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Dr. Ghislain Hébert m.v. Les principes de vaccination vulgarisés

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Dr. Ghislain Hébert m.v.

Les principes de vaccination vulgarisés

IMMUNITÉ DU TROUPEAU, LE BUT ULTIME

Succès d’une vaccination relative plutôt

qu’absolue

Il devrait être évalué basé sur :

Combien elle réduit la sévérité de la maladie

L’impact du passage de la maladie

IMMUNITÉ DU TROUPEAU, LE BUT ULTIME

L’immunité du troupeau représente la résistance du troupeau entier face à la maladie

Immunité dépend de:

Résistance de l’hôte

Virulence de l’agent infectieux

Dose et voie de l’infection

Clés pour une vaccination réussie et la mise en place de l’immunité du troupeau

Oiseaux en santé

Programme de vaccination

Administration des vaccins

LA VACCINATION, SON RÔLE

Vaccination

Deuxième ligne de défense

Ne prévient pas l’introduction de maladies dans le troupeau

Pour certaines infections, la vaccination ne confère pas une bonne protection

contre une attaque sévère de la maladie

Biosécurité

Première ligne de défense

Prévenir les envahisseurs étrangers de pénétrer le système

CONSIDÉRATIONS DE L’OISEAU

Âge de susceptibilité de l’oiseau à la maladie

Niveau des anticorps maternaux (pour les vaccinations hâtives)

Moment de protection de l’oiseau

Croissance

Besoin de protection de l’oiseau

Maintien en santé

Protection du système reproducteur

Ponte

Protéger des baisses de ponte et la qualité des œufs

Besoin de maintien de niveaux d’anticorps circulants

Possibilités de stress

Corticostéroïdes diminuent la réponse immunitaire

La vaccination, un stress en elle-même

Ne pas vacciner des oiseaux malades

CONSIDÉRATIONS DE LA MALADIE

Prévalence

Sévérité

Densité de la population de volailles

Autour de la ferme

Sur la ferme

Agent

Virulence

Sérotype

CONSIDÉRATIONS DU TYPE DE VACCIN

Vivant

Souche bactérienne ou virale atténuée naturellement ou génétiquement

Souches plus douces que des souches de champ

Lyophilisé (séché à froid) ou azote liquide

Faible quantité d’antigène

Capacité d’excrétion

Sensible aux désinfectants et métaux lourds

Peu coûteux

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

CONSIDÉRATIONS DU TYPE DE VACCIN

Vivant

Administration de masse ou individuelle

Aérosol / pulvérisation

Eau d’abreuvement

Oculaire

Voile de l’aile

Stimulation de l’immunité locale (respiratoire, oculaire, digestive)

Induction rapide de l’immunité

Immunité normalement de courte durée (exceptions LTI, Marek, Variole)

Possibilité de réactions post-vaccinales

Habituellement 4 à 10 jours après

Réaction = immunisation plus certaine

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

CONSIDÉRATIONS DU TYPE DE VACCIN

Recombinant

Bactérie ou virus vivant utilisé comme vecteur pour le transport de gènes codant pour les antigènes

protecteurs d’un second agent infectieux, dont l’immunité est désirée

Utilisation d’un segment du virus

Aucune possibilité de réplication et d’excrétion

Aucun risque de retour à la virulence

Aucun risque de contamination des autres troupeaux

Immunité qui persiste pour toute la vie de l’oiseau

Pas nécessaire de revacciner avec un vaccin vivant en élevage

Le développement de l’immunité dépend de la réplication du vecteur

Petit délai avant l’établissement de l’immunité

Dr. Simon Cloutier RV avicole 2011

CONSIDÉRATIONS DU TYPE DE VACCIN

Inactivé (tué)

Bactéries ou virus entiers inactivés durant leur production

Grandes quantités de microbes inactivés ou tués

Ne peuvent pas causer de maladie

Administration individuelle par injection sous-cutané (SC) ou intramusculaire (IM)

Amorcer le système immunitaire avec les vaccins vivants

Rappel avec vaccins vivants en cours de production ne sont pas nécessaires

Dispendieux par dose

Manipulation nécessaire

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

CONSIDÉRATIONS DU TYPE DE VACCIN

Inactivé (tué)

Adjuvant comme l’hydroxyde d’aluminium ou l’huile minérale

Stimulation immunitaire plus forte

Titres d’anticorps élevés et uniformes

Stimulation immunitaire se prolongent sur une longue période

Causent rarement des réactions post-vaccinales

Nécrose musculaire, cou croche, granulomes

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

MANIPULATION DES VACCINS

Pour tous les vaccins

Les vaccins doivent être transportés dans des glacières isolées avec de la glace sèche

Les vaccins qui sont chauds ne doivent pas être utilisés

Température d’entreposage = 2 – 8 ⁰C

Éviter le gel, la chaleure extrême et la lumière intense (UV)

Pour les vaccins vivants

Garder réfrigéré jusqu’à usage

Le transport à la ferme dans des glacières isolées avec de la glace sèche

Reconstituer juste avant leur application

Utiliser de l’eau distillée, déminéralisée ou stabilisée pour la dilution des vaccins

Toujours rincer les fioles et les bouchons à la reconstitution

MANIPULATION DES VACCINS

Pour les vaccins inactivés

Mettre à la température de la pièce 24 heures avant la vaccination

Ne pas laisser à la lumière directe du soleil durant le transport à la

ferme

Agiter doucement les bouteilles avant leur utilisation

Vaccins binactivés - Émulsion risée

Sensibles aux températures extrêmes

Émulsion huileuse peut être brisée suite à des manipulations inadéquates

Vérifier l’émulsion

En brassant vigoureusement la bouteille (2 minutes) et attendre (5 minutes)

L’émulsion devrait retourner à sa présentation normale

ADMINISTRATION DES VACCINS VIVANTS

Seront discutés…

Vaccination en aérosol / pulvérisation

Vaccination dans l’eau d’abreuvement

Favoriser les voies naturellement empruntées, par exemple:

Bursite infectieuse : intestinale

Bronchite infectieuse et Maladie de NewCastle : respiratoire

Tous les vaccins peuvent utiliser les 2 voies, sauf à déconseiller :

Laryngotrachéite aviaire

Encéphalomyélite aviaire

ADMINISTRATION DES VACCINS VIVANTS

Vaccination en aérosol / pulvérisation

Fermer la ventilation et la repartir 10 à 20 minutes après

Utiliser idéalement un pulvérisateur à grosseur contrôlée de gouttelettes

Grosses gouttelettes entre 80 & 120 microns – vérifier selon l’appareil utilisé et la buse

Atteinte des voies respiratoires supérieures

Quantité d’eau à utiliser + / - 1L d’eau distillée ou déminéralisée / 1 000 oiseaux

Si utilisation d’un stabilisateur pour les pulvérisateurs, s’assurer qu’il ne bouche pas les buses

Favoriser l’uniformité de la vaccination

Éviter d’avoir trop d’oiseaux manqués

Réaction post-vaccinale importante « Rolling Reaction »

Bonne longueur du faisceau de pulvérisation - 15 à 20 pieds

Utilisation d’un colorant possible

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

ADMINISTRATION DES VACCINS VIVANTS

Entretien du pulvérisateur

• Utiliser ce pulvérisateur exclusivement et seulement pour la vaccination

• La vaccination terminée, rincer la pompe et faire circuler

• Un gallon d’eau distillée ou déminéralisée dans le système du pulvérisateur

• Puis alcool isopropylique à 70 % ou solution de chlore à 1 %

• Pour les appareils à pile, la retirer de l’appareil et la recharger

• Essuyer l’appareil à l’aide d’un linge humide

• Entreposer le pulvérisateur dans un endroit propre et sec

• Permettre l’assèchement, réservoir et buses ouvertes vers le bas pour égouttement complet

• Éviter le gel

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

ADMINISTRATION DES VACCINS VIVANTS

Vaccination dans l’eau d’abreuvement

Au préalable, prenez soin des biofilms

Eau froide améliore la survie du vaccin

Utilisez un volume qui sera consommé sur une durée de 1,5 à 2 heures

Jeûne d’eau au préalable

Eau sans produit assainisseur et pH neutre de 7,4 à 7,8 (USDA)

24-48 h avant et 24 h après

Utilisation d’un stabilisateur

Neutralise le chlore résiduel jusqu’à 3-5 ppm

Suivre les indications du fabricant

Colorant bleu qui permet

Contrôle de la distribution du vaccin

Évaluation de la vaccination

Dr. Simon Cloutier RV avicole 2011

ÉVALUATION DE LA VACCINATION

Atteinte > 90% des oiseaux lors de l’administration du vaccin

Vérification à la ferme

Papiers buvard

Colorant

Langue et jabot

100 oiseaux bien distribués

Site d’injection

Attention aux résidus dans la viande

Sérologies

Présence des anticorps

Possible pour certains agents seulement

Sang ou œuf

Élevage ou ponte

MONTER LE PROGRAMME DE VACCINATION

Débuter avec les vaccins vivants

Amorce du système immunitaire

Protection de l’oiseau durant la période de croissance

Temps de retrait : 21 jours

Finir avec les vaccins inactivés (tués)

Protection de l’oiseau durant la période de ponte

Vaccins viraux inactivés requièrent une vaccination avec des vaccins vivants (amorces)

Vaccins inactivés bactériens requièrent (idéalement) deux injections

Temps de retrait : 42 jours

MONTER LE PROGRAMME DE VACCINATION

Type de vaccin

Méthode d’administration

Fréquence de vaccination

Âge à la première vaccination et pour les vaccinations subséquentes

Ne pas mélanger les vaccins autres que ceux indiqués dans le programme

Intervalle entre les vaccins ayant comme cible les mêmes organes

Accorder un minimum de 2 semaines entre ces vaccins

Intervalle entre les vaccinations initiales et les vaccinations subséquentes

Accorder un minimum de 4-6 semaines entre le dernier vaccin vivant et le vaccin inactivé

Les vaccins sont administrés (idéalement) avant la période de ponte

PROGRAMME TYPE

AGENTS FRÉQUENTS

AGE VACCINS ADMINISTRATION

1 jour

MAREK+ILT

BRONCHITE

COCCIDIOSE

SC

Aérosol

Aérosol

2 semainesBURSITE INFECTIEUSE

BRONCHITE- NEWCASTLEEau / Aérosol

4 semaines BURSITE INFECTIEUSE Eau / Aérosol

6 semaines BRONCHITIS - NEWCASTLE Eau / Aérosol

8 semaines ENCEPHALOMYÉLITE AVIAIRE Eau

10 semaines BRONCHITIS - NEWCASTLE Eau / Aérosol

14 semaines BRONCHITIS - NEWCASTLEEau / Aérosol

Injection SC ou IM

MALADIE DE MAREK

Maladie néoplasique (tumeurs) des poulets caractérisées par l’infiltration des nerfs et /ou des organes avec cellules lymphoides

> 3 semaines, pic 2-7 mois

Étiologie : herpesvirus

Transmission : horizontale

Voies respiratoires par les follicles des plumes et les squames de la peau

Protection : oiseau

MALADIE DE MAREK

AGE MALADIES SOUCHES TYPE MÉTHODE

1 jourMALADIE DE MAREK

aussi utilisé comme vecteur et vaccin, comme recombinant

avec LTI, BURSITE, NC, VARIOLE, EA

Sérotype 3: HVT (Herpes Virus Turkey)

Sérotype 2: SB1, 301B

Sérotype 1: Rispens (CVI-988)

Vivant

azote ou

lyophiliséSC ou In Ovo

COCCIDIOSE

Diarrhée, déshydration, plumes ébouriffées, anémie, endormie, faiblesse

Mortalité, croissance et ponte diminuée

Étiologie : Eimeria, différentes espèces

Transmission : horizontale

Protection : oiseau

COCCIDIOSEAGE MALADIES SOUCHES TYPE MÉTHODE

1 jour MALADIE DE MAREK Vivant SC ou In Ovo

COCCIDIOSE Eimeria acervulina, maxima, tenella. necatrix, brunette, mitis, praecox Vivant Aérosol

BURSITE INFECTIEUSE

Maladie de Gumboro

Première description : Gumboro (Delaware USA)

Maladie aigue et contagieuse des jeunes poulets

Caractérisée par de l’inflammation

Suivi de l’atrophie de la bourse de Fabricius

À des degrés variables d’immunosuppression

Étiologie : birnavirus

Transmission : horizontale

Protection : oiseau

BURSITE INFECTIEUSE

AGE MALADIES SOUCHES TYPE MÉTHODE

1 jour MALADIE DE MAREK Vivant SC ou In Ovo

COCCIDIOSE Eimeria acervulina, maxima, tenella. necatrix, brunette, mitis, praecox Vivant Aérosol

2 semaines BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

4 semaines BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variantVivant

Eau/Aérosol

BRONCHITE INFECTIEUSE

Maladie virale aigue et très contagieuse caractérisée par des signes respiratoires

Croissance :

Signes respiratoires : éternuements, toux, râles, halètements, décharges oculaires et nasales

Ponte :

Signes respiratoires

Chute de ponte (jusqu’à 50% et peut durer 6-8 semaines)

Perte de la qualité de l’œuf (coquille et albumen)

Dommage permanent à l’oviducte (si les oiseaux infectés < 2 semaines d’âge)

Étiologie : coronavirus

Transmission : horizontale

Protection : oiseau

MALADIE DE NEWCASTLE

Variation marquée de morbidité, mortalité, signes et lésions

Étiologie : paramyxovirus aviaire de type1

Lentogénique : pathogénicité faible (B-1, F, LaSota)

Mésogenique : pathogénicité modérée

Vélogénique : pathogénicité sévère (Milano, Herts, Texas GB)

La plupart sont lentogéniques

Lentogénique:

Signes respiratoires : éternuements, toux, râles, halètements, décharges oculaires et nasales

Chute de ponte et perte de la qualité de la coquille

Mésogénique et vélogénique : Maladie à déclaration obligatoire

Apparition soudaine avec dépression et anorexie, signes respiratoires et nerveux sévères, fortes morbidités et mortalités

Chute sévère de la ponte et perte de la qualité de la coquille

Transmission : horizontale

Protection : oiseau

BRONCHITE ET NEWCASTLEAGE MALADIES SOUCHES

TYPEMÉTHODE

1 jour

MALADIE DE MAREK Vivant SC ou In Ovo

COCCIDIOSE Eimeria acervulina, maxima, tenella. necatrix, brunette, mitis, praecox Vivant Aérosol

BRONCHITE Massachusetts Vivant Aérosol

2 semaines

BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut

Vivant Eau/AérosolNEWCASTLE Type B1, B1

4 semaines BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

6 semaines

BRONCHITE Massachusetts, ConnecticutVivant Eau/Aérosol

NEWCASTLE Type B1, B1

10 semaines

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass HollandVivant Eau/Aérosol

NEWCASTLE Type B1, B1 et Type B1, LaSota

14-15 semaines

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland

Vivant Eau/AérosolNEWCASTLE Type B1, B1 et Type B1, LaSota

14-15 semaines

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland / (Arkansas, JMK, …)

Inactivé SC/IMNEWCASTLE Type B1, B1 et Type B1, LaSota

LARYNGOTRACHÉITE

Maladie aigüe des poulets

Très contagieuse

Dyspnée

Toux

Halètement

Expectoration d’exudats de sang

Mortalité

Baisse de ponte

Étiologie : herpesvirus

Transmission : horizontale

Protection : oiseau

LARYNGOTRACHÉITE INFECTIEUSE

AGE MALADIES SOUCHES TYPE MÉTHODE

1 jour

MALADIE DE MAREK

Vecteur et vaccin recombinant avec LTIVivant SC ou In Ovo

COCCIDIOSE Eimeria acervulina, maxima, tenella. necatrix, brunette, mitis, praecox Vivant Aérosol

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland Vivant Aérosol

2 semaines

BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland Vivant Eau/Aérosol

NEWCASTLE Type B1, B1 et Type B1, LaSota Vivant Eau/Aérosol

4 semaines BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

6 semaines NEWCASTLE-BRONCHITE Vivant Eau/Aérosol

10 semaines NEWCASTLE-BRONCHITE Vivant Eau/Aérosol

8-12 semaines LARYNGOTRACHÉITE CEO (Chicken Embryo Origin) / TCO (Tissue Culture Origin) Vivant Oeil/Eau

14-15 semaines NEWCASTLE-BRONCHITE Vivant Eau/Aérosol

14-15 semainesBRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland / (Arkansas, JMK, …) Inactivé

SC/IMNEWCASTLE Type B1, B1 et Type B1, LaSota

ENCÉPHALOMYÉLITE AVIAIRE (EA)

Jeunes oiseaux(< 3 semaines d’âge) avec difficulté de locomotion, progression vers paralysie,

tremblement de la tête et du cou, opacité bleutée de l’oeil et vision affaiblie

Peu de survivants, habituellement forte morbidité (60%) et mortalité (25%)

Chute de ponte, durée de < 2 semaines

Étiologie : picornavirus

Transmission : horizontale et verticale

Protection : oiseau en ponte

ENCÉPHALOMYÉLITE AVIAIRE

AGE MALADIES SOUCHESTYPE

MÉTHODE

1 jour

MALADIE DE MAREKVivant

azote ou lyophiliséSC ou In Ovo

COCCIDIOSE Eimeria acervulina, maxima, tenella. necatrix, brunette, mitis, praecox Vivant Aérosol

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland Vivant Aérosol

2 semaines

BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

BRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland Vivant Eau/Aérosol

NEWCASTLE Type B1, B1 B1 et Type B1, LaSota Vivant Eau/Aérosol

4 semaines BURSITE INFECTIEUSE Mild, Intermediate, Hot / Standard et variant Vivant Eau/Aérosol

6 semaines NEWCASTLE-BRONCHITE Vivant Eau/Aérosol

8 -12 semaines

LARYNGOTRACHÉITE CEO (Poulet Embryo Origin) / TCO (Tissue Culture Origin) Vivant Oeil/Eau

ENCEPHALOMYÉLITE AVIAIRE Calnek Vivant Eau

14-15 semaines NEWCASTLE-BRONCHITE Vivant Eau/Aérosol

14-15 semainesBRONCHITE Massachusetts, Connecticut, Mass Holland / (Arkansas, JMK, …) Inactivé

SC/IMNEWCASTLE Type B1, B1 B1 et Type B1, LaSota

IMMUNITÉ DU TROUPEAU, LE BUT ULTIME

Clés

une vaccination réussie

la mise en place de l’immunité du troupeau

Oiseaux en santé

Programme de vaccination

Administration des vaccins

ÉCHEC DE VACCINATION OU D’IMMUNITÉ

Santé des oiseaux

Hauts niveaux d’anticorps maternaux

Immunosuppression sévère de l’oiseau

L’infection se produit après la disparition de l’immunité vaccinale

Oiseaux incubent la maladie au moment de la vaccination

Exposition à un grand nombre de maladies simultanément

Le niveau d’infection trop élevé et dépassant la capacité immunitaire de l’oiseau suite à la vaccination

Infection par un sérotype ou un variant antigénique de l’agent causal, non inclus dans le vaccin

ÉCHEC DE VACCINATION OU D’IMMUNITÉ

Administration des vaccins

Erreur d’entreposage

Mauvaise préparation

Mauvaise technique d’administration

Usage hors homologation

Échec d’administration d’une dose adéquate du vaccin

Dr. Louis Coulombe RV avicole 2009

IMMUNITÉ DU TROUPEAU, LE BUT ULTIME

Succès d’une vaccination relative plutôt qu’absolue

Il devrait être évalué basé sur

Combien elle réduit la sévérité de la maladie

L’impact du passage de la maladie

L’immunité du troupeau représente

La résistance du troupeau entier face à la maladie

MERCI!