97* Année. — ïï« 16. LE NUMÉRO QUINZE CËNÏlMÉâ

COURRIERDimanche 1 8 Avril 1 9 8 6

J O U R N A L DE L ’A R R O N D I S S E M E N T DE S E N L I Sp ara issan t T© Uimanciie

L'OISEOd u i ............................Six m o is ........................

-A- zeî a asr nsr 4 3 2 :eæ iej i t i - fc3 Oise et l ifuit r. At ti res dép.

8 fr. 10 fr.S fr. e fr .

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Las A b o n n e m e n ts p a r te n t du 1» d e ch a q u e m o is

BUREAUX, RÉL)ACÏ1«P& ADMINISTRATION SENLIS — 11, F* lace Henri.iy, 11 — SENLIS

TÉLÉPHONE N° «

;f» i » 1 :2c d e s i w S E B T i o i r a

Annonces légales............. I Éjr. 2 6 la ligne. I R éolam .g :

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Les manuscrit.*, insérés ou non, ne sont pas renaît.

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LE SOMMEIL DE L’OPPOSITION

/ Depuis deux ans que les élec­tions ont am ené au pouvoir une majorité radicale et socia­liste, qu’a donc fait l ’opposition pour réparer un aussi rude échec ?

Il faut le dire, puisque nous som m es à la veille d’un retour au scrutin d ’arrondissem ent, et que ce nouveau systèm e électoral ne sera pas sans nous im poser des obligations im m é­diates. Qu’avons-nous fait ? Rien.

On constate cependant qu’un revi­rem ent s ’est opéré dans l ’opinion depuis le triom phe du Cartel, que beaucoup ont perdu leur confiance enthousiaste et l’ont abandonné. C’est vrai. Nous l’avons dit com m e tant d’autres. Mais ce revirem ent, pou­vons-nous assurer que c’est nous, nous l’opposition, qui l ’avons provo­qué ? Pouvons-nous affirmer que ceux qui se sont détournés avec un regret amer de leurs élus d’hier nous les avons attirés parmi les nôtres en les convainquant de leur erreur ? Non. Ils ne sont pas venus grossir nos rangs, m ais ceux des m écontents et des découragés. Déçus par les hom m es d’avant-hier, trompés par ceux d’hier, ils attendent et s’abstiennent aux jours de vote.

D’un côté, que voient-ils. en effet ? Le Bloc des gauches organisé, tou­jours fort. De l ’autre ? L’oppositiftn flottante, indécise, sans program me, sans discipline, sans organisation. Nous ne som m es pas organisés ! De­m ain, avec le scrutin d ’arrondisse­m ent, qui. lançerons-nous dans la bataille électorale? Qui sera le candi­dat de l’opposition ? Quel sera son program m e ? Autant de points d’in ­terrogation. , Autant de questions indiscrètes qui restent sans réponses. Si nous n ’avons encore rien fait, hâtons-nous. Il y a déjà trop de temps perdu. N’attendons pas pour prendre nos dispositions que la dernière heure retentisse à nos oreilles endorm ies. Alors, nous ne pourrons que faire vite et m al.

C’est qu’on ne choisit pas un can­didat com m e on choisit un taxi aux heures de presse sur les boulevards parisiens. C’est qu’un program me pour être sérieux, ne s ’élabore pas en quelques jours, loin des conseils des gens com pétents. Il ne sem ble pas qu’on y songe. C’est trop évident sans doute.

Alors, pourquoi, dans chaque ar­rondissem ent, par exem ple, n ’avons- nous pas organisé, au lendem ain de notre défaite, des com ités d’étude, dont les m em bres désignés par les ouvriers, les patrons, les agriculteurs, les com m erçants, les industriels au­raient eu m ission de chercher loyale­m ent un terrain d’entente en vue de l’éîabôration d’un program me com ­m un ? Combien ne se com battent, en effet, que parce q u ’ils s ’ig n o re n t. Pourquoi, laissant à ce com ité toute latitude, ne lui avons-nous pas de­m andé de nous indiquer l’hom m e le plus capable non seulem ent de dé­fendre notre program me, m ais encore de se faire accepter par l’électeur ? Ce n’est pas aux candidats qu’il appar­tient de m esurer leur popularité...

C’eût été, peut-être, un m oyen de barrer la route à la politique de suren­chère qui pousse tant de candidats à promèttre la lune pour se faire élire ; un m oyen de mettre fin aux conflits, avant-coureurs de catastrophes, que nous voyons éclater entre le Parle­m ent et le Pays ; un m oyen enfin, de rétablir peut-être la confiance.

De tout ceci qu’avons nous fait ? L’opposition som m eille Et dem ain nous verrons surgir — nul ne saura d’où — soutenus — nul ne saura par qui — deux, trois, quatre candidats. L’adversairé aura beau jeu. Qu’im ­porte : L’opposition aura bien dormi.

ASenlis, 10 Avril 1926

M on sieu r le D irecteu rdu Courrier de l’Oise

Je vous sais parfaitement gré de l ’insertion de ma lettre dans votre num éro du 10 avril, mais je dois, sur un point, des excuses sincères à l ’au­teur de l’article qui l’a motivée.

Dans ma hâte de boufîonner ses inform ations de fantaisie, j’ai eu le très m auvais goût d e'g lisser là, sans y voir le m al, un nom de fem m e uni­versellem ent respecté, et j’en éprouve, à la lecture, le repentir le plus hum ilié.

Jo ne suis pas polém iste, et n ’écris, vous le savez, que pour préserver de la diffamation, les convictions que je m ’honore de professer. La hâte que j’y M m ise cette fois en voyage, n ’ex­cuse pas un trait grossier que votre collaborateur n’avait pas mérité, et que vous avez, sansdoute, saisi au vol,

avec une m alice qui est, peut-être, de bonne guerre.

Veuillez agréer, Monsieur le Direc­teur, l’expression de m es sentim ents distingués.

A b el VERDëAU.Votre conscience vous dira certai­

nem ent, que cela aussi mérite d’être publié.

Echos et Nouvellesg r a t t e - c i e l p o u r a u t o s

Le nombre des autos en circulation n’aug­mente pas qu’à Paris. Aux Etats-U nis, il y a m aintenant une auto pour sept habitants ; le problème de la circulation se pose, d’ail­leurs, avec une acuité telle que des mesures immédiates ont été jugées nécessaires.

A Chicago, on va ainsi construire un garage de quarante étages, destiné aux voitures en stationnement. Celles-ci devront accomplir1 ascension par un élévateur en spirale, mais elles seront redescendues à l’aide d’appareils spéciaux.

On prévoit que Paris comptera 100 000 automobiles à la fin de l’année, 200 .000 ' dans trois ou quatre ans On peut donc se demander si, d ’ici quelques années, nous ne serons pas obligés d ’avoir recours à des garages gratte- ciel, comme à Chicago, ou à des garages soutei rains.

Le Journal des Vosges.

Eclairage des Véhicules de toute natureIl est rap p e lé aux in téressés que le dé­

c re t du SI décem bre 1922 (Code de la Route) exige, en son artic le 4, qu ’ap rès la tom bée du jour, to u t véh icule, de quelque n a tu re qu ’il soit, c irc u la n t ou sta tio n n an t su r une voie pub lique , soit signalé : 1 ° vers l’avant, p a r un ou deux feux b lancs; .2 “ vers Varrière, p a r un feu rouge; et q u ’un feu b lanc et le feu rouge so ien t p la ­cés su r le cô té gauche du véhicule, de fa­çon que l’obstacle q u ’il constitue soit signalé aussi b ien aux véhicu les venan t d ev a n t lu i qu’à ceux qui le suivent.

Il n ’est fa it d’excep tion aux obligations ci-dessus rappe lées qu ’en faveu r :

1° Des m otocyclettes, des cycles p o u r­vus d ’un m o teu r m écanique, des cycles sans m o teu r m écan ique et à sim ple m o­te u r au x ilia ire qui peuven t n ’être pourvus que d ’un feu b lanc visib le de l ’avan t seu­lem ent, quand ils son t m unis, à l’a rr iè re , d ’un a p p a re il à su rface réfléch issan te rouge ;

2 ° Des vo itu res ag rico les se ren d a n t de la fe rm e aux cham ps, e t inversem ent, don t l’éc la irage p eu t être lim ité à un sim ­ple falo t p o rté a la m ain , ou m êm e sup ­p rim é, su r ce rta in s chem ins n ’in té ressan t pas la c ircu la tio n générale , spécia lem ent déterm inés p a r a rrê té p réfec to ra l.

D’au tre p a r t, l ’a rtic le 24 du décre t p ré ­c ité p re sc ri t : •

1° Que to u t véh icu le autom obile , autr^ que la m otocyclette , do it ê tre m uni, dès la chu te du jour, à l’avan t de deux lan ternes à feu b lanc et à l’a r r iè re d ’une lan te rn e à feu rouge p lacée à gauche.

2° Qu’en ou tre, tou t véh icu le m arch an t à une vitesse su p é rie u re à 20 k ilom ètres à l’heure , do it ê tre pourvu d ’un ap p are il d ’écla irage su p p lém en ta ire ayan t une p u issance suffisante p o u r éc la ire r la rou te à 100 m ètres en avant et dont le faisceau lum ineux se ra rég lé de m an ière à n ’être p as aveuglan t p o u r les au tres usagers de ia route.

Enfin, l ’a rtic le 37 du môme décret, ex i­ge que, p en d a n t la nu it, les véh icu les a t­te lés ou autom obiles, affectés aux Servi­ces p u b lic s de tra n sp o r t en com m un, seron t signalés en avan t p a r deux feux b la n cs et en a r r iè re p a r un feu rouge, ce d e rn ie r p lacé su r le côté^ gauche du.-vé­hicu le.

La v itesse m axim um à p a r t i r de la ­quelle est ob liga to ire l ’em ploi d ’un feu éc la ira n t la rou te à cen t m ètres au m oins en avan t est abaissée de 20 à 12 k ilom è­tre s à l’h eu re p o u r les véh icu les affectés aux Services p u b lic s de tra n sp o rt en com m un.

La population dans l’OiseOn enregistre une augm entation

de 19.623 habitan tsLes p rem iers rense ignem ents parvenus

à la P ré fec tu re à la su ite du recensem ent de la popu la tion , effectué le 7 m ars 1926, fon t re s so r tir une augm entation notable dans le nom bre des h ab itan ts du d é p a r te ­m en t de l’Oise.

A lors qu’au 6 m ars 1921, on com ptait 384.037 h ab itan ts (pou r 120.668 m énages et 104.214 m aisons), le dénom brem ent de 1926 accuse un ch iffre de 403.660 h ab i­ta n ts (pour 126.862 m énages et 110,625 m aisons) se ré p a rtis se n t a insi ,p a r a r ro n ­d issem ent et co n cu rrem m en t avec 1921.

Reauvais : 118.810 h ab itan ts con tre 116.494.

G lerm ont : 76.204 h ab itan ts con tre 75.357.

Com piègne : 93.564 h ab itan ts con tre 82.307.

Senlis : 115.082 h ab itan ts co n tre109.879, soit, p a r com paraison une aug­m entation to ta le de 19.623 habitan ts.

Nomination de ConsulM. U m berto P u llino v ien t d’être nom m é

Consul général d ’Italie à P aris , avec judi- d ic tion su r le départem ent de 1 Oise.

Association d’aide aux Veuves de Militaires de la Grande Guerre

L’Assem blée générale annuelle du Co- m ite départem en ta l se tie n d ra à C lerm onl le m a rd i 20 avril 1926.

A 10 heu res : messe en l’église de Cler- m ont p o u r les m orts de la guerre.

A 11 heures : assem blée générale a l ’H ôtel de Ville.

CE SOIR A MINUITn'oubliez pas d’avancerd’urte heure

vos montres et vos pendules

Société Sténographique de l’OiseL es m em bres de la Société S ténogra-

p h iq u e de l ’Oise sont inv ités à assis te r à TAssemblée générale qui au ra lieu à Beau- vais, le 18 av ril p rochain .

On se ré u n ira dans une des sa lles de la M airie, à 14 heu res 30.

O rdre du jour :(Election du P ré s id en t;R a p p o rt su r la m arche de la Société; D istribu tion des récom penses des Con­

co u rs de 1925.Le m atin à 10 heures 30, les délégués

et p ro fesseu rs sont inv ités à une réunion q u i se tie n d ra égalem ent à la M airie.

Les M em bres qui ne p o u rra ien t assister à la réun ion , son t inv ités à envoyer leu r p o u v o ir au S ecré taria t.

iCet avis tie n t lieu de convocation .

A traversPharm acie o u v erte 1

Dimanche 1 8 A v r il . ftl. Morcrette, place de la Halle.

V ILLE DE SENLIS

FÊTE DE SAINT-RIEULLe Maire de la V ille de Sentir. , Chevalier

de la Légion d’Honneur,Fait savoir que la Fête de Saint-R ieu l,

qui se tient à Senlis pendant neuf jours, com­mencera cette année le S am edi 2 4 A vril et se terminera le D im anche 2 Mai 1 8 2 6 .

Excursion-visite à CompiègneNos C onfrères Vie à la Campagne et

Jard ins et Basses-Cours o rgan isen t, le 18 av ril, une excursion-v isite in fin im ent éducative iet variée . Le p rogram m e de cette conférence p rom enade com porte :

1° V isite de la P igeonnera ie des Ve­neurs.

2° De l’E levage avicole de Com piègne (élevage p o u r la sélection de la Leghorn et p ro d u c tio n in tensive des œ ufs du jour avec g ran d s p ou la ille rs éc la iré s à l’élec­tr ic ité , couveuses, poussin ières, pav illons de stag ia ires fém in ins; o rgan isa tion p o u r la vente d irec te des œ ufs p a r une Société d ’app rov isionnem en t).

3° C ulture m a ra îch è re de La F a isan d e­rie , avec équ ipem ent m oderne et in sta l­la tio n d ’arro sage au tom atique p a r le P lu ­viôse (Voir Vie à la Campagne, n* 230).

R endez-vous à 13 heures 30 très p ré c i­ses à l’h ô te l de la Cloche. Nos lecteu rs aim ab lem ent inv ités p a r les o rgan isa teu rs de cette excursion peuven t s’in sc rire à la Vie à la Campagne, 79, bou levard St- G erm ain , P a ris (VP). Ceux n ’ayan t pu le fa ire à tem ps et se tro u v an t au rendez- vous fixé se ro n t adm is à la v isite, dans la m esure du possible.

S am ed i 24 Avril, à 2 1 heuresR E T R A I T E a u x f l a m b e a u x

avec le concours de la Fanfare du s ' Chasseurs à cheval, de la

Compagnie de Sapeurs-Pom piers et de la Société de Gymnastique “ Le Réveil ”

Les nouvelles soldesde la Gendarmerie

D epuis le 1er fév rie r, les gendarm es ont vu le u r solde p o rtée aux chiffres c i-ap rès:

Avafit 25 ans d ’âge, m arié : 676 fr. 50 p a r m ois; cé liba ta ire , 579 fr. p a r m ois. A près 25 ans d ’âge, m arié, de 688 fr. 50 à 724 fr. 50 p a r m ois, su ivan t anc ienneté ; cé liba ta ire , de 591 fr. à 627 fr. p a r m ois su ivan t l ’ancienneté .

Les gendarm es chargés de fam ille p e r­ço ivent en p lus p a r en fan t : p o u r le 1er, 45 fr. p a r m ois; le 2e, 60 fra n cs ; le 3*, 90 fra n c s ; le 4° et au-dessus 105 francs. Tous son t logés g ratu item en t et d isposen t d ’un g ran d ja rd in . Une m asse de secours p e r­m et de v en ir en a ide aux m énages attein ts p a r le m a lh eu r ou la m aladie. Le gen­darm e ob tien t une re tra ite ap rès 25 ans de serv ices , qui p eu t s’élever ailx 2 /4 du tra item e n t des tro is d e rn iè re s années.

La gendarm erie se rec ru te p a rm i les m ilita ire s ou anciens m ilita ire s de fam ille honorab le , b ien notés, robustes, ayan t une in stru c tio n é lém entaire co rresp o n d an t au m oins au certifica t d ’études p rim a ire s .

T out jeune hom m e ayan t accom pli son serv ice m ilita ire peu t d em an d er au Com­m an d an t de B rigade dans le resso rt du­quel se trouve sa com m une à e n tre r dans la gendarm erie .

Adm is dans la gendarm erie , le postu­lan t su it p en d a n t 5 m ois les cours d ’une école à la su ite desquels il est nom m ém aréch a l des logis et il cho isit sa rési­dence su ivan t l’o rd re de son classem ent. Son serv ice en b rigade consiste ra p r in ­c ip a lem en t à rép o n d re au p rem ie r appel des personnes en danger ou don t la sé­cu rité est m enacée.

E n cas de sin istre , de crim e, de vol ou de tout au tre fait, les m ilita ire s de la gen­d arm erie se tran sp o rte n t su r les lieux dès q u ’ils en ont connaissance, afin de sauver ou de p ro téger les personnes et leurs b ien s et de sa is ir les coupables.

Il faut donc, p o u r rem p lir de telles fonctions, avo ir une réelle vocation , et c ’est à juste t i t re que le gendarm e, v é r i­tab le p ro tec teu r de son can ton , vo it au ­jo u rd ’hu i augm enter son tra item en t en raison des g rands services qu ’il est tou ­jours p rê t à re n d re à tous.

Éducation PhysiqueIl y a de nom breuses années, 25 à 30

ans env iron , tous, ceux qu ; co u ra ien t à p ie d , p ra tiq u a ie n t tous les spo rts , joua ien t au foot-ball étaient baptisés..! « P iqués »... p a r la p lu p a rt de leu rs co n ­tem porains.

M aintenant dans toute la F r ance> jj y a des te rra in s de jeux, pas assez à mon avis et ne rép o n d a n t pas à m on idéal; m ais s’ils ex isten t, peu t-ê tre , est-ce un peu à cause de ces p récu rseu rs , de ces « ni qués »... .T’en étais. J

Les tem ps ne me sem blent pas b ien changes, je suis enco re un p réc u rse u r : ahn de d even ir un bon sportif, un bon joueu r de foot-ball, je suis persuadé qu ’il fau t avo ir p ra tiq u é l’E d u ca tio n P hysique dans sa jeunesse, et l ’avo ir con tinuée... m ais je suis un « p iqué » !

« P iqué », fou, n eu rasth én iq u e; m oyen classique de se d éb a rra sse r des gêneurs; depuis longtem ps il est app liqué, et réu s­sit p resq u e toujours... pas toujours.,, t e Sli ’s c lln (< p iqué », m ais ce faits^do i>pa0 rltl? uera à Çroiee aux bien- être mi’nn ’Ca- P hysique qu i ne peut â o r t i f s dp B P inii inéPuis£|hle de bons En to n , J "S J0ueurs foot-ball. lisan t 1 p r w V 1 aPPre ^ s avec p la is ir , en P o Ï Ï u n e PaîeL ? Uméro .rUl C ourrier de personne- • com pris p a r quelques

S 5 J & S T in Al T r o n c in , C onseiller d ’arrondissem ent.

j D im anche 2 S A vril, à 13 h. 3 0

j 6rar.deç Coursée CuclisteeAU VÉLODROME

A 2 1 heures

! G R A N D B A L P U B L I C *■ Au Kiosque du Cours Thoré-Montmorency

M ardi 2 7 A v ril, sur le Cours Bouttevilie• • • • M A R C H É F R A N C • • • •• • F O IR E A U X C H E V A U X • •• • • • A T T R A C T I O N S • • • •

A 1 4 heures J E U X 3 3 I V ES n s d

pour les Jeunes Gens et les Jeunes Filles Nombreux Prix

D im a n ch e 2 Mai, à 1 4 heures à l’Hôtel de Ville

Rem ise S o lennelle , p a r la M u n i c 'p a l i t é . . . . . . . . . . . . . . . .du P r ix de Bonne C onduite in s t i tu é p a r M. Desachy

A 1 4 heures 4 0 , au Kiosque

-« C O N C E R T »-par l’Harmonie Municipale de Senlis (50 Exé­

cutants), Directeur M. Mouche, artiste de la Garde Républicaine, avec le concours des Tambours et Clairons de la Compagnie de Sapeurs-Pom piers (Chef : Sergent Hazard) et de la Fanfare de trom pette: du 5° régim ent de Chasseurs.

P lace du Chalet

MANIFESTATION AÉROSTATIQUESous la Direction de M. R. Bâillât,

Pilote-Aéronaute brevetéA 9 heures

M ANΠUVRE DE GONFLEM ENTPendant le Gonflement

A 1 4 heures 4 0

—« DISTRIBUTION DE JOUETS VARIÉS AUX ENFANTS »—Ballons & musique,

Cerfs-volants, M irlitons, etc. Gonflement et Enlèvement

de S U J E T S G R O T E S Q U E SA / f heures 4 0

Enlèvem ent de Ballons Pilotes M A N Œ U V R E ! D ’A P P A R E I L L A G E

A 1 6 heures D È P A P T d u . B A L L O N

“ Ville de Senlis ” monté par deux passagers

A 300 mètres, pluie de Confettis, Serpentins

R a l ly e -B a l lo n C y c lis te (Facultatif) ouvert à tous les amateurs. — Prix au i “r ar­

rivant à l’atterrissage.

A 16 heures 4 0 , Place du Chalet

DÉPART DU TOUR DE SENLIS PEDESTRE(cross country)

Epreuve organisée par le Club Sportif Sen- lisien, sous le patronage de la F . F. A. et du Syndicat d’initiative de Senlis.

A 1 4 heures 4 0 J au KiosqueDistribution des Récompenses aux L auréats

A 2 1 heures, au Kiosque

G r a n d B a l JPutkilioBrillant Orchestre

ILLUMINATIONS générales des Promenades pendant les tro is jours

L’installation des forains aura lieu à partir du 20 avril 1926.

AVIS/Le Mairie de la V ille de Senlis, a l’hon­

neur d ’in fo rm er les h ab itan ts qu’il va être p rocédé à la rév ision de la liste des électeurs à la C ham bre d ’A gricu ltu re et invite les personnes rem plissan t les co n ­ditions ci-dessous, à se fa ire in sc rire im m édiatem ent à la M airie.

P o u r être électeur, il fau t ê tre F ra n ­çais, âgé de 25 ans et ê tre com pris dans l’une des catégories su ivantes :

1° P ro p rié ta ire s posséd an t dans la commune une exp lo ita tion ru ra le depuis 5 ans au m oins;

2 “ F erm iers , chefs de cu ltu re , rég is­seurs; ,

3° O uvriers exerçan t la p rofession ag ri­cole depu is 5 ans; . , ,,

4 “ A n c ie n s ag ricu lteu rs âgés d au m oins 50 ans. avant exercé dans la com ­mune de 1916 à 1925 inclus

5» Fem m es, chefs d’exp lo ita tion agri-

6 °* Fem m es, qui, au cours de la d e r­n iè re guerre, p en d a n t l ’absence de leu r m ari, p è re ou frè re , ont d irigé leu r ex­p lo ita tio n agricole.

Syndicat d’initiative de Senlis et de la Région

Le Com ité du S ynd ica t d ’in it ia t iv e de Senlis, s’est ré u n i le v en d red i 9 av ril, à 8 h eu res 30 du so ir, au siège social, sous la p résid en ce de M. D em oinet, p rés id en t.

E ta ien t p résen ts : MM. P au ivé , sous- p réfe t, E scavy, m a ire , H. D em oinet, p ré ­s iden t, Louât, v ice-p résiden t, Is id o re P ré ­vost, sec ré ta ire général, D ischgand , se­c ré ta ire , Ju lien , tré so r ie r, W ondrak , De- lim oges, H allo, Bedaux, in g é n ieu r des P o n ts et Chaussées, V erm orel p ère , Ver- m orel fils, d ’E rm enonv ille , M orand, M ar­tin , d ’E rm enonv ille , L ep e tit, Boissay, F ra n c is , Som m aire, L epape, F auvet, Ca­m us, L egrand , B rau lt, P ie r ra rd , D uchet iet Gallot.

E n ou v ran t la séance, M. Je P ré s id e n t souhaite la b ienvenue à M. le Sous-Préfet,qtli lu i répond c-t» term es aîraalbles e t assurle le. S ynd ica t de tou t son dévouem ent.

M. D ischgand, secré ta ire , d onne lec­tu re du p rocès-verba l de la d e rn iè re ré u ­n ion , qui est adopté à l ’u nan im ité et sans observation .

M. le P ré s id e n t donne ensu ite la paro le à M. Bedaux, in g én ieu r des P o n ts et Chaussées, qui fait l ’exposé de l’é tat ac­tuel des rou tes de son arrond issem en t. La rou te de Senlis à Creil va ê tre p ro ­ch a in em en t rechargée en la itie r-en robé . L a rou te de Senlis à C répy va être éga le­m e n t tra itée de la m êm e façon dans ses p a r tie s les p lus m auvaises. La rou te de Senlis à Com piègne qui la isse beaucoup à d és ire r dans la trav e rsée , notam m ent du bois d ’Ognon, rec ev ra un tra item e n t de m êm e n a tu re et se ra p a rfa ite p o u r la c ircu la tio n estivale. R épondan t à une question du P résid en t, M'. l ’In g én ieu r in ­d ique que la rou te N ationale n° 17, c las­sée en seconde catégorie d ’urgence, ne p o u rra ê tre am éliorée ce tte année.

M. le P ré s id e n t donne lec tu re d ’une le ttre de M. A lbert M artin , d ’E rm en o n ­ville, qu i a fa it Un essai de pavage en b r iq u e et qui so u h a ite ra it v o ir app liquer son p ro céd é p a r l’A dm in istra tion des P o n ts e t Chaussées, M. B edaux déclare q u ’il s’es t in té ressé à l’essai de M. M ar­tin , m ais que le p r ix de rev ie n t de ce pavage, trè s élevé, ne lui p e rm e t pas d ’envisager son ap p lica tio n p ro ch a in e .

M. D em oinet signale à M. Bedaux que la M unicipalité de B rasseuse se ra it dési­reuse die v o ir a p p o se r un p o teau in d i­q u an t le c ro isem en t dangereux d e la rou te d ’Iv ille rs et du chem in de G rande C om m unication n" 32.

M. L ouât dem ande qu’un vœ u soit ém is p o u r q u ’un poteau in d iq u a n t la d irec tio n d e F leu rin es et de P ont, so it p la c é ’ au c a r re fo u r du C halet.

M. D em oinet donne la paro le à M. D ischgand, sec ré ta ire de l ’E xposition C an ine qui fo u rn ira toutes exp lica tions s u r l ’é tat d ’o rgan isa tion de ce tte m a n i­festa tion appelée au p lus g ran d succès.

M. P ie r ra rd dem ande que des p r ix spéciaux so ien t offerts p o u r ce rta ines ca­tégories de ch ien s et rem erc ie à Tavance les personnes généreuses qui v o ud ron t b ien rép o n d re à son appel.

M. Diemoinet donne, en quelques m ots, le com pte ren d u de la conférence o rg a­n isée avec le concours de la m aison Guil- lem ino t et d i t tou t le succès rem porté p a r lie co n fé ren cie r, M. B ertrand .

Il annonce ensu ite , qu ’accom pagné de MM. D ischgand, W o n d rak et P révost, il a rep résen té le S ynd ica t à rA ssem blêe gé­néra le de la F éd éra tio n P a ris ie n n e et que sur les instances de ses Collègues, il a été choisi p o u r fa ire p a r tie du C onseil d ’ad m in is tra tio n de la F édéra tion .

M. le P ré s id en t donne ensuite lec tu re d ’une le ttre de la C om pagnie du N ord, en réjionse à d ivers vœ ux ém is dans une p récéd en te réun ion dem an d an t des m odi­fications aux h o ra ire s , la C om pagnie dé­clare qu ’aucune suite favorab le ne p eu t y être donnée.

iSur sa p ro p o sitio n , ap rès lec tu re d ’une le ttre de M. F ra n ç o is L eclerc, un vœ u est ém is p o u r qu e le te rra in avo isinan t le sen tie r de la Gare so it 'p ro c h a in e m e n t am énagé.

Il donne com m unication d ’une le ttre de M. H enry G irard , q u i p ro p o se l ’o rg a­n isa tion de v isites-conférences, aux d if ­fé ren ts ce n tre s de cu ltu re et d ’élevage de la région. C ette p ro p o sitio n va être étudiée.

I l com m unique ensu ite une le ttre de M. Henry^ L eroy , de Sainte-A dresse-le- H avre, q u i fa i t p a r t au S ynd ica t de son in ten tio n die d o n n e r une seconde co n fé­ren ce tra i ta n t p lus p a rticu liè rem e n t du sous-sol de M adagascar. D ate à fixer.

S u r sa p ro p o sitio n , le S ynd ica t vote le renouvellem ent de la subvention allouée à M. L avigne, p o u r le serv ice d e Senlis- V erberie.

D onnan t su ite à un vœ u ém is, le Syn­d ica t lest en tré en re la tions avec un e n tre ­p re n e u r de tra n sp o r ts de N an teu il p o u r q u ’un service rég u lie r a ssu re les re la tions en tre S en lis let ses chefs-lieux de can ton , ces p o u rp a r le rs n ’ont pas encore abouti.

L e S ynd ica t est saisi d ’une p roposition d e serv ice en tre Senlis et Creil dont les m odalités sont actuellem ent à l’étude.

Un vœu est ém is su r la p ro jio sitlo n de p lu sieu rs m em bres p résen ts p o u r dem an­d e r que les jiro p rié ta ire s r iv e ra in s des im m eubles s in is trés de la rue Bellon, so ien t m is en dem eure de clo re le u r te r ­ra in .

M. Delim oges rem erc ie M. D em oinet d ’av o ir b ien voulu m ettre à sa d isposi­tio n la salle du S y n d ica t p o u r la réu n io n constitu tive de la Société des chasseurs de l’Oise.

S ur la p ro p o sitio n de p lu sieu rs m em ­b res , un vœ u est ém is p o u r re g re tte r que les rép a ra tio n s et l ’am énagem ent du nou­veau P ala is de Ju stice ne s’in sp ire n t pas du ca rac tè re d e l’édifice.

M. L epetit dem ande que la c a r te du m étropo lita in de P a ris , soit apposée dans la garo de Senlis.

M. F ra n c is dépose su r le b u reau son p ro je t de d ép lian t dont le texte de langue anglaise doit a t tire r à Senlis les tou ristes am érica in s, p en d a n t la belle saison.

L ’o rd re d u 'jour é tan t épu isé , la séance 'est levée à 10 heures 30.

A V I SMM. les A ctiotnnaires (die la Société

A gricole de l ’A rrond issem en t de S enlis (en fo rm atio n ), son t in fo rm és que l’As­sem blée générale constitu tive se tie n d ra à Senlis le m a rd i 20 av ril co u ra n t, à 14 heures, à l ’h ô te l du N ord , rue de la R épu­b lique .

L ’un des fondateurs, P au l B onam y .

»■

Musique MunicipaleL a M usique m un ic ipa le d o n n a it jeud i

d e rn ie r le p re m ie r de ses concerts d ’été e t si le tem ps é ta it un peu fra is , les Sen- lis iens, et ils é ta ien t m alg ré tou t nom ­b reux , on t été payés de le u r dérangem ent.

D isons de suite que ce co n cert, m ené au pas gym nastique (la m usique m ène ■à tou t), a été en tous p o in ts réussi. Ce n ’es t pas sans une g ran d e jo ie que nous avons en tendu L e C im bre, le pas red o u ­b lé qui im m ortalise n o tre reg re tté M.Signnpd «ii»ns toulos 1 oy musîiqriTos (militai­res, et c ’est avec b r io que les m usiciens on t enlevé ce m orceau , m a rq u a n t a insi leu r a ttachem en t à ce lu i q u i fu t l ’an im a­te u r de le u r v ieille Société m usica le de Senlis. P u is nous en tend îm es un des m e­nuets de 1 ’A rlésienne de tou te beauté , ta n t au p o in t de vue d e la ligne m élo­d ique que de sa r ich e sse d ’o rch estra tio n . Un jeune s’y fit a p p la u d ir e t ce la augure p o u r l’av e n ir de P ie r re Bon s’il veut p e r ­sévérer, de beaux la u rie rs .

Ce fu t en su ite L a Feria, su ite e sp a­gnole de L acôm e, œ uvre o rig ina le en tro is p a r tie s don t l’a llu re end iab lée nous tran sp o rte de l ’au tre cô té des P yrénées. H autbois et c la rine ttes , cu iv res et saxo­phones y ja sen t à ra v ir e t nous avons no­tam m ent adm iré la « Réja » aux cou­leu rs cha toyan tes qu i fu t trè s b ien in ­te rp ré tée et où b r illè re n t p a rticu liè rem e n t les solistes Rousseau, Bon e t le jeune Neveu.

L e co n cert se te rm in a it p a r le P ré lu d e ' e t la M azurka de Coppelia que nous avons réen tendus avec g ran d p la is ir . Chef et m usiciens ont rée llem en t fa it des efforts» p o u r m ettre su r p ie d ce p rog ram m e et nous espérons p o u v o ir dans l ’av en ir les com plim en te r p lu s longuem ent de le u r travail. P o u r m a in ten an t à l ’ouvrage p u * ^ le P(jn nous annonce p o u r le ven- ariccfP23 co u ran t un scconid co n cert avec le concours d e M. L ec lercq , c la r in e ttis te a la M usique de la G arde R épub licaine .

J . E. T.*• **

—« PROGRAMME »—

du C oncert du V endred i 23 A vril, à 9 heures du soir, au k iosque du C ours.1. E gm ont, ouverture.............. Beethoven2 . Aubade p r in ta n ière I.acorabe3 . C oncerto pour clarinette... W eber

Soliste : M. Leclercq, de la Garde Républicaine,

q. B allet d’H am let.................. A. Thomas5 . P er les F in es, polka Beaume

Soliste : M. Leclercq.6 . T aren te lle de la P ou p ée . W ittm ann

E n cas de m auvais tem ps, le concert a u ra lieu à S a in t-P ie rre .

A

On nous com m unique la le ttre su ivan te:

Il se ra it désirab le que les en fan ts dont nous aim ons d ’o rd in a ire l ’ac tiv ité un peu b ru y an te , ne p re n n e n t p a s tro p le p o u r­to u r d u K iosque pour... un e p is te sp o r­tive à usage des to u t p e tits e t nous se­r io n s reco n n aissan ts aux p a re n ts dont nous com prenons l’indu lgence en p a re il cas, d e ca lm er cette a rd e u r p a r tro p gê­nan te p o u r ceux , qu i d és ire n t goûter, p en d a n t quelques in s tan ts en toute qu ié­tude, quelques a irs de m usique.

De p lus il se ra it n av ran t, p o u r ne pas d ire in c o rre c t que les a rtis te s q u i chaque année v ien n en t se fa ire en ten d re à Sen­lis, so ien t tra ité s avec au tan t de désinvol­tu re p a r suite de l ’in a tten tio n de quelques personnes, e t nous serions h eu reux que cet appel... au silence a it son effet lors du p ro ch a in co n cert de la M usique que u on nous annonce p o u r la sem aine p ro ­chaine. *

A uditeurs et m usiciens en se ra ien t très touchés.

Le G rincheux.

Amicale des Anciens Elèves de l’Ecole de la rue de Villevert

L es anc iens élèves de l’E cole des frè re s e t de l’Ecole lib re de la ru e de V illevert, g roupés en A ssociation A m icale, o n t tenu d im anche d ern ie r, le u r Assem blée géné­ra le annuelle , sous la p rés id e n ce de M. Chevalliier-'Bertheville, v ice-p résid en t de l’U nion des Am icales ca tho liques de Ta rég ion de P aris .

M. Georges F au tra t, p ré s id e n t d’h o n ­n eu r, f ra p p é p a r un deuil récen t, s’é ta it fa it excuser.

A 9 heures, se sont déroulées à l’école lib re les opéra tions re la tives à l’élection des douze m em bres du Conseil d ’adm i- n is tr a t io n e t e n su it e du 'bureau. I^es .mem­b res so rtan ts o n t été réélus presque à l ’unanim ité .

P résiden t : M. Jules A ndré ;Vice-P résiden t : M. L ouis D ecout p è re ;Secréta ire : M. L. L eg rand ;Trésorier : M. B audeloque p ère ;M em bres : MM. A lfred R ich a rd , H enri

H azard , D ésiré L in d e r, P ie rre B ourgoin, Ju les B aptiste, Léon G uizelin, H enri Vio­le t, Aime Dubuffet.

A 10 h eu res , les soc ié ta ires o n t assisté à la g ran d ’m esse à la c a th é d ra le , d ite à la m ém oire des m em bres d ’honneu r, an ­ciens p ro fesseurs et anc iens élèves décé­dés. M. l’abbé H éduin , v icaire , ap rès avo ir exp rim é les reg re ts de Mgr D ourlen t, re ten u à la cham bre, de ne p o u v o ir com ­m e chaque année p ré s id e r ce tte cérém o­nie, a fé lic ité les m em bres de l’A m icale de leu r excellente un ion , de le u r bonne ca m a ra d e rie ainsi que de le u r esp rit c h ré ­tien .

A l’issue de la cérém onie relig ieuse, les anciens se son t rendus en groupe, ac-

com pagnes de M. Chevallier-Bertheville-, vers lcs c im etières c iv il e t m ilita ire . De iStiperites gerbes d e fleurs on t été déposées su r lu tom be du reg re tté p ré s id e n t d 'h o n ­neu r. M. Léon F a u tra t et su r le m onum ent élevé à l’en trée du c im etiè re m ilita ire . Un De P ro fnnd is a été réc ité p o u r les ch e rs d isp a ru s p a r un ancien élève, M. l’afjjbé SjenedareK.

A 14 heures, salle Jeanne d ’A rc, en p ré ­sence d ’une très nom breuse assistance, s’est ouverte l’Assem blée générale, sous la p résid en ce de M. G hevallier-B erthe- v ille, et de M. Jules A ndré, p ré s id e n t, as­sis tés de MM. D ecout, v ice-p résiden t, B audeloque, tré so rie r, L egrand , sec ré ta i­re , D evander, d irec teu r de l’école lib re , e t des m em bres du Conseil d ’a d m in is tra ­tion .

En o u v ran t la séance, M. A ndré a eu un m ot aim able p o u r le délégué de l’Union des A m icales d e la rég ion de P a r is qu ’ila v ivem ent re m e rc ié en île p r ia n t de t ra n s ­m ettre ù l'U nion e t à son dévoué p ré s i­dent, M. F lèche, les sen tim ents de vive sym path ie du groupe de Senlis récem ­m ent affilié., Le P ré s id en t a p rése n té les excuses de M. G eorges F a u tra t e t de Mgr D ourlcnt, absences s incèrem en t reg rettées p a r tous, p u is a fé lic ité M. D evander, le dévoué d ire c te u r de l’Ecole lib re p o u r sa p ré ­c ieu se co llaboration à l’œ u v re des a n ­ciens, a insi que les m em bres h o n o ra ires p o u r les m arques d ’a ttach em en t qu’ils ne cessent de d o n n er l’A m icale; au teu r et ac teu rs on t eu le u r p a r t de rem erc ie ­m ents p o u r le dévouem ent sans bo rn e d on t ils fo n t tou jours p reuve p o u r l ’o rg an isa tio n et la réussite des séances réc réa tives , enfin ap rès avo ir exprim é sa p lu s s in cère g ra titu d e à ses co l­lègues du b u rea u et du Conseil d ’ad m i­n is tra tio n , M. le P ré s id e n t a rem erc ié l ’assistance de la sym path ie tou jours c ro issan te q u ’elle m an ifeste à l’ég a rd de l ’A m icale de Senlis, e t en p a r tic u lie r îi son G roupe L yrique.

Le S ecré ta ire a ren d u com pte de la v i­ta lité de l ’A ssociation depuis la de rn iè re A ssem blée générale , excu rsion à l ’E x p o ­sition des A rts décoratifs , séances réc ré a ­tives aux fam illes des m em bres h o n o ra i­res et ac tifs, p a r tic ip a tio n de la chora le à p lu s ieu rs cérém onies à la ca th éd ra le , ad ­m ission à l’U nion des Am icales ca th o li­ques de la rég ion d e P a ris , assistance à 1 Assem blée générale de cette U nion, séances réc réa tiv es offertes aux m em bres

Soci^Éé rl<v sooours m utuels rloS a in t-F ra n ço is-X avier et de l'TJnion c a ­tho lique, etc., etc.

, M. B audeloque a fait co n n a ître la s itu a­tio n financ ière de l ’A m icale dont les m em bres h o n o ra ires augm enten t de jou r en jour, la co tisa tion annue lle é ta n t tou ­jo u rs m ain tenue à c in q francs. Il a tenu à sou ligner les m arques de sym path ie que ne cessen t de d o n n er les am is de l’œ uvre de l ’enseignem ent lib re et a rem erc ié tous ceux qu i ap p o rte n t a insi non seulem ent le u r appu i financ ier, m ais aussi leu r appu i m o ra l à l ’A m icale de Senlis.

M. O hevallier-B ertheville, ap rès avoir rem e rc ié l’A m icale de la rue d e V iilevert et en p a r tic u lie r son dévoué p résid en t, de l ’aim able in v ita tio n qui ava it é té ad re s­sée à l ’U nion et de la façon charm an te avec laquelle il é ta it reçu , a, dans une trè s sim ple, m ais trè s in té ressan te cau ­se rie , défin i-le b u t des Am icales ca th o li­ques, rap p e lé com m ent elles pouvaien t co llab o rer u tilem en t au m ain tien des éco­les lib re s , s igna lan t en p assan t le nom bre im p o rta n t des ad h é ren ts des A m icales

* ca th o liq u es de F ra n ce , et se fé lic itan t, lu i anc ien élève des F rè re s auxquels il a ex p rim é avec tou te sa p lus vive g ra titude et sa p lus cha leu reuse reconnaissance , de co o p é rer dans la m esure où il pouvait à m a in te n ir tou jours de p lus en p lus v ivace le souven ir d e ses excellents m aîtres, qui on t fa it ta n t de b ien au peuple de F ran ce , d ’Algérie et des Colonies. Aussi, p a r un b re f récen t, S. ,S. le P ap e a-t-il tenu à en ­cou rager les A m icales catho liques. En te rm in an t, M. C hevallier-B erthcville, très ap p lau d i, a dem andé aux m em bres de l ’A m icale de se g ro u p er p lu s que jam ais, de c o n tin u e r leu r excellen te ca m a ra d erie e t i l a fo rm é p o u r ce tte A ssociation ses m eilleu rs vœ ux de p ro sp érité .

U ne séance réc réa tiv e a été donnée ensu ite . E ncore une, telle é ta it le titre d ’une excellente re v u e locale en deux actes, un pro logue et un ske tch final, due à un anc ien élève M, R ich a rd , qui fa isa it in te rp ré te r sa c inqu ièm e revue locale.

A près un m orceau d ’ouvertu re p a r l 'o r ­ch es tre , m usique a rran g ée p a r M. A ndré Cazal, don t le ta len t m usica l e s t si connu e t app réc ié , M. L ouis D ecout a d it quel ques m ots d ’in tro d u c tio n , pu is la revu; s’est déroulée p en d a n t p lu s de deux h eu ­res. L ’assistance a ap p lau d i com m e il co n v e n a it les excellen ts in te rp rè te s que so n t MAL P ie r re et Jean F rév ille , D elvien- n e > FL Violet, J. Guillot, MM. H enri, A ndré e t M H azard , L in d e r, T illie r, P . Lebon, V andenhecke, Anno, G. D om art, R. D ar- ra s . Le p ian o d ’accom pagnem ent a été ■tenu p a r M. A ndré Roeltgen d o n t on con­n a ît le dévouem ent et les qualités de m u­sic ien . Il a été d’a illeu rs ad m irab lem en t secondé p a r MM. C hauvière, H urv , G. D om art, R. Boyenval et J . Neveu. '

L es postiches é ta ie n t de la m aison Le­roux et 1 éc la irage de la m aison Bntte- fo rt.

La p lace don t nous d isposons ne nous p e rm e t pas de nous é tend re en détails su r 1 exécution de cette revue q u i fu t p a r ­fa ite . P la ira -t-e lle t avions-nous dit. Oui, elle a p lu , et l ’au teu r réc lam é p a r les spec ta teu rs a dû v e n ir su r la scène p o u r recev o ir avec les in te rp rè te s les b ravos ch a leu reu x d ’une assistance ex trêm em ent sym path ique .

Le soir, un b an q u e t a réu n i p lus de so ix an te convives d an s la g ran d e salle de 1 hôtel des Arcnes. M. C hevallier-B erthe- v ille p ré s id a it, ayan t à ses côtés e t en face MM. Jules A ndré, l ’abbé A udiffred, M. De­van d er, MM. le D octeur Chaste!, d e P arse val, Lesage, D elvienne père , L eroux , Bat te fo rt, les m em bres du b u reau et du Con sci] d ’ad m in istra tio n , l’au teu r et les in ­te rp rè tes de la revue E ncore une.

La p lu s fran ch e g aie té n ’a cessé d e r é ­gner au cours de l ’excellen t rep as et les convives ont fa it le p lus g rand h o n n eu r au m enu p ré p a ré avec soin p a r M. Gnrem- bo is et serv i ponctuellem en t. L’hô tel des A rènes m érite des com plim en ts et nous som m es heu reu x de les lu i ad resser.

Au dessert, des toasts très app lau d is o n t été po rtés p a r MM. A ndré, D evander et O hevallier-B ertheville.

La jo u rn ée de Q uasim odo n été m arquée p a r une excellente et co rd ia le cam arad e­rie , sous la do u ce in fluence de laquelle se sont en c o re p lus resse rré s lés liens noués su r les b an cs de l’école.

Un ancien. » - -----

Les obsèques de IM. André PaisantLes obsèques de M. A ndré P a isan t, dont

nous avons annoncé la m ort, ont eu lieu v en d re d i d e rn ie r, en la ca th éd ra le de Senlis, qui, p o u r la c irco n stan ce , avait reçu une trè s im posan te d éco ra tio n de d ra p e rie s avec écussons.

La levée du co rps a été fa ite à la g rande sacris tie p a r le c lergé de la p aro isse et p e n d a n t la m esse de R equiem , la m aîtrise a exécuté les chan ts litu rg iques.

D ans le C hœ ur et dans la nef, avaien. - ’ u ------Il t " IC U l

Îiris place les membres de la fam ille et es notabilités parm i lesquelles M. Rous-

sel-Leroy, représentant M. B riand , M. "Daniel-vincent, m inistre du Com m erce, le

P ré fe ts , C onseillers de p réfec tu re s , Con­se ille rs généraux , C onseillers d ’a rro n d is ­sem ent, M aires et R eprésen tan ts de d iv e r­ses com m unes, la M unicipalité de Senlis é ta it rep résen té p a r MM. E scavy , m aire , D em oinct et Louât, ad jo in ts, M. Gazeau, é ta it absent de Senlis, MM. les' m em bres des T rib u n au x c iv ils et de com m erce, et de nom breux F o n ctio n n a ires de la région.

L ’absoute a été donnée p a r M. le cha- ,m oine Conen, d ire c te u r de l ’Institu tion Saint-V incent.

A la so rtie , le -corps du défunt a été salué p a r deux escadrons du 5' Chasseurs, avec é ten d a rd et fan fa re , sous le com m an­d em en t du C olonel A ndré.

Les co rd o n s du c h a r funèbre on t été tenus p a r MM. M ercier, co n se ille r à la Cour d e C assation, L inarès, p ré fe t de l ’Oise, Noël, sén a teu r, p ré s id e n t du Con­seil général de l’Oise, et G authier, juge au T rib u n a l de la Seine.

An cim etière , des d iscours ont été p ro ­noncés p a r M. Daniel-Vin-ccnt, Noël, S chm id t et le P ré fe t de l’Oise.

Nous renouvelons à la fam ille en deuil, nos p lus respectueuses condoléances.

Commandant R evillois, représentant le général commandant le Corps d’Armée. tous le s Sénateurs et Députés de l ’Oise, à l ’exception de M. Fournier Sariovèze. qui, absent de Compiègne et de Paris, s ’était fa it exebser. M. le P réfet- MlM. 1er Sons l

Vélodrome de SenlisLa réu n io n ex tra o rd in a ire du S. Y. S.

au ra lieu sam ed i procha in 24 avril, à 21 heures, au siège de la Société, café du Com m erce.

L a réu n io n d ’ou v ertu re du 25 avril s’annonce fo rt b ien , au p o in t de vue en­gagem ents, le Gros C aillou S portif, dé­te n te u r actuel d u C hallenge T u rq u e t de la B oisserie , n ’a pas envie de le p e rd re , c a r i l nous a d é jà -engagé ses fines p é d a ­les -qui ont nom : Abbeglen, A udinet, Chocq, L eto u rn eu r, de p lus nous avons d é jà les engagem ents de deux bonnes équipés du N ord-E st Sportif, ainsi que celle du Rivoli S portif, et nos A m ateurs S enhsiens qui sont en g ran d e form e, se d éfen d ro n t avec -acharnem ent le 25.

Nous au rons du -beau sp o r t su r no tre p is te qui est rem ise à neuf, et nous espé­rons avo ir égalem ent du beau tem ps.

Union Catholique et Ligue Patriotique

Une très im p o rta n te conférence sera d o n n ée m a rd i so ir, 20 av ril, à la salle Jean n e d ’Arc, p a r le R. P . Deau, p ro c u ­re u r des m issions des P ères d e M arie, su r Les M issions dans la réyion des qrands lacs A frica in s.

Cette conférence sera accom pagnée de p ro jec tio n s du p lus h a u t in té rê t; elle s’ad resse à tous ceux qui son t p réoccupés de l ’expansion fra n ça ise et ca tho lique à trav e rs le m onde.

E n ra ison du serm on du jub ilé qui au ra lieu -ce même so ir à 8 heures, la confé­rence du P . Deau com m encera seulem ent à 8 h. 45 très p réc ises .

Les personnes qui n ’au ra ien t pas reçu d ’inv ita tion en tro u v ero n t aup rès dès m em bres des Com ités de l ’U nion ca th o ­lique et de la Ligue pa trio tique .

POUR LES PREMIÈRES COMMUNIONSChapelets nacre sur argent Dizaines » » »

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Société d’histoire et d’archéologieL a séance de la Société d ’H isto ire et

d ’A rchéologie qui eut lieu le je u d i 8 cou­ra n t réu n it, comrtie d ’h ab itu d e , un g rand nom bre de m em bres d é la Société; ap rès les p e tite s fo rm alités ad m in is tra tiv es h a ­b itue lles et la récep tio n des p u b lica tions pério d iq u es ou p a r ticu liè re s offertes p a r les Sociétés co rrespondan tes , les confé­ren c ie rs p r ire n t la p a ro le : -d 'abord ’e v ice -p résid en t M. le b a ro n A ndré de Ma- ric o u rt, qui ava it p r is com m e su je t : « Le légenda ire d e Senlis et le F olklore du Valois ».

-Le d é lic ieu x h is to rie n fa it défilé tou­tes les légendes q u ’il a pu rec u e ill ir dans nos cam pagnes des env irons d e -Senlis p en d a n t son en fance et m êm e -depuis, ca r ces légendes c ircu len t encore, et q u ’il co n sid ère com m e les d e rn ie rs vestiges du paganism e et d e la so rce lle rie . La so rce l­lerie , en effet, a été très flo rissan te vers la fin du -moyen âge -et l ’époque de la R enaissance, non lo in d ’ici, notam m ent à V erberic ; quelques réc its dans lesquels le d iab le joue tou jours le p r in c ip a l rôle ont une o rig ine p lu s anc ienne, g erm an i­que ou orien tale .

M. de M aricourt explique q u ’une telle é lude est m oins fe rtile qu’elle peu t para i- tre , c a r la conunuiinutô -des îôgencteS peutrév é le r les lions de p a re n té en tre races.

M. L ouât, tré so rie r, -qui lu i succède, re tra c e l ’h is to ire du M usée m u n ic ip a l de Senlis; il exp lique quel -fut le noyau de ce m usée, quelques envois -de l’E ta t vers 1876 -et le legs -M ennessier; il re la te le tra n s fe rt des tab leaux et objets d ’a r t de l ’H ôtel de V ille où ils se trouvaien t, dans l’anc ienne Chapelle -du couvent de la Cha­r ité et la cérém on ie d ’in au g u ra tio n ; enfin il a ttire l ’a tten tion su r toutes les œ uvres d ’a r t d ignes d ’in té rê t qu i figurent dans ce m usée.

M, M açon, p ré s id e n t, te rm in e p a r un exposé des p lus in té ressan ts su r le ch a r- t r ie r de C hantilly , sa fo rm ation , son clas­sem ent, ses d ivers conservateu rs , etc.

Ces tro is co n fé ren c ie rs son t très a p ­plaud is.

En ra ison de la co ïnc idence de la F ête de l’A scension avec la date de la p ro c h a i­ne séance, le B ureau de la Société a d é­c id é que -celle-ci au ra lieu le tro isièm e jeu d i de m ai, c ’est-à -d ire le 2 0 .

Le Revue “ Encore une ”Une nouvelle rep rése n ta tio n de la revue

locale E ncore une, in te rp ré tée sam edi et d im anche d ern ie rs , p a r le G roupe L y ri­que de l’A m icale -des anc iens élèves deI éco le de la rue de V iilevert et qui fu t ap p lau d ie p a r p lus de six cen ts p e rso n ­nes, se ra -donnée de nouveau dem ain d i­m anche 18 av ril, à 8 heures 1 /2 très p ré ­cises, à la salle Jean n e d ’Arc.

C ette séance réc ré a tiv e est donnée g ra ­tu item en t à la su ite des dem andes faites p a r de nom breuses fam illes de m em bres h o n o ra ires et de m em bres ac tifs qui n ’ont p u assis te r aux p réc éd en te s re p rése n ta ­tions.

-Ces fam illes son t p riée s de re ti re r leu rs ca rtes dem ain d im anche, de 9 h. 30 àI I h . 30, et de 2 h eu res à 4 heures, chez M. B attefort, é lec tric ien , rue Vieille-de- P aris .

c . s . s .L ’Assemblée générale du C lub S po rtif

S enlisien est fixée au m e rc re d i 21 av ril 1926, -a 8 h. 30 du soir, salle des réu ­n ions, à ja M airie de Senlis.

ordre du-jo u r :Lecture du procès-verbal de la-dernière

Assemblée générale.Compte -rendu moral et financier de la

saison.Renouvellement du bureau.Questions diverses.

Le Jubilé à SenlisDu lu n d i 19 av ril au sam edi 24. ijCÜX

in s tru c tio n s s-cront données p a r jour i,arM. l’àbbé C arbonn ier, m iss io n n a ire ’dio­césa in : la p rem ière , Je m atin , -à 8 h. l/a " la seconde, le so ir, à 8 h. 1/4.

Les jo u r et heure de la procession oifi cielle seron t p réc isés dès le début de cotiè re tra ite .

P r iè re de rép a n d re la nouvelle dans la paro isse.

Chasse à CourreL ’équ ipage M enier coup lera avec l’étmi

page du Comte de Valon, -aujourd’hui sa­m ed i, en -forêt d ’H alatte .

Rendez-vous à m id i au P o teau de ls Belle-Croix,

On nous p r ie d’an n o n cer la m ort de M. A ndré P aisan t, avocat à la Cour d ’Appet de P a ris , député de l’Oise, v ice-président du Conseil général, ancien -Sous-Secré­ta ire -d’E-tat, décédé le 6 avril 1926, dans sa 58' année. Ses obsèques ont eu lieu à Senlis, en l ’église cathédrale.

De la p a r t de -Mme Albert P a isan t, sa m ere ; de M. et Mme Joseph Chanove, ses beau -frere et sœ u r; de M. P ie rre Chano­ve, de Mlles F rançoise et M arguerite -Chanove, ses neveu et nièces et de toute sa fam ille. 3777

Messe anniversaireï lI ,n.e,™ osse. scra d ite à la ca thédra le le lu n d i 19 avril, à 10 heures, p o u r le repos de l ’âm e de Alfred M alingre.

8783

Petites nouvelles-Dimanche d ern ie r, une collision d’au­

tom obiles s’est p ro d u ite su r la route Na­tionale de -Paris à Senlis, sur le te rrito ire de P-ontariné. N otre excellent confrère, M. W arusfel, de la Gazette de l’Oise, se trou­v a it en autom obile avec sa fam ille, au lie u d it la Croix de P on tarm é, tenan t sa d ro ite , il r e n tra i t à Senlis, vers 6 li. 1 /2 du soir, quand soudain , une au tre auto­m obile v en an t en sens inverse voulut doub le r et en tra en collision avec l'auto­m obile de M. W arusfel. Ce d e rn ie r tentacl év ite r l’cVbstacle en m o n ta n t s u r lelo ir , m ais scs efforts dem eu rè ren t vains -et les deux vo itu res se fra p p è ren t. T

Le co n d u c te u r de la vo itu re se rendant vers P aris , un in g én ieu r p a ris ien , M. h‘p' ' r i Leoewe, q u i n ’ava it son p e rm is d e con­du ire que depuis h u it jours seulem ent e.n fut qu itte p o u r une -légère ém otion. Deux dam es qui se tro u v a ien t dans l’automo­b ile de n o tre co n frère ont été légèrem ent contusionnées. L ’auto a subi dès dégâts très im portan ts.

La gen d arm erie de Senlis a ouvert une enquête p o u r d é te rm in e r les responsa­b ilités .

— La gen d arm erie a a rrê té alors qu’il é ta it de passage ru e Bellon, le manou- vri-er Jean M ichalski, âgé de 33 ans, sans dom icile fixe, qui é ta it sous le coup d’un a rrê té d ’expulsion, a rrê té qui lui avait été notifié îe 31 m ars 1926 à la maison d ’a r rê t de P aris .

I l a été condu it au P a rq u e t et ensuite à la m aison d ’a r rê t de la rue d e la Poterne,

■— N otre sym path ique concitoyen, M. Lelong, greffier de p a ix é tan t en autom o­b ile -se tro u v a it à N anteuil-le-H audouin, lo rsq u ’a rr iv é au cro isem ent de la rue de l’H ôtel-D ieu et de la ru e -Oharles-Lemaire, il en tra en collision avec l ’auto de M. G arn ier, cu ltiv a teu r et m aire de Chèvre- ville, -conduite p a r le -chauffeur Albert Li-geron.

T out s’est borné*.heureiisem ent à des dégâts aux deux autos. A ucun acc iden t de personnes.

Une enquête est ouverte p o u r é tab lir les responsab ilités.

Théâtre Municipal CinémaP ro g ram m e des 17 e t 18 av ril 1926-Samedi, so irée à 8 heures 45.D im anche, m atinée à 2 heures 45. - -

-Soirée à 8 h eu re s 45.Ivan Mosjoukin-e dans L E L IO N DES

MOGOLS avec N atalia Lissenko, Camille B ardou , etc.

Un A rtic le sensa tionnel, com édie gaie.La fabrica tion de la porcela ine, docu­

m en ta ire .O rchestre sum p h o n iq u e sous la d ire c ­

tion -de M. A ndré Cazal.

P en d an t les fêtes de la Saint-R ieul, le T h éâ tre m un ic ipa l C iném a fera relâche.

ETAT CIVIL DE SENLISdu 9 au 1 6 A v r i l 1 9 2 6

pa issa n ce14 . Daniel-Julien-Victor Petiteau, rue des

Jardiniers, 2 .IMariage

10. M. Louis-Emile Delafont, charretkt, dem eurant à Senlis, rue de la Montagr.e- Saint-A ignan, 6 , ̂ et Mlle Olga-Germaine Javet, sans profession, demeurant à Senlis, rue de Viilevert, 4 .. 10. M. R ené-A rm and-H enri Thierry, employé de commerce, dem eurant à Nogent- sur-O ise, et Mlle Marguerite-Germaine Buha, couturière, demeurant à Senlis, rue du-Mou- lin-Saint-T ron.

Décès11. Mme Louise-Maria G authier, veuve

Lejeune. 77 ans. rue de Viilevert, 12.14. Mlle Lucyane-Euphrosine-Léone-Gene-

viève Combaret, 18 ans, Rempart Bellevue, 4.

Police Correctionnelle de SenlisAudience du 1 2 avril 192 6

CREIL. — Dans la soirée -du 19 février vers minuit, Delandat Joseph, 18 ans, et Mar- cellin .Tose-ph, 81 ans, tou-s deux ouvriers maçons, demeurant à Creil, ayant la téte fort échauffée par les copieuses libations de la journée, se présentaient à la gare de Creil, avec l’i-dée de se rendre 4 Paris, pour y con­tinuer la fête. L’employé Beugniet leur ayant refusé l’accès du quai, ces deux individus insistèrent et une bagarre s ’en suivit, au cours de .laquelle l'employé de gare fut. mal­traité et un carreau brisé a ja porte d’entrée. Da-landat est condamné en 50 francs d’amen­de, Marcellin à 25 francs.

— Passant le 8 avril vers 8 heures du sJir- rue do la République, le nommé Harpillarq Aiphonse-Louis, 22 ans, ouvrier d’usine i Creil, apercevant une bicyclette à la p0«»', du débit « La Taverne »,, §’en empara. finn geste avait, été vu par le propriétaire de H machine qui se mit à sa poursuite et aidé d’im camarade, put rejoindre le voleur rue d Parc. Deux jours auparavant, Ha-rpillard avau -dérobé un complet -dans la chambra d’un de -scs camarades de pension au débit. Leroy mo •Tean-.Taurès. Harpi-llacd qui était sorti rienu-" peu de la maison d’arrét d’Amiens, attranc un an un jour d ’emprisonnement, 5 ans d ’in terdtction de séjour.

GREPY-EN-VALOIS. — Au mois de du cembre dernier, alors qu’il habitait Saint* Dents, le nommé Go-dest Jean-Marie, Agé dï 36 an-s, mécanicien au chemin de fer du Mot- 1 demeurant actuellement à Crépy, eût une al tercation avec un receveur de tramwavsi Tjn contrôleur étant intervenu, Godést eut. le ton de s’emporter at de lancer un violent, en ,,,/ji1 poing an plein., Bgur« 4 *woJoyé

se défend d’aVoir frappé le contrôleur et p ré­tend n’avoir fait que le repousser. Il attrape 50 francs d’amende avec sursis.

GOUVIE-UX. -*-e Venclenipufe Maurice, 27 ans, et Boulogne Elie-Vincent, 27 ans, go sont de nouveau fait pincer braconnant le 15 mars, sur les propriétés de M. Texicr, ter­ritoire de Gouvieux. Le Tribunal leur octroie i chacun par défaut un mois de prison 200 francs d’arnrnde.

LAMOR-LAYE. — Au cours des mois d’oc­tobre et novembre dernier, de-s vois furent commis dans des logements provisoires éta­blis dans le domaine du Lys, où l’on déroba des vêtements, du linge, des o.bjets de mé­nage et des denrées, causant aux propriétai­res un préjudice do douze cents francs. Le 12 novembre la police de Paris arrêtait deux individus, les nommé-s Baril R-eûé, 35 ans, et, Griffon Aimé, 30 ans, qui se reconnurent les auteurs des vols. Venus se joindre aux nom- i-vçux braoonniers qui opèrent dans la forêt du Lys, Baril et Griffon qui habitent Paris, avàknt, remarqué ces habitations provisoires abandonnées la semaine et avaient cambriolé colles dont l'aspect leur laissait supposer qu’elles contenaient des objets d’une -certaine v-ajeur. deux individus sont des repris do justice, déjà condamnê-s plusieurs fois pour vol. Ils sont condamnés chacun en une année d’emprisonnement et cinq ans d’interdiction de séjour.

NANTEUIL-LE-HAUDOUIN. — Le 28 mars le sieur Collignon, cultivateur à Nan- teuil, constatait le départ furtif du belge De Bel René, Agé de 24 ans, son ouvrier, en même temps que la disparition d’une paire de draps en toile. Deux jours après De Bel était retrouvé à/Crépv encore nanti des draps dérobés. Il s’entend infliger 15 jours de pri­son et 16 francs d’amende.

PONT-SAINTE-MAXENCE. — La dame Duquenne, née Séguin Eugénie, 58 ans, de­meurant, avenue de Senlis, à Pont-Sainte- Maxence, possède un chien méchant, s’a tta­quant principalement aux enfants. Le 21 fé­vrier ne chien se jeta sur le jeune Louis Jean, Agé dé trois a-n-s et le mordit h la face. La dame Duquenne poursuivie pour blessures par imprudence et divagation de chien, ré ­colte pour le délit, 50 francs d’amende et pour la contravention 6 francs d’amende.

IV Î . F \ G B A INF TE! F*CHIRURGIEN DENTISTE

reçoit, dans son C îibinet,

8 8 m e de la R épublique, à S en lis,«s l undi M ardi. Je u d i ut V endred i

Je f) h. h IM hs»R-i x « n o o i i t e s

C H A N T I L L YCHATEAU — Ouvert dimanches et jeudis

fgratuit) ; samedi (entrée : 2 fr.) de 14 heures à 17 heures ; sortie du parc, 18 heures

PHARM ACIES ouvertes tous les Di manches jusqu’à midi.

SERVICE AUTOMOBILE CHANTILLY- GOUVIEUX. Départ de Chantiily, place de la Gare ; 6 h. 55 , 8 h., 10 h. 4 0 . 11 h. 30 . 17 h 30, 18 h 30 . Départ de Gouvieux, place de ia République: 7 h 2 0 . 8 h. 13, i j h., n h. 45 , i \ h. 50 . 18 h. 50

Le premier service (6, h 35) dessert le ha­meau de Chaumont, il en est. de même au tour de 17 h. 30 .

Les Dimanches et Fêtes, le dernier départ de Gouvieux est reculé à iq h. 4 3 .

M. Clavier Marie, gendarme à Chantilly, est inscrit au tableau de concours pour la Médaille militaire pour l’année 1926 (J. O. du 4 avril 1926).

Etat civil d u m o i s d e m a r s 1 9 2 S . - -Nais-s-ances. — Brocourt Jean-Gaston, 9, rue de la Machine.

Berlin Georges-Robert-Roger, 22, rue des Cascades.

Dufau Georges, 8 , rue de la Machine. Fouroroy Marie-Denise-Augustino, 76, rue

du Connétable.Geth Geneviôve-Berthe, 5, rue de la Fai­

sanderie.Fertier Guy, 54, rue du Connétable. .Tacobée Charles-Maurice, 5, rue de la

Chaussée.Publications de mariages. — Entre Go-

rms Emile, riveur, domicilié à Puteaux et Mlle Bâton Suzanne, couturière, domiciliée A Chantilly.

Entre Johson Joseph-Samuel, palefrenier à Chantilly et Mlle W arbuton May-Elisabeth -sans profession, à Chantilly.

Entre M. Slimon ' Fennand-Pau8r Antoine-, électricien au Nord, domicilié à Paris et Mlle Sempastous Marie-Jcanne, employée aux P T. T. à Chantilly.

Entre M. Pouech Pauli, facteur des P. T. T. A Chantilly et Mlle Aillôres Emilie, sans profession, A Cous-sa (Algérie).

Entre M. Raimbault Louls-Charles-Ca mille, manouvrier à Salnt-Maximin et Mlle Mau-borgne M arguerite-Paullnc, sans profes­sion à Chantilly.

Entre M. Rousseau Kléber-Albert, livreur à Chantilly, et Mlle Lefort Marcelle-Hen- riette, passementière, à -Beaumont-sur- Oi-se.

Entre M. Zybura Joseph, ouvrier d’usine A Yauxbuin, et Mlle Biernat Marie, cuisinière A Chantilly.

Décès. — Dambreville Euphémie-Louise- Napoléone, veuve Castelle, sans profession 75 ans, ho-spice Co-nidé.

Gueiibe Henri-I-saac, sans profession, 80 ans, hospice Condé.

Duménet Paul-'Augu-ste-Louis-Viotor, ma­nouvrier, 69 ans, ho-s-pice Condé.

Duval Clément, entraîneur, 59 ans, hos pice Condé.

Mignot , Gauthier-Marte, domestique, 49 ans, 96, rue du Connétable.

Gaury André, sans profession, 76 ans, rue du Connétable, 5 5 .

AVILLY-8 AINT-LEONARD

La Compagnie d ’arc a effectué le tir de l’abat-l’oiseau. A la 39» halte, le volatile a été abattu par le chevalier Ga-sto-m Damiens, qui a été proclamé président-roi.

Le bureau est ainsi constitué :-Capitaine : M. Plateaux;Lieutenant ; M. de Wint-er;Secrétaire : M. Edmond Decroix;Trésorier : M. Dupré ;Sous-lieutenant porte-drapeau : M.. Jacob

Marceau.— A l’occasion du mariage H eurteur-Fur-

caud, une quête faite au profit -de la Caisse des Ecoles a rapporté la -somme -de 15 francs.

Le Maire renouvelle ses rcmercîments aux. généreux'-donateurs -et ses meilleurs vœux de bonheur aux Jeunes époux.

B R E G Y

D é o è s de M . C h a r l e s M o q u e t . — Une bien triste -nouvelle -nous est parvenue, mettant en deuil d’honorables familles de la région

M. Charles Moquet, qui -fut, pendant long­temps le Maire très estimé et très apprécié de la commune de Brégy, où sa mémoire sera toujours conservée, est décédé en son domicile A Paris, rue de Vienne, 16, muni -des -sacrements de l’église, le 13 avril 1926,A l’Age de 73 ans.

Un service a été célébré vendredi maM à 10 heures 30, en l ’église Saint-Augustin, sa paroisse, -en présence d’un-e foule nom­breuse de parents -et d ’amis.

Après la cérémonie religieuse, le corps fut transporté à Brégy, où un second service a lieu au moment où nous mettons sous -presse. Il sera suivi de l’inhumation dans Je caveau de famille.

En dette douloureuse circonstance, nous prions M'tie OberR» Moduet, *1» veuve, 14, et iUtis IffUé U iudré, M- et Mmi Paul.

dré, M, -et Mme Louis Garnier, M. et Mme Paul GaraJer, M. et Mme Pierre Moquet, ses ûl-s, filles, gendres et belle-fille, et leurs en­fants; Mme Adi'icn Moquet, M. et Mme Fé- 1 lix Boisseau, M. l'abbé .André Delaunay, M. j Georges Deiaunay, Mme Edgar Delaunay, M. et Mme Paul Delaunay, et tous ceux que oette mort mot en deuil, d’agréer ]'expres­sion de nos plus respectueuses condoléances.

CHAINANT

Dimanche 18 avril, A 3 heures (heure nouvelle) grand bal jazz-band dans les sa­lons -de M. Katoski.

CREIL

Médaille militaire. — La Médaille militaire vient d ’être attribuée à M. Eugène Branlard, déjà, titulaire de la Croix de guerre avec pal­mes et de la Médaille coloniale,

M. Branlard, réformé pour blessures de guerre, est le sympathique directeur de l’Of-floe municipal de placement et l’actif secré­taire du Conseil de Pru-d’hommes.

Nous présentons au nouveau médaillé nos bien vives félicitations.

Association Amioale des anejens é lèves de l’Ecole 8om asoo. — F ête annuelle. — La So­ciété Amioale des anciens élèves organise une matinée-concert qui sera donnée le di­manche 9 mai prochain, dans la salle d-33 Fêtes de Nogent-sur-Oise, rue Jean-de-la- Fontaine.

Il nous parait inutile de rappeler ioi que -cette fête est toujours très goûtée du public. L’agréable souvenir des spectacles donnés par cette Société, nous dispense de toute pro­pagande superflue.

Nous espérons donner d’ici peu, un aperçu, de cette fête.

— M. Blanchaf, restaurateur, rue Jules- .Tuillet, ne voyant plus depuis quelques jours un de ses pensionnaires le belge Bekaert Gustave-Joseph, né le 12 janvier 1865, an-

- cien soldat pensionné, Informa M. le Commis- i saire de Police qui fit ouvrir la chambre oc- ! oupé-e par le Belge. Celui-ci était étendu sur ; le sol, une forte ficelle autour du -cou. Un 1 morceau de la même floelle qui s’était rompue

pen-dait à un clou du plafond. La mort re­montait à quatre jours. On ignore la cause du

: suicide.' — On a retiré de l’OOise, à Saint-Leu-

d’Esserent, le cadavre de Mme Paris, née Pruvost, 28 ans, domiciliée îi Creil, place Al- bert-Dugué.

On se ra-p-pelle que la jeune femme avait Giuiittd son domicile dans la nuit du 2 au 3 mars dernier, en laissant son jeune enfant au berceau, et après avoir ouvert le robinet de l’appareil à gaz. On attribue son suicide Si une crise de neurasthénie.

E R M E N O N V IL L E

M. Alexandre François, 68 ans, sans pro­fession, a signalé qu’il avait été l’objet pen­dant la nuit d’un cambriolage et qu’on lui avait soustrait une somme de 8.400 francs en billets de banque placée dans une armoire.

Trois chiens qui se trouvait dans une pièce- du rez-de-chaussée n’ont pas aboyé. On n’a aucun sou-pç-on sur l’auteur de ce cambriolage opéré sans bruit.

La gendarmerie de Nanteüil enquête.

LAMORLAYE

Un Jockey se tue à l’entraînement. — L»jockey Frédérik Sherrate, 37 ans, de nationa­lité anglaise, habitant Lam.orlaye, faisait de l’entraînement sur le terrain des Aigles, lors­que son cheval s’emballa et vint ,se je ter con­tre un arbre. Le cavalier, fut désarçonné et se fraotura le crâne.

Le garde du terrain d’entraînemont, M. Brûlé, qui avait été témoin de l’accident, transporta le jockey à l’hôpital de Gouvieux, mais le blessé expira en cours de route, et le- Docteur Mauéat, de .Chantilly, ne put que oonstater le décès.

Le défunt laisse une veuve et trois enfants.—- On a soustrait dans un chantier d’une

maison en construction, dans la forêt du Lys, plusieurs outils appartenant à M. Picard, en­trepreneur de fumisterie à Chantilly, et re­présentant une valeur de 1.500 francs.

Les auteurs de cette soustraction ont été arrêtés par la brigade de gendarmerie de Neuilly-en-Tholle. Ce sont Claudius Bourbon, âgé do 3 ans, et Yvonne Ileurtel, 44 ans, tous' deux sans domicile fixe. Ils ont reconnu les faits et ont été dirigés sur le Parquet do Senlis.

IWONTATAIRE

Cambriolée par sa voisine. — En revenant de son travail, Mme Vve Bazin, 3 7 , rue Mer- tian, à Montataire, constata que son apparte­ment avait été cambriolé. On lui avait volé 3.000 francs en billets de banque.

L enquête du commissaire de police permit bientôt d’établir que. l’auteur du vol était une voisine, Mme Camille Vasseur, qui ayant réussi à s ’emparer de la clef de Mme Bazin pénétra chez elle.

Quand le commissaire se présenta chez Mme Vasseur, celle-ci jeta dans le feu les billets de banque volés.

La voleuse a été écrouée.

NANTEUIL-LE-HAUDOUINLes samedi 27 et dimanohe 28 mars, en

soirée, pour les personnes de la ville, et ie dimanche 28, en matinée spéciale pour les membres de l’Union Catholique cantonale et leurs familles, ie film, déjà célèbre et, de faoture bien française, Comment j ’ai tué moi enfant, tourné d ’après le drame vécu de Pier.ro i’Ermitc, r été projeté sur l’écran dans la salle de Mme Rudault.

Aux trois séances, une assistance fourni'' et choisie est venue tirer la conclusion oui s'impose.

Puisse en particulier chaque mère avoir emporté, si un jour son fils ou l’un de ses fils devait entendre l’Appel, le souvenir des angoisses et du double remords maternel et chrétien qu’une pauvre femme s’est infligés par sa peur de vivre.

Que tous les assistants trouvent ici le merci qui leur est dû; ceux de Nanteuil qui ont, tenu à honorer ces séances en y assis­tan t; ceux surtout qui de Crépy, du. Plessis, d Eve, de Fontaine, de Ver ou de Boissy, se sont imposés, malgré le soleil printanier,'les cahots du train et de la route.

Me-roi également à l’opérateur qui a fait merveille sans rencontrer évidemment chez nous le confort auquel il est habitué. Merci à Mme Huet et A Mlle J. Poteau qui ont joué pendant toute la durée du film, Ds morceaux les mieux appropriés au sujet et les ont ren­dus avec leur talent et, leur dévouement ha­bituels; merci à toutes les personnes-qui n ’ont ménagé ni leur temps ni leur peine pour assurer le succès de cette séance.

— Le jeune Henri Lecareux, âgé de 16 ans, au service de M. Marage, charcutier, rentrait en bicyclette de' faire des courses pour son patron, lorsqu’il fut accroché par- un camion $e dirigeant vers Moaux et appar­tenant à un négociant do Ville,n-oy.

Lecareux fut -projeté à terre et relevé avec une égratignure sans gravité à la Jambe.- Quant à sa bicyclette, elle passa -sous les roues du lourd véhicule et, fut. brisée. P ré­judice : 525 francs.

La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les responsabilités.

NEUILLY-EN-THELLE

A l’issue de l’Assemblée générale de la Gai-sse d ’assurance mutuelle agricole rentre le® accidents de Neuillyren-Thelle, qui aura lieu le lundi 26 courant, à 14 heures, à la Mairie de cotte localité, M. Barbut, direc­teu r des Services agricoles, fera une cau­serie sur un sujet intéressant l’agriculture.

T-ou-s les agrlculteur-s du canton sont, invi­tés à oette réunion.

VERBERIE

Tir de l’oiseau. — Le dimanche i l avril, la -Compagnie d ’arc s ’esi rendue dans la prai- r ie ^ e Capy, obligeamment -prêtée par M. P e­ter», pour le tir annuel de l’oiseau.

A la 23“ halte le chevalier Henoque Lucien abattit l’oiseau et fut proclamé Roi pour 1926 à la grande joie de tous les ohevaliers.

— Un procès-verbal a été dressé contre la -dame Vestiel Charlotte, ménagère, âgée de 24 ans, pour divagation d-e chien.

V I L L E R S - 3 A I N T - P A U L

La gendarmerie a arrêté l’ouvrier mineur Augustin Faur, âgé de 35 ans, originaire de Briançon, qui n’étant pas muni d ’argent s’est fait servir un déjeuner de 6 fr. 75 sachant qu’il ne pourrait le payer. Il a été dirigé sur Senli-s.

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L’adjudication aura liait le Samedi quinze Mal 1826, à 15 heures, enla Mairie de Villers-sous-Saint- Leu par le ministère de M* Bar­bier, notaire 4 Greil, commis à ce t effet.

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra :

Qu’en vertu et en exécution d ’un jugem ent rendu sur requête par le Tribunal oivil de So'Alis, le deux mars 1926, enregistré.

Il sera aux requête, poursu ites e* diligen ces de : Prem ièrem ent. —Monsieur Félix Metzgér, brigadier à la'D irection de (a police judiciaire, demeurant à Paris, boulevard Bes- sières, n” 95; Deuxièmement. —Madame Marie-Geneviève Metzger, veuve de Monsieur Julien-Marie Goyat, sans profession, demeurant à V lllers-sous-Saint-Leu ; Troisième­ment. — Madame Joséphine Metz­ger, épouse de Monsieur Désiré- Léon Carbon, m^çon, avec lequel) elle demeure à Saint-Leu-d’Esse-’’ rent, et ce dernier tant en son nom personnel au besoin que pour assis­ter et autoriser lfi dame son épouse, I me, sur celle d e ........su s-n om m ée; Q uatrièm em ent. — I P ou r l ’a r t ic le s e p - Madame Jeanne - Marie - H enriette I t iè m e , su r c e l le de. M onféfou l, ép o u se de M. D ésiré-

tiares de terre, terroir de Villers- sous-Saint-Leu, lieu dit les Hauts Campeaux, tenant d’un côté plu­sieurs, d’autre côté Jules Drouard. d’un bout Jacquet, d’autre bout Gustin.

Article 3”.**—- Trois ares 57 cen­tiares de terre même terroir, lieu dit Sorel ou la Fosse Hennebert, tenant d’un côté Monmirel, d’autre côté le rideau de la Fosse Henne­bert, d’un bout Hérard, d ’autre bout Barlemont.

Article 4". — Trois ares 02 cen­tiares de terre même terroir, lieu dit la Goulette, tenant d’un côté et d’un bout Jacquet, d’autre côté l’Hospice de Senlis, d ’autre bout Fleury-Bergeron.

Article 5“. — Deux ares 04 cen­tiares de bois, mêmes terroir et lieu dit, tenant d’un côté et d’un bout Jacquet, d’autre côté Fleury et d ’autre bout François Henneguy.

Article 6*. — Un ares 02 cen­tiares de terre, même terroir,, lieu dit la Garenne, tenant d’un côté et d’un bout Hérard, d’autre côté Fleury, d’autre bout la Garennette.

Article 7e. — cinq ares 74 cen­tiares de terre, même terroir, lieu dit le Clos de la Carrière, tenant des deux côtés plusieurs, d’un bout Melle, d’autre bout Goyat.

MISES A PRIXOutre les charges, clauses et I

conditions insérées au cahier des charges dressé par M* Barbier, no- | taire à Greil, et déposé en son é tu ­de, où toute personne peut en ] prendre connaissance, les enchères seront reçues sur les mises 4 prix suivantes, fixées par le Jugement | sus-datê 5

P our l’artic le p re ­m ier. su r la m ise à prix d e ...........................

P our l ’artic le deu­xièm e, su r celle de . .

Pour l’artic le tro i­sièm e, su r celle de . .

Pour l’artic le qua­trièm e. su r celle d e . .

Pour l’a rtic le cin­quièm e, su r ce lle de.

P our 1’artjcle sixiè-

Louis Gallet, propriétaire, avec le ­quel elle dem eure 4 B oissy, 0 0 m - m une de SaInt-t>eu-d’E sserent, et ce dernier tant dn son nom person­nel au besoin que pour ass ister et autoriser la dam e son épouse, su s­nom m ée; Cinquièm em ent. — Ma­dam e M argu/erUte-Hélène-Léocadie M onféfou l, lingjère, dem eurant à P aris, rue d es Lom bards, n° 1. veuve de M onsieur G ustave F ouet; Sixièm em ent. - 1— M onsieur Fer- n and -C harles - Apdr é M etzger, m é­canicien, dem eurant à Asnières (S e in e ), avenue d’A rgenteuil, n° 3 1 8 ; Septièm em ent. — M onsieur Ferdinand-G éorges-L uoien M etz­ger, ouvrier à l ’usine du carbone de Gennevilljters, dem eurant à A s­nières, avenue d ’A rgenteuil, n” 318; Ruitiém em eUt. — Et M onsieur D é- giré-L ouis G allet, propriétaire, d e ­m eurant à B oissy, com m une de S a in t-L eu -d ’|3sserent, agissant au nom et com m e su brogé-tu teu r, fai­sant fonctions de tuteur du mineur René-G abrlelpM aurice M etzger, né à A snières, le v in g t-n eu f mars 1908, enfant naturel, reconnu par Madame E lisabeth M etzger, veuve de M onsieur François M onféfoul, nom m é à cette fonction par ju g e ­m ent du Tribunal civil d e la Seine en date du v ingt et un décem bre 1925, enregistré, à ca u se de l ’op­position d’in térêts existant entre le dit m ineur et M onsieur Fernand- Charles-Apdré M etzger, son frère sus-nom m é, son tuteur, nommé par le dit jugem en t du v ingt et un décem bre 1925.

P oursu ivan ts, ayant Me Chas- taing pour avoué constitué, dem eu­rant à Senlis.

En présence ou lui dûm ent ap­pelé de M onsieur Louis Garré, cu l­tivateur, dem eurant 4 V illers-so u s- Saint-L eu, pHs au nom e t comme su brogé-tu teu r ad-hao du mineur René - Gabriel - M aurice M etzger, sus-nom m é, nom m é 4 cette fon c­tion par le jugem en t du 21 dé-1 oem bre 1925 su s-én on cé .

P rocédé aux jour, heure et lieu c i-d essu s indiqués, 4 la vente sur licitation, aux enchères publiques, aux plus offrants et derniers en ­ch érisseu rs, des im m eubles dont la désignation su it ;

DÉSIGNATIONArticle 1" . - 1* Une Maison, sise

à V illers-sou ç-S a in t-L eu , en la rus d ’En-H aut, n” 59, com prenant di­vers bâtim ents, cour et jardin, te-

Total p r ix . ..

des m ises à

2.000 fp. 300 fr. 70 fr. 60 fr. 40 fr. 10 fp.

300 fr.2.780 fr.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

Senlis, le 17 Avril 1926.Signé : CHASTAING.

Et enregistré.

S ’adresser p o u r les ren se ig n e -1 m en ts à :

1" NI' L. Chastalng, avoué 4 Sen- j Isi, poursuivant la vente;

2" NI" Barbier, notaire 4 Greil, ohargé de la vente et dépositaire du cahier des charges.

8772

2° M. Gilbert-Auguste Damien, ingénieur, demeurant 4 Rosny- sous-Bois, rue de Neuilly, n. 127.

Agissant au nom et comme su­brogé tu teur de la mineure Su- zanne-Aimce Lajoie.

Fonction 4 laquelle il a été nom­mé, et qu’il a acceptée, aux termes d ’une délibération du conseil de famille de ladite mineure, tenu sous la présidence de M. le Juge de Paix du 20“ arrondissement de Paris, le 9 juillet 1925.

Mais faisant fonction de tu teur de ladite mineure,-4 raison de l’op­position d’intérêts existant entre la susdite mineure et»Madame veu­ve Lajoie, sus-nommée, sa mère, tutrice naturelle et légale.

Ayant pour avoué M“ Paul Clou- zeau, demeurant 4 Paris, place des Vosges, n. 26.

Et encore en présence ou elle dûment appelée de :

Madame Marie-Emilienne-Ber- the Mathieu, fleuriste, demeurant à Paris, rue de Bagnolet, n. 163, veuve de M. Charles - Albert Gouery.

Pfise en sa qualité de subrogée tutrice ad hoc de la mineure Su- zanne-Aimée Lajoie.

Nommée 4 cette fonction, qu’elle a aoceptée, aux termes d’une déli­bération du conseil de famille de ladite mineure, tenu sous la prési­dence de M. le Juge de Paix du 20” arrondissement de Paris, le 9 ju il­let 1925,. enregistrée.

Il sera procédé, le mercredi 5 mai 1926, 4 deux heures de rele­vée, en l’audience des criées du Tribunal civil de première instance du département de la Seine, séant au Palais de Justice, à Paris, salle desdites audiences, 4 la vente sur licitation, au plus offrant et dernier enchérisseur, des immeubles dont la désignation suit :

DÉSIGNATIOND E S B IE N S A V E N D R E Une Maison, sise à Glaignes,

canton de Crépy-on-Valois, arron­dissement de Senlis (Oise), rue de Béthancourt

Comprenant :Un corps de logis consistant en

rez-de-chaussée, divisé en quatre pièces; premier étage divisé en trois pièces; grenier sur le tout; appentis derrière.

Cour. Terrain sur le devant.Tient par devant 4 la rue, par

derrière et sur le côté 4 M. Gres- sier et Madame Cligny, et d’autre côté 4 M. Debray (pignon m itoyen).

Tel au surplus que ledit immeu­ble s'étend, se poursuit et compor­te, sans aucune exception ni ré­serve.

MISE A PRIXOutre les charges, clauses et

conditions ci-dessus, les enchères seront reçues sur la mise à prix fixée par le jugement du 19 février 1 9 2 6 , s u s - é n o n - c é , à Ja s o m m e d e cinq mile francs, (j jJQj) fp jjjg gcl

Ar t . 2.

Etude de M* G eorge* LEFÈVREavoué à P aris

b su levard V olta ire , n° 2.

Vente sur Licitationan p lu s o ffran t

et d ern ie r enchérisseuren l’audience des criées du Tri

bunal civil de prem ière instance de la Seine, séan t au Palais de Justice . 4 P aris, salle des criées, à deux h eu res de relevée

EN UN SEUL LOT

U N E M A I S O Nsise

à GLAIGNES (Oise)rue de B éthancourt

Fait et rédigé à Paris, le 2 avril 1926, par l ’avoué poursuivant so u s ­signé.

P our M" G eorges L efèvre, em ­pêché, signé : Henry MENARD.

E nregistré 4 P aris, le 3 avril 1926, folio 8, case 12. R eçu : 3 fr. 60 centim es

Signé : Illisiblem ent.

timbrée, collationnée, signée et en registrée, d ’un procès-verbal dressé par M" P etit, notaire à Senlis, le 25 septem bre 1925, à la requête de 1“ M. Honoré-IIenri Buvelot, cocher, dem eurant 4 Paris, 231, rue Le- eourbe; 2“ M. G eorges-Fernand B u ­velot, garçon de m agasin, dem eu­rant 4 Paris, rue de Chartres, n” i 1 ; 3" M. Joseph Huber, som m e­lier et Madame L ouise-F lorc Brè­che, m archande de quatre saisons, son épouse, de lui assistée et au- t-orisée, dem eurant ensem ble 4 P a ­ris, 16, rue B erthe; 4° Mme Mar­guerite Brèche, ouvrière d’usine, dem eurant 4 Fressenpeville (-Som­m e), veuve non rem ariée de M. Achille L ecom te, et contenant adju­dication au profit de Mme veuve B oissonnet requérante, d ’une Mai­son sise 4 Fleurines, Grande Rue, 50, com prenant principal corps d’habitation sur la rue, consistant en : au rez -d e-ch a u ssée , cuisine, salle 4 m anger, corridor au m ilieu, escalier ferm é.pour accéder 4 l ’éta­ge. Au prem ier étage : deux cham ­bres à coucher avec chem inée en marbre, garde-robe, grenier au- dessu s couvert, en tu iles. Cave d e s ­sous. Jardin clos de m urs de tous côtés. L’ensem ble d’une superficie de 5 ares 47 centiares, tient parde- yant 4 la rue, par derrière 4 M. D es- croix, d’un côté midi 4 MM. Danger, Nanthier, Deaubonne et Louis (m urs m itoyen s), d ’autre côté 4 M. D escroix (m ur m itoyen, sauf le pi­gnon de ce dernier qui lui appar­tient exclu sivem en t). Cadastré se c ­tion D, num éros 402 et 402 bis, el ce, m oyennant outre les charges le prix principal de sept m ille cinq cen ts francs.

Avec déclaration 4 M onsieur ie P rocureur de la République :. 1° Que ladite notification lui était ainsi faite conform ém ent 4 l’article 2194 du Code Civil pour qu’il eut 4 prendre te lle inscription d’hypo­thèque léga le qu’il aviserait dans le délai de la loi, e t que faute de -ce faire dans led it délai, l ’im m euble dont s ’agit serait et dem eurerait aux m ains de la requérante, défin iti­vem ent purgé et libéré de toute hy­pothèque de cette nature non in s­crite.

2° Que les précédents propriétai­res dudit im m euble outre le s v en ­deurs étaient :

Indivision d’entre H onoré-L ouis- Jean B uvelot et Louise Bohn, veuve en prem ières noces de, Jean-Joseph Brèche et en seoondes noces de François-L ouis Gobert.

Ju les-R ené Taupin et E m ilie-R e- née Jouanno, son épouse.

Su ccession de N icolas-François Taupin.

G harles-Louig G uillois et M axen- ce-D ésirée-M arie-V ictoire Spère, son épouse.

C écile-H onorine Blain, veuve de J.-B . B esançon; J .-B . Besançon, U rsu le-F rançoise Besançon, veuve do J.-B .-JIonoré Renon, Alphonse Besançon, Lise Besançon, devenue épouse Raymond Gari*.

j.-B .-Agnan Descroix et MariO- Geneviftvc-'Marguerite Rangent, sonépouse.

Jcan-Jacques N oël et M arie-Eli- sabeth -F lore Deaubonne.

3" Et que ne connaissant, pas tous ceux du ch ef desquels il pourrait être pris inscription d ’hypothèque légale, elle ferait publier la présen te insertion dans un journal d’an nonces judiciaires conform ém ent l ’avis du Conseil d ’Et.at des 9 Mai et 1" juin 1807.

P our insertion légale,8773 (S igné) L. CHASTAING.

qui suivront la p résen te publica­tion. en l’E tude de M« Lenoir, huissier à Senlis.

P our ex tra it :8767 R obert DEUGNIER.

Ar t . 5.Etude de 8#" Lucien OHASTAING,

avoué à Senlis

Extrait de Jugement de DivorceD’un jugem en t rendu par le T ri­

bunal civil de Senlis, le vingt- sept octobre 1915, en reg is tré .

Au profit de M adam e Y vonne- tlarie BELLANGER, épouse de Monsieur Marcel-Gàbriel-t onslant- François LESTEPS. avec lequel elle est dom iciliée de droit, mais autorisée à résider e t résidant de fait à Creil, rue de la République, n" 65.

E t par défaut contre M onsieur M arcel - G abriel - Constant - F ra n ­çois LESTERPS , dem euran t à Com preignac (Haute-Vienne)., ci- devant e t ac tue llem en t à Nouic (Haute-Vienne).

Il appert :Que le divorce a été prononcé

de piano d’en tre les époux Les- terps-B ellanger, à la requête e t au profit dè la fem m e e t aux torts du m ari.

Pour ex tra it :Signé : CHASTAING.

Et en reg is tré . * 8781

A r t . 9.E tude de M* QUENTIER, notaire

à Chambly.

P R E M I È R E P U B L I C A T I O N

Suivant p rocès-verba l d ’adjudi­cation d ressé par M' Q uentier, notaire à Cham bly, le 27 m ars 1926, en reg is tré à N euilly-en- Thelle, le 8 avril 1926, folio 26, case 102, à la requête des h é ri­tie rs et rep résen tan ts de Madame DEJEUNE, née BONN AVOINE, il a été adjugé à t i tre de lic itation à M. E m ile-A rthur LEJEU N E, m archand é p ic ie r- f ru itie r avec vette , dem euran t à Cham bly, rue de Paris, n" 62 le fo n d s de eom - m erce de m archand ép ic ier - fru itier , a v ec b u v ette , beu rre, œ u fs et fr o m a g e s , exploité à Cham bly, rue de P aris, n° 02, dé­pendan t de la com m unauté ayant ex is té en tre M. et Mme L ejeune- Bonpavoine.

Les oppositions, s ’jl y a lieu, se ron t reçues dans les dix jou rs de la seconde publication , à Cham bly, en l’E tude de M“ Quen tie r , notaire. 8778

A rt. 6.

Etude de M" PETIT, notaire à Senlis.

Suivant ac te reçu par M* P etit, notaire à Senlis, le Ht m ars 1926, VI. Emile IMPART (M. Mme Ju lie tte- Mathilde BERNARD, son épouse, dem eurant ensem ble à Senlis, ont cédé à M. Daston Oscar NIAR- QüIN e t Mme Suzanne-Gabrielle COMPAGNON son épouse, de­meurant à Botter (S a ith e ) , le fonds de com m erce de m écani­cien -g a ra g iste exploité par eux à Senlis, m e d e la R épublique, n,s 17 e t 10. à l’encoignure de la rue de la B retonnerie.

es oppositions devront êtr-e faites à peine de forclusion dans les dix jours du p résen t avis, à Senlis, en l’Etude de Me Petit, notaire, où dom icile a éié élu à cet effet.

P our deuxièm e avis :39 PETIT.

ART. 10.

E tude de M' VIDY, notaire à Chantilly.

Suivant ac te reçu par led it M” Vidy, le 3 avril 1926, en reg is tré à Creil (A. C ), le 6 avril 1926, vo­lum e 223 bis, f * l i , nu 61, M. Wif>- liam -Charles BQXALL, cafetier- res ta u ra te u r, dem euran t à C han­tilly, a cédé à M. H onoré-Joseph LATIEULLE , garçon de café, dem eurant, ac tue llem ent à C han­tilly , e t 4 M. Jean AUGUSTIN, garçon de café, dem euran t 4 P a­r i s , rue R ochechouart, 49 le fon d s d e com m erce d e ca fé - restau ran t qu’il exploitait à Chan­tilly , rue-d’O rgem ont, n» 16, avec to u t ce qui en dépend.

Les oppositions, s ’il y a lieu, se ron t reçues dans les dix jours de la seconde insertion , en l’E tude de M* Vidy, dom icile élu.

Pour p rem ière insertion : 8780 Signé : VIDY.

S ’adresser p o u r les ren se ig n e­m en ts :

1» A M' G eorges L efèvre, avoué poursuivant, dem eurant 4 Paris, boulevard V oltaire, n. 2 ;

2° A M' D etis, avoué, dem eurant à Paris, boulevard Saint-D énis, n. 2 4;

3° A M' Clouzeau, avoué, dem eu­rant 4 Paris, place des V osges, n. 26;

4“ A M» Vallée, notaire 4 Paris, boulevard Voltaire, n . 204 ;

5° Et sur le s lie.ux, pour visiter.8776

Art. 4.

R obert DEUGNIERAdm inistrateur de Biens

F ’ A F t I S7 6 , b o u le v a r d M a g e n ta , 7 6

Tél. : N ord 53-43 48 31

DEUXI ÈME PUBLICATION

L ’adju d ica tion aura Heu le MERCREDI 5 MAI 1 9 2 6

à d e u x heures de relevée

On fait savoir 4 tous ceux qu’i appartiendra :

Qu’en exécution d’un jugem ent rendu sur requête -collective par la deuxièm e Champre du Tribunal oivil de la Soine, le 19 Tévrier 1926, enregistré.

Et aux requête, poursu ites e t di­ligences de :

M adame Julie-A im ée M lmang, dem eurant 4 P aris, rue de Bagno-

nant ^ r devant la rue â’En-Haut. let, n. 163, veuve de M. P aul-Jo au fond la pièce b l-après et Mon- | seph -E ugène Lajoie. sieur Goyat, d’un côté M essieurs Goyat et B ellanger, d’autre côté Monsieur Duez.

2* Et quatre ares 4? centiares de terre derrière eettë maison, tenant d’un côté Goyat, d’autre côté Bruxelles-Uandry, d ’un bout la maison ci-dessus, d’autre ..bout Ôharp«nti»r.

Aftifdt I». — Cl«q * N | *0 *«n*

Ayant pour ayoué M' G eorges- Paul-A natole L efèvre, dem eurant à Paris, boulevard Voltaire, n. 2.

En présence de :1° M. L éon-P aul Lajoie, oéliba-

taire m ajeure, dem eurant 4 Paris, rue de B agnolet, n. 163.

A r t . 3.

E tude de M. L. CHASTAINGavoué à Senlis.

F * \ i T * c j e L é g a l e

Suivant exploit de Lenoir, h u is­sier 4 Senlis, e n date du 10 avril 1926, enregistré.

Et A la requête de Madame Léon-tine P icard, sans profession, de­meurant 4 Paris, rue de Courcel- lee 91 veuve non rem ariée de M.A lfred-Ë ugène-M arie B oissonnet.

Pour laquelle dom icile e st élu 4 Senlis rue Sainte-G eneviève, en l’étude de Me L. Chastaing, avoué.

Notification a é té faite 4 Mon-

sieur le ^ iv ü ^ S e n - | s ,x - C e tte v e n teque près le I su b ord on n ée 4 l ’a ccep ta tio nlis '

De l ’expédition d’un acte dresséau greffe du Tribunal civil de Sen- jis je deux mars 1926, enregistré

E tude de M® PILLEBOUT, notaire à Crépy-en-V alois.

Propriété de CampagneA VAUMOISE

près forêt, avec deux habitations ja rd in s, bois taillis.

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S ’adresser tra ite r, à M V erberie .

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Etude de M® L. CHASTAING,avou é à S e n lis .

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atmte de M- R o b e r t B Û I L H M te h r e à P o a t ^ t e - H o x e i i c e

Suivant contrat reçu par M<Boflet, notaire à Pont - Sainte- Maxenoe, le 29 m ars 1926. enre gistré à Pont, le 6 avril 1926 Folio 84, n 426, M. M aurice-Jean- Albert PER D R lZET, marchand de beurre et from ages en gros

ART. 11.COMPAGNIE DES EAUX

D ’O R R Y L A -V IL L E

M essieurs les A ctionnaires de la Com pagnie des Eaux d 'O rry- la-Ville sont convoqués en As­sem blée générale o rd inaire le D im anche 2 Mai 1 9 2 6 , à qua­torze heures précises, en la Salle de la Mairie (Ë co le 'des Garçons), à O rry-la-V ille .

ORDRE DU JOUR : L ec tu re du rapport du Conseil

d’A d m in istra tio n .Lecture du rapport du Commis­

saire des Comptes.N om ination d’A dm inistrateurs

e t du C om m issaire des Com ptes.Acci p ta tion du legs fait par

Mine E nchéry des 57 actions de la S ocié té ; dispositions à prendre

L’Adjudication au ra lieu ie MARDI 4 MAI 1 9 2 6 , à 13 heures f/2, en l’audience des criées du T ri­bunal civil de Senlis. sise au Palais de Ju stice de la dite ville, place N oire-D am e.

E tudes de M' G eorges MORAND,avoué à Senlis

e t de M* M arcel VIDY, notaire à Chantilly.

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L’adjudication au ra lieu le Samedi. 2 4 A vril 1 9 2 6 , à q u in ze heures, en l ’Etude e t par le m inistère de M ” M arcel Vidy, no ta ire à C hantilly , com mis à ce t effet.

E tudes de M' G eorges MORAND,avoué à Senlis,

e t de M® M arcel VIDY, no ta ire à Chantilly.

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L’adjudication aura lieu le SA­MEDI 8 MAI 1 9 2 6 , à q u in ze heures, eu la M airie de Coye, par le m in istè re de M' M arcel VGDY, no ta ire à C hantilly, com ­m is à ce t effet.

E tude de M® PETIT, notaire à Senlis.

A vendre par adjudication vo­lon ta ire , M aison sise à S énlîs, im passe O.introu, n® 3, le Mardi 20 Avril 1926, à 14 h e u re s ,à Senlis, en l’E tude de M' P etit, notaire.

demi gros et détail, e t Madame pour rendre définitive ce tte accepVI \ TTqirTh'rr Orto À.innen ri a I lo réillCtlOll r̂ n PtlfUlûEve MQUTTET. son épouse, de­m eurant ensem ble 4 Pont-Sainte Maxence, ont cédé à M. Paul Alphonsè'BARBALX, ancien mar­chand de vins, e t Madame Mar Ihe - A lbertine GALLAND . son épouse, dem euran t ensem ble à Pout-Sainte-Maxence le fonds de com m erce de m archand de beurre, from ages, œ u fs et vo laille en g r o s , d em i-g ro s et détail, qu’ils exploitaient a Pont- Sainie-M axence, avenue de Senlis n 1’ 2.

Domicile est élu à P ont-S ain te- Maxence, en l’Etude de M' Boilet, notaire à Pont-Sainte-M axence, où les oppositions seron t reçues ians les dix jou rs qui su ivront la présente insertion.

Pour deuxième insertion 8761 . Robert BOILET.

tation e t la social.

du capital 8779

S uivant acte s. s. p., en date au Lys, com m une de Lamorlaye, du 2 avril 1926, en reg is tré 4 Creil le lendem ain, folio 71, case 2, par le receveu r qui a perçu les droits.

M onsieur Achille-Valentin MI GNOT, cafetier, dem euran t au L y s, com m une de Lam orlaye. route de Royaum ont (Oise)

A vendu à M onsieur Marcel- V ictor W AGREZ et M adam e Mar­celle LEVIEUGE. son épouse, dem euran t ensem ble à Persan (S.-et-O.), 5, route de Louvres.

Un fon d s de com m erce dev in s-restau ran t auquel est annexela gérance d ’un débit de tabac, sis au Lys, com m une de Lamor laye, rou te de Royaum ont.

L 'en trée en jouissance a é té fixée au quinze Mai mil neuf cen t vingt

Etude de Me L ouis GUÉTINgradué en droit

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Elude de M® LANGLOIS, notaireà Senlis.

A vendre par adjudication, le Sam edi 8 Mai 1926, à seize heu res, à B arbery, dans une des salles de la Maison com m une, par le m inis­tè re de M6 Lauglois, no ta ire à Senlis, un M arché de T erre dé­pendant de la succession de M. de W aru , aux te rro irs de Barbery, C haînan t, M ontlévêque, Senlis, M ontépilloy et B orest, d ’une su­perficie d e ' 2 8 h ecta res 31 a res 3 2 cen tia res.

L’adjudication au ra lieu le Sa m edi 2 4 A vril 1 9 2 6 , à q u s - torse heures, en l'E tude e t par le m inistère de M ' Q U EN TIER , no­ta ire à Cham bly (Oise), com m is 4 ce t effet.

six . C e tte v e n te r e s te n éa n n o in 4 l ’a ccep ta tio n di

M on sieu r e t M adam e W A G R E Z

Ayant pour avoué M® Maurice ! c O O f t à t o l ) ® d # D*tl»f demeurant 4 Paris, boute-1 puf M jâ aupl» dûment

. ar l ’A d m in istra tio n d e s C ontri b u tio n s In d ir e c te s p o u r la géran ce du d éb it d e tab a c .

Los oppositions, s’il y, B heu sarunt ragpns *J«n* les dix Jours

Etude de à Nanteuil-le-Haudonin (Oise)

(Détenteur dos arch ives de l’Etude, de Baron).

PREMIERE INSERTION

Suivant acte reçu par Mc Boi 'eau, le 2 avril I9J6, en reg istré èJauteuil, le 12 dudit mois, folio 176, case 1009, M. et M me Marcel- 1-éon HEBERT , m archands de chai bon, dem eurant à N anteuil, ont vendu à M. e t Mme Léon iules H E B E R T , dudit lieu, le fonds d e m a rc h a n d d e c h a rb o n »'S à N anteuil, rue de P aris. E ntrée eu jouissance : 6 m ars 1926.

Oppositions, s ’il y a lieu , reçues en l’Etude de M' Boileau. notaire, d.-ins les dix jours de la deuxièm e 'Uscrtion.

Pour p rem ière insertion : 8769 BOILEAU.

E tude de M P ie r r e MAUGINnotaire à V erberie .

M aison a v e c J a r d in e t V e rg e rde 40 ares 51 cen tia res , e t s ix P iè c e s d e T e r r e , sis le to u t aux te rro irs de S ain t - Sauveur et Com piègne, à vendre par a d ju ­dication volon ta ire, le Sam edi l«r Mai 1926, 4 quatorze heures, à V erberie , on l ’E tude e t par le m in istère de Me Maugin, n o ta ire .

E tude de M’ R o b e r t BOILETn o ta ire à P o n t-S a in te -M a x e n c e

V ente par adjudication d’une M aison en excellent état, avec jard in , sise à Pont.-Ste-M axence, rue du C ham p-de-M ars, n° 41, libre de Jopation. le Sam edi 8 Mai 1926, 4 deux heu res, en l’E tude et par le m in istè re de M“ Robert Boilet , no ta ire à P orit-S ain te- Maxence.

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