La question du Mariage

Alors déjà il faut savoir que Neale s’est marié six ou sept fois je crois, donc il a de l’expériencesur le sujet du mariage et aujourd’hui surtout il a le recul sur cette question de mariage.

Alors nous avons déclaré et annoncé la chose suivante en tant qu'espèce humaine : Le mariageest l’expression de l’amour la plus grandiose, la plus élevée dont les humains soient capables,sauf que l’institution et l’expérience qui en découlent produisent exactement le contraire. Unamour qui possède au lieu de libérer, de donner, un amour qui limite au lieu er de l’expansion, unamour qui rapetisse presque tout autour de lui au lieu de tout faire grandir.

Nous avons créé un moule, une structure et nous souhaitons que tout reste bien dedans commeau moment ou l’on s’est dit je t’aime ou je le veux, et comme je vous disais les gens changent,les gens évoluent et du coup la relation évolue aussi. Et le mariage construit ainsi, sur leséléments, sur les idées que je vous ai partagées donc l’institution le mariage construit ainsi va àl’encontre de l’évolution de la vie, il y a très peu de marge de manœuvre au final pour accueillir lechangement qui lui est inévitable.

C’est une sorte de mini-prison, une sorte de contrat qui dit, qui dit ceci donc, c’est un exempleque donne Neale à ce sujet : Tu seras maintenant et à jamais tel qu’en ce moment même, tun’aimeras personne d’autre et tu ne manifesteras certainement pas cet amour envers un autre dela même façon qu’envers moi, tu iras toujours là ou j’irais, tu feras très peu de chose que jevoudrais pas faire avec toi et en général à partir de ce moment, ta vie sera limitée.

Voilà, ça c’est l'idée du contrat qui correspond à l’institution du mariage tel qu’on l’a créée dansnotre société.

Ainsi la chose qui devrait abolir à la limite libérer l’âme de chacun fait le contraire, elle restreintles gens et ferme leur âme. Alors bien sûr ce n’est pas le cas de tous les mariages, peut-être quevotre mariage, si vous êtes marié bah très bien et tant mieux mais ce que veut dire Neale à

travers tout ça, c’est le cas d’une majorité, d’une grande majorité et les couples divorcent parcequ'ils en ont assez des restrictions et des limites que le mariage semble leur avoir imposé. Nealedit que le cœur humain sait quant on lui demande de rétrécir.

Voilà comment Neale voit le mariage dans l’idéal : Je ne te limite pas, aucune condition ne vousoblige à rester ensemble. Je n’ai aucun désir de diminuer ta liberté d’expression, de quelquefaçon que ce soit. Ce que cette forme de mariage est censée permettre, c’est d’alimenter lemoteur de ton expérience, l’expérience de qui tu es vraiment et de qui tu choisis d’être. Ilcontinue même, je reconnais que même toi tu changeras, tes idées, tes goûts et tes désirschangeront, la nouvelle idée que tu te fais de qui tu es, il vaut mieux qu’elle se transforme cardans le cas contraire tu serais devenue une personnalité très statique et rien ne me déplairaitdavantage alors, je reconnais que le processus d’évolution produira des changements en toi.

Et non seulement cette nouvelle permet de tel changement et les encouragent, on encourage lechangement dans cette forme de mariage. Mais heureusement cette institution du mariage, tellequ’on la connaît, telle qu’on la crée dans cette société, elle a changé, elle évolue au fil du tempset des générations car ces générations commencent à comprendre les limitations, c’est parcequ’il y a le concubinage, la cohabitation, le PACS, etc. Les choses évoluent et c’est tant mieux, ily a aussi de nouvelles formes qui émergent avec des communautés volontaires, où grandnombre de personnes vivent ensemble dans le partage, l’affection et l’amour, il y a des famillesélargies. Il faut arrêter de juger ses nouvelles formes qui émergent, car c’est notre manièred’évoluer, de découvrir des possibilités, de découvrir notre potentiel. Cela peut ou pas vousconvenir mais laisser la vie évoluer et trouver de nouveaux chemins.

D'après Neale, il y a aucune forme dans laquelle l’expression de l’amour pure et vraie estinconvenante. Du moment c’est important pour éviter d’aller dans les extrêmes du moment oucela ne fait pas de tort à l’autre, du moment où cela ne fait de tort à l’autre. Il n'y a aucune formedans laquelle l’expression de l’amour pure et vraie est inconvenante du moment où cela ne faitpas de tort à l’autre. A une époque si, si, l’évolution on peut se dire tiens « ça commence àévoluer », en fait ça a déjà évolué.

A une époque, il n’était pas autorisé de se marier avec quelqu’un d’autres d’un autre village oubien d’une religion différente ou d’une race différente, donc les choses ont donc ont déjà évolué.Ce qu’il faut c’est encourager cette évolution parce que les choses vont continué à évoluer, lemariage donc pas mauvais en soi il y a rien de bon ou mauvais rappelez-vous mais si l’oncompare l’institution aujourd’hui de notre société et l’expérience avec ce qu’on l’a avancé etdéclaré, il y a quelque chose qui colle pas.

En fait, la plus belle des déclarations d’amour que vous pourriez faire ce serait : Je n’ai pasbesoin de toi et quand je n’ai pas besoin de toi, c’est facile de t’aimer. Je n’ai pas besoin de tonapprobation, j’ai pas besoin de ton amour, je peux être moi même, je peux être authentique, jepeux vivre ma vérité. Neale va même jusqu’à dire : tu sais vivre avec toi, c’est comme vivre seulcar je suis moi-même. Non seulement je t’aime en dépit de tes défauts que tu imagines mais jet’aime à cause d'eux : c’est ça l’amour.

Alors un sujet important c’est la lutte du pouvoir, on l’a abordé tout à l’heure j’ai dit vous avezcertainement des « oui mais », Eh bien c’est le moment de traiter ces « oui mais », d’élargir untout petit peu cette question de la lutte de pouvoir et de voir comment on peut répondre donc jevais vous lire un extrait de la conférence de Neale où il partage des exemples de la viequotidienne explique, il m’a expliqué comment transformer une lutte de pouvoir en choix librepour chacun de contrôler sa vie.

Voilà c’est un extrait qui me paraissait très pertinent et que je me permet de vous lire directementparce qu'il est vraiment très très bien il y a deux exemples :

Ne vous adaptez pas à des conditions qui ne vous vont pas, cessez tout simplement de faire unehistoire avec votre refus de vous adapter, ne vous adaptez pas tout simplement, je vais utiliser unexemple simple. Supposons que Nancy, Nancy c’était sa femme à l’époque décide de

commencer à fumer. Actuellement, elle ne fume pas ni moi non plus d’ailleurs mais je vais utilisercet exemple parce que c’est un exemple vraiment facile que nous pouvons tous saisir doncNancy arrive donc à la maison avec un paquet de cigarette en disant « Oh, et bien j’avaisl’intention de t’en parler, je vais fumer ». Eh bien je pourrais ne pas être pas avec Nancy en soiparce qu'elle est encore Nancy mais avec Nancy la fumeuse et je pourrais avoir de la difficulté àm’adapter à ce comportement et bien je peux refuser tout simplement de m’y adapter mais jepeux le faire sans faire porter le tort à Nancy sans créer un problème avec le fait que jem'accommode à cela sans qu’on fâche à cause de mon refus de s'adapter à ce changement.

Je peux tout simplement dire à Nancy, je t’aime plus que jamais mais je n’aime pas toujours quetu fumes en ma présence maintenant je vais quitter la pièce, profites bien de ta cigarette.D’ailleurs puisque tu insistes pour fumer continuellement dans la maison je vais probablementdevoir la quitter parce que je n’aime pas être dans une demeure remplie de fumée de cigarette etje t’aime, je t’aime tout autant qu'auparavant mais je quitte la maison maintenant.

Alors Nancy dirait peut-être si elle n’était pas très évoluée mais elle l’est : Tu t’en vas seulementparce que je fume et tu affirmes ne pas essayer de me donner tort et je répondrais que tu sentesle besoin de me dire que je te donne tort mais je me permets tout simplement de vivre monauthentique vérité, je t’aime et je remarque que tu fumes maintenant, mais ce qui me va, c’est undomicile sans fumée.

Alors si tu continues de fumer dans ces lieux, je vais devoir aller vivre ailleurs et t’aimer de loin.Les questions à, propos desquelles les gens entrent habituellement dans une lutte de pouvoir ontgénéralement avoir avec le temps, la disponibilité et les activités de l’autre.

Autrement dit tu ne passes pas suffisamment de temps avec moi ou tu es engagé dans desactivités avec lesquelles je ne suis pas et nous sommes en conflit par rapport à cela maintenantje vais vous donner l’exemple d’une autre situation semblable dans la vraie vie.

Soudain votre conjoint devient un bourreau de travail, s’il passait beaucoup de temps avec vousdurant les trois premières années de votre mariage, il en a passé de moins en moins par la suiteet vous voilà au bout de sept, huit ou dix ans et ne garde plus beaucoup de temps pour vous etvous entamez une lutte de pouvoir parce que vous essayez de contrôler son temps, alors vous luidites : Tu sais je veux te voir à la maison trois week-end sur quatre, je ne veux pas que tu soistout le temps à l’extérieur ou toujours à l’extérieur à tourner un quelconque grand film à réaliserun grand projet dans ton travail ou quoi que ce soit d’autre. Tu ne m’accordes aucune attention,la plupart des gens ne le diraient pas avec ces termes sauf peut-être quelques individus trèsfrancs, mais exprimeraient autrement. Ils ne se contenteraient pas de Venir en vers vous endisant en fait, je réclame ton attention, je veux de ton temps, c’est pourquoi une lutte de pouvoirs’installe. Le partenaire tentera peut-être de conclure un arrangement difficile, je vais partirseulement un week-end ou deux par mois, il en arrivera à un arrangement et ensuite, s’il décidede passer trois week-end sur quatre loin il commencera à se sentir coupable à trouver qu’unefemme le mène par le bout du nez puis à se sentir contrôlé et le ressentiment s'accumulera puisbientôt vous serez tous deux confrontés à une lutte de pouvoir, de quel droit me dis-tu quoi fairede mon temps ? Je ne n’entrerais pas dans ce genre de lutte de pouvoir avec ma conjointe, sielle faisait quoi que ce soit vraiment quoi que ce soit avec lequel je serais en désaccord ou qui ne

m’irait pas, je dirais tout simplement tu sais, fais ce que tu veux, je dois te dire que je n’aime pasque tu t’en ailles passer trois week-end sur quatre loin de moi et de cette maison, fais-le si tu ledésires. Je veux que tu saches ce que je vais faire si tu continues ainsi longtemps, je vais trouverquelqu’un d’autre avec qui passer mes week-end ce n’est pas une menace, je n’essaie pas det’accabler avec ça, tout simplement j’annonce ce qui me convient, j’aimerais être avec quelqu’un,j’aime partager mes journées, le temps de ma vie avec une personne et ça me va si tu ne choisispas d’être cette personne que j’aime. Alors fais exactement ce que tu veux et ce qui te plaît, il n’ya ni ressentiment, ni colère, ni contrariété, ni blâme, juste un simple énoncé de faits maispermettez moi de conclure ma discussion avec toi en énonçant le fait suivant : si je pouvaischoisir une personne qui soit ma bien aimée ce serait toi, c’est pourquoi je porte cet anneau àmon doigt, tu n’as pas effectué le même choix en ce moment mais je veux que tu saches tu esmon premier choix mais que j’en ai aussi un deuxième, un troisième et un quatrième.

De la sorte qu’il date tout simplement un transfert d’information qui n’a pas lieu sur un tonbelliqueux, il ne s’agit pas dire, je t’ai eu, c’est seulement voici ce qu’il en est, c’est comme çatout simplement et je le partage amoureusement avec toi ouvertement et sincèrement commedevraient le faire des gens qui disent vivre un amour, c’est ma vérité et c’est comme ça.

Maintenant nous avons tous les faits et nous pouvons faire des choix informés. Ce que je dis cen’est pas, j’ai quelqu’un en vue qui est prêt à intervenir si tu fais une seule gaffe mineure, tu asdonc intérêt à bien te tenir, c’est plutôt si à long terme tu choisis de manifester un comportementqui ne me convient pas qui n’est tout simplement pas fonctionnel dans ma vie et à propos, sidevais choisir à long terme de faire montre d’un comportement qui n’est pas fonctionnel dans latienne, il y a deux options : rien ne m’oblige à accepter ce comportement je n’ai pas à m’y plier ;

Et je veux juste que tu saches ouvertement et franchement que si tu choisis à long terme de lemanifester, j’aurais probablement à effectuer certains ajustements dans ma façon de mener mavie. En fait, cela signifierait inviter quelqu’un d’autre à partager avec moi un grand nombre deschoses que j’avais espéré partager avec toi. Voyez-vous, il y a aucune lutte de pouvoir, quand il ya aucune lutte POUR le pouvoir et l) tout simplement chaque personne ou du moins l’une desdeux parce que tous les torts ne peuvent être du même côté, il y a tout simplement que chacunedes deux personnes ne se retirent de la lutte et retrouve son espace de pouvoir en se permettantd’être, de faire et d’avoir ce qu’elle veut sans donner tort à l’autre.

Choisis ce que tu veux, choisis de fumer, choisis tout ce que tu désires et je choisirais ce que jeveux. Ainsi, cela permet à Nancy de juger la situation en ayant la vérité en main, est-ce que le faitde fumer est assez important pour elle pour permettre que sa relation avec moi soit changée detelle façon que je ne sois plus dans la pièce, que je ne partage plus la même maison, elle jugeraelle même ou bien elle continue de fumer et démontre qu’elle tient suffisamment à cela pourlaisser sa relation avec moi se changer ainsi ou bien, elle cesse de fumer et dans ce cas elle vamodifier son comportement non parce que c’est moi qui lui oblige mais parce qu'elle a fait unchoix libre fondé sur son pouvoir de remarquer, qu’elle peut contrôler les résultats de sa vie enagissant sur ses comportements. Voyez-vous la différence ? Voilà, c’est un extrait qui meparaissait important et qui est très parlant dans la manière de gérer la lutte de pouvoir.

Alors le plus grand défi dans une relation selon Neale Walsch, selon Neale Walsch. Et bien pourNeale Walsch, le plus grand défi dans une relation, c’est la transparence, dire ce qu’il se passedans notre vie, les actions menées, les pensées les espoirs, les rêves. J’ai fait ceci et je me suistrompé, c’est la peur d’être jugé comme le dieu des religions peut juger ! juger par les autres,d’être mal compris et d’être éventuellement puni et tout ça ce sont des films qu’on se fait dans satête. Le plus grand défi dans la relation, c’est d’être transparent avec son ou sa partenaire, avecses collègues, son patron, ses amis, sa famille, être capable de mettre à nu, d’être vulnérabledans ma manière d’être et de se montrer tel que l’on est.

Et qui dit transparence dit expression de la vérité et dans conversation avec dieu, dans lacosmologie, dans les enseignements de Neale Walsch, il y a cinq niveaux d'expression de lavérité.

Alors premier niveau de vérité : dire la vérité à vous même et à propos de vous même alors çapeut paraître idiot dit comme ça mais se mentir à soi même est beaucoup plus courant qu’on lecroit, ne pas reconnaître une peur ou justifier un comportement avec une mauvaise raison, ons’invente des raisons, on imagine, on se crée de l’histoire, on cache la vérité de nous même àpropos de nous même.

Le niveau numéro deux, c’est dire la vérité à vous même à propos d’un autre, se dire qu’on aimequelqu’un alors qu’en fait, ce n’est plus le cas, ce n’est pas le cas, ça n’a jamais été le cas oul’inverse. il y a des personnes qui ont peur d’aimer et qui n’osent pas se l’avouer.

Niveau trois de la vérité : dire la vérité à propos de vous même à quelqu’un d’autre, avouer àquelqu’un ses failles, ses erreurs, ses faiblesses, voilà, c’est souvent dire la vérité, c’estprincipalement celle là à laquelle on pense généralement.

Niveau quatre de la vérité : Dire la vérité à propos de quelqu’un d’autre à quelqu’un d’autre, alorsbien sûr c’est dire sa vérité, c’est pas la vérité, c’est sa vérité on est bien mais c’est sa vérité laplus intime et souvent les gens utilisent la colère d’ailleurs pour l’exprimer par peur de la réactionpour se protéger « c’est comme ça machin, machin, ... » alors qu’on pourra dire les choses trèssimplement, d’ailleurs petite parenthèses c’est toujours un peu mal connoté dans l’esprit collectifde dire ma vérité, d’ailleurs, par exemple dire ses quatre vérités à quelqu’un tant ça à un côtépéjoratif à ça « il lui a dit ses quatre vérités etc.. » ou alors « toute vérité n’est bonne à dire »,d’ailleurs comprenez dans l’esprit collectif, dans l’esprit culturel on a cette idée que dire la véritéc’est pas idéal, parfois il faut bon il faut composer etc..

« La vérité nue n’a jamais excitée l’homme » et pourtant dire la vérité à quelqu’un, c’est peut-êtreexactement ce dont il a besoin en ce moment-là. C’est peut-être le cadeau que vous avez à luioffrir en ce moment-là peut-être qu’il faut maintenant que quelqu’un lui dise que soncomportement n’est pas acceptable, que quelqu’un lui dise qu’il est entrain de se mentir, qu’il vadans le mur.

Les Américains ont cette manière, ils appellent ça une intervention quand quelqu’un fait quelquechose de pas bien, qui s’engage dans un chemin de vie qui n’est pas, qui ne semble pas correctaux yeux de ses amis, ses amis organisent une intervention, ils se réunissent tous pour dire à lapersonne leur vérité, on dit voilà tu t’es mis à la drogue par exemple, tu t’es mis à boire tu boisbeaucoup trop maintenant, aujourd’hui nous sommes tes amis, nous sommes la pour te dire lavérité, tu bois trop tu es devenue alcoolique, il faut faire quelque chose et peut-être que lapersonne elle a besoin de ce choc.

Ça me rappelle une autre anecdote par rapport à la cigarette ou il y a un Papa qui fume dans sonsalon, dans son fauteuil et y’a sa petite fille qui a vu à l’école ou chez le docteur que la fumée,fumer c’est pas bien, elle va voir son Papa et elle lui dit tu sais papa fumer c’est pas bien parce

que si tu meurs tu pourras pas me voir me marier.

Et la le père, ça me touche beaucoup comme histoire parce que j’ai deux petites filles aussi, çame touche beaucoup comme histoire mais le père il réagit presque instantanément, c’est unchoc, c’est presque un choc émotionnel, c’est un choc émotionnel. Il fond en larme et il arrête dujour au lendemain la cigarette, il avait besoin d’entendre cette vérité qu’il pouvait mourir, si tufumes tu peux mourir plutôt et si tu meurs plutôt tu ne verras pas ta fille se marier, tu ne pourrasl’accompagner à l'autel, donc la vérité dire la vérité à quelqu’un ça peut lui sauver la vie même sic’est votre vérité, c’est pas la vérité, c’est votre vérité, dites-le avec compassion simplement.

Et enfin niveau cinq de la vérité : dire la vérité à tout le monde à propos de tout

Neale nous dit que franchir ces cinq étapes, c’est arriver au paradis car vous n’avez plus àmentir, d’ailleurs quand vous avancez à travers ses cinq étapes vous allez ressentir une paixintérieure de plus en plus forte car vous ne cachez plus rien, il n’y a pas de séparation entrevous, entre ce qui est dit et ce qui n’est pas dit, une séparation en vous pardon ! Une séparationen vous entre ce qui est dit et ce qui n’est pas dit il n'y a pas de Ah j’ai dit ça à lui il faut pas queje le dise à l’autre non c’est votre vérité, c’est votre vérité Haaaaa et vous respirez, vous voussentez entier, complet, y’a plus de séparation. Effectivement comme le dit Neale vous arrivez auparadis, vous êtes bien.

Alors ce qu’on déteste chez les autres et bien ce que vous voyez chez les autres et que vousdétestez pardon, c’est tout simplement quelque chose que vous voyez en vous et que vousdétestez.

C’est comme un miroir, prenez un moment peut-être pour penser à quelque chose que vousdétestez chez quelqu’un, voila essayez de trouver une personne quelqu’un chez qui vousdétestez quelque chose et posez-vous la question, est-ce une chose que vous détestez en

vous ?

Là ça demande de l'honnêteté, ça demande de se dire la vérité au niveau un de la vérité.

Peut-être que, j’essaie de trouver un exemple, vous vous dites que la personne elle estpsychorigide, il faut que les choses se replacent etc. Il faut que ça soit comme ça, il faut que çasoit toujours comme elle veut, ça m’énerve je déteste que ça.

Réfléchissez maintenant est ce que vous avez ce type de comportement aussi ? Ah ça faitréfléchir, j’ai eu une période comme ça ou j’avais pris conscience de ça et du coup tout ce que jereprochais aux autres, j’essaie d’observer et de penser et j’essaie de voir ce que je reprochaisaux autres ce que je n’ai pas ce que je détestais en premier les trucs les plus forts et puis voiraprès en moi si j’avais ces choses-là et effectivement, effectivement, j’ai pris conscience debeaucoup de chose comme ça et attention ! La solution c’est pas de corriger ce qu’on aime paschez soi ou chez les autres alors chez les autres vous n’y arriverez pas mais de corriger leschoses que vous n’aimez pas chez vous, mais à aimer toutes les parties de vous même, toutesles parties de soi.

Je dis OK ben je me psychologie dissout un peu mais voila ça à du bon, d’ailleurs il y a desbonnes choses dans la psychorigidité, on sait ce qu’on veut, on veut les choses d’une certainemanière parce qu'on sait que c’est efficace maintenant voilà peut-être que cet aspect là je peuxl’ouvrir un peu, être ouvert un peu aux autres à la manière à la manière de faire parce que jepeux être améliorer aussi ma manière de faire et être psychorigide aussi dans une une nouvellemanière de faire. Ici, j’apprécie, je commence à apprécier cette chose en moi, je commencerais àl’apprécier chez les autres. Donc je ne dis pas qu’on ne peut qu’on, on ne peut pas chercher àdevenir une meilleure version de soi même en faisant de nouveaux choix, c’est pas ça, c’est ceque je disais avec la psychorigidité, on peut être psychorigide parce que ça a des avantages,c’est bénéfique dans une certaine mesure et peut aussi être ouvert par rapport à ça.

Je dis OK je suis psychorigide je faire les choses comme ça mais par contre je suis ouvert siquelqu’un me dit c’est mieux de faire comme ça pour atteindre tel objectif bah à partir de cemoment je suis ouvert et je m’adapterais et je serais psychorigide avec la nouvelle manière defaire. Ne cherchez pas à corriger ce que vous n’aimez pas, chercher à devenir une nouvelleversion de vous même et simplement aimer les parties de vous-même que vous n’aimez pas,apprécier, trouver quelque chose de positif dans ces parties.

Alors un autre exemple effectivement, j’avais noté un autre exemple pendant très longtemps,j’avais des mauvais humeurs le matin tu as eu le temps d’émerger, il fallait pas me parler le matinsi j’étais encore dans ma grotte, j’étais un peu lourd ce matin mais avec l’arrivée des enfants etbien, j’ai changé ça.

Notamment parce que ça correspondait plus à qui je voulais être. Je voulais être un Papa qui soitréveiller, je voulais pas avoir forcément une patate d’enfer mais je voulais être réveillé, je voulaisêtre de bon poil, je voulais pouvoir sourire, je voulais pouvoir faire des blagues, je voulais pouvoirdonner l’exemple à mes filles et donc être de mauvaise humeur ça ne correspondait plus à lapersonne que je voulais être. Un autre exemple, j’ai besoin d’être seul régulièrement, j’ai besoinde moment tout seul et c’est quelque chose dont j’ai pris conscience très tard, très très tard.

Voilà si je suis activité avec un groupe ou bien en vacance ou en déplacement il va toujours yavoir un moment ou je vais partir faire un tour tout seul pendant dix, quinze minutes ou une demi-heure ou bien je vais rester dans ma chambre ou dans ma tente et au début, j’aimais pas ça chezmoi, ce besoin je l’aimais pas, je voulais être un peu comme certains de mes amis qui étaienttoujours très actifs, toujours très entourés, toujours à parler fort, toujours à faire des blagues,toujours à fond, toujours en groupe, toujours avec quelqu’un et en fait, je culpabilisais de ne pasêtre comme ça, je voulais être comme ça, comme ces personnes qui étaient voilà trèsénergiques, très machin. Mais avec le temps, j’ai appris qu’être seul, c’était aussi ma manière deme ressourcer, de me reconnecter et j’adore maintenant ces moments-là, je sais qu’ils me sontbénéfiques et je comprends ce qui se passe quand j’ai besoin ce besoin qui émerge, d’être seulet maintenant je l’accueille avec plaisir, je l’aime ce besoin, je dis OK, besoin d’être seul, pas desouci, je dis ben voilà j’ai besoin d'être seul, je vais un tour, je vais aller dans un champ, je vaisaller lire, j’ai besoin de calme.

Y’a plus de culpabilité, j’ai appris à aimer cette partie de moi qui a besoin d’être seul, j’ai pas

cherché à la changer. Donc apprendre à aimer toutes les parties de soi si on prend du recul, c’estapprendre à aimer n’importe qui, car après tout nous ne sommes qu’Un, nous sommes tous Un.J’ai un couple de cousins ma famille qui sont comme ça, ils aiment tout le monde, ils aiment lespersonnes comme elles sont et même s’il y a des comportements chez ses personnes qui lesuivraient pas eux même, ils seront pas forcément d'accord avec ses comportements, ils ne sontpas d'accord, ils ne se comporteraient pas de cette manière-là.

Mais ils aiment complètement ces personne quand même : « OK bah il est radin comme paspossible mais Voilà, je l’aime aussi parce qu'il est radin, parce que ça lui donne toute sadimension, il en devient drôle presque, je l’aime pour ça ! » Et d’ailleurs on sent une grande paixdans toute la relation d’une manière générale, il y a un vrai respect de chacun, c’est très agréabled’être en leur présence.

Alors un petit Hum, un petit, un court principe sur lequel j’aimerais m’attarder aussi, c’est souventce mythe que, l’amour est relié à la souffrance, à la douleur et Neale nous dit, qu’il n’y a pas delien entre amour et douleur, il n’y a pas besoin de souffrir pour ouvrir son cœur, ça c’est unmythe.

Qui dit que l’amour fait souffrir, que la douleur est la voie à suivre et d'après Neale c’est faux, çac’est un mythe que l’on a, l’amour il peut-être dans l’ouverture tout seul sans avoir à passer par lacase souffrance, il n’y a pas de douleur non plus en cas de séparation car dans ce chemin-là eton l’a vu précédemment, personne, la personne découvre sa propre beauté, les deux personnesdécouvrent leur propre beauté, leur côté magnifique, d’être qui elles sont. Ce qui attirera d’ailleursd’autres personnes encore plus en résonance.

Alors que voulez-vous dans une relation ? Vous êtes peut-être à la recherche d’un partenaire ence moment, dans ce cas la première étape consiste à bien décrire votre partenaire idéal, soyezaussi précis que possible, vous ne cherchez pas du prêt à porter, vous cherchez du sur mesure,ça c’est important, c’est prendre le temps de définir, d’écrire sur une feuille papier, écrivez si vousêtes en recherche, écrivez, décrivez, votre partenaire idéal dans tous les aspects soyez aussiprécis que vous voulez, prenez deux heures ou trois heures s’il le faut, écrivez cent pages s’il lefaut, mais l’univers répond avec précision à ce qu’on vous demande, donc s’il vous demandequelque chose de large vous en avez quelque chose qui rentre dans cette catégorie mais quipeut avoir d’autres détails différents.

Soyez précis, ensuite la deuxième étape consiste à lâcher prise et surtout, j’ai envie de dire àrester ouvert, à prendre ce qui se présente, car peut-être que l’emballage ne correspond pas à ceque vous imaginez.

Alors ma femme me raconte souvent les déboires amoureux de ses amies, voilà, c’est j’ai desamis, elles cherchent quelqu’un de gentil, attentionné, responsable bon etc. . . Et puis, bah etpuis les prétendants arrivent voilà, et qui est ce qui elle va choisir, elle va choisir le même type depersonne qu’avant, il faut se rendre compte trois ans plus tard, qu’elle refait le même schéma,qu’elle se rend compte tiens pourquoi je l’ai choisi lui finalement, parce que il me plaît pas, il meconvient pas, il ne correspond pas à ce que je cherche et elle a fait ce choix même si y’avaitd’autres options, d’autres opportunités qui correspondaient en tout point à ce qu’elle désirait.Mais souvent sa réaction ça a été, Ah non mais, c’est pas mon type, et justement avoir une idéetrop précise du moule, de l’emballage, vous empêche de voir les autres formes possibles, vousne les regardez pas, vous ne les voyez même pas, vous être trop focalisé sur vos attentes et pasassez sur ce qu’il se présente et vous noterez d’ailleurs dans ce, dans l'expression ce qu’il seprésente, y’a présent, quand vous êtes focalisé sur vos attentes, vous êtes dans le futur, pasdans le présent, vous êtes dans votre mental, votre âme elle est dans le présent, elle connaît quele présent.

Donc l’idée à retenir ici, c’est d’essayer, Neale vous invite à rester ouvert et essayer plutôt de direnon mais de toute façon c’est pas mon type, donc ça c’est, c’est le point à retenir et souvent vousentendez des témoignages de personnes qui cherchaient un petit peu l'âme sœur, le conjointfinalement trouve la bonne personne mais vont vous dire, bah au fait c’était pas trop mon type audépart mais, mais finalement, mais finalement, c’est exactement la personne qu’il me fallait.

Donc il y a eu ce recul et surtout cette ouverture par rapport à d’autres possibilités, ensuite,ensuite Neale va plus loin, il va jusqu’à dire que l’amour est une décision et non pas une réaction.

Etre dépendant de ses attentes, c’est réagir, lâcher prise et faire avec ce qui se présente, c’estaimer inconditionnellement ce qu’il se passe, c’est prendre cette décision d’aimer. C’est donc trèsarbitraire, je choisis de t’aimer. Cela vous ai déjà arrivé de rencontrer quelqu’un et vous nesupportez pas cette personne, puis vous êtes obligé de la fréquenter bon voila, c’est un collègue,ou autre c’est un, quelqu’un de l’entourage proche ou autre et puis, plus vous la fréquentez, voustravaillez avec ou bien vous vous retrouvez souvent lors d’activité et finalement, bah à force depasser du temps à cette personne, vous commencez à l’apprécier, à l’aimer malgré toutes ceschoses que vous redoutez au début. Vous commencez même à aimer ces choses, ça m’estarrivé un nombre incalculable de fois, notamment parce que, je jugeais très souvent très vite aupremier, j’avais souvent à priori des préjugés qui arrivaient tout de suite pour juger une personnepour la première fois et c’est arrivé avec un colocataire une fois, il avait un peu une gueule,gueule de gangster enfin c’était, voilà, il avait pas forcément le visage hyper amical etcompagnie, il fumait, il avait des expressions particulières, « Ah oui ça va pas le faire », s’il estmon colocataire, mais j’avais aucun choix, je pouvais pas choisir le colocataire, c’est lepropriétaire qui décidait. Et en fait, cette personne là bah on a finit presque les larmes aux yeuxquand on a déménagé parce que, on s’était, on s’était super bien entendu et oui tous ces défautslà bah en fait, j’avais appris à les apprécier tous les défauts que je voyais en lui, finalement, jetrouvais ça drôle, j’aimais bien sa tête de gangster, j’aimais bien sa tête de voyou, j’aimais biensa manière de parler bon voila j’ai appris à aimer tout ça.

Ça m’est arrivé aussi avec un collègue, un collègue, j’aimais pas du tout son attitude, sa manièred’être etc, voilà il était commercial et, j’avais beaucoup d’a priori là dessus, finalement on a passéune demi heure, une heure ensemble dans une salle de réunion pour apprendre à se connaître,comme on travaillait ensemble et le courant est passé un petit peu et après on eu quelquesrendez-vous ensemble chez les clients et finalement bah le courant est très bien passé, on abeaucoup rigolé ensemble, on a bien travaillé ensemble aussi et voilà, on a passé de très bonsmoments ensemble, ensuite, donc, voilà ça m’est arrivé plein de fois, dans des stages ou devantle personnel, dans les activités sportives, dans des voyages, ça m’est arrivé plein, plein de fois eteffectivement, je me rendais compte que ces personnes me complétaient et me permettait d'êtreq je voulais être, elles m'autorisaient quelque part à être, vous voyez, qui je je voulais être, ellesme libéraient, elles libéraient une partie de moi qui voulait s’exprimer, elle sont toujours arrivéesdans les phases de ma vie où j’en avais besoin, mais quelque part, à un moment dans l’évolutionde cette relation chaque fois dans l’évolution du moment ou je n’aime pas la personne je ladéteste et la personne finalement je l’aime comme elle est, à un moment il y a une décision quiest prise. Est-ce que je reste sur mes préjugés, sur mes idées préconçues, ou est ce que jechoisis voila, en me disant bon bah de toute façon je vais passer beaucoup de temps avec eux,avec ces personnes, autant que j’apprenne à les connaître, autant que je les aime, autant que je

prenne la décision de les apprécier. Le piège c'est de croire que le sentiment d’amour vient del’autre personne, il vient à nous, mais de nous, nous en sommes la source, pas le récepteur. Etvous vouez savoir, comment appliquer ça au quotidien, posez vous la question suivante : Qu’estce que je peux apporter à cette relation ? Je pense que vous avez noté la question importante detout cet atelier je pense, qu’est ce je peux apporter ? Ça fait penser aussi aux aliments, on peutapprendre à aimer le café ou le vin ou les légumes, quand j’étais petit par exemple je n’aimaispas les haricots verts, jusqu’au jour ou je me suis dans mes premières années d’adulte à mepréparer des haricots verts. J’avais appris à les aimer parce que je savais aussi que c’était bonpour notre relation pour moi, mon corps et puis parce que j’avais simplement décidé de les aimer.

Aller pour conclure cette formation lors d’une retraite Neale nous a partagé deux questions sur laquestion des relations, j’aimerais les partager avec vous vous le voyez en photo là, c’étaitpendant cette justement à laquelle j’ai assisté. Il nous a partagé ces deux questions, la premièreet ces deux questions résument bien tout ce qu’on s’est dit avec beaucoup de recul commeNeale sait le faire, la première c’est :

Où est ce que je vais ?

Alors bien sur, c’est en tant qu’être humain, c’est qu’est ce que, ou est ce que j'emmène monexistence, qu’est ce que je fais de ma vie, où est ce que je veux aller avec ma vie ?

La deuxième question, donc la première était ou est ce que je vais la deuxième question, c’estqui vient avec moi ? Qui vient avec moi ? Maintenant que je vous ai montré la direction danslaquelle je voulais aller, qui vient avec moi ?

Et deux choses par rapport à ça, par rapport à ses deux questions: la première c’est que vous

voyez bien que si vous changez la réponse à la première question ou est ce que je vais, voilàvous êtes dans une relation, vous êtes en couple pendant cinq, six, dix ans ou quinze ans avecune personne et si vous commencez à changer la réponse, à répondre à la première question« où est-ce que je vais ? », bon actuellement je ne veux pas ce genre de vie, je ne veux pas cegenre de vie-là. Forcément ça va bousculer l’autre personne dans la relation « Ah oui mais ta vie est dans cettedirection là et moi j’étais pour aller dans cette direction, si tu changes de direction moi ça medéséquilibre, il faut que je me repose la question, est-ce que vais avec toi dans cette directionlà ? » C’est là où souvent aussi où il y a voilà les grandes remises en question, les crises au sein desrelations. Parce que la direction peut changer et c’est normal qu’elle change l’ambiance, c’estnormal, elle s’ajuste et la deuxième chose, c’est un avertissement que donne Neale, attention ! àne pas inverser les questions, ne pas dire : « Qui vient avec moi ? », « oui mais tu vas ou ? »« Non mais ça après, je répondrais à ça après qui vient avec moi, toi, toi, toi OK, bon venez avecmoi. Maintenant où est-ce que je vais ? bon ben, je vais aller par là » et puis les gens … « çam’intéresse pas par là, je viens plus avec toi », donc ne pas inverser les deux questions, jerépète la première question c’est ou est ce je vais, la deuxième c’est qui vient avec moi.

Bon Voilà avec cet atelier, je souhaiterais conclure un tout petit sur ces deux questions parcequ’elles me paraissaient, elles me paraissent importantes, avec cet atelier, vous vous rendezcompte peut-être aujourd’hui d’un décalage entre l’état d’une relation aujourd’hui et ce que vousaimeriez qu’elle soit et ça, c’est OK, c’est OK parce que j’ai envie de dire, c’est en relation aveccette formation que vous comprenez qui vous pouvez être aussi.

Rappelez-vous, c’est parce qu'il y a quelque chose d’autre dans la pièce que l’on peutcommencer à se définir soi-même et qu’on peut chercher à faire mieux, à être mieux, à êtremeilleur que soi même. Donc surtout prenez ce décalage, s’il y’en a un comme quelque chose depositif pour vous, ça vous donne une direction, si cette direction vous plaît, si ça vous plaît pasprenez une autre direction.

Les relations vont peut-être fonctionner différemment pour vous aussi plus que vous pensiez,peut-être qu'il y a des choses qui ont fait clic dans votre tête ou peut-être on fait « Ah oui ! Ahoui ». peut-être que, moi ça me fait ça souvent, c’est, j’ai. . . cette façon « Ah oui » puis jeremonte sur ma chaise sur comme ça dure quand même le dossier je regarde dehors, il y aquelque chose qui est digéré, donc peut-être que les voilà les choses risquent de changer peut-être autour de vous un tout petit peu, peut-être que vous allez avoir d’autres idées quand vousallez avoir à gérer d’autres personnages, des pensées différentes aussi, donc soyez attentif à cequi se passe pour embrasser ce changement pour le rendre fluide et évoluer avec cechangement, grandir avec ce changement, car n’oubliez pas que le changement est permanent,une relation ne va jamais rester comme elle est aujourd’hui, elle va évoluer simplement parceque vous vivez.

Vous êtes en relation avec tout, tout le temps donc vous évoluez, parce que tout le reste évolue,donc la question à vous poser c’est dans quelle direction vous voulez évoluer. Il y a de bonne oumauvaise direction, ça c’est, c’est la direction de Neale Walsch, donc vous voyez, faites enl’expérience, voyez si ça marche pour vous, j’ai raconté plusieurs anecdotes, moi je me suis

rendu compte avec mon expérience que ça marche pour moi, je vous invite à faire de même etvoir si ça marche pour vous, si ça marche pour vous, ça peut devenir votre vérité. Si ça marchepas pour vous cherchez une autre vérité, donc, j'espère en tout cas en suivant cet atelier vousavez affiné votre relation idéale et que vous êtes désormais en chemin vers type de relationdésormais, la relation part de vous de qui vous voulez être de votre authenticité alors soyez vous-même. L’amour véritable dans une relation avec vous, c’est quelqu’un qui confirme les penséesles plus audacieuses que vous avez à propos de vous même, alors soyez audacieux pour vouset pour les autres.

Je vous remercie beaucoup pour votre attention si vous avez des questions, vous pouvez mecontacter vous avez l’adresse du site en dessous www. conversations-avec-dieu. fr