Dp titanic expo 2015

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CONTACTS PRESSE Chargée des relations presse LUCIE LE CHAPELAIN [email protected] 06 80 32 54 30 Adjointe GISÈLE GUIFFARD [email protected] 02 33 20 26 67 DES OBJETS DU TITANIC NOUS RACONTENT… DOSSIER DE PRESSE JUSQU’AU 15 NOVEMBRE 2015

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des objets du titanic nous racontent…

dossier de presse

Jusqu’au 15 novembre 2015

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RMS TITANIC, INC. CONFIE À LA CITÉ DE LA MER 35 OBJETS REMONTÉS DE L’ÉPAVE .....................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................P 3

FRANZ PULBAUM : DESTIN D’UN PASSAGER EMBARQUÉ À CHERBOURG SUR LE TITANIC ........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................P 4

35 OBJETS QUI ILLUSTRENT LA PERFECTION DU TITANIC ...............................................................................................................................................................................................................P 5-6-7

5 500 OBJETS : LA COLLECTION REMARQUABLE DE RMS TITANIC, INC. .................................................................................................................................................P 8-9

10 AVRIL 1912 : ESCALE HISTORIQUE DU GÉANT DES MERS À CHERBOURG ..............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................P 10

LE PARCOURS « TITANIC, RETOUR À CHERBOURG » : UN VOYAGE À TRAVERS LE TEMPS .................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................P 11

LA CITÉ DE LA MER : LA RÉUSSITE D’UN SITE NORMAND..........................................................................................................................................................................................................................................P 12

RESSOURCES ................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................P 13-14-15

INFORMATIONS PRATIQUES .......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................P 16

SOMMAIRE

Grâce au partenariat inédit lié avec la société américaine RMS Titanic, Inc. : 35 objets remontés de l’épave du Titanic sont exposés au cœur de La Cité de la Mer, site culturel dédié à l’aventure de l’homme sous la mer, jusqu’au 15 novembre. Ces pièces effectuent un retour à Cherbourg, là où le mythique paquebot fit escale le 10 avril 1912.

POUR LA PREMIèRE FOIS AU CœUR D’UN ESPACE PERMANENT DÉDIÉ AU TITANIC

24 équipements du paquebot et 11 objets personnels enrichissent le parcours dans lequel depuis 2012, les visiteurs voyagent à travers le temps et l’espace. Pendant plus de 8 mois, cette collection complète et trouve naturellement sa place au coeur de l’exposition permanente « Titanic, retour à Cherbourg ».11 objets personnels : une paire de chaussettes en soie blanche, un collier porte-bonheur, un pot de dentifrice,… nous laissent imaginer la vie de riches voyageurs insouciants ou de simples émigrants espérant une vie meilleure. C’est précisément l’itinéraire de Franz Pulbaum qui est dévoilé aux visiteurs de La Cité de la Mer, avec 7 objets extraits de son bagage remonté lors d’une plongée en 1993. Émigrant allemand installé aux Etats-Unis, ce jeune homme travaillait comme chef mécanicien au sein d’un parc d’attractions de New York. De passage en France pour installer au Luna Park parisien un manège très populaire, Franz Pulbaum embarque à Cherbourg le 10 avril 1912 pour regagner New York. Il disparaît dans le naufrage à l’âge de 27 ans.

La vaisselle de 1re, 2e et 3e classes exposée évoque l’esthétisme de l’époque qui participait au faste et au confort des grands transatlantiques : l’art de la table mais aussi l’art culinaire, inspiré par de grands chefs français comme Auguste Escoffier. À l’origine des plus grands hôtels de luxe à terre, il est le premier à proposer des restaurants prestigieux sous l’enseigne « Ritz Carlton Restaurant » à bord des transatlantiques. La White Star Line applique ses préceptes novateurs à bord du Titanic en proposant chaque jour à tous ses passagers le dressage, l’accompagnement des plats et les recettes à la façon Escoffier.Les équipements de cabines ou d’espaces collectifs témoignent du soin pris par les concepteurs du Titanic pour élaborer le plus confortable et le plus moderne paquebot de l’époque.

UN PARTENARIAT UNIQUE EN EUROPE ENTRE RMS TITANIC, INC. ET LA CITÉ DE LA MER

Basée à Atlanta, la société RMS Titanic, Inc., régisseur exclusif de l’épave du Titanic, a collecté depuis 1987 plus de 5 500 objets extraits du champ de débris qui entoure l’épave à 3 800 m de profondeur. En les restaurant avec le

soutien de scientifiques et d’historiens et en les présentant au public, RMS Titanic, Inc., filiale de Premier Exhibitions, Inc. garantit la préservation de cette collection unique, dans le respect de la mémoire du paquebot et de ses passagers.

L’épave est découverte en 1985 par une équipe franco-américaine réunissant l’Ifremer et le Woods Hole Oceanographic Institution. Dès 1987, sous la direction de Paul-Henri Nargeolet, spécialiste des interventions sous-marines profondes, ces vestiges sont remontés. Aujourd’hui, l’expert français transmet ses connaissances et l’expérience de ses plongées sur l’épave, comme il le fera à La Cité de la Mer le 10 avril prochain. C’est notamment grâce à cet océanaute de renom qu’aujourd’hui La Cité de la Mer, site touristique normand, propose en 2015 l’exposition de 35 objets au sein du parcours « Titanic, retour à Cherbourg ».

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Tasse du service de la salle à manger de 3e classe

Samuel S. Weiser, Président RMS Titanic, Inc. : « La société RMS Titanic, Inc., filiale de Premier Exhibitions, Inc., régisseur exclusif du site de l’épave du Titanic, est heureuse de collaborer avec La Cité de la Mer pour l’exposition « Des objets du Titanic nous racontent...». Cette nouvelle exposition représente les efforts continus de RMS Titanic, Inc. et La Cité de la Mer pour préserver la mémoire du paquebot et de tous ceux qui ont navigué à son bord. Nos deux structures visent toutes deux à sensibiliser les petits et les grands aux histoires fascinantes des passagers et à l’importance historique et maritime du Titanic. »

TÉMOIGNAGE

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DE NEw YORk À PARIS, LES ATTRACTIONS DE LA BELLE ÉPOQUE AU CœUR DES LUNA PARkS

C’est à Coney Island en 1902 que M. Thompson et M. Dundy installent le tout premier Luna Park, une appellation et un concept de parc d’attractions et de fête foraine, qui se répandent très vite dans le monde

entier. Féerique et novateur, le parc de loisirs américain propose à ses visiteurs de nombreuses attractions comme le manège « Witching Waves » qui devient populaire dès 1907. Celui-ci permet à 2 personnes installées dans une petite barque d’éprouver le mouvement des vagues.Jusque dans les années 1920, de nombreux Luna Parks ouvrent leurs portes. C’est le cas à Paris en 1909 près de la porte Maillot. Neuf attractions majeures y sont proposées du « Chatouilleur » à « la Roulette-Humaine ». Une foule nombreuse s’y rend chaque soir pour découvrir spectacles et divertissements variés. En 1912, son directeur Gaston Akoun achète le droit exclusif d’exploiter en Europe le fameux « Witching Waves » pour près d’un million de francs.

ON PEUT AINSI LIRE DANS LE FIGARODATÉ DU 20 AVRIL 1912

Ce jeune allemand quitte Brême à bord du Missouri pour s’installer à New York en 1907, l’année-même de l’apogée de l’immigration de masse aux États-Unis. Chef mécanicien dans le parc d’attractions Luna Park de Coney Island, il est chargé de venir à Paris au mois de mars 1912 pour installer le manège très attendu : « Witching Waves » (les vagues charmeuses). Pour rejoindre New York, Franz Pulbaum embarque en 2e classe sur le Titanic à Cherbourg le 10 avril 1912, parmi les 281 passagers en partance ce jour-là.

Avant de rejoindre l’Europe en mars 1912 pour s’acquitter de sa mission au Luna Park, Franz Pulbaum complète sa demande de naturalisation américaine. Il séjourne à Paris, le temps d’installer la nouvelle attraction sensation du Luna Park de la Porte Maillot et de faire quelques emplettes dans la ville lumière. Sa mission terminée, il embarque à Cherbourg sur le transbordeur Nomadic qui le mène à bord du plus grand paquebot du monde de l’époque : le Titanic, alors en escale dans la grande rade. Son voyage en 2e classe qui doit le ramener vers son pays d’adoption, lui coûte 15 livres sterling et 8 pennies. Mais Franz Pulbaum disparaît dans le naufrage dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, comme 1489 autres passagers. Son corps s’il a été retrouvé, n’a jamais été identifié.En 1993, une expédition menée par l’Ifremer et RMS Titanic permet aux archéologues sous-marins de remonter un bagage lui appartenant. Parmi les effets personnels extraits de sa valise, 7 objets sont présentés dans le parcours de La Cité de la Mer, comme son ruban à mesurer ou encore une carte du manège « Witching Waves » qu’il devait certainement remettre aux propriétaires de parcs dans lesquels il installait l’attraction.

EN SAVOIR • Fiche médiathèque sur Franz Pulbaum… Portraits de passagers de 1re, 2e et 3e classes (37 fiches)… Liste des 281 passagers embarqués à Cherbourg

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À Luna Park« Ainsi, voilà Luna Park port de mer ! Le projet gigantesque de

Bouquet de la Grye est réalisé, à la Porte-Maillot, puisque M. Gaston

Akoun a pu installer dans son merveilleux établissement « The

Witching, Waves », flots mouvants, sur lesquels évoluent des barques

conduites par de gracieuses et d’audacieuses Parisiennes ; cependant

que, non loin, les chameaux passent sur les côtes des Witching Waves,

arrivant directement des rues du Caire. »

800 000 immigrants

États-Unis en 1904 et 1908

1,3 million immigrants

États-Unis en 1907Le ruban à mesurer de Franz Pulbaum.

Lorsque J. Bruce Ismay, Président de la White Star Line, et Lord Pirrie, Président des chantiers navals Harland and Wolf imaginent le Titanic autour d’un dîner à londres en 1907, ils n’ont qu’un objectif : surpasser les paquebots des autres compagnies maritimes — dont la Cunard — qui sillonnent alors l’atlantique. l’enjeu économique est important car le bateau est à l’époque l’unique moyen de rejoindre le nouveau monde. mais ce navire doit également être le plus grand, le plus sécurisé et le plus luxueux. le résultat est au rendez-vous lorsque le 10 avril 1912 le Titanic quitte Southampton pour Cherbourg lors de son voyage inaugural. Le confort et l’innovation à bord sont inégalés, toutes classes confondues, tant au niveau des cabines personnelles que dans les espaces communs. Les décors somptueux et les équipements modernes contribuent à construire la légende du Titanic : un paquebot d’exception. Les objets présentés dans l’exposition en sont les témoins.

À bord du Titanic, les services de table, symboles d’un art de vivre à l’européenne, font l’objet d’un soin minutieux. Les matériaux les plus nobles comme la porcelaine de Chine (dorée à l’or 22 carats sur certaines pièces) sont réservés à la 1re classe. Le service est moins précieux mais tout autant raffiné pour la 2e classe et demeure classique pour la 3e classe. Tous portent l’emblème de la White Star Line. Les meilleurs artisans fournissent les services, sur catalogue ou sur mesure. C’est par exemple le cas des 4 500 assiettes creuses fabriquées par la Royal Crown Derby Porcelain Company « fournisseur officiel de porcelaine de Sa Majesté [la reine Victoria] ».

Chaque classe dispose d’une salle à manger. Celle de la 1re classe accueille 554 passagers en même temps et compte 1 serveur pour 3 clients ! Les passagers de 1re classe peuvent également déguster les mets raffinés du restaurant À la carte surnommé « Ritz » en référence aux luxueux palaces parisiens, londoniens ou new-yorkais. Proposer un restaurant avec un service à la carte à bord d’un paquebot est novateur, le 1er fut installé en 1905 à bord de l’Amerika par le Chef français Auguste Escoffier. La White Star Line reprend ce principe à bord de ses navires. À bord du Titanic, le style français est donc très prisé. Outre le restaurant À la carte, le paquebot est équipé d’une reconstitution d’un bistrot typique : le Café Parisien. Un endroit qui devient très vite à la mode pour les passagers de 1re classe.

L’ART DE LA TABLE, EMPLOYÉ AVEC SOIN POUR TOUTES LES CLASSES

Les 2e classes disposent de 2 services pour chaque repas dans leur salle à manger située elle aussi sur le pont D. La vaisselle utilisée est en faïence de Delft blanche avec des motifs bleus, très en vogue à l’époque. Quant aux passagers de 3e classe, ils ont chacun une place attribuée dans l’une des deux salles qui composent leur restaurant situé sur le pont F. Les menus sont disposés sur les tables tout comme les couteaux, fourchettes et cuillères. C’est une nouveauté car auparavant les émigrants devaient emporter leur vaisselle, couverts ainsi que leur nourriture pour le voyage. La White Star Line se soucie donc également de cette clientèle, qui était jusqu’à présent entassée dans les entreponts des navires les plus anciens.

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Assiette creuse utilisée à bord du restaurant À la carte. Photographie avec tous ses motifs d’origine.

Le Café Parisien.

Les repas font partie des plaisirs du bord. Ils sont préparés et servis avec attention par les équipes qui ont appliqué les préceptes novateurs du Chef français Auguste Escoffier. Ce grand cuisinier a révolutionné le travail en cuisine mais aussi l’organisation et le service des plats entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle. Il modernise et simplifie les menus en divisant le repas en plusieurs plats, chacun étant servi séparément au contraire des habitudes de l’époque. En collaboration avec l’hôtelier et entrepreneur suisse César Ritz, l’hôtellerie de luxe voit le jour à terre, mais également en mer. Surnommé « le roi des cuisines », Escoffier dirige l’installation du 1er restaurant à bord d’un paquebot pour la compagnie allemande Hamburg Amerika Lines, sous l’enseigne « Ritz Carlton restaurant ».Toutes les classes à bord du Titanic bénéficient du dressage et de l’accompagnement des plats à la façon Escoffier. Les cuisiniers préparent un large choix de plats aux passagers, les menus des 1re et 2e classes sont imprimés à bord pour chaque repas. Un menu unique regroupant l’ensemble des repas de la journée est proposé à la 3e classe. Un document précieux qu’ils peuvent se procurer comme carte postale, souvenir de leur voyage.

LA CUISINE À BORD, LE SAVOIR-FAIRE FRANÇAIS !

Assiette à soupe de 3e classe.

Lady Duff Gordon, anglaise, 48 ans, passagère de 1re classe embarquée à Cherbourg, à propos du restaurant À la carte : « Imaginez des fraises en avril, et au beau milieu de l’océan de surcroît. C’est proprement extravagant ! Vraiment, vous vous seriez crus au Ritz. »

CITATIONS DE PASSAGERS

Eva Hart, anglaise de 7 ans, passagère de 2e classe, embarquée avec ses parents à Southampton : « Le dernier repas pris avec mon père et ma mère réunis a été, comme le déjeuner, exceptionnel dans sa diversité… Parmi les 5 plats principaux, il y avait du poulet au curry, de l’agneau ou de la dinde rôtie… »

Georges Youssef Touma, syrien de 8 ans, passager de 3e classe, embarqué avec son père et sa sœur à Cherbourg : « Jiris est fasciné par les tapis moelleux et le grand escalier avec des rampes en plaqué or. Mais plus que tout, il est fasciné par la nourriture. »

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Colonel Archibald Gracie, passager américain de 1re classe, lors de la dernière journée à bord avant l’impact avec l’iceberg : « Je me souviens du bonheur de M. et Mme Straus, en milieu de journée, à l’idée de communiquer par télégraphe avec leur fils et sa femme en route vers l’Europe à bord de l’Amerika que nous n’allions pas tarder à croiser… »

TÉMOIGNAGE

La casserole à bain-marie est frappée du nom et du lieu de sa fabrication : la société familiale Dehillerin, située à Paris. Grâce à la venue de cet objet à La Cité de la Mer et au travail de recherche de l’équipe muséographique, les dirigeants de Dehillerin, apprennent qu’ils ont fourni des ustensiles de cuisine pour le Titanic il y a plus de 100 ans !En fouillant eux-mêmes dans leurs archives, ils ont pu retrouver le catalogue de l’époque ainsi qu’une fiche client comportant le nom de la compagnie White Star Line.Cet ustensile composé d’un alliage d’étain et de cuivre a donc reposé à 3 800 m de profondeur près de l’épave durant plus de 80 ans. L’entreprise familiale bicentenaire, qui perpétue l’art culinaire à la française, propose encore aujourd’hui à sa clientèle les meilleurs articles d’équipements de cuisine et de pâtisserie professionnelle. Elle se situe depuis 1820 près du Forum des Halles et de la rue de Rivoli.

UNE FABRIQUE PARISIENNE APPREND AUJOURD’HUI QUE CERTAINS DE SES USTENSILES ÉQUIPAIENT LE TITANIC !

Tout aménagement doit satisfaire l’attente des passagers. Pour cela, le bateau est doté des équipements les plus modernes : ascenseurs, téléphones (une installation standard dans chacune des cabines de 1re classe), piscine chauffée, climatisation… Le paquebot dispose également d’un système électrique dernière génération (capable d’alimenter plus de 10 000 lampes, 1 500 sonnettes, 420 radiateurs…) ou encore d’une station de communication télégraphique Marconi très appréciée par les hommes d’affaires.

UNE MODERNITÉ SANS PAREIL

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EN SAVOIR • Recettes du Titanic… Fiches sur les lieux de restauration de chaque classe… Fiches sur la gastronomie à bord, pour chaque classe

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Bain-marie à queue de chez Dehillerin, Paris.

Cabine de 1re classe de style Empire

1985 : une expédition menée par une équipe franco-américaine alliant l’ifremer et le Woods Hole oceanographic institution parvient à localiser le Titanic par 3 800 m de profondeur en plein atlantique nord. 8 campagnes sous-marines sont ainsi menées entre 1987 et 2010 par la société RMS Titanic, Inc. dont 5 avec l’ifremer. Ces 8 plongées permettent de récupérer plus de 5 500 objets dans le champ de débris qui entoure l’épave. les techniques de restauration d’objets immergés, inventées au début des années 1980 par des experts de eDF, permettent aujourd’hui à RMS Titanic, Inc. de présenter ces objets à travers le monde.

73 ANS APRèS LE NAUFRAGE, LA DÉCOUVERTE DE L’ÉPAVE

Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, 4 jours après son départ de Cherbourg, le Titanic heurte un iceberg et sombre dans les profondeurs océaniques lors de sa première traversée transatlantique. La tragique disparition du paquebot, réputé insubmersible, marque l’Histoire. De nombreux projets de recherches débutent peu de temps après le naufrage mais les technologies permettant d’atteindre de telles profondeurs ne seront mises au point qu’à la fin des années 1970.En 1985, les ingénieurs des instituts océanographiques français et

américains se lancent le défi de retrouver le Titanic lors d’une expédition organisée dans l’océan Atlantique. C’est aussi l’occasion pour eux de tester un sonar révolutionnaire. À quelques jours de la fin de cette mission qui dure plus de 4 semaines, Jean-Louis Michel, océanographe français, voit apparaître sur le moniteur vidéo une énorme chaudière métallique. Les plans originaux du paquebot permettent de l’attester : ils ont découvert l’épave du Titanic à 3 800 m sous le niveau de la mer !

5 500 OBJETS REMONTÉS DU CHAMP DE DÉBRIS

Entre 1985 et 1998, plus de 3 000 objets sont récupérés grâce au sous-marin Nautile de l’Ifremer. Ce submersible français, équipé de bras manipulateurs est capable de plonger à 6 000 m avec trois personnes à son bord.Les 3 dernières expéditions de la société RMS Titanic, Inc. sont organisées avec les russes du P.P Shirshov Institute of Oceanology et leurs sous-marins Mir-1 et Mir-2 en 2000, puis avec les américains du Phoenix International Inc. en 2004 et enfin avec le Woods Hole Oceanographic Institution en 2010.Des objets de toute sorte sont collectés : vaisselle, bouteilles, baignoires, vitraux, vêtements, bagages, livres ou encore des équipements du paquebot comme « the big piece » : un morceau de coque pesant 20 tonnes, remonté à la surface en 1998. À chaque mission, les ingénieurs font preuve de créativité pour adapter leur matériel à la fragilité des pièces à manipuler et à remonter.

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TÉMOIGNAGE

Guy Sciarrone, pilote du Nautile lors des plongées sur l’épave du Titanic en 1987, 1994 et 1996 : « On avait […] repéré un magnifique vitrail. Avec les moyens du bord, nous avons récupéré 2 matelas que nous avions emprisonnés avec du contreplaqué marine et que nous avons envoyés au fond. Puis, avec le Nautile, nous avons amené ce magnifique vitrail sur le 1er matelas et nous avons mis par-dessus le 2e matelas. Ensuite, avec les bras hydrauliques du Nautile, nous avons vissé 4 points pour éviter que le vitrail ne s’échappe lors de la remontée. »

Emballage en papier de lames de rasoir Gillette.

RESTAURER DES OBJETSRESTÉS 75 ANS À 3 800 MèTRES DE PROFONDEUR : UN DÉFI !

Au-delà de 1 000 m de profondeur, les objets sont remarquablement conservés car les phénomènes de corrosion sont ralentis en raison de la rareté de l’oxygène, de l’absence de lumière et d’une température basse. Cependant ils sont fragiles. Une procédure de conservation préventive depuis la remontée à la surface jusqu’au traitement en laboratoire est nécessaire. Les archéologues en charge de la conservation des objets sont, de plus, confrontés à des concrétions très dures (amas granuleux collés) et à la modification de la structure des matériaux, dus au séjour prolongé dans l’eau.Au début des années 1980, de nouvelles études françaises permettent de traiter des objets immergés avec l’électricité. Les nouveaux procédés font leurs preuves et gagnent la confiance des archéologues subaquatiques. C’est le début de l’intervention de EDF dans la restauration des objets du Titanic. Dès 1987 et pendant 18 mois une équipe de 6 personnes restaure 1 892 objets de toutes tailles et de toutes natures : métal, porcelaine, ivoire, cuir, verre, papier, textile.

Les objets les plus délicats à traiter sont les bijoux composites, car ils se présentent sous les aspects les plus variés que sont l’assemblage de plusieurs métaux, le sertissage de pierres précieuses et semi-précieuses, ou encore des incrustations. Ce collier est une longue chaîne (160 cm) en or 15 carats entrecoupée de 11 perles de style Etrusque. Trois pendentifs placés de façon aléatoire complètent ce bijou :

• Un médaillon griffé composé en partie haute d’une étoile avec en son centre un diamant rose et en partie basse d’une banderole gravée des mots suivants : « This Be Your Lucky Star »

• Un cochon porte-bonheur• Une étoile modifiée avec au centre un trèfle à

3 feuilles entrelacé. Ce pendentif servait également de fermoir et était serti de 2 perles.

NOUVEAUTÉS PÉDAGOGIQUES

Un carnet d’accompagnement à la visite en lien avec les programmes d’histoireNiveau : collège-lycée

Un parcours scientifique et technologique sur la thématique de l’archéologie sous-marineNiveau : collège-lycée

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EN SAVOIR • Fiche sur la restauration des objets remontés du champ de débris de l’épave du Titanic

Responsable des plongées profondes pour la société RMS Titanic, Inc., Paul-Henri Nargeolet est à ce jour le plus grand spécialiste capable de décrire l’épave, fort des 30 plongées qu’il a effectuées. Il nous parle de l’état de l’épave dans cette interview réalisée en 2014.

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Avant restauration

Après restauration

VIDÉO

« Pour son voyage, le vaisseau de Gargantua

emporte 75 000 livres de viande, 15 000

bouteilles de bière, 10 000 bouteilles de vin et

12 000 bouteilles d’eau minérale, que Rabelais

aurait bien laissées à terre, mais que réclament

les estomacs de première classe »

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LE TÉMOIGNAGE INÉDIT D’UN JEUNE CHERBOURGEOIS

Ce jour-là, Jules Munsch, étudiant de Rouen revient dans sa famille à Cherbourg pour les vacances. Le temps de l’escale du Titanic, il a le privilège d’être embarqué à son bord par le Capitaine Gaillard, commandant du transbordeur le Traffic. De la visite sur le pont et dans les coulisses, l’élève-maître Jules Munsch en rapporte un compte-rendu précis et passionnant à découvrir.Informée par les descendants de l’étudiant, La Cité de la Mer a pu se procurer ce témoignage inédit dont voici un extrait : « Nous traversions, après y être arrivés par cet escalier qui arrachait tant de cris d’admiration, le somptueux salon des premières classes. Les conteurs des « Mille et une Nuits » n’ont rien imaginé de plus beau… ».

Découvrez le témoignage complet de Jules Munsch en annexe.

18h35 le 10 avril 1912, le Titanic s’immobilise près du fort central après avoir franchi la passe ouest de la grande rade artificielle de Cherbourg. Parti de Southampton, le paquebot effectue sa dernière escale continentale dans le but d’embarquer passagers et vivres, au moyen de deux transbordeurs. Le Traffic transporte 102 passagers de 3e classe pour les emmener à bord, après avoir débarqué 15 passagers ainsi qu’un peu de fret. Suivent 151 passagers de 1re classe et 28 de 2e classe qui sont transférés depuis la petite gare maritime à bord du Nomadic. Le transbordeur transporte également des produits de luxe français (champagne, vins, fromages) et autres denrées. À 20h10, illuminé de tous ses feux, le Titanic quitte Cherbourg pour rejoindre Queenstown (aujourd’hui Cobh) en Irlande.

22 juin 1847 : La frégate Union, un steamer de la Compagnie Générale des Paquebots Transatlantiques, effectue la 1re traversée transatlantique entre Cherbourg et New York en 15 jours et demi avec à son bord 139 passagers. 20 ans plus tard, le gouvernement français désigne Le Havre comme tête de ligne des relations entre la France et les États-Unis. Les compagnies étrangères préfèrent Cherbourg, équipé de la plus grande rade artificielle au monde de 1 500 hectares. De quatre compagnies en 1900 : la Hamburg Amerika Linie, la Norddeutscher Lloyd (allemandes), la Royal Mail Steam Paket Company (britannique) et l’American Line ; elles passent à sept en 1913.À l’époque, de simples baraquements en bois accueillent les passagers qui attendent d’être embarqués. Cherbourg construit une première

Gare Maritime Transatlantique qui doit être prête pour l’escale inaugurale de l’Olympic en 1911. Quand le Titanic se présente au large, le 10 avril 1912, celle-ci est encore en travaux. Comme Cherbourg ne dispose pas de port en eau profonde avant 1932, le transfert des passagers à bord du Titanic s’effectue à l’aide de deux transbordeurs à faible tirant d’eau, le Traffic et le Nomadic. Posée sur 225 mètres de long, la Gare Maritime est inaugurée le 3 juillet 1912.Avec le flux grossissant de l’émigration, Cherbourg prend une dimension internationale dès les années vingt et pendant l’entre-deux-guerres. En 1927, le port normand devient le port d’attache de 11 compagnies internationales, dont les principales sont : American Line, Canadian Pacific, Cunard Line, Lloyds Royal Hollandais, Red Star Line, Royal

Mail Line, United American Line, United States Line, White Star Line. Il compte jusqu’à 18 transbordeurs. Les drapeaux de 22 consulats flottent sur les quais. Pour faire face à ce trafic, le port de Cherbourg choisit de s’équiper d’une nouvelle Gare Maritime Transatlantique Art déco qui ouvre ses portes en 1933. Celle-ci abrite aujourd’hui La Cité de la Mer.

L’ÉPOPÉE TRANSATLANTIQUE DE CHERBOURG

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CherbourgÉCLair 10 avril 1912

ouvert 100 ans jour pour jour après l’escale à Cherbourg du Titanic, le 10 avril 1912, le parcours permanent a déjà séduit plus de 650 000 visiteurs. la scénographie originale permet de vivre au sein de décors reconstitués, la vie à bord depuis l’escale jusqu’au naufrage. Visite guidée…

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Sur la Galerie des croisiéristes, le visiteur profite d’une vue panoramique sur la plus grande rade artificielle du monde. Les noms des principaux ports d’émigration semblent solidement accrochés au sol : Buenos Aires, New York, Rio de Janeiro, Halifax, Montréal, Gènes, Bremerhaven, Cherbourg…

Lorsqu’il pénètre dans la Salle des Bagages, le visiteur est subjugué par sa majesté. Puis l’Histoire le saisit, grâce au film « Parcours d’Emigrants ». Celui-ci rend hommage aux 50 millions d’émigrants qui ont fui l’Europe vers les Amériques, et dont une partie a transité par Cherbourg. À l’aide de tablettes tactiles, le public s’identifie en tentant de retrouver des homonymes et en remplissant le formulaire d’entrée d’Ellis Island, ultime étape pour accéder aux États-Unis. Deux écrans dynamiques (technologie Kinect) dévoilent la vie et le contenu des bagages des voyageurs puis la liste précise des 281 passagers du Titanic qui ont embarqué à Cherbourg. La traversée commence…

À BORD DU LÉGENDAIRE TITANIC

Puis c’est la descente le long de la coque du Titanic. Devant le visiteur, un film projeté sur un écran géant de 24 m. Le scénario du film Horizon, rythme toute l’exposition selon trois séquences : la traversée, la collision, le naufrage. L’évocation du pont saisit le visiteur dans une ambiance de jour et de nuit. De quoi s’imprégner de la vie à bord.L’espace central permet de se plonger dans l’ambiance des coursives de première classe menant aux cabines de luxe, au gymnase (grâce à l’ingénieux théâtre optique), ou aux salons de la jet-set à travers des images en relief.Tout le parcours est ponctué de témoignages de 1re, 2e et 3e classe à écouter, regarder ou lire. La passerelle de navigation et les centres de commandement, permettent à petits et grands de manipuler, tester et de s’initier au mode de communication de l’époque : le morse.

La visite se termine par l’enquête menée après la catastrophe puis par des images de l’épave, enfin localisée en 1985 par une équipe franco-américaine. Les plongées réalisées notamment grâce au sous-marin le Nautile permettent d’établir un lien logique avec la suite de la visite de La Cité de la Mer, dédiée à l’aventure dans les grands fonds.

chargée des relations presse — Lucie Le chapeLain — [email protected] — 06 80 32 54 30 | adjointe — GisèLe Guiffard — [email protected] — 02 33 20 26 67

EN SAVOIR • Le dossier de presse complet sur le parcours « Titanic, retour à Cherbourg »

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UNE THÉMATIQUE ORIGINALE : L’AVENTURE DE L’HOMME SOUS LA MERLa Cité de la Mer est un site touristique né d’une double volonté : sauver la Gare Maritime Transatlantique Art déco et présenter au public le plus grand sous-marin visitable au monde : Le Redoutable. Les différents pôles de visites proposent une découverte originale des océans à travers l’épopée humaine dans les grands fonds.

Lancé par le Général de Gaulle en 1967 dans l’arsenal de Cherbourg, Le Redoutable est le 1er Sous-marin Nucléaire Lanceurs d’Engins français. Ce géant de 128 m, symbole de la politique de dissuasion française, a patrouillé pendant plus de 20 ans sous toutes les mers du globe. Les visiteurs embarquent à son bord et découvrent un monde secret : celui des sous-mariniers. Le commentaire du commandant, depuis les espaces techniques aux lieux de vie en passant par le poste de navigation, révèle le quotidien d’une mission de 70 jours dans un espace où 135 hommes cohabitent.

Le pôle Océan se compose de l’Aquarium Abyssal, le plus profond d’Europe (10,70 m) et de 16 aquariums. Chacun valorise un écosystème, une cohabitation surprenante ou un mode de déplacement qui a su inspirer l’homme dans sa découverte des fonds marins. Certaines espèces marines sont représentatives des recherches remarquables effectuées dans le domaine médical. La Cité de la Mer souhaite démontrer à travers elles, que l’Homme en sait trop peu aujourd’hui sur la richesse des océans et qu’il est primordial de sensibiliser chacun à sa protection.

La Cité de la Mer s’est enrichie de deux parcours permanents depuis son ouverture. Depuis 2008, l’attraction virtuelle « on a marché sous la mer » propose aux familles de vivre une aventure à la découverte des fonds marins. Inauguré en 2012, l’espace « Titanic, retour à Cherbourg », permet aux visiteurs de revivre la traversée du mythique paquebot, depuis son escale à Cherbourg jusqu’à la nuit tragique du naufrage (voir page précédente).

Depuis son ouverture au public en 2002, l’équipement de loisirs consacré à l’aventure humaine dans les grands fonds, a conquis près de 3 millions de visiteurs. Grâce à sa thématique originale, son réseau de partenaires… sa notoriété ne cesse de s’étendre, tant au niveau national, qu’international !

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LE SEUL SITE QUI REND HOMMAGE AUX AVENTURIERS DES PROFONDEURS

Les engins emblématiques de la plongée profonde, réels ou reconstitués à échelle 1, accueillent les visiteurs au cœur de la Grande Galerie des Engins et des Hommes. Tous les sous-marins qui ont plongé sur la mythique épave du Titanic y sont présents : le Nautile, l’Alvin ou le Mir. En 2014, la réplique à taille réelle de 8 m du sous-marin de James Cameron, a complété cet espace. C’est à son bord du

DEEPSEA CHALLENGER que le réalisateur des films Avatar et Titanic a battu en 2012 le record de plongée en solitaire à -10 908 m.

De nombreuses personnalités internationales accompagnent les défis que relève La Cité de la Mer : océanautes ou ingénieurs, architectes comme Jacques Rougerie ou encore réalisateurs comme Jacques Perrin. La Cité de la Mer se

distingue par l’hommage qu’elle rend à l’épopée de ces pionniers.Lors de grands rendez-vous organisés en leur présence, les océanautes comme Don Walsh, Henri-Germain Delauze, Anatoly Sagalevich et d’autres ont témoigné avoir trouvé en La Cité de la Mer le seul lieu au monde où transmettre leur passion, leur histoire, au plus grand nombre.

EN SAVOIR • Dossier de presse complet sur La Cité de la Mer… Fiches engins de la Grande Galerie des Engins et des Hommes… Biographies des océanautes

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Tasse de la salle à manger de 3e classe, en faïence vernie, portant le logo de la White Star Line. ©2014 RMS Titanic, Inc.

Ruban à mesurer, outil de travail de Franz Pulbaum, passager de 2e classe. ©2014 RMS Titanic, Inc.

Assiette creuse en porcelaine de la Royal Crown Derby utilisée au Restaurant À la carte. ©The Royal Crown Derby Porcelain Company Limited

Casserole à bain-marie en alliage d’étain et de cuivre, fabriquée par l’entreprise familiale parisienne Dehillerin.©2014 RMS Titanic, Inc.

Un emballage de lames rasoir Gillette.©EDF Copyright - Droits réservés

Collier porte-bonheur en or 15 carats.©EDF Copyright - Droits réservés

Illustration du witching waves, New York, Luna Park de Coney Island. ©MCNY

Le Luna Park de Paris, porte Maillot.©Archives départementales des Hauts-de-Seine

Le Titanic en rade de Cherbourg.©Claude Molteni de Villermont

Le Café Parisien.©Titanic, The Ship Magnificent

Lady Duff Gordon, passagère de 1re classe. ©Library of Congress

Cabine de 1re classe de style Empire.©Titanic, The Ship Magnificent

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1913 : émigrants en attente face au port de New York.©Library of Congress

Le transbordeur Nomadic devant la Gare Maritime de Cherbourg de 1912.©Collection Jean Pivain

Le film Horizon, projeté sur un écran de 24 m dans le parcours « Titanic, retour à Cherbourg »©La Cité de la Mer_B. Almodovar

Famille devant un écran dynamique, au sein de la Salle des Bagages©La Cité de la Mer_B. Almodovar

L’épave du Titanic.©2014 RMS Titanic, Inc.

Vaisselle posée sur le fond dans le champ de débris entourant l’épave du Titanic.©2014 RMS Titanic, Inc.

• Fiche documentaire sur Franz Pulbaum• Portraits de passagers de 1re, 2e et 3e classes (37 fiches)• Liste des 281 passagers embarqués à Cherbourg• Recettes du Titanic• Fiches documentaires sur les lieux de restauration de chaque classe• Fiches documentaires sur la gastronomie à bord, pour chaque classe• Fiche documentaire sur la restauration des objets remontés du champ de débris de l’épave du Titanic• Le témoignage complet du Jules Munsch sur l’escale du Titanic à Cherbourg• Le dossier thématique sur l’histoire des gares maritimes de Cherbourg• Le dossier de presse complet sur le parcours « Titanic, retour à Cherbourg »• Le dossier de presse complet sur La Cité de la Mer• Fiches engins de la Grande Galerie des Engins et des Hommes• Biographies des océanautes

DES RESSOURCESDOCUMENTAIRES

Le sous-marin Nautile.©IFREMER

Vidéo de l’épave libre de droit pour les médias « expedition titanic, ©2010 rms titanic, inc ». Durée : 00’01’51. Disponible uniquement sur demande

VIDÉO

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Mont Saint Michel à 2h00

Plages dudébarquementà 0h45

PortsmouthPoole

Caen à 1h15

www.citedelamer.com

AvranchesGranville

BayeuxSaint-Lô

Parisà 3h30

Rouen

Le Havre

Londres

Rennes

ACCèS À LA CITÉ DE LA MER

TARIFS 2015Enfants (5-17 ans) : 13 euros Adultes : 18 eurosGratuit* pour les moins de 5 ans**.

10h00 à 18h00 sans interruption : Du 10 mars au 3 avril 2015, du 07 avril au 10 avril, du 1er octobre au 16 octobre, du 2 novembre au 18 décembre.09h30 à 18h00 sans interruption : Du 11 mai au 13 mai, du 18 mai au 22 mai, du 26 mai au 31 mai, du 1er juin au 30 juin, du 1er septembre au 30 septembre, du 19 décembre au 03 janvier 2016.09h30 à 18h30 sans interruption : Du 04 avril au 06 avril, du 11 avril au 10 mai, du 14 mai au 17 mai, du 23 mai au 25 mai, du 17 octobre au 1er novembre. 09h30 à 19h sans interruption : Du 1er juillet au 31 août.Attention, les caisses ferment une heure et demie avant la fermeture du site.FERMETURE ANNUELLE : Du 04 janvier au 29 janvier 2016. Réouverture le 30 janvier 2016 à 10h.Les jours de fermeture en 2015 :Les lundis 9, 16 et 23 mars, les lundis 16, 23 et 30 novembre, les lundis 7 et 14 décembre, vendredi 25 décembre, vendredi 1er janvier 2016.

* Gratuit pour les moins de 5 ans si accompagné d’un adulte payant** Attention les enfants de moins de 5 ans n’ont pas accès à la visite du sous-marin Le Redoutable pour des raisons de sécuritéEn période de forte affluence, « On a marché sous la mer » sera accessible selon la disponibilité des places. En cas d’escale de paquebots, l’espace « Plongez dans l’histoire de l’émigration » ne sera pas accessible. L’espace Titanic reste accessible. Location de l’audio-guide: 3 euros et accessible sur Iphone et smartphones au tarif de 1,79 euros.

La Cité de la Mer est labélisée « Qualité Tourisme » mais aussi « Tourisme et Handicap » pour les handicaps suivants: auditif, mental et moteur.

SAEML CITÉ DE LA MERGare Maritime Transatlantique50100 CHERBOURG-OCTEVILLEContact pour le public : 02 33 20 26 69

Pour tout savoir surLa Cité de la Mer : www.citedelamer.com

HORAIRES 2015