Dossier de presse...1 L'Index Phytosanitaire, le fleuron des éditions de l'ACTA Si l'Index...

17
Dossier de presse

Transcript of Dossier de presse...1 L'Index Phytosanitaire, le fleuron des éditions de l'ACTA Si l'Index...

  • Dossier de presse

  • Sommaire

    • L'index phytosanitaire ACTA, le fleuron des éditions de l'ACTA 1-3

    • L'index phytosanitaire ACTA : depuis 50 ans une réponse au besoin d’informations techniques 4-5 des agriculteurs

    • L'index phytosanitaire ACTA et la prévention des risques phytopharmaceutiques 6-7 pour les utilisateurs

    • L'index phytosanitaire ACTA et la préservation des abeilles dans l'environnement 8-9

    • L'index phytosanitaire ACTA : avis d'experts des instituts techniques agricoles et d'utilisateurs 10-11 de terrain

    • Communiqué de presse Index 2014 12

    • Remerciements 13-14

    Contacts presse :

    Marie-Christine Sela-Paternelle - courriel : [email protected], tél. : 06 25 78 28 39

    Anne-Marie Paulais - courriel : [email protected], tél. : 06 42 41 52 77

    Contacts technique : ingénieures en charge de l'Index phytosanitaire

    Alice Baudet - courriel : [email protected], tél : 01 40 04 50 58

    Violaine Lejeune – courriel : [email protected], tél : 01 40 04 50 55

    www.acta.asso.fr

  • 1

    L'Index Phytosanitaire, le fleuron des éditions de l'ACTA

    Si l'Index Phytosanitaire ACTA est unanimement considéré comme l'incontournable ouvrage de référence de la protection des plantes, c'est parce qu'il rassemble en un seul document un ensemble d'informations essentielles vérifiées chaque année pour toute nouvelle édition.

    Une somme d'informations vérifiées et remises à jour chaque année

    L'Index Phytosanitaire ACTA n'est pas seulement un répertoire de produits phytopharmaceutiques avec leur description (concentration, code formulation, classement toxicologique, etc.). Il contient plus largement tout un ensemble d'informations utiles pour la protection des cultures :

    - Les informations de base sur la protection des plantes (pages avec un liseré vert) ;

    - La liste des substances actives réparties en six grands chapitres : insecticides/acaricides, fongicides, associations, herbicides, moyens biologiques, produits divers. Pour les insecticides, fongicides et herbicides, une classification chimique est donnée en tête de chapitre ; elle peut être utile pour prévenir les phénomènes de résistance. Pour chaque substance, des indications toxicologiques vérifiées sur Agritox sont mentionnées (pages avec onglets verts). Par substance active, les utilisations (usages homologués) sont indiquées par spécialité commerciale ;

    - Et, en fin d'ouvrage :

    • les teneurs maximales en résidus classées par substance active (pages fuchsia), • trois listes permettant de retrouver un produit :

    o par culture ou par usage (pages vertes), o par spécialités commerciales (pages jaunes), o par substance active ou association (pages orange).

    La partie réglementaire, point fort de l'Index Phytosanitaire ACTA.

    Parmi les points forts de l'Index Phytosanitaire ACTA, la partie réglementaire apporte une synthèse d'informations qui n'existe nulle part ailleurs. Elle est le fruit d'une veille auprès du journal Officiel de la République française et du bulletin officiel du ministère de l’agriculture ; du suivi de l'actualité sur les questions de transport, de stockage et de gestion des déchets (emballages vides) et des produits phytopharmaceutiques non utilisables ; d'une mise à jour de la liste des substances actives à usage phytosanitaire ou biocide autorisées ou radiées au niveau européen (veille journal officiel de la Commission européenne). Cette partie donne aussi les bases de la protection des plantes et liste notamment des outils d'aide à la décision proposés par les instituts techniques agricoles. Elle indique comment savoir lire une étiquette et donne quelques définitions et adresses utiles. Signe des temps, elle ne cesse de prendre de l'importance en lien avec l'alourdissement de la réglementation.

    L'Index Phytosanitaire ACTA recense l'ensemble des moyens biologiques

    Bien connu pour ses listes de substances phytopharmaceutiques homologuées, l'Index Phytosanitaire ACTA recense également l'ensemble des auxiliaires de lutte biologique commercialisés : entomophages-acarophages, préparations bactériennes, préparations fongiques, préparations virales, médiateurs chimiques mais aussi stimulateurs de défense naturelle.

    Vers de nouvelles prestations et webservices

    Cette 50ème édition papier est la première issue de la nouvelle application Web Phyto ACTA. À terme, cette base de données relationnelle permettra de poursuivre l'impression de l'ouvrage papier, de mettre à jour les informations au fil de l'eau et notamment d'y inclure de nouvelles données. Mais elle permettra aussi de créer de nouveaux services pour aider les agriculteurs, conseillers (etc.) à mieux raisonner la protection des cultures.

  • 2

    Ils l'ont dit

    Jean-Pierre Darvogne, directeur général de l'ACTA, le réseau des instituts des filières

    animales et végétales DR

    « Depuis sa création en 1956, l’ACTA, le réseau des instituts des filières animales et végétales est un acteur-clé du

    dispositif français de recherche appliquée au service de la double performance économique et écologique des

    entreprises agricoles et agro-industrielles. Aujourd'hui, l'activité de l'ACTA s'ouvre de plus en plus à des partenariats

    renforcés avec de nombreux organismes de recherche et de développement. Les éditions, prolongement naturel et

    visible du travail de nos experts témoignent de cette ouverture.

    Cette année, nous sommes fiers de célébrer la 50ème

    édition de l’Index Phytosanitaire ACTA, fleuron de notre activité

    éditoriale dans le domaine de la protection des plantes.

    Ouvrage de référence unanimement reconnu pour son indépendance et la fiabilité de ses données, il présente la

    totalité des substances actives homologuées et commercialisées en France.

    En évolution constante, il s'enrichit à chaque édition. D'ores et déjà, l'ACTA prépare l'avenir en rénovant complètement

    la base de données informatique des produits de protection des plantes et en imaginant de nouveaux services Web

    pour nos partenaires.

    Dans le cadre du plan Écophyto, l'Index Phytosanitaire ACTA est un outil incontournable pour les techniciens,

    les prescripteurs et les agriculteurs qui trouvent dans cet ouvrage, un guide indispensable pour choisir et utiliser au

    mieux des produits phytopharmaceutiques dans le cadre de la protection intégrée des cultures ».

    Philippe Vissac, directeur adjoint de l'ACTA, en charge des questions scientifiques,

    techniques et internationales. DR

    « La 50ème

    édition de l'Index phytosanitaire ACTA marque le début d'une nouvelle ère pour l'ACTA et pour le réseau des

    instituts techniques agricoles. En effet, depuis deux ans, nous travaillons sur une base de données relationnelle,

    l’application Web Phyto ACTA qui permettra, non seulement de poursuivre l'édition papier avec la possibilité de mise à

    jour en continu, mais aussi, de développer avec nos partenaires de la recherche publique ou privée, des webservices qui

    enrichiront l'offre de services aux agriculteurs afin de mieux intégrer le raisonnement agronomique. En écho aux

    attentes de la société, à l'heure où le ministre de l'agriculture invite à l'agro-écologie, il faut donner aux agriculteurs le

    moyen de raisonner l'emploi des produits phytosanitaires. L’application Web Phyto ACTA associée à l'ouvrage papier

    facilitera l'accompagnement des producteurs dans les changements de pratiques et de systèmes. Pour tous les

    professionnels de la recherche publique ou privée ou du développement, elle permettra de faire évoluer le

    raisonnement agronomique en tendant vers la protection intégrée des cultures. C'est le fil rouge pour éviter les écarts

    de conduite phytosanitaire ».

  • 3

    Alice Baudet et Violaine Lejeune, ingénieures en charge de l'Index

    phytosanitaire à l'ACTA. DR

    « L'Index Phytosanitaire ACTA est une plate-forme d'informations multi-sources. Il recense les produits phytosanitaires,

    les biocides et les moyens alternatifs. Chaque année, une mise à jour est réalisée avec l'aide des entreprises de la

    protection des plantes. L'ACTA assure la coordination et la vérification des informations. La partie réglementaire est

    élaborée à partir de la veille des journaux officiels de la République française et de la Commission européenne ainsi que

    la collaboration d'experts, par exemple, pour les outils d'aide à la décision des Instituts techniques agricoles ou la

    gestion des déchets des produits phytopharmaceutiques. À 50 ans, l'Index Phytosanitaire ACTA continue de s'enrichir

    des nouvelles normes réglementaires. Il contient également des informations utiles pour les applicateurs telles que :

    • les organismes de bonnes pratiques de laboratoire et d'expérimentation, • les outils d'aide à la décision des Instituts techniques agricoles, • les organismes de gestion des déchets (emballages vides ou produits non utilisables), • les prestataires pour la mise en œuvre des bonnes pratiques (fabricants/distributeurs de moyens de stockage,

    fabricants d’équipement de protection individuel, distributeurs de pulvérisateurs, de buses anti-dérive,

    procédés de traitement des effluents phytosanitaires, jachères et couverts végétaux) ».

    Marie-Christine Sela-Paternelle, chef du service valorisation-édition-diffusion de l'ACTA

    DR

    « L'index phytosanitaire de l'ACTA est imprimé à plus de 20 000 exemplaires et reste reconnu et incontournable sur le

    terrain. Cet ouvrage est au cœur de la collection des éditions techniques de référence de l’ACTA. Il vient en complément

    du Guide pratique de défense des cultures, du guide des Mauvaises herbes des cultures, du guide pratique Protection

    intégrée des cultures récemment coédité avec les éditions France Agricole et coordonné par l’AFFP, du Recueil des

    effets non intentionnels des produits phytosanitaires ou encore du guide pratique sur les Auxiliaires des cultures

    actuellement en cours de ré-édition…

    Dès 1991, l’ACTA a développé une version numérique sous CD-ROM, PhytActa, qui a été éditée annuellement jusqu'à

    plus de 2500 exemplaires. Et aujourd'hui, avec les instituts techniques agricoles, nous souhaitons mieux valoriser notre

    base de données de produits phytopharmaceutiques et d'auxiliaires de lutte biologique Web Phyto ACTA et encourager

    la mise en pratique de la protection intégrée des cultures pour une agriculture durable doublement performante

    économiquement et vis-à-vis de l’environnement ».

    L'Index Phytosanitaire ACTA en chiffres, La 50ème édition de l'Index Phytosanitaire ACTA 2014 a été imprimée en 23 000 exemplaires, elle comporte 956 pages, elle pèse 1150 g, elle recense 400 substances actives, 70 auxiliaires de lutte biologique commercialisés et environ 2500 spécialités commerciales, provenant de 135 entreprises de protection des cultures.

    Contacts :

    Alice Baudet : [email protected] Violaine Lejeune : [email protected] Marie-Christine Sela-Paternelle : [email protected] Philippe Vissac : [email protected]

  • 4

    L'index phytosanitaire ACTA : depuis 50 ans une réponse au besoin d’informations

    techniques des agriculteurs

    Au lendemain de la première guerre mondiale, les produits de protection des plantes sont pour la plupart

    des substances minérales destinées à sauvegarder les cultures pérennes et les productions légumières de

    l’action préjudiciable de maladies cryptogamiques ou d’insectes ravageurs. La mise en marché des

    antiparasitaires est alors un secteur peu encadré, avec de fréquents aléas dans la qualité ou le titre des

    fabrications, sans parler des fraudes... En l’absence d’un réseau dense de conseillers, l’essentiel de

    l’information technique des utilisateurs se fait au travers de conférences ou de manuels de vulgarisation

    rédigés par des chercheurs, de brochures ou de notices diffusées par des associations ou des industriels.

    Bien sûr, l’avertissement agricole adressé par voie postale, ancêtre du BSV (Bulletin de santé du végétal),

    existe déjà. Mais il est surtout diffusé dans les zones viticoles et ne concerne guère les grandes cultures, pas

    plus que le désherbage sélectif.

    Le Professeur Pierre Viala, un des scientifiques ayant sauvé la vigne du phylloxéra, défend alors une idée

    simple : seul ou aidé d’un technicien, l’agriculteur doit être capable, s’il constate des désordres sur une

    culture de son exploitation, d’en cerner rapidement la cause (accident, carence, affection parasitaire…) et,

    s’il y a lieu, de choisir rapidement le moyen le plus appropriée pour y faire face. En 1934, c’est lui qui

    rassemble un groupe de spécialistes réputés dont les contributions donnent naissance au Guide pratique

    pour la défense sanitaire des végétaux. Le succès de l’ouvrage est immédiat avec des éditions en 1937,

    1938 puis 1944. Il se présente comme un guide de reconnaissance par culture des principales altérations

    d’ordre physiologique ou parasitaire et propose un ensemble de moyens culturaux, physiques, chimiques et

    biologiques destinés à les maîtriser.

    1961 : année du renouveau

    En 1956, année de la création de l’ACTA, le monde de la santé végétale évolue rapidement avec l’activité

    des instances d’homologation, la mise en marché de dizaines de nouvelles substances actives de synthèse

    et de centaines de préparations phytosanitaires. Or, les attentes des agriculteurs et des conseillers n’ont

    guère varié depuis le temps de Viala. Pour les fédérations départementales des groupements de protection

    des cultures et les associations professionnelles adhérant à l’ACTA, il est urgent de répertorier l’ensemble

    des matières actives et des spécialités commerciales correspondantes. C’est ainsi que le premier Index

    phytosanitaire moderne voit le jour en 1961, coédité par l’ACTA et la FNGPC (Fédération nationale des

    groupements de protection des cultures) .

    Son but est d’abord de répertorier, décrire et classifier les moyens de lutte chimique autorisés en fonction

    de leurs caractéristiques les plus utiles : nature des substances actives, nom et titre des préparations,

    usages et doses autorisés. A partir de 1965, des informations sur la toxicologie apparaissent et s’étoffent

    progressivement ; suivent des répertoires d’adresses utiles, la mise à jour des classifications, la liste des

    firmes détentrices de brevets…

    La confection de l’ouvrage reste cependant un exercice difficile et certaines années, la parution est

    impossible. A partir de 1974 (11ème

    édition), l’ACTA assure la totalité des travaux d’élaboration dont la

    procédure atteint sa maturité en 1977 (13ème

    édition). Dorénavant, il n’y aura plus d’année sans Index.

  • 5

    Un outil devenu indispensable

    Toutes les rubriques ont évolué d’une façon considérable. Au premier chef, la présentation des substances

    actives dont les propriétés et les usages sont renseignés d’une manière de plus en plus approfondie, selon

    les transformations des nomenclatures, des classifications, des codifications et l’évolution rapide des textes

    nationaux ou européens dont il faut intégrer les subtilités pour un lectorat élargi. Parmi les améliorations

    remarquables :

    1991 : naissance d’une version informatique sous MS-DOS.

    1992 : édition spéciale pour les produits de traitement jardins.

    1994 : nouvelle rubrique consacrée aux moyens biologiques.

    2001 : apparition des listes d’installations BPL et d’organismes d’expérimentation en mesure de réaliser des

    essais officiellement reconnus.

    2004 : les LMR sont regroupées en fin d’ouvrage sous la forme d’un tableau, et essor de la version logiciel

    PhytActa.

    Sans oublier la partie proprement réglementaire de l’Index passée de six pages en 1974 à plus de soixante-

    dix pages en 2013.

    Gérer la complexité pour améliorer la décision était l’un des buts initiaux de l’Index phytosanitaire. Parvenu

    à sa cinquantième édition, on constate que cet objectif a été rempli, à la grande satisfaction des utilisateurs

    qui depuis 1961, n’ont cessé de le plébisciter.

    Il l'a dit

    Jean-Louis Bernard, correspondant à l'Académie d'Agriculture de France

    DR

    « L'Index phytosanitaire ACTA a une histoire très riche, elle est caractéristique du besoin d'information technique

    ressenti par les agriculteurs dans les années 20 à 30. A cette époque, Pierre Viala, connu pour avoir sauvé la vigne du

    phylloxéra a essayé de répondre à cette attente en réunissant un groupe de spécialistes. L'objectif était de renseigner

    au quotidien les agriculteurs sur les phénomènes rencontrés sur le terrain et de les aider à y porter remède. De cette

    réunion de spécialistes est né le guide pratique de défense des cultures, petit ouvrage paru en 1937, ancêtre de l'Index

    phytosanitaire ACTA. Ce besoin d'information technique existe toujours aujourd'hui ».

    Contact :

    Marie-Christine Sela-Paternelle : [email protected]

  • 6

    L'Index phytosanitaire ACTA et la prévention des risques phytopharmaceutiques

    pour les utilisateurs

    Une étude de l'ACTA sur la réalité des conditions de travail sur le terrain

    Sur la question de la prévention des risques pour les utilisateurs de produits phytopharmaceutiques,

    l’ACTA, le réseau des instituts des filières animales et végétales, conduit actuellement une étude

    d’observation des situations réelles de travail. Il s'agit de déterminer précisément comment les produits

    sont utilisés, mis en œuvre, transformés, travaillés, dans quelles conditions (température, pression…),

    par quels procédés et avec quels risques d'exposition. Certaines conditions de stockage de produits,

    de matériaux ou de déchets peuvent en effet conduire à des expositions : fuites d’un conditionnement,

    émanations, vieillissement ou dégradation, décomposition avec dégagement gazeux. Toutes les opérations

    connexes (entretien, maintenance, nettoyage, gestion des déchets...) sont également analysées même

    si l'étude est centrée sur la phase de préparation (du déstockage au départ en application).

    Ce travail aboutira à des recommandations en matière de conception des lieux de travail ou outils et

    matériels permettant de réduire l’exposition. Elles seront consignées dans des fiches pratiques adaptées

    aux différents contextes (cultures hautes, cultures sous abris, cultures basses, locaux de stockage, locaux

    d’élevage).

    Le certificat individuel pour l’usage des produits phytopharmaceutiques

    Créé en 2009 dans le cadre du plan Écophyto 2018, le certificat individuel pour l’usage des produits

    phytopharmaceutiques, ancien «Certiphyto» est exigé pour les agriculteurs, salariés agricoles, personnels

    des collectivités territoriales, techniciens de coopératives ou négoces, employés d’organismes de conseils.

    Il est obligatoire à compter du 1er octobre 2013 pour les personnes concernées par les catégories «mise en

    vente, vente des produits phytopharmaceutiques », « conseil à l’utilisation des produits

    phytopharmaceutiques » et « application de produits phytopharmaceutiques en prestation de service ».

    Pour les catégories « décideur et opérateur en exploitation agricole », il sera exigible au 1er octobre 2014.

    Globalement, les connaissances nécessaires pour l’obtention du certificat individuel concernent

    la réglementation, la prévention des risques pour la santé et l’environnement, les stratégies visant à limiter

    le recours aux produits phytopharmaceutiques grâce aux techniques alternatives et l’évaluation

    comparative de l’utilisation des produits. Un certain nombre d'organismes de formation s'appuient sur

    l'Index phytosanitaire ACTA pour dispenser leur formation.

    Une action de sensibilisation de toute la filière adaptée aux réalités du métier d’agriculteur

    Depuis 60 ans, la sécurité des produits phytosanitaires n'a cessé de s'améliorer. Mais ce travail serait vain

    si, en parallèle, les utilisateurs ne mettaient pas tout en œuvre pour réduire leur exposition à ces produits.

    Après trois campagnes de communication en 2010, 2011 et 2012 centrées sur la protection des mains,

    la protection des yeux et l’hygiène, la filière* poursuit, depuis début mars 2013, une action de

    sensibilisation en renforçant les outils de communication existants et en créant de nouveaux : 80 000

    nouveaux dépliants et affiches ont été distribués sur le terrain (230 000 au total depuis le lancement de

    cette action de sensibilisation), et les messages diffusés via un plan média à destination de la presse

    agricole. Des autocollants ont également été remis, à apposer au-dessus des aires de lavage, pour faciliter

    l’adoption des bons gestes d’hygiène.

  • 7

    Mais la principale nouveauté est la création d’une plateforme internet, intitulée www.phytoprevention.fr.

    Les agriculteurs, pleinement acteurs de cet effort de prévention du risque phytopharmaceutique, peuvent

    télécharger et partager des bannières, des visuels, du contenu, etc. pour faire vivre cette campagne au-delà

    du temps de communication qui lui est consacré.

    *Principaux partenaires : Adivalor, les Chambres d’agriculture, Coop de France, FARRE (Forum de

    l’Agriculture Raisonnée Respectueuse de l’Environnement), FNA (Fédération du Négoce Agricole), FNSEA

    (Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles), InVivo, JA (Jeunes Agriculteurs) et l’UIPP

    (Union des Industries de la Protection des Plantes)

    Elle l'a dit

    Eugénia Pommaret, directrice générale de l'UIPP, l'Union des Industries de la

    Protection des Plantes.

    DR

    « Bravo pour la longévité, tenir 50 ans montre que ce guide est vraiment une référence incontournable dans les

    domaines technique et réglementaire. Nos adhérents contribuent chaque année à son élaboration et à l'actualisation

    de l'information. Sur les étiquettes des produits comme dans l'Index phytosanitaire ACTA, les utilisateurs peuvent prendre connaissance de toutes les informations réglementaires dont celles en lien avec leur sécurité. Nous avons

    choisi la 50ème

    édition de l'Index phytosanitaire ACTA pour communiquer sur la campagne de risques pour les utilisateurs conduite en partenariat avec la profession agricole ».

    Contact :

    Philippe Delval: [email protected]

  • 8

    L'Index phytosanitaire ACTA et la préservation des abeilles dans l'environnement

    En butinant de fleur en fleur, les insectes pollinisateurs participent à la production de nombreuses cultures.

    À l’échelle mondiale, 80 % des plantes à fleurs se reproduisent grâce à ces insectes auxiliaires, en particulier

    aux abeilles. Enjeu majeur, la préservation de la santé des insectes pollinisateurs passe notamment par une

    stricte mesure des effets potentiels des produits phytopharmaceutiques et leur utilisation raisonnée.

    Connaître les risques d'intoxication des abeilles avant de traiter

    Les professionnels de la production végétale et du paysage doivent impérativement connaître l'écotoxicité

    des produits phytosanitaires avant de les appliquer sur les cultures ou les zones non agricoles. La règle de

    base consiste à lire l'étiquette du produit figurant sur l’emballage (classement toxicologique, phrases de

    risque correspondantes). En complément, il est possible de consulter les fiches de données de sécurité des

    produits phytopharmaceutiques. Dorénavant, la mention « abeilles » est précisée au niveau de chaque

    usage des produits phytosanitaires, elle sera référencée dans la base Web Phyto ACTA.

    Sur Internet, on peut aussi consulter le catalogue des produits phytopharmaceutiques et de leurs

    usages autorisés en France "e-phy", dans lequel figure une rubrique appelée EcoAcs sur les effets non

    intentionnels sur les auxiliaires biologiques, dont l'abeille domestique. Enfin, la base Agritox

    renseigne sur les principales propriétés de « dangers » des substances actives.

    (www.dive.afssa.fr/agritox/index.php).

    Source : Note nationale BSV "Les abeilles, des alliées pour nos cultures : protégeons-les

    Une utilisation très encadrée en période de floraison, la mention « abeilles »

    L'Index phytosanitaire ACTA rappelle en début d’ouvrage les principes de la réglementation sur l'emploi des

    produits phytosanitaires et la protection des abeilles.

    L’arrêté du 28 novembre 2003, paru au Journal Officiel du 30 mars 2004, interdit tout emploi

    d’insecticides ou d’acaricides en période de floraison ou de production d’exsudats afin de protéger les

    abeilles et autres insectes pollinisateurs.

    Par dérogation, l’emploi d’insecticides et acaricides en période de floraison ou de production d’exsudats est

    cependant possible dès lors que deux conditions sont respectées :

    1. L’intervention a lieu en dehors des périodes de butinage, c'est-à dire tard le soir (de préférence) ou tôt le

    matin.

    2. Le produit insecticide ou acaricide employé bénéficie d’une mention « abeilles ».

    L’arrêté définit en effet trois types de mention « abeilles » pouvant être attribuées aux insecticides ou

    acaricides :

    - « Emploi autorisé durant la floraison en dehors de la présence d’abeilles ».

    - « Emploi autorisé au cours de périodes de production d’exsudats, en dehors de la présence d’abeilles » ;

    - « Emploi autorisé durant la floraison et au cours des périodes de production d’exsudats, en dehors de la

    présence d’abeilles ».

  • 9

    L'arrêté interministériel du 12 septembre 2006 impose aux applicateurs (professionnels agricoles,

    personnel des collectivités, particuliers) de mettre en œuvre des moyens appropriés pour éviter tout

    entraînement des produits phytopharmaceutiques en dehors des parcelles ou des zones traitées,

    notamment vers les ruches et ruchers.

    L'arrêté interministériel du 13 janvier 2009 précise les conditions d'enrobage et d'utilisation des semences

    traitées par des produits phytopharmaceutiques en vue de limiter l'émission des poussières lors du procédé

    de traitement en usine.

    Mélanges de produits phytopharmaceutiques dangereux pour les abeilles

    L'association de certaines molécules à visée phytopharmaceutique peut faire courir un risque important

    aux pollinisateurs (synergies possibles). L’arrêté ministériel du 7 avril 2010 prévoit dans son article 8 : que

    « durant la floraison ou au cours des périodes de production d'exsudats, au sens de l'article 1er de l'arrêté

    du 28 novembre 2003, un délai de 24 heures doit être respecté entre l'application d'un produit contenant

    une substance active appartenant à la famille chimique des pyréthrinoïdes et l'application d'un produit

    contenant une substance active appartenant aux familles chimiques des triazoles ou des imidazoles. Dans

    ce cas, le produit de la famille des pyréthrinoïdes est obligatoirement appliqué en premier ». Les mélanges

    extemporanés de pyréthrinoïdes avec triazoles/imidazoles sont donc interdits en période de floraison

    et d'exsudation de miellat par les pucerons.

    Il l'a dit

    Axel Decourtye, écotoxicologue à l’ACTA et animateur de l'unité mixte technologique

    PrADE (Protection des abeilles dans l'environnement)

    DR

    « Les abeilles jouent un rôle important en agriculture car elles assurent la pollinisation de nombreuses

    cultures. On estime qu'un tiers de notre alimentation provient de plantes qui dépendent d'insectes

    pollinisateurs et notamment des abeilles. Avant de mettre un nouveau produit phytosanitaire sur le marché,

    une entreprise doit s'assurer que l’usage du produit n’entraîne pas de risque pour les abeilles.

    Les procédures d’évaluation du risque sont en cours d’amélioration. La réglementation définit un usage

    très encadré des produits phytosanitaires, elle interdit notamment leur usage au moment de la floraison.

    C'est une réglementation par défaut ; par dérogation, on peut utiliser un produit sur les fleurs grâce

    à la mention abeille autorisée sur culture et sur adventice. Avant d'utiliser un produit, l'applicateur

    doit vérifier s'il peut l'appliquer sur les plantes pendant la floraison en dehors de la présence

    des butineuses ».

    Contact :

    Axel Decourtye : [email protected]

  • 10

    L'index phytosanitaire ACTA : avis d’experts des instituts techniques agricoles (ITA)

    et d’utilisateurs de terrain

    Ils l'ont dit

    • avis d'experts des instituts techniques agricoles

    Nathalie Verjux, chef du service génétique, physiologie et protection des plantes chez

    ARVALIS-Institut du végétal

    DR

    « À 50 ans, l'index phytosanitaire ACTA ne fait pas son âge. Pour ARVALIS-institut du végétal, c'est une institution,

    un document de référence qui trône sur de nombreux bureaux des personnes concernées par la protection des cultures

    : techniciens d'expérimentation, responsables de protocole, responsables d'équipe. Tous les ans, ARVALIS-institut du

    végétal acquiert entre 50 et 70 exemplaires de l'Index phytosanitaire ACTA, certains en font collection depuis 1987.

    Avec l'âge, l'Index phytosanitaire ACTA a pris du poids non pas parce qu'il y a plus de substances actives, en fait, il y en

    a plutôt moins mais si l'index est plus volumineux c'est parce que la partie réglementaire s'est étoffée ».

    Bernard Molot, ingénieur spécialiste de la protection intégrée à l'Institut français de la

    vigne et du vin (IFV)

    DR

    « À l'heure d'Internet, l'Index phytosanitaire ACTA dans sa forme actuelle, c'est à dire en tant qu'ouvrage "papier",

    reste le moyen d'avoir très facilement sous la main tous les renseignements concernant l'arsenal phytosanitaire une

    année donnée en France : la composition des molécules, les phases de risque, les délais avant la récolte,

    les homologations, les usages. Pour avoir le même nombre d'informations sur Internet, il faut surfer sur un grand

    nombre de sites. Depuis 30 ans, l’information sur les produits phytosanitaires est devenue plus complexe avec

    l'apparition des délais avant récolte, des zones non traitées et plus généralement, de toute la réglementation qui

    encadre l'usage des produits phytosanitaires. Cette partie de l'ouvrage a considérablement augmenté ».

    Henri Pluvinage, président du Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes

    (CTIFL) et arboriculteur

    DR

    « Pour le producteur de fruits et légumes, l'Index phytosanitaire ACTA est l'outil de référence pour connaître les

    conditions d'utilisation des produits phytopharmaceutiques pour protéger ses cultures mais aussi pour utiliser au mieux

    les nouvelles techniques alternatives dans le cadre de la production fruitière intégrée. Par exemple, pour savoir

    comment utiliser tel ou tel organisme que l'on introduit dans la culture ou les conditions d'implantation de telle ou telle

    flore qui va permettre de maintenir un écosystème satisfaisant sur le plan sanitaire et qui ne pénalise pas trop la

    production sur le plan économique ».

  • 11

    • avis d'utilisateurs de terrain

    Damien Vanhalst, agriculteur à Houdan (Yvelines)

    DR

    « L'Index phytosanitaire ACTA me sert à définir mes commandes, à connaître les spectres d'action des différents

    produits. Il nous sert à bien définir la dose homologuée en fonction de la concentration des produits car aujourd'hui,

    pour un même produit, on a différentes concentrations et des délais avant récolte ».

    Jean-François Roulois, conseiller cultures à Sodem et Marchais (Eure-et-Loir)

    DR

    « L'index phytosanitaire ACTA nous sert au quotidien que ce soit au niveau des substances actives, des familles

    chimiques, pour la comparaison de produits concurrents qui ont souvent les mêmes substances actives sous un libellé

    différent ».

    Pour en savoir plus sur la protection des plantes :

    www.ecophytopic.fr

    www.grandes-cultures.ecophytopic.fr

    www.arboriculture.ecophytopic.fr

    www.cultures-legumieres.ecophytopic.fr

    www.viticulture.ecophytopic.fr

    www.horti-ppam.ecophytopic.fr

    www.uipp.org

    www.ibma-global.org

  • 12

    Communiqué de presse

    «INDEX PHYTOSANITAIRE ACTA 2014», 50ème édition de l’ouvrage reconnu

    par tous les professionnels de la protection des plantes

    Cette 50ème édition de l’index phytosanitaire ACTA reprend les grands principes de la protection des plantes et présente la totalité des substances actives homologuées et commercialisées en France. Cet ouvrage est la référence en matière de connaissance et d’utilisation des produits phytopharmaceutiques. Les substances actives décrites (composition, toxicité de la molécule, utilisation et conditions d'emploi des produits...) sont réparties en 6 chapitres : insecticides et acaricides, fongicides, associations, herbicides, moyens biologiques, produits divers (nématicides, rodenticides, molluscicides, taupicides...). L’ouvrage propose :

    • deux répertoires alphabétiques d’environ 400 substances actives, 70 moyens biologiques et environ 2500 spécialités commerciales.

    • la liste complète des autorisations par culture et par usage (liste « verte »), • la liste des installations d'essais "BPL" et des organismes d'expérimentation "BPE", • une rubrique dédiée aux Bonnes Pratiques Phytosanitaires concernant le stockage, la protection

    individuelle, les traitements des effluents phytosanitaires… ; • un point sur l’actualité réglementaire*

    Les teneurs maximales en résidus (liste « fuchsia »)**. • les outils d’aide à la décision (OAD) des Instituts techniques agricoles.

    Conçu pour les techniciens, les prescripteurs, les agriculteurs, ce livre est l’outil indispensable pour le choix et l’utilisation des produits phytopharmaceutiques dans le cadre d’une agriculture durable et du plan ÉCOPHYTO.

    En 2013, l’ACTA a complètement rénové sa base de données et la version logiciel PhytActa ne paraitra pas en 2014. L’ACTA prépare une étude pour mieux connaître les attentes du terrain et proposer de nouveaux Web services. * Les nouveaux produits sont signalés ainsi que les retraits des substances actives suivant l’inscription au règlement européen n°1107/2009. ** Les LMR des substances actives inchangées depuis la précédente édition sont indiquées, et pour les autres, il est précisé le n° du dernier règlement à prendre en compte. Index phytosanitaire ACTA 2014 956 pages, Format 15,5 x 24 cm ISBN : 978-2-85794-281-8 Réf : B 124 42 euros TTC + 7 euros de frais d’envoi pour 1 ex.

    Pour se procurer ce document, consulter le site www.acta.asso.fr, rubrique catalogue des publications et/ou envoyer votre bon de commande à ACTA, BP 90006, 59718 LILLE Cedex 9 Contact presse : M.-C. Sela-Paternelle - E-mail : [email protected], tél. : 01 40 04 50 46

    Pour mémoire ACTA , le réseau des instituts des filières animales et végétales, représente :

    - 15 instituts techniques agricoles qualifiés dont ACTA, la tête de réseau.

    - Les outils professionnels de recherche appliquée et de transfert technologique au service des filières agricoles.

    - Une présence sur le territoire avec près de 200 sites en région.

    - Une force de 1110 ingénieurs et techniciens.

    - Un budget de 180 millions d’euros en 2011 dédiés à la recherche agricole appliquée.

  • 13

    Remerciements

    Académie d’Agriculture de France

    Jean-Louis BERNARD

    ACTA, le réseau des instituts des filières animales et végétales

    Alice BAUDET, Jean-Pierre DARVOGNE, Axel DECOURTYE, Mélina DURLACH,

    Violaine LEJEUNE, Marie-Christine SELA-PATERNELLE, Philippe VISSAC

    ARVALIS-Institut du végétal

    Nathalie VERJUX

    Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (Ctifl)

    Henri PLUVINAGE

    Institut français de la vigne et du vin (IFV)

    Bernard MOLOT

    Union des industries de la protection des plantes (UIPP)

    Eugénia POMMARET

    SODEM et Marchais

    Damien VANHALST

    Marie-Françoise DELANNOY

    Anne-Marie PAULAIS

    Jean-François ROULOIS

    Merci également à :

    ACTA, le réseau des filières animales et végétales

    Académie d’Agriculture de France

    ARVALIS-Institut du végétal

    UIPP

    SODEM et Marchais

    Pour nous avoir accueilli dans leurs locaux

    Ainsi que :

    ARVALIS-Institut du végétal

    IFV,

    INRA,

    UIPP

    Pour nous avoir fourni des images

    Production

  • 14

    Remerciements à nos sponsors et à l’AFPP

    Les sociétés De Sangosse et Phyteurop

    pour le soutien financier à la soirée d’anniversaire

    L’association Française de Protection des Plantes pour avoir permis la réalisation de cet évènement lors de

    la conférence COLUMA 2013

    Symboliquement, à l'occasion de la 50ème édition de l'Index phytosanitaire, l'ACTA a souhaité vous offrir

    un « hôtel à insectes ». Très utiles pour lutter contre les parasites des jardins, les insectes auxiliaires

    apprécient ces « abris » qui leur permettent de se protéger et de se reproduire. Ces lieux d'accueil pour les

    insectes se multiplient partout en France chez les particuliers ou dans les jardins publics. En l’installant

    avant la fin de l'hiver, vous aurez davantage de chances de le voir occupé en mars. La diversité des

    insectes accueillis (coccinelles, chrysopes, abeilles, forficules…) s'enrichira au fil du temps.

    L’ACTA remercie la société De Sangosse de s’être associée dans cette opération et la société Phyteurop

    pour le soutien financier à la soirée anniversaire

  • de l’édition de l’INDEX PHYTOSANITAIRE ACTA

    5 ème anniversaire

    2014

    Pour mémoire ACTA, le réseau des instituts des filières animales et végétales, représente : s

    15 Instituts techniques agricoles qualifiés dont l’ACTA, la tête de réseau,s

    Les outils professionnels de recherche appliquée et de transfert technologique au service des filières agricoles, s

    Une présence sur le territoire avec près de 200 sites en région,s

    Une force de 1110 ingénieurs et techniciens,s

    Un budget de 180 millions d’euros en 2011 dédiés à la recherche agricole appliquée.

    Phot

    o : N

    ina

    Rab

    ourd

    in -

    Con

    cept

    ion

    grap

    hiqu

    e : fl

    oreg

    rafic

    @w

    anad

    oo.fr

    ET LES ANNONCEURS QUI ONT PARTICIPÉ À CETTE NOUVELLE ÉDITION 2014

    LES SPONSORS ET L’AFPP

    L’ACTA, le réseau des instituts des filières animales et végétales tient à remercier :

    Les sociétés De Sangosse et Phyteurop pour le soutien financier à la soirée anniversaire.L’Association Française de Protection des Plantes pour avoir permis la réalisation de cet évènement lors de la conférence COLUMA 2013

    TOP S.A.S

    page garde dossier presse 50è Index.pdfDossier de presse 50 index- Sommaire1-Index et l'Acta AMP_AB _ VL, MCSP relue AMP2-Histoire de l'index3-Index et préventionV24-Index et abeilles-AD5-Index avis d'utilisateurs AMP Vdefcommuniquéindex2014Remerciementsposter_300x400_Logos 50è Index - Base déf