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DÉPARTEMENT DE L'ENERGIE ET DES MINES
DOCC ‐ Lundi 29 juin 2015
SOMMAIRE
Explora on gazière : Nouveaux tests probants dans le Gharb pour Circle Oil
(27/06/2015).
Du gaz au nord de Kénitra.
L’ONEE fait l’inventaire de ses immobilisa ons.
Cluster solaire : Bientôt un incubateur.
Classé 118ème sur 176 pays : Le Maroc, très pe t pollueur.
Système an ‐pollu on : Pari gagné pour Lydec.
) 27/06/2015الحكومة تصادق على مشروع قانون يتعلق بسالمة السدود.(
) 27/06/2015ارتفاع إنتاج الطاقة الكھربائية بالمغرب مقابل تراجع االستھالك.(
.سلطات بوسكورة تتلكأ في منح رخصة الكھرباء
.عمال الوساطة الفوسفاطيون يعتصمون رفقة عائالتھم
.قلعة مكونة : استمرار أزمة الماء بدواوير تابعة لجماعة أيت سدرات
.تدبير النفايات على مستوى إقليم الجديدة
Info NET
agenceecofin.com
Gaz naturel/Maroc: Circle Oil entrecoupe des zones pro‐
me euses pour le gaz dans le premier puits LAM‐1.
lesechos.fr Comment le pétrole de schiste américain s’adapte à la
chute des cours.
agenceecofin.com Métaux/ Tanzanie: Kibo Mining découvre une nouvelle
zone minéralisée de 30 km dans le projet Hane .
usinenouvelle.com Le cuivre perd du terrain.
usinenouvelle.com Rio Tinto défend sa stratégie sur le minerai de fer.
ar.yabiladi.com .شركة "بورافيدا إنرجي" تشرع في التنقيب عن النفط في المغرب
Eco‐Marché
www.agenceecofin.com
Gaz naturel/ Maroc : Circle Oil entrecoupe des zones prome euses pour le gaz dans le
premier puits LAM‐1.
Circle Oil Plc, pétro‐gazier coté à Londres, a entrecoupé des zones prome euses pour le
gaz dans le premier puits LAM‐1 ciblant des zones de grès gazéifères du Miocène, dans le
permis Lalla Mimouna au large du Maroc. Il a annoncé ces résultats dans une mise à jour
le 26 juin sur le forage du puits LAM‐1 qui a a eint une profondeur totale de 1541 m le 26
mai dernier.
La zone de priorité a été entrecoupée entre 1261 et 1272 m et a montré, apprend‐on, un
flux de gaz à un débit stabilisé de 1,9 million pied‐cubes standard par jour (Mmscf/d), tan‐
dis qu’un flux de gaz de 1,1 Mmscf/d a été enregistré au niveau de la zone secondaire si‐
tuée entre 1181 et 1183m.
Commentant ces résultats, Mitch Flegg, CEO du pétro‐gazier, a fait état des « débits im‐
portants » au niveau des deux intervalles de gaz et d’une « produc vité très encoura‐
geante pour l’expansion du portefeuille de champs gaziers de la compagnie au Maroc ».
Circle Oil rapporte avoir mobilisé, suite à ces résultats, la rig de forage pour entamer le
forage d’ANS‐2, le second puits de sa campagne de forage sur Lalla Mimouna, qui devra
a eindre une profondeur totale de 1062 m et entrecouper des grès gazéifères du Mio‐
cène à 1007m.
Lalla Mimouna couvre une zone de 2211 km2 et se présente comme une extension de la
géologie et du système d’explora on du permis Sebou, couvrant 134 km2 dans le bassin
Rharb.
Info NET
Circle Oil Plc dé ent à 75% Lalla Mimouna, contre 25% pour l’Office na onal des hydro‐
carbures et des mines (ONHYM).
www.lesechos.fr
Comment le pétrole de schiste américain s’adapte à la chute des cours.
Les compagnies ont u lisé de nombreux leviers, sur les process ou l’innova on, pour ré-
duire leurs coûts. De quoi maintenir leurs marges avec un baril à 70 dollars.
Le derrick se dresse, pas très loin de la Highway numéro 2, qui relie les pe tes villes de
Williston et de Minot, dans le Dakota du Nord. Dans quelques heures ou quelques jours,
la tour d’acier sera u lisée pour forer un puits, des né à produire du pétrole de schiste
au cœur du fameux bassin du Bakken.
A ses côtés, pas moins de… 13 puits déjà en exploita on, qui balancent lentement leurs
têtes de cheval. «Il y a trois ans, c’était toute une histoire d’avoir deux puits sur un même
terrain. Aujourd’hui, la moyenne ici est plutôt de 3 ou 4, et certaines compagnies ont reçu
l’autorisa on d’aller jusqu’à 20», note Tessa Sandstrom, porte‐parole du North Dakota
Petroleum Council, qui représente les 500 compagnies pétrolières ac ves dans l’Etat.
Mul plier les puits au même endroit, forés à des profondeurs et dans des direc ons diffé‐
rentes, est l’un des moyens u lisés par les compagnies pétrolières pour réduire leurs
coûts de produc on du pétrole ou du gaz de schiste. La chute des prix du brut, qui ont été
divisés par deux par rapport à leur pic de juin 2014, les a poussées à accélérer ne ement
leurs efforts. « Jusqu’alors, les compagnies insistaient avant tout sur les délais : il fallait
produire un maximum, le plus vite possible. Aujourd’hui, elles me ent la pression sur les
prix », témoigne Cur s Shuck, directeur du développement de Red River Supply, une pe‐
te société de services pétroliers.
Toute la chaîne de produc on cherche à améliorer sa compé vité. En mul pliant les
puits sur un même terrain, les compagnies op misent les processus : elles peuvent u liser
des plates‐formes mobiles, faciles à déplacer sans les démonter, ou encore des systèmes
de canalisa on temporaires pour transporter l’eau sur le terrain. La société de « fracking »
Tops Well Services réu lise le gaz produit en même temps que le pétrole, qui jusqu’alors
était brûlé. « Cela nous permet de réaliser une économie de 50 % sur nos coûts énergé‐
ques », indique Leroy Hofer, son directeur opéra onnel. Les compagnies u lisent désor‐
mais des groupes électrogènes porta fs.
Le Big Data u lisé
L’innova on est aussi une source importante d’économies. Les recherches sur le
«proppant», le sable injecté lors de l’opéra on de «fracking», ou sur le fluide de fractura‐
on lui‐même, ont permis d’accélérer les débits de produc on. Il y a désormais des points
de fractura on tous les 30 mètres, au lieu de tous les 100 mètres auparavant. Les forages
horizontaux vont de plus en plus loin. «Les nôtres a eignent maintenant jusqu’à 5 kilo‐
mètres, contre 3 kilomètres pour un forage classique», affirme un producteur.
« Les compagnies u lisent aussi les nanotechnologies pour envoyer des capteurs dans le
sous‐sol et op miser leurs forages », indique Tessa Sand‐strom. Elles u lisent aussi la sis‐
mique 3D. Un ar cle de la « MIT Technology Review » pointe l’u lisa on, toute récente,
des technologies d’analyses de données – le fameux Big Data – pour la produc on d’hy‐
drocarbures de schiste.
Ces efforts ont commencé à porter leurs fruits. « Le coût des puits, compris entre 20 et
25 millions de dollars il y a trois ans, est tombé dans une fourche e de 5 à 12 millions »,
indique Jon Laughner, de la Penn State University, à Pi sburgh. Dans le Bakken, Con nen‐
tal Resources a annoncé que ses puits ne coûtaient plus que 8,2 millions de dollars en
moyenne, contre 9,6 auparavant (–15 %). Chez Whi ng Petroleum, le coût est tombé de
8,5 à 6,5 millions (–23 %).
« Globalement les producteurs américains ont annoncé des réduc ons de coûts com‐
prises entre 15 % et 20 % depuis le début de l’année », confirme Alexandre Andlauer, ana‐
lyste chez AlphaValue. « Ils affirment avoir maintenu les mêmes niveaux de marges avec
un baril à 70 dollars aujourd’hui, qu’à 100 dollars il y a un an. » De quoi expliquer la résis‐
tance remarquable de la produc on américaine, restée globalement stable malgré la
chute du nombre de forages, de plus de 50 % en un an.
www.agenceecofin.com
Métaux /Tanzanie : Kibo Mining découvre une nouvelle zone minéralisée de 30 km dans
le projet Hane .
Kibo Mining Plc, minière cotée à Londres et à Johannesburg, a découvert, a‐t‐elle révélé le
24 juin, une longue minéralisa on dans son projet Hane , centre de la Tanzanie, suite à
une interpréta on indépendante concluante des données géophysiques. « Les récents
résultats confirment, une fois encore, notre profonde convic on sur le poten el significa‐
f du projet Hane et son plus grand poten el de prospec on », a commenté Louis Coet‐
zee (photo), CEO de Kibo Mining.
Le traitement des données gravimétriques de haute résolu on et leur interpréta on ont
été confiés à Spinifex Geophysics, basé à Perth en Australie occidentale. Ils ont montré
l’étendue et la structure géologique du complexe ultramafique Hane ‐I so riche en nick‐
el, en cuivre et en métaux du groupe de pla ne, confirmant ainsi sa con nuité sur plus de
80 km, apprend‐on.
L’interpréta on a iden fié, a‐t‐on souligné, une nouvelle zone de roches ultramafiques
sur une longueur d’environ 30 km similaire au complexe ultramafique Hane ‐I so et qui
fera objet d’une explora on de suivi.
Les résultats perme ront à la compagnie, dit‐on, de ra onaliser le projet Hane en re‐
nonçant à des zones qui ne renferment pas de roches ultramafiques présentant un poten‐
el de prospec on du nickel, du cuivre et des métaux du groupe de pla ne.
Kibo Mining Plc possède un portefeuille d’ac fs diversifiés sur le nickel, l’or, le pla ne et
le charbon en Tanzanie. Elle dé ent dans ce portefeuille le projet Hane portant sur 29
concessions couvrant 6000 km2 avec un poten el pour le nickel, l’or, les métaux du
groupe du pla ne, le lithium, le tantale et le niobium.
www.usinenouvelle.com
Le cuivre perd du terrain.
La subs tu on du cuivre dans la transmission d’électricité se fait au rythme de 2% (500
000 tonnes) par an, selon le consultant britannique CRU. Dubai Cable, le deuxième pro‐
ducteur de câbles du Moyen‐Orient, vient d’annoncer la construc on à Abu Dhabi
(Émirats arabes unis) d’une usine d’une capacité annuelle de 50 000 tonnes de ges et
lignes électriques aériennes en aluminium pour répondre aux demandes de solu ons
moins coûteuses que le cuivre.
www.usinenouvelle.com
Rio Tinto défend sa stratégie sur le minerai de fer.
Objet de nombreuses cri ques pour sa montée en cadence, qui par cipe largement
(comme celle de ses concurrents BHP Billiton et Vale) à la chute du prix du minerai de fer,
Rio Tinto revendique cet entraînement à la résilience. Le deuxième producteur mondial
défend sa stratégie de baisse des coûts et s’affiche confiant à long terme. Un op misme
qui pourrait bien être contrecarré par l'a errissage de l'économie chinoise.
"Poli que suicidaire" pour l'expert des ma ères premières Philippe Chalmin (fondateur
du cercle Cyclope), la stratégie de croissance forcenée et de réduc on des coûts des trois
plus grands producteurs mondiaux de minerai de fer agace. Début 2015, le Premier mi‐
nistre d’Australie occidentale appelait les géants miniers australiens à ne pas oublier "qui
est leur propriétaire foncier". Mais la menace d’enquête parlementaire qui pesait sur eux
a fini par céder sous le poids du lobbying.
Même les grands producteurs je ent l’éponge, dans ce e dangereuse course à la produc‐
on. En mars, le président du groupe minier australien Fortescue, Andrew Forrest,
me ait ses concurrents au défi de "plafonner la produc on là, maintenant, et de com‐
mencer à nous comporter en adultes". Si ses concurrents australiens BHP Billiton et Rio
Tinto et le brésilien Vale limitaient aussi leur produc on, "nous verrions le prix du minerai
de fer remonter directement vers 70, 80, 90 dollars [la tonne]", a‐t‐il es mé. Le numéro
quatre mondial du secteur n’a pas obtenu gain de cause. Il a par contre hérité d’une en‐
quête de l’autorité australienne de la concurrence, qui voyait là un discret appel à une en‐
tente sur les prix…
En réponse à ces cri ques surgies de toutes parts, le directeur de la branche minerai de
fer de Rio Tinto défend la stratégie de croissance de sa société dans la revue interne du
groupe, M2M (Mines to markets). Andrew Harding présente son bilan : la construc on
d'une minière résiliente, grâce à des réduc ons dras ques des coûts qui lui perme ront
de survivre à n'importe quelles condi ons de marché. "Chez Rio Tinto, nous gagnons de
l’argent sur chaque tonne que nous vendons, et nous vendons effec vement chaque
tonne. Nous allons donc con nuer à u liser à son maximum chaque infrastructure que
nous avons installée sur nos sites de produc on", affirme Andrew Harding.
Pour les sociétés plus modestes, qui ne pourraient pas réduire leurs coûts à ce point, An‐
drew Harding affiche sa sympathie. Sans pi é. "Les acteurs à l’autre bout de la courbe
[des coûts de produc on], mis à part si ils réussissent à couper dras quement dans leurs
coûts, sor ront du marché. Ces sociétés ne sont pas profitables à long terme, et certaine‐
ment pas en ce e période basse du cycle que nous traversons. J’ai de la sympathie pour
les personnes qui risquent de perdre leur emploi et les fournisseurs qui perdront leurs
contrats. Mais je dois dire que je suis concentré sur notre stratégie d’affaires, et que je
fais tout mon possible pour qu’elle réussisse dans toutes les condi ons du marché."
Une mauvaise passe...
"Ces dix dernières années, notre industrie a connu une hausse sans précédent de la de‐
mande chinoise. Ce qui a provoqué en réponse des inves ssements majeurs pour créer
de nouvelles capacités de produc on. Le délai d’entrée en produc on étant long, la crois‐
sance de la demande n’est plus aussi forte. C’est un scenario commun dans le secteur mi‐
nier", explique Andrew Harding.
Mais Rio Tinto ne s’arrête pas à ce revers temporaire : "La popula on mondiale doit
croître de 7,3 milliards aujourd’hui à plus de 10 milliards en 2100, avec de très nom‐
breuses personnes qui entrent dans la classe moyenne et deviendront des acheteurs
d’acier pour leurs réfrigérateurs, leurs clima seurs et leurs automobiles (…) Il y a aussi
une demande importante dans le monde développé. La réalité est que les maisons, les
immeubles commerciaux, les chemins de fer et les ponts vieillissent, et devront être rem‐
placés. Même le Japon, qui affiche une faible croissance depuis de longues années, im‐
porte encore 130 millions de tonnes de minerai de fer chaque année. La demande, à long‐
terme, est donc solide."
...ou un changement structurel?
Morgan Stanley annonce un surplus sur le marché interna onal compris entre 50 et 200
millions de tonnes, qui main endra la pression sur les prix. Quant à Goldman Sachs, ses
analystes annoncent d'ores et déjà que le minerai enfoncera le seuil des 50 dollars la
tonne avant la fin de l'année 2015, une fois les stocks remplis.
Chez EY, Chris an Mion rappelle et confirme ses annonces du début de l'année: les
chiffres chinois pour 2015 seront mauvais, peut‐être même pires qu'a endus. "Il s'agit
d'un réel a errissage pour la Chine." Un peu plus transparente sur ses problèmes endo‐
gènes (paupérisa on, poli que de l'enfant unique ayant provoqué un vieillissement de la
popula on, retraites faibles, corrup on...), le deuxième consommateur mondial de ma‐
ères premières va mal. "Si les nuages noirs qui s'amoncellent au‐dessus d'elle persistent,
les prix pourraient flancher encore davantage", craint Chris an Mion.
ar.yabiladi.com
شركة "بورافيدا إنرجي" تشرع في التنقيب عن النفط في المغرب.
كشفت شركة "بورافيدا إنرجي" األسترالية، المختصة في التنقيب عن النفط والغاز، عن مباشرة أعمال التنقيب
عمق 11في السواحل المغربية داخل المياه العميقة للمحيط األطلسي على مساحة ع، وب رب ر م ت وم ل ي ألف ك
.يتراوح بين ألف وألفي متر
مكن في رة م ات واف ي م ك وقالت الشركة بحسب ما نقلت مصادر إعالمية إن "حظوظ اكتشاف النفط والغاز ب
."سواحل المغرب الجنوبية، في ضوء نتائج الدراسات الفيزيائية والجيولوجية واعتماد المسح الثالثي األبعاد
تي اطق ال ن م وتتوقع الشركة االسترالية حسب ذات المصدر أن "يتوافر مخزون من النفط الخام والثقيل في ال
ل يشمل 1.2بليون برميل. كما يمكن استخراج زيت صاف بـ 6.7ُيحفر فيھا وربما يصل إلى ي رم ون ب ي ل ب
."أنواعاً من الھيدروكربونات في المنطقة البحرية الواقعة بين الصويرة وأغادير
شاف 137وأفاد ذات المصدر بأن الشركة األسترالية، ستستثمر ت ر واالك حف ات ال ي ل ون دوالر في عم ي ل م
52بشراكة مع "المكتب المغربي للطاقة والمعادن" وشركة "فري بورت ماك موران أويل" األميركية المالكة
.في المئة من قيمة المشروع
درت مغرب". وق وأضافت الشركة أن "تراجع أسعار النفط لم يؤثر في برامج التنقيب عن النفط والغاز في ال
مليوناً على مسافة مئة كيلومتر من 60مليون دوالر و 30كلفة حفر بئر تحت البحر في المياه العميقة "ما بين
."الشواطئ
Eco‐Marché
Energie – Mines
PETROLE OPEC 59.14 $/baril ▼ (-0.008)
Brent (IPE) 63.26 $/baril ▲ (+0.001)
GAZ Gaz naturel 2.77 $/MBTU ▼ (-0.038)
(Sources : http://www.oil-price.net / http://www.opec.org)
Métaux
Cuivre 5 715.00 $/T ▼ (-0.86) Plomb 1 775.00 $/T ▼ (-0.62)
Zinc 2 030.00 $/T ▼ (-0.98) OR 1 174.40 $/Once
▼ (-0.02)
Argent 1 573.50 Cts/
Once ▼ (-0.63) Aluminium 1 670.50 $/T ▼ (-1.15)
Nickel 12 580.00 $/T ▼ (-1.53) Etain 14 745.00 $/T ▼ (-2.87)
(Source : http://bourse.lesechos.fr/matieres_premieres.phtml)
Taux de Change Contre Dirham
Cours achat Cours vente
1 EURO 10.8680 ▼ (-0.001) 10.9340 ▼ (-0.001)
1 DOLLAR U.S.A 9.7047 ▲ (+0.0002) 9.7630 ▲ (+0.0002)
1 LIVRE STERLING 15.2640 ▲ (+0.0002) 15.3550 ▲ (+0.0002)
(Source : http://www.bkam.ma)