Dossier de presse

Dossier de presse - Fous chantants - 2014 p. 1


1000 choristes vous dites ?

L’esprit de cette manifestation est un rassemblement de 1000 choristes pour une passion commune le chant choral et la chanson française. Cette semaine folle de chansons s’achève par un concert unique et exceptionnel...Après Ferrat, Moustaki, Goldman, Bécaud, Nougaro, Maurane & Catherine Lara, Brel, Voulzy, Sheller, l’interprétation de Starmania, métissage, l’hommage au Québec avec Garou et Natasha SAINT-PIER, les 3 B soit «Daniel BALAVOINE, Alain BASHUNG et Michel BERGER», les Comédies Musicales, les plus belles Musiques de films, «Ensemble chantons Goldman» et cette année les femmes sont mises à l’honneur avec « Fous d’Elles ».

Une Première Mondialeun impact européen qui se joue à guichets fermés

Le concert des Fous Chantants n’est pas un concert comme les autres, il est Unique. Unique car il n’a lieu qu’un seul soirUnique, car il est empreint d’une sorte de «magie». Dans cette ambiance particulière que seules les Arènes peuvent créer, il se produit une communion, presque une fusion, entre un artiste, les 1000 choristes et le public. À la première note un grand frisson envahit les spectateurs.Marc d’Alès nous dit « Ce n’est pas la pre-mière fois que j’assiste à ce spectacle, à chaque fois quelle émotion, quelle qualité musicale, quelle perfection ! »

Cette année un grand hommage aux merveilleuses femmes qui ont écrit ou interprété des chansons ou aux chansons qui ont été composées pour « ELLES ». Pour ce concert magique Amel BENT vient nous prêter mains fortes . C’est une expérience très particulière. Tous ceux qui ont participé ou assisté à un concert des Fous Chantants sont unanimes : on vit ce soir-là des moments étonnants, parfois même impressionnants et toujours très émouvants.

Les Fous Chantants


E C’est d’abord une semaine de stage de formation au chant choral,E C’est un lieu de convivialité de rencontres d’échange de fraternité,E C’est un creuset de partage et d’émotions,E C’est une vie de famille, de village,E Ce sont 1000 choristes qui préparent ce stage pendant 3 mois avant de venir à Alès,E Ce sont mille choristes qui répètent assidument 7 heures par jour pendant la semaine.

Les Fous Chantants Un choeur qui bat en Cévennes


1000 choristes, ambassadeurs d'Alès, du Gard et du Languedoc-Roussillon

dans leur région

Chaque stage est une activité sociale enrichissante, l’expérience permet de respirer ensemble.C’est aussi fournir un effort collectif pour un résultat artistique global bouleversant. Cécile de Belgique nous dit :

« Participer chaque année me permet de chasser mon stress et mes idées

noires, j’oublie mon mal au dos. Je me sens plus créative, plus tournée vers les

autres. Une semaine à plein poumon, je repars énergisée ! Merci les Fous. »

Les Fous Chantants

Ce sont des choristes qui viennent et reviennent d’année en année (4 participations en moyenne). Ce sont mille choristes et leur famille qui viennent passer une semaine sur Alès et notre belle région des Cévennes. Les uns répètent toute la journée, les autres profitent de l’accueil Alèsien, visites, musés, restauration, sites touristiques...Ces choristes viennent de la quasi totalité des départements français, de l’étranger aussi Belgique, Luxembourg, Pays Bas, Allemagne, Grande Bretagne, Suisse, Italie, Espagne, République Tchèque, Russie, Mexique, Canada, Maroc, Inde, Portugal.C’est un stage qui se finit en apothéose par un fabuleux concert avec ces mille choristes.

Les Fous Chantants, une thérapie ?


Depuis quelques années, on assiste à un véritable engouement pour le chant choral, comme si on redécouvrait le plaisir de chanter à plusieurs voix. L’émotion dégagée par les chœurs, quels que soient leurs styles, est de plus en plus recherchée.L’essor de chorales partout en France, et le succès d’émissions ou de disques tels que les 500 choristes sur TF1 ou les 2000 choristes lorrains, en sont la meilleure preuve, dirigés par Jacky LOCKS, le directeur artistique des Fous Chantants.

Un contexte porteurLes Fous Chantants


///// Biographie/////EnfanceAmel Bent est née en France d’une mère marocaine et d’un père algérien, elle grandit à La Courneuve. Adolescente, elle se destine au métier de psychologue, tout en étant passionnée de musique. C’est son professeur de musique qui l’a poussée à chanter.

ParcoursEn 2004, elle participe à l’émission Nouvelle Star, qui la révèle alors. Elle finira troisième.Elle enregistre alors l’album «Un jour d’été» qui sort le 30 novembre 2004. Le premier single tiré de cet album, «Ma philosophie» (coécrit avec la rappeuse Diam’s), entre directement numéro 1 des classements. Le titre est nominé lors des «Victoires de la musique 2006» dans la catégorie « Chanson originale de l’année ». L’album, comprenant également les titres «Le Droit à l’erreur» «et «Ne retiens pas tes larmes», est certifié disque de platine et s’est vendu à 650 000 exemplaires.En 2006, Amel Bent interprète «Eye of the Tiger», reprise du groupe Survivor (bande originale du film Rocky 3, l’œil du tigre sorti en 1982), pour la BO d’«Astérix et les Vikings».

En 2007, elle sort l’album À 20 ans, avec comme premier single «Nouveau Français», chanson qui a suscité des polémiques en raison de la campagne pour l’élection présidentielle française. Suivront ensuite les singles «À 20 ans» et «Tu n’es plus là». Pascal Obispo et Charles Aznavour ont notamment participé à cet album. Cet album se vend à plus de 200 000 exemplaires6, et elle entame une tournée qui se révélera un succès : elle doit alors programmer une seconde date parisienne au Bataclan, puis une troisième date à La Cigale.En 2008, Amel enregistre «Vivre ma vie», version française de la chanson «Walk away», pour la bande originale du film «High School Musical 3».En 2009, Amel Bent est de retour avec un nouveau single : «Où je vais» et un album éponyme. Le second single est la chanson «Le mal de toi» produit par Gee Futuristic et X-Plosive de l’Allemagne. Le 4 mai 2010, Amel Bent a donné un concert à L’Olympia à Paris. Elle clôturera sa tournée française le 18 décembre 2010 au Zénith de Paris, date qui affiche complet.Cet album sera un franc succès, puisqu’il se vendra à plus de

150 000 exemplaires.C’est par le biais de son compte Twitter qu’Amel Bent annonce la sortie de son album pour le 28 novembre 2011, et qui a pour titre «Délit mineur». Amel Bent enregistre «instinct».Elle participe aussi a la troisième saison de «Danse avec les stars» ce qui lui vaudra une nomination aux «NRJ Music Awards 2013» dans la catégorie «Artiste féminine francophone de l’année» une catégorie qui sera remporté par Shy’m. En avril 2013 elle sort le single «Quand la musique est bonne» avec le rappeur Soprano tiré de l’album «Génération Goldman volume 2».Le 10 septembre 2013, Amel Bent dévoile son nouveau single Sans toi, disponible en téléchargement légal dès le 13 septembre 2013.Dès novembre 2013, Amel Bent débute une tournée à travers la France avec notamment l’Olympia à Paris les 16 et 17 novembre 2013.TélévisionFin 2009, elle est la coach d’une chorale pour une émission de TF1 intitulée «La bataille» des chorales aux côtés de Patrick Fiori et Passi.

(Amel Bent photographiée en 2008 par le Studio Harcourt)


Durant la fin de l’année 2010, Amel Bent est la marraine de l’émission «Disney Channel Talents» diffusé sur «Disney Channel France» qui a pour thème High School Musical.En 2011, elle fait ses premiers pas de comédienne, en jouant le rôle d’une méchante prénommée Amale dans le téléfilm «Affaires étrangères : Maroc», diffusé le 24 février 2011.Fin 2011, elle prête sa voix pour le film d’animation «Happy Feet 2».Du 6 octobre au 1er décembre 2012, Amel Bent fait partie des candidats de la saison 3 de l’émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Christophe Licata. Elle arrive en finale de l’émission et termine 2e de la compétition, derrière Emmanuel Moire. Le 22 décembre 2012, elle participe, le temps d’une soirée, à l’émission spéciale « Danse avec les stars » fête Noël, et c’est elle qui remporte la compétition, face à Sofia Essaïdi et M. Pokora.Quelques jours après la sortie de son clip «Délit», la chanteuse a participé à un épisode de la série «Soda» et «Scènes de ménages».En 2012, Amel Bent prête sa voix au film d’animation «Clochette et le Secret des fées», avec la chanteuse Lorie.Elle intègre le groupe «Génération Goldman», avec notamment M. Pokora, Leslie et Shy’m.En 2013, elle intègre la troupe de «Samedi soir» on chante aux côtés de Chimène Badi, M. Pokora, Emmanuel Moire ou encore Shy’m, entre autres. C’est une émission présentée par Estelle Denis. Le premier prime, diffusé le samedi 19 janvier, rend hommage à Jean-Jacques Goldman. Elle reprend le titre «Comme toi», ainsi que «S’il suffisait d’aimer» et «Pour que tu m’aimes encore», cette fois en duo avec Chimène Badi. Le samedi 15 juin, Johnny Hallyday l’invite à chanter un duo sur le titre «Je te promets» , à l’occasion de son concert à Bercy, pour ses 70 ans. Le show est retransmis en direct sur TF1.

AMEL BENT « J’ai l’impression qu’on a commencé à me voir quand j’ai commencé à chanter. Et je me dis que tant que je chanterai, il ne peut y avoir de fin. Ca ne s’arrêtera quand moi je l’aurai décidé »Il est toujours jubilatoire d’assister à une libération, à une renaissance. à une confirmation.Amel Bent n’a jamais gagné à la loterie. Ce qu’elle a, ce qu’elle est, elle l’a obtenu en combattant, en y croyant encore et encore. En restantdebout, malgré les tempêtes, les coups durs, les cyniques, les portes qui ne s’ouvrent d’habitude qu’à ceux qui ont déjà tout.On a grandi avec elle. Nous dans notre canapé, elle sur les écrans. Une gamine alors. Avec un regard qui ne lâchait rien et un sourire qui

ne se bradait pas. On a rencontré sa famille, ses racines, ses souvenirs. On l’a adoptée parce qu’il ne pouvait en être autrement. Et puis, il y a cette voix bien sûr. Une voix capable autant d’emmener que de convoquer les larmes, de noircir les pistes de danse que de réchauffer les âmes meurtries. De prendre par la main. De dessiner des lendemains possibles. D’entrée, on comprend. Amel Bent n’aura pas à choisir. Elle est l’incarnation de cette nouvelle génération, qui a grandi en écoutant aussi bien du rap, de la chanson française, du R&B que de la

pop et de la variété. Les ghettos sont faits pour être dépassés. Amel Bent plane au-dessus des clichés et impose sans attendre son style, fait des mélodies qui accrochent, d’accords souvent mineurs qui n’oublient pas que l’homme n’existe pas qu’en surface. Des tubes aussi. « Ma philosophie »…La suite ? Cinq albums désormais, un public qui suit et démontre une fidélité en titane, dix ans de carrière. Et tout reste encore à écrire. Amel Bent préfère, aux chiffres qui figent, les aventures au long cours : « c’est un journaliste qui m’a appris l’autre jour que j’étais la depuis dix ans. Je ne m’en serais même pas rendu compte sinon. Je suis hyper fière de mon parcours mais je préfère attendre pour célébrer mes trente ou quarante ans de carrière. Là, je pourrai vraiment me la raconter (rires). Dix ans c’est mignon, c’est genre noces de coton. »Voilà. Amel veut durer, se battre et avancer. Qu’elle enregistre avec Rohff, Aznavour ou Ne-Yo, qu’elle enflamme la scène des Enfoirés, elle donne beaucoup, elle avance toujours, elle grandit.On comprend alors mieux ce titre d’album, « Instinct. ». Amel Bent a accepté d’affronter ses craintes, ses doutes, ses désirs également. Parce qu’un instinct, ça ne se formate pas, ça s’apprivoise à la rigueur. Ça s’accepte surtout.Qu’elle chante l’amour impossible ou la beauté en souffrance de la mixité, le monde devenu fou ou l’espoir toujours vivant, elle rayonne, partage, sublime. James Brown disait : « Une chanson ne peut pas changer le monde. Elle peut juste changer une vie. C’est bien plus important. » Voilà la force d’Amel Bent. L’avenir appartient à Amel Bent….


Les édit ions précédentes


Thèmes des hommages• En 2013, Hommage Ensemble Chantons Goldman.• En 2012, Hommage aux Plus Belles Musiques de Films.• En 2011, Hommage aux plus belles Comédies Musicales.• En 2010, Hommage aux «3 B» Bashung, Balavoine, Berger.• En 2009, Hommage à la Chanson Québécoise. • En 2008, Hommage à la Diversité avec I Muvrini.• En 2007, interprétation de STARMANIA.• En 2006, Hommage à William Sheller.• L’édition 2005 a eu le plaisir d’accueillir Laurent Voulzy.• En 2004, c’est à J. Brel que les Fous Chantants rendent un hommage remarqué.• 2003 est une édition féminine, avec Maurane et Catherine Lara.• En 2002, Hommage à Claude Nougaro.• En 2001, Hommage à Gilbert Bécaud. La manifestation est baptisée : «Les Fous Chantants».• En 2000, Hommage de 1000 choristes à Jean-Jacques Goldman. au Stade Pierre Pibarot (plus de 10 000 spectateurs).• En 1999, Hommage de 800 choristes à Georges Moustaki.• En 1998, pour la première édition, ils sont 700 à rendre hommage à Jean Ferrat. Naissance de la semaine chantante.

Artistes invités2013 > C. Willem et M. Jones2012 > P. Fiori et Angun 2011 > H. Ségara, E. Moire, P. Villafranca2010 > J. Zenatti et L. Solal2009 > Garou / N.Saint-Pier2008 > i Muvrini2007 > Marina d’Amico2006 > William Sheller2005 > Laurent Voulzy2004 > Jacques Brel 2003 > Maurane et Catherine Lara2002 > Claude Nougaro2001 > Gilbert Bécaud2000 > J.J. Goldman1999 > Georges Moustaki1998 > Jean Ferrat


Rétro planningFOU, le mot n’est pas trop fort.Prendre des congés, répéter des heures sous un chapiteau surchauffé par le soleil de Midi, avec 999 autres choristes et chanter, chanter et encore chanter, voici le quotidien de tout participant à la semaine chantante.

vous avez dit FOUS ?Les plus jeunes n’ont que 8 ans, les plus âgés 82, Ils arrivent de toute la francophonie (France, Belgique, Suisse, Québec ….) et de l’Europe (Italie, Allemagne, Espagne, Grèce, Russie, Luxembourg, Suisse,…). Russie ! Ils sont de toutes origines sociales et professionnelles et n’ont qu’un désir passionné : le chant !!Ils sont répartis en six pupitres : quatre pour les femmes : soprano 1 et 2, alto 1 et 2 et deux pour les hommes : basses et ténors.

Qui sont-ils ?Les Fous Chantants

5 chefs de choeur "fous" Ils seront cinq chefs de chœur, tour à tour, face aux mille, donnant l’impulsion, l’énergie et l’émotion.Ils viennent du Québec pour Guylaine FOURNIER, et Marc-André CARON, de Toulouse pour Maryline LAPLAGNE et de Lorraine pour Jacky LOCKS. Nouveau venu depuis deux ans, Florian MARTINET de Grenoble qui sera à la fois, pianiste accompagnateur et chef de chœur.Pour eux, la soirée est l’aboutissement d’un travail qui a commencé par l’harmonisation des titres qu’ils ont choisis... et quel résultat !


J - 9 MOISLe bulletin d’inscription est en ligne sur le site ou arrive par courrier postal ou internet … Les «volontaires» le renvoient et sont validés sur le site des Fous Chantants comme participant à la Semaine et ont désormais accès à toutes les informations privées concernant l’organisation.

J - 4 MOISChaque choriste inscrit et télécharge les morceaux de son pupitre qui arrivent au fur et à mesure. Il se doit d’apprendre les paroles et les mélodies arrangées par les chefs de chœur.

J - 2 MOIS La tenue des choristes est décidée ainsi que les accessoires. Les choristes arrivent avec (depuis 2 ans les écharpes sont procurées par l’organisation dans un souci d’harmonisation des couleurs).

J - 8 JOURS La dernière semaine de juillet, enfin, les voilà réunis au Fort Vauban, pour les ultimes répétitions. Joie des retrouvailles pour certains, peur du débutant pour d’autres.Un «village choristes» est installé dans cet espace du Fort Vauban avec divers stands afin qu’ils puissent se renseigner, se documenter, se désaltérer et se restaurer…Le vendredi soir : après avoir pris son dossier, ceux qui sont restés en contact toute l’année grâce au site des Fous Chantants, se retrouvent et partagent le «repas des Internautes». Chaque année ce groupe augmente et cela représente désormais près de 300 personnes…

J - 7 JOURS (samedi)Mais le travail n’attend pas. 8h45: les choristes prennent possession de la tente de répétition. Une présentation des chefs de chœur et des pianistes répétiteurs, de l’organisation de la Semaine, le tout dans une ambiance on ne peut plus chaleureuse

mais studieuse… un échauffement de la voix et des muscles et c’est parti.Les chants sont répétés rabâchés, « triturés » par les chefs accompagnés par les répétiteurs-piano : Florian Martinet (qui est aussi chef de chœur dans la Semaine) et Gaëtan Roberge, pour obtenir la quintessence et le meilleur des chansons choisies.Les chefs se succèdent par plage de 45 minutes.

J - 6 et 5 JOURS (dimanche et lundi)Les choristes sont à pied d’œuvre dès 8h45 comme d’habitude mais petit changement. En effet, ces deux matinées sont réservées à un travail par pupitres. Les choristes sont rassemblés dans quatre endroits distincts dans le village du Fort Vauban et dans la ville d’Alès pour apprendre les chants sans mélange de voix pour peaufiner l’apprentissage. L’après-midi tous se retrouvent et mettent en pratique leurs travaux du matin.

J - 4 JOURS (mardi)Journée de répétitions normale à ceci près : ce soir aura lieu la présentation de 5 chants à la population alésienne. Tout doit être presque parfait…

COMMENT CELA SE PASSE-T-IL?

JOURNÉE TYPE d’un choriste jusqu’au mardi08h45 : échauffement et début des répétitions12h30 : pause déjeuner16h45 : reprise des répétitions19h30 : fin des répétitions21h00 : concerts du festival


J - 3 et 2 JOURS (mercredi et jeudi)Pendant la journée, toujours les 6 heures de répétition.Par contre, pendant l’après-midi les 30 jeunes vont aller aux Arènes pour faire les essais des 80 micros. En effet, grand jour pour les choristes!! Ce soir premier contact avec les Arènes: les 1000 les investissent. Objectif : placer les choristes, régler le son, la lumière et se synchroniser avec l’orchestre.

J - 1 JOUR (vendredi)Mêmes horaires de répétition. Mais dès la répétition de l’après-midi, rencontre et partage de chants avec les artistes qui vont les accompagner. Et le soir, dernière répétition dans les Arènes en conditions réelles avec les artistes.

JOUR J Samedi soir : ils sont prêts à donner leur voix, leur amour du chant, leur bonheur d’être là. Cet enthousiasme gagne le public et transcende les arènes en ce concert unique et exceptionnel.

À PARTIR DU MERCREDIMêmes horaires pendant la journéeDe 21h jusqu’à 24h : répétitions dans les arènes


Une trentaine au total ! Si peu pour beaucoup de travail plus de 9 700 heures !!!Ils se repartissent en commissions diverses : Accueil des choristes et artistes, Communication (presse, publicité, site internet) Hébergement choristes, Restauration, Bar, Boutiques, Billetterie, Technique, Vente de journaux , Evolution et gestion administrative, Hébergement,….Ces bénévoles s’activent l’année durant pour peaufiner l’événement le mieux qu’il soit. «Le coup de feu» est donné dés les premières réceptions des inscriptions au stage, 9 mois avant.Dans le même temps, il faut démarcher auprès des différents internats les chambres disponibles en été afin de pouvoir y loger les choristes désireux. Le traiteur est retenu pour la restauration.La technique est aussi mobilisée et tous les engagements sont pris avec les ingénieurs du son et de la lumière et de leurs boites de production afin de finaliser LE spectacle..15 jours avant, les dossiers sont préparés, ainsi que les badges qui leur permettront d’accéder à tous les endroits qui leur sont réservés.Et pendant la semaine, ils s’attachent à rester disponibles, souriants, et afférés pour satisfaire chacun et assurer une organisation «presque parfaite».

Nous ne remercierons jamais assez ces femmes et ces hommes donnant leur temps et dévouement sans compter pour rendre cette « aventure » agréable et inoubliable.

14 000 repas servis !Pendant cette semaine, les Choristes vivent la journée dans le village choristes situé dans le Fort Vauban.Ils y répètent, s’y restaurent (14 000 repas servis pendant la semaine), s’y détendent au «bar» ou en lisant le «Clin d’œil» (petit journal quotidien spécialement édité), y trouvent différents services (l’Accueil, la Boutique et la Cave, la Poste qui vient tenir une permanence, vente des journaux Midi Libre et la Marseillaise…) ou simplement s’y retrouvent lors des pauses de l’après-midi pour passer un bon moment.

CES BENEVOLES SONT TOUS FOUS !


UN ORCHESTRE FOU !L’objectif de l’orchestre est de réunir un groupe de musiciens solides, bien habitués à ce type d’événement autant sur le plan technique qu’humain. Ce dernier point étant capital pour amener une ambiance de travail conviviale où chacun se trouve bien à l’aise dans la complicité musicale. Dans un premier temps, le chef d’orchestre va écouter un maximum de Musiques dans le but de s’imprégner des styles. Ensuite, de manière plus ciblée sur le répertoire choisi, il faut effectuer des relevés un peu comme le ferait un géomètre, pour établir une “cartographie” précise des structures rythmiques, mélodiques et harmoniques des accompagnements en adéquation avec les harmonisations vocales des chefs de chœur.Chaque musicien recevra ensuite les “cartes” dont il suivra la trame pour élaborer le parcours de son improvisation.C’est à partir de la dernière quinzaine de juillet que l’orchestre se rencontrera, pour mettre en commun les idées, en faire la synthèse et décider ensemble de ce qu’il est bon de garder, modifier ou jeter. Le dernier point fort se fera aux arènes lorsque ce travail de synthèse et d’élaboration de l’accompagnement instrumental viendra se marier avec les harmonisations vocales des 1000 choristes. Parfois il faut remettre l’ouvrage sur la table, se redonner les règles ou au contraire ressentir d’emblée l’émotion et savourer...

Et voici sa compositionUne nouvelle fois réunis autour de Jean-Marie SION, le chef d’orchestre qui confectionne les arrangements et dirige l’ensemble, les musiciens sont choisis, outre leurs qualités musicales, pour leur personnalité, leur coté humain et leur facilité d’adaptation.L’orchestre des Fous Chantants est composé d’un noyau rythmique (Olivier BALDISSERA à la batterie, Fabien GILLES à la basse, Jérôme VIOLLET aux percussions et Gilles LABOUREY aux synthés).

Viennent s’y joindre d’autres instruments mélodiques pour dialoguer avec le chœur: Jean-Marie SION au piano, les guitares de Hassan HADJI, la flûte de Renaldo GRECO, le hautbois de Patrice BARSEY…)Enfin, toujours dans l’ombre mais toujours présent et à notre service, Jean-Marie Lahondès assure la partie technique des répétitions et le ballet des instruments sur le plateau.


Quelques chiffres techniquesE 8 tonnes de matériel son et lumièreE 10 tonnes de ferrailleE 18 m de hauteur pour la structure lumière et sonE 45 techniciensE 400 m de longueur de fibre optiqueE 1,3 kilomètre de cuivre (à raison de 15m au départ de chacun des micros)E 80 microsE 200 m² de scèneE 950 repas pour le catering des techniciens 1000 choristesE 3500 spectateursE 22 800 WattToute une population d’individus unis dans une même mission: celle d’accompagner les 1000 choristes Fous Chantants et de leur donner réconfort et assurance pour cette soirée unique de l’Hommage.

Retro-planning de l'installation

J-10 Arrivée des techniciens pour démarrer ce chantier par la mise en sécurité du site, la mise en place de la cantine et l’arrivée et le montage d’environ 10 tonnes de ferraille qui s’élèveront à plus de 18 m du sol.

J-7 Arrivée des techniciens de la Lumière avec 2 semi-remorques de projecteurs et de câbles électriques soit environ 8 tonnes de matériel.

J-6 Ce sont les Techniciens du Son qui entrent en jeu (mise en place des hauts parleurs, des micros, des consoles, et une toile d’araignée de fils électriques commence à se tisser sur scène.

J-3 L’orchestre débarque pour la mise en place des instruments de musique et des musiciens, on bâche pour le soleil, on branche, on câble, on essaie, on s’accorde.

UNE TECHNIQUE DE FOUS

J-2 Au soir, les 1000 Fous font irruption et on commence les essais de micro et de retour du son.

J-1 GÉNÉRALE

JOUR J La magie démarre….Depuis le début des Fous , c’est la même boîte de son et lumière (ARPEGE de Nice et Paris) qui assure la technique. Des liens se sont tissés et ils font partie des Fous Chantants.

Un son de Fou !

Nous avons interrogé Philippe Barguidjan, ingénieur du son sur les changements opérés depuis ces 15 années.

« L’équipe du son est constitué de «Doumé» au niveau des retours, Jean-Michel et moi-même à la console, Bastoune et Couette sur le plateau. Depuis l’année dernière, la nouvelle génération du système de sonorisation Kara assure une meilleure propagation du son sur les côtés de la scène dont bénéficie le public placé sur les gradins. De plus la nouvelle réverbération enrichit la prise de son pour lui conférer l’épaisseur d’une captation en salle de concert (alors que cela se passe en extérieur). La sonorisation du concert utilise de plus en plus de câbles en fibre optique ce qui fait que cela supprime les kilomètres de câbles qu’il fallait dérouler pour équiper les Arènes. Ce qui permet également de gagner du temps ce sont les possibilités offertes par la numérisation du son. En effet les réglages sont conservés d’une année sur l’autre, ce qui fait que cet été, les réglages pour la perfection risquent d’être plus vite atteints…».


Une lumière de fou !

Nous avons interrogé Didier DAST, respon-sable de la mise en lumière du spectacle.

«L’équipe comprend Ivan, Laurent, Etienne, Timo, Gilles et Didier. Nous travaillons en amont pour définir la mise en lumière du spectacle et la forme de la structure. Ensuite nous arrivons dès le dimanche afin

d’y commencer à fixer tous les projecteurs (tout ceci en privilégiant aussi la réduction de la consommation électrique par des systèmes de LED). Après il faut mettre en place les machines nécessaires aux effets lumineux et vérifier qu’elles produisent bien les effets stimulés par l’informatique. La grosse gêne est que ce travail ne peut se faire que la nuit, quand les choristes sont partis».

Nul doute que tout sera prêt le Jour J pour un concert UNIQUE et de très grande qualité !.


Depuis des années, le « leitmotiv » du Festival des Fous Chantants, c’est le plaisir de chanter. C’était aussi la découverte de toutes les facettes de ce superbe instrument qu’est la voix. Cette année les Fous organisent 2 concerts gratuits aux Arènes.

TRIWAP CONCERT LE 19 JUILLET 2014

En 2005 ils ne se connaissent pas encore. Sillonnant pourtant les mêmes couloirs du Conservatoire de Musique ou de l’Université de Rennes, ces trois passionnés se retrouvent très vite dans de nombreux projets communs : jazz, salsa, ensembles vocaux. L’alchimie opère… Leurs voix, leurs instruments deviennent complices, une histoire commence… Dès 2006, les trois musiciens décident de monter le trio TRIWAP. Avec la complicité de leurs voix et de leurs instruments, ils revisitent dans un esprit acoustique les standards de la chanson française et internationale. Emmanuel au piano, Martin à la contrebasse, Pierre au trombone, ils écument les cafés-concerts et les scènes locales avec une même devise : l’amour de la musique et de l’humour décalé. De la poésie explosive de Charles Trenet, aux harmonies groovies de Stevie Wonder en passant par les mélodies bucoliques de Brassens, leurs valises sont chargées d’influences d’hier et d’aujourd’hui.

En 2009, TRIWAP s’installe à Paris, les harmonies ont poussé, la mélodie a mûri, des compositions originales ont fleuri, la scène devient un véritable terrain de jeu ! En 2010, TRIWAP multiplie les expériences : un voyage musico-humanitaire au Burkina-Faso avec Les Écoles du Désert, une participation au télé-crochet X-Factor 2011 sur M6, puis quelques belles scènes estivales en 2011 : Festival Rendez-vous terrasses (94), Festival Les Tardives (22), Festival Les Co Errantes (42)... En 2012, la rencontre avec le metteur en scène Jean-Michel Fournereau et l’équipe de la Cie Orphée-Théâtre(s) marque une étape décisive pour le trio : la naissance d’un spectacle musical et théâtral où mise en scène et scénographie se

Le Festival de la voixjoignent aux inspirations des trois acolytes. Pour créer le spectacle, deux théâtres partenaires permettent près d’un mois de résidence-création en Bretagne : le Pôle Culturel La Lucarne à Arradon (56) et le Centre Culturel La Chambre au Loup à Iffendic (35). Le spectacle « TRIWAP : Et si on s’en mêlait ?! » naît, travaillé et peaufiné sans relâche... Et le succès est aussitôt au rendez-vous ! Trois semaines à guichets fermés au Festival OFF d’Avignon (84) au Théâtre Les Ateliers d’Amphoux, qui entrainent aussitôt près de 20 dates de tournée, 2 prix du public - Festival Sable Show (14) et Festival d’Humour et de Création de Villard-de-Lans (38) -, une première date à l’étranger au gala d’ouverture du prestigieux Tigerpalast de Francfort devant un public allemand conquis, l’ouverture de saison du Théâtre Albert Camus à Maurepas (78), une participation au Festival Les Rigolades à Auxerre (89), et trois représentations - à nouveau complètes - dans les théâtres partenaires de la création. L’année 2012 s’achève par une série de 12 représentations à Paris dans le théâtre dirigé par Salomé Lelouch, le Ciné 13 Théâtre. Ce sont donc en 2012 plus de 40 représentations pour près de 5000 spectateurs.

En 2013, la tournée a débuté fin mars pour la 3e édition du Festival EverySing de Montlouis-sur-Loire (37), devant plus de 400 spectateurs, comme pour le Festival L’Humour des Notes à Haguenau (67) (festival ayant accueilli entre autres Le Quatuor, Voca People, ou Duel). Puis après la toute première date en Suisse, nouvel arrêt au Festival OFF d’Avignon (84), cette fois dans un théâtre plus grand - le Théâtre du Rempart - et nouvelle tournée 2013/2014. LES MUSICIENS Normand d’origine, EMMANUEL LANIÈCE commence le piano et le chant à la Maîtrise de Caen avec Robert Weddle, dès l’école primaire et jusqu’au lycée. Il poursuit ses études musicales à l’Université de Rennes 2 en musicologie et en piano jazz. Il est diplômé du C.F.M.I en 2006 et du Conservatoire de Rennes en direction de chœur, dans la classe de Régine Théodoresco, et en chant, dans la classe de Martine Surais, en 2009.


Pendant deux ans, il s’associe à l’équipe pédagogique au Centre de Musique Sacrée de Sainte-Anne d’Auray en tant que chef de chœur, assistant de Richard Quesnel. Il intervient également dans l’atelier de Ear training à l’American School of Modern Music de Paris. Parallèlement à ses études puis à son métier d’enseignant, il a toujours consacré une place importante aux projets sur scène. Attiré particulièrement par la musique vocale, il se produit en tant que soliste et choriste au sein de nombreuses formations aux styles éclectiques : comédie musicale, chanson française, ensemble de jazz, orchestre de variétés, mais également chœurs d’opéra, de musique sacrée et ensembles vocaux professionnels. On a pu le retrouver notamment enfant dans le rôle de Miles dans l’Opéra « The Turn of the Screw » de B.Britten au Théâtre de Caen, à l’Opéra de Rennes, à l’Opéra Comique et à l’Opéra de Lyon. Daniele dans l’oratorio « Daniele » de G.Carissimi. Depuis 2003, il est chanteur au sein des Chœurs de l’Opéra de Rennes et de l’ensemble vocal Mélisme(s) (dirigés par Gildas Pungier), mais aussi à la Maîtrise de Caen (dirigée par Olivier Obdebeck) et à la Maîtrise de Bretagne (dirigée par Jean-Michel Noël). Dans un registre plus scénique, il crée le duo cabaret-classique Cadrissimi avec Sabine Devieilhe et remporte le premier prix du « Tremplin Jeunes Talents d’Auray » en 2006 (organisé par Orphée-Théâtre)). En 2010, il rejoint la troupe des Ouh là là !! où il interprète le rôle d’un comédien-pianiste-chanteur dans « Le Cabaret du Chat Boiteux », pièce de théâtre musicale écrite par Souad Amidou, reprenant les grands standards des comédies musicales de Broadway. Il chante dans l’ensemble Egregor vocal (dirigé par Thomas Roulon), avec lequel il gagne le troisième prix du « Contest for Vocal Ensembles » de Tampere en Finlande, en 2011. Dans TRIWAP, tout lui plait ! Créer un nouveau style sur scène : 3 amis, 3 instrumentistes, 3 chanteurs, 3 comédiens, 3 sensibilités ! PIERRE LEBLANC commence à apprendre le piano puis se tourne à 8 ans vers le trombone au Conservatoire de Rennes. Il en sort à 16 ans et débute dans des orchestres symphoniques et big bands de la région. S’ensuivent des tournées en Allemagne, en Angleterre avec L’OJHB (Orchestre des Jeunes de Haute-Bretagne, direction Didier Roussel), avec lequel il aura l’occasion d’accompagner entre autres le pianiste concertiste allemand

Klaus Zoll, le violoniste Didier Lockwood, mais aussi le chanteur Hugues Aufray. Il s’associe à la création de groupes tels que Zamzam Experience (Sextet Acid Jazz), Tumbao Na’ Ma’ (Salsa métissée, enregistrement d’un cd 5 titres en 2004, avec le percussionniste cubain Nino Danger Escalante) et joue en première partie de Mr Roux, Ministère Magouille, Magic Malik Orchestra. Jusqu’en 2007, il participe à des projets et à des festivals dans l’Ouest, dans des formations telles que Ze Big Band (direction Fred Burgazzi, avec Pascal Salmon, Henri Jégou, arrangements du saxophoniste Ricky Ford), Les Vieilles Pies (Chanson Française), Faro’Kestra (Fusion Musique Bretonne & Jazz, enregistrement d’un CD 9 titres en 2007), Grand Groove Orchestra (Jazz Soul), Cante Iroko (Salsa). En 2008, il arrive à Paris et intègre le Jazz Big Works (Big Band). En 2009, il a l’occasion de jouer avec Grupo Mango (Salsa), et entre au Conservatoire de Noisiel en DEM Jazz dans la classe de Guy Figlionlos. En 2010, il joue avec Les Fonkfarons (Fanfare jazz/funk), Les Piétons Fous (Fanfare Dixieland), intègre en 2011 le New Orleans Swing Quintet (New Orleans) et accompagne des sessions de danse « Lindy Hop » dans des salles parisiennes comme La Machine du Moulin Rouge. Fin 2011, il enregistre sur le dernier album du groupe Tales and Remedies (Pop/Rock) mixé par Philippe Teissier Du Croc, et partage la scène avec les Salsos Positivos (Salsa colombienne). En 2013, il joue avec le Hot Sugar Band (New Orleans) lors de soirées « Charleston » à La Belleviloise (Paris), participe à la création du projet salsa Encuentro Místico autour du tromboniste panaméen Fernando McCatty, et joue avec le groupe de salsa parisien La Ocho Y Media. Le chant a toujours pris une place importante dans sa carrière, tantôt choriste en chanson française et salsa, tantôt chanteur-lead dans des formations comme Café con Leche (Salsa/Fusion), mais c’est avec TRIWAP depuis quelques années qu’il exprime le plus son goût pour les arrangements vocaux et la voix en général. Baigné dans un univers musical dès son enfance, MARTIN PAUVERT commence le violon au Conservatoire de Saint-Nazaire. Très vite, l’aspect vocal et polyphonique enchante ses inspirations pour la chanson. Au piano ou à la guitare, il accompagne son père violoniste, les différents groupes familiaux, ou


traverser les rues de New York en diagonale ; ces filles jouent et la température monte – c’est libre, sauvage et raffiné.Les chansons qu’elles composent ont des allures de standard, les chansons qu’elles reprennent semblent avoir été écrites pour elles ; et elles passent d’un registre à l’autre avec une aisance de sales gosses…Avec ces 3 filles là, la musique voyage, l’énergie déborde, le plaisir est contagieux…Claire Joseph : Guitare Baryton, Résonateur, Chant, Etreinte solaire. Skye : Guitare, Chant, Respiration tribale. Gaëlle Mievis : Batterie, Chant, Résonance incandescente.

SIRIUS PLAN, C’EST :

E CLAIRE JOSEPHAutour d’une voix qu’on boit comme l’eau d’une fontaine magique, Claire Joseph nous plonge dans les grands espaces, version Arizona. Les accents bruts des souffles et des guitares envoient mordre la poussière au galop.

E SKYEDes cordes frappées sur sa guitare jusqu’au rauque de sa voix, Skye nous attire vers le charnel, dans une énergie frontale, bouillante et lumineuse. Son groove a un goût tribal. Skye respire le blues et l’espoir.

E GAELLE MIEVISUn style trempé dans un marécage de la Nouvelle Orléans, des échos d’un vieux LeadBelly samplés sur des rythmiques franches et puissantes. Au-dessus de cette mêlée, la voix de Gaelle Mievis se pose là, rêche et caressante.

bien plus professionnellement, les «Rencontres Chorales» avec l’ADDM 44 (Association Départementale pour le Développement de la Musique). Au Conservatoire de Rennes, il étudie le jazz avec Pascal Salmon, Henri Jégou, Eric Richard en piano, puis Guillaume Robert en contrebasse. Après avoir obtenu son diplôme du C.F.M.I. à l’Université de Rennes 2, il enseigne pendant un an au Conservatoire de Rennes en tant que Musicien Intervenant, puis au Lycée Français Charles De Gaulle de Londres, en partenariat avec le Royal College of Music. Il joue dans des formations variées allant du trio au big band en passant par le quartet, et même la batucada (au surdo). En Angleterre comme en France, il explore différents styles musicaux avec divers groupes, notamment : le RnB et la Soul (New Cosy), la chanson humoristique (Les Bouches en Choeur) ou encore la salsa (Café con Leche). Passionné par la culture cubaine, il pratique et enseigne la danse salsa. Parallèlement, il monte plusieurs projets musicaux en IME (Institut Medico-Educatif), dans les écoles primaires, collèges, ou encore en formant les étudiants en musicologie à l’Université de Rennes 2. Suite aux projets réalisés dans le cadre de spectacles pour enfants, la comédienne et réalisatrice Judith Godrèche fait appel à lui pour la seconder sur la mise en scène du clip « Toutes les filles pleurent ». Il rejoint ses deux acolytes à Paris pour former TRIWAP, groupe dans lequel s’entremêlent pour la première fois de sa carrière, la musique, la danse et la mise en scène.

SIRIUS PLAN CES NANAS, ELLES VONT VOUS

BRÛLER LE SANG !

CONCERT LE 20 JUILLET 2014

Gaëlle est namuroise. Skye vient de Normandie. Claire est de Toulouse. Ensemble, elles forment un trio musical détonnant qui bouscule les scènes belges, françaises et … américaines. Mélange subtil de tendances blues – rock, les trois nanas de Sirius Plan ont déjà pas mal bourlingué.

3 ARTISTES, 3 UNIVERS, 3 VOIXUn girls band Old School qui casse les codes avec grâce. Si vous aviez envie de redéfinir le Rock et la Féminité, c’est ici et maintenant que ça se passe.Ces filles chantent, et leurs voix donnent envie de


La Ville d'AlèsMax ROUSTAN Maire d’Alès entre Jacky

Locks et Jean-Jacques Goldman en 2000.

Depuis quelques années, la Ville d’Alès est

un partenaire privilégié des Fous Chantants,

mettant à la disposition de l’événement toute

la logistique municipale, les équipes comme le

matériel.

SITUATION GÉOGRAPHIQUEDeuxième ville du Gard et Capitale des Cévennes, à 30 minutes de Nîmes, à 1 heure de Montpellier et du littoral, Alès bénéficie d’une situation géographique exceptionnelle, entre mer et montagne, sur les berges du Gardon.

LA POPULATIONAvec une population de 41 000 habitants, dans une agglomération de 70000 habitants, Alès joue un rôle économique et commercial majeur dans tout le nord du département et pour une partie de la Lozère et de l’Ardèche.Alès est une ville de 41 000 habitants en plein essor, mais qui a su garder tout le charme d’une ville moyenne. Sa vie culturelle et sportive y est très intense.

LES FESTIVITÉS S'Y SUCCÈDENT :E Feria de l’Ascension : 200 000 personnesE Festival de Cinéma Itinérances : 50 000 entrées, E Estiv’Alès et ses 30 concerts gratuits chaque soir, dans toute la ville (10 000 personnes)E Les Fous ChantantsE Carnav’Alès et feu d’artifice 30 000 personnesE La nuit des camisards du 23/07 au 21/08/2014 E Cratère Surfaces : Arts de la Rue - 15 000 spectateurs

SES ÉQUIPEMENTS ACCUEILLENTUN PUBLIC NOMBREUX :E Pôle mécaniqueE Scène nationale du Cratère ThéâtreE MédiathèqueE Musée d’Art contemporain PAB


Témoignages d'artistesJean FERRAT : «Je repense souvent à cette soirée que vous m’avez offerte et je peux vous dire qu’elle a frappé là où il fallait»

Georges MOUSTAKI : «Je suis arrivé tout neuf à Alès et je suis heureux d’avoir fait connaissance avec les choristes, avec le lieu et avec l’évènement lui-même et je crois que plus ce sera surprenant plus ce sera important»Jean-Jacques GOLDMAN : «1000 choristes, c’est unique, un de ces moments miraculeux, où l’on touche quelque chose de surhumain»Claude NOUGARO : «Je suis très heureux et honoré d’être là. Je suis né du chant choral, de la voix humaine…»Laurent VOULZY :«Je ne suis pas là par hasard…. Cela fait longtemps que j’attendais de venir, j’en rêvais….J’étais extrèmement ému d’entendre toutes mes chansons si bien chantées et si bien harmonisées….je le prends comme un cadeau»William SHELLER : «Je voulais vous dire, c’est très simple, c’est pour des choses comme vous, c’est-à-dire des phénomènes comme le votre, ce que vous représentez que je fais de la musique… Alors croyez-moi, je suis très heurex ce soir, vous m’avez donné un souvenir que je n’oublierai jamais, franchement…»

POURQUOI LES ARÈNES D'ALÈS ?Jacky Locks, directeur artistique :«Le lieu fait l’unanimité, tout le monde a reconnu que le cadre était propice au spectacle : l’acoustique hors pair,[…], la proximité avec les 1 000 voix des choristes […].C’est une ambiance intimiste qu’il faut absolument conserver!»

Jean-Marie Quiot, ancien Président du Grand Chœur Languedoc Chansons :« Le public ne s’y trompe pas. Le frisson est là dès la première note. C’est pourquoi nous avons décidé de faire la soirée Hommage dans les arènes du Temperas. Cela s’inscrit toujours dans notre volonté de privilégier les rapports humains plutôt que le show ».

Jean FERRAT

Jean-Jacques Goldman

Claude Nougaro

Laurent Voulzy

William Sheller

Georges Moustaki


Les Fous Chantants sont soutenus par

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Au Bureau AlèsLes Plans MialetSEEB Saint-Christol-lez-AlèsFORD Maurel AlèsAgniel Tissus AlèsSPIE AlèsElectronique services AlèsMaison de la musique AlèsSGROUPArt Étincelle AlèsLAFONT Saint-Christol-lez-AlèsDelta location Nîmes/AvignonM/ Bricolage AlèsCoiffure Marie-Josée St-Christol-lez-AlèsHôtel 1ère Classe AlèsVEO AlèsRhône Cévennes Ingénierie AlèsPneus Rouveyran St-Hilaire-de-Brethmas/AlèsDELTOUR Hôtel AlèsLezan AmbulanceOpticiens Griselin AlèsSRC ThoirasHenri LEYGUE ThoirasIKKS AlèsScottage Alès


Autoroute• par l’A7: axes Paris-Marseille et Paris-Montpellier : échangeur à Bollène, à 70 km.• par l’A9 : axes Nice-Bordeaux : échangeur à Nîmes-Ouest, à 40 km.

Aéroports• Nîmes-Garons à 45 mn • Montpellier-Fréjorgues à 60 mn.• Alès-Deaux (aviation loisirs et affaires) à 10 km du centre-ville.

Lignes ferroviaires• Paris-Nîmes en TGV (3 heures) puis correspondance Nîmes-Alès.• Clermont Ferrand-Alès-Nîmes.• Bordeaux-Nîmes-Alès.• Nice-Nîmes-Alès.

Comment se rendre à Alès ?

Mise en page : Les Fous chantants - Juillet 2014 Crédits Photos ©DR et DAN le fotograf : 04 66 56 67 38 - 06 27 86 42 17 [email protected]

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