Brochure de projets 2017 - Le pont · Projet Mono: les conseils octroyés aux vétérinaires...

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Brochure de projets 2017 Travail en dignité Agir pour le développement

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Brochure de projets 2017

Travail en dignité Agir pour le développement

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Pays d’intervention

Commission de projets

Une commission technique externe analyse tous les projets de Brücke · Le pont et conseille sur demande les responsables de programme sur des thèmes spécifiques.

Actuellement, les membres de la commission technique sont :Monika Schneider (présidente), FIBLDaniel Ott Fröhlicher, SwissaidArmin Hürner, représentant KABMaja Rüegg, Helvetas Swiss IntercooperationUrs Schori, Croix-Rouge suisseFranziska Theiler, directrice de Brücke · Le pontDenis Torche, représentant de Travail.Suisse

Pour toute information plus détailléesur nos projets, n’hésitez pas à nous contacter : [email protected]

Honduras 4 projets

Salvador 6 projets

Brésil 6 projets

Bolivie 6 projets

Togo 6 projets

Bénin 2 projets

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vail. Brücke · Le pont est convaincu que ces priorités sont interconnec-tées et qu’elles forment ensemble les bases d’un épanouissement person-nel et professionnel. Brücke · Le pont permet aux bénéficiaires du projet de subvenir à leurs besoins grâce à un emploi rentable et décent. C’est la meilleure façon de les aider à s’as-sumer.

Travail en dignité

Avec le programme «Travail en digni-té», Brücke · Le pont soutient depuis plus de 60 ans des personnes défa-vorisées en Afrique et en Amérique. Le programme comprend 30 pro-jets et est fondé sur une approche intégrée: il combine les trois priori-tés stratégiques que sont la promo-tion des revenus, les compétences professionnelles et les droits du tra-

Chère lectrice, cher lecteur,

Aujourd’hui, neuf jeunes sur dix vivent dans un pays en dévelop-pement et deux tiers d’entre eux sont sous-employés. Sur le seul continent africain, dix millions de jeunes arrivent chaque année sur le marché du travail. Dans le cadre de l’agenda de l’ONU pour le dé-veloppement durable, la commu-nauté internationale s’est fixée pour objectif de promouvoir d’ici 2030 «une croissance économique sou-tenue, partagée et durable, le plein emploi productif et un travail dé-cent pour tous».

Le manque de main-d’œuvre spé-cialisée paralyse toutefois le déve-loppement économique et la créa-tion d’emplois. C’est pourquoi les projets de Brücke · Le pont ont pour but de transmettre des com-pétences professionnelles à des jeunes marginalisés afin de leur fa-ciliter l’accès au marché du travail ou d’augmenter leur revenu.

Profitons de notre expérience du système dual de la formation pro-fessionnelle en Suisse pour offrir à des jeunes vivant dans un pays en développement des perspectives professionnelles et un travail dé-cent.

Franziska TheilerDirectrice de Brücke · Le pont

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Togo/Bénin

Dans ces deux pays d’Afrique de l’Ouest, riches en ressources naturelles, plus de 70 % de la population active jongle avec des revenus informels. Brücke · Le pont soutient donc des filières agricoles et alimentaires locales ou régionales axées sur la demande qui contribuent à la pro-motion des revenus. Diverses activités telles que la transformation des produits ou le développement de stratégies de commercialisation adaptées sont ainsi soutenues. Parmi ces produits figurent le riz (étuvé), l’huile de palme rouge tradi-tionnelle, le poulet local et le pain au sorgho. Les projets aident à améliorer les revenus de dizaines de milliers de fa-milles et renforcent la souveraineté ali-mentaire en produisant des aliments sains à des prix abordables.

Robusta (Togo)

Promotion des revenus par le café et l’huile de palme

Le projet, qui soutient quelque 2000 per-sonnes (dont 82 % de femmes), promeut les filières huile rouge de fabrication tradi-tionnelle et café robusta. L’huile provenant de la région de Kpalimé contient de pré-cieuses substances nutritives. Riche en provitamine A, elle prévient la cécité noc-turne, qui touche tout particulièrement les enfants et les femmes enceintes. La culture du café, elle, est une tradition sur le plateau de Danyi où il représente une grande part du revenu de nombreuses familles. La de-mande des fèves de café progresse petit à petit au sein-même de la population togo-laise. Le projet communautaire des orga-nisations ADIL et CED soutient avant tout des coopératives rurales.

Partenaire: Consortium VERD-TogoCoûts du projet* 2017–2019: CHF 434 738

Projet Mono: les conseils octroyés aux vétérinaires améliorent les recettes des éleveurs-euses de poulets.

Mono (Bénin)

Des poulets locaux plutôt que des poulets importés

Le projet soutient avant tout la filière pou-let local et, depuis 2017, celle de l’huile de palme traditionnelle. L’augmentation de la demande de ces deux produits a pour effet d’en accroître les importations. Il est donc important de pousser la produc-tion locale à la hausse. Ces deux filières offrent de très bonnes sources de revenu. La majorité des principaux bénéficiaires, des éleveurs-euses et des producteurs-trices d’huile de palme, sont analphabètes. Le projet soutient 6500 familles de petits paysans, dont 1100 femmes, dans 15 vil-lages dans le sud-ouest du Bénin. Par l’ap-proche systémique M4P, le projet intègre aussi d’autres prestataires de service qui gravitent autour de ces deux filières.

Partenaire: NGO Capacités-21Coûts du projet* 2015–2017: CHF 262 775

Projet Robusta: des cultivateurs de café devant une jeune plante de robusta.

L’approche M4P (Making Markets Work for the Poor): avec le soutien de Brücke · Le pont, toutes les organisa-tions partenaires ont intégré des élé-ments M4P à leurs stratégies d’inter-vention. Cette approche systémique favorise la création et l’optimisation de diverses prestations de service dont les groupes-cibles marginalisés ont besoin pour mieux accéder aux prin-cipaux marchés et accroître la com-pétitivité de leurs produits. Les projets actuels mettent la priorité sur la mo-bilisation et l’utilisation de prestations dans les domaines suivants: services vétérinaires, intrants agricoles, trans-port, conditionnement et marketing. Tous les acteurs du marché profitent de la disponibilité accrue des presta-tions qui génère par ailleurs un climat propice aux investissements et aux innovations.

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Savalou (Bénin)

La riziculture favorise l’essor économique

L’organisation partenaire LDLD s’investit dans la promotion de la filière riz au centre du Bénin, dans le département des Col-lines. Outre les producteurs-trices de riz, le projet soutient également des femmes qui s’initient à la procédure d’étuvage du riz en vue de l’appliquer. En raison de sa haute valeur nutritive, le riz étuvé est très appré-cié au sud du pays, notamment au Nigéria, un pays densément peuplé. L’approche à large spectre M4P sur laquelle cette phase de projet est fondée tient compte des principes du développement durable mais aussi du regroupement de tous les groupes-cibles par les organisations par-tenaires. L’intégration des communautés concernées aux activités du projet est par ailleurs renforcée.

Partenaire: NGO LDLDCoûts du projet* 2015–2017: CHF 271 515

Kponno (Togo)

Le pain au sorgho local et sain

Comme tous les habitants d’Afrique de l’Ouest, les Togolais-es consomment beau-coup de pain. La production et la vente de celui-ci sont sources d’emplois, mais le blé importé est coûteux. Grâce à de nou-veaux procédés artisanaux, des céréales indigènes telles que le sorgho et le soja sont mélangées à la farine de blé pour fa-briquer un pain nourrissant et bon marché et diminuer ainsi la dépendance au blé. Le projet et ses partenaires encouragent la diffusion du pain de sorgho et de so-ja, notamment dans le nord du Togo, une région à faible revenu. La phase du projet actuellement en cours intègre des éléments de l’approche systémique M4P ainsi que l’agriculture contractuelle.

Partenaire: NGO GTPAL-TogoCoûts du projet* 2015–2018: CHF 335 800

Projet Savalou: apprentissage sur le terrain grâce à la méthode Farmer’s Field School.

Projet Kponno: une boulangère confectionne du pain de sorgho à haute valeur nutritive.

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Mapto (Togo)

Commerce équitable et vente de bananes plantain

Le Mapto est l’un des syndicats paysans les plus importants du Togo. Afin de per-mettre aux familles paysannes d’obtenir un prix équitable pour leur récolte, il a intro-duit sur les marchés un bol qui sert d’unité de mesure. L’utilisation du bol est surveil-lée par des comités et les autorités tradi-tionnelles et politiques sont associées au projet. Les producteurs de bananes plan-tain bénéficient désormais eux aussi d’un soutien. Cet aliment décliné de multiples façons dans la cuisine togolaise est éga-lement importé de l’étranger car la produc-tion nationale ne suffit pas pour répondre à la demande. Le projet teste notamment sur des groupes-cibles un module de forma-tion sur la reproduction de plantes à partir de jeunes pousses.

Partenaire: syndicat MaptoCoûts du projet* 2017–2019: CHF 229 764

Zio (Togo)

Des légumes frais pour le Grand Bassin de Lomé

La culture maraîchère dans le Grand Bas-sin de Lomé au sud du Togo est en plein essor grâce, notamment au projet Zio, qui promeut la culture et la commercialisation de légumes correspondant à une demande locale. Le groupe-cible compte surtout de jeunes femmes et adultes sans travail ré-gulier. Le projet est essentiellement axé sur des mesures en relation avec les Farmer Field Schools (FFS) et les Farmer Business Schools (FBS) où les acteurs concernés peuvent acquérir de précieuses connais-sances sur des méthodes de culture res-pectant l’environnement ainsi que des systèmes de comptabilité simplifiée. S’y ajoutent des activités d’alphabétisation des adultes et d’amélioration de l’accès aux microcrédits.

Partenaire: NGO AGRO-DR Coûts du projet* 2016–2017: CHF 145 590

Bassar (Togo)

Un revenu complémentaire grâce à la riziculture et à l’élevage de poulets

Ce projet soutient les filières riz et poulet lo-cal dans la préfecture de Bassar. L’élevage de poulets constitue une source de revenu complémentaire intéressante pour les fa-milles de paysans, en plus de la vente de produits alimentaires de base. Les poulets importés à des prix imbattables constituent une forte concurrence. La viande locale est toutefois plus saine et plus goûteuse, car ni antibiotique ni aliments douteux n’ont été utilisés lors de l’élevage des poulets du pays. Les producteurs-trices de riz bé-néficient eux aussi d’un soutien. Dans ce domaine, les petits riziculteurs collaborent étroitement avec une entreprise spécialisée dans la transformation du riz brut.

Partenaire: NGO PTMCoûts du projet* 2017–2018: CHF 122 093

Projet Mapto: grâce au bol Mapto, les cultivateurs-trices obtiennent un prix équitable pour leurs produits.

Projet Bassar: le respect des normes d’hygiène améliore le succès de l’élevage.

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Agou (Togo)

Des protéines en suffisance pour la population locale

La majorité des Togolais-es disposent de peu d’argent et achètent des aliments bon marché. Certes nourrissants, mais de faible qualité nutritive, ceux-ci ont des effets né-fastes sur la santé. Le projet soutient la fi-lière poulets dans la préfecture d’Agou. Il veille à ce que ce produit riche en protéines et pauvre en cholestérol soit disponible en quantité suffisante. Les familles élèvent des poulets dans les règles de l’art en associant aux techniques modernes des pratiques locales. Grâce aux conseils de vétérinaires et d’assistants-vétérinaires, des centaines de familles ont pu agrandir leur cheptel et ainsi accroître leur revenu.

Partenaire: NGO OCGEDCoûts du projet* 2017: CHF 57 500

Activités transversales Brücke · Le pont soutient depuis 2016 ses organisations partenaires afri-caines par la mise en œuvre de me-sures relatives au genre et à la jus-tice sociale. Des méthodes participa-tives reconnues telles que les clubs d’écoute communautaires ou l’alpha-bétisation des adultes au moyen de la méthode Reflect (basée sur la théorie du pédagogue Paulo Freire) gagnent ainsi en importance. Toutes les orga-nisations partenaires ont par ailleurs établi un plan d’action sur le thème du genre. Le but est notamment de soute-nir les femmes et les jeunes filles dans le discours de développement spéci-fique et l’abolition de la discrimination sexuelle au quotidien à la campagne.

Projet Agou: promotion des revenus par un élevage de poulets dans les règles de l’art.

Brücke · Le pont encourage la création de «clubs d’écoute communautaires» qui favorisent la culture du débat dans cer-taines communautés villageoises.

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Salvador/ HondurasLe programme régional Salvador / Hon-duras axe son action sur la reconnais-sance et la mise en œuvre des droits du travail des ouvrières du textile et des employées de maison ainsi que sur l’offre de programmes complets de for-mation et d’intégration au marché de travail pour les jeunes issus des quar-tiers pauvres. Dans les deux pays, les jeunes défavorisés souffrent d’une ab-sence de perspectives professionnelles. Nombre d’entre eux rejoignent des bandes criminelles ou quittent le pays. La promotion de la paix et la résolution des conflits (Cultura de Paz) jouent un rôle primordial dans tous les projets en raison du contexte général de violence. Autre élément important: le soutien aux réseaux des organisations partenaires visant à générer des synergies.

Justicia Laboral(Salvador)

Des brodeuses améliorent leurs conditions de travail

Environ 40 % des femmes de Santo Tomás travaillent dans les zones industrielles de libre échange avoisinantes. Pour des rai-sons financières, certaines usines confient des tâches à des ouvrières à domicile. Or les risques d’exploitation et de problèmes de santé sont encore plus importants pour ces travailleuses que pour les ouvrières d’usine. Le projet Justicia Laboral réunit des informations sur leur situation précaire afin d’en informer les autorités et le grand public. Parallèlement, les ouvrières à domi-cile reçoivent des informations sur les droits du travail afin qu’elles puissent s’organiser et faire valoir leurs droits.

Partenaire: Mujeres Transformando (MT)Coûts du projet* 2016–2018: CHF 316 480

Fortaleciendo Talentos (Honduras)

Des ouvrières des maquilas luttent pour leur santé

Les conditions de travail dans les usines du textile sont catastrophiques, avec des contrats à durée déterminée et le non-paie ment des heures supplémentaires. S’y ajoutent des problèmes de santé tels que l’arthrite, l’arthrose, des douleurs dans la nuque, des atteintes du système diges-tif ou encore une détérioration de la vue. Soumises à une discrimination sexiste, les femmes sont contraintes de faire un test de grossesse avant d’être engagées ou elles sont licenciées lorsqu’elles annoncent qu’elles sont enceintes. Dans le cadre du projet, les femmes trouvent un soutien, tout en apprenant à connaître leurs droits et à les faire valoir auprès des institutions com-pétentes.

Organisation partenaire: Colectiva de Mujeres Hondureñas (CODEMUH)Coût du projet* 2016–2017: CHF 138 000

Abriendo Puertas(Salvador)

Employées de maison: sortent de l’isolement

De nombreuses femmes de milieux défa-vorisés, peu formées, cherchent un tra-vail à domicile rémunéré. Les journées de travail de 14 heures et les engagements sans contrat sont monnaie courante. Ces femmes ne bénéficient par ailleurs d’au-cune prestation sociale et sont livrées sans merci à la violence domestique. Le syndi-cat des employées de maison SIMUTHRES, fondé en 2014, leur permet de s’organiser, de se soutenir les unes les autres et de faire valoir leurs revendications ensemble. Il effectue par ailleurs du lobbying au sein du Parlement et auprès de la population afin d’améliorer la situation des employées de maison.

Partenaire: SIMUTHRES (Sindicato de Mujeres Trabajadoras del Hogar Remuneradas Salvadoreñas)Coûts du projet* 2017–2018: CHF 80 500

Projet Fortaleciendo Talentos: des ouvrières d’usine résistent à la discrimination et aux conditions de travail malsaines

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Trabajo Digno(Honduras)

Les lois du travail respectées

Ce projet a pour but d'améliorer la situation des employées de maison à Tegucigalpa et dans quatre communes environnantes. C’est par la formation d’une part, des em-ployées en matière professionnelle et droits du travail et d’autre part, par la sensibilisa-tion des employeurs et employeuses sur ces droits du travail que la situation a des chances de s’améliorer. Une campagne par la radio ainsi que des événements publics contribueront à ce que de nombreuses employées de maison prennent connais-sance de leurs droits et puissent se dé-fendre contre les abus.

Partenaire: Centro de Estudios de la Mujer – Honduras (CEM-H)Coûts du projet* 2017–2019: CHF 250 900

Derechos Laborales (Salvador)

Des lois précises, des tribunaux efficaces

Les tribunaux du Salvador règle aussi, quoique lentement et de manière incom-pétente, les cas d’importance mineure. Les ouvrières des fabriques par ex., accusées pour une bagatelle et dont les droits du travail sont refusés, en souffrent. Le projet améliore l’efficacité du Parquet et contribue à ce que les cas juridiques soient conclus plus rapidement et plus correctement. La qualité des prestations est améliorée grâce à une formation du personnel, un agence-ment du point d’accueil, une optimisation des procédures internes et un échange d’informations avec le ministère du travail. Les travailleurs et travailleuses peuvent également revendiquer des indemnisa-tions de dédommagement et de réparation.

Partenaire: Organización de Mujeres Salvadoreñas por la Paz (ORMUSA) et le Parquet (PGR)Coûts du projet* 2017–2018: CHF 174 800

Una Oportunidad(Salvador)

Un accès réussi au marché du travail

Au Salvador, deux tiers des jeunes ne dis-posent pas d’un emploi leur permettant de gagner suffisamment d’argent. Ce projet pilote aide 1900 jeunes à trouver un emploi digne ou à se mettre à leur compte tout en renforçant leurs compétences personnelles et sociales. Les moyens et les mesures uti-lisés pour intégrer ces jeunes au marché sont particulièrement novateurs: forma-tion en ligne, outils informatiques, conseils et accompagnement, bourses de l’emploi ainsi qu’un réseau d’entreprises et d’insti-tutions offrant des places de travail ou un soutien pour démarrer une activité d’indé-pendant.

Partenaire: Fe y Alegría El SalvadorCoûts du projet* 2017–2018: CHF 154 215

Projet Una Oportunidad: En fin de formation professionnelle, 1900 jeunes sont confiés à des employeurs corrects.

Projet Trabajo Digno: des employées de maison mènent une campagne d’information sur leurs droits du travail.

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Vista Hermosa (Salvador)

Une alternative pour la jeunesse marginalisée

Plus de 50 % de la population salvado-rienne est âgée de moins de 30 ans et près de la moitié des adolescent-e-s de 16 à 18 ans ont quitté l’école sans certifi-cat. Pour ces jeunes, l’exode ou l’intégra-tion à des bandes de criminels constitue souvent la seule alternative au chômage. Le projet Vista Hermosa ouvre de nouveaux horizons à 645 jeunes marginalisé-e-s en leur permettant de suivre une formation professionnelle et d’apprendre la manière de briguer un emploi. La constitution de réseaux avec des employeurs potentiels ainsi que la possibilité d’exercer une acti-vité indépendante figurent parmi les autres mesures du projet.

Partenaire: Servicio Social Pasionista de El Salvador (SSPAS)Coûts du projet* 2015–2017: CHF 308 200

Reyes Irene (Honduras)

Un avenir pour les jeunes employées de maison

A défaut d’autres possibilités de revenu, de nombreuses jeunes filles cherchent un emploi comme employée de maison ou vendeuse de rue. Leurs conditions de tra-vail sont difficiles: 15 heures de travail par jour, un salaire misérable, pas de contrat ni de prestations sociales. S’y ajoutent pour beaucoup d’entre elles la maltraitance et les abus sexuels. Pour leur ouvrir de meil-leures perspectives d’avenir, le projet leur permet de terminer leur formation scolaire, puis d’acquérir un métier. Ces jeunes filles bénéficient également de conseils psycho-logiques, médicaux et juridiques ainsi que de soutien pour la recherche d’un emploi.

Organisation partenaire: Sociedad Amigos de los Niños (SAN)Coûts du projet* 2017–2019: CHF 227 700

Jóvenes Creando Futuro (Salvador)

Les jeunes prennent leur avenir en main

Dans les environs de San Salvador, les jeunes sans emploi sont légion. Ayant sou-vent quitté l’école prématurément, ils contri-buent tant bien que mal au revenu familial grâce à des petits boulots. Le projet Crean-do futuro offre à 475 jeunes la possibilité de suivre une formation professionnelle. L’offre est calculée en fonction des besoins des entreprises locales. Actuellement les cours proposés portent sur l’entretien d’ordina-teurs, la conception de sites Internet et la comptabilité. S’y ajoutent une formation d’entreprenariat pour celles et ceux qui planifient de travailler à leur compte.

Partenaire : Fundacion Salvador del Mundo (FUSALMO)Coûts du projet 2015–2017 : CHF 324 185

Projet Suyapa: 1500 jeunes bénéficient d’une formation professionnelle accélérée axée sur la pratique

Projet Vista Hermosa: 645 jeunes ont une chance d’accéder à un emploi décent.

Suyapa (Honduras)

Perspectives professionnelles

1500 adolescent-e-s de 17 à 25 ans re-çoivent des formations professionnelles axées sur la pratique. Il s’agit de jeunes issu-e-s de familles pauvres qui ont quitté la campagne pour s’installer à Tegucigalpa et Comayagüela et vivent à la périphérie dans des conditions précaires. La plupart n’ont pas terminé leur scolarité et sont sans perspective d'avenir. L'organisation par-tenaire CFSJB travaille en étroite collabo-ration avec l'Institut national de formation professionnelle et avec des entreprises. Les cours portent non seulement sur des com-pétences techniques mais aussi sociales; les jeunes apprennent aussi à résoudre les conflits et prévenir la violence.

Partenaire: Centro de Formación San Juan Bosco (CFSJB)Coûts du projet* 2017–2019: CHF 348 795

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Projet Culinaria: grâce à leur formation, les jeunes des milieux défavorisés ont accès à un emploi et un revenu.

BrésilPiauí

Lutte contre l’esclavage moderne

Dans l’Etat du Piauí, l’heure est aux inves-tissements et aux grands projets, qui ont un impact négatif sur des centaines de communautés rurales qui craignent d’être expulsées. Parallèlement, ces projets at-tirent de la main-d’œuvre d’autres régions. Comme le cadre juridique fait défaut ou n’est pas respecté, ces travailleurs sont souvent exploités sans vergogne, tels des esclaves. Dans ce contexte, l’organisa-tion partenaire CPT-PI mène ce projet avec des familles de paysans et des victimes de l’esclavage moderne. Le but consiste à intervenir au niveau politique pour que les droits du travail et les droits fonciers de la communauté villageoise soient respectés.

Partenaire: Comissão Pastoral da Terra Regional do Piauí (CPT-PI)Coûts du projet* 2016–2018: CHF 322 000

CulinariaRéduire la pauvreté grâce à la restauration

Au Brésil, le taux de chômage des jeunes est trois fois plus élevé que celui des adultes. Dans l’Etat de Piauí, neuf jeunes sur dix tra-vaillent dans le secteur informel. L’absence de qualifications professionnelles contribue à les marginaliser sur le marché du travail. L’Etat propose certes des formations pro-fessionnelles mais la crise économique en a considérablement réduit l’éventail. Pa-rallèlement, Teresina, le chef-lieu de Piauí, est particulièrement bien situé, au cœur du réseau routier du Nordeste du Brésil, ce qui favorise le commerce et la restau-ration. De nouveaux restaurants ouvrent régulièrement, mais ils manquent de per-sonnel qualifié. Le projet forme 300 jeunes à la restauration et leur permet d’avoir de nouvelles opportunités sur le marché du travail local.

Partenaire: Cáritas Arquidiocesana de TeresinaCoûts du projet* 2017–2019: CHF 253 000

FazendaLa formation professionnelle ouvre de nouvelles perspectives

Au Brésil, les personnes sans formation ont beaucoup de peine à trouver un emploi. Le chômage et la pauvreté font sombrer nombre d’entre elles dans l’alcoolisme et la toxicomanie, ce qui les isole socialement. Le projet Fazenda permet à 291 jeunes hommes de reprendre leur vie en main. Ils suivent une formation en menuiserie, tour-nage mécanique, maintenance informa-tique ou agriculture et sont accompagnés dans leur insertion dans le marché du tra-vail local en tant qu’employés ou indépen-dants. De quoi faciliter leur réinsertion so-ciale et professionnelle et leur donner des perspectives d’avenir.

Partenaire: Fazenda da PazCoûts du projet* 2017–2019: CHF 309 350

Le programme du Brésil se concentre sur l’Etat du Piauí, situé dans la région aride et sèche du Nordeste. Le Piauí fait partie des trois Etats les plus pauvres du pays. C’est là, dans les villes de Teresina, Picos et Oeiras que Brücke · Le pont mène son programme de lutte contre la pauvreté en encourageant la qualifica-tion professionnelle des jeunes hommes et femmes issus de milieux défavorisés. Les cours proposés et les mesures d’ac-compagnement vers le marché du travail leur ouvrent de nouvelles possibilités d’emploi ou leur permettent de devenir autonomes, avec pour finalité la pers-pective d’un meilleur revenu écono-mique et l’amélioration de leur qualité de vie. En milieu rural, Brücke · Le pont traite également de la problématique des droits du travail en agissant contre l’es-clavage contemporain et l’exploitation des travailleurs.

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ComradioLa communication au service du développement

L’Institut Comradio est une organisation dynamique et très engagée dans le déve-loppement de la zone semi-aride du Piauí. C’est une région aux conditions climatiques difficiles, qui fait face à d’importants dé-fis en matière de lutte contre la pauvreté. Consciente du rôle de la communication comme instrument d’éducation et de pro-motion pour un meilleur développement local, Comradio forme 360 jeunes hommes et femmes, issus de milieux défavorisés, aux métiers de la communication (radio/tv, publicité). Ceux-ci peuvent ainsi accéder au marché du travail local et obtenir un revenu décent. Ces jeunes professionnels s’en-gagent également activement pour amé-liorer les conditions socio-économiques de la région.

Partenaire: Instituto Comradio do BrasilCoûts du projet* 2016–2018: CHF 292 100

SocopoUne formation en mécanique automobile

Grande Socopo est une banlieue de Te-resina, la capitale de l’Etat du Piauí. Plus de cent mille personnes y vivent en situa-tion précaire. La plupart sont des jeunes, confrontés au chômage et aux nombreux problèmes propres aux périphéries des grandes villes brésiliennes: drogue, pros-titution, criminalité, problèmes d’insertion sociale et professionnelle. Le projet vise à former professionnellement 150 jeunes dé-favorisés de Grande Socopo en mécanique automobile – un secteur en manque de main-d’œuvre qualifiée – et à les appuyer dans leur intégration au marché du travail.

Partenaire: Fundação Pe. Antônio Dante Civiero (FUNACI)Coûts du projet* 2015–2017: CHF 209 300

OeirasDe nouvelles perspectives en milieu rural

Ce projet se déroule dans une zone du-rement touchée par la sécheresse. Les populations rurales n’ont souvent d’autre choix que de se déplacer vers les villes, qui ne parviennent pas à absorber cette main-d’œuvre. Le chômage est important, surtout chez les jeunes. L’inactivité les in-cite souvent à la petite délinquance et à la consommation de drogues. Le manque de perspectives s’explique notamment par le fait que les opportunités de formation pro-fessionnelle en milieu rural sont rares. Grâce aux cours proposés par notre partenaire, 270 jeunes hommes et femmes pourront se former à la maçonnerie, la mécanique sur motos, la coiffure ou la cosmétique, la vente, la restauration et l’installation sani-taire et trouver un emploi qui leur permettra de gagner leur vie.

Partenaire: Caritas Diocesana de OeirasCoûts du projet* 2017–2019: CHF 218 500

Projet Comradio: de jeunes journalistes donnent une voix à la population rurale.

Projet Socopo: des jeunes accèdent au marché de la mécanique automobile, un secteur qui ne subit pas la crise.

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Projet Comida Callejera: des restaurateurs de rues suivent des cours pour améliorer leurs compétences et leurs revenus.

BolivieDepuis 2005, la Bolivie connaît un essor économique et l’Etat a ainsi pu lancer des programmes sociaux de grande enver-gure. Environ 40 % de la population vit néanmoins toujours en dessous du seuil de pauvreté et 70 % des personnes ac-tives travaillent dans le secteur informel. La baisse du prix des matières premières a par ailleurs freiné la croissance écono-mique et généré une crise sociale. La plu-part des forces de travail n’ont ni contrat de travail ni accès aux prestations so-ciales. Seule une petite partie ont suivi une formation officielle. Dans ce contexte, les priorités de Brücke · Le pont dans la région de Tarija sont les suivantes: 1) contribuer au renforcement des compé-tences professionnelles et à une meil-leure employabilité des travailleurs et tra-vailleuses, et 2) soutenir la création ou l’amélioration des opportunités d’emploi et de revenus.

ApiculturaLe miel adoucit la vie des familles paysannes

Ce projet améliore la qualité de vie des familles membres de l’Association APAZ, qui regroupe plus de 330 apiculteurs de la commune d’Entre Rios. Appui technique et échanges entre apiculteurs vont per-mettre aux producteurs et productrices d’améliorer la qualité du miel et d’aug-menter leur productivité. L’APAZ est éga-lement renforcée dans son chemin vers l’autonomie. Le but consiste à lancer et à consolider une entreprise communautaire, dont la mission sera de donner une va-leur ajoutée au miel et à ses sous-produits. L’APAZ ainsi que d’autres apiculteurs de la région seront associés à cette entreprise.

Partenaire: FAUTAPOCoûts du projet* 2016–2019: CHF 195 500

Comida CallejeraUn meilleur revenu pour les vendeurs de nourriture de rue

Il existe en ville de Tarija, une importante tradition gastronomique de rue. La popula-tion apprécie et fréquente quotidiennement les petits commerces de rue qui se livrent à la production et la vente de plats tradi-tionnels. Ces points de ventes sont très nombreux et représentent un potentiel de création de revenus et d’emploi important. Ce nouveau projet va contribuer à améliorer les revenus, la stabilité laborale et la dignité des personnes défavorisées qui se dédient à cette activité, par le biais de formations appropriées (entre autres: innovation, hy-giène, service à la clientèle, gestion) et un travail de revalorisation des saveurs gas-tronomiques régionales.

Partenaire: Fundación EMPRENDERCoûts du projet* 2016–2017: CHF 100 855

Projet Apicultura: en se regroupant, 330 apiculteurs et apicultrices augmentent leur productivité et la qualité de leur miel.

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Ch’ama WaynaUn travail digne pour les jeunes de Viacha

La population de la ville de Viacha appar-tient essentiellement à la tribu indigène des Aymara. En Aymara, «Ch’ama Wayna» si-gnifie «une force jeune». Le projet a ainsi pour but de souligner la valeur, la bonne volonté et l’énergie des jeunes de Viacha. Il est destiné à celles et ceux qui vivent dans une situation précaire et notamment aux jeunes mères qui élèvent seules leurs enfants. Les bénéficiaires proviennent sur-tout des zones rurales. L’objectif est de leur faciliter l’accès à des places de travail dignes, en collaboration avec les acteurs de l’administration locale, de l’économie privée et des organisations sociales.

Partenaire: Solidar SuisseCoûts du projet* 2016–2018: CHF 138 000

Empleo DignoUne entreprise communautaire pour les ouvriers du bâtiment

Environ 40 % de la population active de la région de Tarija travaille à son compte à défaut de trouver un emploi. Etant donné que ces personnes n’ont pas suivi de for-mation professionnelle et n’ont donc pas de diplôme, leur revenu est faible. Aucune d’entre elles ne bénéficie de prestations sociales. Le projet aide 200 ouvriers du bâtiment, le plus grand pourvoyeur d’em-plois de la région, actifs dans la maçon-nerie, l’électricité et l’installation sanitaire. Il les soutient pour la création d’une insti-tution sociale qui leur offre des possibilités de formation, les aide à faire reconnaître leurs compétences techniques et s’em-ploie à leur assurer des conditions de tra-vail sures et stables.

Partenaire: FAUTAPOCoûts du projet* 2014–2017: CHF 230 000

CertificadoDes compétences professionnelles reconnues

La plupart des Boliviens n’ont pas accès à la formation professionnelle. Ils entrent dans la vie active en apprenant un métier sur le tas. Sans diplôme, ils sont vulné-rables sur le marché de l’emploi. Le pro-jet donne l’opportunité à ces personnes expérimentées de renforcer leur profil grâce à des cours visant à combler leurs lacunes. Elles peuvent ensuite faire valider leurs compétences par l’Etat et recevoir un diplôme, qui leur donne les moyens de négocier de meilleures conditions sa-lariales et de travail. Des organisations de travailleurs, formées durant la phase pré-cédente sont également accompagnées dans leur renforcement institutionnel, dans le but qu’elles puissent bientôt aider elles-mêmes leurs membres à accéder à la re-connaissance de leurs compétences.

Partenaire: Mujeres en acciónCoûts du projet* 2016–2018: CHF 381 800

Trabajadoras del Hogar

La formation donne une chance aux employées de maison

En Bolivie comme ailleurs en Amérique la-tine, le travail domestique est très répandu. Ces emplois, parmi les plus précaires, sont occupés le plus souvent par des femmes peu qualifiées, pour qui ils représentent une des seules possibilités d’entrer dans le marché du travail. A Tarija et Bermejo, le projet vise à améliorer la situation de 600 employées de maison, en leur don-nant la possibilité de renforcer leurs com-pétences techniques et personnelles. Ce-ci leur permettra par la suite de négocier de meilleurs contrats et de défendre leurs droits. Les employées de maison bénéfi-cient par ailleurs d’un soutien grâce aux ac-tivités politiques de lobbying. Ils accèdent ainsi plus facilement aux prestations médi-cales et aux crèches.

Partenaire: Mujeres en acciónCoûts du projet* 2017–2019: CHF 287 500

Projet Trabajadoras del Hogar: des cours permettent à 600 employées de maison de mieux faire valoir leurs droits.

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Responsables de programme

Coordination locale

Alexia KnezovicTogo et Bénin

Andrea GyselBrésil et Bolivie

Cristina Ruiz-GonzalezSalvador et Honduras

ONG CRISTO, dirigée par Gabriel Batawila (centre)Togo et Bénin

Edna OrtegaHonduras

Mercedes CañasSalvador

Javier CaberoBolivie

Rosa Lidia MoraisBrésil

*Frais des coordinations régionales

Tous les projets de Brücke · Le pont bénéficient sur place d’une coordina-tion régionale chargée du monitoring du projet, de l’accompagnement de l’organisation partenaire et de l’as-surance-qualité. Ces coordinations garantissent le renforcement institu-tionnel de nos partenaires ainsi que l’amélioration de leurs compétences pour l’exécution des tâches liées aux projets et l’administration. Elles orga-nisent régulièrement des rencontres entre les partenaires et favorisent la collaboration avec des institutions pu-bliques et privées. Les coordinatrices et les coordinateurs connaissent bien les contextes politiques, sociaux et culturels de leur pays et conseillent les responsables de programme. Les frais de coordination sont inclus dans les coûts du projet figurant dans cette brochure.

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Brücke · Le pontRue St-Pierre 12 · 1700 Fribourg · T 026 425 51 51 · F 026 425 51 [email protected] · www.bruecke-lepont.ch · CCP 69-62947-2