne de blettes plusieurs semaines de suite… Mais on n’a pas à se poser la question des courses à faire », témoigne encore Sébastien. « La vente directe répond à une demande de proximité, de traçabilité et de lien social, souligne de son côté Cécile Schoenberg. De plus, elle prend très bien le virage Internet, qui a facilité ce lien direct. On le voit avec le Drive fermier ou La Ruche qui dit oui !, qui détonne dans le secteur. »

Préserver santé et naturePour la majorité des consommateurs de produits bio (62%), la motivation première est de préserver sa santé. D’ailleurs, de nombreux consommateurs ont le déclic à la naissance de leur premier enfant. Ainsi, depuis qu’elle est maman, Katell, 36 ans, évite

Le Green Bear Coffee compte deux établissements à Marseille, ouverts en 2009 et 2012. Ils font partie des rares restaurants à proposer une cuisine 100% bio. « L’idée était de créer un endroit convivial et bio », indique Guillaume Orcel, le jeune fondateur de Green Bear Coffee - c’est-à-dire loin du cliché austère de certaines « cantines » végétariennes. A l’origine, Guillaume Orcel voulait même créer un café où l’on peut se restaurer à toute heure de la journée, comme il en existe à Bruxelles, Berlin ou aux Etats-Unis. Rapidement, il réalise que la clientèle n’est pas au rendez-vous et opte pour de la restauration rapide : plat du jour, salades, sandwiches, soupes. Depuis un an, la cuisine est

devenue exclusivement végétarienne (question de coût) et au maximum sans gluten ni lactose. De nombreux plats sont « vegan » (végétaliens). Le restaurateur s’approvisionne par le biais d’un grossiste basé à Cavaillon. « Notre politique est de proposer les meilleurs produits au prix le plus conve-nable », insiste-t-il. Avec un plat du jour à 7,40 €, des sandwiches autour de 5€ et des salades à 6€, les prix sont effectivement très corrects. Et même si l’équilibre est tout juste atteint avec les deux premiers établissements, Guillaume Orcel projette d’en ouvrir un troisième en centre-ville. Pour de-vancer une clientèle montante… ?

Le Green Bear Coffee, un fast-food 100% bio à Marseille

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les supermarchés et fait quasiment l’intégral de ses courses à Biocoop. « Je fais attention à ce que j’achète, explique-t-elle. Je regarde les étiquettes, j’évite tous les produits où il y a des additifs alimentaires ou des colorants. » De même, Mikaël Aubertin, 35 ans, a créé sa propre entreprise de babyfood bio après la naissance de son premier enfant (lire en pages 32-33). « La préoccupation des consommateurs pour la santé est grandissante, ainsi que la conscience des enjeux écologiques et sociaux, souligne de son côté Cécile Schoenberg. Les scandales autour de la vache folle ou de la viande de cheval ont marqué les Français, ce qui a provoqué une défiance vis-à-vis de l’industrie alimentaire. L’attente de naturalité et de produits sains est forte. » Par ailleurs, l’achat bio est une affaire de responsabilité collective. La volonté de préserver l’environnement est le deuxième

facteur déclencheur de l’achat bio. Ainsi, Guillaume Orcel, le créateur de Green Bear Coffee (lire en encadré) s’est converti très jeune au bio par amour de la montagne. De même, Katell, paysagiste à

Trébeurden (22), revendique une autre manière de cultiver les terres. « Par mon métier, je sais que les terres sont mortes aujourd’hui, déplore-t-elle. Plus rien ne pousse sans engrais. »

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DEMAIN…

TousBIO?

Si vous aussi, vous avez aimé le dossier

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Mais qu’est-ce donc que cette ruche qu’on entend bourdonner sur les réseaux sociaux ? Circuit court local, participatif et connecté, La Ruche qui dit oui ! a compris l’intérêt de s’appuyer sur une communauté sociale pour exister aujourd’hui. L’idée de départ est donc d’offrir aux circuits courts les outils adéquats pour passer à la vitesse supérieure. L’outil en question est une plateforme collaborative sur le web permettant

aux producteurs de présenter leurs produits et aux consommateurs (les « abeilles ») de les commander, avant de les récupérer à un lieu donné un jour donné. Le tout étant coordonné par un responsable de ruche. Aujourd’hui, LRQDO comprend plus de 600 ruches actives en France et en Belgique, 4500 producteurs et 70 salariés. Les produits sont bio à 50%. Si la Ruche marche aussi bien et que les investisseurs ont suivi son projet, c’est parce que « chacun veut savoir comment il va continuer à manger », sourit Guilhem Chéron, le co-fondateur. Avec son entreprise, ce dernier entend « favoriser la transition agricole vers des modèles différents, à petite échelle ». Reste que LRQDO doit faire face à une limite de taille : celle de l’insuffisance de l’offre face à la demande…

Et demain ?Consciente de l’intérêt croissant des consommateurs pour les produits bio, la grande distribution tente des stratégies croisées, comme le montre le rachat de Naturalia par Monoprix ou encore la création de Carrefour bio, dont les deux premiers magasins ont ouvert à Paris et Boulogne-Billancourt. « L’augmentation de la demande de produits bio locaux risque de devenir supérieure à l’augmentation

de la production », prévient Cécile Schoenberg. Ce qui entraînerait une forte augmentation des prix. Pour anticiper ce risque de déséquilibre, « de plus en plus d’acteurs créent des partenariats avec les producteurs, comme Biocoop et la filiale Défi bio », précise encore la chargée d’études. Filiale 100% Biocoop, la société Défi Bio a constitué un fonds permettant de financer ou de cautionner des actions de développement de ses

partenaires professionnels : atelier de transformation, silo de stockage… Avec pour objectif la construction de filières pérennes. Chacun cherche donc des solutions pour satisfaire la demande croissante de produits bio. Le marché du bio, qui pèse aujourd’hui 5 milliards d’euros, a de beaux jours devant lui… !

* Cécile Schoenberg, « La distribution de produits biologiques - Proximité, numérique et stratégies de marques : les nouveaux enjeux d’un marché prometteur », étude Précepta (groupe Xerfi).

Le Bio 2.0 : La Ruche qui dit oui !

Guilhem Chéron

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ÊTRE BONNE RÉSOLUTION

Vous entassez, n’arrivez jamais à retrouver ce que vous cherchez, vous sentez

le besoin de faire du tri mais ne trouvez pas le temps nécessaire ou n’avez aucune idée de la façon dont vous pourriez mieux organiser votre maison…. L’home organiser Pauline Levasseur peut vous apporter une aide précieuse : « En organisant mieux votre intérieur, vous gagnez de l’espace, du temps, de l’efficacité, et donc du bien-être, explique-t-elle. Vous avez l’esprit plus libre ! ». Mais par où commencer ? Première étape : désencombrez ! Arrêtez de conserver des choses inutiles dans un coin de placard ou à la cave. Apprenez à jeter ou donnez ce dont vous ne vous servez plus.

« Il est important de faire un vrai ménage de printemps au moins une fois par an,

Vous avez besoin de

réorganiser votre intérieur,

mais ne savez pas par quel

bout commencer ?

Suivez les conseils de Pauline

Levasseur, home organiser.

Par Manuelle Tilly

recommande la spécialiste. Ne vous encombrez pas de babioles inutiles. Conservez seulement celles qui ont une réelle valeur sentimentale dans un endroit dédié : étagère, case dans une bibliothèque ou boîte à souvenirs. »

Vive les boîtes !Laissez le maximum d’espace libre dans la pièce de vie commune. Préférez installer des placards fermés dans les chambres, tout en prenant bien soin de conserver un espace de jeu suffisant dans celles des enfants. Dans chaque pièce de la maison, définissez des zones de rangement pour les livres, les chaussures, etc. La cuisine compte généralement trois espaces : un coin réservé à la vaisselle, un second à tout ce qui est utile à la cuisson et un autre pour les réserves alimentaires. Triez les objets ou vêtements selon leur fréquence d’utilisation. La règle pour un rangement optimum : placez les choses que vous utilisez au quotidien dans les endroits les plus faciles d’accès, à hauteur d’yeux. Gardez les rangements bas ou en

hauteur pour ce dont vous avez plus rarement besoin. « L’utilisation de boîtes étiquetées, ouvertes si on s’en sert tous les jours, fermées sinon, permet de garder des placards propres, objecte Pauline Levasseur. Et toute la famille peut s’y retrouver ! » Combinaison de ski, pulls d’hiver ou parasol pour la plage : n’hésitez pas à monter au grenier ce qui ne vous sert qu’une fois par an, de préférence dans un rangement hermétique pour le textile. Si vous manquez de rangements, créez-en de nouveaux. Prenez également soin de dégager les axes de passage pour permettre une bonne circulation dans votre habitat. « Pas de meubles dans les passages ! Cela n’est pas fonctionnel et c’est étouffant», prévient la coach en organisation. Enfin, « essayez d’harmoniser les meubles d’une même pièce et de rester dans les mêmes tonalités de couleurs ». Ainsi, vous prendrez davantage plaisir à être chez vous !

Pour plus d’infos : www.bypauline.fr

chez vous !Mettez

DE L’ORDRE

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ÊTRE MÉTHODE

Dès le matin, vous pensez

déjà à la liste de courses que

vous aurez à faire avant de

passer récupérer les enfants ?

Et si vous appuyiez sur

« pause » ? Avec la pleine

conscience, apprenez à vivre

chaque instant pleinement

et sereinement.

Par Manuelle Tilly

Et si la clé du mieux-être au quotidien consistait à s’arrêter quelques instants pour vivre

davantage dans le présent ? C’est ce que propose Beryl Marjolin dans son ouvrage Transformez votre vie par la pleine conscience*. Conçu comme un guide pratique à s’approprier, il donne de précieux conseils pour pratiquer la pleine conscience, autrement nommée mindfulness. « Quand on regarde sa journée, on a l’impression d’avoir vécu dans le présent mais en réalité on est souvent en mode pilote automatique, avec en permanence une petite voix qui commente et évalue ce qui nous arrive, indique Beryl Marjolin. L’objectif est de s’affranchir de ses propres jugements afin de mieux regarder et prendre conscience des évènements. » Le bénéfice étant la libération l’esprit. « La pleine conscience va permettre de gagner

en liberté, en énergie, de ne plus être prisonnier de notre esprit, pour mieux réagir. »

A chaque pratique ses bénéficesVivre en pleine conscience peut s’acquérir à travers différentes pratiques. Le scan corporel permet d’explorer les sensations de chaque partie du corps et de relâcher certaines tensions. Le yoga aide à prendre conscience de son corps et de ses limites à travers des étirements, en conservant une attitude bienveillante vis-à-vis de soi-même. Pratiquée assise, la méditation débute par un travail sur le souffle, puis l’attention se porte sur les sensations corporelles, les émotions, les pensées. Enfin, la marche méditative consiste à marcher en « sachant que l’on marche », en se concentrant sur les ressentis du corps. « Chaque

L’INSTANT présentMieux VIVRE

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Mars - Avril 2015 • 29

ÊTRE MÉTHODE

pratique apporte ses propres bénéfices, souligne Beryl Marjolin. L’idéal est de se familiariser avec chacune et de se questionner sur celle que l’on souhaite pratiquer à cet instant, sachant que nos préférences peuvent évoluer au fil du temps. »

Un entraînement quotidienLa pleine conscience est aussi une véritable discipline, un entraînement quotidien de l’esprit. « L’idéal est de pratiquer 30 minutes par jour pour obtenir un maximum de bénéfices », estime la coach. Un temps parfois difficile à trouver, mais dites-vous que même une séance de 10 minutes aura déjà un effet positif ! Quel moment de la journée privilégier pour pratiquer ? Celui qui vous

convient le mieux. « Essayez, explorez, et voyez ce qui vous va », propose Beryl Marjolin. Sachez cependant que ce mieux-être n’arrivera pas du jour au lendemain et que vous pourrez traverser des phases délicates. « La pleine conscience consistant à s’arrêter pour prendre conscience de ce que l’on traverse, si l’on vit une période de blues, il faut accepter de rester dans cet inconfort au lieu de fuir en allant voir des amis, en buvant de l’alcool ou en faisant du sport... Il faut faire face à ces sensations désagréables », insiste la spécialiste.

Pour soi et pour les autresL’exploration de soi aide à mieux se connaître. « Nous avons tous des schémas de fonctionnement avec lesquels nous sommes habitués de réagir face aux évènements, précise Beryl Marjolin. En être conscient va permettre de tester d’autres réactions, de moins se laisser dépasser par ses émotions. »La pleine conscience développe aussi l’intelligence émotionnelle et améliore donc le rapport aux autres. « Plus proches de nos émotions, nous sommes plus ouverts et capables de mieux comprendre ce qui se passe chez l’autre, assure encore l’auteure du guide. En cas de conflit par exemple, cela peut aider à trouver des solutions. » Au travail, la pleine conscience aide à être plus concentré, efficace,

organisé et créatif, moins soumis à la pression, à avoir davantage confiance en soi et en ses intuitions. En quelques mots : à être plus proche de soi et à mieux vivre l’instant présent.

Exercice de respiration

Adoptez une position confortable qui vous permet néanmoins de rester alerte. Choisissez d’observer votre respiration dans la région des narines, de la gorge, dans la poitrine ou l’abdomen selon votre envie. Suivez l’inspiration du début à la fin. Notez la courte pause lorsque celle-ci se termine. De la même façon, observez l’expiration et notez la courte pause à la fin. Observez votre respiration telle qu’elle est, sans la changer. L’objectif de cet exercice est de prendre conscience du mouvement et des sensations qu’elle procure. A un moment, vous vous apercevrez que votre esprit vagabonde. Prenez note de ce vers quoi il est parti, puis recentrez-vous à nouveau sur votre respiration. Quelques minutes ainsi vous permettent de retrouver calme et sérénité.

Témoignage

« Quelques mois après l’arrêt du tabac, mon dentiste m’a révélé que je grinçais certainement des dents du fait du stress. J’ai cherché des alternatives aux médicaments afin d’apprendre à gérer, voire réduire mon anxiété. Je me suis alors intéressée à la méditation de pleine conscience. Si j’ai une préférence pour la méditation assise, je me suis rendue compte que les différentes pratiques sont véritablement complémentaires. J’essaye donc de varier en alternant celle-ci avec le yoga et le scan corporel. J’essaye aussi de transformer un simple trajet à pied vers mon travail en marche méditative, en anticipant par exemple des pensées stressantes ou du moins préoccupantes. Je pratique la pleine conscience durant 25 minutes en moyenne par jour. J’en ressens un réel mieux être. J’ai moins de douleurs à la mâchoire et suis capable de ne pas me laisser emporter par des pensées négatives, des regrets ou des anticipations stressantes. La petite voix qui me dit que je ne fais ou suis jamais assez bien sera encore là longtemps, mais grâce à la pleine conscience je suis capable de l’observer plus souvent avec détachement, et avec le sourire! »Carole, 34 ans, pratique la pleine conscience depuis octobre 2013.

* Transformez votre vie par la pleine conscience, Beryl Marjolin, éditions Leduc.s, 219 pages, 17 €.

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VIVRE DÉCORATION

À LAPlacepositive déco !

Sur les murs, dans des

cadres, sur des coussins ou

des torchons personnalisés…

Laissez-vous envahir par les

ondes positives ! Faites passer

des messages bienveillants et

remplis d’amour dans chaque

pièce de la maison.

Par Manuelle Tilly

En 2015, place à l’optimisme ! Voir la vie en rose commence par se sentir bien chez soi.

Pour vous y aider, jouez la carte « positive déco » en semant des messages bienveillants un peu partout dans la maison. « Les messages positifs permettent aussi de personnaliser son intérieur sans se ruiner, de le rendre différent de celui des amis ou de la famille », souligne Julie Hembert, blogueuse déco* et décoratrice d’intérieur.

Les lettres envahissent les mursDu couloir de l’entrée à la chambre à coucher en passant par le salon ou la cuisine, les murs de chaque pièce peuvent devenir le tableau

de votre imagination. Encore faut-il adapter le message à l’usage de la pièce. « Dans la salle de bain, vous pouvez imaginer des messages qui aident à relativiser, à vous motiver lorsque vous vous préparez le matin, conseille Julie Hembert. Vous devez juste veiller à ce que le support qui reçoit le message ne craigne pas l’eau ! » Les autres pièces, souvent plus grandes, peuvent accueillir des extraits de textes. « Dans la cuisine ou les pièces de vie communes, les messages sont souvent plus longs, indique la décoratrice. Une citation imprimée, un extrait de poème... » Dans un couloir ou un hall d’entrée, ces phrases bien trouvées peuvent habiller des murs délaissés à

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VIVRE DÉCORATION

moindre coût. « Vous pouvez par exemple réaliser des stickers avec le prénom de chaque enfant associé à une citation de chacun, propose Julie Hembert. Ainsi, dès l’entrée, l’invité devine qu’il est dans une maison familiale. » Inscrire « Welcome home » ou un simple « Bonjour » peut aussi rendre votre intérieur chaleureux et accueillant dès l’entrée.

Affiches et masking-tapeVous pouvez également vous offrir de jolies affiches ou cartes postales à encadrer, comme celles imaginées par Fifi Mandirac, Sarah & Bendrix ou Happy Home, ou même créer votre propre maquette et l’imprimer sur différents supports, comme des plaques d’aluminium ou des toiles imprimées.Le masking-tape vous offre aussi de multiples possibilités : à peu de frais, pourquoi ne pas écrire, dans les couleurs de votre choix, « Fais de jolis rêves » ou « Love » au-dessus de votre lit, « Keep calm and dream baby » à côté de celui de votre nouveau-né.Opter pour un mur ardoise dans une pièce vous permet d’exprimer vos messages et d’en changer chaque jour si bon vous semble, tout en offrant la possibilité aux enfants

de participer à la décoration de la maison au gré de leurs envies.

Personnaliser ses textilesAu-delà des murs, les textiles peuvent également devenir de précieux supports, délivrant des messages plus courts. « J’aime beaucoup les housses d’oreillers « monsieur » et « madame » qui personnalisent la chambre et le lit », confie la spécialiste déco.Autre idée : les coussins lettres de Scrabble. Avec une typographie inspirée du célèbre jeu, les lettres vous permettent de former le mot que vous souhaitez. Pourquoi pas « Zzzzzz » ou « Love » à disposer sur le lit, « Relax » ou « Zen » sur le canapé ? Dans la chambre de bébé, vous pouvez également vous offrir un ravissant coussin « Be happy my baby » du Studio Les Jolis Mômes, ou en créer un vous-même (lire en encadré) ! Les torchons de cuisine aux couleurs pimpantes peuvent également accueillir vos mots pour transformer la cuisine en un lieu encore plus gourmand et convivial.Les boutiques surfent également sur cette tendance positive. Vous pouvez ainsi dénicher des lettres ou mots en bois, chiner des lettres industrielles vintage que vous poserez ensuite au sol, sur une

étagère ou que vous fixerez au mur. Autre astuce : trouver des bougies en forme de lettres et composer un mot qui vous tient à cœur. Pour un intérieur joyeux et à votre image !

* www.cocondedecoration.com

Pour plus d’infos : www.fifimandirac.com www.happyhome.bigcartel.com www.sarahandbendrix.com www.frenchblossom.fr/76_studio-jolis-momes

Un coussin fait-maison

Matériel : une housse de coussin unie, de la peinture sur tissus, une brosse à pochoir, un fer à repasser, une feuille blanche, du carton fin, une imprimante, un feutre, un cutter, une paire de ciseaux.

1 Choisissez une typographie originale en vous rendant sur dafont.com. Tapez votre message et imprimez-le. 2 Placez les lettres sur

un carton fin et tracez leur contour au feutre.3 Évidez les lettres avec

un cutter ou un scalpel de scrapbooking. 4 Positionnez le carton sur

votre housse de coussin. Si le tissu est fin, mettez à l’intérieur une feuille de papier pour protéger le revers. Veillez à ce que le message soit centré. Travaillez à plat sur une table ou le plan de travail de la cuisine. 5 Appliquez la peinture

dans le pochoir avec la brosse. Laissez sécher. Une seconde couche peut s’avérer nécessaire pour recouvrir l’intégralité des fibres du tissu. 6 Une fois la peinture sèche,

repassez votre message pour fixer la peinture.

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VIVRE INITIATIVES

DES

DEpetits plats rois

L’aventure commence début 2009, à Lille. Mikaël Aubertin vient d’être papa. Comme beaucoup de parents qui travaillent – il est alors consultant en stratégie, après avoir occupé des fonctions commerciales et marketing dans l’agroalimentaire -, il donne des petits pots pour bébés à sa fille. Ce genre de mixtures, il faut l’avouer, est peu ragoûtant. Mikaël Aubertin s’en fait la réflexion : « Je donne à ma fille, qui est ce que j’ai de plus précieux, des petits pots que je n’ai moi-même pas envie de manger… C’est culpabilisant et paradoxal ! ».

Bio et bonAlors consommateur occasionnel de produits bio, le jeune papa commence à s’intéresser de plus près à l’alimentation biologique. Mais pas

seulement. « Quand on devient parent, on a des questions qui font surface, au-delà du bio, sur sa carrière professionnelle… », fait-il remarquer. Il décide alors de

changer de métier pour créer sa propre entreprise de babyfood. Pour cela, il s’entoure d’une équipe composée de nutritionnistes de l’Institut Pasteur de Lille et du chef étoilé Michel Reteunauer, qui l’aide à

Un papa soucieux du bien-être

de son bébé qui réinvente la

babyfood, une entreprise

qui monte, qui monte…

C’est l’histoire de Good goût,

la nouvelle marque de petits

plats bio et savoureux

pour les bébés.

Par Aurélie Thépaut

«Quand on devient parent,

on a des questions qui font surface»

Page 33: Edition mars/avril 2015 Focus Bien-être

Mars - Avril 2015 • 33

VIVRE INITIATIVES

concevoir les recettes. Les premiers petits plats sont commercialisés en 2010. Ratatouille au quinoa, fondue de poireaux pommes de terre, maïs canard fermier, courge butternut sauté d’agneau… Il suffit de lire les intitulés pour avoir l’eau à la bouche ! Et pour vérifier que Good goût se différencie vraiment des autres marques, il suffit de goûter. Verdict : on le mangerait bien à la place de bébé, ce risotto de courgettes au chèvre ! C’est bon comme du fait-maison ! Et contrairement à la plupart des mixtures qu’on trouve sur le marché, le goût n’est pas noyé par la pomme de terre pour le salé ou la pomme pour le sucré.

L’éveil aux goûtsCar chez Good goût, un seul légume ou fruit prédomine et la variété des

produits est privilégiée (panais, petits pois, patate douce, topinambour, prune, mangue…). En effet, dès le début de la diversification alimentaire, il est important d’éveiller la curiosité gustative des enfants. « Les bébés et

les enfants ont un goût bien plus prononcé que celui des adultes car ils disposent de plus de 10 000 cellules gustatives alors que l’adulte n’en possède que la moitié », expliquent les docteurs

Lyonel Rossant et Jacquelyne Rossant-Lumbroso*. Aujourd’hui, Good goût propose 18 recettes de plats salés, 4 recettes gourdes mono-légume, 6 compotes de fruits mono-ingrédient et des mini galettes de riz pour remplacer les boudoirs. Deux nouveaux plats vont voir le jour d’ici peu, ainsi qu’un nouveau segment de produits…

Un packaging plus écoloL’autre originalité de la marque est son packaging. « La stérilisation en pochettes ou en gourdes est deux fois plus rapide que dans un pot en verre, ce qui influe sur la qualité nutritive du produit et le rendu gustatif final », explique Mikaël Aubertin. Sans compter l’aspect écologique : ce packaging nécessite deux fois moins d’énergie à la fabrication, dix à trente fois moins de camions au transport et pèse cinq fois moins qu’un pot en verre dans la poubelle.Goût good est commercialisé en magasins bio et dans la grande distribution, ainsi que via le site Internet de la marque. En 2014, la société a écoulé 2,5 millions d’unités, représentant un chiffre d’affaires de 4 millions d’euros. En fait, depuis le début, c’est bien simple : le chiffre d’affaires triple chaque année. Si le siège social est resté à Lille, les bureaux sont désormais à Paris. Conscient de l’image positive du babyfood français à l’international, Mikaël Aubertin souhaite ouvrir prochainement le marché à l’export. Un papa gourmet, oui, mais qui a de l’ambition !

* Bien nourrir bébé de 0 à 3 ans, Jacquelyne

Rossant-Lumbroso et Lyonel Rossant,

éditions Odile Jacob (2007).

Pour plus d’infos : www.goodgout.fr

« Les bébés et les enfants ont un goût bien

plus prononcé que celui des

adultes »

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34 • Mars - Avril 2015

FOCUS

LA TOILETTE DE

bébé

Un nouveau gestePour compléter sa gamme de produits à base de calenda bio, Weleda a lancé l’huile de toilette sans parfum, un soin 100% bio et naturel. Grâce à sa composition (huile de sésame bio et extrait de calendula bio), elle nettoie en douceur et protège la peau délicate, sensible et sèche de bébé. Ce soin contribue également à la prévention des irritations et des rougeurs du siège. L’huile de sésame prévient la sécheresse cutanée et l’extrait de calendula apaise. Idéal pour nettoyer les petits plis de la peau, ce soin convient pour le siège, le corps et le visage. Quelques gouttes sur un coton ou un linge humide suffisent.

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gique, sa formule haute tolérance est parfaitement adaptée au pH

cutané de bébé. Des actifs natu-rels biologiques, respectueux de l’épiderme, luttent contre la sé-cheresse naturelle de la peau de bébé souvent accentuée par l’eau calcaire :- eau florale de fleur d’oranger bio aux propriétés apaisantes ;- huile d’amande douce bio aux ver-tus adoucissantes, réparatrices et nutritives, particulièrement recom-mandée pour les peaux délicates.

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Gel lavant douxParce que les professionnels de santé et les femmes font confiance à Saforelle depuis plus de 20 ans, aujourd’hui les mamans comme les papas peuvent accorder leur confiance aux produits Saforelle Bébé. Créée en 2001 par les Laboratoires IPRAD et spécialement formulée pour les tout-petits, la gamme Saforelle Bébé respect, apaise et adoucit leur peau très délicate grâce aux extraits naturels de bardane.

Le Gel Lavant Doux Saforelle Bébé a été spécialement formulé pour nettoyer et apaiser la peau fragile du nourrisson et du bébé (rougeurs…). Sa formule sans

savon, enrichie aux extraits naturels de Bardane aux propriétés adoucissantes et apaisantes en fait un soin particulièrement adapté à une toilette quotidienne tout en douceur. Combinés à une base lavante douce d’origine végétale, ses agents surgras naturels contribuent à protéger la peau du desséchement.

Prix : 7,96 € le flacon pompe de 500 ml (existe aussi en format 250 ml et 100 ml) en pharmacies et parapharmacies.

Nouvelle formule 3 en 1Alphanova Bébé, présente en pharmacie et en magasins bio, présente une gamme complète de soins naturels et bio pour bébé.

Au sein de cette gamme, le Moussant 3 en 1 est un nouveau gel lavant pour la toilette quotidienne. Il s’utilise comme gel douche, shampoing et bain moussant. Sa formule très douce, riche en miel, extraits de tilleul, camomille et lavande apaisants est particulièrement adaptée pour apaiser bébé lors du bain du soir. Il laissera alors la peau et les cheveux de bébé doux au toucher. Le Moussant 3 en 1 est certifié bio et hypoallergénique ; il est formulé sans paraben ni phenoxyethanol.

Prix : 10,70 € le flacon de 500 ml en pharmacie, parapharmacie et magasins bio.

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