Commune de

VEYRIER-DU-LAC

DOCUMENT D’INFORMATION COMMUNAL

SUR LES RISQUES MAJEURS

Document à conserver

Consultable en mairie

Etabli en 2015

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Le mot du Maire

Responsabiliser les citoyens exposés aux

risques et leur fournir tous les moyens de

réagir est une obligation qui incombe aux

communes. Cela doit se traduire par une

série d’actions de prévention et de

communication organisées au niveau local.

La réalisation du DICRIM s’inscrit dans cette

démarche. Ce document permet de

recenser les risques existants sur le

territoire, de lister les actions entreprises

pour s’en prémunir et de connaître

l’attitude à adopter face à une situation

exceptionnelle. Au-delà de la nécessaire

information au public, la rédaction d’un tel

document offre une occasion

supplémentaire de s’interroger sur les

mesures et d’améliorer sans cesse les

dispositifs de prévention.

LE RISQUE MAJEUR est la possibilité d'un événement d'origine naturelle ou anthropique, dont

les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionner des dommages

importants et dépasser les capacités de réaction de la société. Un risque majeur est

caractérisé par sa faible fréquence et par son énorme gravité.

- les risques naturels : avalanche, feu de forêt,

inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête,

séisme et éruption volcanique ;

- les risques technologiques : d'origine anthropique,

ils regroupent les risques industriel, nucléaire,

biologique, rupture de barrage...

Un risque naturel et/ou technologique majeur résulte de la combinaison d’un aléa naturel et / ou technologique avec un ou plusieurs enjeux concernés (personnes, biens, environnements).

"La définition que je donne du risque majeur, c'est la menace sur l'homme et son environnement direct, sur ses installations, la menace dont la gravité est telle que la société se trouve absolument dépassée par l'immensité du désastre". Haroun TAZIEFF

POURQUOI UN DICRIM ?

L’information des citoyens sur les risques majeurs

naturels et technologiques est un droit inscrit dans le

Code de l’environnement.

Le citoyen est tenu de connaître les dangers

auxquels il est exposé, les dommages prévisibles, les

mesures préventives, qu’il peut prendre pour réduire

sa vulnérabilité ainsi que les moyens de protection et

de secours mis en œuvre par les pouvoirs publics.

C’est une condition essentielle pour qu’il surmonte le

sentiment d’insécurité et acquière un comportement

responsable face aux risques.

Par ailleurs l’information préventive contribue à

construire une mémoire collective et à assurer le

maintien des dispositifs collectifs d’aide et de

réparation. L’ensemble des dispositions réglementaires concernant le

DICRIM est codifié par le Code de l’Environnement

(articles R125-9 à R125-14), complété par le décret

n°2005-233 du 14 mars 2005 (établissement des repères

de crues) et par le décret 2005-1156 du 13 septembre

2005 (relatif au Plan communal de sauvegarde).

Le présent document vise à :

• Présenter et localiser les risques naturels et

technologiques majeurs sur la commune,

• Rappeler les événements passés,

• Décrire les mesures prises par la commune pour

réduire les effets d’un risque,

• Informer sur les consignes de sécurité à respecter en

cas d’événement.

SOMMAIRE

Carte de localisation des aléas……………..p3 Risque inondation / crue torrentielle……p4 Risque mouvement de terrain……………..p6 Risque chute de pierres………………………..p8 Risque séisme……………………………………….p10 Météorologie / pollution de l’air…………..p 13 Informations…………………………………….….p15

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INONDATION / CRUES TORRENTIELLES

Une crue désigne une « élévation de niveau d'un cours d'eau », qui peut être à

l'origine d'inondations, au sens usuel du terme, c'est-à-dire le recouvrement par de l'eau des terrains

riverains plus ou moins proches du cours d'eau en crue. Le caractère torrentiel, quant à lui, renvoie à

la définition même du torrent, «cours d'eau de montagne, rapide et irrégulier, de faible longueur, plus

ou moins à sec entre des crues violentes et brusques».

A Veyrier-du-Lac, l’élévation de niveau d’eau peut également provenir du lac.

Evènements survenus : 15 juin 1987 : coulée de boue et de rochers entraînée par le Nant des Creuses sur la route du Mont-Veyrier.

4 juillet 1996 : dégâts aux hameaux de Morat, La Combe, Chavoires

20 mai 2007 : débordement du Nant Barast suite à un orage violent.

Gestion des risques : Etude ONF-RTM 2005 intitulée « Reconnaissance et diagnostic des ruisseaux-

Propositions d’aménagements » ; Plan de gestion des torrents élaboré en novembre 2010 par l’ONF

avec programme d’actions pluriannuel ; Convention d’entretien du nant Barast conclue en 2009 avec

l’ONF et les communes d’Annecy-le-Vieux et Alex.

LLLLES BONS RES BONS RES BONS RES BONS RÉÉÉÉFLEXESFLEXESFLEXESFLEXES

Définition

Avant - obturer les entrées d'eau : portes, soupiraux, aérations - couper le gaz et l'électricité - mettre au sec les meubles, objets, matières et produits - amarrer les cuves, prendre les mesures pour éviter la pollution de l'eau - faire une réserve d'eau potable - prévoir l'évacuation - monter sur un point haut Pendant - s'informer de la montée des eaux (radio, mairie...) - couper le gaz et l'électricité - n'entreprendre une évacuation que si vous en recevez l'ordre des autorités ou si vous êtes forcés par la crue - ne pas s'engager sur une route inondée (à pied ou en voiture) Après - aérer et désinfecter les pièces - chauffer dès que possible - ne rétablir le gaz et l'électricité que sur une installation sèche

Inondations mai 2007 (image de la route départementale 909)

Fermez les ouvertures

Coupez le gaz et l’électricité

Montez sur un point haut

Ecoutez la radio

N’allez pas chercher vos enfants à l’école

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MOUVEMENT DE TERRAIN

Un mouvement de terrain est un déplacement plus ou moins brutal du sol ou du

sous-sol. Il est fonction de la nature et de la disposition des couches géologiques. On distingue les

mouvements lents (fluage, tassement, retrait-gonflement, affaissement, effondrement, glissement,

solifluxion, fauchage) et rapides (effondrement brutal, chute de pierres ou de blocs, éboulement ou

écroulement, coulée boueuse).

Evénements survenus :

Juillet 1996 chemin du Talabar

22 février 1999 sur la RD909 en limite de la commune de Menthon-Saint-Bernard

Gestion des risques : maîtrise de l’urbanisme, surveillance visuelle des secteurs à risque (secteurs

très restreints selon la carte des aléas).

LLLLES BONS RES BONS RES BONS RES BONS RÉÉÉÉFLEXESFLEXESFLEXESFLEXES

Dès l’alerte

- s’informer des risques et de leur localisation - prévoir les équipements pour l’évacuation Pendant

- évacuer les bâtiments - s’éloigner latéralement de la zone dangereuse - gagner au plus vite les hauteurs les plus proches - ne pas revenir sur ses pas - écouter la radio - ne pas tenter d’aller chercher ses enfants à l’école - ne pas téléphoner Après

- ne pas entrer dans un bâtiment endommagé - ne pas s’approcher du sinistre - respecter les consignes de retour à la normale.

Définition

Eloignez-vous latéralement de la zone dangereuse

Evacuez le bâtiment

Ecoutez la radio

N’entrez pas dans un bâtiment endommagé

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CHUTE DE PIERRES

Mise en mouvement et propagation de blocs rocheux à partir d’une falaise. En zone

de montagne, les chutes de pierre sont des processus naturels mais en raison de la spontanéité de

leurs occurrences et des vitesses extrêmes que peuvent développer les projectiles, elles peuvent

occasionner des dommages importants aux biens et aux personnes.

2 juillet 2003 : chute d’un bloc de plus de 7 tonnes à proximité des habitations du Péril. 2005 : chute de blocs rocheux au-dessus des Meilles et 5 décembre écroulement conséquent sur le site d’escalade des Grandes Suites, un élément arrêté à proximité de résidences en amont. Mars 2006 : chute de pierres sur la RD909 à Chavoire. 20 janvier 2009 : un bloc de plus de 5m3 s’immobilise sur la chaussée route de la corniche après avoir frôlé 3 habitations. Mai 2012 : un rocher de 1300 kg tombe sur la piste cyclable.

Gestion des risques : maîtrise de l’urbanisme, mise en place de filets

pare-blocs, construction d’un merlon, demande de révision de la

cartographie des risques réalisée en 2008, commande d’une étude

trajectographique.

LLLLES BONS RÉFLEXESES BONS RÉFLEXESES BONS RÉFLEXESES BONS RÉFLEXES

Dès l’alerte

- s’informer des risques et de leur localisation - prévoir les équipements pour l’évacuation Pendant

- évacuer les bâtiments - s’éloigner latéralement de la zone dangereuse - gagner au plus vite les hauteurs les plus proches - ne pas revenir sur ses pas - écouter la radio - ne pas tenter d’aller chercher ses enfants à l’école - ne pas téléphoner Après

- ne pas entrer dans un bâtiment endommagé - ne pas s’approcher du sinistre - respecter les consignes de retour à la normale.

Définition

Eloignez-vous latéralement de la zone dangereuse

Evacuez le bâtiment

Ecoutez la radio

N’entrez pas dans un bâtiment endommagé

Trajectoire de la chute du bloc à Morat en 2009

construction du merlon (butée de terre et de pneus)

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Rappel sur les règles de construction :

Le zonage sismique de la France impose l’application de règles parasismiques pour les constructions

neuves et aux bâtiments existants dans le cas de certains travaux d’extension notamment. Ces règles

sont définies par les normes Eurocode 8, qui ont pour but d’assurer la protection la protection des

personnes contre les effets des secousses sismiques. Elles définissent les conditions auxquelles doivent

satisfaire les constructions pour atteindre ce but.

En cas de secousse « nominale », c’est-à-dire avec une ampleur théorique maximale fixée selon chaque

zone, la construction peut subir des dommages irréparables, mais elle ne doit pas s’effondrer sur ses

occupants. En cas de secousse plus modérée, l’application des dispositions définies dans les règles

parasismiques doit aussi permettre de limiter les endommagements, et, ainsi, les pertes économiques.

Dans les zones de sismicité moyenne (zone 4), les règles de construction parasismiques sont

obligatoires, pour toute construction neuve ou pour les travaux lourds ou d’extension sur l’existant,

pour les bâtiments de catégories II, III et IV (décret 2010-1254 du 22 octobre 2010).

Les grandes lignes de ces règles de construction parasismique sont :

� La prise en compte de la nature du sol et du mouvement du sol attendu,

� La qualité des matériaux utilisés,

� La conception générale de l’ouvrage (qui doit allier résistance et déformabilité),

� L’assemblage des différents éléments qui composent le bâtiment (chainages),

� La bonne exécution des travaux.

SEISME

Un séisme ou tremblement de terre se traduit en surface par des vibrations du sol. Il

provient de la fracturation des roches en profondeur à partir d’un foyer. Le point au sol situé

directement au-dessus du foyer est appelé épicentre. La magnitude (l’énergie libérée) est mesurée par

l’échelle de Richter. L’intensité (les dommages causés en surface) est mesurée par l’European

macroseismic scale.

Veyrier-du-Lac est classée en zone de sismicité moyenne (4).

Evénements survenus et classés en catastrophe naturelle : 14 décembre 1994 (épicentre : Entremont) 15 juillet 1996 avec répliques les jours suivants (épicentre Epagny – magnitude 4,9 (intensité VII-VIII)). Ces séismes ont causé des fissures sur quelques bâtiments de la commune.

Gestion des risques : les constructions sur la commune doivent respecter les normes de construction

parasismiques en vigueur.

Définition

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LLLLES BONS RES BONS RES BONS RES BONS RÉÉÉÉFLEXESFLEXESFLEXESFLEXES

Pendant - À l'intérieur : rester à l'intérieur, se mettre à l'abri près d'un mur, d'une colonne porteuse ou sous des meubles solides (tables, bureaux...), s'éloigner des fenêtres. - À l'extérieur : rester à l'extérieur, s'éloigner de ce qui peut s'effondrer (bâtiments, ponts, lignes électriques). - En voiture : s'arrêter si possible à distance des constructions et des lignes électriques, ne pas descendre de la voiture avant la fin des secousses.

Après - couper l'eau, l'électricité, le gaz. - ne pas allumer de bougies ni fumer - ne pas téléphoner - évacuer le plus rapidement possible les bâtiments - ne pas prendre l'ascenseur - s'éloigner de tout ce qui peut s'effondrer - ne pas aller chercher ses enfants à l’école - se diriger vers les espaces libres (parcs, stades...) - ne pas pénétrer dans la zone sinistrée sans autorisation - écouter la radio

Eloignez-vous de ce qui peut s’effondrer

Abritez-vous sous un meuble

Ecoutez la radio

Quittez la zone sinistrée

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Le risque sismique en France et en Haute Savoie

Veyrier-

du-Lac

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VIGILANCE METEOROLOGIQUE

La Vigilance météorologique est conçue pour informer la population et les pouvoirs publics en cas de phénomènes météorologiques dangereux en métropole. Elle est composée d'une carte de la France métropolitaine actualisée au moins deux fois par jour. Elle signale si un danger menace un ou plusieurs départements dans les prochaines 24 heures. Chaque département est coloré en vert, jaune, orange ou rouge, selon la situation météorologique et le niveau de vigilance nécessaire. En vigilance orange ou rouge, un pictogramme précise sur la carte le type de phénomène prévu : vent violent, vagues-submersion, pluie-inondation, inondation, orages, neige/verglas, avalanches, canicule, grand froid. La carte est alors accompagnée de bulletins de vigilance, actualisés aussi souvent que nécessaire. Ils précisent l'évolution du phénomène, sa trajectoire, son intensité et sa fin, ainsi que les conséquences possibles de ce phénomène et les conseils de comportement définis par les pouvoirs publics. Pour accéder aux bulletins de vigilance, il suffit de cliquer sur le département concerné. La carte et les bulletins de vigilance sont consultables en permanence sur meteofrance.com .

ALERTES CANICULE OU GRAND FROID

Consignes en cas de canicule :

� Buvez régulièrement tout au long de la journée des boissons non alcoolisées, en évitant les boissons glacées.

� Humidifiez votre corps, douchez-vous régulièrement et utilisez éventuellement un ventilateur.

� Protégez-vous du soleil et de la chaleur en évitant de sortir entre 11h et 21h. � Passez 2 à 3 heures par jour dans un lieu frais. � Fermez les volets et ventilez bien, aérez les pièces de votre habitation, surtout la nuit s’il

fait plus frais. � Alimentez-vous bien, même si vous n’en ressentez pas le besoin. � Donnez régulièrement de vos nouvelles à votre entourage et n’hésitez pas à solliciter de

l’aide en cas de besoin. � Faites-vous héberger chez un parent ou une personne de votre entourage si vous vivez

dans un habitat mal adapté à la chaleur.

Une vigilance absolue s'impose ; des phénomènes dangereux d’intensité exceptionnelle sont prévus ; tenez-vous régulièrement au courant de l’évolution de la situation et respectez impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics.

Soyez très vigilant; des phénomènes dangereux sont prévus ; tenez-vous au courant de l’évolution de la situation et suivez les conseils de sécurité émis par les pouvoirs publics.

Soyez attentifs; si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique ou à proximité d'un rivage ou d'un cours d'eau; des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux (ex. mistral, orage d’été, montée des eaux, fortes vagues submergeant le littoral ) sont en effet prévus ; tenez-vous au courant de l’évolution de la situation.

Pas de vigilance particulière.

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Consignes en cas de grand froid :

� Limitez vos sorties et évitez les expositions prolongées au froid et au vent. � Habillez –vous de plusieurs couches de vêtements et un coupe vent. � Ne prenez votre véhicule qu’en cas d’obligation, prévoyez des vêtements et boissons

chaudes, ainsi qu’une couverture et un téléphone portable. � Chauffez votre logement sans excès, assurez une bonne ventilation. � Alimentez-vous correctement et buvez des boissons chaudes non alcoolisées. � Téléphonez au 115 pour signaler les personnes sans abri ou en difficulté.

POLLUTION DE L’AIR

Chaque jour, un adulte inhale environ 15 m3 d’air en fonction de sa morphologie et de ses activités…Outre l’oxygène et l’azote, qui représentent environ 99% de sa composition, l’air peut également contenir des « substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine». Ces substances constituent la pollution atmosphérique. Les associations de surveillance de la qualité de l’air sont tenues d’informer la population et de diffuser des recommandations sanitaires et comportementales en cas de constat ou de prévision d’un pic de pollution. En fonction des concentrations en polluants atteintes, de la durée de l’épisode, il existe deux niveaux gradués : le niveau d’information et de recommandations a pour but d’informer les personnes les plus sensibles à la pollution. Le niveau d’alerte a pour objectif la préservation de la santé de l’ensemble de la population.

Principales recommandations sanitaires et comportementales en cas de pic de pollution : Eviter les déplacements sur les grands axes routiers et à leurs abords, aux périodes de pointe (7h-10h / 17h-20h), Eviter les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions) autant en plein air qu’à l’intérieur Reporter les activités qui demandent le plus d’effort. En cas de symptômes ou d’inquiétudes, prenez conseil auprès de votre pharmacien ou de votre médecin.

Air Rhône Alpes assure la surveillance de la qualité de l’air pour la Région Rhône-Alpes : www.air-rhonealpes.fr

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DISPOSITIF D’ALERTE

Le Plan Communal de sauvegarde

Le Plan Communal de Sauvegarde est un plan d’urgence préparant préventivement à la gestion des

risques naturels, sanitaires ou technologiques. Il recense les risques présents sur le territoire et les

moyens disponibles pour y faire face (alerte, information et protection des populations).

Ce document est en cours d’élaboration à la mairie de Veyrier-du-Lac. Dès son approbation, ce

document sera disponible en Mairie et sur le site Internet de la commune.

Numéros utiles :

Numéro d’appel d’urgence européen : 112

Sapeurs-pompiers : 18

Samu : 15

Police : 17

Mairie : 04 50 60 10 13

Fréquences radio :

Ecouter la radio constitue l’un des premiers gestes à effectuer en cas de catastrophe. Il est conseillé de disposer d’une radio à piles utilisable en toute circonstance.

France Bleu : 95.2 FM

France Inter : 97.4 FM

France Info 106.6 FM

Moyens d’alerte :

Une sirène RNA (Réseau National d’Alerte) est installée au chef-lieu de la commune. Elle est activée manuellement pour alerter la population en cas de danger immédiat. Le signal est reconnaissable : un signal modulé, montant et descendant, composé de trois séquences d'une minute 41 secondes, séparées par un silence de cinq secondes.

Le véhicule de la Police Municipale est équipé de haut-parleurs et peut circuler dans la commune en diffusant un signal d’alerte et des consignes à respecter.

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Plus d’informations

A la préfecture : vous pouvez consulter le Dossier départemental des risques majeurs.

Sur internet : www.prim.net, site internet du Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie sur les risques majeurs.

Météo France : par téléphone 32 50 ; par internet www.meteo.fr

Le Plan de Prévention des Risques Naturels est consultable depuis le site Internet de la commune (www.veyrierdulac.fr) ou de la Préfecture (www.haute-savoie.gouv.fr)

Le DICRIM est consultable en Mairie et sur le site Internet de la commune : www.veyrierdulac.fr

Mairie de Veyrier-du-Lac : 04 50 60 10 13.