DOSSIER DE SPONSORINGUn projet de communication unique pour

votre entreprise: Permettre de documenter le  passage du Nord-Ouest à la voile.

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LE PASSAGE DU NORD-OUEST A LA VOILE

Depuis le premier franchissement du Passage du Nord-Ouest par l’explorateur Norvégien Roald Amundsen et son équipage en 1903-1906, cette porte entre océan Atlantique et Pacifique suscite de nombreuses convoitises; d’une part pour sa va-leur en tant que nouvelle route maritime, d’autre part pour les ressources naturelles que cachent ces terres, occasionnellement libérées des glaces.

Cependant, la logistique est encore compliquée, car le passage ne s’ouvre pas complètement chaque année.

Depuis les années 70, quelques navigateurs ont entrepris de franchir ce passage. Mais c’est une route difficile, et il n’est pas rare que des bateaux doivent faire demi-tour, avant d’être pris dans les glaces et forcés d’y passer un hiver entier.

Les premiers passages furent tous effectués en plusieurs saisons, mais depuis quelques années, il est devenu possible de le franchir en un été.

Même si les causes du réchauffement climatique suscitent encore des débats, c’est là certainement une de ses conséquences directes.

Dans le cadre de leur tour du monde à la voile, l’équipage fribourgeois du Bonavalette (David et Alexandre Giovannini et Michael Kilchoer) souhaite emprunter ce fameux passage, demeurant encore aujourd’hui une étape difficile et incertaine pour tout navigateur.

Le but est de rejoindre le Groenland en juin 2016 pour être assez tôt dans la saison face aux portes du Nord-Ouest et ainsi maximiser les chances de réussite. Car comme toute entreprise de ce genre, la nature peut se montrer plus forte que l’Homme et refuser de lui dévoiler ses secrets.

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COLLABORATIONS

D’un point de vue scientifique, ces régions sus-citent un grand intérêt. Des terres jusque là diffile-ment accessibles le deviennent par la fonte des glaces. Malgré cela, les coûts d’une expédition sur un bateau de recherche restent très élevés et des voiliers sont régulièrement mis à contribution pour effectuer divers types de mesures.

Les formations universitaires respectives des 3 ma-rins les ont muni d’une curiosité scientifique qu’ils souhaitent mettre à profit durant ce passage. Pour ce faire, l’équipage du Bonavalette s’est associé avec oceaneye (www.oceaneye.ch). Cette associa-tion Suisse est spécialisée dans l’étude sur la pollu-tion des mers par les déchets plastiques. Elle a pour objectif de comprendre et de démontrer l’im-portance du phénomène ainsi que de sensibliser en proposant de l’information accessible à tous.

La mission du bateau Suisse est de prendre des échantillons tout au long de leur navigation dans les mers arctiques et de permettre ainsi à ocea-neye de compléter leurs bases de données sur la pollution par les déchets plastiques dans le monde.

Pour l’équipage fribourgeois, la pollution des océans est un problème très sérieux auquel il a pu malheureusement trop de fois assister. Il semble de ce fait normal qu’il contribue aux recherches d’oceaneye en participant à la prise de mesures et ainsi contribuer à une meilleure prise de conscience du grand public sur les impacts de notre consom-mation sur les écosystèmes marins arctiques.

L’équipage est en train de contacter diverses insti-tuts de recherches en Suisse et à l’étranger pour leur proposer d’autres collaborations scientifiques.

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L’ÉQUIPAGE

David est, du haut de ses 26 ans, le cadet de l’équipage. Après un bachelor en Biologie à l’universi-té de Fribourg, il se laisse désor-mais du temps pour voyager. Une des possibilités qui s’offre à lui est de s’arrêter en route pour en-treprendre un master à l’étran-ger. Les idées claires et la tête dure, il n’a que faire des préroga-tives qu’on accordait autrefois aux aînés. Sur le bateau, il est à pied d’égalité avec son frère. Ma-rin confirmé à l’expérience so-lide, David est aussi un très bon pianiste et percussionniste, qui ne manquera pas d’animer les quarts brumeux ou les bistrots enfumés.

Alexandre, 30 ans, vient d’obte-nir son master dans le domaine de l’environnement à l’université de Bâle. Pour lui aussi l’horizon reste largement ouvert. Pour plus tard, il songe à faire un doc-torat dans une université étran-gère. Peut-être finira-t-il par op-ter pour une vie paisible sur une île déserte, qui sait  ? Initié au monde de la voile enfant déjà, il a un penchant pour la compéti-tion, qu’il a pratiquée jusque dans les derniers mois précé-dant le départ. A ses heures per-dues, Alexandre est un accor-déoniste et dessinateur en herbe. De quoi faire quelques duos et noircir des carnets du-rant ces 3 ans de navigation.

Michael est l’aîné, mais de peu. Il est en train de terminer son mas-ter en géologie entre les universi-tés de Fribourg et Berne. Il aura l’occasion de réfléchir à son mé-moire pendant le voyage pour l’écrire d’une traite en revenant. Passionné par la nature, Michael a découvert la voile avec les deux frères il y a déjà longtemps. De-puis lors, il lui accorde tout son temps libre. Désireux de partir à la découverte du monde et des autres, il est un photographe amateur confirmé, avec au comp-teur bien quelques nuits de labo photo. De quoi se réjouir de dé-couvrir de magnifiques paysages et portraits au retour du voyage.

Michael et David ont terminé leur Bachelor et Alexandre son master. S’étant les trois dirigés vers les sciences naturelles, la découverte du monde passe aussi par la faune, la flore, et les impacts de l’être humain sur l’écosystème mondial.

Pour réaliser leur projet, les trois amis ont effectué différents petits jobs, dans la construction navale notamment. En parallèle, les frères Giovannini ont lancé en 2009 une petite entreprise nommée RONDECHUTE, spécialisée dans la confection de sacs et d’accessoires pour la vie quotidienne.

Particularité : tout ce qu’ils fabriquent est conçu à partir de vieilles voiles de bateau de course.

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Depuis le début du périple, David, Alexandre et Michael documentent leur voyage par écrit et pu-blient régulièrement des capsules vidéos sur leur site internet : www.bonavalette.ch.

Ils ont, au fur et à mesure de l’aventure, fait leurs armes et appris à utiliser l’objectif pour partager leurs impressions au quotidien et des images des pays qu’ils traversent.

Lors de cette partie arctique, l’équipage souhaite rassembler des images dans le but de réaliser un court-métrage documentaire d’aventure et de mon-trer des terres encore sauvages, tout en sensibili-sant les gens à la fragilité de cet environnement singulier.

Pour mener à bien ce projet, le financement re-cherché s’élève à 30’000. Le projet a déjà reçu le soutien de plusieurs partenaires, permettant de ré-colter quelque 12’000 CHF. Le solde recherché s’élève à 18’000 CHF. L’équipage sollicite donc votre soutien!

Le financement recherché doit servir à compléter leur matériel de prise d’images, et participer aux frais inhérents à la navigation arctique (achat de matériel spécifique, habillement, vivres, autorisa-tions) et permettre le tri et le montage des images dès la fin de l’été 2016 (le passage doit se faire en août-septembre).

Le court-métrage documentaire aura pour but de montrer ces terres peu connues depuis un voilier et de documenter les découvertes de l’équipage en filmant la vie à bord au jour le jour.

Le montage et la réalisation sera pris en charge par Take Off Productions à Fribourg, une entre-prise spécialisée dans le domaine vidéo et motivée à réaliser un projet de court-métrage documen-taire. Plus d’infos à leur sujet ainsi qu’une filmo-graphie complète sont disponibles sur leur site: www.takeoff productions.ch.

Si vous désirez associer votre entreprise à ce pro-jet audacieux incarnant des valeurs comme l’es-prit d’équipe, l’aventure et la protection de l’envi-ronnement, alors soutenez les 3 marins et per-mettez cette aventure peu commune.

Votre nom ou celui de votre entreprise sera visible à la fin du court-métrage documentaire ainsi qu’à la fin de chaque capsule vidéo postée régulièrement pendant le trajet.

D’autres contreparties peuvent être envisagées: conférences au retour du voyage, articles et pho-tos, drapeaux portés lors des escales et autocol-lants sur la coque.

Contactez-nous!

FRANCHIR CETTE ETAPE AVEC VOTRE AIDE

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HISTORIQUE DU PROJET BONAVALETTE

Michael Kilchoer, David et Alexandre Giovannini sont trois amis fribourgeois animés par la passion de la voile. Ils naviguent durant trois ans autour du monde sur leur voilier, le Bonavalette.

David et Alexandre ont appris à barrer en même temps que de marcher. C’est leur père, Jean-Paul Baechler, un des pionniers suisses de la voile en mer, qui les a initiés. A leur tour, ils ont transmis le virus à Michael. Les trois skippaient des bateaux avant de devoir se raser, les trois skipperont des bateaux longtemps après avoir acheté leur premier dentier.

Pendant cinq ans, ils se sont retrouvés tous les week-ends pour préparer le Bonavalette, voilier que les frères ont hérité de leur père, emporté par la mer au large de Lisbonne en 2008.

La vraie aventure a débuté en avril 2014 à Bâle. L’équipage du Bonavalette y a largué les amarres pour un voyage de trois ans à travers les principaux océans du globe, autour des cinq continents. Faire le tour du monde est un vieux rêve de l’être humain. La mer a fasciné des générations d’hommes et de femmes et fascine encore de nombreuses per-sonnes.

Michael, David et Alexandre iront où peu d’hommes se sont rendus. Votre soutien dans leur projet pour-rait les aider à y parvenir.

Visionnez les premières images du début du voyage ici : http://www.bonavalette.ch/videos/item/38-bonavalette-les-debuts

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LE VOYAGE

Après avoir longé les côtes européennes, navigué jusqu’au Cap-Vert et traversé l’Atlantique, le Bona-valette a séjourné au Brésil, puis dans les Caraïbes. Il est actuellement en train de remonter la côte Est américaine. Les prochaines étapes sont :

→ Depuis la Floride, longer la côte Est du con-tinent Nord-Americain jusqu’au Groenland.

→ En été 2016 : passage du Nord-Ouest à l’extrémité du Canada.

→ Arrivée en Alaska par le détroit de Bering, puis descente vers les îles Galapagos.

→ Traversée du Pacifique, découverte des différentes îles et archipels de Polynésie.

→ Retour vers l’Europe pour lequel différentes routes sont envisagées.

D’une durée d’environ trois ans, la suite du voyage reste pour l’heure inconnue. Les trois navigateurs préfèrent se laisser plusieurs options ouvertes. Le cap Horn est un passage maritime qui marque l’imaginaire de tous les marins et, bien qu’il ne soit pas sur leur route directe, il se peut que Michael, David et Alexandre choisissent de l’emprunter lors de leur retour en Europe.

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CONTACTS

Bonavalette

Page Facebook: www.facebook.com/bonavalette.autourdumonde

Le blog: www.bonavalette.ch

Représentants de l’équipage à contacter durant le voyage :

Matthieu Brulhart + 41 79 416 79 84

matthieu@takeoffproductions.ch

Arnaud Gariépy + 41 78 885 43 11

arnaud@takeoffproductions.ch

Take Off Productions + 41 26 422 39 44

info@takeoffproductions.ch

Site web: www.takeoffproductions.ch

Page Facebook: www.facebook.com/pages/

Take-Off-Productions/114102501997910

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PARTENAIRES ACTUELS